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Blog - Page 747

  • Argelès-sur-Mer (P.-O.) : deux jeunes femmes violées par une bande

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    Deux jeunes femmes, 19 et 20 ans, ont été victimes d'un collectif dans la nuit de lundi à mardi à Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales), selon une information du quotidien Midi Libre. Les enquêteurs de la brigade de gendarmerie d'Argelès recherchent d'éventuels témoins, assistés par la brigade de recherches de Céret, à qui les investigations ont été confiées.

     

                                                                                                                

                              

     Les deux jeunes femmes, originaires de et en vacances à Argelès, ont été agressées vers 3 h 30 du matin, par une bande de garçons, en plein coeur de la station balnéaire. L'une d'elles a eu la force d'appeler les secours avec son téléphone portable

    A l'arrivée des secours, les deux victimes étaient entièrement dévêtues. En état de choc, elles ont été évacuées vers le centre hospitalier de Perpignan, où elles ont subi des examens qui confirment les viols. Leurs vêtements, retrouvés plus tard, font l'objet d'expertises.
     
    Les agresseurs, mais aussi d'éventuels témoins sont activement recherchés par les enquêteurs.


                                

    LeParisien.fr

  • Dieudonné lance l'ananasssurance !

    E&R

  • Courage


    Chambre à gaz, "un détail": Jean-Marie Le Pen... par LEXPRESS

    • Publié le : jeudi 3 juillet 2014
      
    Interrogé à nouveau, cette fois par la télévision néerlandaise, sur ses éventuels « regrets » d’avoir déclaré que les chambres à gaz étaient un détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, Jean-Marie Le Pen a livré une réponse... musicale !

    E&R

  • Paul Bismuth-Sarkozy sur TF1: la photo de Fidel Castro avec deux Rolex au poignet...

    http://www.leparisien.fr/politique/sarkozy-sur-tf1-la-photo-de-fidel-castro-qui-agite-les-reseaux-sociaux-03-07-2014-3974249.php

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  • Entretien avec Bruno Gollnisch pour la rentrée parlementaire à Strasbourg

    Entretien avec Bruno Gollnisch à l’occasion de la rentrée parlementaire de juillet 2014.

    • Rentrée du Parlement européen : pas de groupe pour le Front mais de belles ambitions.
    • L’hymne de leur État : une belle œuvre de Beethoven mais qui ne représente plus que cela pour nous.
    • Les menteurs du Parlement : socios-démocrates, libéraux ou chrétiens démocrates, symboles de l’UMPS supranational.
    • BNP Paribas : l’impérialisme Yankee à l’état chimiquement pur.
    • Le cas Vincent Lambert : une société à l’agonie qui condamne à faire mourir de faim.
  • VIDEO - La gay pride 2014 comme si vous y étiez


    Gay Pride : les images d'ERTV (28 juin 2014) par ERTV

    Une équipe du site Egalité et Réconciliation a interrogé des participants à la gay pride 2014, tous plus atteints les uns que les autres

    NDF

  • La phrase du jour

    « La race est la pierre angulaire sur laquelle repose l'équilibre des nations. Elle représente ce qu'il y a de plus stable dans la vie d'un peuple.  »

     Gustave Le Bon  (1841-1931)                 

    Extrait de Hier et Demain

  • Les vies des jeunes Israéliens et des jeunes Palestiniens ont-elles la même valeur ?

     

    Le monde entier condamne la violence après la découverte du meurtre des trois adolescents israéliens disparus, mais une grande partie du monde condamne aussi la punition collective infligée au peuple palestinien par le gouvernement israélien.

    Après avoir appris que les corps des trois adolescents israéliens portés disparus ont été retrouvés dans un champ non loin de la route où ils avaient disparu le 12 juin, beaucoup de gens ont réagi à juste titre avec douleur et colère.

    Eyal Yifrah, âgé de 19 ans, Gilad Shaar et Naftali Fraenke, âgés de 16 ans, étaient des étudiants qui vivaient avec leurs familles dans une colonie réservée aux seuls Juifs près de la ville palestinienne de Hébron en Cisjordanie. Cette colonie ainsi que que les autres, ont été déclarées illégales par la Cour internationale de justice car elles sont situées dans les territoires occupés et entravent la liberté de circulation, le droit à l’emploi, la santé et l’éducation des Palestiniens. Cependant, il s’agissait de jeunes au début de leur vie, de fils et frères dont les familles pleureront toujours leurs morts horribles. Nous devons tous condamner cette violence.

