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Blog - Page 291

  • Maroc : l’administration Obama joue-t-elle la carte salafiste pour les législatives ?

    http://www.fdesouche.com/757215-maroc-ladministration-obama-joue-t-elle-la-carte-salafiste-pour-les-legislatives

  • L'incendie de Rognac/Vitrolles est d'"origine humaine"

     Mis à jour

    • Publié
    L'incendie de Rognac qui a parcouru le 10 août quelque 2500 hectares de garrigue et atteint plusieurs communes au nord de Marseille, est "d'origine humaine", a déclaré aujourd'hui le colonel Benoît Ferrand, commandant du groupement de gendarmerie des Bouches-du-Rhône.

    "Il s'est avéré que cet incendie est d'origine humaine et non pas météorologique ou électrique, et qu'il est dû à une malveillance voire une négligence", a affirmé le colonel Ferrand, lors d'un point presse à Marseille. "Nous avons donc des pistes (...) et nous procédons à des investigations complémentaires et des vérifications", a-t-il dit. Une enquête pour établir la nature du départ du feu à Rognac a été confiée aux gendarmes de la section de recherches des Bouches-du-Rhône. Un groupe d'enquêteurs spécialisés associant gendarmes, sapeur-pompiers, membres de l'Office national des forêts, techniciens en identification criminelle et un groupe cynophile, a été constitué.

    "Nous sommes au début de cette enquête qui sera longue", a souligné le colonel Ferrand. L'officier a insisté sur la nécessité de "bien sensibiliser les personnes sinistrées qui sont dans le désarroi et leur signifier l'intérêt de porter plainte". Une lettre-plainte type est disponible dans les commissariats et gendarmeries des communes sinistrées, notamment Rognac d'où est parti le feu, Vitrolles et les Pennes-Mirabeau, mais aussi Aix-en-Provence et Marseille. Un homme avait été interpellé et placé en garde à vue le 10 août à proximité d'un départ de feu à Vitrolles, mais a été libéré et aucune poursuite n'a été engagée à son encontre.
     
    LE FIGARO

  • Nice interdit à son tour le burkini sur ses plages

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    Au tour de Nice. La mairie de la ville azuréenne a interdit le burkini sur les plages de la ville, en prenant un arrêté contre le port de cette tenue de bain, a-t-elle confirmé ce vendredi.



    Ces costumes de bain enveloppants sont extrêmement rares sur les plages françaises, noyés parmi les bikinis et maillots une pièce. Sur la côte méditerranéenne, une minorité de femmes musulmanes restent voilées et couvertes sur la plage.

     

    La polémique était née après l'annulation par la mairie d'une « journée burkini », événement privé organisé dans une piscine des Bouches-du-Rhône, pour permettre aux musulmanes de se baigner en burkini. 
     

    Les arrêtés se multiplient


    Dans les Alpes-Maritimes, avant Nice, 10 communes ont déjà pris un arrêté anti-burkini, parmi lesquelles Menton, Cannes, Villeneuve-Loubet, Saint-Laurent-du-Var, Beaulieu-sur-Mer, Saint-Jean-Cap-Ferrat. Trois femmes ont été verbalisées le week-end dernier à Cannes et ont dû payer une amende de 38 euros.

     

     

    Dans le Var, cinq communes ont pris un arrêté similaire, a-t-on appris auprès de la préfecture: Le Lavandou, Cavalaire-sur-mer, Cogolin et Sainte-Maxime et Fréjus.

      

    Les politiques taclent le burkini


    Dans une lettre adressée à Manuel Valls mardi, Christian Estrosi, premier adjoint à la mairie LR de Nice, estime que « la dissimulation intégrale du visage ou le port d'une tenue intégrale pour aller à la plage ne correspond pas à notre idéal de la relation sociale ». Christian Estrosi avait exprimé son soutien aux maires ayant adopté un arrêté municipal prohibant ce vêtement de bain, tout en jugeant qu'« il revient à l'Etat de lutter contre le communautarisme ».



