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Blog - Page 583

  • Isère : 14 nouvelles accusations de viols contre le directeur d'école

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     Home ACTUALITE Société

      • Par Caroline Beyer
      • Mis à jour le 27/03/2015 à 23:27
      • Publié le 27/03/2015 à 19:31

     

    Des élèves dans la cour de l'école du Mas de la Raz, mercredi, à Villefontaine. Crédits photo : Michel THOMAS/PHOTOPQR/LE DAUPHINE

    La Justice et l'Éducation nationale se rejettent la responsabilité du suivi défaillant de cet enseignant condamné en 2008.


     

    Après la stupeur, c'est un déferlement de plaintes qui s'est abattu dans le nord de l'Isère, où un directeur d'école a été mis en examen et écroué après avoir avoué des actes de pédophilie sur neuf de ses élèves de CP. A ces plaintes déposées par des familles de Villefontaine, où l'homme de 45 ans était en fonction depuis la rentrée 2014, se sont ajoutés les signalements de quatorze autres parents. Car avant cela, le directeur exerçait à une trentaine de kilomètres de là, à La Tour-du-Pin. Depuis 2011, il était passé par plusieurs écoles de la région.

    Dans ce contexte, une interrogation intolérable demeure: comment cet homme, condamné en 2008 pour détention d'images pédopornographiques, a-t-il pu devenir directeur d'école trois ans plus tard? C'est dans le cadre de ce qu'il appelait un «atelier du goût» qu'il aurait imposé des fellations à ses élèves, âgés de 6 à 7 ans.

    En 2008, les juges avaient condamné Romain F. à six mois d'emprisonnement assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve de deux ans et obligation de soins. Les magistrats avaient donc choisi de lui permettre de se soigner plutôt que de le rayer de l'administration. Par négligence ou par clémence? La détention d'images à caractère pornographique devrait-elle aussitôt entraîner une interdiction définitive d'exercer avec des mineurs? «Aujourd'hui, cette interdiction, qui peut aller jusqu'à dix ans ou être définitive, n'est pas automatique», explique Céline Parisot, secrétaire générale de l'Union syndicale des magistrats (USM).

    Son casier judiciaire était vierge pour l'Éducation nationale

    Sur la forme, la transmission des informations entre la justice et l'Éducation nationale a-t-elle été suffisamment fluide? Les deux administrations, qui ont lancé conjointement une enquête, se renvoient la balle. «L'année dernière, sur cinq condamnations de justice concernant des enseignants impliqués dans des affaires de pédophilie ou de détention d'images pornographiques, l'Éducation nationale a prononcé cinq révocations», indique l'entourage de Najat Vallaud-Belkacem. Dans les Yvelines, où un instituteur de 63 ans a été mis en examen ce 26 mars pour agression sexuelle hors du cadre scolaire sur une fillette de son entourage, le rectorat a immédiatement prononcé une suspension, après avoir été prévenu par le parquet. Cela a-t-il été le cas dans l'Isère? «Conformément aux circulaires de novembre 2001 et mars 2015, le juge doit nous signaler ces cas», affirme la Rue de Grenelle.

    «Faux, réplique la secrétaire générale de l'USM. Ces circulaires permettent de faire un signalement à l'employeur, mais ne l'imposent pas. La justice n'a pas pour principe de jeter l'opprobre sur une personne», poursuit-elle.

    «Il n'y avait rien dans le dossier de l'enseignant», selon l'inspection académique de l'Isère. Et pour cause, à son retour d'arrêt-maladie entre 2008 et 2011 - après avoir perdu un enfant -, le directeur d'école avait achevé sa période de mise à l'épreuve. Son casier judiciaire était donc vierge pour l'Éducation nationale.

    Pour autant, il était toujours inscrit au fichier judiciaire des auteurs d'infractions sexuelles (Fijais), auquel les rectorats ont accès. Et c'est là une autre question soulevée par l'affaire. L'Éducation nationale doit-elle régulièrement - et pas uniquement en début de carrière - consulter ce fichier pour ses 840.000 enseignants? «C'est techniquement possible, estime Céline Parisot. Pourquoi se priver de cette possibilité?»