    Mais nous devons également condamner la punition collective et la violence déclenchées par le gouvernement israélien en réponse. À ce jour, la police et l’armée israéliennes ont fait irruption dans 1 500 maisons, entreprises et écoles qu’elles ont saccagées, kidnappant plus de 550 personnes.

    Plus de la moitié des personnes enlevées sont détenues sans inculpation ni jugement, plus d’une 100 ont été blessés et au moins six personnes ont été assassinées - dont un garçon de 14 ans abattu d’une balle dans la poitrine tirée à bout portant, et une femme de 78 ans victime d’une crise cardiaque lorsque sa maison a été envahie. Au moment de la rédaction de cet article, les plus de 680 000 habitants d’Hébron sont encerclés par les troupes d’occupation et les colons rendus fous furieux, ce qui fait craindre le pire.

    Imaginez que des homicides similaires aient eu lieu dans votre ville. Malgré la tragédie que représente ces crimes et le désir désespéré d’en trouver les auteurs, est-ce qu’une société civilisée tolérerait le pillage généralisé des biens, l’emprisonnement de centaines de personnes et la mort d’innocents ? Non, bien sûr que non. Alors, pourquoi cela devrait-il être considéré comme une réponse acceptable pour une population poussée au désespoir par des décennies d’occupation militaire ?

    Pour bien comprendre ce qui s’est passé et pourquoi, la réflexion doit remonter avant le 12 juin, jour de la disparition des trois adolescents qui habitaient une colonie juive près de la ville palestinienne de Hébron en Cisjordanie. Cette réflexion devrait plutôt remonter au 23 avril, lorsque les deux principales organisations politiques palestiniennes, le Fatah (qui avait gouverné la Cisjordanie) et le Hamas (qui remplissait le même rôle pour la bande de Gaza), ont annoncé la formation d’un gouvernement d’union. Alors que l’Autorité palestinienne dirigée par le Fatah collabore depuis longtemps avec les forces israéliennes d’occupation, le Hamas continue de résister activement au contrôle d’Israël sur le territoire palestinien. L’annonce de la réconciliation a été condamnée par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, furieux de voir les États-Unis et d’autres gouvernements adopter une approche plutôt attentiste.

    Lorsque les trois adolescents israéliens ont disparu, Netanyahu a immédiatement accusé le Hamas - bien que celui-ci ait nié toute responsabilité - et a lancé une campagne visant à frapper quiconque est associé à cette organisation ainsi que ceux qu’il voulait cibler pour d’autres raisons (comme les prisonniers préalablement libérés).

    Un observateur averti ne peut s’empêcher de conclure que Netanyahu a instrumentalisé la tragédie personnelle des familles concernées, pour poursuivre un objectif politique plus large.

    L’intention d’Israël de « retourner le sol en profondeur pour déraciner tout ce qui est de couleur verte [c’est-à-dire lié au Hamas] en Cisjordanie » a été annoncé à la radio nationale de l’armée, tandis que le ministre de l’Économie Naftali Bennett a promis « de donner aux membres du Hamas un billet pour une entrée en enfer. » Un officier de haut rang des Forces de défense israéliennes (FDI) a déclaré au journal israélien Haaretz que les arrestations de masse [rafles] sont « une sorte de nettoyage en profondeur. » Israël, a-t-il dit, a décidé « d’exploiter les prochains jours pour arrêter toute personne infectée par le Hamas. » Dans une autre source israélienne, un officier de l’armée a même admis que l’opération avait été planifiée à l’avance, et que son but n’était pas de retrouver les jeunes Israéliens mais de provoquer des troubles.

    Avec la découverte des corps des adolescents israéliens, l’armée israélienne et les colons ont intensifié leurs attaques sur Hébron et d’autres villes, assassinant une jeune Palestinien âgé de 17 ans dans le camp de réfugiés de Jénine. Renouvelant son engagement à « faire payer le Hamas » Netanyahu a ordonné une escalade des frappes aériennes sur la bande de Gaza - plus de 40 rien que la première nuit, terrorisant les 1,8 millions d’habitants. Bien que les frappes sont présentées comme des représailles à des tirs de roquettes vers Israël à l’initiative d’une faction qui n’est pas affiliée au Hamas, les propres mots de Netanyahu rendent le lien évident.

