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Blog - Page 204

  • "La France n'a pas colonisé l'Algérie. Elle l'a fondée"

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    On l’oublie souvent mais l’identité algérienne n’existait pas avant 1830.

     
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    Ces mots ne viennent pas d’un nostalgique de l’Algérie française mais de Ferhat Abbas, ex-leader FLN et président de la République algérienne du temps du GPRA.

    On l’oublie souvent mais l’identité algérienne n’existait pas avant 1830. Jusqu’au VIIIe siècle, les populations qui y vivaient étaient d’origine phénicienne, berbère, romaine et de religion majoritairement chrétienne. Ce sont les Arabes, peuple nomade venant du Moyen-Orient, qui ont envahi toute l’Afrique du Nord et converti de force toutes ces populations. Ainsi, et après quelques siècles de domination arabo-islamique, il ne restait plus rien de l’ère punico-romaine.

    Plus tard, au XVIe siècle, en profitant du chaos répandu par les Espagnols, mais aussi en soufflant habilement sur les nombreuses divisions existant entre les différentes tribus de la région, les Ottomans en prirent le contrôle avec Alger pour capitale.

    C’est alors que se développa, pendant près de 300 ans, la piraterie barbaresque, arraisonnant tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d’esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants.

     

    Ainsi, dans l’Alger des corsaires du XVIe siècle, il y avait plus de 30.000 esclaves enchaînés.

     

    Plusieurs tentatives de destruction de ces bases furent alors entreprises. D´abord par Charles Quint, à l’action duquel succédèrent les bombardements anglais, puis ceux des Néerlandais et même ceux de la jeune nation américaine également victime de ces perfidies…

    Toutefois, seul le débarquement des troupes françaises en 1830 mit fin définitivement à trois siècles d’atrocités.

     

    Par la suite, et à l’inverse des autres puissances colonisatrices, comme les Américains avec les Indiens ou les Britanniques avec les Aborigènes ou encore les Turcs avec les Arméniens, la France ne massacra pas les peuples qu’elle venait de conquérir. Au contraire, la France soigna, grâce à ses médecins, toute la population, amenant cette dernière de moins d’un million en 1830 à dix millions en 1962. De plus, la France draina, assécha, fertilisa des sols à l’abandon depuis des siècles, transformant une agriculture moyenâgeuse en une agriculture riche, prospère et exportatrice.

    La France respecta aussi la langue arabe, l’imposant même au détriment du berbère, et respecta la religion musulmane.

    Bien entendu, la France ne faisait pas dans la philanthropie, mais cela n’enlève rien au fait qu’elle a réussi à désarmer les différentes tribus et mis en place une infrastructure durable (encore utilisée aujourd’hui), qui a été capitale pour l’État naissant de l’Algérie. Par ailleurs, le nom même du pays a été donné par la France en 1839 : jusqu´alors, il était officiellement appelée « le pays de Barbarie ».

    In fine, renier l’œuvre de la France, c’est logiquement renier l’Algérie en tant qu´État unifié et souverain.

    BV

  • Théo : très violente manifestation à Paris place de la République. Un policier sérieusement blessé (MàJ)

    http://www.fdesouche.com/823785-theo-tres-violente-manifestation-paris-place-de-la-republique-un-policier-serieusement-blesse#

    Cinq vidéos

     

  • Pays-Bas: Geert Wilders lance sa campagne et attaque la "racaille marocaine"

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    Le député néerlandais anti-islam Geert Wilders a lancé sa campagne pour les législatives du mois de mars par une attaque contre «la racaille marocaine» dont il a dit vouloir débarrasser le pays pour le «rendre au peuple néerlandais».

    «La racaille marocaine en Hollande... bien sûr, ce ne sont pas tous de la racaille, mais il y en a beaucoup, qui rendent nos rues dangereuses, principalement des jeunes... et il faut que ça change», a déclaré Geert Wilders à la presse avant un bain de foule dans la petite ville de Spijkenisse, au sud de Rotterdam.

    Geert Wilders est donné en tête par les sondages pour les élections du 15 mars au cours desquelles les Néerlandais sont appelés à renouveler le Parlement.

    «Si vous voulez récupérer votre pays, si vous voulez faire des Pays-Bas un pays pour les Néerlandais, votre pays, alors votez» pour le Parti de la Liberté (PVV), a-t-il lancé.

    Selon les derniers sondages, le PVV pourrait remporter 24 à 28 sièges, devançant ainsi de deux à quatre sièges l'actuel parti au pouvoir, le parti libéral du Premier ministre Mark Rutte. Le parlement néerlandais compte 150 sièges.

    A la question de savoir qui sont ses électeurs, le candidat nationaliste a répondu: «Chaque Néerlandais ayant du bon sens ... et heureusement, nous avons beaucoup de gens avec du bon sens». Et d'ajouter : «Les Néerlandais voulant récupérer leur pays voteront pour nous indépendamment de leur éducation ou de leur passé», a-t-il ajouté.

     

    En décembre 2016, le député, qui prône l'interdiction du Coran et la fermeture des mosquées, avait été jugé coupable par un tribunal d'incitation à la discrimination pour des déclarations à propos des Marocains vivant aux Pays-Bas. En 2014, le député avait demandé à des sympathisants s'ils voulaient «plus ou moins de Marocains» dans leur ville et aux Pays-Bas.

     

    Les prises de position de Geert Wilders contre l'islam lui ont valu plusieurs menaces de mort notamment du groupe Etat islamique et d'Al-Qaïda. Sous protection policière permanente, il est considéré comme «l'homme le mieux protégé des Pays-Bas».

