Michèle Teboul, présidente du CRIF, accueille le Ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve
26 06 14
(Photo La Provence)
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Michèle Teboul, présidente du CRIF, accueille le Ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve
26 06 14
(Photo La Provence)
Le 28 juin 1914 Gavrilo Princip tire sur l'archiduc héritier d'Autriche François Ferdinand. Un geste lourd de conséquences. Retour sur un acte qui va mettre l'Europe à feu et à sang et faire basculer le destin du monde.
Portrait de Gavrilo Princip © Reuters
Le 27 juin 1914, quelques heures avant de tirer contre l'archiduc héritier d'Autriche François Ferdinand et son épouse deux coups de feu mortels qui vont déclencher la Première Guerre mondiale, Gavrilo Princip et ses complices avaient fait la fête dans des cafés de Sarajevo.
"Ils avaient décidé d'avoir une soirée ordinaire afin de ne pas attirer l'attention sur eux", explique l'historien bosnien Slobodan Soja. Alors âgé de 19 ans, le jeune étudiant nationaliste serbe bosniaque, qui tuera le lendemain à coups de pistolet l'archiduc et son épouse Sophie, a même eu un rendez-vous galant avec une jeune fille, Jelena Jezdimirovic, selon l'historien. Le 28 juin, "Sarajevo vit un jour ordinaire malgré la présence de l'archiduc", note l'écrivain et chroniqueur Valerian Zujo, auteur d'un livre sur l'attentat.
Venu en Bosnie pour assister à des manoeuvres de l'armée impériale dans les environs de Sarajevo, l'héritier du trône a insisté pour maintenir sa visite dans la capitale de la Bosnie --annexée six ans plus tôt seulement par l'empire austro-hongrois-- en dépit d'un climat d'agitation nationaliste et d'indications sur des complots visant à l'assassiner. Dans la matinée, l'archiduc et son épouse prennent place à bord d'un petit cortège de voitures découvertes pour se rendre, avec une protection policière réduite, à l'Hôtel de Ville où une cérémonie officielle est prévue.
"Toute la ville était couverte de drapeaux", se souviendra, en 1994, un témoin direct retrouvé par la télévision publique autrichienne ORF, écolière à l'époque: "Nous, les enfants, nous étions au premier rang" sur le passage du cortège. Celui-ci longe la rivière Miljacka qui traverse la ville, et s'arrête brièvement devant l'immeuble de la poste où le couple se voit remettre un télégramme de ses enfants. Armés de grenades et de pistolets, Gavrilo Princip et ses camarades se sont disséminés parmi les badauds le long de l'itinéraire que doit emprunter l'archiduc.
Trois complices de Princip, paralysés par la peur, laissent passer le cortège sans réagir. Puis un autre, Nedeljko Cabrinovic, lance une grenade en direction du convoi près du pont Cumurija qui enjambe la Miljacka. Mais Cabrinovic est nerveux et manque d'expérience, et l'engin explose après le passage du véhicule dans lequel se trouvent l'archiduc et son épouse, explique M. Avdic, commissaire d'une exposition sur l'attentat actuellement accueillie par le musée de Sarajevo.
Cabrinovic est aussitôt appréhendé, alors que l'archiduc se renseigne brièvement sur le sort des quelques blessés que l'explosion a fait dans son entourage. Puis le convoi poursuit son chemin vers l'Hôtel de Ville, moins d'un kilomètre plus loin. Alors que l'affaire semble perdue pour les conjurés, un incroyable concours de circonstances va en décider autrement. "Je suis venu vous rendre visite et on lance des grenades sur moi! ": l'archiduc, énervé, interrompt le discours de bienvenue du maire. Et décide de repartir en voiture vers l'hôpital pour rendre visite aux blessés, sans que la sécurité ait été renforcée.
Le convoi reprend l'itinéraire par lequel il est arrivé. Mais à un moment, le conducteur du véhicule de tête se trompe de chemin, s'arrête, veut faire machine arrière, un bouchon se crée, le cortège est immobilisé. "Ce fut une erreur fatale! ", s'exclame Valerian Zujo. Car Gavrilo Princip, qui traîne toujours parmi les badauds, se trouve par hasard à proximité. Le jeune homme maigre au visage émacié, que l'armée serbe avait refusé de recruter deux ans auparavant en le considérant comme "inapte" à porter une arme, ne va pas laisser échapper une deuxième fois l'opportunité. Et ses deux coups de pistolet font basculer le destin du monde.
