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Blog - Page 419

  • Allemagne : Comment combattre « Mein Kampf » ?


    Faut-il combattre "Mein Kampf" ? par france24

     

    17h11

    Depuis le 1er janvier, « Mein Kampf » d’Adolf Hitler est tombé dans le domaine public. En France, les éditions Fayard préparent une réédition commentée par des historiens. En Allemagne, dans les jours qui viennent, une édition critique de près de 2.000 pages sera publiée à Munich. Mais ces projets, au nom de l’Histoire, nourrissent des inquiétudes et des polémiques.

  • Cologne : agressions sexuelles massives par des groupes de migrants le soir du réveillon (MàJ : A Hambourg et Stuttgart aussi)

    http://www.fdesouche.com/686875-cologne-serie-dagr

    + VIDEOS, TWEETS

    Tellement prévisible...

  • Ajaccio – les Corses ont montré la voie [tribune libre de Gilles Naudet]

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    04/01/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Retour sur les événements qui se sont déroulés durant la trêve des confiseurs en Corse. Au delà des faits abondamment commentés, le soulèvement des Corses contre la racaille appelle en effet plusieurs réflexions.

    Racisme, invectives ! De Corse-Matin à Taubira, de Caseneuve à Juppé, le pouvoir n’a pas eu de mots assez durs pour stigmatiser les événements d’Ajaccio.
    Même Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni se sont mêlés au chœur des vierges. Attention messieurs de ne pas tomber dans la « pulitichella », la politique magouilleuse. A rechercher la respectabilité des notables, vous finiriez comme Tsipras, par vous renier. Ces événements valent mieux que le sort que la presse et les politiques leur ont fait et méritent une analyse sérieuse.
    D’abord ces manifestations ont constitué un mouvement de masse : 600 personnes à Ajaccio, 1 % de la population, c’est 8 000 personnes dans la rue à Marseille et 20 000 à Paris. Pas mal pour un mouvement spontané, appelé ni soutenu par aucune organisation politique.
    Ensuite, ce mouvement n’était pas une émeute, une simple turgescence, un prurit adolescent. Il s’est inscrit dans une durée, quatre jours de mobilisation ayant réuni jeunes et vieux. C’est le mouvement d’une population.
    Enfin, c’était un soulèvement clair qui a désigné son ennemi, les Musulmans qui occupent les hauteurs de la ville. Les Ajacciens ne se sont opposés aux gendarmes que parce que ceux-ci s’interposent entre la racaille et le peuple que l’occupation de son territoire exaspère.

    « Cassez-vous sales Corses, on est chez nous ici !» criait la racaille aux pompiers (Le Parisien du 29/12/15). Le mouvement est dans son essence un soulèvement d’autodéfense nationale. C’est parce qu’ils sont Corses que les pompiers et qu’un agent de sécurité ont été attaqués. La riposte du peuple d’Ajaccio s‘inscrit dans une histoire déjà longue. Elle a débuté à Aléria ; il s’agissait de défendre les intérêts des Corses expropriés de leur terre au profit des Pieds Noirs. Elle s’est poursuivie avec les campagnes à Droga Basta et à Droga Fora. Défendre ses enfants contre la racaille qui dealait de la drogue devant les collèges et les Lycées Corses, Lahkdar Oueslati, condamné le 31 juillet 2014 à 3 années d’emprisonnement pour trafic de stupéfiants, ou Ali Balil, qui dealait cette année devant le collège Laetitia Bonaparte ; ceux sont les mêmes que ceux qui vendredi ont tenté de lyncher des pompiers Corses.
    Ce soulèvement a un but : protéger l’intégrité physique et morale du peuple corse. Il nous appelle à l’imiter en France, à organiser l’autodéfense nationale.
    corse_camion_pompiers_caillasse
    Ce mouvement nous dit aussi qu’il y a belle lurette que les Corses n’attendent plus de l’État que celui-ci les défendent. Ils savent qu’entre eux et les étrangers, la Clique Antinationale Taubira, Caseneuve, Belkacem, choisira toujours les seconds. Nous aussi, nous devons nous défaire de cette illusion que l’État vendu au cosmopolitisme défendra les Français contre les hordes étrangères qu’il a installées chez nous.
    De même qu’il a choisi lors de la Manif pour Tous, les homos plutôt que la famille, il interdit à Béziers l’organisation d’une garde municipale. Les Corses nous démontrent que la défense de notre intégrité et notre identité ne dépend que de nous et que le pouvoir sera notre adversaire.
    Enfin, les Corses nous disent cette chose simple et belle : la Loi, chez nous, c’est nous qui la faisons. Nous ne laisserons pas les étrangers nous la dicter.
    En s’attaquant à une salle de prière, Ajaccio nous fait percevoir une continuité ; La Mosquée et la cave où sont planquée came et Kalachs sont 2 pièces d’une même maison ; il n’y a pas les Musulmans d’une part et la racaille de l’autre. Il y a une population étrangère qui entend le rester et qui rejette, sous des formes différentes, plus ou moins agressives selon l’âge, notre Culture, notre mode de vie, notre identité.