    Une coalition qui s'annonce difficile

    Martin Bosma, également député du PVV et considéré comme le bras droit de Wilders, a déclaré à l'AFP que son parti en cas de victoire aux élections rechercherait des partenaires pour former une coalition. Mais il a reconnu que «ce serait très difficile» car la majorité des grands partis politiques du pays - dont le VVD du Premier ministre Mark Rutte - refusent de travailler avec le PVV depuis les déclarations de Geert Wilders à propos des Marocains et le verdict du tribunal.

    Lire aussi : Geert Wilders se présente comme un incontournable du prochain gouvernement

    RT 

  • Le maire FN de Hayange mis en examen pour des phocopieuses!

     

     
    Le maire Front National de Hayange Fabien Engelmann a indiqué samedi avoir été mis en examen mercredi dans le cadre d'une enquête sur les conditions de location de photocopieurs destinés aux écoles de la ville, mais conteste avoir commis une infraction.

    "Il m'est reproché de ne pas avoir respecté les procédures applicables pour les marchés publics, ce qui est minime", a-t-il affirmé, confirmant une information du Républicain lorrain. Deux autres chefs d'accusation ont été abandonnés, a-t-il souligné.

    "M. Engelmann a été mis en examen pour favoritisme. Il aurait acheté des photocopieuses pour un montant de 100.000 euros, soit 10 fois plus que la valeur objective", a-t-on indiqué de source proche de l'enquête. "Il n'y a pas de détournement de fonds publics, et à l'heure qu'il est, pas d'enrichissement personnel", a-t-on ajouté de même source.

    "Je ne reconnais pas les faits. Nous allons examiner le dossier avec mon avocat et nous répondrons à toutes les questions du juge d'instruction. Je ne suis pas inquiet par cette affaire", a assuré Fabien Engelmann.

    "Les faits datent du début de l'année 2015. J'étais en fonction depuis 8-9 mois et nous avons loué une dizaine de photocopieurs couleur destinés aux écoles de la ville. Un contrat sur trois ans de quelques dizaines de milliers d'euros. Il s'agissait de répondre rapidement à un besoin. Nous avons suivi ce que faisait l'équipe de mon prédécesseur socialiste, qui a lui aussi commandé des photocopieurs sans passer d'appel d'offres et n'a jamais été inquiété", a-t-il expliqué.
     
    Le Figaro
  • VIDEOS - Toulon: Les pieds-noirs ont manifesté contre Macron

    http://www.leparisien.fr/provence-alpes-cote-d-azur/videos-toulon-les-pieds-noirs-manifestent-contre-macron-18-02-2017-6691683.php

  • Florian Philippot sur LCI

  • L’islamophobie, nouveau péché capital. Par Guillaume Faye (rediff)

     

    18 février 2017 par Guillaume Faye

    L’islamophobie, une variante du ”racisme” pour l’idéologie dominante soft–totalitaire, est aujourd’hui poursuivie ; comme l’anti–nazisme pendant l’Occupation ou l’antisoviétisme dans l’ex–URSS. La même logique de soumission et de collaboration (dont la peur est le ressort) du dominé envers l’envahisseur est à l’oeuvre. L’islam est devenu intouchable, surtout pour les pouvoirs de gauche, même si ses racines sont liées à la dictature, à l’antisémitisme, à l’oppression des femmes, à l’obscurantisme ; sans oublier l’explosion de la délinquance, de la criminalité et du terrorisme, dont l’immense majorité des auteurs est d’origine musulmane. L’accusation d‘islamophobie vise à intimider et à soumettre. Au nom de la démocratie et de la liberté. Bonjour Orwell.

    Un désir masochiste d’être envahis et soumis

    Plusieurs manifestations de musulmans, soutenus par des islamo–collaborateurs, répètent ce slogan (parfaitement totalitaire) inscrit sur des banderoles : « l’islamophobie n’est pas une opinion, c’est un délit ». Le CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), officine militante d’islamisation de la France et de colonisation migratoire, poursuit en justice pour ”racisme” (!) l’historien George Bensoussan parce qu’il a déclaré que les Arabo–musulmans sont élevés dans l’antisémitisme (voir plus bas). Nous vivons ce paradoxe : l’islamophobie est condamnée alors que l’islam et les musulmans sont, partout dans le monde, les principaux acteurs de terreur, de meurtres, d’oppression et d’obscurantisme ! Et la christianophobie est parfaitement autorisée ! (L’islamophobie est même punie de mort par les musulmans eux–mêmes : voir le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo qui, pourtant, s’en prenait très rarement à l’islam mais répétitivement au christianisme)

    L’antisémitisme (ou judéophobie) n’est poursuivi que s’il provient (les cas sont rares) des milieux d ‘”extrême droite” et français de souche, mais pas des musulmans, qui bénéficient d’un privilège d’innocence. La judéophobie, comme le racisme anti–Blanc, d’origine arabe, musulmane, africaine sont très généralement ignorés et impunis par les autorités françaises objectivement collabos. Alors que, partout dans le monde, et jusqu’en France, les agressions, meurtres et persécutions contre les chrétiens sont commis au nom de l’islam. On marche sur la tête. Il s’agit de servitude volontaire. (1)

    Peu répandue, l’islamophobie mériterait-elle de l’être ? 

    Pour Pascal Bruckner, auteur d’un récent essai, Un racisme imaginaire (Grasset), l’islamophobie est une invention, qui ne correspond pas à un sentiment répandu en Occident : cette fiction servirait à neutraliser les résistances à l’ ”islamisme” et à culpabiliser, comme ”racistes” (accusation magique et paralysante) les opposants au salafisme. C’est parfaitement exact. Mais cette position est ambigüe. Car Bruckner rejette par là même l’islamophobie comme immorale, et en élimine la possibilité. Il sous-entend que ” ce n’est pas bien” d’être islamophobe ; pourquoi l’islamophobie ne serait-elle pas légitime, alors que nous sommes objectivement agressés par l’islam chez nous, son invasion, ses exactions et ses crimes ?   

