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Le 24 août 2016 à Jackson (Mississippi), Nigel Farage était présent lors d’un meeting de Donald Trump afin de soutenir le candidat républicain. L’occasion pour le Britannique d’évoquer la campagne politico-médiatique anti-Brexit et de faire le parallèle avec les élections américaines.
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C’était au cours de la 8e croisade (sa seconde). Il espérait convertir le sultan de Tunis au christianisme et le dresser contre le sultan d’Égypte. Les Croisés s’emparèrent facilement de Carthage mais l’armée fut victime d’une épidémie. Louis IX mourut le 25 août sous les remparts de Tunis, de dysenterie vraisemblablement (de peste selon certains). Son corps fut étendu sur un lit de cendres en signe d’humilité, et les bras en croix à l’image du Christ.
Sacre de Saint Louis
Considéré comme un saint de son vivant, Louis IX fit l’objet d’une vénération dès sa mort. Des miracles étaient réputés avoir lieu sur le passage de sa dépouille et un service d’ordre dut être mis en place près de son tombeau pour canaliser la foule de ceux qui venaient implorer son intercession.
Le XIIIe siècle reste dans l’histoire comme le « siècle d’or de Saint Louis ». La France, centre des arts et de la vie intellectuelle, y atteint son apogée aussi bien économiquement que politiquement, mais aussi quant au degré de perfection de sa civilisation, dont nous sommes à présent loin…
Saint Louis commandait la plus grande armée et dirigeait le plus grand royaume d’Europe. Sa réputation de sainteté et de justice était déjà bien établie de son vivant et on le choisissait régulièrement comme arbitre pour régler les querelles entre grands d’Europe. Le roi était considéré comme le primus inter pares (le premier parmi ses pairs).
Saint Louis est généralement considéré comme le modèle du prince chrétien.
Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Anouar Kbibech, a exprimé ce mercredi sa « profonde émotion et inquiétude » au ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve alors qu’enfle la polémique née des arrêtés anti-burkini adoptés dans certaines communes du littoral méditerranéen.
« Nous avons besoin de tolérance et d’apaisement »
« Dans ce contexte post-attentats, aujourd’hui plus que jamais nous avons besoin de tolérance et d’apaisement, loin de toute stigmatisation », a fait valoir le président du CFCM, s’exprimant face à la presse à la sortie de cette entrevue.
De son côté, Bernard Cazeneuve a mis en garde contre le risque de stigmatisation. « Les arrêtés pris ne doivent pas conduire à la stigmatisation ou la division », a déclaré le ministre de l’Intérieur. « La laïcité n’est pas un principe d’hostilité aux religions, c’est un principe qui conduit l’Etat à se tenir à distance, dans la plus grande neutralité, des questions religieuses, pour permettre à chacun de faire le choix de son culte et de le vivre librement », a poursuivi Bernard Cazeneuve.
Les deux hommes se sont entretenus en milieu d’après-midi place Beauvau, après qu’Anouar Kbibech a demandé à être reçu en « urgence » par le ministre, pour évoquer avec lui le dossier lié au burkini.
« Stigmatisation des musulmans de France »
Dans un communiqué diffusé en début d’après-midi, le CFCM disait « s’inquièter de la tournure prise par le débat public » autour du burkini. « Devant la peur grandissante de la stigmatisation des musulmans de France », l’organisation sollicite une « audience d’urgence » avec Bernard Cazeneuve, pouvait-on y lire.
« Il y a quelques jours, une femme a été verbalisée sur la plage de Cannes alors qu’elle portait un simple foulard en accompagnant juste ses enfants », soulignait encore le président du CFCM dans ce communiqué. Cette mère de famille de 34 ans, qui a par ailleurs été invectivée par des passants au moment de son contrôle selon un témoin, a annoncé mardi vouloir contester le PV qui lui a été dressé.
« Aujourd’hui même, nous découvrons des images de policiers obligeant une femme sur la plage de Nice à ôter une tunique alors qu’elle ne porte même pas un burkini, provoquant ainsi l’émoi de toutes les composantes de la communauté nationale », avait ajouté Anouar Kbibech.
Les Pays-Bas pourraient devenir le premier Etat membre de l’UE à suivre la Grande-Bretagne. Geert Wilders, le président du Parti de la liberté, a annoncé la préparation d'un référendum similaire à celui de l'Angleterre sur la sortie de l’Union. Le travail est déjà lancé, a-t-il fait savoir au journal russe Izvestia.
Le chef de la troisième formation au parlement néerlandais a réitéré ses propos sur la nécessité de quitter l'Union européenne. Aux dires de Geert Wilders, de plus en plus de Néerlandais se sentent abandonnés par Bruxelles, qui n'agit qu'en fonction des intérêts des technocrates bruxellois sans tenir compte de la volonté des simples Européens.
