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Blog - Page 185

  • Syrie: des dizaines de morts après une attaque au gaz toxique

    http://www.leparisien.fr/international/syrie-une-attaque-au-gaz-toxique-fait-au-moins-58-morts-04-04-2017-6822912.php

  • "Police politique": Matthias Fekl, le ministre de l'Intérieur, dépose plainte contre des propos de Florian Philippot

    http://www.leparisien.fr/elections/presidentielle/le-ministre-de-l-interieur-depose-plainte-pour-diffamation-apres-des-propos-de-florian-philippot-sur-la-police-04-04-2017-6823545.php

  • Marion: ses divergences internes avec Marine Le Pen

    Par Emmanuel Galiero
    Mis à jour le 04/04/2017 à 12h54 | Publié le 04/04/2017 à 11h42

    VIDÉO - La députée du Vaucluse prône la suppression des régimes spéciaux de retraite, un point qui ne figure pas dans le programme du FN. «Elle n'est pas présidente du FN», rectifie sa tante.

    Si Marion Maréchal-Le Pen a régulièrement affirmé son intention de soutenir Marine Le Pen dans la campagne présidentielle, ses dernières interventions laissent planer un doute sur le climat actuel entre les deux femmes. Lundi, la députée du Vaucluse a affirmé que le Front national souhaitait «évidemment remettre en cause les régimes spéciaux» de retraite, les jugeant «extrêmement chers» et non justifiés. Invitée à réagir sur ses propos, Marine Le Pen a corrigé le tir, dès mardi sur Sud Radio et Public Sénat, en estimant au contraire que ces régimes spéciaux se justifiaient «tout à fait». La présidente du Front national en a profité pour reconnaître «clairement des différences» avec certaines positions de sa nièce, comme sur l'IVG.

    Mais, tout en en considérant que Marion Maréchal-Le Pen exprimait sa «conviction» et son «sentiment, refusant d'y voir un signe de discorde ou de «nuisance» entre elles, la candidate du FN a souhaité rappeler leur différence: «Elle n'est pas présidente du FN, donc elle se sent libre en réalité de porter ses idées à elle». «Moi je suis présidente du FN, a-t-elle ajouté, je porte donc les idées du FN, nous sommes dans une situation différente.» Concernant les régimes spéciaux, Marine Le Pen souhaite être «pragmatique» et les regarder «un par un, tranquillement, après l'élection». Elle estime, par exemple, que ceux des marins pêcheurs ou des militaires se «justifient totalement».

    «Un peu raide»

    Cette nouvelle fissure affichée entre les deux élues du FN révèle l'existence de deux courants existant au sein du parti. D'un côté, une ligne plus étatiste portée par Marine Le Pen et son vice-président Florian Philippot, de l'autre la ligne de Marion Maréchal-Le Pen, ancrée sur une approche plus libérale de la société. Mais l'émergence de ces divergences s'inscrivent dans le prolongement d'un entretien publié dans l'hebdomadaire Femme actuelle, le 27 mars. L'élue du Vaucluse avait moyennement apprécié certaines déclarations de sa tante la concernant, disant notamment qu'elle ne lui devait «rien», qu'elle n'avait pas «d'ascenseur» à renvoyer et que sa nièce était sans doute «un peu raide» sur certains sujets, comme d'autres jeunes de sa génération. Marine Le Pen avait aussi expliqué qu'elle n'envisageait pas de confier un ministère à sa nièce, ni à son compagnon Louis Aliot, compte tenu de la sensibilité actuelle de l'opinion face aux liens entre politique et sphère familiale.

    La discrétion de Marion Maréchal-Le Pen dans la campagne est parfois interprétée comme une forme de lassitude. Lundi, sur le plateau du Talk Le Figaro, écartant tout problème entre la direction du parti et la jeune députée, Louis Aliot a affirmé que tout le monde était traité à la même enseigne et rassemblé derrière Marine Le Pen. La candidate a expliqué qu'elle ne souhaitait pas que ces divergences, exprimées au grand jour, parasitent sa campagne. «Je pense que Marion est tout-à-fait consciente que nous sommes dans une campagne présidentielle et que le temps de la campagne des législatives viendra», a-t-elle dit, comme si elle considérait que les débats internes n'étaient pas les bienvenus à ce moment du combat frontiste.

