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Blog - Page 745

  • Hervé Juvin sur FigaroVox : la fin de la mondialisation et le retour des identités

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    L’essayiste et économiste français Hervé Juvin a été interrogé sur FigaroVox au sujet de son dernier livre, La grande séparation. Extraits.


    Hervé Juvin sur FigaroVox : la fin de la mondialisation et le retour des identités

    La condition politique repose sur la séparation des groupes humains qui assure leur diversité. Jusqu’ici cette séparation entre les hommes provenait de la langue, des mœurs, des lois et des cultures, et se traduisait par le phénomène universel de la frontière: on traçait des séparations matérielles entre «nous» et les «autres». Il s’agissait d’une séparation géographique, matérielle, et horizontale. La Nation était la traduction politique de cette séparation. Depuis une trentaine d’années, on assiste à un phénomène nouveau, une forme de transgression qui se traduit par le «tout est possible» ou «le monde est à nous». Tout cela est en train de faire naitre une nouvelle séparation qui bouleverse radicalement tout ce qui faisait le vivre-ensemble et le faire société. Ce que j’appelle «grande séparation», c’est cet espoir un peu fou, très largement dominant aux États-Unis, notamment à travers le transhumanisme, de s’affranchir totalement de la condition humaine. (…)

    On peut considérer qu’à bien des égards la mondialisation est achevée. J’ai la chance de voyager beaucoup dans le monde: il n’y a plus de jungles, de mangroves, de déserts, aussi perdus soient-ils où vous n’avez pas des gens qui sortent un téléphone portable de leur poche. La mondialisation des outils techniques – pour la plupart conçus en Occident- est à peu près aboutie. Le phénomène auquel on ne s’attendait pas, ce que j’appelle dans mon livre «l’aventure inattendue», c’est que l’uniformisation du monde est en train de réveiller les différences. L’exemple le plus frappant est celui de l’islam radical. Malraux parlait de «l’invincible sommeil de l’islam»: il y a trente ou quarante ans, l’islam était quelque chose d’endormi, d’immobile et d’assez pacifique. On peut dire ce qu’on veut sur les dérives extrémistes de l’islam, mais une chose est sûre: le retour (et dans certains cas l’invention) d’un fondamentalisme musulman (pratiques, cultes et doctrines rigoureux et agressifs) est généralement le produit direct d’une confrontation avec la modernité occidentale. (…)

    Nos amis américains disent volontiers : tout homme ou femme sur cette terre n’aspire qu’à une chose: devenir un américain comme les autres. C’est la négation absolue de l’altérité. C’est aussi l’inverse du respect pour l’Autre, celui qui ne sera jamais le même, celui qui à ce titre m’aide à sentir mon identité. La paix dans le monde repose sur l’idée inverse: indépendance et différence. j’ai trop longtemps vécu et travaillé à Madagascar, eu des amis marocains, fréquenté l’Inde, je respecte trop les Malgaches, les Marocains, les Indiens, pour vouloir qu’ils deviennent des Français comme les autres. Ils ont leurs identités, leurs coutumes religieuses, leurs mœurs, qui sont éminemment respectables: au nom de quoi puis-je dire que je suis supérieur à eux? Quel droit m’autorise à dire que l’avenir d’un malgache, d’un marocain ou d’un hindou est de devenir un Français comme moi ? C’est quelque part le crime de l’universel: de penser que ce qui est bon pour moi est bon pour le reste de l’humanité.

    Intégralité de l’entretien : lefigaro.fr/vox/monde/

    NOVOPRESS

  • On se fait insulter et on devrait casquer. Plus de frontières à notre connerie...

  • Hôtellerie et restauration jadis : de l’auberge du Moyen-Âge au grand restaurant du XIXe siècle

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    Fluctuant de façon arbitraire et excessive en dépit des ordonnances royales qui tentaient de le fixer, le prix des gîtes et des repas s’entendait de surcroît pour jouir d’une cuisine d’aubergistes peu élaborée, et il faut attendre les années 1770 pour voir apparaître les premiers restaurants : bientôt des enseignes célèbres offrent à leurs clients un choix des plus vastes de mets et vins fins, pour une somme avec laquelle, deux siècles plus tard, on devra se contenter d’un modeste repas dans une banale taverne.