"L'archiduc lui a été servi sur un plateau", commente l'historien Slobodan Soja. "D'une distance d'à peine deux mètres, il tire une balle sur l'archiduc. Puis une deuxième balle touche mortellement son épouse", raconte M. Avdic. Sophie "a bondi dès le premier tir et s'est jetée sur son mari pour le protéger. Mais Princip a continué à tirer et l'a abattue elle aussi", selon le témoignage à l'ORF de l'écolière qui a assisté à l'attentat. Leur décès est constaté un quart d'heure plus tard, vers 11H00 locales, à la résidence impériale où le couple a été transporté. Princip, immédiatement arrêté, affirmera lors de son procès que les conjurés ont agi de leur propre initiative, et que l'attentat n'a pas été commandité par Belgrade, qui va de son côté démentir énergiquement toute responsabilité. Pourtant, un mois plus tard, l'Autriche-Hongrie déclare la guerre à la Serbie, pensant avoir trouvé le prétexte idéal pour donner une leçon à son turbulent voisin slave, dans le cadre d'un conflit que Vienne prévoit limité. Mais en quelques jours, par le jeu des alliances, c'est toute l'Europe qui va se retrouver à feu et à sang, et bientôt le monde entier.
Gavrilo Princip échappera à la peine de mort car il est âgé de moins de 20 ans. Mais, malade, il mourra en prison en 1918, quelques mois avant la fin du conflit sans précédent que son geste a provoqué.
Petit à petit, le maire frontiste met en pratique les préceptes de son parti
Photo bruno souillard
L'affaire fait déjà grand bruit dans tout Marseille : jeudi matin, les 23 agents municipaux qui gèrent les centres d'animation des 13e et 14e arrondissements ont tous trouvé dans leur casier une circulaire signée du maire (FN) Stéphane Ravier. Intitulée "Sur l'usage de la langue française dans les services publics", elle précise que "suite aux plaintes de personnes se sentant exclues ou discriminées du fait de l'usage de langues étrangères par certains agents dans le cadre de leur service, nous rappelons que "la langue de la République est le français" - article 2 de la Constitution. En conséquence, est interdit l'usage d'une langue autre que le français par les agents en service."
Ardent défenseur de la culture provençale, le nouveau maire du 7e secteur s'oblige donc à sanctionner les agents qui oseraient faire usage de la "langue locale"* pendant leurs heures de travail. Mais il prévoit tout de même qu'il puisse être "fait exception" à cette règle "dans les rapports avec des usagers de nationalité étrangère qui ne parleraient pas le français." Selon nos informations, aucune plainte relative à l'usage du français n'aurait pourtant été enregistrée par la mairie de secteur. À tout le moins avant l'élection de Stéphane Ravier, le 30 mars dernier.
Des critères d'accueil de plus en plus sélectifs
Depuis, le maire FN des 13e et 14e arrondissements avance prudemment mais sûrement dans la mise en oeuvre des préceptes chers à son parti. Dès son arrivée, il a ainsi institué des critères très sélectifs dans la délivrance des attestations d'accueil qui servent, pour l'essentiel, aux nombreuses familles d'origine étrangère à faire venir leurs parents pendant les vacances. D'environ 200 par mois jusqu'à présent, le nombre de ces attestations a chuté à 60. Notamment parce qu'il exige, dans les limites de la loi, des critères de revenus que peu de familles sont à même de remplir dans ce secteur qui figure parmi les plus pauvres de la ville.
23 fonctionnaires ont demandé leur mutation
Mercredi soir, lors d'un débat sur les attributions de logements sociaux en conseil d'arrondissements, le maire FN a d'ailleurs regretté de ne pas pouvoir mettre en pratique la préférence nationale, promettant de le faire dès l'élection de Marine Le Pen à l'Élysée, qu'il pronostique dès 2017, année où il se voit entrer à l'assemblée nationale à la place de la députée sortante, Sylvie Andrieux. "Depuis l'arrivée d'Adrien Mexis, le nouveau directeur de cabinet, l'ambiance s'est beaucoup durcie à la mairie", constate un fonctionnaire. Résultat : cinq demandes de mutation supplémentaires sont arrivées sur le bureau du DRH de la mairie centrale, en plus des dix-huit déjà reçues depuis le 30 mars. Aucune, pour l'heure, n'a été satisfaite.
