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Blog - Page 783

  • « Agression homophobe » : encore raté !

     agression

    Le 8 mai 2014
    Stupeur : les dangereux catholiques intégristes et homophobes de la Manif pour tous qui, bien entendu, avaient fait le coup, s’appellent Abdelmalik et Taieb.
             

    L’affaire avait fait grand bruit, elle est « résolue ». Les agresseurs de Wilfred et Olivier, homosexuels attaqués il y a un an à Paris, ont été condamnés mardi à 18 et 24 mois de prison ferme.

    Stupeur : les dangereux catholiques intégristes et homophobes de la Manif pour tous qui, bien entendu, avaient fait le coup, s’appellent Abdelmalik et Taieb.

    Encore raté.

    Un an et demi de mobilisation, aucun incident majeur… Rageant, pour cette gauche morale qui guettait le faux pas à instrumentaliser pour rallier à la cause LGBT la ménagère outrée de cette violence derrière son écran de télévision.

    Et pourtant, elle a essayé. Deux faits divers rendus spectaculaires auront été attribués au « climat instauré par l’extrême droite et la Manif pour tous » : l’agression dans les locaux de Libération, puis celle de ce couple homosexuel.

    Résultat ? Abdelhakim Dekhar d’abord, puis Abdelmalik et Taieb. Aucune trace d’extrême droite catholique intégriste, à moins qu’elle n’ait vraiment changé… C’est incroyable, comme la réalité peut s’acharner contre la gauche.

    Ils ont fait peser l’accusation de cette agression sur la LMPT pendant un an, mais personne n’aurait l’idée de s’excuser… On laisse planer le doute, au cas où. On a eu droit à la présence des deux homos à chaque happening LGBT, meeting d’Anne Hidalgo, soirée de Jean-Luc Romero pour dénoncer l’homophobie… Ils tiennent un bon fait divers, enfin, ils ne vont pas le lâcher ; y a encore PMA et GPA qui attendent…

    Mais pas un mot sur les deux agresseurs. La même histoire que pour Libération : la République en danger avait soudainement retrouvé ses esprits quand elle avait appris que l’abominable nervi d’extrême droite s’appelait Abdelhakim, et que son cœur penchait plutôt à l’extrême gauche.

    L’avocat de ces deux voyous déclarait à la sortie du tribunal : « Je crois que le clivage du mariage pour tous leur a complètement échappé, ils sont dans une mauvaise soirée, éméchés, dans une violence gratuite ; ces deux jeunes homos sont tombés au mauvais moment, je ne sais pas qui ils auraient agressé ce soir-là, mais je pense qu’il y aurait eu agression. »

    La voilà, la vraie information ! On veut bien croire Wilfred de Bruijn quand il parle de « l’horreur qu’il a vécue » : c’est celle que subissent — soutien médiatique, politique et judiciaire en moins — des centaines de Français chaque jour. Il a été agressé, rien d’exceptionnel malheureusement.

    Intéressant, d’ailleurs, de noter que, soudainement, « l’enfance difficile » du pauvre petit Malik, 19 ans, multirécidiviste, qui a grandi « entre un père algérien éboueur à Paris et des grands-parents qui le récupèrent à la mort de sa mère », semble nettement moins émouvoir toute la caste bien-pensante qui en aurait pleuré en d’autres temps.

    Pas un mot, non plus, sur son compagnon d’agression, Taieb, 20 ans, condamné à sept reprises pour vol et violences… Subitement, vous remarquerez, la prison devient la solution.

    Beaucoup de bruit sans l’essentiel : une agression ordinaire.

    Mais même la réalité dans la figure – et c’est peu de le dire –, Wilfred continue à faire semblant de ne pas la voir et dénonce des opposants aux revendications LGBT légitimes et irréprochables.

    S’il était honnête, il reconnaîtrait que, dans son malheur, il a quand même eu de la « chance »… Il y a quelques jours, une jeune fille était sauvagement violée par quatre garçons turcs et marocains, simplement parce qu’elle était française. Pour elle, comme pour les milliers de victimes quotidiennes de ces « bandes de jeunes », pas un mot…

    Charlotte d'Ornellas

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Le virus Ebola aurait atteint l'Europe par l'Italie

     

    Le Virus Ebola aurait atteint l'Europe par l'Italie - Une immigration aux conséquences sanitaires dangereuses

     


    Une immigration aux conséquences sanitaires dangereuses



    Michel Lhomme
    le 08/05/2014
    Décidément en plus de Yellowstone, des quatre lunes, d'une menace thermonucléaire en Ukraine et sans parler de Valls à Matignon, il y a une certaine dose d'Armageddon et d'Apocalypse depuis quelque temps dans les dépêches. Dans le style, on reparle beaucoup, en ce moment, d'Ebola ou du Camp des Saints. Que se passe-t-il exactement ?