    Un proverbe du Moyen-Âge disait que, lorsqu’on se mettait en voyage, il fallait se défier des brigands et des « hosteliers ». Il est vrai qu’en ce temps-là maintes auberges des grandes routes avaient le plus terrible renom. On contait d’effrayantes histoires sur les « hostelleries sanglantes » ; mais c’étaient le plus souvent de pures légendes. Les hôteliers se contentaient généralement d’écorcher les voyageurs au figuré.

    Le prix des gîtes et des repas augmentait parfois de façon si arbitraire et si excessive que plus d’un monarque d’autrefois décida d’en fixer le tarif. Au temps de saint Louis, on était nourri pour deux liards dans les auberges de Paris. Au siècle suivant, les prix avaient renchéri ; si bien que le roi Jean, estimant que les hôteliers abusaient, rendit, le 30 janvier 1351, une ordonnance suivant laquelle une journée et une nuit, repas compris, ne pourraient être payées plus de trois sols. Il s’agissait là du sol parisis, du sou d’argent.

    Lire la suite : france-pittoresque.com

    Crédit photo : Spiterman via Flickr (cc)

    NOVOPRESS

  • Tariq Abukhdeir, 15 ans, sauvagement passé à tabac par les flics israéliens

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    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Tariq-Abukhdeir-sauvagement-passe-a-tabac-par-les-flics-israeliens-26489.html

    VIDEOS et PHOTOS

  • 20,87 au bac: mention plus que bien pour le Dunkerquois Maëlan Tomasek

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    Publié le 04/07/2014

    ANNICK MICHAUD

    Avec une moyenne de 20,87 au bac S, Maëlan Tomasek décroche la meilleure note des bacs généraux du Dunkerquois*. « Je m’attendais à une bonne note, mais pas à plus de 20 ! », admet le lycéen scolarisé à Angellier. Notamment à cause des maths… où il décroche finalement un 20/20. Et ce n’est pas le seul : Maëlan Tomasek aligne la note maximale en sciences physiques, en SVT, en anglais, en espagnol, en grec, en physique « européenne », c’est-à-dire en section européenne. Sa moins bonne note ? 17 en philo…

    Pour autant, le bachelier qui n’affiche, en plus, que 17 ans, n’a pas passé une année à mettre complètement la tête dans les études : « J’ai travaillé comme les autres années », dit-il. C’est-à-dire en trouvant le temps d’avoir une vie sociale, de jouer du piano tous les jours et de prendre une leçon hebdomadaire, et de suivre ses cinq entraînements d’athlétisme par semaine. Parce qu’il n’y a pas qu’au bac que Maëlan Tomasek remporte le trophée : il est aussi vice-champion régional de haies en salle et en extérieur, champion académique avec le lycée… « C’est aussi cela qui fait réussir, ça permet de s’évader, de se changer les idées. »

    S’amusant d’avoir « battu » son frère, qui avait obtenu 18,17 (!), Maëlan Tomasek va intégrer à la rentrée le prestigieux lycée Henri-IV, à Paris, pour une prépa en biologie. Avec une idée en tête : « Devenir zoologiste. » Avant cela, il va disputer demain les interrégionaux d’athlétisme, « sans doute la dernière compétition de ma vie », dit-il en envisageant la somme de travail qui l’attend dans sa vie de néo-bachelier.

     

    * Aux Dunes, la meilleure moyenne est atteinte par un élève de terminale S avec 19,73 ; à l’EPID, c’est une fille, Lucile Engloo, qui remporte la palme, en S aussi, avec 19,5 de moyenne. Au lycée de l’Europe, le premier « dépouillement » des notes donnait un 18,86. Seul le lycée Jean-Bart n’a pas été en mesure de nous donner son « palmarès ».

