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Blog - Page 1431

  • Lorca: chute d'un clocher en direct

    11/05/11

  • Tremblement de terre dans le sud de l'Espagne



    Un séisme de magnitude 5,1 a frappé l'Espagne par BFMTV

    On parle maintenant d'au moins dix morts

     11/05/11

  • François Hollande refuse d'être qualifié de "pur-sang"...

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    Ça se passe dans l’émission « Tout le monde il est beau » diffusée sur Canal Plus 1er mai dernier. A la question de Cyril Eldin,

    « Certains disent ‘départ de pur-sang’, parce que vous partez très tôt là pour la présidentielle, ‘arrivée d’âne’, bon ce qui est un peu péjoratif, ça vous fait peur ou pas ? »

    François Hollande répond le plus sérieusement du monde :

    « Je ne connaissais pas la formule mais je ne suis ni un pur sang à mon avis, je récuse cette dimension presque raciale (sic), et je ne crois pas mériter le bonnet d’âne donc nous verrons bien. »

    Nouvelles de France - 11/05/11

     

  • Meudon: Keto le chiot martyr sauvé par la police

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    (Cliquez sur la photo)

    Depuis mardi soir, Keto ne craint plus rien. Ce mignon petit chien aux pattes blanches, grands yeux et oreilles tombantes a été récupéré par les policiers du commissariat de Meudon (Hauts-de-Seine) qui patrouillaient dans le quartier de la place Rabelais. Des policiers qui ont assisté à une scène hallucinante vers 19 heures : un homme, jeune, martyrisait littéralement son chiot tenu en laisse, en pleine rue.

    Le mauvais maître a, tour à tour, frappé le bébé chien à coups de pieds, l’a traîné sur plusieurs mètres au bout de sa laisse et, face à ses hurlements, n’a rien trouvé de mieux que de le saisir et le jeter au sol à plusieurs reprises, avant de le frapper à nouveau.

     

    A la vue des policiers, le tortionnaire a pris la fuite, mais il a été rattrapé quelques rues plus loin, avenue des Nations-Unies, et emmené au commissariat. Cet homme de 25 ans, habitant de Clamart, a juste déclaré qu’il ne voyait pas pourquoi il ne pourrait pas battre son chien. Remis en liberté, il sera convoqué ultérieurement pour répondre d’actes de cruauté sur animal.

    Quant à Keto, sauvé des griffes de son maître indigne par les policiers de Meudon, il a été confié à la Fondation d’assistance aux animaux qui a par ailleurs porté plainte et cherche maintenant un nouveau foyer.

    Source Le Parisien - 11/05/11

  • Révélations du Canard sur la pharmacienne de "Paroles de Français"

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    Fatiha Djegaoud, la pharmacienne qui, sur TF1, avait interrogé sur l'insécurité, va jouir d'une réorientation de carrière. Le Canard Enchaîné révèle ce matin que cette femme de 62 ans, qui a fermé le 30 avril sa pharmacie de la rue Santoline, dans le quartier chaud des Moulins, à Nice (Alpes-Maritimes), va recevoir une très coquette indemnité d'éviction.

    Sans compter que, comme elle l'avait confirmé à Nice Matin le 4 mai, elle va se lancer en politique. Le député-maire (UMP) de Nice, Christian Estrosi, lui a proposé un poste de chargée de mission à la mairie. Elle rejoindra cet été son cabinet pour une mission «sur les devoirs et les droits des familles».

    Le 10 février dernier, Fatiha Djegaoud participait à l'émission «Paroles de Français» pour interroger le président de la République. Les équipes de TF1 avaient déjà fait un reportage sur la pharmacienne, car elle avait été victime de quatre braquages en six semaines. Précisant exercer depuis sept ans dans ce quartier, à 400 m du commissariat inauguré par Nicolas Sarkozy, et parler, du fait de ses origines algériennes, la même langue que les habitants des Moulins, elle s'inquiétait de l'insécurité dans un quartier «devenu une zone de non-droit où règne la loi des petits caïds, sans parler des nombreux actes d'incivilité».


    Le lendemain, la dame brune avait reçu des menaces par téléphone, et l'avait fait savoir. Elle avait refusé qu'un policier se poste à sa porte mais se disait rassurée que les rondes soient plus fréquentes.