     
    Bien que les responsables de l’Organisation mondiale de la santé travaillent pour stopper la diffusion du virus Ebola qui touche maintenant sept pays africains, le virus, l'un des plus violents qui soient, semblent bien poursuivre sa progression. En Guinée, les fonctionnaires du département de la Santé ont rapporté que l’épidémie était sous contrôle. L’épidémie du virus Ebola aurait déjoué, ces dernières semaines en Afrique de l'Ouest tous les efforts de confinement. D’après les groupes de secours chrétiens travaillant en Guinée et au Libéria, le nombre d’infections a grimpé de 15 % la semaine dernière.
     
    En fait, bien qu’elle soit proche de la souche du Zaïre, la souche d’Ebola dont on parle actuellement est, d’après l’Organisation mondiale de la santé, nouvelle et différente. Cela explique les faux résultats négatifs des tests et ce sont ces faux résultats négatifs qui expliquent qu'en Afrique des personnes infectées par le virus sont rentrées chez elles pour se remettre de ce qu’elles pensaient être la grippe, ce qui a eu pour conséquence immédiate de propager davantage cette nouvelle souche du virus. Le résultat aurait été, en particulier en Guinée, une perte complète de cloisonnement de cette épidémie du virus.

    On a parlé de quarante travailleurs clandestins venus de la zone d’épidémie qui auraient débarqué à Pise, en Italie et y seraient déjà isolés du fait de fièvres et de conjonctivites ensanglantées autour des yeux, indiquant des signes d’infection possible au virus Ebola, ce qu'a nié énergiquement la direction du centre de santé de Pise. Avec une arrivée probable à Pise du virus, le continent européen serait, en effet, immédiatement en danger. En fait, que le virus Ebola rentre en Europe par l'Italie n'aurait rien d'étonnant. Ce samedi 26 avril, à Lampedusa, 850 clandestins sont arrivés après avoir été secourus dans le Canal de Sicile. De fait, l'Italie a voté la semaine dernière une loi obligeant de secourir tous les bateaux d'illégaux pour éviter les naufrages mortels. C'est selon nous un véritable suicide collectif pour l'Europe, prôné bien évidemment au nom de l'humanitarisme stupide, le pape François en tête. Les médias continuent de parler d'immigration sauvage mais il s'agit maintenant d'un d'exode massif d’Africains, d'un déplacement gigantesque de population en déshérence fuyant un continent ravagé par les guerres ethniques et l'extrémisme religieux. Une première sonnette d’alarme aurait officiellement été tirée à Lampedusa, par le Ministère de la Santé italien. 

    D’après un rapport administratif, c'est le 16 avril qu'aurait été enregistrée la date à laquelle l’île sicilienne fut touchée par l’épidémie. S’il prenait quartier en Italie, le virus Ebola extrêmement contagieux (une simple poignée de main suffit à la transmission) passerait en France et sur tout le continent très rapidement. En cas d'épidémie confirmée en Europe, le transport aérien transatlantique serait forcément très vite concerné et la panique pourrait  être sans précédent. Le virus Ebola est incurable (85 % de taux de mortalité), et est quasiment mortel au bout de quelques jours.
     
    En Italie, ces derniers jours, l’inquiétude grandit face aux conséquences sanitaires du déferlement actuel des clandestins. Après Chieti dans les Abruzzes, c’est au tour de Modica, dans la province de Raguse en Sicile, de manifester sa peur. La ville est voisine du port de Pozzallo, où les clandestins arrivent actuellement à jet continu.  Même la Repubblica a reconnu que « Pozzallo explose ». Il semblerait que les autocars, loués par l’administration à des compagnies privées, soient employés indifféremment pour le transfert des clandestins en centre d’accueil le soir et pour les sorties scolaires. Sans vouloir dramatiser il va de soi que la situation sanitaire des clandestins est aléatoire. On diagnostique régulièrement chez les immigrés la tuberculose, la gale, voire le sida. Certains parents italiens, en signe de protestation, ont décidé ces derniers jours de ne pas envoyer leurs enfants à une sortie scolaire tant que les transports en commun ne seraient pas vérifiés. 

    Ainsi, les Italiens anesthésiés et cadenassés par l'idéologie mondialiste du pape et la décision européenne du mois dernier de secourir systématiquement toutes les embarcations de clandestins commencent à sortir de leur réserve. Dans toute l'Afrique, l'appel d'air a été entendu et les réseaux de passeurs font actuellement la richesse de toutes les tribus du nord de la Lybie ou des pêcheurs maghrébins. 
     