    Mardi encore, le sénateur-maire FN de Fréjus, David Rachline, affirmait : « Il n'y a pas de burkini à Fréjus et s'il y en avait, je prendrais les dispositions qui s'imposent pour l'interdire ». Vendredi, il a expliqué avoir « par deux fois, jeudi, reçu des signalements par des Fréjusiens et par la police municipale, de quelques cas de burkinis ».



    Selon le Premier ministre Manuel Valls, l'apparition récente des burkinis est « la traduction d'un projet politique, de contre-société, fondé notamment sur l'asservissement de la femme ». Le port du burkini « n'est pas compatible avec les valeurs de la France et de la République », a-t-il asséné dans un entretien au journal régional La Provence mercredi.

      leparisien.fr

  • Attentat de Nice: un homme succombe à ses blessures, la 86e victime

    >Faits divers|19 août 2016, 18h04 | MAJ : 19 août 2016, 19h06|11

       

    Le bilan des personnes décédées lors de l'attentat de Nice le 14 juillet s'alourdit. La secrétaire d'Etat chargée de l'aide aux victimes Juliette Méadel, a annoncé vendredi dans un communiqué qu'un homme blessé est mort jeudi 18 août des suites de ses blessures.

     

    Juliette Méadel «a appris avec une vive émotion le décès d'un homme blessé lors de l'attentat de Nice survenu le 14 juillet sur la promenade des Anglais».

     

    Le secrétariat d'Etat à l'Aide aux victimes mobilisé

     

    «Ce décès porte à 86 le nombre de personnes tuées. Le secrétariat d'Etat à l'Aide aux victimes est mobilisé pour accompagner sa femme et ses deux enfants face à cette épreuve, comme pour l'ensemble des proches des victimes», a-t-elle ajouté.

     

    Quatre-vingt-six personnes ont été tuées et plus de 400 blessées lorsqu'un djihadiste a lancé son camion dans la foule sur la promenade des Anglais, le soir du 14 juillet à Nice. L'attentat a été revendiqué par Daech.

    Le Parisien

  • JOURNAL TV Libertés DU 19 AOÜT 2016

  • Excision: décès en Sierra Leone et en Guinée

     

     Une adolescente est décédée en Sierra Leone lors d'une excision pendant une cérémonie d'initiation à une société secrète, a-t-on appris, hier, de sources concordantes, tandis qu'en Guinée une fillette de 10 ans est également morte de cette pratique.

    Ces deux pays voisins font partie des dix au monde, tous africains, où l'excision est la plus courante, avoisinant 90 % des femmes en Sierra Leone et 96 % en Guinée, mais cette pratique a fortement reculé pendant l'épidémie d'Ebola qui les a touchés jusqu'en 2016.

    Le 14 août, une fillette de 10 ans a péri à la suite d'une excision à Makpozou, en Guinée forestière (sud), a annoncé dans un communiqué la ministre guinéenne de l'Action sociale, de la Promotion Féminine et de l'Enfance, Sanaba Kaba.

    Le drame s'est produit «dans un camp d'excision de jeunes filles», alors même que le gouvernement a lancé le 5 août une «vaste campagne d'éducation de sensibilisation et d'information auprès des communautés dénommée Vacances scolaires sans excision», a souligné la ministre.

    En Sierra Leone, une lycéenne, Fatmata Turay, est décédée d'une excision subie pendant une initiation à une société secrète dite Bondo dans le village de Mabolleh, dans le nord du pays, a annoncé la police.
     
    LE FIGARO - 19/08/2016
     
     
     
     

  • Communiqué de presse d’Eléonore BEZ, Conseiller Régional Front National PACA

     Apologie du terrorisme et burqa sur les plages du Prado
    La terreur islamiste cela suffit ! ...