    Une indeminté d'éviction nettement réévaluée

    Le 23 février, elle était reçue à l'Elysée avec tous les «panelistes». Christian Estrosi s'était alors rapproché d'elle. «J'apprécie le franc-parler de cette femme courageuse», avait-il dit. «J’appelle les centaines de commerçants, qui subissent et se taisent dans notre pays, à suivre son exemple et à rompre la loi du silence», avait-il encensé dans Nice-Matin.

    Il n'expliquait rien de ce que le Canard Enchaîné raconte ce matin. Fin 2010, alors que l'immeuble où se trouve l'officine de la rue Santoline doit être rasé dans le cadre d'un chantier de rénovation mené par la communauté urbaine de Nice et un office HLM, Fatiha Djegaoud s'était vue proposer une indemnité d'éviction de 700 000 €. Trouvant la somme trop juste, elle avait saisi la justice, et un expert avait été mandaté pour estimer la valeur de la pharmacie, fonds et stock.

    En avril, «sans attendre les résultats de l'expertise», le dossier a été débloqué à la communauté urbaine de Nice, que préside Christian Estrosi, et par l'office HLM Côte d'Azur habitat, présidé par Dominique Estrosi-Sassone, l'ex-femme du maire. Il a été décidé de porter l'indemnité d'éviction à 1 060 000 euros, 360 000 de mieux que la première évaluation.

    Source Le Parisien - 11/05/11

  • Esclaves chrétiens, maîtres musulmans: l'esclavage blanc en Méditerranée (1500-1800)

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    (Cliquez sur l'image pour la voir en totalité)

    Source Blog de Stéphane Ravier - 11/05/11

  • Qui est-ce? n°7

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  • Marseille: record de colliers arrachés ce week-end. La violence gagne

    Comment vont-ils s'y prendre ? Comment les policiers pourront-ils lutter efficacement contre un ennemi aussi insaisissable que mouvant, présent désormais dans tous les quartiers de la ville ? Samedi, le procureur de la République Jacques Dallest promettait une sévérité exemplaire contre les auteurs de vols de colliers en or, des agressions le plus souvent accompagnées de violences. Malgré des condamnations déjà très lourdes prononcées par le tribunal correctionnel, le message ne semble pas être encore passé auprès des principaux intéressés.

    Au cours du week-end, une vingtaine de ces vols ont été commis, un chiffre comparable à celui enregistré en plein été, l'année dernière. Même les interpellations en flagrant délit, qui se succèdent, semblent ne plus freiner la croissance de cette délinquance, exacerbée par la flambée du prix de l'or qui bat aussi des records.

    Il y a pourtant des suspects arrêtés, comme cet adolescent de 14 ans, interpellé, vendredi vers 19h, boulevard National (3e), alors qu'il venait d'agresser une femme de 37 ans, sur le trottoir.

    La lutte contre ce phénomène préoccupant passe aussi par la mise sous surveillance de filières de revente de bijoux, dont les officines, dopées par le prix de l'or, fleurissent partout à Marseille. Certaines n'hésitent pas à proposer le rachat de "bijoux cassés", tel qu'elles l'affichent sur leurs devantures. Presque un clin d'oeil lancé aux voleurs qui n'en attendaient pas tant.

    Source La Provence - 10/05/11

  • "L'Europe doit respecter les cultures que les immigrés apportent"

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    Massimo D'Alema

    L'Europe doit respecter les cultures que les immigrés apportent, ce phénomène de métissage, ce "mélange des sangs" dont parlait l'historien français Lucien Febvre, qui entraîne enrichissement et développement de la civilisation européenne comme de toute autre civilisation. Mais le respect des principes et des lois est un principe non négociable : ceux qui décident de venir vivre en Europe doivent respecter ce principe à la base de notre contrat social.

    De ce point de vue, l'expérience de la Turquie et des mouvements démocratiques qui se développent dans le monde arabe montrent que l'islam n'est pas du tout incompatible avec les valeurs démocratiques.