    METAMAG
  • Les oies sauvages

     

    Version Légion étrangère

    I

    Les oies sauvages vont vers le Nord
    Leurs cris dans la nuit montent.
    Gare au voyage car la mort
    Nous guette par le monde. (bis)

    II

    Au bout de la nuit qui descend
    Voyagent, grises escadres.
    L’orage gronde et l’on entend
    La rumeur des batailles. (bis)

    III

    En avant vole grise armée
    Et cingle aux mers lointaines.
    Tu reviendras, mais nous qui sait
    Où le destin nous mène. (bis)

    IV

    Wildgänse rauschen durch die Nacht
    Mit schrillem Schrei nach Norden.
    Unstete Fahrt, habt acht, habt acht!
    Die Welt ist voller Morden. (bis)

    V

    Pour la victoire de la Légion,
    Avançons dans la guerre.
    Murmurez-nous, si nous tombons
    La dernière prière. (bis)
    (Wikipédia)
  • Un légionnaire français de 25 ans tué au nord du Mali

    La mort de ce sous-officier du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi porte à huit le nombre de pertes françaises au Mali depuis le début des opérations.

    Depuis le début de l'opération Serval, il est le huitième soldat français à perdre la vie au Mali. Le sous-officier français du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi, Marcel Kalafut, a été tué en opération dans la nuit de mercredi à jeudi dans le nord du pays, a annoncé l'Élysée dans un communiqué jeudi matin. Le chef de l'Etat a précisé sur France 2 que deux autres militaires avaient été blessés. Les nouvelles sont «rassurantes» les concernant, selon Hollande.

    Le président de la République a toutefois exprimé sa «profonde tristesse», saluant le «sacrifice de ce légionnaire français». Il a exprimé sa «totale confiance» aux forces françaises engagées dans la lutte «contre les groupes armés terroristes». La mort de ce sous-officier du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi porte à huit le nombre de pertes françaises au Mali depuis le début des opérations.

     

    Le militaire âgé de 25 ans a été tué par un «engin explosif improvisé» placé par un groupe djihadiste dans le massif du Tigharghar, au Nord-Est du Mali, a précisé le ministre français ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian. «L'explosion, due à une mine ou à un engin explosif improvisé, n'a pas été suivie de combats au sol, on n'est pas dans le schéma d'une embuscade», a expliqué un porte-parole du chef d'état-major des Armées.

    «Il est mort pour la liberté du Mali, la sécurité du Mali, mais aussi pour la liberté, la sécurité de l'Europe et de la France», a-t-il dit sur BFMTV et RMC. «Nous sommes en train de nous réorganiser pour avoir une conception régionale du contre-terrorisme», a expliqué le ministre, précisant que 1000 soldats français allaient être concentrés près de Gao et 3000 autres sur la «bande sahélo-saharienne».

     

    Selon le ministre, «il restait au Nord la volonté d'un certain nombre de groupes de jihadistes de se reconstituer, ils sont beaucoup moins nombreux mais ils n'ont rien à perdre, ils laissent leur vie et donc il faut lutter de manière extrêmement précise contre toute forme de regroupement, de recrudescence des groupes jihadistes dans cette partie du Mali, bien au Nord et dans l'Adrar des Ifoghas». La France est intervenue militairement en janvier 2013 aux côtés des forces maliennes pour déloger les combattants islamistes qui contrôlaient alors les deux tiers du pays et menaçaient la capitale Bamako.

    LE FIGARO  08 05 14

  • Paris: frappé de six coups de couteau alors qu'il porte secours à une passante

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    Porte d'Ivry

    Son civisme aurait pu lui coûter cher. Ce jeudi après-midi, un chauffeur de poids-lourds a été frappé de six coups de couteau, alors qu’il tentait de venir en aide à une jeune femme molestée par deux individus. La scène s’est passée vers 16 heures porte d’Ivry à .

    Apercevant la victime en mauvaise posture, le chauffeur décide de s’arrêter pour tenter de faire fuir les deux agresseurs.

     

    C’est alors que l’un des deux sort une arme blanche et s’en prend au bon samaritain. Les deux hommes prennent immédiatement la fuite.

    De son côté, le chauffeur réussit à remonter dans son camion, pour tenter de se rendre à l’hôpital le plus proche. Désorienté et blessé, il se résout finalement à demander de l'aide à un passant. Le passant qui se trouve être un qui n'est pas en service. Ce dernier prévient immédiatement les secours et les services de police.

