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Blog - Page 750

  • Soirée du CRIF à Marseille

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    Michèle Teboul, présidente du CRIF, accueille le Ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve

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    (Photo La Provence)

  • Il y a 100 ans, deux coups de feu allaient plonger le monde dans la guerre

     

    Le Vif

    Source: Belga
    samedi 28 juin 2014 à 09h24

    Le 28 juin 1914 Gavrilo Princip tire sur l'archiduc héritier d'Autriche François Ferdinand. Un geste lourd de conséquences. Retour sur un acte qui va mettre l'Europe à feu et à sang et faire basculer le destin du monde.

    Portrait de Gavrilo Princip © Reuters

    Le 27 juin 1914, quelques heures avant de tirer contre l'archiduc héritier d'Autriche François Ferdinand et son épouse deux coups de feu mortels qui vont déclencher la Première Guerre mondiale, Gavrilo Princip et ses complices avaient fait la fête dans des cafés de Sarajevo.

    "Ils avaient décidé d'avoir une soirée ordinaire afin de ne pas attirer l'attention sur eux", explique l'historien bosnien Slobodan Soja. Alors âgé de 19 ans, le jeune étudiant nationaliste serbe bosniaque, qui tuera le lendemain à coups de pistolet l'archiduc et son épouse Sophie, a même eu un rendez-vous galant avec une jeune fille, Jelena Jezdimirovic, selon l'historien. Le 28 juin, "Sarajevo vit un jour ordinaire malgré la présence de l'archiduc", note l'écrivain et chroniqueur Valerian Zujo, auteur d'un livre sur l'attentat.

    Venu en Bosnie pour assister à des manoeuvres de l'armée impériale dans les environs de Sarajevo, l'héritier du trône a insisté pour maintenir sa visite dans la capitale de la Bosnie --annexée six ans plus tôt seulement par l'empire austro-hongrois-- en dépit d'un climat d'agitation nationaliste et d'indications sur des complots visant à l'assassiner. Dans la matinée, l'archiduc et son épouse prennent place à bord d'un petit cortège de voitures découvertes pour se rendre, avec une protection policière réduite, à l'Hôtel de Ville où une cérémonie officielle est prévue.

    Echec d'une première tentative d'assassinat

    "Toute la ville était couverte de drapeaux", se souviendra, en 1994, un témoin direct retrouvé par la télévision publique autrichienne ORF, écolière à l'époque: "Nous, les enfants, nous étions au premier rang" sur le passage du cortège. Celui-ci longe la rivière Miljacka qui traverse la ville, et s'arrête brièvement devant l'immeuble de la poste où le couple se voit remettre un télégramme de ses enfants. Armés de grenades et de pistolets, Gavrilo Princip et ses camarades se sont disséminés parmi les badauds le long de l'itinéraire que doit emprunter l'archiduc.
    Trois complices de Princip, paralysés par la peur, laissent passer le cortège sans réagir. Puis un autre, Nedeljko Cabrinovic, lance une grenade en direction du convoi près du pont Cumurija qui enjambe la Miljacka. Mais Cabrinovic est nerveux et manque d'expérience, et l'engin explose après le passage du véhicule dans lequel se trouvent l'archiduc et son épouse, explique M. Avdic, commissaire d'une exposition sur l'attentat actuellement accueillie par le musée de Sarajevo.

    Cabrinovic est aussitôt appréhendé, alors que l'archiduc se renseigne brièvement sur le sort des quelques blessés que l'explosion a fait dans son entourage. Puis le convoi poursuit son chemin vers l'Hôtel de Ville, moins d'un kilomètre plus loin. Alors que l'affaire semble perdue pour les conjurés, un incroyable concours de circonstances va en décider autrement. "Je suis venu vous rendre visite et on lance des grenades sur moi! ": l'archiduc, énervé, interrompt le discours de bienvenue du maire. Et décide de repartir en voiture vers l'hôpital pour rendre visite aux blessés, sans que la sécurité ait été renforcée.