    Quelles peuvent être, dans ce contexte, les réponses à apporter ? Un contrat clair entre le pays d'accueil et les immigrants doit être la base même d'une politique migratoire progressiste. Un contrat qui comprend des droits et des devoirs pour tout un chacun. En ce qui concerne les droits des immigrants, l'Union européenne (UE) doit s'engager à accélérer le processus de citoyenneté. C'est-à-dire une pleine reconnaissance des droits sociaux et civils des migrants dans le pays d'accueil, ce qui inclut, bien entendu, le droit de vote.

    Prenons l'exemple de l'Italie où les immigrés génèrent 11 % du produit intérieur brut (PIB) et représentent une partie importante des travailleurs les plus humbles. Quel genre de démocratie vivons-nous si une partie si consistante de la société n'a pas de droit de vote ? Nombreux sont les immigrants qui travaillent en Europe grâce à de faux papiers. Ils contribuent au système social du pays d'accueil, cotisent pour une sécurité sociale et une retraite dont ils savent qu'ils ne les toucheront jamais.

    Comment l'UE pourrait-elle permettre une telle situation de négation des droits politiques, économiques et sociaux d'une partie de sa population sans que la démocratie en soit affaiblie ? En contrepartie, les droits engendrent naturellement des devoirs. Les immigrants doivent, eux aussi, s'engager à respecter les lois de leur pays d'accueil, ce qui implique le respect de toutes les lois, même en ce qui concerne des sujets aussi délicats que l'égalité des genres. Aucun manquement à la loi et aux droits de l'homme ne saurait être toléré au nom de la différenciation culturelle. (...)

    Toutefois, si les pays à forte émigration dans le nord de l'Afrique ne respectent pas les droits de l'homme, les pays membres de l'UE ne sont pas exempts de tout reproche. Nous, progressistes, devons insister davantage sur les droits de l'homme, notamment en ce qui concerne les centres de détention, les expulsions et, en particulier, le traitement des demandeurs d'asile.

    Massimo D'Alema, présidentde la Fondation européenne d'études progressistes, ancien président du conseil des ministres italien (1998-2000)

    Source Le Monde - 11/05/11

     

  • Enquête demandée sur Christine Lagarde dans l'affaire Tapie

    Le procureur de la Cour de cassation a demandé mardi une enquête pour "abus d'autorité" portant sur le rôle de Christine Lagarde dans l'attribution de 285 millions d'euros de fonds publics à Bernard Tapie en 2008. Le dossier porte sur la revente de l'équipementier sportif Adidas en 1993, dans laquelle l'homme d'affaires Bernard Tapie se disait floué par le Crédit lyonnais.

    A l'initiative de la ministre de l'Economie, l'Etat avait abandonné la voie judiciaire, où il avait pourtant gagné en cassation, pour s'en remettre à un arbitrage privé. Saisi le 1er avril d'une plainte de députés socialistes, le magistrat, Jean-Louis Nadal, a demandé cette enquête à la Cour de justice de la République (CJR), seule habilitée à traiter des délits concernant les ministres. Il s'était fait transmettre des pièces par plusieurs institutions, dont le ministère. "L'analyse de l'ensemble de ces pièces a permis au procureur général de relever de nombreux motifs de suspecter la régularité, voire la légalité du règlement arbitral litigieux, pouvant caractériser le délit d'abus d'autorité", a dit le magistrat dans une déclaration aux agences de presse.

    Une instance de trois magistrats, la commission des requêtes de la CJR, tranchera dans environ un mois. Si elle rejette la demande, l'affaire s'arrêtera là. Si elle l'accepte, une commission d'instruction de trois magistrats devra enquêter. Le délit d'abus d'autorité est passible de cinq ans de prison et 75 000 euros d'amende. Il vise le fait, pour une personne dépositaire de l'autorité publique, de prendre des décisions faisant obstacle à l'application de la loi.

    Le ministère a minimisé la décision du procureur. "C'est une étape normale de la procédure. Elle va permettre à Christine Lagarde de produire à nouveau toutes les informations en sa possession et de démontrer l'absence de fondement de ce dossier", a-t-on déclaré dans l'entourage de la ministre.

    Le chèque de Tapie remis en cause ?