    Bruckner cède à la première étape de la soumission à l’islam invasif. Les islamophobes sensés sont donc condamnés par cet intellectuel prétendu adversaire de l’ ”islamisme ”. Bruckner obéit à l’esprit munichois : surtout pas de conflit ! L’angélisme politique et l’optimisme des bons sentiment sont le psoriasis mental des intellectuels élégants, qui pensent que la cohabitation, le ”vivre ensemble” en langue de bois, sont possibles dans l’harmonie.

    L’oxymore de l’ ”islam modéré et tolérant”

    La fable de l’ ”islam modéré” (pourquoi pas le ”nazisme centriste”, le ”stalinisme libéral”, le ”catholicisme athée”, etc. ?) est diffusée par l’idéologie officielle. Les premiers à s’élever contre cette idiotie sont d’ailleurs des écrivains et intellectuels arabes lucides, femmes et hommes, très minoritaires, mais courageux face aux menaces de leurs coreligionnaires obscurantistes et fanatisés, pour lesquels les ”apostats”, coupables de trahison, sont les pires ennemis.     

    L’historien George Bensoussan (2) est poursuivi pour racisme par le CCIF – Collectif contre l’islamophobie en France, association militante objectivement alliée à l’islam radical, suivi des idiots utiles collabos habituels : la Licra, la Ligue des droits de l’homme, Sos Racisme et le Mrap (le marché de l’ ”antiracisme”). On l’attaque pour avoir déclaré que dans les familles musulmanes, l’antisémitisme était inculqué culturellement dès l’enfance, ce qui est une évidence sociologique.

    Ivan Rioufol (Le Figaro, 03/02/2017) note : « La trahison des mouvements antiracistes qui trouvent chez des magistrats l’appui pour poursuivre ceux qui dénoncent la nouvelle judéophobie, fait mesurer l’emprise de l’idéologie conquérante sur les esprits. Elle fait répéter […] que le musulman est le juif des années trente, en dépit des attentats au nom d’Allah. Une même inversion des réalités permet aux embrigadés de soutenir que l’antisionisme, qui dissimule souvent la haine du mécréant, est un antiracisme. » Il déplore la « désintégration de la nation, sous le poids du communautarisme surprotégé ». Ce qui signifie, en langage journalistique correct, que la nation est menacée par l’immigration en majorité musulmane. « La désislamisation de la France reste un objectif atteignable à la condition que l’État cesse de reculer devant une contre-société agressive ». Certes. Mais cette nécessaire ”désislamisation” ne pourra en aucun cas être pacifique…

    La pathologie islamophile

    L’idéologie dominante affirme que la France et l’Europe auraient une dette culturelle envers l’islam. La valorisation de l’islam – au prix d’énormes mensonges historiques– est proportionnelle aux dégâts qu’il cause en Europe, aux États–Unis et dans le monde et à son indigence intellectuelle et culturelle.

    Témoigne de cette pathologie mentale le livre collectif Histoire mondiale de la France, dirigé par Patrick Boucheron  (Le Seuil). C’est un bréviaire de l’ethno – masochisme, de la repentance et de la haine de soi, qui raconte que la France et l’Europe auraient depuis le haut Moyen–Âge une part brillante de leur identité due à l’islam. Alors que ce dernier a toujours été l’adversaire le plus acharné et le plus destructeur.

    Dans la revue identitaire belge Renaissance européenne (N°110, premier trimestre 2017), on apprend que le bulletin de la paroisse universitaire de Louvain–la–Neuve se félicite que la communauté musulmane inaugure une nouvelle mosquée. Vive l’invasion ! Le bulletin catholique parle de « nos frères et sœurs musulmans » et appelle à s’ouvrir à « la face lumineuse de l’islam ». Les chrétiens d’Orient persécutés, spoliés, massacrés apprécieront ce masochisme pathologique, angélique et délirant des autorités catholiques européennes. Ces malheureux savent, pour l’avoir vécu et le vivre, que l’islam n’est pas lumineux mais obscur et sanguinaire. Il brûle les églises, égorge les prêtres, et produit fort peu d’œuvres culturelles. Détruire et non pas construire, c’est la logique intrinsèque de l’islam et de ses racines anthropologiques.

    Paradoxe : plus l’islam tue, plus on réprime l’islamophobie

    Les médias, la classe politique, en Europe et en Amérique du Nord, sont très souvent, par bêtise, naïveté et culpabilisation, victimes de la propagande des idéologues islamiques. Même la hiérarchie catholique tombe dans le panneau. Voici les trois arguments mensongers intimidants : 1) critiquer l’islam et faire remarquer que tous les attentats terroristes ont été commis par des musulmans au nom de l’islam est une ”stigmatisation” des musulmans, donc relève du péché capital de racisme. 2) Il ne s’agit pas de terrorisme musulman mais de ”terrorisme” tout court, non imputable à l’islam. 3) L’islam est une religion de paix et d’amour et la critiquer est, là encore, du racisme. Ces sophismes favorisent discrètement la terreur islamique, ainsi que l’immigration invasive. L’antiracisme ? La principale source de racisme (anti–Blanc) et d’antisémitisme en France, parfaitement tolérée, provient des immigrés musulmans. Les idéologues musulmans ont pour stratégie (depuis le VIIIe siècle) de se présenter en victimes alors qu’ils sont des agresseurs. Les premiers persécutés dans le monde sont les chrétiens (par les musulmans) ; les seconds sont les musulmans (par leurs coreligionnaires). Dans les deux cas, l’islam est un facteur de mort, de guerre, de destruction.       