    Une erreur fatale

    Le convoi reprend l'itinéraire par lequel il est arrivé. Mais à un moment, le conducteur du véhicule de tête se trompe de chemin, s'arrête, veut faire machine arrière, un bouchon se crée, le cortège est immobilisé. "Ce fut une erreur fatale! ", s'exclame Valerian Zujo. Car Gavrilo Princip, qui traîne toujours parmi les badauds, se trouve par hasard à proximité. Le jeune homme maigre au visage émacié, que l'armée serbe avait refusé de recruter deux ans auparavant en le considérant comme "inapte" à porter une arme, ne va pas laisser échapper une deuxième fois l'opportunité. Et ses deux coups de pistolet font basculer le destin du monde.
    "L'archiduc lui a été servi sur un plateau", commente l'historien Slobodan Soja. "D'une distance d'à peine deux mètres, il tire une balle sur l'archiduc. Puis une deuxième balle touche mortellement son épouse", raconte M. Avdic. Sophie "a bondi dès le premier tir et s'est jetée sur son mari pour le protéger. Mais Princip a continué à tirer et l'a abattue elle aussi", selon le témoignage à l'ORF de l'écolière qui a assisté à l'attentat. Leur décès est constaté un quart d'heure plus tard, vers 11H00 locales, à la résidence impériale où le couple a été transporté. Princip, immédiatement arrêté, affirmera lors de son procès que les conjurés ont agi de leur propre initiative, et que l'attentat n'a pas été commandité par Belgrade, qui va de son côté démentir énergiquement toute responsabilité. Pourtant, un mois plus tard, l'Autriche-Hongrie déclare la guerre à la Serbie, pensant avoir trouvé le prétexte idéal pour donner une leçon à son turbulent voisin slave, dans le cadre d'un conflit que Vienne prévoit limité. Mais en quelques jours, par le jeu des alliances, c'est toute l'Europe qui va se retrouver à feu et à sang, et bientôt le monde entier.

    Gavrilo Princip échappera à la peine de mort car il est âgé de moins de 20 ans. Mais, malade, il mourra en prison en 1918, quelques mois avant la fin du conflit sans précédent que son geste a provoqué.

  • Marseille : Stéphane Ravier lève le voile sur sa politique dans le 13e-14e

     

      Marseille / Publié le Samedi 28/06/2014 à 06H13

     

    Petit à petit, le maire frontiste met en pratique les préceptes de son parti

    Politique - Actualités - Marseille : Stéphane Ravier lève le voile sur sa politique dans le 13e-14e
    Ardent défenseur de la culture provençale, Stéphane Ravier met en pratique les principes chers à son parti.

    Photo bruno souillard

     
     

    L'affaire fait déjà grand bruit dans tout Marseille : jeudi matin, les 23 agents municipaux qui gèrent les centres d'animation des 13e et 14e arrondissements ont tous trouvé dans leur casier une circulaire signée du maire (FN) Stéphane Ravier. Intitulée "Sur l'usage de la langue française dans les services publics", elle précise que "suite aux plaintes de personnes se sentant exclues ou discriminées du fait de l'usage de langues étrangères par certains agents dans le cadre de leur service, nous rappelons que "la langue de la République est le français" - article 2 de la Constitution. En conséquence, est interdit l'usage d'une langue autre que le français par les agents en service."

    Ardent défenseur de la culture provençale, le nouveau maire du 7e secteur s'oblige donc à sanctionner les agents qui oseraient faire usage de la "langue locale"* pendant leurs heures de travail. Mais il prévoit tout de même qu'il puisse être "fait exception" à cette règle "dans les rapports avec des usagers de nationalité étrangère qui ne parleraient pas le français." Selon nos informations, aucune plainte relative à l'usage du français n'aurait pourtant été enregistrée par la mairie de secteur. À tout le moins avant l'élection de Stéphane Ravier, le 30 mars dernier.

    Des critères d'accueil de plus en plus sélectifs

    Depuis, le maire FN des 13e et 14e arrondissements avance prudemment mais sûrement dans la mise en oeuvre des préceptes chers à son parti. Dès son arrivée, il a ainsi institué des critères très sélectifs dans la délivrance des attestations d'accueil qui servent, pour l'essentiel, aux nombreuses familles d'origine étrangère à faire venir leurs parents pendant les vacances. D'environ 200 par mois jusqu'à présent, le nombre de ces attestations a chuté à 60. Notamment parce qu'il exige, dans les limites de la loi, des critères de revenus que peu de familles sont à même de remplir dans ce secteur qui figure parmi les plus pauvres de la ville.