     

     

     

  • Au moins six personnes arrêtées après l'assassinat du jeune Palestinien brûlé vif

    http://www.lefigaro.fr/international/2014/07/05/01003-20140705ARTFIG00122-l-adolescent-palestinien-enleve-a-jerusalem-est-aurait-ete-brule-vif.php

  • Honteux! - Un an après Lampedusa, nouvel appel du pape à accueillir les clandestins

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    06/07/2014 – LAMPEDUSA (Novopress) – Un an après sa visite hautement médiatisée à Lampedusa, le 8 juillet 2013, et alors que le déferlement migratoire, désormais organisé par la marine italienne dans le cadre de l’opération « Mare nostrum », a pris des proportions inouïes, le pape François n’en démord pas.

    L’archevêque d’Agrigente a dit samedi soir une messe sur la petite île pour célébrer le premier anniversaire du déplacement pontifical. À cette occasion, le pape François lui a adressé un message, publié sur le site officiel du Vatican.

    Le pape s’est félicité de « la présence spirituelle et affective de toutes les communautés catholiques italiennes, qui à différents niveaux et sous de multiples formes, participent activement à l’action [sic] d’accueil des migrants ».

     

    « J’encourage, a-t-il poursuivi, les communautés chrétiennes et toutes les personnes de bonne volonté à continuer à se pencher sur ceux qui sont dans le besoin pour leur tendre la main sans calculs, sans peur, avec tendresse et compréhension. En même temps, je souhaite que les institutions compétentes, particulièrement au niveau européen, soient plus généreuses et plus courageuses dans le secours aux réfugiés ».

    Jeudi dernier, dans la très populaire émission de radio, « La Zanzara », le député européen de la Ligue du Nord Gianluca Buonanno avait fait scandale en déclarant : « Tous ces morts [des naufrages] sont la faute de gens comme Laura Boldrini [la présidente ultra-immigrationniste de la Chambre des députés italienne] qui continue à promettre monts et merveilles à des gens qui arrivent ici et qui trouvent tout au plus la mort ou la misère. Le Saint Père ? Il est communiste. Il a le délit d’immigration clandestine dans l’État du Vatican, et il nous fait la morale. Que la Boldrini et lui viennent chercher les clandestins et qu’ils les emmènent dans la chapelle Sixtine. Moi, je ne veux pas mourir musulman. »

    Crédit image : copie d’écran de La Stampa (article cité) : DR.

  • 6 juillet 1962 : l’assassinat sordide de Roger Degueldre par la République, version De Gaulle.

    5 juillet 2014 par admin4 

    [Note : comme chaque année s'est tenue une émouvante cérémonie sur la tombe du lieutenant Roger Degueldre, à l’initiative du CNC, avec Roger Holeindre. Présence de militants du Renouveau français et de son directeur]

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    Ci-dessous un texte de José Castano à ce sujet :

    « Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM – R.D –

    C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que dg prit sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur! », avait justifié son action dans l’OAS par ces mots : « Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre.
    Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure !
    »

    Le lendemain, 6 juillet 1962, à l’aube, au fort d’Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu’il avait choisi comme linceul.
    Autour de son cou, il avait noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.
    « Dites que je suis mort pour la France ! » s’écria-t-il à l’adresse de son défenseur.
    Lire la suite

     

    Contre-info.com

  • 14 juillet : l'Algérie participera bien au défilé

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     Publié le 06.07.2014, 16h53 | Mise à jour : 18h03                                    

     

                                     

    (Illustration). Les autorités algériennes ont confirmé la présence symbolique de militaires algériens lors du défilé du 14 juillet à Paris.  | DR

                    

     

     

     

    C'est la première fois que l'Algérie participera officiellement aux cérémonies du à . Certes, ce ne sera pas un gros bataillon, mais la présence de trois militaires, lors d'une animation initiale sur la place de la Concorde devant les officiels de l'ancienne puissance coloniale, est assez symbolique des relations que les deux pays veulent désormais entretenir.

    Conscients de l'image qui pourrait heurter les récalcitrants ou certains nostalgiques de l'Algérie française hostiles à leur présence, les militaires algériens ne défileront pas. Ils seront simplement présents, place de la Concorde, précise-t-on au ministère français de l'Intérieur.