    Il faut donc se faire à cette idée qui doit déterminer nos luttes à venir qu’il n’y a pas de différence de nature entre un musulman, une racaille de cité, un islamiste ; Entre un musulman et un islamiste, la seule différence, c’est le passage à l’acte. Il peut intervenir à tout moment. Cette unité substantielle nous interdit tout tri entre bons et mauvais musulmans et ne nous ouvre qu’une seule voie, celle de la Remigration.

    Gilles Naudet

  • Le beau Danube blanc

     

    À l'instar d'un orchestre, une nation souveraine a notamment besoin d'un chef qui la dirige.

    Après l’insipide et la vacuité, grandeur et tradition. Quoi de plus thérapeutique, après avoir subi, ad nauseam, les vœux présidentiels de la veille, que de savourer, ad libitum, tel un antidote à tant de suprême médiocrité, le lendemain, le Neujahrskonzert, concert du Nouvel An de Vienne, interprété par l’Orchestre philharmonique de la ville du même nom dans la Salle dorée du Musikverein, concert principalement consacré à l’œuvre de la famille Strauss – Johann Strauss, le père, Johann II, Josef et Eduard, les fils -, retransmis dans plus de 90 pays, et événement le plus diffusé au monde dans le domaine de la musique classique.

    Plus que centenaire et affublé par les critiques du genre du titre de meilleur orchestre européen, il est composé notamment de violonistes, violoncellistes, clarinettistes, trompettistes, contrebassistes babtous et faces de craie, sans oublier les joueurs de hautbois et cor typiquement viennois. Cette année, le concert, dont une partie des bénéfices – Aylan oblige – sera versée au profit des migrants, accueille les Petits Chanteurs – babtous et faces de craie – de Vienne dans certaines des œuvres interprétées, sans oublier les danseurs et danseuses, babtous et faces de craie, celles-ci plus ravissantes les unes que les autres.

    Insensibilité ostentatoire à toute discrimination positive, aux richesses de la diversité importée, car point d’Arabe ou de voilée au sein de cette formation ; le multiculturalisme semble y être banni, malheureusement même pas de doux barbu en kamis pour égayer cette monotone fanfare politiquement incorrecte, pas une seule victime de la 5e génération de la traite négrière ou un stigmatisé de la 4e cuvée de l’invasion coloniale au sein de cet affront symphonique au vivre ensemble ; aucun petit protégé nord-africain de Jack Lang dans la chorale, de repris de justice de Taubira ou même de cousin lointain à Najat ; point de représentant des minorités ethniques dites visibles, trop visibles en apparence, pas de tag ou de décor grandiose en forme de bouchon anal, pas plus qu’un vagin d’impératrice autrichienne dans la grande salle. Nada. Si si, que des teints clairs, blafards, parfois même avec des yeux bleus. Nauséabonde récurrence contemporaine de la part d’une institution qui a tâté à l’innommable aux heures les plus sombres de notre Histoire.

    Pourtant, en réponse aux critiques qui reprochaient le caractère « ethnique européen » de la composition de cet orchestre discrétionnaire, Dieter Flury, ancien première flûte et actuellement directeur, déclarait, déjà en 1996 :

    « Depuis le début nous avons parlé des qualités viennoises particulières, de la manière dont la musique se fait ici. La façon dont nous faisons de la musique ici n’est pas liée seulement à une capacité technique, mais aussi avec quelque chose qui a beaucoup à voir avec l’âme. L’âme ne se sépare pas des racines culturelles que nous avons ici en Europe centrale. Elle n’admet pas non plus d’être séparée du genre. Ainsi, si l’on pense que le monde devrait fonctionner avec des quotas, il est naturel d’être irrité par le fait que nous soyons un groupe de musiciens mâles blancs, qui joue exclusivement de la musique de compositeurs mâles blancs. C’est une irritation d’ordre raciste et sexiste. Je crois que cela peut se poser ainsi. Si l’on établit un égalitarisme superficiel, on perdra quelque chose d’essentiel. Toutefois, je suis convaincu que cela vaut la peine d’accepter cette irritation raciste et sexiste, parce que quelque chose produit par une compréhension superficielle des droits de l’homme ne pourrait avoir les mêmes standards. »

    À l’instar d’un orchestre, une nation souveraine a notamment besoin d’un chef qui la dirige. Contemplez nos élus, hiérarques et autres caciques et apparatchiks de la République exemplaire, bouchez-vous les oreilles sans oublier vos narines, et courez vite aux toilettes.