    Après la « burkini party » aux Pennes Mirabeau, la provocation du burkini sur la plage de Sisco en Corse, c’est une affaire de baignade en burqa qui a touché Marseille.
    Plage de l’Huveaune, dans les quartiers sud de la ville, deux mineures se baignent entièrement voilées. Interpellées par la police, leur mère « s’agace de la situation » si violemment que les CRS sont intervenus.
    La mère de ces deux jeunes filles en burqa a été arrêtée pour « outrages, menaces et apologie du terrorisme ».
    Apologie du terrorisme : voilà ce qui se cache derrière ces provocations désormais quotidiennes ! L’islamisme veut faire vivre chaque jour les Français, les Marseillais et les forces de l’ordre dans la terreur.
    Cette affaire serait passée inaperçue du fait du silence assourdissant des responsables politiques marseillais :
    M. Yves Moraine, maire des 6ème et 8ème arrondissements de Marseille où s’est produit l’incident : aucune réaction.
    Mme Valérie Boyer députée et maire des 11ème et 12ème arrondissements, qui après avoir hurlé au burkini aux Pennes Mirabeau, commune de gauche : aucune réaction.
    M. Jean-Claude Gaudin, Sénateur-Maire de Marseille, qui a déclaré dans l’affaire de la « burkini party » :« J'ai toujours été opposé à quelque manifestation de communautarisme (alors qu’il a très largement soutenu le projet de grande mosquée cathédrale à Marseille) : aucune réaction !
    Aucun arrêté d’interdiction du burkini et de la burqa sur les plages de sa ville !
    Oui, chut car Marseille, c’est la capitale du « Vivrensemble », c’est plus belle la vie... Quel mépris de cette classe politique envers les Marseillaises et Marseillais qui subissent depuis des années les racailles et désormais le communautarisme islamiste qui s’exhibe chaque jour un peu plus dans toutes nos rues !
    Le peuple historique de Marseille, les Marseillaises et les Marseillais en ont assez d’être pris en otage par le clientélisme électoraliste et le communautarisme islamiste qui les narguent et gangrènent Marseille !
    Seul le Front National et sa présidente, Marine Le Pen dénoncent et luttent quotidiennement et sans concessions contre l’angélisme électoraliste d’une classe politique soumise et contre le communautariste islamiste pour que Marseille, la France et les Français préservent leur identité.

    Eléonore BEZ (Facebook)

     

  • Rue réservée aux colons : des soldats israéliens jettent le vélo d’une petite Palestinienne (VIDEO)

     

     

    Une scène d’humiliation a eu lieu dans la ville d'Hébron, en Cisjordanie, lorsque deux militaires israéliens armés ont fait fuir une fillette palestinienne de huit ans qui aurait roulé avec son vélo sur une route réservée aux colons.

    Dans la vidéo, diffusée sur YouTube par l’organisation israélienne de défense des droits de l’homme B’Tselem, on voit l’un des officiers, armé, faire fuir la fillette de huit ans en pleurs. Un autre arrive ensuite, se saisit du vélo et le jette dans un buisson aux alentours.

     

    La scène s’est déroulée le 25 juillet 2016 dans la ville d'Hébron, en Cisjordanie.

    Selon l’ONG, la petite fille, Anwar Burqan, avait «roulé sur la route pavée [de al-Ibrahimi], qui est réservée aux colons» israéliens. Les Palestiniens doivent, eux, emprunter un autre chemin de terre, depuis que les forces de sécurité israélienne ont séparé les deux voies par une clôture, en septembre 2012.

     

    Malgré des protestations internationales, Israël continue régulièrement de construire de nouvelles colonies, illégales au regard de l’ONU, sur des territoires que l’Etat hébreu occupe depuis la guerre de 1967.

    Aujourd'hui, plus de 500 000 colons israéliens sont implantés en Cisjordanie et à Jérusalem-Est.