    Dimanche, le ministre algérien des Affaires étrangères a confirmé la participation algérienne. Le chef de la diplomatie algérienne a assuré que «le peuple algérien honore ses propres contributions à la liberté à travers le monde et assume toute son histoire (...) L'Algérie participera, dans le même format et dans les mêmes conditions que quatre-vingt autres nations dont des citoyens sont tombés sur les champs de bataille de la 1ère Guerre mondiale à la prévue à Paris à cet effet». Pour lui, cette participation va rendre «à nos valeureux aînés l'hommage qu'ils méritent pour le sacrifice de leurs vies pour la liberté d'autrui et la leur propre».

    Le FN opposé à la venue de militaires algériens

    «80 autres pays ayant participé à la première guerre mondiale ont également été invités cette année par le président de la République», avait récemment expliqué l'entourage du secrétaire d'État aux anciens combattants, Kader Arif.

    Cependant, la participation de militaires algériens n'est pas du goût du Front national, monté au créneau peu après l'information dévoilée, il y a plus d'un mois. «Cette présence militaire honteuse sur le sol français est une provocation indigne et le signe d'un très grand mépris pour tous les morts, disparus ou suppliciés victimes de cette armée», déploraient dans un communiqué rendu public, début juin, deux responsables frontistes ainsi que Mohammed Bellebou, conseiller municipal FN de Perpignan et président d'une association «France Harkis».

    D'après eux, «la présence de l'armée nationale algérienne pose un problème politique et un problème moral grave». Le député FN Gilbert Collard et le vice-président du parti, Louis Aliot, s'étaient aussi déclarés opposés à la présence de l'armée algérienne le 14 juillet.

    Côté algérien aussi, cette participation n'a pas séduit la puissante organisation des moudjahidine (ONM, anciens combattants) qui s'est opposée publiquement à la présence algérienne à cette cérémonie. Le ministre des Moudjahidine (combattants) Tayeb Zitouni a pour sa part refusé de se prononcer sur ce sujet. «La politique extérieure et de la Défense nationale relèvent des prérogatives du président de la République», a-t-il esquivé alors que la presse locale l'interrogeait mardi dernier.

    De son côté, le ministère français de la Défense s'était «réjouit» de la participation de l'armée algérienne le 14 juillet. «C'est une preuve que nous sommes rentrés dans une phase pacifiée avec l'Algérie», avait indiqué le ministère, en ajoutant que Jean-Yves Le Drian, qui s'est rendu en Algérie le 20 mai, «s'est fait confirmer par les autorités algériennes leur volonté historique d'y participer».

    LeParisien.fr

  • L'institutrice poignardée à Albi militait pour les sans-papiers

    6 juillet 2014 par CharlotteO

    Fabienne tuée

    Vendredi matin, dernier jour de l’année scolaire, une institutrice de grande section de maternelle a été poignardée par Rachida, le mère d’une élève de la classe de cette jeune maman de 34 ans.

    Rachida, auteur du crime, était déjà connue des services de police : elle avait été signalée au début de l’année au parquet pour des « troubles psychiques » et une enquête pour délaissement de mineur avait alors été ouverte. Elle avait été hospitalisée jusqu’au 18 mars dernier avant de récupéré la plus jeune de ses deux filles en Espagne, avant de la scolariser dans cette petite école d’Albi, en mai.

    Vendredi, elle est venue à l’école avec un couteau de cuisine dans son sac à main et a tué la jeune institutrice devant tous ses élèves « parce qu’elle n’était pas gentille avec sa fille », laissant deux fillettes de 6 ans et 9 mois orphelines.

    Comme d’habitude, les troubles psychiatriques sont mis en avant, et personne ne relève qu’il s’agit encore une fois du meurtre d’une Française par une étrangère, aux origines marocaines cette fois-ci.

    Troubles psychiatriques sans doute, qui ne l’empêchaient pourtant pas d’avoir la garde de se petite fille de 6 ans…

    L’invocation de cette excuse psychiatrique est devenue le signe évident d’un meurtre commis par des étrangers, cachant la réalité d’une part, déresponsabilisant ces agresseurs d’autre part.