    Selon Addameer, le groupe de défense des prisonniers, environ un quart des centaines de Palestiniens kidnappés sont incarcérés sous le régime de la « détention administrative », une procédure qui permet à l’armée israélienne de détenir des personnes indéfiniment sur ​​la base d’informations tenues secrètes, sans inculpation ni procès.

    Israël utilise systématiquement la détention administrative, en violation des règles strictes établies par le droit international, en prétendant être dans un état permanent d’urgence depuis sa création en 1948. En outre, dit Addameer, la détention administrative est fréquemment utilisée - en violation directe du droit international - pour infliger des punitions collectives et criminelles plutôt que pour prévenir d’éventuelles menaces.

    Les enfants et les jeunes sont souvent pris pour cibles. Defence for Children International a documenté le meurtre de plus de 1 400 enfants palestiniens par des soldats israéliens ou des colons depuis 2000, dont seuls 40 ont été abattus alors qu’ils étaient impliqués dans des affrontements. C’est l’équivalent d’un enfant palestinien tué par un Israélien tous les trois jours, tout au long de ces 13 dernières années.

    En outre, un rapport publié cette semaine par l’observatoire Euro-Mid documente comment de 2 000 à 3 000 mineurs palestiniens ont été kidnappés et retenus par les forces israéliennes chaque année pour ces cinq dernières années, ce qui représente une moyenne de 200 par mois, certains des enfants ayant 12 ans.

    « La police israélienne ou militaire envahit violemment les maisons généralement au milieu de la nuit ou prend les jeunes dans la rue sans leur dire de quoi ils sont accusés ni informer leurs parents, comme l’exige le Pacte international relatif aux droits civils et politiques », explique Ihsan Adel, conseiller juridique pour Euro-Mid. « En quoi est-ce différent de l’enlèvement des étudiants israéliens ? Et pourtant, cela se produit chaque jour, tout au long de l’année. Où est l’indignation internationale ? »

    Selon le rapport d’Euro-Mid, les jeunes Palestiniens sont rarement informés des raisons de leur arrestation, du moins, jusqu’à ce qu’ils soient interrogés, sans la présence d’un avocat, et souvent enchaîné à des chaises et privés de sommeil. Pourtant, l’article 37 de la Convention relative aux droits de l’enfant (dont Israël est signataire) stipule que les jeunes et leurs parents doivent être informés des raisons de leur détention, ainsi que disposer d’une assistance juridique.

    L’UNICEF, l’Organisation mondiale de la Santé et la Commission des Nations Unies pour les droits de l’homme, ont constaté qu’Israël justifie les peines appliquées par des aveux que ses interrogateurs arrachent à des enfants qui ne disposent d’aucun avocat. Est-il surprenant que environ 95% de ces enfants fassent des « aveux » ?

    Les enfants ne sont pas des pions, des pièces à utiliser dans un jeu à des fins de publicité ou pour un effet de levier. C’est vrai pour les Palestiniens et doublement pour les Israéliens qui opèrent à partir d’une position de force totalement inégale, celle de l’occupant. Il est important de noter ici que les États-Unis sont coupables aussi bien des actions d’Israël que de sa dictature militaire : Israël est en effet le principal bénéficiaire de l’aide militaire des États-Unis, à hauteur d’une dotation de 3 milliards de dollars chaque année. Cela doit cesser.

    Peut-être que personne n’a mieux exprimé que le chroniqueur Gideon Levy, une des rares voix d’autocritique en Israël, ces principes de base de l’humanité. Dans un article récent qui a été très peu cité, il a comparé les cas de Naftali Fraenkel, l’un des garçons israéliens assassinés, et de Mohammed Jihad Dodeen, le jeune Palestinien âgé de 14 ans tué lors des arrestations de masse.