    L'abandon de la voie judiciaire pour régler le litige entre l'Etat, ex-propriétaire du Crédit lyonnais, et Bernard Tapie, condamné à de multiples reprises et incarcéré en 1997 pour le match de football truqué Valenciennes-Marseille, est très critiqué depuis trois ans par l'opposition. La gauche et le centriste François Bayrou considèrent que le choix d'une procédure d'arbitrage constitue une "faveur" politique à l'ancien ministre de François Mitterrand, qui avait appelé à voter pour Nicolas Sarkozy en 2007. La somme accordée à Bernard Tapie a été portée à près de 400 millions d'euros avec les intérêts depuis 1993 puis a été diminuée du règlement de son passif fiscal et social, si bien qu'il lui reste environ 210 millions d'euros, selon les députés, alors que Christine Lagarde avait parlé de 30 millions d'euros.

    Le procureur Nadal met en cause trois épisodes. D'abord, dit-il, le recours à l'arbitrage n'était pas légal concernant les intérêts financiers de l'Etat. Ensuite, les conditions dans lesquelles la convention d'arbitrage et les sommes ont été approuvées - avec notamment un biais ayant ouvert la voie à un chèque de 45 millions d'euros au seul titre du "préjudice moral" - sont mises en cause. Enfin, le procureur reproche à Christine Lagarde le fait d'avoir renoncé, au nom de son ministère, à un recours contre la procédure d'arbitrage.

    Dans ce litige, Bernard Tapie prétend que le Lyonnais l'a floué lors de la revente d'Adidas en 1993 en lui remettant un produit de vente inférieur à ce qui avait été effectivement réalisé, l'opération ayant emprunté des circuits off-shore. Le Crédit lyonnais a toujours contesté toute fraude. La Cour de cassation avait donné tort à l'homme d'affaires en 2006.

    Si une enquête débouchait sur la démonstration d'un délit, le chèque de Bernard Tapie serait remis en cause. Le député Charles de Courson a saisi cette semaine le Conseil d'Etat pour faire annuler l'arbitrage et deux hauts fonctionnaires sont menacés de poursuites devant une Cour de discipline budgétaire. Mais Bernard Tapie n'est pas inquiet.
    "Je vous confirme, quitte à vous décevoir, que toutes les gesticulations n'ont pas le pouvoir d'inverser le cours de la décision qui est un arbitrage en dernier ressort. Qu'on arrête ces fantasmes", a-t-il déclaré à Reuters.

    Le feuilleton de l'affaire Adidas continue 18 ans après

    Cette saga qui concerne l'ancien ministre de la Ville (1992-1993) et ex-président de l'Olympique de Marseille (1987-1993), a éclaboussé droite et gauche depuis 18 ans. Symbole de la conversion du PS à la libre entreprise, Bernard Tapie, 68 ans, était devenu proche du président François Mitterrand dans les années 1980.

    Sans apport personnel, c'est exclusivement grâce au concours du Crédit lyonnais, alors banque d'Etat, qu'il avait racheté des parts majoritaires de l'équipementier sportif en 1990. Sa direction de cette société, qu'il disait "affaire de sa vie", avait été émaillée de polémiques, notamment lors des fermetures des dernières usines françaises, en Alsace.

    En 1993, du fait de sa carrière politique, il doit vendre Adidas et une filiale du Crédit lyonnais lui remet 318 millions d'euros. La banque revend ensuite l'entreprise par le biais d'un montage off-shore, en décembre 1994, à Robert-Louis Dreyfus pour l'équivalent de 708 millions d'euros. Ce dernier a ensuite valorisé le groupe Adidas en Bourse en novembre 1995 pour 1,676 milliard d'euros.

    L'ancien repreneur d'entreprises, s'estimant floué, a alors engagé un long combat judiciaire avec le Crédit lyonnais, remporté devant la cour d'appel de Paris en 2005, où lui est accordée une indemnité de 135 millions d'euros. Cet arrêt avait cependant été annulé par la Cour de cassation en 2006. Il devait être rejugé en position favorable pour l'Etat et c'est alors que Christine Lagarde a choisi la voie de l'arbitrage privé, remis à l'ancien président du Conseil constitutionnel Pierre Mazeaud, l'avocat Jean-Denis Bredin et le magistrat en retraite Pierre Estoup, trois personnalités dont l'impartialité a été très contestée.