    Ironie bien triste de cette histoire  : Fabienne Terral-Calmès était engagée au sein du Réseau Education Sans Frontière (RESF) et accompagnait notamment une famille béninoise de cinq enfants menacée d’expulsion, et militait pour sa régularisation. 

    Dans la foulée du meurtre atroce de cette jeune femme, la famille a demandé à la préfecture, « en mémoire de Fabienne », la régularisation de cette famille. Les services préfectoraux auraient donné une réponse favorable…

    Des décennies d’immigration de masse, de laxisme judiciaire, et de culture de l’excuse systématique envers les immigrés ont encore une fois abouti à un meurtre. Mais les politiques successives sont également responsables de la culpabilisation de cette famille qui choisit, souffrant de la mort d’une des leurs, d’accentuer – au moins symboliquement – le problème en pensant participer à sa résolution…

    Contre-info.com

  • L'épouse de Jean-François Copé a-t-elle pris l'avion aux frais de l'UMP ?

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    Créé le 06/07/2014 à 16h06
     
    © MaxPPP

     

    Alors qu'une nouvelle polémique sur la gestion des comptes de l'UMP pourrait émerger, le nom de Nadia Copé, l'épouse de Jean-François Copé, est mentionné. Selon « le Journal du Dimanche », l'audit des comptes du parti, réalisé par un cabinet indépendant, révèle qu'en 2013, l'UMP a payé la somme de 24 000 euros de billets d’avion pour Nadia Copé.

    Suite à la publication de cette information, l'entourage de Jean-François Copé a assuré que le parti « assumait » ces dépenses. « Mme Copé se déplaçait dans des visites officielles, en application de la doctrine mise en place par les prédécesseurs » de Jean-François Copé, ont assuré ses proches. Pour justifier ces frais, ils ont ajouté que Nadia Copé exerçait un « rôle de représentation ».

    « Le train de vie de la maison Copé » pointé du doigt

    L'audit des comptes, qui doit être remis lundi au secrétaire général de l'UMP Luc Chatel, pointe du doigt « le train de vie de la maison Copé ». Par ailleurs, toujours selon le « JDD », la dette du parti avoisinerait les 80 millions d'euros. En conséquence, l'UMP serait dans impossibilité de régler ses échéances bancaires. Face à ces révélations, le parti a réagi. « Il y a là un tissu de contrevérités, à mille lieues de l'audit qui mardi le démontrera. Il s'agit d'information erronées ou partielles qui s'apparentent à une chasse aux sorcières qu'aucun des membres de la direction actuelle n'appelle de ses vœux », a tranché la formation politique.

  • VIDEO. Le drapeau ukrainien flotte à nouveau sur le bastion rebelle de Slaviansk

    Devant le bâtiment du conseil municipal, s'entassaient des armes anti-char et des munitions, laissées sur place par les combattants séparatistes prorusses.

    Francetvinfo - 05 07 14

  • Le père de Leonarda : «Attention, j'arrive en France !»

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      Home ACTUALITE Société

     

    Leonarda se trouve actuellement avec sa mère et trois de ses frères en Croatie, pays membre de l'Union européenne. Munis de passeports croates, les Dibrani pourraient revenir prochainement en France.

    «Attention, j'arrive en France!». Resat Dibrani, le père de Leonarda, est encore plus déchaîné qu'à l'ordinaire. La lycéenne rom expulsée de France l'an dernier, explique-t-il au Figaro, se trouve actuellement, avec sa mère et trois de ses frères, en Croatie, pays membre de l'Union européenne. Munis de titres de voyages fournis par l'ambassade de Croatie à Pristina, Leonarda, sa mère Xhemila et trois de ses frères séjournent depuis jeudi chez le frère de Resat Dibrani, à Sisak, à 60 km au sud-est de Zagreb. «Lundi, ils auront les passeports, jubile le père. Et dans une semaine, quinze jours, on partira, toute la famille ensemble! Comme ça, ma femme - enceinte de huit mois et demi - accouchera à l'hôpital de Pontarlier, là où est née Medina (la fille cadette des Dibrani, Ndlr)».