    L’islamophobie est poursuivie à mesure que l’islam s’impose comme la principale source de terreur, de crimes, d’obscurantisme dans le monde. Paradoxe démentiel. L’islamophobie est même punie de la peine de mort, comme on l’a vu avec le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo, après un meurtre semblable en Europe du Nord, voici quelques années ; actuellement, en Europe, nombre d’ ”islamophobes”, souvent journalistes, sont sous le coup d’une fatwa (appel au meurtre) et sous protection de la police. (3)

    L’ ”islamophobie” de Trump choque, malgré sa modération 

    La mesure minimaliste de Donald Trump, prise par décret fin janvier 2017, annulant (provisoirement et timidement) des visas de séjour aux Etats-Unis pour sept pays musulmans hébergeant des terroristes (bien en dessous de ses promesses d’interdire toute immigration musulmane, ce qui serait pourtant indispensable), a provoqué au Congrès et dans le monde, un vague de réprobation démesurée, auxquels se sont joints les immigrationnistes, la chancelière Merkel et son subordonné français Hollande.

    Le décret de Trump, qui a d’ailleurs été annulé par les juges, preuve de leur dictature contre le peuple, est assimilé à un crime islamophobe. Hollande a sermonné que « l’accueil des réfugiés est un fondement des démocraties », alors que c’est l’inverse, cet ”accueil” invasif imposé étant parfaitement antidémocratique puisque refusé massivement par les peuples européens autochtones et les Américains. Pour l’idéologie dominante devenue folle, bannir les immigrants musulmans est un péché – et la lutte antiterroriste ne saurait y servir de prétexte, même si 100% des terroristes sont musulmans.

    Les démocrates du Congrès ont accusé Donald Trump de discriminer les musulmans. Et le chef du groupe démocrate au Sénat, Charles Schumer, a déclaré que « les larmes coulaient sur les joues de la statue de la Liberté ». Elles ne coulent pas quand des migrants musulmans installés aux USA massacrent régulièrement des citoyens américains ? Décidemment, il faudrait que la couronne posée sur la tête de la statue de la Liberté à l’entrée du port de New–York soit remplacée par un voile islamique, ce serait important pour ne pas offenser l’islam, non ?   

    Le vice–premier ministre turc, Numan Kurtulmus, a intimé au président Trump, avec une sereine impudence, de revenir sur son décret, motivé selon lui par «  l’islamophobie, les sentiments anti–immigration et la xénophobie croissante de l’Occident ». Les musulmans revendiquent donc le droit de nous envahir. Deux poids deux mesures : l’Europe, les États–Unis, le Canada sont sommés d’accueillir les ”migrants” de Syrie et d’ailleurs, mais les riches monarchies arabes absolutistes, pas plus que d’autres pays musulmans n’en accueillent un seul. Cherchez l’erreur.

    L’ ”islamophobie” assimilée aux persécutions antijuives

    Les idéologues musulmans et leurs collaborateurs de gauche comparent les persécutions antijuives entre 1940 et 1945 et la prétendue ”islamophobie” qui règnerait en France et en Europe, notamment à la suite de l’interdiction (théorique, limitée, et peu suivie d’effets) des tenues vestimentaires imposées aux femmes, tchador intégral et ”burkini”.

    Cette comparaison est d’autant plus insultante pour les Juifs qu’ils sont la cible d’un antisémitisme musulman meurtrier depuis les crimes de Merah et de Coulibaly. Les abominables ”identitaires” ou le FN, ni les très supposés dangereux et subversifs cathos intégristes ne sont impliqués dans cet antisémitisme meurtrier. Dans de récentes déclarations, Vincent Peillon, Jean–Christophe Cambadélis (le patron du PS, le plus bête de la bande), Jean–Luc Mélenchon, Edwy Plenel, Tarik Ramadan ont défendu l’idée, avec l’aide des médias américains démocrates, que les musulmans sont persécutés en France et victimes de ”racisme” comme les Juifs du temps de Vichy. Alors qu’ils sont privilégiés ! Contrôler, arrêter ou condamner un voyou arabe ou africain qui vient de commettre un délit équivaudrait aux rafles antijuives de la Seconde guerre mondiale.

    Qu’on puisse, en France, être poursuivi pour ”islamophobie”, mais non pas pour ”christianophobie”, est un signe suicidaire de démission et de soumission face à l’islam.

    (1) Le christianisme est, aujourd’hui, dans le monde, la religion et l’appartenance la plus persécutée et poursuivie. Hors Chine et Corée du Nord, l’islam en est la principale cause. Les atteintes contre les lieux de culte chrétiens en France entre 2008 et 2016, (églises, cimetières, etc.) ont augmenté de 245%. En 2016, pour la première fois dans l’histoire, un prêtre (le Père Hamel) a été égorgé par des musulmans pendant sa messe. Mais, bien sûr, le grand péril, c’est l’islamophobie, n’est-ce pas ?

    (2) Une France soumise, est le dernier essai de Georges Bensoussan, ( Albin Michel, 2017)

    (3) Les poursuites judiciaires contre l’hebdo de droite Valeurs actuelles (le seul en progression de ventes par rapport à ses concurrents, ce qui inquiète l’oligarchie) simplement pour avoir dénoncé une islamisation et une invasion migratoire, prouvent que les médias résistants sont assaillis par une justice politisée et partiale. État de droit ?

  • 2017 : le centenaire des abominations en Europe

      

      Auran Derien, universitaire ♦

    En cette année 2017, deux événements auront un siècle: la révolution bolchévique et l’entrée en guerre des États-Unis.

    En 1917 le monde européen a commencé son mouvement de bascule de la civilisation vers l’abîme. Les néantologues qui tiennent le haut du pavé vont certainement fêter ces anniversaires. La question du XXIème siècle reste celle qui fut posée dans l’après-guerre de 1914: Comment les empêcher  de nuire? Nous savons qu’il n’y a presque plus de peuples pour réagir en Europe. Heureusement, l’humanité européenne est s’étendue. Comme toujours d’autres Aurores, mais pour d’autres peuples, vont luire.