     

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • LA POUSSIERE SOUS LE TAPIS . Par Michel Onfray

     

     

    Le dernier quart de siècle aura été celui de l’effacement du réel. La télévision et la radio y ont beaucoup contribué, l’une en laissant croire que ce qui était montré était le seul réel, l’autre, en affirmant que c’était ce qui se trouve entendu. Or, la télévision montre ce qu’elle choisit et la radio ne fait entendre que ce qu’elle a élu. De sorte que ça n’est pas le réel qu’on nous présente, mais la fiction choisie par le journaliste. Nous vivons dans la fable d’un monde créé par les médias. Le réel n’ayant pas eu lieu, la fiction le remplace.

    L’un des signes de cet effacement du réel est l’effacement du mot qui dit le réel. Quiconque met le signifiant sous le tapis croit avoir aboli le signifié. Ainsi, il n’y a plus de clochards, mais, d’abord des sans domiciles fixes, avant que ceux-ci ne laissent place aux SDF ; il n’y a plus de nains, mais des personnes de petite taille ; plus de gros, mais des personnes en surcharge pondérale ; plus d’avortement, mais des Interruptions Volontaires de Grossesse, puis des IVG ; plus de contraception, mais un contrôle des naissances ; plus de prolétaires, mais des OS, des OQ, des OP – autrement dit des ouvriers spécialisés, des ouvriers qualifiés, des ouvriers professionnels ; plus de ceinture ou de banlieues, mais des ZUP et des ZEP ; plus d’handicapés, mais des personnes à mobilité réduite , voire des « personnes en situation de handicap »; plus de noirs, mais des blacks ; plus de femmes de ménage, mais des techniciennes de surface ; plus d’allocations, mais des aides, voire des RSA ; plus de juifs, mais des feujs ; plus de maghrébins, mais des beurs ; plus d’émigrés ou d’immigrés, mais des migrants ; plus de vieux, mais des personnes du troisième âge ; plus d’homosexuels, mais des gays ; plus de chômeurs, mais des demandeurs d’emploi ; plus de téléphone, mais des iPhone ou des Smartphones ; plus de droits de l’homme, mais des droits humains ; plus de tiers-monde mais des pays en voie de développement ; plus de prostituées, ni de putes bien sûr, mais des travailleuses du sexe ; plus d’élèves, mais des apprenants ; plus d’instituteurs, mais des professeurs des écoles ; plus de professeurs, mais des enseignants ; plus de ballons, mais des référentiels bondissants ; plus de lectures sur scène, mais des mises en voix ; plus de romanichels, mais des gens du voyage ; plus de sexe, mais du genre ; plus de races, mais des peuples ; plus de mensonges mais des contre-vérités ; sans parler des tsunamis qui ont remplacé les raz-de-marée ou les congères qui prennent la place des tas de neige, voire de la neige à laquelle la vulgate médiatique substitue désormais le stupide manteau neigeux …

    Voilà comment on ne peut plus parler de marchandisation d’utérus puisqu’il s’agit d’une gestation pour autrui ; ni de crimes de guerre puisque ce sont des dommages collatéraux. De même pourquoi ferait-on encore la révolution puisqu’il n’y a plus ni prolétaires ni femmes de ménage, ni chômeurs ni clochards. Et pourquoi y aurait-il encore une école puisqu’il n’y a plus ni instituteur ni professeur ? Rabelais faisait dire à Pantagruel : « Si les signes vous fâchent, ô quand vous fâcheront les choses signifiées ? ». Les signes étant morts, les choses signifiées le sont aussi. Le désert avance…

    ©Michel Onfray, 2016

    (merci à Bruno)

  • Insertion des 18-25 ans : extension de la « garantie jeunes » à 52 départements

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/007769

    Publié le 14 avril 2015 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

  • Nigel Farage affirme avoir été victime d’une tentative d’assassinat en France

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    http://www.fdesouche.com/686523-nigel-farage-affirme-avoir-ete-victime-dune-tentative-dassassinat-en-france