    «On ne peut pas suspecter tous les enseignants! Il ne faut pas sombrer dans l'excès», objecte le syndicat d'enseignants Unsa, qui estime que le temps de l'omerta est derrière nous. Depuis 1997, la «circulaire Royal» oblige tout personnel éducatif à porter à la connaissance de la justice des faits de nature pédophile.

    LE FIGARO

  • IGNACE

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  • Le vote FN dans le Nivernais et le Morvan

    Par le 27/03/2015

    13h15

    A trois jours du second tour des élections départementales, une équipe de TF1 s’est rendue dans la Nièvre, terre de gauche où la poussée du parti d’extrême-droite s’est confimée le week-end dernier. La plupart des électeurs expriment leur ras-le-bol.

  • Nicolas Sarkozy : «Avec Marine Le Pen, c’est physique! Je la déteste…»

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    19h03

    On le sait, Nicolas Sarkozy peut avoir le verbe dur en privé sur les dirigeants politiques. Et en ce moment, Marine Le Pen serait sa cible privilégiée, si l’on en croit un écho du Point. Il avait déjà raillé son physique de «déménageur» et désormais, il critique sa voix de «soudard». «Cette voix éraillée… On dirait un soudard!» dit-il.

     

    Et contrairement à la règle tacite des cours d’école «pas le physique», l’ex-président déclare: «Je revendique le délit de sale gueule. Avec son père, c’était différent. Marine Le Pen, c’est son père, la culture en moins.» Et même d’insister: «Avec Marine Le Pen, c’est physique! Je la déteste… Elle est épaisse.» [...]

    20 Minutes

    FDS

  • Italie : Des enfants handicapés expulsés pour loger des clandestins nigérians

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    27/03/2015 – SAVONE (NOVOpress)
    Une fois n’est pas coutume, c’est un curé qui se met à dénoncer le débarquement sans fin des « réfugiés » et à expliquer que les gens n’en peuvent plus. Le curé de San Dalmazio, à Lavagnola, dans la ville de Savone en Ligurie, l’abbé Giovanni Lupino, était, il y a peu encore, un chaud partisan de « l’accueil ». Il se faisait gloire d’avoir recruté pour son église un sacristain musulman, Abdel Majid, avec lequel il avait organisé « un tournoi de foot du cœur », entre immigrés tunisiens de Lampedusa et autochtones, « pour faire comprendre que Lavagnola était prête à accueillir les amis étrangers ».

    L’abbé Lupino a pourtant écrit au préfet, il y a quinze jours, pour se plaindre de la situation insupportable faite à sa paroisse, « qui a dû accueillir, de force, deux couples de Nigérians ». N’ayant reçu aucune réponse, il a transmis sa lettre à Il Secolo XIX, le grand quotidien régional, qui en publie les principaux passages.

    Les « réfugiés » avaient été confiés à la coopérative « Il Faggio », une des nombreuses organisations dites « charitables » qui se partagent le juteux business de « l’accueil » en Italie – on a pu parler à ce propos d’ « un véritable marché de la chair humaine ». Cette coopérative a passé une convention avec la préfecture de Savone, aux termes de laquelle elle loge les « réfugiés » et leur assure « des services spécifiques pour l’intégration, dont le soutien socio-psychologique, l’assistance linguistique et culturelle, l’assistance sanitaire, les services d’information légale et d’orientation sur le territoire ». 14 « médiateurs interculturels » sont salariés pour cela.

    La coopérative « Il Faggio » était censée loger les Nigérians dans un de ses centres d’accueil de la province, à Cairo Montenotte. Mais le maire (de gauche) « a refusé d’accueillir de nouveaux immigrés, en raison de la présence déjà massive d’étrangers, envoyés par la préfecture lors des différents débarquements » sur les côtes italiennes. Les Nigérians ont donc été installés « provisoirement » au presbytère de San Dalmazio, dans un logement prévu pour les mineurs handicapés. Comme il était à prévoir, ce provisoire est en passe de devenir permanent, d’autant plus que les femmes nigérianes sont toutes les deux enceintes – c’est leur manière habituelle de prendre possession d’un territoire.

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  • Alain de Benoist. « Le FN aurait tout intérêt à abandonner ses positions jacobines » [entretien exclusif]

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    Breizh-info.com : Que vous inspirent les résultats du premier tour des élections départementales en France ?