    Les bolchéviques réintroduiront l’inquisition, la chasse aux figures culturelles, la destruction des livres, le trafic d’œuvres d’art, la libération des bas-fonds emprisonnés. Ils s’inspiraient de leur corréligionnaire Frank, affirmant  que la nouvelle société se construit à travers la destruction du présent. La police secrète démarra (la cheka), le mensonge devint permanent et systématique, le vocabulaire de la haine réligieuse réapparut, les normes morales d’une civilisation furent détruites.

    Les bolchévique appliquèrent des mesures qui ont été généralisées aujourd’hui. Lénine imposa la destruction des Universités qui devaient recevoir les personnes cherchant un diplôme plutôt que des connaissances. Les attentats pullulèrent pour démarrer la terreur contre les indigènes. Seule la richesse devait entrer dans les poches de la haute finance mondialiste pour transiter vers les USA notamment, en remerciement des financements qui avaient permis la révolution. Cet aspect n’a pas changé : derrière les haineux,  les escrocs qui s’emparent du pouvoir au nom du bien tout en organisant le génocide des autochtones, il convient de retracer les circuits de l’argent. Dans le cas bolchévique, on trouve une banque suédoise, Nya Banken, contrôlée par  Aschberg, une banque estonienne (Harju Bank), et la liste des banquiers de Wall Street, notamment Schiff et Warburg.

    La structure de pouvoir établie en Russie bolchévique  est exactement celle qui fut imposée à l’Europe dans le cadre de Maastricht et Lisbonne :

    – Le Parlement de l’Union Européenne est un organisme croupion, très accessoire, sans pouvoir législatif, exactement comme le Parlement bolchévique qui n’eut jamais la moindre autorité.

    – Le Conseil Européen, le gouvernement en quelque sorte, dépend des propositions faites par la Commission pour décider. Le Conseil des ministres de l’URSS fut lui aussi dans l’incapacité de prendre quelque décision que ce soit sans les directives du Politburo.

    – La Commission de l’Union Européenne détient le pouvoir réel et peut prendre des décisions à partir du moment où sont présents quasimment la majorité des membres. Les délibérations ne sont pas publiques, les comptes rendus demeurent secrets. L’organe suprême du Parti communiste de l’URSS, le Politburo, centralisait le pouvoir réel et ses délibérations restaient secrètes.

    – Enfin, le Président de la Commission, depuis la fondation de l’Union Européenne le 1er novembre 1993, a reçu le pouvoir exhorbitant d’aprouver les candidats au poste de Commissaires, dénomination qui pue la crasse obscurantiste et criminelle des commissaires politiques de la tyrannie bolchévique. Justement, le Secrétaire Général du Politburo disposait de ce pouvoir totalitaire.

    De plus, les liens entre mafias prospèrent au sein du monde politique européen puisque le tout économique essaie d’éliminer toute autre préoccupation. Enfin, depuis la révolution française, tout homme de qualité connaît les horreurs commises par les sectes maçonniques dans l’extension de la barbarie. Même si une tyrannie  s’exerce sur l’Europe et interdit d’en parler, on sait que la situation a empiré depuis le XVIIIème siècle en proportion de l’emprise des internationales financières. Ces dernières exterminent l’humanité européenne autrefois développée et civilisée pour convertir le continent en poubelle.

    L’entrée en guerre des USA

    En octobre 2016, des sionistes  de Russie et d’autres pays de l’Est promirent aux Anglais de faire entrer l’Amérique en guerre contre l’Allemagne en échange de la Palestine où ils instaureraient un État-consistoire, un État-ghetto peuplé uniquement de juifs. Ainsi l’Amérique entra en guerre le 6 Avril 1917.

    Ainsi, l’internationale financière payait d’une part les bolchéviques et d’autre part les tueurs américains, sans oublier leur rôle dans les refus d’offre de paix qui pourtant se succédèrent à partir de 1916.

    En cette année 2017, le soviet suprême de la finance ( G20, Davos, etc.) va certainement fêter à sa manière ces deux dates fondamentales .

    Elles expriment la double morale (le mensonge  vis-à-vis des autres et un code de conduite différent de celui en usage dans la secte).

    Elles expliquent pourquoi les escrocs ont du succès et éclairent l’extension de leurs méthodes à tous les domaines de la vie, de sorte que Orwell a pu parler de novlangue.

    Cent ans d’inhumanité : une belle performance et toujours la même question : comment les empêcher de nuire ?

  • Donald Trump dénonce les médias du système, les qualifie « d’ennemis du peuple »

     
    Posted by La Rédaction on 18th février 2017
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    BREIZATAO – ETREBROADEL (18/02/2017) Donald Trump continue son offensive contre les médias du système. Après sa conférence explosive donnée à la Maison Blanche avant hier où il a humilié les nombreux journalistes présents, le Président Trump a encore fait monter la pression d’un cran contre les grands médias américains, massivement acquis à la gauche et aux grandes multinationales.

    Dans un message paru sur Twitter, le président américain écrit :

    Les médias à fausses nouvelles (Le New York Times en faillite, NBC News, ABC, CBS, CNN) ne sont pas mes ennemis, ce sont les ennemis du Peuple Américain !

     

     

    Ce propos rejoint celui du principal conseiller politique du Président Trump, Steve Bannon, qui a récemment qualifié les médias du système de principal « parti d’opposition ».

    Cette confrontation grandissante entre la Maison Blanche et les grands médias US ne doit rien au hasard : Donald Trump entend bien mener la révolte populaire contre l’establishment et les intérêts que défendent ses journalistes.

    Cette approche, qui consiste à attaquer des médias largement discrédités dans l’opinion, est inédite.

    Dans l’Hexagone, le climat n’est pas différent. Les deux tiers des Français estiment que les journalistes sont les pions d’intérêts politiques et financiers.