    Le Figaro

  • La police russe diffuse la photo d’un suspect de type musulman

     
    Posted by La Rédaction on 3rd avril 2017
    | 11 views
     

     

    BREIZATAO – ETREBROADEL (04/04/2017) La police russe a diffusé la photographie d’un suspect suite à l’attentat à la bombe du métro de Saint-Pétersbourg. Il est de type musulman.

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  • Bruxelles menace la Pologne et la Hongrie d'être "exclues de l'UE" si elles refusent d'accueillir des clandestins musulmans

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    BREIZATAO – ETREBROADEL (04/04/2017) Bruxelles hausse le ton face aux pays refusant la submersion migratoire, Pologne et Hongrie en tête. La « Cour Européenne de Justice » devrait prochainement publier sa décision relativement au plan visant à imposer 160.000 clandestins afro-musulmans dans toute l’Europe.

    Cité par le journal britannique The Express (source), une source bruxelloise indique qu’une fois la décision annoncée, l’UE entend imposer le remplacement de population aux nations qui s’y opposent. Si elles refusent d’organiser l’invasion afro-islamique, elles pourraient être exclues de l’UE, selon The Express.

    La source diplomatique ajoute : « Ils devront faire un choix : sont-ils dans le système européen ou pas ? Vous ne pouvez pas faire du chantage, l’unité a un prix. Nous sommes confiants que la CEJ validera le plan et que la Pologne et la Hongrie devront se soumettre à la décision. S’ils ne le font pas, ils devront faire face aux conséquences, financières et politiques. Plus de possibilité de s’exonérer, il n’y a plus « un pied dedans, un pied dehors ». Nous serons très durs là dessus ».

    Les gouvernements allemand, français et italiens veulent imposer un système d’africanisation et d’islamisation systématique du continent européen via un mécanisme géré par l’UE. Un casus belli pour la Tchéquie, la Pologne, la Hongrie, la Slovaquie et l’Autriche.

  • JOURNAL TVL DU MARDI 4 MARS 2017

  • Discours capital de Viktor Orban à Malte au Congrès du PPE

    BREIZATAO – ETREBROADEL (04/04/2017) Le premier ministre hongrois Viktor Orban était à Malte pour assister au congrès du Parti Populaire Européen qui fédère les principales formations politiques de centre-droit de l’UE. Le leader hongrois, qui s’y est exprimé, a tenu à « parler franchement et ouvertement » des dangers menaçant l’Europe. En tête : l’invasion islamique.

    Viktor Orban a évoqué une série de crises qui frappent le continent, parmi lesquelles la menace migratoire, djihadiste et sécuritaire. Le premier ministre hongrois a ainsi déclaré :

    L’immigration s’est révélée être un cheval de Troie pour le terrorisme. L’immigration s’est révélée être une illusion pour les problèmes de manque de main d’œuvre. L’immigration est apparue être d’abord un business pour ONG. L’immigration a révélé que les nouveaux venus préfèrent vivre dans des sociétés parallèles plutôt que de s’intégrer dans la société majoritaire […] Le discours de gauche, politiquement correct, s’est montré incapable d’identifier les véritables dangers représentés par l’immigration.

    Il a poursuivi :

    Nous, Européens d’Europe Centrale, nous nous estimons, si les choses continuent ainsi, qu’il y aura une présence musulmane majoritaire en Europe de l’Ouest du vivant de notre génération. Je comprends que la Gauche nous mette une pression idéologique pour que l’Occident se sente coupable des croisades et du colonialisme. Mais cet intellectualisme gauchiste désarme l’Europe face à l’invasion migratoire islamique.

    Il a donné un aperçu de la politique de l’Europe Centrale face à cette menace :

    Nous, Européens d’Europe Centrale, réformons notre politique migratoire. Les frontières doivent être totalement sous contrôle. Ne croyez pas ceux qui vous disent que c’est impossible. Nous, Hongrois, protégeons les frontières de l’Union Européenne sur des centaines de kilomètres sans soutien de l’UE. Et en fait, avec les critiques de Bruxelles. Nous sommes la preuve vivante que se défendre est possible.