    23 fonctionnaires ont demandé leur mutation

    Mercredi soir, lors d'un débat sur les attributions de logements sociaux en conseil d'arrondissements, le maire FN a d'ailleurs regretté de ne pas pouvoir mettre en pratique la préférence nationale, promettant de le faire dès l'élection de Marine Le Pen à l'Élysée, qu'il pronostique dès 2017, année où il se voit entrer à l'assemblée nationale à la place de la députée sortante, Sylvie Andrieux. "Depuis l'arrivée d'Adrien Mexis, le nouveau directeur de cabinet, l'ambiance s'est beaucoup durcie à la mairie", constate un fonctionnaire. Résultat : cinq demandes de mutation supplémentaires sont arrivées sur le bureau du DRH de la mairie centrale, en plus des dix-huit déjà reçues depuis le 30 mars. Aucune, pour l'heure, n'a été satisfaite.

    La Provence

    NdB: * Précisons que la "langue locale" parlée à Marseille n'est pas le provençal

  • Russie-Algérie : Des jeunes™ attaquent des soldats français

    Ecrit le 28 juin 2014 à 12:04 par Luc Ruy                                                                                          

     
     

    À Carcassonne, selon l’Indépendant, 70 supporteurs de l’Algérie, armés de battes en tout genre, ont attaqué douze paras du 3ème RPIMA, qui, accompagnés de leurs épouses, étaient allés passer la soirée dans un restaurant, « L’art de vivre » . Le journal rapporte les propos du gérant du restaurant :

    « Tout s’est passé très vite lorsqu’un militaire a été fauché par un véhicule. Là, plusieurs voitures du cortège se sont arrêtées et leurs occupants ont commencé à encercler les ‘paras’. Avant de s’en prendre au mobilier de la terrasse extérieure du restaurant pour le jeter contre les vitrines et l’éclairage de la façade, ainsi que sur les militaires. (…) J’ai appelé la police et ils sont rapidement intervenus. Mais ils n’étaient pas assez nombreux [seulement 14 policiers selon l'Indépendant]« 

    Six soldats ont été blessés (pas de blessure grave semble-t-il), mais la racaille, âgée de 19 ans, qui avait fauché un soldat français a été identifiée, puis relâchée (procès reporté en… octobre).

    La vitrine détruite du restaurant de Carcassonne. (Photo : L'indépendant)

    La vitrine détruite du restaurant de Carcassonne. (Photo : L’indépendant)

    À Clermont-Ferrand, deux « individus » (dont l’identité n’est toutefois pas précisée) se sont battu avec quatre militaires du 92ème RI. L’un des militaires, âgé de 21 ans, a ensuite été percuté par la voiture de l’un des deux « individu », rapporte La Montagne. Affaire à suivre pour en savoir plus.

     

    Source : L’indépendantet La Montagne, via Fdesouche (→Essai de bilan du match Algérie-Russie)

    Nouvelles de France

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  • VIDÉO | Le maire FN qui veut supprimer la cantine gratuite se défend

     

     

     

    « Qui n’a pas 1,57 euro pour nourrir ses enfants ? » Le nouveau maire FN du Pontet dans le Vaucluse veut mettre fin à la gratuité de la cantine pour les plus démunis. Devant la caméra de BFM TV, Joris Hébrard explique ne pas comprendre le tollé que cela suscite : « Il ne faut pas être de mauvais foi en disant qu’on tape sur les plus démunis ».

    NDF

  • Et pendant que Bernard Cazeneuve parlait au CRIF à Marseille... quelques incidents dans le centre ville

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    Marseille en liesse le 26 juin 2014

    (Photos La Provence)

  • Discours du Ministre de l’Intérieur, invité d’honneur du dîner du CRIF Marseille-Provence, jeudi 26 juin 2014

     

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    http://www.crif.org/fr/lecrifenaction/bernard-cazeneuve-au-crif-marseille-provence-%C2%AB-l%C3%A9ducation-sous-toutes-ses-formes-est-le-seul-rem%C3%A8de-efficace-%C2%BB/51353

    A lire absolument!

  • Algérie/Russie: le gardien russe a-t-il été gêné par un laser dans les yeux ?

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    A l'issue du match opposant l'Algérie à la Russie (1-1) jeudi, les réseaux sociaux se sont emparés d'une nouvelle polémique. Le gardien russe, Igor Akinfeïev aurait été la cible d'un laser dirigé vers ses yeux lors du but égalisateur marqué par le joueur algérien, Islam Slimani.