    Europe 1 (source) :

    Ce désaveu, il tient aussi à la manière de percevoir celles et ceux qui transmettent l’information. 67% des Français estiment que les journalistes sont soumis aux pressions politiques. Ils sont 58% à penser qu’ils ne résistent pas aux pressions financières. Le constat est sans appel : pour une large majorité des Français, les médias ne sont pas indépendants. Et mécaniquement, ça décrédibilise leur propos.

    L’approche de Trump consiste à proclamer que le « roi est nu » : les médias dominants ne sont plus en mesure de façonner l’opinion selon l’attente de leurs propriétaires. Et le président américain en a pleinement conscience.

    Couronnement du spectacle, quand un journaliste juif a demandé à Trump s’il était raciste ou « antisémite », le président lui a simplement dit : « Asseyez-vous ! ».


    En savoir plus sur http://breizatao.com/2017/02/18/donald-trump-denonce-les-medias-du-systeme-les-qualifie-dennemis-du-peuple/#eLk0sskLSApsvAQF.99
  • La Hongrie ferme ses camps de migrants pour éloigner les renards du poulailler…

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    18/02/2017 – HONGRIE (NOVOpress)
    La Hongrie a donc bien confirmé son intention de fermer tous ses camps de migrants et de transférer leurs occupants dans deux ou trois nouveaux emplacements à la frontière Sud du pays. L’idée est d’y retenir les immigrants illégaux le temps que leur demande d’asile soit étudiée.

    Ils sont actuellement près de 600 en Hongrie à attendre le traitement de leur dossier.

    Le Premier ministre Viktor Orban a défendu cette décision en expliquant :

    Les renards sont librement accueillis dans le poulailler, et personne ne peut empêcher les renards de gagner à tous les coups.

    Il a en revanche offert d’ouvrir son pays aux vrais réfugiés, ceux qui cherchent refuge sous la contrainte des politiques libérales de l’Europe occidentale, journalistes ou politiciens effrayés, chrétiens qui ont dû fuir leur propre pays et tous ceux qui veulent trouver en Hongrie l’Europe qu’ils ont perdue chez eux.

  • Le soutien du Syndicat de la magistrature aux manifestations anti-police est un danger pour la République !

     

     

    En plein état d’urgence, il est à mon sens tout à fait irresponsable de laisser s’organiser une manifestation contre la police et de prétendues violences policières. Que le gouvernement ne prenne aucune disposition pourrait à la limite ne pas surprendre. Ce gouvernement est en effet resté sans réaction pendant des années devant des racailles qui font leur loi dans certains quartiers et n’hésitent pas à déchaîner leur violence dès qu’une manifestation leur en donne l’occasion, ce gouvernement a toujours laissé les milices d’extrême gauche s’allier à ces mêmes pilleurs et casseurs sans jamais les mettre en cause et les dissoudre, ce gouvernement se précipite au chevet des très rares victimes de violences policières sans même attendre que la lumière et la justice soient faites. Ce gouvernement donc ne nous surprendra pas en laissant s’organiser des manifestations potentiellement dangereuses.
    En réalité, à travers cette complaisance irresponsable, il cherche à appeler une paix sociale, de même que nombre d’élus LR ou PS le font à coup de subventions dans certaines villes. C’est une pratique désormais très répandue, elle sert à faire croire aux Français que la situation est sous contrôle, alors même que la gangrène du communautarisme, la haine de la France et la volonté d’en découdre prospèrent de manière parfaitement inquiétante dans notre pays, laissant déjà pointer le risque d’une véritable guerre civile.

    Mais il est parfaitement scandaleux d’apprendre dans le même temps que le Syndicat de la magistrature apporte son soutien à ces manifestations anti-police ! Ce syndicat, qui s’illustre à chaque occasion par un laxisme inouï, qui donne des leçons de morale à la terre entière en permanence, vient signifier aujourd’hui, par cet appel à manifester, qu’il méprise totalement les forces de l’ordre. Faut-il rappeler que les magistrats, pour faire leur travail, ont besoin d’une police forte et efficace ? Faut-il leur rappeler que cette même police, de même que la gendarmerie, a aujourd’hui besoin de tout sauf d’être mise en accusation permanente ? Ce syndicat comprend-il le message terrible qu’il envoie à ces jeunes casseurs et à toute cette population en guerre contre l’autorité républicaine ?

    C’est à côté d’autres organisations coupables que le Syndicat de la magistrature préfère se ranger. Aux côtés du Cran, de SOS racisme, de la ligue des droits de l’homme, et d’autres associations encore, toutes grassement subventionnées alors qu’elles ne représentent personne, le Syndicat de la magistrature se décrédibilise encore une fois de manière honteuse. Il révèle son vrai visage : celui d’une organisation en réalité parfaitement mal à l’aise avec la notion d’Etat de droit, avec l’autorité républicaine, et en réalité avec l’idée de Justice elle-même.

    On comprend mieux à travers de tels agissements, pourquoi dans de nombreux cas les décisions judiciaires concernant les délinquants sont pour le moins laxistes, et pourquoi tant de policiers et gendarmes sont si souvent découragés de voir ceux qu’ils arrêtent immédiatement bénéficier de la clémence incompréhensible des juges.

    Le Syndicat de la magistrature ferait mieux de soutenir les policiers et gendarmes dans leurs tâches de plus en plus difficiles, plutôt que de s’associer aux attaques perfides lancées contre la police et de devenir un danger pour la République !

    Nous savons qu’il faut en France plus de juges, qu’il faut donner plus de moyens à la Justice. Mais il faut aussi demander aux magistrats de s’abstenir de lancer de tels messages politiques dévastateurs. C’est pourquoi j’ai mis dans mon projet présidentiel mon souhait de revoir la formation des magistrats, et d’en finir véritablement avec la culture du laxisme. Comme dans le reste des domaines qui relèvent de l’action présidentielle, en matière de Justice, je compte bien aussi remettre de l’ordre.