    RT

    NdB: Regardez la vidéo en plein écran: on voit très bien le petit vélo de la fillette

     
  • Merkel réfute tout lien entre terrorisme et immigration (Màj)

    http://www.fdesouche.com/756743-merkel-refute-tout-lien-entre-terrorisme-et-immigration

    1608181434540099.jpg merkel.jpg

  • Russie : tollé après l’appel d’un mufti à « exciser toutes les femmes » (Màj)

    http://www.fdesouche.com/756905-russie-tolle-apres-lappel-dun-mufti-a-exciser-toutes-les-femmes

    VIDEO

     

  • Islamiste indemnisé : l'incroyable erreur en faveur de Farouk Ben Abbes

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    >Faits divers|Eric Pelletier|18 août 2016, 14h00 | MAJ : 18 août 2016, 20h25|119

    Brienne-le-Château (Aube), le 26 juin. Indemnisé par l'Etat pour une détention provisoire injustifiée, l'islamiste radical Farouk Ben Abbes a perçu 15.000 euros de plus que la somme prévue par la Commission nationale des réparations des détentions.

    (PhotoPQR/ « Est Eclair »/Jérôme Bruley.)
     
     
    Eric Pelletier
     
    Faits diversFarouk Ben AbbesIslamisteFabien ClainDétention ProvisoireToulouse
     

    L’administration a versé par erreur un trop perçu de 15 000 euros à cet islamiste assigné à résidence en compensation d’une détention provisoire non justifiée.

    L’islamiste radical Farouk Ben Abbes, aujourd’hui assigné à résidence à Toulouse en raison de sa dangerosité supposée, a été très - trop ? - généreusement dédommagé par l’Etat d’une détention provisoire injustifiée. Selon des sources concordantes, en mars dernier, son compte a été crédité d’une somme bien supérieure à celle octroyée par la Commission nationale des réparations des détentions. L’erreur en sa faveur étant de près de… 15 000 euros.

     

    Le 3 mars 2014, un premier arrêt de la Cour d’appel de Paris reconnaît un « préjudice moral » à hauteur de 6 000 euros en réparation des trois mois qu’il a passés derrière les barreaux avant de bénéficier d’un non-lieu dans un dossier terroriste. Les magistrats indemnisent également le « préjudice matériel » correspondant à ses frais d’avocats. A cette date, la somme qui lui est dûe avoisine les 20 000 euros.

     

    Le ministère de la Justice dépose immédiatement un recours devant la Cour de cassation, la plus haute juridiction française en matière pénale. Dans une décision du 13 janvier 2015, cette dernière coupe la poire en deux, reconnaissant le préjudice moral de Farouk Ben Abbes mais rejetant son préjudice matériel. Soit pour l’Etat, une facture finale de 6 000 euros, hors frais de procédure.

     

     

    Mais pour une raison encore inexpliquée, l’organisme de paiement du ministère de la Justice prend en compte la première décision, très favorable à Ben Abbes, et non la décision ultime de la Cour de cassation. Selon nos informations, il verse ainsi sur le compte de l’ex détenu, 21 650 euros et quelques centimes (les indemnités de retard de paiement ont fait grossir la facture). Selon une source judiciaire, le bénéficiaire n’a pas signalé ce dysfonctionnement à l’administration. Contactée, la chancellerie indique qu’elle « expertise les raisons de cette erreur et travaille sur les modalités de recouvrement. » Farouk Ben Abbes devrait se voir réclamer prochainement ce trop-perçu.

    LE PARISIEN

  • L’État islamique répond au pape François : « Nous faisons une guerre de religion et nous vous haïssons »

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    23h43

    L’État islamique a répondu publiquement aux déclarations du pape François selon lesquelles la guerre menée par les terroristes islamiques n’est pas religieuse de nature. L’article assure le pontife que leur seule et unique motivation est religieuse et approuvée par Allah dans le Coran.

     

    À la une du dernier numéro de Dabiq – le magazine de propagande officielle de l’État islamique –, le groupe terroriste critique notamment la naïveté du pape François qui se cramponne à la conviction que les musulmans veulent la paix et la coexistence pacifique et que les actes de terreur islamique sont motivés par des raisons économiques. Dans l’article intitulé « By the Sword » (« Par l’épée »), les auteurs déclarent catégoriquement : « Ceci est une guerre divinement cautionnée entre la nation musulmane et les nations infidèles ». [...]