  • Grigny: Ils saoulent et violent une adolescente puis diffusent la vidéo sur internet (MàJ vidéo)

    http://www.fdesouche.com/686647-g-ils-saoulent-et-violent-une-adolescente-puis-diffusent-la-video-sur-internet

  • Philippe Vardon twitte

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  • Limoux (11) : Jugé « insupportable », un enfant de 3 ans, Ilyès, renvoyé de sa maternelle (Màj)

     

    12h50

    03/01/2016

    A Limoux (Aude), Ilyès, un petit garçon de trois ans a été renvoyé de son école en raison de son comportement jugé « insupportable » par son enseignante. Elle considère que garçon trouble le fonctionnement de sa classe. De son côté, la mère critique un manque de compréhension.


     _________________________________________________________________________

    02/01/2016

    Une commission éducative a renvoyé un petit garçon, Ilyès, de sa maternelle de Limoux (Aude, 10 200 hab), début décembre, selon La Dépêche.

    En cause, le comportement jugé « insupportable » de l’enfant. « Il crie en permanence, se jette par terre, lance des objets quand on s’oppose à lui« , détaille la lettre qui justifie le renvoi. La mère, âgée de 20 ans, a donc été invitée à le scolariser ailleurs.
    Elle ne comprend pas cette décision, mais elle a décidé de déménager afin de scolariser son enfant dans son école d’enfance. En espérant que ce soit l’occasion d’un nouveau départ…

  • Marine Le Pen et son amour des chats

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    Elle en recueille beaucoup, soit dans la rue, soit à la SPA

  • Italie : l’Enfant Jésus de la crèche pendu à Pitelli

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    Dans la nuit du 29 au 30 décembre, dans le petit village de Pitelli, un inconnu a enlevé l’effigie de l’Enfant Jésus de la crèche de la place du village, puis l’a pendu au-dessus de la crèche. L’évêque du diocèse, Mgr Ernesto Palleti, a condamné cet « acte sacrilège », et le président de la région de Ligurie, Giovanni Toti, a condamné cet « acte grave » et appelé à ce que s’applique toute la rigueur de la loi sur son auteur.

     

    Source : TG COM 24, 31 décembre (merci A. A. pour ce signalement)

    L'OBS

  • Marxisme culturel : Comprendre et détruire le discours gauchiste (vidéo de Boris Le Lay)

    http://breizatao.com/2015/10/24/marxisme-culturel-comprendre-et-detruire-le-discours-gauchiste-video-de-boris-le-lay/

  • A propos de l'église Sainte-Rita

    Sauvegarde de l'église Ste Rita : la meilleure façon de défendre une église est de la faire vivre

    L’abbé Guillaume de Tanoüarn, qui célèbre actuellement le dimanche à Sainte-Rita dans le XVe arrondissement de Paris, déclare à Anne Le Pape dans Présent :

    "Je célèbre depuis quelques semaines – quand on aime, on ne compte pas ! Mais je suis arrivé un peu après la bataille, puisque cette église devait être détruite. Le promoteur ayant obtenu la promesse de vente a voulu la faire abattre par une société de démolition en passant en force. C’est le maire du XVe, Philippe Goujon, qui a empêché, au nom de la loi, la démolition de s’effectuer.

    Pour combien de temps ? Je ne sais pas. La meilleure façon de défendre une église est de la faire vivre. J’ai reçu une demande de la part de l’association Communauté chrétienne Sainte-Rita du XVe, association de jeunes catholiques qui ne pouvaient pas supporter la perspective de la destruction d’une église en plein Paris, à l’heure où l’on construit tant de mosquées, et cela pour des raisons purement financières, comme si la primauté du spirituel n’existait plus dans notre société et dans une ville qu’on appelle « la ville lumière », notre chère capitale. Pour combien de temps ? Cela dépendra de la motivation des habitants du XVe et même des Parisiens en général, qui sont venus pour l’instant par le simple bouche-à-oreille. Cela dépendra aussi d’une campagne de levée de fonds que nous prévoyons pour mars-avril 2016, qui permettrait à l’association de sauver l’église en la rachetant à son propriétaire actuel.

    Dans tout cela, je me veux personnellement au service d’un bâtiment en péril et d’une communauté catholique romaine qui s’est spontanément créée et qui, après le départ des gallicans et voulant sauver Sainte-Rita, était en quelque sorte en déshérence.

    Comment vous êtes-vous démarqué de vos prédécesseurs de « l’Eglise catholique gallicane » ? Ne craignez-vous pas un « amalgame », pour employer un mot à la mode ?