    Marine Le Pen  (Carnets d'espérances)

  • La Belgique va libérer 57 islamistes ayant prêté allégeance à Daech !

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    18/02/2017 – BELGIQUE (NOVOpress) : C’est le quotidien belge La Dernière Heure qui le révèle ce matin : 57 islamistes fichés comme tels, dont certains ont prêté allégeance à l’Etat islamique (Daech) durant leur séjour en prison, sont sur le point d’être libérés !

    « Au moins neuf doivent à coup sûr retrouver l’air libre cette année parce qu’ils ont purgé leur peine, mais si l’on tient compte des libérations anticipées légales – au tiers de la peine ou aux deux tiers pour les récidivistes –, on arrive à une liste de 57 personnes. »

    Pire encore : parmi ceux-ci figure « quelques noms bien connus comme Fouad Belkacem » (photo), la figure de proue de Shariah4Belgium, « qui a envoyé une centaine de combattants en Syrie » ! Ou encore « Soufiane Alilou, une figure du réseau qui entourait Abdelhamid Abaaoud, responsable des attentats de Paris » : lui devrait sortir le 5 avril prochain.

    La Dernière Heure cite encore un certain nombre de noms, comme celui de Mohammed Azzedine Keraï, « membre des Kamikaze Riders, dont plusieurs membres sont partis en Syrie, et soupçonné, mais sans qu’on puisse le prouver, d’avoir planifié des attentats en Belgique pour la nuit du Nouvel An 2015 ». Lui est assuré d’être libéré au plus tard… le 25 décembre prochain. Joyeux Noël !

    Le quotidien Le Soir précise qu’il ressort par ailleurs de la liste « que plus d’un tiers des détenus en question sont emprisonnés pour d’autres faits (abus, homicides…) et ont prêté allégeance derrière les barreaux ».

    Mais, pas de panique, la situation est sous contrôle. C’est le ministre belge de la Justice, Koen Geens, qui le dit : « La base de données centrale des prisons est liée à la base de données de la police fédérale. De cette manière, les détenus peuvent être mieux suivis. » On est pleinement rassurés.

  • Danemark. Le Parlement vote pour que les Danois ne soient pas minoritaires dans leurs propres villes

     il y a 1 minute

     

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    18/02/2017 – 04H30 Copenhague (Breizh-info.com) – Le Folketing (Assemblée du peuple), le Parlement du Danemark, a adopté une résolution la semaine dernière stipulant que les Danois ne devaient pas vivre en minorité dans des quartiers où le taux d’immigrés ou de descendants d’immigrés non-occidentaux dépassaient les 50%. C’est le journal Express qui l’évoque.

    La décision du Parlement est intervenu après que des chiffres de recensement aient démontré que les immigrés extra européens sont maintenant majoritaires dans les communes de Brøndby Strand et d’Odense.

    La résolution parlementaire est ainsi libellée: «Le Parlement constate avec préoccupation qu’il existe aujourd’hui des régions au Danemark, où la proportion d’immigrants et de descendants de pays non occidentaux est supérieure à 50%. Le Parlement note avec préoccupation qu’aujourd’hui il y a des zones au Danemark, où la proportion d’immigrés et de descendants d’immigrés de pays non occidentaux est de plus de 50 pour cent. Le Parlement estime que les Danois ne devraient pas être minoritaires dans des quartiers au Danemark.

     

    Le gouvernement et le parlement ont mis en œuvre un certain nombre de mesures visant à limiter l’asile de manière significative, empêchant l’apparition de sociétés parallèles. Le Parlement demande au gouvernement de procéder à un objectif politique de réduire le nombre des demandeurs d’asile et réduire le nombre de personne pouvant profiter du regroupement familial au Danemark. »

    La résolution a été adoptée par 55 voix pour la proposition contre 54 voix contre, la gauche et l’extrême gauche n’étant pas – comme dans de nombreux pays d’Europe – choquées de voir les Danois devenir minoritaires dans leurs propres villes.

    21 000 migrants sont arrivés au Danemark en 2015, un chiffre considérable pour un pays qui ne compte que 5 millions d’habitants.

    Crédit Photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2017 Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

    NdB: Cette mesure est à double tranchant car elle vient beaucoup trop tard. Le mal est fait.  On ne peut pas obliger de libres citoyens danois à aller vivre parmi des étrangers musulmans. De plus, il y a une question de taux de natalité...

  • «J’ai hérité d’un foutoir !» : Donald Trump dénonce le bilan catastrophique de Barack Obama!

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    Revenant en conférence de presse sur son premier mois à la Maison Blanche, marqué par des mesures fortes mais aussi par plusieurs défections, le président américain s’en est pris, avec son franc parler habituel, au bilan de son prédécesseur.

    «Notre administration a hérité de nombreux problèmes, au niveau du gouvernement et de l’économie. Pour être honnête, j’ai hérité d’un foutoir. C’est un foutoir. Chez nous et à l’extérieur. Un foutoir !» a lancé Donald Trump en conférence de presse à la Maison Blanche le 16 février 2017.

    Dans la foulée de son attaque contre Barack Obama, le nouveau président des Etats-Unis a poursuivi : «Les emplois s’enfuient du pays, vous voyez ce qu’il se passe avec toutes les entreprises quittant notre pays, vers le Mexique ou d’autres endroits. Des faibles revenus, des faibles salaires, une instabilité massive à l’étranger, peu importe où vous regardez. Le Moyen-Orient : un désastre. La Corée du Nord : nous nous en occuperons, les gars.»