    Alain de Benoist : Il n’y a pas beaucoup de choses à dire. Le PS limite la casse, mais reste le grand perdant du scrutin (il est éliminé dans plus de 500 cantons et a d’ores et déjà perdu plusieurs de ses bastions historiques). L’UMP et ses alliés obtiennent de bons résultats, qui vont se confirmer au second tour. Le FN n’atteint pas les 30 % dont le créditaient les sondages, mais n’en réalise pas moins, avec plus de 25 % des suffrages, un score sans précédent, supérieur de 11 points aux cantonales de 2011. Il confirme son implantation locale, arrive en tête dans 43 départements (sur 102) et se qualifie pour le second tour dans plus de la moitié des cantons. Qu’il soit désormais le premier parti de France, ou seulement le second, n’a qu’un intérêt secondaire.

    Le fait important est que ce scrutin confirme la disparition du bipartisme au profit du tripartisme. C’est un fait essentiel, notamment dans la perspective de l’élection présidentielle. Jusqu’à présent, les deux grands partis de la classe dirigeante étaient assurés de se retrouver et de s’affronter au second tour. Ce n’est plus le cas. Si Marine Le Pen accède au second tour, l’un des deux autres n’y sera pas. Il leur faut donc modifier complètement leur tactique.

    J’ajouterai que le tripartisme actuel pourrait bien à terme céder la place à un autre. L’UMP englobe aujourd’hui deux partis différents : un parti centriste libéral et un parti souverainiste. Même situation au PS, où l’on retrouve également un parti centriste libéral, associé à un parti social-démocrate. Il ne me paraît impossible que les deux partis centristes libéraux finissent à terme par fusionner, tandis les souverainistes de l’UMP rejoindraient le FN, les sociaux-démocrates du PS s’agrégeant de leur côté à un nouveau bloc « de gauche ». On y gagnerait en logique et en clarté.

    Breizh-info.com :  La stratégie de dédiabolisation entamée par le FN était-t-elle finalement utile ? En Bretagne, le parti cherche à s’implanter durablement avec pourtant un discours très centralisateur, très jacobin . N’est-ce pas voué à l’échec dans une terre aussi résistante au centralisme ?

    Alain de Benoist : L’époque de la diabolisation du FN est terminée. Personne n’y croit plus. C’est l’une des raisons pour lesquelles le parti de Marine Le Pen commence à s’enraciner dans des régions qui lui étaient auparavant plutôt inhospitalières.
    Cela vaut aussi pour la Bretagne, comme en témoigne l’exemple des Côtes-d’Armor. Je ne doute pas de l’hostilité des Bretons au centralisme, mais je ne suis pas sûr qu’aujourd’hui cette préoccupation l’emporte chez eux sur celles qui sont liées à l’immigration et au chômage.

    Cela dit, je suis de ceux qui trouvent détestables les positions jacobines, « nationales-républicaines » et « anti-communautaristes » du Front national.

    Le FN aurait à mon avis tout intérêt à les abandonner, mais il ne faut pas se faire d’illusions : le régionalisme n’est pas dans son logiciel.

    Breizh-info.com :  Comment voyez-vous l’évolution de la France dans les années à venir ? 

    Alain de Benoist : Je ne fais pas profession de lire l’avenir. La France est aujourd’hui un pays fatigué, démoralisé, comme vidé de son énergie. Les gens ne font confiance à personne et doutent de tout. Crise morale, dissolution des repères, disparition des liens qui libèrent, extinction des grandes passions collectives – on vit dans la misère spirituelle et matérielle, affective et sociale, mais sous l’horizon de la fatalité.

    Eclatent parfois des colères, mais qui ne durent pas et ne n’assortissent d’aucun véritable projet politique ou idéologique. J’ai eu l’occasion d’écrire récemment qu’il n’y a de perspective révolutionnaire que lorsqu’une reconstruction idéologique radicale rencontre un mouvement social réel. Il me semble qu’on en est encore loin. Tout ce que l’on peut constater, c’est la désagrégation progressive de tous les cadres institutionnels que nous a légués la modernité.