    Mme Dibrani et cinq de ses six enfants détenaient des passeports croates dont la validité avait expiré. De surcroît, selon l'AFP, Mme Dibrani possède un certificat de citoyenneté croate dit «domovnica» délivré le 17 janvier 1973 à Vinkovci (est de la Croatie), sous son nom de jeune fille, Braimi. Fin mai, la famille avait demandé à l'ambassade de Croatie au Kosovo de nouveaux passeports croates.

    «On va leur montrer à Hollande et à Valls qui est le chef!»

    Quant à Resat Dibrani, qui possède un passeport kosovar, il est encore à Mitrovica avec sa plus jeune fille Medina, 2 ans, et Maria, 17 ans, qui possède un passeport croate mais est restée s'occuper de sa petite sœur. La famille va désormais s'atteler à obtenir un passeport croate pour la plus jeune des Dibrani et, d'un autre côté, à légaliser le mariage entre Resat et Xhemila, ce qui permettrait au père de famille d'obtenir lui aussi le précieux document. «On ne change pas de nationalité: on est croates! Les enfants sont nés en Italie, s'égosille le père de Leonarda. On va leur montrer à Hollande et à Valls qui est le chef! On va leur dire en face! Ils ne me croyaient pas quand on disait qu'on était européens. Ils nous ont renvoyés au Kosovo comme des animaux, avec de faux papiers. Ah, le préfet du Doubs, il va être bien dans la merde!»

    Et les Dibrani, poursuit le père, ne s'arrêteront pas là… «Il faut que toute l'Europe sache ce qu'a fait la France, tonne-t-il. Nous allons aller à la Cour de Strasbourg (la Cour européenne des droits de l'homme, Ndlr), pour demander des dommages et intérêts. La France, maintenant, on va la faire payer!»

    LE FIGARO

  • VIDEO - Un adolescent de 15 ans battu par des policiers israéliens

    https://fr.news.yahoo.com/video/un-adolescent-battu-par-des-183410005.html

    Francetv info Vidéo

    Il s'agirait du cousin du jeune Palestinien assassiné. Agé de 15 ans et citoyen américain, il a été arrêté et doit comparaître devant un tribunal de Jérusalem.
  • Albi: Fabienne Terral-Calmès, 34 ans, l'institutrice poignardée à mort par la mère d'une élève

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    L'enseignante a été attaquée vendredi matin par une parente d'élève au moment où les enfants de maternelle entraient en classe, dans une école d'Albi.

     

    Poignardée à mort devant ses élèves de grande section maternelle. Vendredi, à l'heure de la rentrée des classes du dernier jour de l'année, une enseignante a été attaquée par la mère d'une élève, au sein de l'école Edouard Herriot à Albi, dans le Tarn. Malgré les soins prodigués sur place, l'institutrice albigeoise de 34 ans est décédée de ses blessures peu avant 11 heures. La victime, Fabienne Terral, était maman de deux enfants en bas âge.

    La suspecte, qui avait pris la fuite avec sa fille, a été interpellée par la police 20 minutes plus tard non loin de l'école et placée en garde à vue. Ce vendredi matin, la raison de l'attaque n'était pas connue. «L'enquête [la] déterminera», a déclaré le procureur d'Albi Claude Derens. «D'après les premiers éléments de l'enquête, la mère de famille, qui voulait en découdre avec l'enseignante de son enfant, avait apporté un couteau de cuisine - une lame de 16 centimètres - dans son sac à main», a décrit le procureur un peu plus tard dans l'après-midi, précisant que l'autopsie avait révélé un seul coup de couteau porté au niveau du flanc de la victime. L'institutrice a été attaquée devant «à peu près 14 élèves». Selon les informations de BFMTV, l'agresseuse présumée aurait affirmé «je ne suis pas une voleuse», avant de poignarder l'enseignante à l'abdomen. Selon d'autres témoins cités par La Dépêche , l'institutrice avait récemment fait une remarque à la maman d'élève sur les nombreux retards de son enfant.