La Provence
NdB: * Précisons que la "langue locale" parlée à Marseille n'est pas le provençal
NDF
Ecrit le 28 juin 2014 à 12:04 par Luc Ruy
À Carcassonne, selon l’Indépendant, 70 supporteurs de l’Algérie, armés de battes en tout genre, ont attaqué douze paras du 3ème RPIMA, qui, accompagnés de leurs épouses, étaient allés passer la soirée dans un restaurant, « L’art de vivre » . Le journal rapporte les propos du gérant du restaurant :
« Tout s’est passé très vite lorsqu’un militaire a été fauché par un véhicule. Là, plusieurs voitures du cortège se sont arrêtées et leurs occupants ont commencé à encercler les ‘paras’. Avant de s’en prendre au mobilier de la terrasse extérieure du restaurant pour le jeter contre les vitrines et l’éclairage de la façade, ainsi que sur les militaires. (…) J’ai appelé la police et ils sont rapidement intervenus. Mais ils n’étaient pas assez nombreux [seulement 14 policiers selon l'Indépendant]«
Six soldats ont été blessés (pas de blessure grave semble-t-il), mais la racaille, âgée de 19 ans, qui avait fauché un soldat français a été identifiée, puis relâchée (procès reporté en… octobre).
À Clermont-Ferrand, deux « individus » (dont l’identité n’est toutefois pas précisée) se sont battu avec quatre militaires du 92ème RI. L’un des militaires, âgé de 21 ans, a ensuite été percuté par la voiture de l’un des deux « individu », rapporte La Montagne. Affaire à suivre pour en savoir plus.
Source : L’indépendant, et La Montagne, via Fdesouche (→Essai de bilan du match Algérie-Russie)
Nouvelles de France
« Qui n’a pas 1,57 euro pour nourrir ses enfants ? » Le nouveau maire FN du Pontet dans le Vaucluse veut mettre fin à la gratuité de la cantine pour les plus démunis. Devant la caméra de BFM TV, Joris Hébrard explique ne pas comprendre le tollé que cela suscite : « Il ne faut pas être de mauvais foi en disant qu’on tape sur les plus démunis ».
NDF
Marseille en liesse le 26 juin 2014
(Photos La Provence)
A lire absolument!
Proche Orient : deux Palestiniens tués dans un... par euronews-fr
A l'issue du match opposant l'Algérie à la Russie (1-1) jeudi, les réseaux sociaux se sont emparés d'une nouvelle polémique. Le gardien russe, Igor Akinfeïev aurait été la cible d'un laser dirigé vers ses yeux lors du but égalisateur marqué par le joueur algérien, Islam Slimani.
Après la morsure de Suarez, les réseaux sociaux se sont emparés d'une nouvelle polémique ce jeudi. En effet, de nombreux internautes, photo à l'appui, estiment que le gardien russe, Igor Akinfeïev aurait été la cible d'un laser vert lors du but égalisateur marqué par le joueur algérien, Islam Slimani.
La preuve en image
Cette thèse a été confirmée par le sélectionneur russe, Fabio Capello au cours de la conférence de presse organisée en fin de match : "Bien entendu qu'il a été aveuglé par le laser, toutes les images le montrent", avant d'ajouter, "Je ne cherche jamais d'excuses, ce n'est pas mon style, j'accepte la défaite quand nous perdons. Le laser n'est pas une excuse, mais le gardien durant le match a essayé de l'éviter, regardez les images, il y a un laser dans les yeux pendant tout le match".
Fin de non-recevoir
Ses propos ont été balayés d'un trait par le sélectionneur algérien, Vahid Halilhodzic : "ce sont des choses dont on peut discuter dans un café et un restaurant. Mais ici, on parle de football. Les deux équipes se sont comportées de façon sportive."
Malgré tout, ce laser vert devrait entraîner des sanctions à l'encontre des supporters concernés.
DirectMatin.fr - 27 06 14
NdB: Ce match devrait être annulé: il y a eu fraude
Bruno Gollnisch (FN) met la gauche dans l'embarras par FNRhoneAlpes
Remarquable!