    L'indemnité accordée, 285 millions d'euros, a scandalisé à droite comme à gauche, d'autant plus que Bernard Tapie, emprisonné en 1997 dans l'affaire du match truqué Valenciennes-OM, est une personnalité controversée. Il a été condamné à plusieurs reprises sans être incarcéré pour malversations financières et fraude fiscale dans l'affaire de la gestion de son yacht, le Phocéa, dans celle des comptes de l'OM et pour la gestion de l'entreprise Testud.

    Devenu acteur, il a interprété un commissaire de police à la télévision, y a animé diverses émissions puis a emporté de beaux succès publics dans des salles de théâtre de Paris, avec "Vol au-dessus d'un nid de coucou" et "Oscar" en 2008, où il a glissé de nombreuses allusions à ses démêlés avec le Crédit Lyonnais.

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    Source La Provence - 10/05/11

  • Sarkozy: "La France est fière de compter parmi les meilleurs amis d'Israêl"

    A l’occasion du 63e anniversaire de l’indépendance, le président français a félicité son homologue israélien.

    Monsieur le Président, Cher Shimon,

    En ce 63ème anniversaire de la proclamation de l’indépendance de l’Etat d’Israël, je souhaite vous faire part, au nom du peuple français et en mon nom personnel, de mes plus chaleureuses félicitations pour vous-même et pour le peuple israélien tout entier.



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    La France est fière de compter parmi les meilleurs amis d’Israël. Je souhaite que les liens indéfectibles qui unissent nos deux pays depuis la naissance de l’Etat d’Israël, et auxquels vous avez tant contribué, continuent de se développer dans des domaines toujours plus variés.

    Au moment où souffle un vent d’espoir et de liberté au Moyen Orient, je formule le vœu que l’année 2011 permette l’instauration dans la région d’une paix juste et durable qui sera la meilleure garantie de sécurité pour le peuple israélien.

    Vous renouvelant mes très sincères félicitations, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, avec mon amitié, les assurances de ma très haute considération.

     

    Nicolas SARKOZY

     

  • Prière catholique interdite lors de la cérémonie célèbrant les 800 ans de la cathédrale de Reims: un scandale!

    Selon l’adjoint au maire à la Culture de Reims, Jacques Cohen, « on a dû se battre avec l’archevêque (Mgr Thierry Jordan, ndlr) pour que le Notre Père ne soit ni chanté ni récité » lors de la cérémonie du huit-centenaire de la cathédrale de Reims. « Nous (l’équipe du maire socialiste Adeline Hazan, ndlr) sommes des laïques ». Ils ont finalement obtenu gain de cause.

     Et si l’Ave Maria a été toléré, c’est parce que la cathédrale s’appelle Notre-Dame… « Il a fallu négocier, ça s’est passé directement entre le cabinet du maire et l’archevêque. Ça n’a pas été simple » a confié en marge de la cérémonie l’évêque auxiliaire Mgr Joseph Boishu

    L’archevêque Mgr Thierry Jordan avait aussi demandé à ce qu’il n’y ait pas d’applaudissements dans la cathédrale, sauf après le Te Deum.

     L’assistance a applaudi à chaque intervention du maire et du préfet… Et lors de l’Ave Maria, le successeur des apôtres a dû insister pour que l’assistance se lève.

    Source Nouvelles de France - 10/05/11

     

     

  • Agressé à Barbès: "Je dois la vie à ce policier"

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    Henry-Antoine Mayembo - (Cliquez sur la photo)

    Au lendemain de l’agression à coups de couteau d’un policier, grièvement blessé dimanche soir boulevard Barbès, à Paris (XVIIIe), Henry-Antoine Mayembo, lui aussi victime de cette violente altercation, témoigne.

    Ce chercheur en physique de 29 ans assure devoir la vie à ce policier en civil qui s’était lancé à la poursuite du voleur de son téléphone portable dans le métro, quelques minutes plus tôt. Tous deux ont été pris à partie par des dizaines d’agresseurs.