    Le chauffeur courageux a été hospitalisé. Ses jours ne sont pas en danger.

    LeParisien.fr  08 05 14

     

     

  • Ukraine: Poutine change de ton mais ne renonce pas

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    Le Vif

    Source: Belga
    jeudi 08 mai 2014 à 18h27

    Vladimir Poutine a changé de ton sur l'Ukraine en demandant le report du référendum séparatiste pro-russe, mais ce geste ne signifie en rien qu'il renonce à ses objectifs, relevaient jeudi la presse et les analystes à Moscou.

    © Reuters

    Dans des déclarations inattendues, le président russe a demandé mercredi aux séparatistes de l'est de l'Ukraine de reporter le référendum prévu dimanche, afin de favoriser un dialogue inter-ukrainien, et il a ouvert la porte à la reconnaissance par Moscou d'une élection présidentielle anticipée prévue le 25 mai. En même temps, il a appelé les autorités de Kiev "à arrêter immédiatement toutes leurs opérations militaires et punitives". La position de M. Poutine a été qualifiée de "moquerie" par Kiev. Et les Européens, s'ils en ont salué l'orientation, ont demandé des actes. Presse et analystes, à Moscou comme en Occident, hésitaient eux aussi sur la portée à accorder à la déclaration du chef de l'Etat russe.

    A fortiori après que les séparatistes ukrainiens ont indiqué maintenir leur référendum, faisant fi de la demande de Moscou. Le Kremlin en a pris acte, sans autre réaction dans l'immédiat. "Le fait que les séparatistes ne veuillent pas reporter le référendum est utile, cela montre que ce ne sont pas des marionnettes. Il est possible que le Kremlin ait prévu précisément une telle réaction", a estimé Nikolaï Petrov, de la Haute école d'économie à Moscou. Cet expert n'exclut pas qu'une ébauche de compromis ait été conclue avec les Occidentaux sur une forme de partage des zones d'influence respective entre l'Est et l'Ouest de l'Ukraine, au moyen d'une structure de type fédérale. Mais il constate que dans l'immédiat l'annonce du Kremlin permet à Vladimir Poutine de "se montrer pratiquement en homme de paix".

    Russes et Occidentaux vont d'ailleurs se voir le 6 juin aux célébrations du Débarquement allié en Normandie, où la venue de M. Poutine a été confirmée jeudi. Gerhard Mangott, spécialiste de la Russie à l'Université d'Innsbruck, s'interroge cependant également sur la portée du changement de ton de M. Poutine. "Soit il n'a qu'une influence limitée sur les séparatistes, soit il n'a fait que le show", a-t-il déclaré."C'est une manoeuvre tactique. La Russie s'est finalement rendu compte qu'elle n'avait pas assez de soutien dans l'est de l'Ukraine", estime de son côté Joerg Froebig, du German Marshall Fund à Berlin. Pour Alexeï Makarkine, du Centre des technologies politiques à Moscou, les risques pour la Russie étaient trop grands à cautionner un référendum auquel une grande partie de la population de l'Est ukrainien aurait pu ne pas participer. Selon cet expert, la position affichée par le Kremlin témoigne que des négociations de compromis sont bien à l'oeuvre en coulisse avec les Occidentaux, et que la Russie n'a pas l'intention d'obtenir le rattachement à son territoire des régions de l'Est et du Sud de l'Ukraine. "Ce serait un conflit supplémentaire avec la communauté internationale et une lourde contrainte" du fait des sanctions, estime-t-il. Maria Lipman, de l'antenne moscovite du Centre Carnegie, estime elle aussi que la Russie "essaie d'éviter des sanctions sérieuses, de gagner du temps, en se servant du fait que l'Europe elle-même n'a pas très envie de les mettre en oeuvre".

    Kommersant, le quotidien russe des affaires, en faisait le constat dans son édition de jeudi: "Les propos de Vladimir Poutine privent les partisans d'une ligne dure contre Moscou du prétexte formel au lancement d'un troisième train de sanctions, économiques". Quant au quotidien populaire Moskovski Komsomolets, il titrait: "La Troisième guerre mondiale attendra". Pour autant, souligne Mme Lipman, il est impossible de prédire ce qui va se produire maintenant. "Poutine maintient tout le monde dans la tension et l'incertitude", a-t-elle dit. M. Poutine a assuré mercredi que la Russie avait retiré ses troupes de la frontière ukrainienne, mais comme le soulignait jeudi le quotidien en ligne gazeta.ru, il ne faudrait que "quelques heures" pour les y faire revenir. A la veille d'un grand défilé militaire pour les célébrations de la victoire sur les nazis, M. Poutine a supervisé jeudi depuis Moscou de vastes exercices militaires comprenant plusieurs tirs de missiles intercontinentaux.