    Pas du tout ! Les gallicans sont partis, ils ont jeté l’éponge, et c’est parce qu’ils sont partis que j’ai accepté l’offre de laïcs qui avaient besoin d’un prêtre pour que cette église continue à vivre et ne soit pas détruite. Il n’y a aucune ambiguïté sur la forme catholique romaine de la liturgie célébrée à Sainte-Rita du XVe.

    L’assistance à Sainte-Rita, en plein après-midi du dimanche, est-elle nombreuse ?

    Je dis la messe à 16 heures, car c’est le seul créneau libre de ma journée du dimanche. Il est bien évident que je continue à célébrer la messe au Centre Saint-Paul, et à prêcher le matin et le soir. A ma grande surprise, cet horaire décalé ne faisant concurrence à personne satisfait plus que je ne m’y attendais la demande pratique d’un certain nombre de fidèles, et nous avons à la messe, pour l’instant, sans autre publicité que celle des réseaux sociaux, entre 60 et 120 personnes, selon les dimanches. [...]

     Cette église n’a aucun lien avec l’évêché ?

    Le maire du XVe m’a garanti que l’église n’intéressait pas directement l’évêché. Par ailleurs, à Sainte-Rita, nous sommes, comme dit le pape François, aux marges de l’Eglise. Pour aller aux marges, il faut parfois – je le dis de tout mon embonpoint – des chevau-légers. C’est dans cette perspective que je me situe, pas du tout pour faire un Saint-Nicolas du Chardonnet bis – Saint-Nicolas est là, et bien là –, pas du tout non plus dans une perspective d’opposition d’autel à autel. Mais pour protéger un bâtiment chrétien qui a tout d’une église en plein Paris, et parce qu’on n’a pas le droit de laisser accomplir sa destruction sans rien tenter. [...]"

    Michel Janva

  • Voeux de Florian Philippot pour 2016

    Mes chers compatriotes,

    Les vœux que je forme pour la France en cette nouvelle année 2016 sont simples : la paix, l’unité, la prospérité et la liberté.
    Les réaliser sera la tâche, immense, qui incombera aux patriotes sous l’impulsion de Marine Le Pen.

    Après tant d’épreuves en 2015, tant de déchirures alimentées par les pouvoirs en place, tant de fractures aggravées par les politiques menées, notre première mission sera de mettre la France en paix, à l’intérieur de ses frontières comme en dehors. Et pour cela d’œuvrer pour son unité, face aux communautarismes, aux séparatismes. De choisir l’autorité plutôt que le laisser-aller. Unis les Français sont invincibles : voilà pourquoi beaucoup les veulent divisés. Nous serons un facteur d’unité contre la fragmentation.

    Les patriotes continueront d’être la principale force de proposition dans notre pays, en refusant la fatalité du chômage, de l’appauvrissement et des inégalités. Mettre l’économie au service de la production, défendre le service public, aider l’innovation et la création, soulager les plus faibles : ces mots ne sont pas vains, ils sont notre ambition.

    La France ne sera la France qu’en étant libre et souveraine. Les drames de 2015 ont fait comprendre à beaucoup combien nous avions besoin de nation et de France. Passons à l’action en 2016 ! Le peuple français doit reprendre son destin en main, et non laisser d’autres le confisquer, par l’Union Européenne et par l’OTAN. Contrôler sa frontière, battre monnaie, décider de ses lois, voter son budget, défendre son armée, faire entendre sa voix, respecter son peuple, coopérer librement avec le monde, diffuser sa langue et ses arts : la France est forte quand l’Etat et la nation le sont. La France est forte quand elle est libre et grande.

    « Les exigences d’un grand peuple sont à l’échelle de ses malheurs » écrivit le Général de Gaulle. En 2016, soyons exigeants !

    Bonne année à toutes et tous !

  • Valence: un musulman fonce avec sa voiture sur des militaires - Point presse du procureur

    A Valence : "Le conducteur a évoqué vouloir... par ITELE

    Capture.PNG Raouf el Taqyeb.PNG

    Raouf el Tayeb,  français d'origine tunisienne, 29 ans, non fiché S

  • Malgré le froid, les "réfugiés" arrivent toujours par milliers en Europe

    Alors que les températures sont de plus en plus froides, les réfugiés eux, arrivent toujours par milliers en Europe. Épuisés par le voyage, ils tentent de fuir la guerre et les exactions. Mais à la frontière entre la Grèce et la Macédoine, certains doivent faire demi-tour. Ici, seuls les Afghans, les Irakiens et les Syriens sont autorisés à franchir la frontière. (02/01/2016)