    Comme nous vivons à l’heure actuelle dans une ère de transition, l’histoire reste plus que jamais ouverte. Mon sentiment est que les choses ne bougeront vraiment en France que sous l’effet d’événement graves qui se dérouleront à une échelle bien supérieure à celle du cadre national. Et que ces événements seront d’une nature très différente que ce dont on parle aujourd’hui le plus.

    Breizh-info.com :   L’acharnement de Manuel Valls contre une partie du peuple Français est-il le syndrôme d’une disparition programmée du PS ? Ou bien du basculement vers un totalitarisme de moins en moins caché ?

    Alain de Benoist : N’exagérons rien. A moins qu’il ne soit atteint de façon précoce d’une maladie neurologique, Manuel Valls s’agite dans le vide. En multipliant les coups de menton mussoliniens sur fond de gestuelle empruntée à Louis de Funès, il se rend tout simplement ridicule. Sa seule préoccupation, c’est d’être candidat à la présidentielle de 2017, de faire en sorte que le PS accède au second tour et, quoi qu’il en dise, que le FN y soit aussi.

    Breizh-info.com : Le mot « république » est omniprésent, dans tous les partis politiques. Qu’est-ce-que la République Française et ses fondements ? La démocratie ne doit-t-elle pas triompher de la République ?

    Alain de Benoist :  Si le mot « république » est omniprésent, c’est qu’il ne veut plus rien dire. La classe dirigeante nous rebat les oreilles à propos des « valeurs républicaines », mais il n’y a pas de valeurs républicaines, il n’y a que des principes républicains. Encore faudrait-il préciser de quelle République on se réclame. De la Ière, celle de la loi des suspects, de la Terreur et du génocide vendéen ? De la IIIe, celle de la colonisation des « races inférieures » patronnée par Jules Ferry et les tenants de l’idéologie du progrès ? De la IVe, restée célèbre par son instabilité ?

    Je trouve pour ma part révélateur que la classe dirigeante préfère évoquer des « valeurs républicaines » plutôt que les valeurs démocratiques. Les premières renvoient principalement à l’Etat, tandis que les secondes privilégient le peuple (souveraineté étatique et souveraineté populaire ne sont pas la même chose).

    Or, le fossé séparant les peuples des élites mondialisées ne cesse de se creuser. Le peuple rejette spontanément les mots d’ordre de la Nouvelle Classe. La Nouvelle Classe se méfie du peuple, qui pense mal et ne vote jamais comme on lui dit de le faire. D’où les critiques contre le « populisme », manière élégante d’avouer qu’on méprise le peuple et qu’on aspire par-dessus tout à gouverner sans lui.

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

    (merci à Dirk)

  • "Avec la technologie des drones, la catastrophe de l'A320 de Germanwings ne serait pas arrivée"

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    27/03/15 à 10:33 - Mise à jour à 10:33

    Source : Le Vif

    "Si les avions de ligne étaient équipés des mêmes avancées technologiques que les drones, la catastrophe survenue avec l'Airbus A320 de Germanwings dans les Alpes ne serait pas arrivée", affirme Emmanuel Prévinaire, le patron de la société liégeoise de renommée internationale Flying Cam, spécialisée dans la prise d'images au départ de drones.

     

    © Belga

    Les technologies de pointe qui équipent ces petits engins sans pilotes permettent, en effet, de prendre le contrôle de l'appareil de l'extérieur. "Si l'Airbus A 320 avait été équipé de la sorte, dès que sa descente anormale aurait été remarquée par les contrôleurs aériens, ceux-ci auraient pu prendre le contrôle de l'avion et l'empêcher de s'écraser contre la montagne", assure ce chef d'entreprise.

    Selon lui, les drones évoluent bien plus rapidement que les avions de ligne d'un point de vue technologique, car chaque changement d'équipement impose une nouvelle certification aux grands appareils, ce qui freine leur évolution.

  • Le copilote était en arrêt maladie le jour de l'accident

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    27/03/15 à 14:40 - Mise à jour à 14:40

    Source : Belga

    Le copilote de l'Airbus A320 de Germanwings, soupçonné d'avoir volontairement provoqué le crash de l'appareil dans les Alpes françaises, a caché qu'il faisait l'objet d'un arrêt maladie le jour de l'accident, a annoncé vendredi le Parquet de Düsseldorf (ouest).