  • Poutine promulgue une loi anti-révisionniste

    7 mai 2014

    Ceux qui connaissent un peu la situation intérieure russe ne seront pas surpris.

    Le président russe Vladimir Poutine a promulgué lundi une loi pénalisant de cinq ans de prison et de 500 000 roubles (14000 dollars), la contestation de la version officielle de la « Shoah », rejoignant le club des pays (comme la France) qui interdisent la recherche et le débat historique sur ce sujet sensible et controversé.

    La loi, votée le mois dernier par le Parlement russe, vise globalement à « sanctionner la réhabilitation du nazisme, la négation des faits énoncés dans le jugement du Tribunal militaire international de Nuremberg et la propagation d’informations notoirement fausses sur les activités de l’URSS lors de la Seconde guerre mondiale. »

    Contre-info.com

  • Frères musulmans / UOIF : Christine Boutin interpellée par Joachim Véliocas

     

     

     

    08/05/2014 – PARIS (NOVOpress via) - Le 27 avril 2014, Solidarité Copte organisait une conférence sur les persécutions des Chrétiens d’Orient. Christine Boutin est interpellée par Joachim Véliocas directeur de l’Observatoire de l’islamisation, sur l’attitude de son parti le PCD longtemps associé à l’UMP, sur sa présence au congrès de l’UOIF (Frères Musulmans), son refus d’interdire le voile dans les écoles publiques et sa proposition de prêter des salles paroissiales aux musulmans pour solutionner les prières de rue (sic)…Pour C.Boutin il n’y a pas de problème spécifique musulman, car “il y a des catholiques fondamentalistes comme il existe des fondamentalistes musulmans”… un relativisme qui ne convainc plus guère. Rappel : Interrogée par Robert Ménard sur les prières de rue, elle propose que les catholiques prêtent des salles paroissiales aux musulmans.

  • Première divergence entre Poutine et les pro-russes de l'Est de l'Ukraine

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    Le Vif

    Source: Belga
    jeudi 08 mai 2014 à 14h54

    Le Kremlin a indiqué jeudi "analyser" la situation après l'annonce par les séparatistes pro-russes de l'Est de l'Ukraine qu'ils maintenaient le référendum dont Vladimir Poutine avait demandé le report.

     

    "Il y a de nouveaux développements. Il faut analyser", a déclaré le porte-parole du président russe Vladimir Poutine, Dmitri Peskov, cité par l'agence publique Ria Novosti.

    Plus tôt dans la journée, des représentants des séparatistes ukrainiens avaient déclaré qu'ils maintenaient la consultation annoncée pour dimanche sur une "déclaration d'indépendance" de la "république" autoproclamée de Donetsk, dans l'Est du pays.
    M. Poutine avait demandé mercredi aux séparatistes ukrainiens de reporter ce référendum, dans un geste d'apaisement à l'issue d'entretiens au Kremlin avec le président en exercice de l'OSCE, le Suisse Didier Burkhalter.

    M. Peskov a par ailleurs indiqué que le Kremlin avait reçu la "feuille de route" de règlement de la crise ukrainienne évoquée avec M. Burkhalter mercredi."Il faut maintenant du temps pour l'étudier dans le détail", a déclaré M. Peskov, cité par Ria Novosti.
    M. Burkhalter, qui est aussi président de la Confédération helvétique et chef de la diplomatie suisse, a proposé mercredi une démarche en quatre points: "Cessez-le-feu, désarmement, dialogue, élection" pour faire baisser la tension en Ukraine.

  • Vladimir Poutine pour le report du référendum de l’Est ukrainien

     

    Le 7 mai 2014

    par Matt Robinson et Darya Korsunskaya

    DONETSK Ukraine/MOSCOU (Reuters) – Vladimir Poutine a demandé mercredi aux séparatistes pro-russes de l’est de l’Ukraine de repousser le référendum d’autodétermination qu’ils entendent organiser dimanche prochain, une prise de position susceptible d’éloigner un temps au moins les risques de démantèlement du pays.

    « Nous appelons les représentants de l’Ukraine du sud-est, les partisans d’une fédéralisation de ce pays, à différer le référendum prévu pour le 11 mai », a dit le président russe.

    Poutine, qui a aussi annoncé le retrait des forces russes massées le long de la frontière ukrainienne, a également baissé le volume des critiques de Moscou sur l’élection présidentielle anticipée programmée pour le 25 mai en Ukraine.