    « Tuez les mécréants partout où vous les trouverez »

    L’article déplore qu’en dépit de la nature clairement religieuse de leurs attaques, « beaucoup de gens dans les “pays des croisés” (pays occidentaux) » expriment un choc et même un dégoût parce que la direction de l’État islamique « utilise la religion pour justifier la violence … En effet, le djihad – la diffusion de la règle d’Allah par l’épée – est une obligation que l’on trouve dans le Coran, la parole de notre Seigneur », rappelle le magazine. « Verser le sang des incroyants est une obligation commune. Le commandement est très clair : tuez les mécréants, comme Allah l’a dit, “tuez les mécréants partout où vous les trouverez”. » [...]

    Le fait est que « même si vous (les pays occidentaux) arrêtiez de nous bombarder, de nous jeter en prison, de nous torturer, de nous humilier et de vous emparer de nos terres, nous continuerions de vous haïr, parce que le motif premier de notre haine ne disparaîtra pas tant que vous n’aurez pas embrassé l’islam. Même si vous deviez payer le jizyah [impôt pour les infidèles] et vivre sous l’autorité de l’islam dans l’humiliation, nous continuerions à vous haïr ». [...]

    Source

  • Sisco: « ces Maghrébins voulaient privatiser la plage »!

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    « Pour des raisons encore indéterminées, des Corses s’en sont pris à deux familles marocaines. » C’est ainsi que BFM TV présentait les violences survenues samedi aux abords des plages du village de Sisco, en Haute-Corse. Comme à l’accoutumée, les médias se sont emparés de l’affaire, donnant la parole aux associations subventionnées pour cracher leur haine de la France, notamment l’officine de lobbying islamiste appelée CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), grassement financée par le milliardaire américain George Soros. Marwan Muhammad, son « directeur exécutif », a été invité sur tous les plateaux, dénonçant « l’islamophobie » des affreux fachos corses, lesquels devraient être considérés comme une « communauté » en France et sur leur île… Bref, les bobards médiatiques se sont succédés pour que les Français ne connaissent pas la vérité.

    Que s’est-il réellement passé à Sisco, samedi dernier ? Selon Nicolas Bessone, procureur de la République à Bastia, l’origine des incidents incombe « à l’évidence » à des « membres d’une famille maghrébine », ayant voulu, « dans une logique de caïdat, s’approprier la plage et la privatiser ». Le procureur est allé plus loin, expliquant que ces Maghrébins avaient « multiplié des incidents avec un certain nombre de personnes : jets de pierre à proximité d’autres personnes pour les intimider, tensions très fortes, insultes, menaces ». Parlons clairement : des islamo-racailles ont foutu la pagaille sur fond de revendications communautaires. Ils ont privatisé la plage comme ils entendent un jour privatiser le pays ; ou, plus précisément, le conquérir.

    Visage raffiné du conquérant, Marwan Muhammad utilise pourtant la même rhétorique que ses coreligionnaires violents qui ont sévi à Sisco : victimisation, lutte contre un arbitraire supposé… De la même façon, le Comité français du culte musulman a osé dire que le « burkini » (terme de novlangue pour désigner une burka de baignade) n’était pas un vêtement islamiste, témoignage d’un prosélytisme étranger incompatible avec nos mœurs. Peut-être parce que le Conseil français du culte musulman, créé par Nicolas Sarkozy, est aussi infiltré par les Frères musulmans que le Collectif contre l’islamophobie en France ?