     

    © Reuters

    Les enquêteurs ont retrouvé chez lui des formulaires d'"arrêts maladie détaillés, déchirés" et qui concernaient aussi "le jour des faits", a affirmé le Parquet dans un communiqué, sans préciser la nature de la "maladie" du jeune homme.

    Ces documents viennent "appuyer la thèse" selon laquelle Andreas Lubitz, 27 ans, "a caché sa maladie à son employeur (la compagnie aérienne Germanwings) et à son environnement professionnel", selon le Parquet.

    Les documents retrouvés attestent d'une "maladie existante et de traitements médicaux correspondants", selon la même source.

    En revanche, aucune lettre d'adieux ou courrier annonçant un acte prémédité n'a été découvert. La presse allemande a révélé vendredi que le copilote, présenté comme sportif et "très compétent" par ses proches, avait souffert d'une grave dépression durant sa formation de pilote, il y a six ans.

    Il avait d'ailleurs interrompu son apprentissage "durant un certain temps", avait indiqué jeudi le patron de la Lufthansa (maison-mère de Germanwings), Carsten Spohr. Ce dernier avait précisé jeudi ne pas avoir le droit de révéler les raisons de cette interruption.

    Des perquisitions ont été menées jeudi aux deux domiciles de M. Lubitz, à Düsseldorf (ouest) et à Montabaur, une petite ville entre Francfort et Düsseldorf, où il vivait une partie du temps chez ses parents.

    L'Airbus A320 de Germanwings, qui devait relier Barcelone à Düsseldorf, s'est écrasé mardi dans les Alpes françaises, tuant 150 personnes, dont Andreas Lubitz.

  • Mohammed : un prénom de plus en plus choisi à Paris

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    26/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Mohammed, le prénom qui monte à Paris intra-muros.

    Loin de la légende urbaine qui voudrait que les Français d’origine immigrée ne soient cantonnés que dans les banlieues, la révélation de la mairie de Paris nous renseigne sur la popularité du prénom Mohammed, cher à la communauté musulmane dans les maternités de la capitale.

    Absent jusqu’en 2012, il arrive en 9ème position en 2013 et gagne une nouvelle place en 2014.

    Comme en 2013, le prénom Gabriel est talonné de très près par celui d’Adam, en référence au premier homme, attribué 344 fois en 2014. L’archange Raphaël, donné 316 fois, se hisse quant à lui à la troisième place. Louis (301), Paul (269), Arthur (255), Victor (208), Mohamed (199), Alexandre (198), et Maxime (174) s’inscrivent également dans le top 10 des prénoms masculins.

     

  • " Andreas Lubitz n'était pas capable d'une chose pareille" selon un proche

    par Blandine Milcent , Benjamin Huepublié le 26/03/2015 à 14:14

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    Dans l'enquête sur le crash de l'Airbus A320 de la compagnie Germanwings qui a coûté la vie à 150 personnes mardi, tous les regards sont désormais braqués sur un nom, celui d'Andreas Lubitz. Le procureur de la République de Marseille a confirmé les informations de RTL selon lesquelles le copilote du vol 4U9525 était aux commandes de l'appareil lorsqu'il s'est écrasé dans les Alpes-de-Haute-Provence. Âgé de 28 ans, de nationalité allemande, il n'était pas répertorié comme terroriste et était sorti du centre de formation de pilotes de la compagnie Lufthansa, à Brême, avant d'intégrer sa filiale à bas coûts, Germanwings. Il comptait 630 heures de vol à son actif et "était parfaitement capable de piloter l'Airbus A320 seul", selon le procureur.

    "Il n'avait pas de problème"

    Né à Montabaur, où il résidait toujours, il faisait partie du LSC Westerwald, un club de vol de la commune de Rhénanie-Palatinat. Peter Ruecker l'avait côtoyé dans ce cadre. Il n'arrive pas à croire son ami capable des actes dont il est aujourd'hui tenu pour responsable. "Il avait fait sa formation de vol dans le club depuis sa plus tendre jeunesse. C'était un jeune très calme et très précis. Il a passé son bac ici, à Montabaur. C'était un jeune homme tout à fait normal. Il était très content d'avoir ce job. Il était satisfait et heureux. Il avait atteint son rêve. De pilote amateur, il était passé professionnel. Il n'avait pas de problème. je ne le crois pas capable d'une chose pareille" 