    Levy parle du voyage de Rachel Fraenkel, la mère de Naftali, pour une réunion en Suisse du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies. Elle a dit devant le Conseil que que « son Naftali est un bon garçon qui aime jouer de la guitare et le football. » Mais, observe Levy, « Mohammed est également un bon garçon, qui a aidé son père à construire la maison familiale pendant ses vacances scolaires et a vendu des douceurs pour soutenir sa famille. Rachel veut embrasser Naftali ? Jihad, le père endeuillé de Mohammed, veut aussi embrasser son fils. D’ailleurs, personne ne l’a amené à Genève. Il est resté seul avec sa peine, dans sa pauvre maison dont la construction n’a pas encore été terminée, et qui peut-être ne le sera jamais. »

    E&R

  • Déchoir de la nationalité française, c’est possible ! Par Lionel Humbert

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    Ils partent par centaines mener leur guerre sainte en Syrie ; ils sont des milliers à afficher leur patriotisme algérien dans nos rues dès qu’un « fennec » envoie un ballon de cuir dans des filets de football ; pourtant nous avons déjà tous entendu quelqu’un nous asséner cette sentence qui se voudrait une vérité définitive : « Ils sont aussi français que vous ! » Et s’il existait dans le dispositif législatif des moyens de rappeler à tous que, non, ce n’est pas exactement le cas ?

    Nous constatons depuis des années, et le phénomène ne fait que s’amplifier à travers une communautarisation à vitesse grand V des populations immigrées, l’échec patent tant de l’intégration à la sauce libérale (le simple fait de se tenir à carreau et d’avoir une situation socio-économique stable suffisant à être un « bon Français ») que de l’assimilation républicaine si chère à Eric Zemmour ou à Marine Le Pen. D’ailleurs la présidente du FN elle-même, pourtant la dernière désormais à réellement dé­fendre et prôner cette « tradition », en vient à considérer l’assimilation comme quasiment impossible non seulement face à l’afflux d’immigrés mais aussi, et c’est notable car souvent absent de la rhétorique de nombre de ses lieutenants ou caporaux, face à la trop grande distance existant entre leur culture et la nôtre.

     

    Ainsi, lors du discours de clôture de ses Journées d’été pré-présidentielle tenues à Nice en septembre 2011, Ma­rine Le Pen avait affirmé dans un discours très dur sur la question migratoire : « Cette arrivée massive en un temps très bref, vingt ou trente ans, de femmes et d’hommes ayant pour une grande majorité une culture très différente de la nôtre rend toute assimilation inopérante, voire impossible. »

    A l’époque, un de ses proches con­seillers nous avait confié qu’elle avait écrit ce discours elle-même. Il est vrai qu’on peine à retrouver dans cette phrase la plume de Florian Philippot, même si on peut toujours espérer qu’à la lumière de certains événements ré­cents, celui-ci se soit enfin départi de ses œillères post-chevènementistes pour accepter, comme sa patronne lors du discours cité, la réalité de quelques considérations et constats d’ordre plus ethno-culturel.

    Syriens ? Musulmans ? Français ?

    En effet, c’est notamment face au départ de près d’un millier de jeunes « Français » musulmans pour le djihad en Syrie (ce qui en fait le premier pays pourvoyeur de combattants islamistes en Europe, avec près de deux fois plus de départs que le Royaume-Uni par exemple d’après la publication « Fo­reign fighters in Syria » de l’agence d’intelligence économique et de renseignement privé Soufan Group en juin 2014) que la question du rapport à la nationalité française d’un certain nombre de jeunes d’origine immigrée est revenue dans le débat ces dernières semaines.

    Dès le tout début du mois d’avril, le Bloc identitaire qui avait lancé une pétition et une campagne militante pour réclamer la déchéance de la nationalité pour les djihadistes de nationalité française engagés en Syrie face aux troupes du régime de Bachar Al-Assad. Une position reprise par Florian Philippot, puis par Marine Le Pen elle-même, et aussi appuyée par une question au gouvernement du député-maire d’Orange Jacques Bompard.

    Dans celle-ci, le leader de la Ligue du Sud, demandait au ministre de l’Intérieur de s’appuyer sur les articles 25 et 25-1 du Code civil permettant la déchéance de nationalité d’une personne s’étant livrée « à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France » s’étant « produits antérieurement à l’acquisition de la nationalité française ou dans le délai de dix ans à compter de la date de cette acquisition » pour priver de leur nationalité française les djihadistes.