    Alors que le Kremlin s’interrogeait sur la légitimité d’un scrutin qualifié d’ »absurde » il y a quatre jours encore par son propre porte-parole, il a jugé mercredi que l’élection pourrait se tenir à condition que les violences cessent totalement.

    L’appel au report du référendum d’autodétermination, que Poutine inscrit dans un cadre plus global visant à réunir les conditions nécessaires à un dialogue entre les nouvelles autorités ukrainiennes et les séparatistes, n’a pas été rejeté par ces derniers.

    « Nous discuterons de cela demain au sein de l’assemblée populaire », a réagi Denis Pouchiline, chef de la « République populaire de Donetsk » proclamée en avril, avant d’ajouter que les séparatistes ont « le plus grand respect pour le président Poutine ».

    « S’il juge cela nécessaire, nous en discuterons évidemment », a-t-il dit.

    L’Otan a indiqué en revanche n’avoir observé aucun retrait des forces russes déployées à la frontière de l’Ukraine. « Nous n’avons aucun signe relatif à un changement de position des forces militaires le long de la frontière ukrainienne », a déclaré à Reuters un haut responsable militaire de l’Alliance atlantique.

    APAISEMENT

    Jamais depuis le début de la crise dans l’est de l’Ukraine, début avril, et l’émergence de ce projet de référendum sur le modèle de la Crimée, Vladimir Poutine n’avait laissé entendre qu’il n’appuierait pas le calendrier choisi par les séparatistes.

    Le président russe s’exprimait à l’issue de discussions à Moscou avec le président en exercice de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), le Suisse Didier Burkhalter, qui a annoncé qu’une « feuille de route » serait rapidement dévoilée pour désamorcer les tensions en Ukraine.

    A la Bourse de Moscou, le cours des actions a bondi à la suite des déclarations de Vladimir Poutine, l’indice MICEX progressant de 3% à la clôture. Les investisseurs estiment que le risque de nouvelles sanctions économiques contre la Russie s’est réduit.

    Quelques heures à peine avant les déclarations du président russe, l’Union européenne avait réitéré la menace de sanctions si Moscou continuait de déstabiliser l’Ukraine.

    A Washington, l’administration Obama a indiqué pour sa part qu’elle travaillait à l’élaboration de nouvelles sanctions applicables notamment en cas de troubles perturbant le déroulement de l’élection présidentielle du 25 mai.

    Le gouvernement ukrainien et ses alliés occidentaux refusent la tenue dans le Donbass d’un référendum « factice et artificiel » – selon les termes du secrétaire d’Etat américain John Kerry. Ils redoutent que ce territoire formé par les régions administratives de Donetsk et Louhansk ne bascule comme la Crimée dans le giron de la Russie.

    La perte serait d’une tout autre ampleur que celle de la presqu’île de la mer Noire: ce territoire où vivent 6,5 millions de personnes concentre le tiers de la production industrielle ukrainienne.

    Dans l’immédiat, les forces régulières gouvernementales ont poursuivi leur « opération antiterroriste » dans l’Est selon une tactique visant à minimiser le risque de choc frontal et sanglant avec les séparatistes armés.

    Des militaires ont ainsi brièvement repris dans la nuit de mercredi jeudi le contrôle de l’Hôtel de ville de Marioupol, sur les bords de la mer d’Azov, à une centaine de kilomètres au sud de Donetsk, mais ont rapidement abandonné les lieux.

    D’après des témoins, les militaires sont repartis après avoir détruit des meubles et des fournitures de bureau. Jeudi matin, une forte odeur de gaz lacrymogènes flottait dans les bureaux pratiquement vides du bâtiment tandis que des séparatistes reconstruisaient des barricades tout autour.

    (avec Adrian Croft à Bruxelles; Bertrand Boucey et Henri-Pierre André pour le service français)

    BOULEVARD VOLTAIRE 07 04 14

  • Une école américaine a voulu mettre en question la Shoah

     

    « L’Holocauste a-t-il existé ou a-t-il été un instrument de propagande favorable à certains régimes politiques ? ». Tel est l’intitulé d’un exercice au programme d’un réseau scolaire californien.

    La Rialto Unified School District, un réseau scolaire de la Californie du sud, suscite de nombreuses interrogations après les révélations dimanche par un journal local, d’un travail de recherches soumis aux 26 000 élèves de 8e grade (l’équivalent de notre troisième secondaire) du Comté de San Bernardino. L’exercice consistait à réunir suffisamment de matière et de documentation prouvant l’existence ou l’invention de l’Holocauste à des fins politiques.