    Les Corses ont été salis par tous les médias qui les ont dépeints en monstres alors qu’ils se sont contentés de protéger un village, et trois de ses jeunes habitants sauvagement agressés par des personnes plus âgées équipées d’armes blanches qui n’ont normalement pas leur place sur les plages. Des femmes voilées, accompagnées de proches – à l’évidence des voyous -, ont voulu s’approprier une crique, terrorisant les badauds et les touristes. Comment peut-on supporter cela ? La réaction villageoise n’a pas été inadaptée, contrairement à ce qu’affirme le procureur qui cherche à faire bonne mesure. Bien au contraire, elle était légitime, proportionnée et rafraîchissante.

    Si la France est un pays liberticide, où les musulmans ne se sentent pas à l’aise, ils sont toujours libres de quitter l’Hexagone pour rejoindre des contrées plus tolérantes, comme l’Arabie saoudite ou l’État islamique. Qu’ils sachent une chose : les Français veulent rester maîtres chez eux et ne toléreront pas longtemps ces provocations haineuses, sectaires et violentes.

    Gabriel Robin – Boulevard Voltaire

    Les deux habitants de Sisco, placés en garde à vue, ont été remis en liberté. Les trois protagonistes maghrébins de cette affaire seront jugée en comparution immédiate le jeudi 18 août 2016.(NDLR)

  • Terrorisme: l'inquiétnt retour des djihadiistes "français"

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    Alors que Daech recule dans ses fiefs, Paris cherche comment faire face au retour des Français partis combattre dans ses rangs.

    Jamais la lutte contre Daech n'aura autant mobilisé les dirigeants français. Depuis quelques mois, dans le secret de l'Elysée, les Conseils de défense et de sécurité se succèdent à un rythme soutenu. Ce mercredi matin encore, autour de François Hollande, les ministres de haut rang (Défense, Intérieur), les chefs militaires et les responsables des services de renseignement vont s'échanger les toutes dernières informations sur l'étendue de la menace et les opérations en cours. Mais, alors que le groupe Etat islamique recule depuis des mois en Syrie et en Irak, une question en particulier taraude les responsables politiques et sécuritaires : que faire des djihadistes français qui tenteront de revenir dans l'Hexagone lorsque Daech perdra tous ses territoires ? « C'est un sujet que nous essayons d'anticiper, admet le chef de l'Etat en privé. La coalition anti-EI se donne entre six mois et un an avant de remporter la bataille sur le terrain. Nous devons nous projeter dans l'après. » Le défi est de taille.

     

    Car, selon les derniers chiffres, la France reste le pays européen le plus touché par le phénomène djihadiste avec 680 adultes, français ou résidant en France, présents actuellement en Syrie et en Irak et 420 mineurs. Certains combattants opèrent dans la région de Mossoul. Mais la plupart des Français de l'EI se trouvent actuellement dans le nord de la Syrie, en particulier autour de Raqqa, la capitale du « califat » autoproclamé.

       

    «Des gens relevant de la psychiatrie»

     

    Bien sûr, les derniers attentats de Nice et de Saint-Etienne-du-Rouvray ont montré que des individus radicalisés pouvaient tuer sans avoir besoin de bouger de chez eux. Mais les autorités françaises craignent également une réédition de l'attaque du Bataclan et des terrasses parisiennes de novembre 2015 (130 morts) par des militants revenus du front.

     

    « Il ne faudra pas perdre de vue que, parmi les futurs vétérans, il y aura des terroristes très aguerris, mais aussi des gens relevant d'ores et déjà de la psychiatrie et dont nous ne savons pas ce qu'ils vont devenir », expliquait récemment Patrick Calvar, le directeur général de la sécurité intérieure, devant la commission de la Défense nationale de l'Assemblée.

     

    Après des années passées sur le terrain, certains djihadistes sont devenus de véritables machines à tuer. « Ils connaissent les filières pour se procurer des armes », ajoute une source militaire. D'autres sont devenus des experts en matière d'explosifs qu'ils peuvent parfois fabriquer en utilisant des produits de consommation courante (comme les engrais agricoles).