    Rappelons en effet qu’en France le droit du sol n’est pas « intégral » et que les enfants d’étrangers nés sur le sol français n’acquièrent pleinement la nationalité française qu’à leur majorité. Ainsi, par exemple, dans le cadre d’un djihadiste de 23 ans, donc Français de plein droit depuis seulement cinq ans, cette solution proposée par Jacques Bompard pourrait s’avérer opé­rante. Mais cela si, et seulement si, le sympathique djihadiste en question est binational, car les accords internationaux (et la Déclaration universelle des Droits de l’Homme) interdisent de « créer » des apatrides. Pour mémoire, Merah et Nemmouche  cumulaient tous deux nationalités française et algérienne.

    On pourrait en venir à considérer que, finalement, ce ne serait pas forcément une si bonne idée d’interdire la binationalité car celle-ci reste un levier d’action à notre disposition. Et si on leur donnait le choix, il est probable que beaucoup de binationaux choi­siraient la nationalité qui les arrange le plus sur le plan matériel en n’en pensant pas moins sur le plan affectif. En clair : une nationalité pour les allocations et une autre pour le ballon rond !

    Que Manuel Valls aille au bout !

    Avec le temps de retard inhérent à la droite hexagonale, dans la foulée de l’affaire Nemmouche, trente-sept députés UMP ou apparentés ont déposé une proposition de loi réclamant expressément la déchéance de la nationalité française pour les djihadistes. L’idée a aussi fait son chemin du côté de la communauté juive, sans doute la plus menacée et concernée par la question aujourd’hui comme la tuerie de Bruxelles l’a bien démontré, et esquissée par la responsable du Crif Midi-Pyrénées Nicole Yardeni puis par son président Roger Cukierman, avant d’être affirmée clairement par l’avocat et essayiste Gilles-William Goldnadel.

    En 2010, lorsque Nicolas Sarkozy avait proposé de « réévaluer les motifs pouvant donner lieu à la déchéance de la nationalité française », lors du fameux discours de Grenoble, Manuel Valls avait dénoncé un « débat nauséabond ». Désormais premier ministre, et con­fronté tant aux événements qu’à la co­lère populaire, le même Valls déclarait début juin sur RMC : « Nous pouvons déchoir de la nationalité ceux qui s’attaquent aux intérêts fondamentaux de notre pays. Il n’y a pas de tabou. »

    Cette « atteinte aux intérêts fondamentaux » est évoquée dans l’article 25 du Code civil déjà mis en avant par le député Bompard, mais notre droit réserve aussi d’autres possibilités. En ef­fet, dans le même Code mais deux ar­ticles avant, au 23-7, nous pouvons lire : « Le Français qui se comporte en fait comme le national d’un pays étranger peut, s’il a la nationalité de ce pays, être déclaré, par décret après avis conforme du Conseil d’Etat, avoir perdu la qualité de Français. »

    Prendre les armes – que cela soit au sein d’une hypothétique Armée Syrienne Libre ou au nom d’une nation qui s’appellerait l’oumma, la com­munauté des croyants, et dont l’EEIL serait l’armée – contre un Etat souverain auquel, jusqu’à plus ample information, la France n’a pas déclaré la guer­re –, n’est-ce pas se comporter comme le « national d’un pays étranger » ? Ou bien encore s’afficher en tout temps et en tout lieu comme un Algérien – et très fier de l’être de surcroît – alors qu’on a été nourri, logé, blanchi (enfin naturalisé) par la France depuis sa naissance, n’est-ce pas se comporter comme le « national d’un pays étranger » ?

    Le courage plus utile que les lois

    Un certain nombre de solutions existent donc dans notre Code civil actuel. La question se pose alors : est-ce de nouvelles lois dont nous avons besoin ou plutôt de femmes et d’hom­mes suffisamment courageux pour les appliquer ? Que l’on parle de juges ou de gouvernants.

    En réalité, si Valls et tous les autres allaient au bout – c’est-à-dire faisaient passer la sécurité des Français avant toute autre considération –, cela reviendrait pour eux à remettre en cau­se une part entière du mensonge idéologique sur lequel ils ont assis leur pouvoir tout en ouvrant notre pays à l’immigration massive et incontrôlée. Car la nationalité ne peut pas se résumer à un acte administratif et est fondamentalement liée à l’identité.