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  • VIDEO - Tremblay-en-France: le restaurateur écope d'une amende 5000 euros dont la moitié avec sursis


    Tremblay : 5 000 € d'amende requis contre le... par leparisien

  • Donald Trump défend les premières semaines de son administration et critique à nouveau la presse

     

     

    Le président américain Donald Trump a annoncé, jeudi 16 février, avoir désigné Alexander Acosta pour occuper le poste de secrétaire au travail, le premier Hispanique de son gouvernement.

    Mais cette annonce qui intervient au lendemain du retrait de son précédent candidat, Andrew Puzder, a été éclipsée par la violente diatribe du président contre les médias d’information traditionnels qu’il accuse d’être « le parti de l’opposition » et de propager de « fausses informations ».

    A plusieurs reprises, le président a interrompu les journalistes, lui posant des questions, avant de critiquer CNN, le New York Times ou la BBC.

     

    Donald Trump a assuré que « beaucoup de journalistes de [son] pays ne vous diront pas la vérité ». « La presse est devenue si malhonnête que, si nous n’en parlons pas, cela dessert énormément le peuple américain. » « Le niveau de malhonnêteté [des médias] est hors de contrôle », a déclaré le président républicain.
    « La plupart des médias à Washington, New York et Los Angeles ne parlent pas pour le peuple mais pour les intérêts particuliers et pour ceux qui profitent d’un système cassé de manière très, très évidente », a lancé Donald Trump qui a concentré une grande partie de ses attaques contre la chaîne CNN, l’une de ces cibles favorites.

     
    Le 17 février 2017 par Le Monde
  • JOURNAL TVL DU 17.02.17

  • Non à l’opération Macron

       

     

    Macron

    Tout est fait, c’est désormais parfaitement clair, pour préparer un second tour dont le vainqueur serait presque obligatoirement le candidat issu de l’écurie Hollande, le chouchou des médias, l’homme au programme vide, Macron. Certes quelques naïfs droitiers et centristes, éternels continuateurs de ceux que Beau de Loménie appelait les « grands habiles » misent à nouveau sur cette écurie et son poulain pour promouvoir ce qu’ils appellent les « réformes » sans jamais que soit précisé de quelles dispositions législatives il s’agirait.

    Interrogeons-nous d’abord sur l’environnement institutionnel qu’utilise la manœuvre.

    Tout est véhiculé bien sûr via les gros moyens de la désinformation, eux-mêmes fabriqués par une corporation qui veut nous faire croire qu’elle est objective, qui se veut intouchable, mais qui vote à gauche à plus de 85%.

    Précisons au besoin que la Cour des comptes quand elle ouvre les dossiers de France-Télévision, c’est-à-dire du cœur de ce quatrième pouvoir dépendant de l’exécutif en tire des conclusions effarantes. Les gens qui prétendent incarner la « morale » ne se l’appliquent certainement pas à eux-mêmes. (1)

    N’est-il pas pittoresque de s’interroger quant à une autre partie du pouvoir d’État, l’autorité judiciaire, et donc de se souvenir comment a été constitué le parquet national financier. Celui-ci a été créé par Christiane Taubira en 2014. Garde des sceaux celle-ci y a placé ses amis. Le procureur de ce parquet, Éliane Houlette, était commissaire du gouvernement auprès du Conseil des ventes volontaires. Elle doit sa brillante promotion à la ministre, laquelle a également constitué une équipe de procureurs adjoints et vice-procureurs parmi ses très proches … Rappelons aussi à ce sujet qu’en France, le parquet, et particulièrement le parquet national financier, n’est pas indépendant du pouvoir exécutif.

    Les derniers soubresauts médiatiques de la campagne électorale n’ont donc, eux aussi, à cet égard, pas manqué de produire leurs effets sondagiers. Pour la première fois en effet un des deux plus récents sondages, celui commandé par Les Échos et Radio Classique à la société Elabe, plaçait, dès le 1er février, le candidat Macron favori de l’élection présidentielle où il arriverait second au premier tour. (2)

    Rien n’étant plus mouvant et plus incertain, en fait, qu’un sondage d’opinion, on ne disputera pas ici de la qualité respective des deux. On se contentera de noter que celui d’Elabe, institut présidé par Bernard Sananès, popularisé par Radio Classique et les Échos entre parfaitement dans le dispositif, réel et non virtuel de ce qu’il faut bien appeler l’opération Macron.

     

    Ce à quoi vise ce mécanisme est vieux comme la cinquième république. Mais, depuis un demi-siècle, le projet n’avait jamais abouti au résultat désiré par ses promoteurs. Depuis le complot de l’Alma puis du cartel des Non de 1962 jusqu’aux premières illusions de la campagne Hollande de 2012, la grande idée de tous ces intervenants a, bel et bien, toujours été de tendre à un retour de la IVe république par une coalition socialo-centriste. Mais comme le pâté d’alouette cet assemblage inégal composera un cheval social démocrate et une alouette centriste voire droitière. Ne nous laissons pas prendre à cette candidature qui ne repose sur aucune doctrine, qui se refuse à développer, pardon à « dévoiler » un programme et qui laisse entendre qu’il acceptera généreusement les voix de la « droite orléaniste » (sic) en passant par « l’écologie réaliste » et le gaullisme social. Il prend cependant bien soin, quand il révèle, chichement, certains points de sa doctrine, globalement secrète, de ménager les pires poncifs du socialisme, tels que l’État stratège ou le modèle social, etc.

    Il faut donc dire clairement non à cette opération Macron.

    > Jean-Gilles Malliarakis anime le blog L’Insolent.

    Notes :
    1. Cf. Les Échos du 24 octobre « France Télévisions : les perles du rapport de la Cour des comptes ».
    2. réalisé au même moment un sondage IFOP ne le place certes qu’en troisième position. Mais, depuis plusieurs jours, les commentateurs agréés raisonnent tous sur la base du sondage Elabe sans tenir compte de l’étude IFOP.

    NDF