     

    Après la morsure de Suarez, les réseaux sociaux se sont emparés d'une nouvelle polémique ce jeudi. En effet, de nombreux internautes, photo à l'appui, estiment que le gardien russe, Igor Akinfeïev aurait été la cible d'un laser vert lors du but égalisateur marqué par le joueur algérien, Islam Slimani.

     

    La preuve en image

    Cette thèse a été confirmée par le sélectionneur russe, Fabio Capello au cours de la conférence de presse organisée en fin de match : "Bien entendu qu'il a été aveuglé par le laser, toutes les images le montrent", avant d'ajouter, "Je ne cherche jamais d'excuses, ce n'est pas mon style, j'accepte la défaite quand nous perdons. Le laser n'est pas une excuse, mais le gardien durant le match a essayé de l'éviter, regardez les images, il y a un laser dans les yeux pendant tout le match".

      

    Fin de non-recevoir

    Ses propos ont été balayés d'un trait par le sélectionneur algérien, Vahid Halilhodzic : "ce sont des choses dont on peut discuter dans un café et un restaurant. Mais ici, on parle de football. Les deux équipes se sont comportées de façon sportive."

    Malgré tout, ce laser vert devrait entraîner des sanctions à l'encontre des supporters concernés.

    DirectMatin.fr  - 27 06 14

    NdB: Ce match devrait être annulé: il y a eu fraude

     

     

  • BENOIT HAMON CRÉE UN NOUVEAU MINISTÈRE RUE DE GRENELLE...

    Accueil >> Dérapages

    BENOIT HAMON CRÉE UN NOUVEAU MINISTÈRE RUE DE GRENELLE - Le ministère de la bienveillance

    Le ministère de la bienveillance



    Michel Lhomme
    le 26/06/2014
    modifié le 27/06/2014 à 08:22h
    Le nouveau ministre de l’Education nationale, Benoît Hamon, n'a plus que ce mot à la bouche : la bienveillance. Nous l'avions déjà relevé dans un précédent article. Cette semaine, il vient de lancer une conférence sur l'évaluation à l'école dont la mission sera de supprimer les « notes sanctions » pour parvenir dit-il, à une « évaluation bienveillante ». Avec ce nouveau chantier, Benoît Hamon part en croisade. Chaque nouveau Ministre de la rue de Grenelle a sa lubie et le précédent, Vincent Peillon, avait mis au premier plan sa charte de la laïcité et son ABC de l'égalité. 

    Benoit Hamon se fait le porte-parole et le chevalier des apôtres de l’éducation nouvelle et des milieux pédagogiques les plus farfelus et les plus ringards ( la pensée 68, cela nous vieillit quand même ! ).  Depuis des années, ces pédagos de l'inculture militent pour la suppression des notes et ce, malgré l'opposition majoritaire des parents d'élèves, des enseignants et même des élèves qui aiment en effet les bons points, les classements et la compétition. En fait, les spécialistes de l'Education nationale ont trouvé le remède miracle : casser le thermomètre de la notation pour faire disparaître l’échec scolaire ! Le Brevet des Collèges en troisième sera aussi supprimé et l'orientation laissée entièrement à la responsabilité des parents. Pour la classe de troisième, cela augure d'une prochaine recrudescence des incivilités scolaires dans cette section où, de l'avis de tous les enseignants, par rapport à la classe de quatrième, le brevet tient les élèves, les concentre sur un objectif réel pour la fin de l'année.

     
    Quand on lit les nouvelles instructions - et toutes les semaines, il y en a une ! - on note que dans ses recommandations, le Ministère souligne l'expression « faire sens », « veiller à transmettre un enseignement qui fasse sens ». En effet, filières d'orientations déplorables et non renouvelées, enseignement de compétences utilitaristes alors que le chômage grimpe sans cesse, on ne voit pas comment l'élève pourrait trouver sens à ce qu'on lui raconte sans compter une moraline déversée à outrance, un cours d'histoire démenti par n'importe quel site internet ( qu'on songe à la version enseignée du 11 septembre ) et les brimades des cours de récréation. 