    C’est d’ailleurs le message très évident que nous adressaient dimanche soir à l’occasion d’une rencontre footballistique ces « Franco-Algériens » qui ne brandissaient pourtant, sur les Champs-Élysées ou ailleurs en Fran­ce, qu’un seul drapeau, celui de leur vraie patrie : l’Algérie.

    Lionel Humbert

    Source : site internet de l’hebdomadaire Minute.

    Crédit image : DR.

  • Pas de poursuites au sujet des drapeaux français arrachés des frontons de nos mairies ?

  • Les 7 affaires qui menacent Sarkozy

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    NOVOPRESS

  • Abbas tient Israël pour responsable du meurtre d'un jeune Palestinien

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    Le Vif

    Source: Belga
    mercredi 02 juillet 2014 à 14h16

    La présidence palestinienne a déclaré mercredi tenir Israël pour "entièrement responsable" du kidnapping et du meurtre d'un adolescent palestinien à Jérusalem, apparemment commis en représailles du meurtre de trois jeunes Israéliens en Cisjordanie.

    © Reuters

    Le président palestinien Mahmoud Abbas a par ailleurs demandé au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de condamner l'enlèvement, comme il l'avait fait lui-même pour les trois jeunes Israéliens disparus en juin.

    Il a aussi appelé Israël à "prendre des mesures concrètes sur le terrain pour arrêter les attaques de colons et le chaos qui résulte de ces agressions".

    Peu après, M. Netanyahu a qualifié de "crime abominable" l'enlèvement et le meurtre de Mohammad Abou Khdeir, 16 ans, kidnappé alors qu'il faisait du stop dans le quartier de Chouafat, à Jérusalem-Est occupé et annexé, et retrouvé mort quelques heures plus tard dans la partie ouest de la ville, portant des traces de violences. "Le Premier ministre s'est entretenu avec le ministre de la Sécurité intérieure Yitzhak Aharonovitch et a demandé l'ouverture d'une enquête pour retrouver dans les meilleurs délais les auteurs de ce crime abominable et en déterminer les circonstances", selon un communiqué du bureau de M. Netanyahu.

  • Nicolas Sarkozy mis en examen pour trafic d’influence et corruption active

    Les réactions de Philippe Bilger et Éric de Montgolfier, anciens magistrats

     

    L’ex-président français Nicolas Sarkozy a été inculpé cette nuit pour trafic d’influence actif, corruption active et recel de violation de secret professionnel à l’issue d’une garde à vue sans précédent.

    L’ancien président français Nicolas Sarkozy a été inculpé dans la nuit, notamment pour corruption et trafic d’influence actifs, une mesure spectaculaire au moment où son retour en politique est dans tous les esprits.

    Cette décision est intervenue à l’issue d’une garde à vue d’une quinzaine d’heures, sans précédent pour un ex-chef de l’Etat. Il encourt dix ans de prison.

    Secret professionnel violé

    Les juges d’instruction cherchent à établir si l’ancien chef de l’Etat (2007-2012) a essayé d’obtenir des informations couvertes par le secret auprès du haut magistrat Gilbert Azibert sur une décision de justice le concernant, en échange de la promesse d’une intervention pour un poste de prestige à Monaco.

    A l’origine de l’affaire qui vaut ses nouveaux déboires à Nicolas Sarkozy, son placement sur écoutes en septembre 2013 dans l’enquête sur les accusations, pour l’heure non étayées, d’un financement par la Libye de Mouammar Kadhafi de sa campagne victorieuse de 2007.

     

    E&R

  • Le grand Sarko Circus judiciaire… (Présent 8137)

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    02/07/2014- PARIS (NOVOPress)
    Après seize heures de garde à vue et plus de deux heures passée chez le juge d’instruction, Nicolas Sarkozy a été mis en examen mardi (1/7) vers deux heures du matin, pour « corruption active », « trafic d’influence » et « recel de violation du secret professionnel ». Son avocat, Me Thierry Herzog, et Gilbert Azibert, haut magistrat à la Cour de cassation, ont eux aussi été mis en examen au terme de leur garde à vue.