    Dans quelles circonstances votre portable vous a-t-il été dérobé ?
    HENRY-ANTOINE MAYEMBO. Un peu avant 23 heures, dimanche, j’étais sur le quai du métro à Barbès, occupé à envoyer un SMS à ma copine pour lui dire que j’arrivais. Au moment d’entrer dans la rame, un gars m’a suivi, rabattant la capuche de son sweat noir sur sa tête, et m’a arraché le téléphone. Mais il lui a glissé des mains et est tombé sur le quai juste avant que les portes se referment. J’ai dû forcer l’ouverture, en me coinçant la main, pour sortir et me lancer à sa poursuite.

    Comment le policier est-il intervenu ?
    Un homme dont j’ignorais encore qu’il était policier s’est précipité derrière le voleur. Nous avons gravi les escaliers de la station à sa suite, à toute vitesse, et sur le boulevard Barbès, se sentant rattrapé, le voleur a jeté, de rage, le téléphone par terre. Je l’ai récupéré et m’apprêtais à abandonner lorsque j’ai vu le policier continuer de courir après lui. Il tentait de m’aider, je ne pouvais donc que l’accompagner. Je ne savais pas encore qu’il allait risquer sa vie pour moi et ce téléphone à 40 €…

    De quelle façon s’est déroulée l’agression ?
    Elle a été d’une violence inouïe. Je ne l’oublierai jamais. Le policier est parvenu à arrêter le voleur du portable, mais il se débattait. Soudain, des dizaines de vendeurs de cigarettes à la sauvette se sont précipités sur nous. Nous injuriant, nous menaçant, nous frappant, exigeant la libération du voleur. Quand le policier a décliné sa qualité, ils se sont déchaînés plus encore en hurlant que c’était leur territoire et que nous n’avions rien à faire ici. Le policier m’a demandé d’ouvrir la porte de l’immeuble d’à-côté pour s’y réfugier, mais il y avait un Digicode. Alors, il a réussi à téléphoner pour obtenir des renforts tout en maintenant le voleur.

    Vous avez alors été blessés tous les deux à coups de couteau…
    Oui, plusieurs couteaux ont été sortis. Le policier a été frappé une première fois au ventre par le voleur, vraisemblablement. Puis j’ai reçu un coup à la poitrine, que j’ai esquivé. Ensuite, en me protégeant le visage, j’ai été touché au bras. Mais c’est le policier qui a été le plus grièvement blessé : alors qu’il me couvrait de son corps pour me protéger, quelqu’un dans la foule l’a lardé de coups. Je lui dois la vie.

    Comment êtes-vous parvenus à échapper à vos agresseurs ?
    Ils ont commencé à se disperser après que le voleur a réussi à se libérer de l’étreinte du policier. Nous nous sommes alors traînés jusqu’au Quick tout proche. En prenant le policier par la taille pour l’aider à marcher, j’ai senti que ses vêtements étaient complètement imbibés de sang. Moi-même, j’étais au bord du malaise. C’était horrible. Nous nous sommes écroulés devant la porte du restaurant. Il a eu le temps de me demander mon prénom. Ensuite, le vigile nous a fait entrer et les secours sont arrivés. Je serai éternellement reconnaissant à cet homme.
     
    Source Le Parisien - 10/05/11
  • Les confidences du "curé de Carla"

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    Silvano Bellomo à Triel-sur-Seine

    La nouvelle commence à faire le tour de Triel-sur-Seine (Yvelines) : le père Silvano Bellomo s’en va. A 68 ans, et après presque quatre ans passés dans la commune, ce curé d’origine italienne quittera cet été la paroisse pour rejoindre Paris, où il officiera comme vicaire à la paroisse Saint Lazare (VIIIe-IXe). A quelques semaines de son départ, le prêtre, connu pour son franc-parler et son caractère entier, se confie.

    Il dévoile son amitié avec la famille Bruni-Tedeschi et, chose rare pour un homme d’Eglise, il n’hésite pas à évoquer les difficultés « énormes » qu’il a rencontrées à Triel.