Le président du "Vlaams Belang" et député belge flamand Tom van Grieken indique que les idées de M. Wilders sont pour la plupart partagées par la population des Pays-Bas. La preuve en est le résultat du référendum sur l'association Ukraine-UE qui a eu lieu en avril dernier. La majorité de la population (61 %) des Pays-Bas avaient voté alors contre l'association UE-Ukraine. Mais, l'objet principal de ce référendum,selon Tom van Grieken, "c'était la question de savoir si les Néerlandais voulaient ou non quitter l'UE. Eh bien, la majorité a dit OUI au Nexit".
Les Pays-Bas bénéficieraient économiquement d'un Nexit. C'est ce qu'a démontré un sondage indépendant effectué il y a deux ans! Les Néerlandais éprouvent, entre autres, de la sympathie envers la campagne du Brexit. Il n'est donc pas étonnant qu'ils envisagent désormais d'organiser un référendum à la britannique, ajoute M. van Grieken.
"En outre, le référendum sur l'association Ukraine-UE a créé un précédent. Je suis persuadé qu'il est bien possible qu'on organise aux Pays-Bas un référendum sur la sortie de l'UE. Leur législation ne le permet pas pour le moment, à ce que je sache, mais s'ils réussissaient à la modifier, ils auraient le feu vert".
Un monstre expansionniste, c'est ainsi que Geert Wilders appelle l'UE qui ne représente plus selon lui une union démocratique. Le dictat de l'UE empêche de saines relations avec les partenaires historiques des membres de l'Union. C'est le cas des Pays-Bas qui, obligés de suivre la politique hostile de Bruxelles vis-à-vis de la Russie, y perd.
"Bruxelles ne doit pas nous dicter avec qui avoir des relations économiques et politiques, estime Geert Wilders. La restauration des liens avec la Russie est une direction prioritaire pour un pays commercial comme les Pays-Bas". Selon le leader du Parti de la liberté néerlandais, durant des siècles et malgré des conflits, la Hollande et la Russie ont profité d'unecoopération mutuelle. Aujourd'hui, la levée des sanctions est une condition nécessaire pour notre avenir prospère, souligne-t-il.
L'eurodéputé FN Jean-Luc Schauffhauser explique que la France est confrontée au même genre de problèmes. « Il est certain qu'actuellement on peut constater que l'euroscepticisme ne fait que croître dans des pays comme les Pays-Bas, évidemment, mais aussi en France. A un moment donné, comme l'Europe actuellement n'arrive pas à se réformer de l'intérieur, nous allons vers des majorités eurosceptiques dans de nombreux pays, y compris aux Pays-Bas. Marine Le Pen dit la même chose pour la France ».
"Aujourd'hui, beaucoup de pays sont contre ces sanctions (les sanctions antirusses). Mais le consensus mou — je ne parle même pas de la culture du compromis, là je parle du consensus mou — fait que même si on y est opposé, on ne veut pas marquer son opposition de manière offensive par rapport à un certain nombre d'autres pays", regrette le responsable politique.
Il ne reste que la solution proposée par G. Wilders. L'objectif de son Parti de la liberté est d'organiser un référendum sur le Nexit le plus vite possible, avant les législatives de mars 2017.
LE SCAN POLITIQUE - L'ancien président du FN envisage de donner son label à des candidats dans plusieurs centaines de circonscriptions pour le scrutin de juin 2017.
Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national, exclu du parti que préside sa fille Marine Le Pen, envisage de soutenir des candidats sous son propre nom lors des élections législatives de 2017. Invité de LCI jeudi matin, le député au Parlement européen pourrait en profiter pour faire cette annonce.
«Plusieurs centaines de circonscriptions sont envisagées», murmure-t-on dans l'entourage du fondateur du FN, qui aurait pris cette décision au cours des dix derniers jours pour se donner le temps de préparer une opération politique très lourde. Au-delà de la présidentielle, Jean-Marie Le Pen, qui conteste son exclusion du FN et réclame sa réintégration au nom du rassemblement, souhaite se donner les moyens de consolider un courant qu'il a organisé sous le titre «Jeanne, au secours!» et dont il veut assurer la pérennité.
Des coordinations prenant la forme d'investitures communes seraient également prévues avec d'autres partis d'extrême droite, comme le Parti de la France présidé par Carl Lang. Jusqu'à présent, Jean-Marie Le Pen a toujours nié toute intention de dissidence vis-à-vis du FN, en affirmant au contraire l'urgence du rassemblement. Mais l'autre objectif de cette initiative est probablement de rallier certains militants du parti qui se sentent désavoués ou qui ont été écartés par Marine Le Pen, présidente du Front national.
Nicolas Sarkozy a annoncé sa candidature à la primaire de la droite lundi dans un livre à paraître mercredi, “Tout pour la France”. Il y explique ses principaux thèmes de campagne et plus particulièrement celui de la lutte contre le terrorisme. L’ancien chef d’Etat souhaite adapter l’Etat de droit et propose la mise en place d’une cour de sûreté à l’image de celle créée par le général de Gaulle pendant la guerre d’Algérie. Il veut notamment enfermer de manière préventive les individus fichés S.