Le Salon Beige
Les signes du basculement se multiplient ces derniers mois. L’islam s’installe dans la vieille Europe comme un malotru dans votre salon, sans que vous l’ayez invité. Hier je passais chez Carrefour : un énorme rayon « spécial ramadan » était installé à l’entrée du magasin. Ça devient banal, vous me direz. On s’endort, on s’endort, l’islamisation culturelle imprègne peu à peu la société française, servie – comme depuis le début de l’immigration invasion – par le capitalisme sans patrie, sans valeurs.
Mais la nouvelle venue d’Espagne va peut-être nous réveiller. L’émir du Qatar, Tamim ben-Hamad al-Thani, propose en effet de racheter les célèbres arènes de Barcelone pour en faire… une gigantesque mosquée ! C’est une pluie d’euros qui va tomber là où jadis l’homme affrontait la bête dans un rituel ancestral. L’émirat, qui finance déjà le club du FC Barcelone, annonce 2,2 milliards d’euros et cinq ans de travaux pour construire la troisième mosquée de l’islam dans l’enceinte de la « Monumental » ! Elle pourrait contenir 40.000 fidèles d’après les informations données ce 24 juin par la presse espagnole, et outre le lieu de culte, comporterait des salles d’expositions et un centre d’études coraniques pour 300 élèves.
Plus symbolique que tout, cette nouvelle tête de pont de l’islam serait dotée d’un minaret monstrueux, haut de 300 mètres, soit quasiment la tour Eiffel ! Les tenants du projet annoncent que l’édifice sera ouvert « à tous les musulmans, sans disctinction d’origine ». Sympa ! Mais attention, les autorités catalanes font les fiers-à-bras : « une des conditions pour que l’accord soit conclu est que le futur imam ne soit pas d’une ligne intégriste ». Ouf, « l’essentiel est préservé », disent les moutons devant l’abattoir. Et puis, messieurs dames, il y a beaucoup d’emplois à la clef !
Si j’étais espagnol, si j’étais barcelonais, je ravalerais ma salive en lisant ces nouvelles qui annoncent la fin d’un monde. Mais je suis européen, et là, ça ne passe pas mieux. Ainsi meurent les civilisations. Après l’effondrement de l’Empire romain, l’Église catholique avait fait de même en transformant les lieux de culte païen. Le Qatar, QG mondial de l’islam conquérant, banque centrale de la reconquête, a donc décidé de frapper un grand coup, au cœur de la chrétienté. Les stratèges musulmans jugent le moment opportun : l’Espagne est plongée dans une crise identitaire, économique, sociale sans précédent ou presque, les irrédentismes sont flamboyants. Dans une Catalogne qui se rêve indépendante, qui a aboli la corrida en 2012, la « Monumental » témoignait d’un passé absolument révolu.
La nature a horreur du vide. L’islam remplira les espaces délaissés par des Européens amorphes, tout juste obsédés par le dernier téléphone portable ou le jeu vidéo qui vient de sortir. Quand le chant du muezzin retentira dans les rues de Barcelone, dites-vous bien que l’heure ne sera plus à la prise de conscience, mais au maquis.
Joris Karl
BOULEVARD VOLTAIRE
NdB: Voilà un projet qui doit plaire à Manuel Valls, nouveau chantre de l'Islam!
http://www.frontnational.com/videos/bruno-gollnisch-sur-radio-classique/
Le président ukrainien Petro Porochenko a salué "un jour historique" pour son pays en arrivant vendredi à Bruxelles pour signer l’accord d’association avec les dirigeants de l’Union européenne.
"C’est un jour historique pour mon pays, le plus important depuis l’indépendance", a déclaré M. Porochenko, qui s’est félicité de "la solidarité" démontrée par l’UE en pleine crise ukrainienne.
M. Porochenko doit signer à 09H00 (07H00 GMT) dans le bâtiment du Conseil européen le second volet de l’accord d’association, celui d’ordre commercial qui vise en particulier à supprimer l’essentiel des barrières douanières entre l’Ukraine et les pays de l’UE. Le premier volet, d’ordre politique, avait été signé en mars par le Premier ministre, Arseni Iatseniouk.
"C’est le résultat de sept années de travail", a indiqué M. Porochenko. "Il offre une nouvelle perspective à mon pays" et "nous allons utiliser cette opportunité pour moderniser le pays", a-t-il ajouté.
L’accord doit être également signé par les Premiers ministres de la Géorgie, Irakli Garibachvili, et de la Moldavie, Iurie Leanca.