    Une volonté de détruire l'appareil

    Selon les informations révélées par le procureur de la République de Marseille, ce jeudi, Andreas Lubitz s'est enfermé dans la cabine de pilotage et n'a pas répondu aux appels du commandant de bord, coincé à l'extérieur. Il a ensuite actionné volontairement les commandes de l'avion pour enclencher la descente et lui faire perdre de l'altitude, dans une action qui s'apparente à "une volonté de détruire l'appareil". Avant les révélations du procureur de la République, le LSC Westerwald avait publié des condoléances sur son site internet. "Andreas est devenu membre du club pour accomplir son rêve de voler. Il a accompli son rêve, mais l'a payé chèrement", affirme le club.

    RTL

  • Le vol Germanwings AU 9525 victime de manoeuvres militaires américaines ?

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    Un crash inexplicable

    Selon certaines sources, le vol Germanwings  AU 9525 pourrait avoir été victime de manoeuvres militaires américaines par US Air Forces 510th Fighter Squadron basé à Aviano en Italie avec utilisation de leur système HELLADS (High Energy Liquid Laser Area Défense System). 

    Le 3 mars un Airbus A321 du vol Lufthansa LH1172 subit un sort comparable au AU9525. Le commandant fit un atterissage à Nantes, prétextant une urgence médicale. Qui se révéla fausse. 
     
    La boîte noire du AU 9525 aurait livré quelques informations, retenues pour recherche d’informations complémentaires. Une affaire qui a des points de ressemblance avec celle du MH017 tombé en Ukraine le 19 juillet 2014.
  • Massacre de la rue d’Isly le 26 mars 1962 à Alger : qui sont les coupables ?

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    Deux rafales meurtrières ont déchaîné l’enfer. Des tirs sans sommation qui ont duré près de douze minutes.
    Ecrivain
     
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    Le 26 mars 1962 à Alger, une manifestation pacifique partait de Bab el Oued pour se diriger par la rue d’Isly vers le plateau des Glières. Bien entendu, personne n’était armé : cela était absolument impossible, compte tenu de l’état de siège dans lequel se trouvait Alger.

    Deux rafales meurtrières ont déchaîné l’enfer. Des tirs sans sommation qui ont duré près de douze minutes.

    Bilan officiel : 46 morts et 200 blessés.

    Un second rapport militaire fait état d’une centaine de morts. La vérité « officielle » sur ce massacre programmé n’est toujours pas reconnue par les différents gouvernements français et il serait étonnant qu’elle le soit un jour.

    Une certitude : ce massacre de la rue d’Isly et, par conséquent, l’objectif de cette manœuvre, étaient la fracture totale entre les Français d’Algérie et l’armée métropolitaine, promise dorénavant au service de l’ALN.

    De Gaulle avait atteint son but.

    La preuve directe de l’organisation par le gouvernement français, donc par De Gaulle en personne, du massacre des innocents le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger, nous est apportée par Christian Fouchet, Haut-commissaire en Algérie ce 26 mars 1962, et ministre de l’Intérieur du 6 avril 1967 jusqu’au 31 mai 1968 où il est limogé par De Gaulle.

    Voici le témoignage qu’il a livré le 28 octobre 1969 :

    « J’en ai voulu au Général de m’avoir limogé au lendemain de mai 1968. C’était une faute politique. De Gaulle m’a reproché de ne pas avoir maintenu l’ordre en mai 68.
    – “Vous n’avez pas osé tirer”, m’a-t-il dit.
    – “J’aurais osé s’il l’avait fallu”, lui ai-je répondu. “Souvenez-vous de l’Algérie et de la rue d’Isly. Là, j’ai osé et je ne le regrette pas parce qu’il fallait montrer que l’armée n’était pas complice de la population algéroise”. »
    (Source : Jean Mauriac, L’après de Gaulle – notes confidentielles 1969/1989, page 41.)

    Ce même mois de mai 68, De Gaulle lancait à Pompidou une phrase qui résumait toute sa carrière : « Mais, Pompidou, figurez-vous que j’ai passé ma vie à tirer contre des Français ! » (rapporté par Édouard Balladur à Daniel Rondeau, auteur de Vingt ans et plus – Journal 1991-2012).