    Vous l’évoquez peu mais vous êtes proche de la famille Bruni-Tedeschi.
    SILVANO BELLOMO.
    C’est vrai. J’ai d’abord connu Valeria, la sœur de Carla, au cours d’un mariage dans la région parisienne. Puis, j’ai assuré, à sa demande, l’enterrement d’un ami de Valeria. Enfin, j’ai baptisé le fils de et de Enthoven (NDLR : philosophe et animateur de télévision). Si un nouvel enfant arrive à l’Elysée, je suis dispo!


    Vous confirmez la grossesse de Carla Bruni ?
    Je ne souhaite pas l’évoquer. Je peux juste vous dire que, depuis trois ans, elle aimerait avoir un bébé. Lors d’une visite en Inde, elle a d’ailleurs fait une prière en ce sens.

    Vous avez déjà rencontré le président ?
    Bien sûr. Au cap Nègre notamment, dans la résidence familiale de Carla, qui est devenue hypersécurisée. Là-bas, il cuisine. Il y a entre elle et lui un amour fort. Elle est dans une logique de mariage, de fidélité. Elle est fascinée par cet homme. En même temps, elle l’a apaisé.

    Il est croyant ?

    (Sourires). Il a une éducation chrétienne… mais il est sceptique.

    Comment avez-vous vécu ces années à Triel ?
    Cela a été très difficile. En arrivant, je me suis trouvé devant un nœud de tensions et de divisions entre chrétiens. Certains d’entre eux voulaient avoir une mainmise sur le fonctionnement de l’église.

    Qui sont ces personnes ?
    J’ai été confronté à un clan dur de gens puissants, aisés, une élite qui avait une vision traditionaliste de l’Eglise. Il y avait parmi eux des gens de l’Opus Dei. Je pensais pouvoir unifier, mais cela a été compliqué. Depuis, ils sont partis ailleurs.

    Vous en avez souffert ?
    Bien sûr. J’y ai laissé ma santé. J’ai fait une grosse dépression, je ne dormais plus la nuit, je ne pensais qu’à ça. On m’a menacé, traité de Satan, envoyé des lettres… C’était éreintant. Cette histoire m’a épuisé. J’ai néanmoins pu mener quelques projets avec la création d’une salle destinée à l’aumônerie, au catéchisme…

  • Bruxelles: il rend handicapé à vie le conducteur du métro - il ne fera que 4 ans de prison

    Le 27 avril 2007, trois individus avaient tabassé un conducteur de métro à Bruxelles, en Belgique, le rendant handicapé à vie et invalide à 90%.

    Un des trois auteurs condamné à une peine de huit ans de prison a obtenu une libération conditionnelle, sous surveillance d'un bracelet électronique.


    source

    Faits Divers - 10/05/11

     

  • Un 57ème soldat français tué en Afghanistan -Mort pour rien

    Ce soldat, qui faisait partie du 13e régiment du génie de Valdahon (Doubs), a été tué par l'explosion d'un engin explosif au cours d'une mission de reconnaissance.

    C'est une mine artisanale qui est à l'origine de sa mort. Un soldat français a été tué mardi dans la vallée de Tagab, dans l'est de l'Afghanistan. «Une explosion d'un engin explosif improvisé a visé les sapeurs du détachement d'ouverture d'itinéraire piégés (DOIP), qui étaient engagés dans une mission d'ouverture d'itinéraire préliminaire à une opération», a indiqué le ministre de la Défense, Gérard Longuet, dans un communiqué. Ce soldat de première classe est mort dans l'explosion. Il appartenait au 13e régiment du génie, basé à Valdahon, dans le Doubs. L'explosion n'a pas fait de blessé, selon un porte-parole de l'état-major des armées.

    Dans un communiqué, l'Élysée indique que Nicolas Sarkozy a appris «avec beaucoup d'émotion» ce décès en fin de matinée. «Le chef de l'Etat présente à sa famille et à ses proches ses plus sincères condoléances et s'associe à leur douleur», poursuit le texte.

    Il s'agit du 57e militaire français tué en Afghanistan depuis de déploiement de l'armée français dans ce pays en 2001. Le précédent décès remonte au 20 avril dernier, lorsqu'un caporal du 2e régiment d'infanterie de Marine du Mans avait été tué, lui aussi par un engin explosif. Neuf de ses camarades avaient été blessés.