    Nicolas Sarkozy voulait revenir en politique avec un plan de bataille annoncé en une du Figaro Magazine : il faut tout changer. Un changement en voie de réalisation puisque, pour la première fois dans toute l’histoire de la Ve République (et d’ailleurs des républiques précédentes) un ancien chef de l’Etat s’est retrouvé en garde à vue (voir Présent d’hier [numéro 8136, note de Novopress]). Ce n’est peut-être pas le changement qu’envisageait Nicolas Sarkozy. Ni ses partisans. Mais enfin, c’est un commencement… Les historiens retiendront sans doute que ce mardi 1er juillet 2014 les espérances de retour de l’ancien chef de l’Etat dans la course élyséenne se sont définitivement évanouies. Nicolas Sarkozy a été rattrapé par ses grandes oreilles.

    Déliquescence du système ?

    Une du n° 8137 de "Présent"

    Une du n° 8137 de “Présent”

    Passons sur l’incrimination de « violation du secret de l’instruction ». Ce secret de l’instruction se trouve régulièrement « violé » en “une” de journaux qui s’en sont même fait une spécialité délatrice. Dans certaines affaires, le « viol du secret de l’instruction » semble même relever, tant il est systématique, de ce que dans les cités les voyous ethniques appellent une tournante. Certes, qu’il le soit par de hauts magistrats en bande organisée, avec à leur tête un ancien président de la République, est choquant… Est-ce le signe d’une « déliquescence du système » comme le pense Marine Le Pen ? Sans doute. Mais un signe parmi beaucoup d’autres…

    Plus sérieuse est l’accusation de « trafic d’influence », délit puni de « cinq années d’emprisonnement et de 500.000 euros d’amende ». Mais Nicolas Sarkozy et les siens vont sans doute plaider l’acharnement judiciaire et le règlement de comptes politique Avec quelques bons arguments pour le faire, tant les juges qui l’accablent, dont l’une, Claire Thépaut, appartenant au syndicat du « Mur des cons », ne se donnent même pas la peine de cacher leur ressentiment, leur hargne, leur détestation et leur soif de revanche à l’égard de Nicolas Sarkozy. « Jamais on n’aura affublé un ancien président d’un tel traitement, d’un tel déferlement de haine », s’indignait mardi matin Christian Estrosi.

     

    Cette nouvelle affaire, dont on ne peut pas encore préjuger des suites, sera probablement nuisible à l’image déjà bien dégradée de l’ancien chef de l’Etat aspirant à le redevenir. Mais, sur le plan politique, elle est sans doute moins meurtrière pour lui que le scandale Bygmalion et l’effarante valse des millions et des fausses factures. Certes, Bygmalion c’est avant tout Jean-François Copé. « Sous les pavés la plage », disait un slogan de mai 68. Et sous Copé Sarkozy… Ce que trouveront fatalement les juges qui ont commencé à creuser dans les comptes fantastiques de l’UMP.

    Un chèque de 363.615 euros

    A ce propos, voici qu’un nouveau chèque de 363.615 euros vient alourdir le plateau déjà bien chargée de la balance. Le parti s’est acquitté, le 16 juin dernier, « d’une facture adressée à Nicolas Sarkozy, fin 2013 ». En fait la pénalité infligée à ce dernier suite au rejet de ses comptes de campagne par le Conseil constitutionnel. Soit une amende de 363.615 euros. « Une question se pose : légalement l’UMP avait-elle à payer pour Nicolas Sarkozy ? » En fait c’est surtout Fillon qui la pose. Légal ou pas, ce chèque de 363.615 euros vient s’ajouter aux comptes frelatés de la campagne du président candidat. Un effet papillon dans l’affaire Bygmalion, désintégrant moralement Nicolas Sarkozy ? C’est possible…

    Jean Cochet

    Crédit photo : Parti populaire européen via Wikipédia (cc).

  • Eric Zemmour à propos de l’arrêt rendu par la CEDH sur les enfants nés de GPA : « Le juge européen est le maître en France »

     

     

    « Le juge européen est le maître en France, il peut s’imposer au législateur et au peuple français. (…) Au-dessus de nous, il y a des juges étrangers qui gouvernent pour nous. (…) Le Général de Gaulle avait refusé (de signer la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, ndlr) et il savait bien pourquoi », regrette Eric Zemmour vendredi 27 juin sur I>Télé.