    En effet, selon la revue très officielle Respect Mag, distribuée gratuitement aux élèves dans les lycées: 7 % des élèves connaissent un harcèlement sévère, 10 % sont des victimes à répétition, 29 % des victimes se disent  harcelées car ce sont de bons élèves et 40 % des enfants ont été victimes d'une agression en ligne ! Mais on a trouvé la parade : on lui promet maintenant de supprimer les notes pour ne pas le heurter et générer son malaise d'aller à l'école. C'est la « bienveillance » et « cela fait sens » !
      
     
    En réalité, les expérimentations de « classes sans note » sont loins mais vraiment très loins d’être concluantes mais nos pédagogues ne lisent que les théories pas les résultats pratiques. Ainsi, au Danemark, par exemple, le système d’évaluation formatrice ( sans note ) a été abandonné à la suite des piètres résultats des élèves danois dans les enquêtes PISA de 2000 et 2003. En France, les classes sans note déjà expérimentées, à la fin des années 70 ( on avait remplacé les notes par des lettres A,B,C,D et E ) et testées aujourd'hui dans certains établissements pilotes sont un échec. Une expérimentation conduite en 2009 dans une classe de 6ème du collège Van der Meersh de Roubaix a tourné au fiasco : «  l'ambiance de travail s'est dégradée. ( ... ) Les élèves ont eu tendance à devenir moins compétents au cours de l'année. »  ( Extrait du bilan rédigé par les enseignants de cette classe ).

    La démission totale du gouvernement dans l'Education ne s'arrête pas seulement à l'école primaire ou au lycée puisque le Ministre vient de faire une déclaration officielle avec Geneviève Fioraso, sa secrétaire d’État chargée de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, dans laquelle il a tenu à réaffirmer son refus de toute sélection à l’entrée en master et son attachement à la démocratisation de l’enseignement supérieur.

     
    Tous les étudiants, selon Benoît Hamon, ont le droit de poursuivre leurs études en master. Il ne devrait donc plus y avoir de redoublement ou de sélection à l'Université. Sur les 2,4 millions d’étudiants, les masters comptent aujourd’hui 290 000 élèves, dont 150 000 en master 1 et 140 000 en master 2. Même si le taux de passage entre Master 1 et Master 2 a fortement progressé au cours des dix dernières années, il n’est plus admissible, selon le Ministre, que ce taux reste faible dans certaines filières bien identifiées. Les Ministres ont donc engagé une réflexion sur cette question en dialogue avec les étudiants, les enseignants et les milieux professionnels.
     
    De quoi est-il question ici ? On demande tout simplement aux universitaires de faire de la garderie sociale, d'accepter tous les élèves pour que les étudiants n'aillent pas pointer au Pôle Emploi cet été ! Les Universitaires qui ont souvent nié les atteintes qu'on faisait au secondaire, qui les ont même, par leur idéologie de la bienveillance souvent provoqué, risquent fort de se retrouver dans les années qui viennent avec les mêmes problèmes dans les amphis que les lycées. D'une certaine manière, étant de grands démocrates bienveillants, ils sauront, n'en doutons pas un instant, s'en accommoder avec zèle !

    Face à la suppression des notes, l’UNI (Union nationale inter-universitaire) a lancé une pétition pour garantir une évaluation sérieuse et objective basée sur l’acquisition de connaissances. 
     
    METAMAG
  • Les arènes de Barcelone bientôt transformées… en mosquée ?

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    Le 26 juin 2014
    Quand le chant du muezzin retentira dans les rues de Barcelone, dites-vous bien que l'heure ne sera plus à la prise de conscience, mais au maquis.
             

    Les signes du basculement se multiplient ces derniers mois. L’islam s’installe dans la vieille Europe comme un malotru dans votre salon, sans que vous l’ayez invité. Hier je passais chez Carrefour : un énorme rayon « spécial ramadan » était installé à l’entrée du magasin. Ça devient banal, vous me direz. On s’endort, on s’endort, l’islamisation culturelle imprègne peu à peu la société française, servie – comme depuis le début de l’immigration invasion – par le capitalisme sans patrie, sans valeurs.