    Le débat sur le retrait relancé par la mort de Ben Laden

    Ce nouveau décès d'un soldat français est le premier depuis l'annonce de la mort d'Oussama Ben Laden. L'élimination du numéro un d'al-Qaida, qui se cachait au Pakistan, avait relancé le débat sur la présence d'environ 4000 soldats français sur le sol afghan. La semaine dernière, plusieurs voix dans l'opposition s'étaient élevées pour poser la question de cet engagement. Alain Juppé lui-même n'a pas exclu un retrait avant 2014, date fixée par l'Otan : «C'est l'une des options à laquelle nous allons réfléchir», déclarait le ministre des Affaires étrangères le 4 mai.

    Cependant, dans son communiqué mardi, Nicolas Sarkozy exprimait «la détermination de la France à continuer d'œuvrer au sein de la Force Internationale d'Assistance à la Sécurité» afin de «contribuer au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan».

    Source Le Figaro - 10/05/11

  • Pamiers (Ariège): des tags haineux qui sèment le trouble...

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    Des inscriptions fascistes et racistes apparaissent sur plusieurs murs de la ville. Et ils ne sont pas sans lien avec l’agression de l’appaméen, samedi dernier.

    «Oui, nous avons parfois peur quand nous nous promenons tous seuls.» Ces aveux proviennent de jeunes hommes, d’une trentaine d’années, d’origine maghrébine. Surprenant? Pas tant que ça, au regard de la recrudescence de tags à connotation fasciste de ces derniers jours. «Nous sommes nés à Pamiers, avons grandi ici, et c’est la première fois qu’on peut lire des choses pareilles sur les murs», constatent-ils en chœur. «Ici c’est le midi, pas l’Algérie», «Vive le porc» et autres symboles néo-nazis… En rouge le plus souvent. Impossible de les manquer.

    Au Foulon, le long de la voie ferrée, vers la maison de retraite de la Bariole… Ils se multiplient à vitesse grand V, et inquiètent les jeunes maghrébins. «De la provocation… Les endroits sont bien ciblés: le plus souvent, c’est là où il y a une forte population maghrébine.» Et lorsque les tensions s’accumulent, les débordements ne sont jamais très loin. Dernier fait en date, l’agression de samedi soir, près du bar l’Alhambra. N-Dine tient à donner sa version de l’événement. «Je suis tombé sur un groupe de gens en train de taguer des murs au Foulon, avec ces inscriptions fascistes. J’ai appelé la police et me suis caché. Personne n’est venu, et en retournant sur le centre-ville, en voiture, je les ai croisés, ils étaient vers la place de la République. Je les ai interpellés, leur demandant pourquoi ils avaient fait ça. Ensuite, j’ai raconté les faits à des Marocains, qui étaient à l’Alhambra. Là, ils se sont emporté et s’en sont pris à l’un d’eux lorsque le groupe est passé près du bar.» L’homme victime de l’agression, Cyril Durand, une trentaine d’années, est militant du Front National.

     En revanche, N-Dine et ses amis s’insurgent contre l’amalgame que l’on pourrait faire facilement: «On ne le connaissait pas du tout! Ni lui, ni les autres. Nous ne savions pas qu’ils étaient de ce parti politique et de toute façon, on s’en fiche! Même si on n’adhère pas aux idées du FN, chacun est bien libre d’avoir ses opinions…».

     En revanche, des inscriptions telles que «Islam dehors» sont pour eux intolérables. «Pour nous mais aussi pour nos familles. Nous pensons aux enfants qui voient ça en sortant de chez eux le matin». Forcément, face à une telle situation, difficile de rester paisible. «On ne peut pas regarder ça comme ça, sans rien faire. Par contre, il vaudrait vraiment mieux que ce soit la police qui s’occupe de cela, sinon, ça risque de dégénérer…»

    Quant au groupe qui serait à l’origine de ces dégradations, Stéphane, qui était avec N-Dine samedi soir, les décrit comme «portant des gants en cuir, habillés en noir». Et d’après lui, ils seraient facilement identifiables puisqu’ «ils étaient juste sous la caméra de vidéoprotection, place de la République, en revenant du Foulon, et avant de passer vers l’Alhambra.»

    Source : La Dépêche

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