    Dès le cessez-le-feu proclamé le 19 mars 1962, l’armée française, sur les ordres de De Gaulle et de quelques officiers supérieurs – les généraux Katz, Debrosse et Ailleret -, a perdu son honneur car elle n’a pas éprouvé le moindre état d’âme quand il a fallu tirer sur des Français qui défendaient une terre française à Alger et ne s’est pas opposée au massacre, par l’ALN, de près de 3.000 Français à Oran.

    Honneur aux officiers de notre armée qui ne se sont pas parjurés.

    Le général de Pouilly, un fidèle parmi les fidèles à de Gaulle, n’hésitera pas à écrire : « J’ai choisi la discipline ; mais choisissant la discipline, j’ai également choisi avec mes concitoyens et la nation française la honte d’un abandon, et pour ceux qui, n’ayant pas supporté cette honte, se sont révoltés contre elle, l’Histoire dira peut-être que leur crime est moins grand que le nôtre. »

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Le chef du Vlaams Belang rencontre Bachar al-Assad à Damas

     

    Le chef de file du Vlaams Belang anversois, le député Filip Dewinter, a été reçu mercredi matin à Damas par le président syrien Bachar al-Assad, qu’il a qualifié d’« allié contre le salafisme et l’extrémisme ».

    « Lentement mais sûrement chacun commence à voir que nous devons le considérer comme un allié (dans la lutte) contre le salafisme et l’extrémisme », a-t-il déclaré par téléphone à l’agence Belga à l’issue de l’entretien.

    Dewinter a expliqué que sa rencontre avec M. Assad avait duré « plus d’une heure » au cours de laquelle le président syrien a dénoncé le boycott décrété par l’Occident contre son régime et ses conséquences pour les Syriens. Le président, contesté depuis quatre ans par une révolte populaire qui a tourné en guerre civile, faisant plus de 215 000 morts, a aussi mis en garde contre le « chaos » dans lequel sombrerait son pays sans lui. Il a aussi dit craindre, selon le député VB, l’avancée du groupe terroriste État islamique (EI) dans des pays comme le Liban, la Libye et « ailleurs aux frontières de l’Europe ».

    « Je ne peux absolument pas lui donner tort », a souligné Dewinter, dont ce n’est pas la première visite en Syrie mais qui rencontrait pour la première fois Assad.

    Selon lui, le président syrien mérite d’être soutenu car « le maintien du boycott renforce l’EI ». « Si nous voulons gagner la guerre contre le terrorisme salafiste, il faudra coopérer avec le régime syrien, qu’on le veuille maintenant ou non », a-t-il renchéri.

    Interrogé sur son soutien à un régime accusé d’utilisation d’armes chimiques et de barils d’explosifs lancés d’hélicoptères, Dewinter a assuré avoir posé la question.

    « Ils (les dirigeants syriens) m’assurent que toutes les armes chimiques ont entre-temps été détruites. De plus, il est improbable que le régime ait utilisé ces armes dans les quartiers mentionnés de la capitale. Je n’exclus pas que cela se produise ailleurs, mais j’ai l’impression qu’une guerre de propagande est aussi menée ».

    E&R

  • «Il manipule le bouton amorçant la descente»

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    Stéphanie HAROUNYAN 26 mars 2015 à 20:36

    Photo du compte Facebook d'Andreas Lubitz, le copilote. (DR)

    Pendant les huit minutes tragiques, le copilote, seul dans la cabine, est resté totalement silencieux.

     

    Le récit est terrifiant. «Il n’avait aucune raison de ne pas répondre, aucune raison de ne pas laisser entrer le commandant, aucune raison de ne pas déclencher le code de détresse.» Jeudi midi, le procureur de la République de Marseille, Brice Robin, a détaillé les trente dernières minutes du vol de l’A320 qui s’est écrasé mardi dans les Alpes françaises : il est revenu dans le détail sur le déroulé du vol et, surtout, sur l’attitude encore incompréhensible du copilote allemand, Andreas Lubitz, aux commandes de l’appareil au moment du crash.