    Il a pointé du doigt le rôle destructeur de la « Cour Européenne des Droits de l’Homme », essentiellement d’influence néo-communiste :

    Nous devons urgemment réformé la Cour Européenne des Droits de l’Homme car ses jugements mettent en danger la sécurité du peuple européen et une invitation pour les migrants clandestins […] La Gauche a un plan très clair pour la transformation de l’Europe. Ils veulent laisser des millions de musulmans entrer. Ils veulent en finir avec l’autonomie des états. Ils veulent imposer des règles bureaucratiques sur notre marché du travail. Ils veulent augmenter les taxes et, au final, les socialistes veulent établir le socialisme en Europe. Ce serait fatal pour l’Europe. Nous perdrions notre identité chrétienne, perdrions notre compétitivité, perdrions notre espoir de plein emploi. Nous ne devrions pas avoir peur des critiques de la gauche et d’être qualifiés de populistes.

  • Poutine s'exprime après l'explosion qui a frappé le métro de Saint-Pétersbourg

    NdB: Nous adressons toutes nos condoléances et notre grande tristesse à la Russie frappée par le terrorisme ainsi qu'aux familles et proches des morts et des blessés dans cet horrible attentat.

     

  • Surréaliste! Le producteur de Canteloup "gêné" d'avoir fait rire Marine Le Pen...

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Surrealiste-le-producteur-de-Canteloup-gene-d-avoir-fait-rire-Marine-Le-Pen-44971.html

    Deux vidéos

    Quelle haine...

  • Un immense temple de la République romaine découvert en Toscane

     

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    Alix Fourcade ♦

    ARCHÉOLOGIE – Les vestiges d’un monument construit il y a plus de deux mille ans ont été mis au jour dans la cité antique de Falerii Novi, située à 50 km au nord de Rome.

    Les vestiges d’un temple romain datant de la période de la République romaine, du Ve au Ier siècle avant Jésus-Christ, ont été découverts dans l’ancienne cité de Falerii Novi, dans la province de l’actuelle Toscane, à 50 km au nord de Rome, par une équipe d’archéologues de l’université de Cambridge .

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    Enfoui à quelques mètres sous terre, le temple de Falerii se compose d’une rangée de colonnes, sur trois de ses côtés, et recouvre une surface de 120 mètres de long sur 60 de large, soit 7.200m², selon le Times. Les chercheurs ont utilisé, lors des fouilles, un radar attaché au dos d’un quad pour examiner le site.

    Un théâtre, une basilique et une grande porte défensive ont déjà été mis au jour

    Fondée après la rébellion de la tribu Falerii en 241 avant J-C., la cité, qui en a pris le nom, était habitée par environ 2.500 personnes. À l’époque, elle ne comptait pas moins de huit temples, d’après les archéologues. La première série de recherches a permis de mettre en évidence l’existence d’un théâtre, d’une basilique et d’une grande porte défensive à Falerii Novi.

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    Selon Martin Miller, professeur d’archéologie classique à Cambridge, ces découvertes constituent de véritables avancées pour les scientifiques qui peuvent ainsi appréhender de manière plus précise la planification urbaine de la ville et la richesse de ses échanges culturels importants avec la Grèce avant la période de l’Empire

    METAMAG

  • Présidentielle: le débat à onze de mardi soir

    http://www.leparisien.fr/elections/presidentielle/presidentielle-tout-ce-qu-il-faut-savoir-sur-le-debat-a-onze-de-mardi-soir-03-04-2017-6819999.php

    + vidéo

  • Saint-Pétersbourg frappé par le terrorisme: au moins 11 morts, 45 blessés

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    Par Pierre Avril
    Mis à jour le 03/04/2017 à 22h57 | Publié le 03/04/2017 à 20h38

     Le président du Comité de la défense russe a parlé d'une «guerre» après l'explosion, ce lundi, d'une bombe dans le métro.

    Correspondant à Moscou

    Six ans après les attentats sanglants de l'aéroport moscovite de Domodedovo, la Russie est à nouveau frappée par la violence terroriste. Une explosion dans le métro de Saint-Pétersbourg, ce lundi, sur une ligne très fréquentée, a fait au moins onze morts et 45 blessés, selon un bilan provisoire établi par les services antiterroristes. Selon l'agence Interfax, qui cite des sources policières, elle aurait probablement été provoquée par un kamikaze, qui se serait fait exploser au moment où le wagon se trouvait entre les deux stations centrales de Sennaïa Plochtchad et Tekhnologuitcheski Institout. Les analyses ADN devront toutefois le confirmer.