    L’objectif était de stimuler le sens critique des élèves face à un événement présenté comme vrai. « La véracité des événements tragiques de l’Histoire est souvent débattue », relatait en préambule l’énoncé de l’exercice. « Certaines personnes affirment que l’Holocauste n’a jamais existé et n’était qu’un outil de propagande utilisé à des fins politiques et monétaires. Sur base de vos recherches sur cette question, vous devrez écrire un texte motivé, démontrant l’existence de la Shoah ou sa création à des fins politiques. »

    Suite à la publication dans la presse locale de ce questionnaire, des associations juives ont porté plainte contre les responsables du réseau scolaire, sommés de s’expliquer et de faire face à de nombreuses menaces de mort. « C’était une erreur », a reconnu Syeda Jafri, la porte-parole des collèges du Comté de San Bernardino, également visée par les menaces et obligée de renforcer la sécurité aux abords des établissements scolaires du district.

    Lundi, la direction de la Rialto Unified School District faisait marche arrière et assurait que toutes les références négationnistes ou révisionnistes aux camps de concentration durant la Seconde Guerre mondiale seront supprimées du programme scolaire.

    E&R

  • Louis Aliot invité de France Culture

  • Le Jardin des Plantes, lieu de tous temps à la mode à Paris

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    http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article9455

    C’est à un émouvant voyage au coeur du Jardin des Plantes, ouvert au public en 1634, que le peintre, illustrateur et écrivain Georges Cain, conservateur du musée Carnavalet pendant quelque vingt ans, nous convie en 1906, évoquant quelques souvenirs de son enfance qui s’y rattachent et retraçant l’histoire de ce lieu unique niché au sein de la capitale.

     

    (via NOVOPRESS)

     

  • Scandale sexuel et pressions: Laurent LOUIS exige la démission de la Ministre Milquet

     

     

    Suite au scandale sexuel au Collège St Michel et l’implication du fils de la Ministre de l’Intérieur, Joëlle Milquet, dans ce qui s’avère au mieux être un attentat à la pudeur, Laurent LOUIS exige la démission de la Ministre qui s’est rendue coupable de pressions à l’égard de la presse, de la police et de la Justice pour que l’affaire concernant son fils soit étouffée.

    Après une violation flagrante de la séparation des pouvoirs et vu que la Ministre a usé de ses fonction pour permettre à son fils d’échapper aux poursuites, la Ministre Milquet ne peux que démissionner selon le député LOUIS, Président de DEBOUT LES BELGES

    ALTERMEDIA FRANCE BELGIQUE

  • Premier congrès de la dissidence à Bruxelles (3 vidéos)

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/premier-congres-dissidence-bruxelles_107192.html

  • Nigeria : l’esclavage islamique se poursuit: "Nous vendrons les filles sur le marché, au nom d’Allah"

     

     

     

    Nigeria : le retour des esclavagistes islamistes

    Il faut sauver les petites filles de l’école de Chibok. Des petites filles kidnappées par centaines dans une école pour être vendues dans les nouveaux marchés africains aux esclaves, aussi inimaginable que réel et inacceptable.(ci-dessus).  Certes, il est plus facile d’adapter l’école de la république française aux immigrés de banlieues que de défendre le droit d’aller à l’école des filles dans certaines régions du monde. Il est difficile sans doute également de reconnaitre que certains musulmans refusent aux filles le droit à l’instruction et ne leur réservent qu’un avenir servile dans l’anonymat voilé de la soumission totale à l’homme.

      

    Mais le sauvage, qui affirme parler au nom de Dieu se revendique ouvertement du prophète pour prétendre épouser des petites filles de 12 ou 9 ans, est une sinistre réalité. Cet islam là, dans le monde d’aujourd’hui, doit être éradiqué qu’il soit dans la jungle de la brousse ou dans les jungles de béton. Abukabar Shekau vend les kidnappées en tant qu’esclave pour un peu plus de 10 euros. Il revendique le droit à l’esclavage.

    Nigeria : les esclavagistes islamistes

    Boko Haram, dont le nom signifie « l’éducation occidentale est un péché » en langue haoussa, est un groupe islamiste terroriste qui revendique la création d’un Etat islamique dans le nord du Nigeria. Il prône la Charia et s’oppose à l’instruction des femmes. Le groupe a souvent pris pour cible des établissements scolaires dans le nord du pays, incendiant des écoles ou massacrant des étudiants dans leur sommeil. Revendiquant l’enlèvement des lycéennes, lundi 5 mai, dans une vidéo de cinquante-sept minutes, Boko Haram s’est adressé aux parents, par la voix de son chef, Abubakar Shekau : « J’ai enlevé les filles. Je vais les vendre sur le marché, au nom d’Allah » a-t-il déclaré. « J’ai dit que l’éducation occidentale devait cesser. Les filles, vous devez quitter [l'école] et vous marier », a ajouté Abubakar Shekau, qui a précisé garder « des gens comme esclaves ».