     

    Sans le crier sur les toits, Paris a demandé à tous ses alliés de la coalition de lui fournir des informations sur ses ressortissants présents en Irak et en Syrie afin de les recouper avec ses propres données. Des frappes aériennes ont déjà eu lieu pour « neutraliser » (c'est-à-dire tuer) des combattants français. Mais, au sommet de l'Etat, on reconnaît que cela ne suffira pas et qu'il faudra trouver des solutions plus globales pour contrôler le flux des retours.

     

    EN SAVOIR PLUS
    > Daech recule sur tous les fronts
    > Quel sort pour les enfants du djihad ?
    > Djihadistes français, terroristes aguerris

     

     Des mesures de détection étoffées... mais pas infaillibles

     

    La France ne pourra gérer seule le retour de « ses » djihadistes. Le renforcement de la sécurité passe par celui de l'espace de libre circulation Schengen. Le Parlement européen, d'abord réticent, a finalement accepté en avril l'idée d'un PNR (Passenger Name Record, ou fichier des noms de passagers). A terme, les données de réservation des compagnies aériennes seront accessibles aux policiers. Mais la plupart des djihadistes éviteront les vols réguliers. Certains tenteront de se mêler aux migrants, comme ce fut le cas à Leros (Grèce), à l'automne dernier, pour certains des kamikazes des attentats du 13 Novembre. Une équipe d'Europol doit justement se rendre en Grèce à la fin du mois pour tenter d'améliorer la détection.

     

    «Vrais faux» passeports

     

    L'efficacité du contrôle passe par la consultation systématique du fichier des passeports volés d'Interpol. Daech a en effet mis la main sur de nombreux documents, ce qui a permis à l'organisation d'établir de « vrais faux » papiers. Quant au SIS, le système d'information Schengen, la base de données des personnes recherchées au niveau européen, il affiche une puissance impressionnante avec 1,2 million de personnes recensées. « Mais l'une des limites du système actuel, c'est qu'il n'intègre pas les données biométriques (NDLR : telles que les empreintes) », selon Jean-Jacques Colombi, chef de la division des relations internationales à la police judiciaire entendu par la commission d'enquête sur les moyens de l'Etat face au terrorisme. De ce fait, une personne contrôlée sous une fausse identité ne peut pas être formellement identifiée aux frontières. Au total, 203 Français ou étrangers résidant en France seraient rentrés de la zone irako-syrienne.

     

    Ceux qui sont identifiés sont systématiquement placés en garde à vue et interrogés. 322 procédures judiciaires sont en cours, ce qui a conduit à 293 mises en examen, pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. « Presque tous ceux qui rentrent sont incarcérés », souligne un magistrat spécialisé. En plus de ces poursuites judiciaires, la loi de juin 2016 permet au ministère de l'Intérieur d'assigner à résidence toute personne que l'on soupçonne d'avoir rejoint « un théâtre d'opérations de groupements terroristes ». Les spécialistes en sont conscients : la détection des « returnees » (« ceux qui reviennent ») sera longue et fastidieuse. Et son succès impossible à garantir à 100 %.

     

    Eric Pelletier (avec Timothée Boutry)

    LE  PARISIEN

  • Une université d’été pour les jeunes patriotes : derniers moments pour s’inscrire

     

     

    La formation est essentielle pour comprendre le monde qui nous entoure. Et il est difficile et périlleux de se la procurer soi-même.

    Or, le mouvement Renouveau français (une organisation politique sérieuse, avec d’excellentes idées) propose sa traditionnelle Université d’été (où règnent moralité et bonne ambiance), qui pourra légitimement intéresser certains de nos jeunes lecteurs (ou des lecteurs connaissant des jeunes) :

     

    « Le programme sera riche et des personnalités qualifiées interviendront (auteurs, conférenciers, etc., tels que Marion Sigaut, Thibaut de Chassey…).  »

    Une bonne occasion de franchir le cap du virtuel, de rencontrer d’autres jeunes partageant les mêmes aspirations, et de profiter d’une formation politique et historique de qualité !

    Détails en cliquant ici.