    «Le train s'est arrêté mais les portes ne se sont pas ouvertes. Par la fenêtre, j'ai vu quatre cadavres», a déclaré à l'AFP Viatcheslav Vesselov, retraité. Un autre témoin, cité par radio Écho de Moscou, Evgueni Arseniev, a décrit «un wagon tout noir et cinq à sept personnes allongées au sol, probablement mortes». Les télévisions russes se sont attardées sur l'image d'une portière du métro fortement endommagée par le souffle de l'explosion.

    «Nous avons toujours dit que les terroristes voient la Russie comme leur ennemi numéro un, et cela est arrivé en dépit de toutes les précautions»

    Franz Klinsevitch

    Une deuxième bombe non actionnée, mais trois à cinq fois plus puissante, a été découverte peu après à la station très fréquentée de Vosstania, cachée dans un extincteur. «Les circonstances ne sont pas claires, c'est trop tôt. Nous examinons toutes les causes possibles, le terrorisme aussi bien qu'un crime de droit commun», a déclaré Vladimir Poutine, présent à Saint-Pétersbourg à l'occasion d'une rencontre avec son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko. Le président du Comité de la sécurité et de la défense au Conseil de la Fédération, Franz Klinsevitch, s'est montré plus affirmatif. «Nous avons toujours dit que les terroristes voient la Russie comme leur ennemi numéro un, et cela est arrivé en dépit de toutes les précautions. Il s'agit d'une guerre avec toutes les conséquences qui en découlent», a prévenu le sénateur. La même piste est privilégiée par le comité d'enquête qui a ouvert une instruction en ce sens. L'agence Interfax croit savoir que le suspect serait un jeune homme de 23 ans originaire d'Asie centrale. Un homme barbu portant une calotte noire qui avait précédemment été désigné par plusieurs médias comme l'auteur probable de l'attentat s'est présenté spontanément à la police, qui a exclu sa participation.

    Ces derniers mois, la menace terroriste était plutôt mise en sourdine par les autorités russes, même si les forces de l'ordre annonçaient, épisodiquement, le démantèlement de cellules se préparant à l'action. Le 24 février, le groupe État islamique avait revendiqué une attaque contre une base militaire russe dans la république musulmane de Tchétchénie, appartenant à la Garde nationale. Cet assaut perpétré avec «des armes légères», selon le Centre américain des sites de surveillance djihadiste, SITE, avait fait six victimes parmi les soldats et autant chez les assaillants.

    Le mouvement des veuves noires

    Dans cette république musulmane victime de deux guerres, qui ont opposé Moscou aux séparatistes, la rébellion s'était progressivement islamisée à l'issue du premier conflit (1994-1996). Elle s'était étendue au Daguestan, faisant croître le mouvement des veuves noires, ces épouses de combattants islamistes décédés, accomplissant des attentats suicides. 84 opérations de ce type ont été comptabilisées depuis les années 2000 par le site d'informations Kavkazski Ouzel, impliquant cinquante-deux de ces femmes et causant 1300 victimes.

    À la faveur de la guerre en Syrie, la plupart des combattants du Caucase étaient partis rejoindre les rangs de l'État islamique. Fin février, Vladimir Poutine évaluait leur nombre à environ 4000, épaulés par quelque 1500 ressortissants d'Asie centrale. Après l'intervention de la Russie aux côtés des troupes de Bachar el-Assad, Daech avait menacé le pouvoir russe «de faire couler une mer de sang» à Moscou.

    En l'occurrence, c'est l'attentat perpétré le 31 octobre 2015 contre un Airbus rempli par plus de 200 touristes russes au-dessus du désert égyptien - tardivement reconnu par le Kremlin - qui a permis de mettre la menace à exécution. «L'attentat de Saint-Pétersbourg est très probablement lié à l'État islamiste dont nous observons un changement de tactique. Dans les grandes villes européennes ou à Moscou, les grands attentats ne sont plus possibles et se transforment en petites opérations impliquant deux à trois personnes», analyse Alexeï Grichin, président du Centre de la religion et de la société.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 04/04/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici

  • Florian Philippot sur CNEWS

  • JOURNAL DU LUNDI 3 AVRIL 2017

  • Invité du Grand Jury sur RTL, François Bayrou a estimé qu'il n'y avait pas «d'art français», en matière de «matière de musique, de peinture, d’architecture

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    Invité du Grand Jury sur RTL, François Bayrou a estimé qu'il n'y avait pas «d'art français», en matière de «matière de musique, de peinture, d’architecture» évoquant les propos de son candidat, Emmanuel Macron qui estimait qu'il n'y avait pas de culture française. 