    Mais la nouvelle venue d’Espagne va peut-être nous réveiller. L’émir du Qatar, Tamim ben-Hamad al-Thani, propose en effet de racheter les célèbres arènes de Barcelone pour en faire… une gigantesque mosquée ! C’est une pluie d’euros qui va tomber là où jadis l’homme affrontait la bête dans un rituel ancestral. L’émirat, qui finance déjà le club du FC Barcelone, annonce 2,2 milliards d’euros et cinq ans de travaux pour construire la troisième mosquée de l’islam dans l’enceinte de la « Monumental » ! Elle pourrait contenir 40.000 fidèles d’après les informations données ce 24 juin par la presse espagnole, et outre le lieu de culte, comporterait des salles d’expositions et un centre d’études coraniques pour 300 élèves.

    Plus symbolique que tout, cette nouvelle tête de pont de l’islam serait dotée d’un minaret monstrueux, haut de 300 mètres, soit quasiment la tour Eiffel ! Les tenants du projet annoncent que l’édifice sera ouvert « à tous les musulmans, sans disctinction d’origine ». Sympa ! Mais attention, les autorités catalanes font les fiers-à-bras : « une des conditions pour que l’accord soit conclu est que le futur imam ne soit pas d’une ligne intégriste ». Ouf, « l’essentiel est préservé », disent les moutons devant l’abattoir. Et puis, messieurs dames, il y a beaucoup d’emplois à la clef !

    Si j’étais espagnol, si j’étais barcelonais, je ravalerais ma salive en lisant ces nouvelles qui annoncent la fin d’un monde. Mais je suis européen, et là, ça ne passe pas mieux. Ainsi meurent les civilisations. Après l’effondrement de l’Empire romain, l’Église catholique avait fait de même en transformant les lieux de culte païen. Le Qatar, QG mondial de l’islam conquérant, banque centrale de la reconquête, a donc décidé de frapper un grand coup, au cœur de la chrétienté. Les stratèges musulmans jugent le moment opportun : l’Espagne est plongée dans une crise identitaire, économique, sociale sans précédent ou presque, les irrédentismes sont flamboyants. Dans une Catalogne qui se rêve indépendante, qui a aboli la corrida en 2012, la « Monumental » témoignait d’un passé absolument révolu.

    La nature a horreur du vide. L’islam remplira les espaces délaissés par des Européens amorphes, tout juste obsédés par le dernier téléphone portable ou le jeu vidéo qui vient de sortir. Quand le chant du muezzin retentira dans les rues de Barcelone, dites-vous bien que l’heure ne sera plus à la prise de conscience, mais au maquis.

    Joris Karl

    BOULEVARD VOLTAIRE

    NdB: Voilà un projet qui doit plaire à Manuel Valls, nouveau chantre de l'Islam!

  • Accord d’association entre l’Ukraine, la Géorgie, la Moldavie et l’Union européenne

     

    Le président ukrainien Petro Porochenko a salué "un jour historique" pour son pays en arrivant vendredi à Bruxelles pour signer l’accord d’association avec les dirigeants de l’Union européenne.

    "C’est un jour historique pour mon pays, le plus important depuis l’indépendance", a déclaré M. Porochenko, qui s’est félicité de "la solidarité" démontrée par l’UE en pleine crise ukrainienne.

    M. Porochenko doit signer à 09H00 (07H00 GMT) dans le bâtiment du Conseil européen le second volet de l’accord d’association, celui d’ordre commercial qui vise en particulier à supprimer l’essentiel des barrières douanières entre l’Ukraine et les pays de l’UE. Le premier volet, d’ordre politique, avait été signé en mars par le Premier ministre, Arseni Iatseniouk.

    "C’est le résultat de sept années de travail", a indiqué M. Porochenko. "Il offre une nouvelle perspective à mon pays" et "nous allons utiliser cette opportunité pour moderniser le pays", a-t-il ajouté.

    L’accord doit être également signé par les Premiers ministres de la Géorgie, Irakli Garibachvili, et de la Moldavie, Iurie Leanca.

    Au cours de leur sommet, dominé par la question de la nomination du nouveau président de la Commission européenne, les dirigeants européens devraient faire le point sur la crise ukrainienne et examiner l’éventualité de nouvelles sanctions contre la Russie.

    E&R

  • Algérie/Russie: tour de France des festivités en vidéo

    http://www.fdesouche.com/480837-algerie-russie-tour-de-france-des-festivites-en-video-maj

  • Agressé aux cris de « sale Blanc ! » pour avoir protégé ses enfants !