    L’esclavage pratiqué par l’islam arabe et berbère en Afrique est une réalité, comme l’esclavage pratiqué par les noirs islamisés sur les ethnies hier animistes et aujourd’hui animistes et chrétiennes. Un musulman ne peut réduire un autre musulman en esclavage…. Pour les autres apparemment ça se discute encore en 2014.

    Cet esclavagisme sexiste et religieux est sans doute un défi à la « communauté internationale » et ses prétendues valeurs, comme on n’en a pas vu depuis longtemps. Il est sans doute déjà trop tard pour sauver certaines petites filles mais pas pour faire rendre gorge à l’esclavagiste du Nigeria. Le gouvernement de Lagos parait ne plus en avoir les moyens. Voila une bonne cause pour  les Usa et la France, un  devoir d’ingérence qui, pour une fois, ne se discute pas.

    L’enlèvement massif semble être un tournant. Ces rapts ont suscité une mobilisation des opinions publiques. Les parents enchaînent les manifestations, tandis que les communautés se mobilisent au Nigeria, mais aussi aux États-Unis. Sur les réseaux sociaux, une campagne baptisée Bringbackourgirls (« ramenez nos filles ») prend de l’ampleur. Tous accusent les autorités nigérianes d’être incapables de retrouver les jeunes filles, voire d’avoir tardé à réagir.

    La pression rejaillit d’abord sur le président, Goodluck Jonathan, qui avait décidé une grande offensive militaire contre Boko Haram en mai 2013. En mars, il a  rappelé Aliyu Mohammed Gusau au ministère de la Défense, un ancien général à poigne dont il n’est pas proche. Surtout, le président nigérian a dû se résoudre à faire appel à l’extérieur, en demandant l’aide des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de la France, mais aussi de pays voisins comme le Cameroun et le Tchad.

    Il faut en finir avec Boko Haram pour que le martyre de ces petites filles ne soit pas vain et qu’il soit le dernier.

    Jean Bonnevey

    Source : Metamag.

  • Les députés hongrois prêtent serment

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    Couronne du saint roi Etienne 1er de Hongrie

     

    Hongrie. Les 199 députés ont prêté serment ce mardi 6 mai 2014. Les 23 députés du Jobbik forment un groupe parlementaire.

    Au sein du nouveau Parlement, le Jobbik obtient un poste de vice-président pour Tamás Sneider, deux postes de secrétaire du Parlement pour Enikő Kovács et Ádám Mirkóczki, deux présidences de commissions parlementaires pour Madame Dóra Dúra (Commission de la culture, de l’éducation et des médias) et János Volner (Commission du développement économique [et du travail]) ainsi que cinq postes de vice-présidents de commission.

    Le groupe parlementaire du Jobbik sera de nouveau dirigé par le président du parti Gábor Vona et le vice-président de ce groupe parlementaire sera Gergely Farkas.

    Source: Lionel Baland

    ALTERMEDIA

  • Le Grand rabbin de France par intérim au coeur d'un scandale financier

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    http://www.lexpress.fr/actualite/societe/religion/le-grand-rabbin-de-france-par-interim-au-coeur-d-un-scandale-financier_1536349.html

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  • Gironde : Deux nouvelles mosquées à Saint-Maixant et La Réole

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    07/05/2014 – BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux)
    L’information fait la Une du quotidien du sud du département « Le Républicain » : « A La Réole et à Saint-Maixant (commune proche de Langon), les travaux sont lancés pour la construction de nouveaux lieux de prière pour la communauté musulmane ».

    Si le projet de Saint-Maixant (au lieu-dit « Casquit Nord ») était peu connu du grand public, celui de la Réole a déjà soulevé de nombreuses polémiques, avec notamment l’opposition du Bloc identitaire qui avait été très médiatisée en 2011.

    A Saint-Maixant, le maire divers-gauche (Lucien Gazziero) a très bien accueilli l’association des musulmans du Langonnais, comme le confirme son vice-président Jérome Lopez : « Notre permis de construire déposé en décembre 2013, a été accepté du premier coup. Avec le maire tout se passe très bien, la mairie est très gentille avec nous ».

    Depuis plusieurs années, la construction de lieus de culte islamiques se multiplie dans le département, à l’image de la situation en France. En 1976, le ministère de l’intérieur dénombrait 150 mosquées, il en dénombre désormais plus de 3000 !

    Crédit image : DR.