    NDF

  • VIDÉO | Les patriotes du Parlement européen boycottent l’hymne de l’UE

     

     

    Tandis que les élus frontistes restaient assis, les eurosceptiques et eurocritiques rassemblés autour du souverainiste Nigel Farage ont tourné le dos à l’orchestre et au reste de l’hémicycle, lorsque les notes de l’hymne européen ont résonné ce mardi 1er juillet 2014 .

    NDF

  • L’Allemagne sort l’Algérie : les médias déçus

     

    L’Allemagne sort l’Algérie : les médias déçus - La flagornerie médiatique vis-à-vis de la communauté algérienne est un cas d’école

    La flagornerie médiatique vis-à-vis de la communauté algérienne est un cas d’école



    Jean Ansar
    le 01/07/2014

    L’équipe algérienne a été bonne. Elle part la tête haute de la compétition sportive. C’est le seul commentaire objectif à faire. Cette sortie devrait mettre fin, en partie, à l’instrumentalisation politique de cette équipe par les journalistes de la propagande permanente. Apparemment ce n’est pas le cas.

    En effet alors qu’on rêvait de voir les si sympathiques algériens sortir les « Boches », on rappelait que finalement ces joueurs étaient presque tous des Français du sol ou avaient choisi non pas de vivre en Algérie mais en France. Jusqu’à peu, le nombre de joueurs locaux avait toujours été supérieur à celui des binationaux. Que des joueurs français d’origine algérienne se forment, s’entraînent et jouent en France ne pose aucun problème. Mais comment la FIFA peut-elle accepter qu’une équipe nationale – l’Algérie – soit composée de 16 joueurs de première nationalité française sur les 23 sélectionnés ?

    C’est tout juste si, emporté par leur volonté de prouver que cette équipe est aussi la nôtre, quelques commentateurs français n’étaient pas eux sur le point de s’exclamer « l’Algérie c’est la France » et de célébrer la renaissance sur le terrain d’une sorte d’Algérie française. On prend toujours des risques  quand on en fait trop, surtout quand on  ne maitrise pas très bien le sujet. Le match France-Algérie n’aura pas lieu, en quart de finale de la Coupe du monde. On en connaît beaucoup qui sont soulagés écrit Boulevard Voltaire : « les propriétaires de voitures, les salariés qui se lèvent tôt, le ministre de l’Intérieur, les préfets, nos policiers et tous ceux qui auraient été en première ligne, ce vendredi, pour faire face à un déferlement revanchard qui aurait probablement submergé des pans entiers de notre pays. » Cela évite un problème à Didier Deschamps. Mais quid du joueur que la France entière est sommée d’idolâtrer, le franco-algérien Karim Benzema, seul Bleu à ne pas chanter La Marseillaise ?

    L’entraîneur aurait-il pu aligner un joueur qui reconnaît que la France n’est qu’un choix sportif et que l’Algérie est le pays de son cœur ? Benzema aurait-il pu jouer à 100 % de ses moyens contre une équipe qu’il préfère à celle de son pays de naissance ? Aurait-il pu considérer comme de vrais adversaires des joueurs dont il partage, en période de ramadan, les mêmes convictions religieuses ?

    Cette équipe émigrée éliminée, les choses sont devenues plus simples. Tout est fait pour faire oublier les débordements anti-français à l’issue des matchs et pour interroger des supporters algériens qui affirment que maintenant ils sont supporters des Bleus. Après avoir soutenu le pays de cœur, des origines et de leurs parents, ils soutiennent le pays choisi celui de l’adoption. Tout redevient normal dans le meilleur des pays anti racistes possibles jusqu’aux prochains incidents.

    Le foot est exploité ad nauseum, comme une opération de sidération des populations pour faire oublier l’important. On est reparti comme prévu dans la France multiraciale et la propagande journalistique contre les méchants d’extrême droite. Le foot dernier espoir contre le Front national, c’est confirmé.

    Alors hélas, il y a les Allemands, encore eux, qui risquent une fois de plus d’éliminer la France et de porter un coup aux valeurs de la démocratie et de la république. Les Allemands qui peuvent faire le jeu des méchants racistes. Décidément ils sont indécrottables ces teutons !

    METAMAG