    27 juin 2014

    mcdonalds-ormesson-GOOGLE-STREET-VIEW-930620_scalewidth_630Tout s’est déroulé sur le parking d’un fast-food d’Ormesson, dans le Val-de-Marne. Un couple traverse sur un passage piéton, avec ses deux enfants, de deux et cinq ans. C’est alors que deux scooters surgissent et frôlent les enfants. Par réflexe, le père, un policier qui n’était pas en service à ce moment-là, leur jette un jouet en plastique. « Quand ils se sont arrêtés, la première chose que je leur ai dit, c’est : ‘vous ne vous rendez pas compte, mais vous avez failli nous renverser’ », raconte-t-il sur Europe 1.

    Mais la situation va rapidement dégénérer. « Ça a été des insultes et des menaces de mort. Ils m’ont traité de ‘sale blanc’. Je leur ai dit que j’étais policier et que je ne voulais pas aller plus loin [on image ce policier plus viril face à des manifestants patriotes ou pro-famille]. Ils m’ont répondu : ‘on s’en fout, ça ne change rien pour nous », poursuit le père de famille.

    Frappés sous les yeux de leurs enfants. Trois jeunes se mettent alors à frapper les parents. Coups de poings, de pieds et même des coups de casque. Le tout sous les yeux des enfants. « Mon fils m’a vue prendre un coup de poing, il m’a vue au sol. Ma fille, qui a deux ans et demi, a eu très peur. En 2014, ce n’est pas possible qu’on puisse s’en prendre à une famille, à des enfants, à une femme. Ca pourrait arriver à n’importe qui, raconte la mère. »

    Les deux agresseurs étant mineurs, les poursuites judiciaires sont évidemment plus que légères : un seul des deux délinquants a été convoqué, et ce pour un simple rappel à la loi. En somme de quoi les dissuader de réitérer de tels actes… ou pas !

    Contre-info.com

  • Match de l’Algérie hier : révélateur de l’état de la France

     

    De nombreuses rues et places de France avaient hier un aspect révolutionnaire… Que se passait-il ? Simplement un match nul de l’équipe d’Algérie face à la Russie, ce qui déclencha la « liesse » de nombreuses racailles algériennes, qui ont exprimé à nouveau leur mépris du pays qu’ils occupent.

    D’innombrables incendies criminels ont été signalés (voitures, poubelles) ainsi que de nombreuses dégradations, à Roubaix, en banlieue parisienne, à Lyon, Marseille, Nantes, Grenoble, etc., par les témoins sur les réseaux sociaux, et même par quelques journalistes (Dauphiné Libéré, RTL).

    A Roubaix, comme on peut le voir sur ce diapo, de nombreux biens publics et privés ont été attaqués, et des voitures incendiées

    Comme dimanche dernier, les racailles ont interrompu la circulation automobile (voitures et transports en commun) et ferroviaire (SNCF et métro) dans de nombreuses villes, sans susciter de réaction des forces de police qui avaient ordre de laisser faire.

    Des drapeaux algériens ont été hissés ça et là.

    Tard dans la nuit, les forces de l’ordre ont fait évacuer les centres-ville souillés, affrontant parfois la violence des racailles algériennes.

    A Mâcon, la police reculait face aux immigrés. (vidéo)

    Dans de nombreuses villes, et notamment à Paris, des concerts de klaxons nocturnes ont empêchés les Français de dormir, chez eux.

    Encore une fois, la tolérance politico-policière d’hier dénote avec la répression qu’ont connu les Français lors des manifestations contre la loi Taubira.

    Contre-info.com

  • Affrontements sur le Vieux-Port entre la police et des groupes de supporters

     

     
    Marseille / Publié le Vendredi 27/06/2014 à 01H25
     
     
     

    Des affrontements viennent d'éclater sur le Vieux-Port à Marseille entre les forces de l'ordre et des petits groupes de supporters, qui ont provoqué les policiers avec des jets de bouteilles, après la qualification de l'Algérie en huitièmes de la coupe du monde. Les affrontements se poursuivent désormais sur la Canebière, à hauteur de la rue Saint-Ferréol. Des poubelles et autres objets prennent actuellement feu à hauteur de Noailles. Les CRS contiennent les groupes de supporters les plus violents.

    La police a répliqué avec des gaz lacrymogènes et une charge de civils. Les supporters venus faire la fête, rentrent petit à petit chez eux.

    La Provence