    Invité du Grand Jury RTL ce dimanche 2 avril, le maire de Pau a expliqué la position de l'ancien ministre de l'Economie sur la culture. Estimant qu'il «n'existait pas d'art français» dans certains domaines comme la musique ou l'architecture, il a néanmoins regretté la formule très «maladroite» d'Emmanuel Macron qui avait estimé «qu'il n'y a pas une culture française».

     

    Le 4 février, lors d'un meeting à Lyon, Emmanuel Macron avait assuré «qu'il n'y a pas une culture française, il y a une culture en France, elle est diverse, elle est multiple». Alors que leur alliance venait d'être scellée, Français Bayrou s'était démarqué de son candidat, assurant que pour lui «il y a une culture française, avait-il déclaré lors du Grand Rendez-vous Itélé-Europe1-Les Echos. Je suis un défenseur de la culture et de la langue française». 

     

    Dimanche 2 avril, invité de RTL pour le Grand Jury, le maire de Pau a estimé que la formule était très «maladroite». «Ce qu’il a voulu dire, c’est qu’il n’y a pas UN art français en matière de musique, de peinture, d’architecture. Il n’y a pas d’art français. En matière de langue, de littérature, il y a un art français», justifie-t-il.

     

      

    «Il y a des domaines d’expression artistique dans lesquels heureusement, nous ne sommes pas enfermés dans un cadre national», a expliqué le maire de Pau. «Dès qu’on touche en revanche à la langue, la littérature, l’histoire, il y a une culture française qui mérite d’être défendue, portée. Et il y a une francophonie qui sera un des principaux atouts de la France, puisque la langue française va être une des langues les plus parlées dans le monde. C’est notre chance, il faut en avoir conscience ! La littérature française a été extraordinairement enrichie par la création littéraire des Caraïbes françaises, et pas seulement, comme Haïti. En enfermant la littérature française dans le cadre de frontières, vous voyez à quel point on la dessert». 

     

    «Ce n'est pas le candidat le plus compromis...»

     

    Est-ce pour faire oublier les nombreuses fois où Bayrou tapait sur son désormais soutien ? «Je n'ai pas dit que des choses aimables», reconnaît le maire de Pau qui estime toutefois avoir découvert «qu'Emmanuel Macron n'était pas le candidat le plus compromis dans cette campagne». Reconnaissant sa jeunesse, François Bayrou -qui écrivait pourtant dans son dernier livre préférer «l'expérience»-, a vanté l'équilibre de l'équipe de Macron. «Pour conduire un pays, il faut des équipes équilibrées : entre enthousiasme et expérience», a-t-il assuré. 

     

    Bayrou ne ferme aucune porte sur son rôle

     

    Face aux ralliements de tous bords du candidat Macron, François Bayrou a balayé les difficultés de gouverner avec «les différentes sensibilités» politiques. «Oui il y a des soutiens divers, vous ne pouvez pas être élu à la tête de la France si vous n'additionnez pas des sensibilités différentes», a expliqué le maire de Pau, éludant la question de la formation d'une majorité à l'Assemblée. «La majorité aura la majorité», a-t-il déclaré. 

     

    Interrogé plusieurs fois sur son rôle si Emmanuel Macron est élu, François Bayrou a botté en touche sans refermer aucune porte. Restera-t-il maire ? «Je serai élu municipal à Pau, sans aucun doute», a-t-il dit ajoutant plus tard qu'il «exercerait toujours les responsabilités auxquelles il pourrait être appelé si c'est l'intérêt du pays». 

    Le Parisien 02.04.17

     

     

  • Macron rencontre la famille de Shaoyao Liu ainsi qu'un homme soupçonné d'être un espion chinois

    https://francais.rt.com/france/36085-macron-rencontre-famille-shaoyao-liu-et-homme-soupconne-detre-espion-chinois

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    A gauche de Macron, John Sun

  • Lille: manifestation des agriculteurs contre l'insécurité et les agressions sur leurs terres

    http://www.fdesouche.com/838075-deulemont-lille-un-agriculteur-agresse-finit-lhopital