    L'auteure, mère de deux enfants, n'avait à sa charge que la cadette de six ans. Elle avait déjà été signalée début 2014 au parquet pour des «troubles psychiques» et une enquête pour délaissement de mineur avait été ouverte, conduisant à son hospitalisation en milieu psychiatrique jusqu'au 18 mars. Elle avait ensuite récupéré sa fille en Espagne et l'avait scolarisée à Albi au groupe scolaire Herriot en mai.

    Une analyse psychiatrique a été confiée à un collège d'experts psychiatres: si ces derniers estiment qu'elle n'avait pas conscience de ses actes, elle sera considérée comme irresponsable et donc non apte à être jugée. Le procureur a en tout cas annoncé dans l'après-midi que l'état de la suspecte nécessitait une hospitalisation psychiatrique. «L'auteure présumée des faits, lorsqu'elle a été arrêtée, n'était pas en train de fuir et marchait semble-t-il paisiblement dans la rue (près de son domicile). En raison des déclarations peu cohérentes qu'elle a faites dès le début de sa garde à vue, j'ai requis deux experts pour un examen psychiatrique», a expliqué le procureur. Cette expertise conclut à l'existence de «troubles mentaux sévères sous forme d'idées délirantes de persécution», a poursuivi le magistrat. Au moment des faits, «il existait un état de décompensation psychiatrique», a-t-il souligné, ce qui signifie des «troubles psychiques ayant aboli son discernement au sens de l'article 122-1 du Code pénal».

    Le drame s'est déroulé au sein de l'école Edouard Herriot qui accueille 284 enfants en maternelle et primaire (de trois à onze ans environ). Le groupe scolaire est situé dans le quartier Lapanouse, connu pour sa mixité sociale. Les élèves et enseignants de l'école ont été évacués dans la matinée tandis que la préfète et la rectrice se sont immédiatement rendus sur place. Une cellule psychologique a été mise en place dans l'établissement pour les prendre en charge.

    François Hollande exprime sa «consternation»

    Dès la fin de matinée, le ministre de l'Éducation nationale, Benoît Hamon, a exprimé ses «plus vives condoléances». En début d'après-midi, le ministre était sur place et a donné un point presse dans lequel il a qualifié l'acte d'«abominable et odieux». Il a également rendu hommage à la mémoire d' «une formidable enseignante», rappelant que ce meurtre ne devait pas entâcher cette école et son projet éducatif. Même si l'on ne connaît pas encore le mobile de la meurtrière, le ministère estime que «ce drame confirme la nécessité de lutter contre les violences dans et autour de l'école, de protéger l'école, les enseignants et les élèves.»

    LE FIGARO

  • Israël: l'adolescent palestinien assassiné a été brûlé vif

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    http://www.leparisien.fr/international/israel-l-adolescent-palestinien-assassine-a-ete-brule-vif-05-07-2014-3979979.php

     

     

    Forcé à boire du carburant

    Pire, selon le ministre palestinien chargé de Jérusalem, Adnane al-Husseini, «le meurtre a été marqué par une opération de défiguration d'un enfant». «C'est la première fois que j'entends parler d'une telle manière de tuer, le garçon ayant été brûlé de l'intérieur et de l'extérieur, car il a probablement été forcé à boire du carburant», a-t-il ajouté.

    Lire l'article en entier

     

  • 5 juillet 1962 : le massacre d’Oran, avec la complicité de De Gaulle

    4 juillet 2014 par admin4 

    Le général Katz, ordure aux ordres d’une autre ordure

    Ce 5 juillet à Oran, alors que le prétendu « cessez-le-feu » était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroule une chasse aux Blancs visant les malheureux qui n’avaient pas encore eu le temps de quitter les lieux.

    « On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
    On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »

    Bilan : 3 000 morts et disparus.

    Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir.
    Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’Etat répondit « ne bougez pas ».

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  • VIDEO - Deux racailles brûlent un drapeau français pendant le Mondial de foot 2014

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