Au cours de leur sommet, dominé par la question de la nomination du nouveau président de la Commission européenne, les dirigeants européens devraient faire le point sur la crise ukrainienne et examiner l’éventualité de nouvelles sanctions contre la Russie.
E&R
http://www.fdesouche.com/480837-algerie-russie-tour-de-france-des-festivites-en-video-maj
27 juin 2014
Tout s’est déroulé sur le parking d’un fast-food d’Ormesson, dans le Val-de-Marne. Un couple traverse sur un passage piéton, avec ses deux enfants, de deux et cinq ans. C’est alors que deux scooters surgissent et frôlent les enfants. Par réflexe, le père, un policier qui n’était pas en service à ce moment-là, leur jette un jouet en plastique. « Quand ils se sont arrêtés, la première chose que je leur ai dit, c’est : ‘vous ne vous rendez pas compte, mais vous avez failli nous renverser’ », raconte-t-il sur Europe 1.
Mais la situation va rapidement dégénérer. « Ça a été des insultes et des menaces de mort. Ils m’ont traité de ‘sale blanc’. Je leur ai dit que j’étais policier et que je ne voulais pas aller plus loin [on image ce policier plus viril face à des manifestants patriotes ou pro-famille]. Ils m’ont répondu : ‘on s’en fout, ça ne change rien pour nous », poursuit le père de famille.
Frappés sous les yeux de leurs enfants. Trois jeunes se mettent alors à frapper les parents. Coups de poings, de pieds et même des coups de casque. Le tout sous les yeux des enfants. « Mon fils m’a vue prendre un coup de poing, il m’a vue au sol. Ma fille, qui a deux ans et demi, a eu très peur. En 2014, ce n’est pas possible qu’on puisse s’en prendre à une famille, à des enfants, à une femme. Ca pourrait arriver à n’importe qui, raconte la mère. »
Les deux agresseurs étant mineurs, les poursuites judiciaires sont évidemment plus que légères : un seul des deux délinquants a été convoqué, et ce pour un simple rappel à la loi. En somme de quoi les dissuader de réitérer de tels actes… ou pas !
Contre-info.com
De nombreuses rues et places de France avaient hier un aspect révolutionnaire… Que se passait-il ? Simplement un match nul de l’équipe d’Algérie face à la Russie, ce qui déclencha la « liesse » de nombreuses racailles algériennes, qui ont exprimé à nouveau leur mépris du pays qu’ils occupent.
D’innombrables incendies criminels ont été signalés (voitures, poubelles) ainsi que de nombreuses dégradations, à Roubaix, en banlieue parisienne, à Lyon, Marseille, Nantes, Grenoble, etc., par les témoins sur les réseaux sociaux, et même par quelques journalistes (Dauphiné Libéré, RTL).
A Roubaix, comme on peut le voir sur ce diapo, de nombreux biens publics et privés ont été attaqués, et des voitures incendiées
Comme dimanche dernier, les racailles ont interrompu la circulation automobile (voitures et transports en commun) et ferroviaire (SNCF et métro) dans de nombreuses villes, sans susciter de réaction des forces de police qui avaient ordre de laisser faire.
Des drapeaux algériens ont été hissés ça et là.
Tard dans la nuit, les forces de l’ordre ont fait évacuer les centres-ville souillés, affrontant parfois la violence des racailles algériennes.
A Mâcon, la police reculait face aux immigrés. (vidéo)
Dans de nombreuses villes, et notamment à Paris, des concerts de klaxons nocturnes ont empêchés les Français de dormir, chez eux.
Encore une fois, la tolérance politico-policière d’hier dénote avec la répression qu’ont connu les Français lors des manifestations contre la loi Taubira.
Contre-info.com
Des affrontements viennent d'éclater sur le Vieux-Port à Marseille entre les forces de l'ordre et des petits groupes de supporters, qui ont provoqué les policiers avec des jets de bouteilles, après la qualification de l'Algérie en huitièmes de la coupe du monde. Les affrontements se poursuivent désormais sur la Canebière, à hauteur de la rue Saint-Ferréol. Des poubelles et autres objets prennent actuellement feu à hauteur de Noailles. Les CRS contiennent les groupes de supporters les plus violents.
La police a répliqué avec des gaz lacrymogènes et une charge de civils. Les supporters venus faire la fête, rentrent petit à petit chez eux.
La Provence