     
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    Cette conférence de presse est venue compléter les premières informations révélées la nuit précédente par le New York Times. Le journal cite une source militaire qui a eu accès au fichier sonore de la boîte noire retrouvée mardi : les bruits «d’un siège qui recule», d’une porte qui «s’ouvre et se referme», d’une personne qui «frappe doucement à la porte, puis violemment». Le silence dans la cabine de pilotage jusqu’au crash.

    Tout cela, Brice Robin l’a confirmé. Durant les vingt premières minutes de vol, l’échange «est courtois, enjoué même» entre les deux pilotes. Puis on entend le commandant de bord préparer le briefing de l’atterrissage. Les réponses de son copilote, Andreas Lubitz, se font plus «laconiques». Le commandant demande alors à son équipier de prendre les manettes et sort, «probablement pour aller satisfaire un besoin naturel». Plus un mot ne sera alors prononcé dans la cabine de pilotage. Andreas Lubitz refuse d’ouvrir la porte de la cabine au commandant lorsque celui-ci revient. Cette porte, blindée depuis une nouvelle norme en vigueur depuis le 11 Septembre (lire ci-contre), ne peut être ouverte que depuis l’intérieur. Le commandant appelle à plusieurs reprises le copilote via le haut-parleur interne, en vain. Lorsque l’alarme signalant la proximité du sol se déclenche, il cogne violemment la porte.

    La tour de contrôle, inquiète de la perte de vitesse de l’appareil, multiplie les appels. Le copilote reste silencieux. Une attitude qui «peut s’analyser comme une volonté de détruire cet avion», lâche le procureur. Ce n’est qu’à la toute fin de l’enregistrement que les cris des passagers surviennent. «Ils ne se sont rendu compte qu’au dernier moment de ce qui se passait», a voulu rassurer Brice Robin.

    «Respiration». Autant d’informations qui laissent penser qu’il s’agit d’un acte délibéré. Un malaise ? Hypothèse écartée. Andreas Lubitz était vraisemblablement conscient : «On entend sa respiration, en apparence normale, a précisé le procureur. De plus, alors qu’il est seul, il manipule le bouton amorçant la descente de l’appareil, une action qui ne peut être que volontaire.» Un attentat terroriste ? «Aucun élément ne milite en faveur de [cette] thèse.» Le suicide ? L’hypothèse est à l’étude même si, comme l’a relevé le procureur, «quand on a la responsabilité de 150 personnes, on n’appelle pas ça un suicide.»

    Ces informations, Brice Robin les avait données dans la matinée aux familles des victimes, plus de 200 personnes au total. «Elles ont posé un nombre élevé de questions, elles sont bien sûr en état de choc.» Les familles des membres de l’équipage, dont celle du copilote, ont suivi un trajet séparé.

    Identification. Sur place, dans la montagne tout près de Seyne-les-Alpes, les opérations pour relever les corps ont débuté. Il faudra attendre la fin de cette semaine, voire celle d’après, pour que l’ensemble des opérations soient réalisées, a indiqué jeudi midi Brice Robin. Cette manœuvre, menée sur un terrain difficile, nécessite que chaque enquêteur soit assisté d’un gendarme de haute montagne.

    Les familles, elles, ne pourront récupérer les corps qu’une fois l’ensemble de la chaîne d’identification réalisée, ce qui explique les délais très longs annoncés par le procureur. Il leur sera proposé, si elles le souhaitent, de donner leur ADN pour accélérer la phase d’identification.

    Un lieu de recueillement a également été mis en place dans le village. Des équipes médico-psychologiques, des traducteurs et des bénévoles y accueillent les familles, dont certaines auraient manifesté leur souhait de se rendre sur les lieux mêmes de l’accident. Une zone pour l’instant inaccessible.

    Stéphanie Harounyan (à Marseille) et Richard Poirot
     
    NdB: S'il voulait détruire l'avion, comment savait-il à l'avance que le commandant de bord sortirait pour aller aux toilettes et à quel moment ? Juste avant l'approche des montagnes?
    C'est une source militaire américaine qui donne cette interprétation des bruits enregistrés dans la boite noire. Et le NYT la transmet aux médias internationaux... 
    Un scénario horrifiant à souhait, comme on sait en imaginer à Hollywood.
    Il ne manque plus que de découvrir que le jeune copilote était un "néo-nazi": des perquisitions sont en cours dans la maison où il habitait avec ses parents... 
     
     
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