Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 850

  • La phrase du jour

    « L'âme supérieure n'est pas celle qui pardonne, c'est celle qui n'a pas besoin de pardon.  »

    François-René de Chateaubriand

  • Noémie Montagne, la femme de Dieudonné, entendue cet après-midi à la gendarmerie d'Anet

    La-maison-de-Dieudonne-a-Mesnil-Simon_scalewidth_460.jpg

    Son audition a fait suite à la visite d'un huissier au domicile du couple. L'humoriste doit lui aussi être entendu.

    Noémie Montagne, l'épouse de Dieudonné, a été entendue plusieurs heures mardi soir, à la gendarmerie d'Anet, en Eure-et-Loir. Elle était entendue sous le régime de l'audition libre, et n'était donc pas placée en garde à vue, comme l'affirmait certains médias. Son audition faisait suite à la visite d'un huissier à son domicile lundi soir. Une visite qui aurait dégénéré. L'humoriste devrait lui aussi être entendu très prochainement.

    Le couple visé par une procédure de recouvrement. Lundi soir, un huissier se rend au domicile de Dieudonné et de sa compagne, à Saint-Lubin-de-la-Haye, un petit village en Eure-et-Loire. Le fonctionnaire est dépêché sur place pour une procédure de recouvrement - Dieudonné a en effet été condamné plusieurs fois, sans jamais s'acquitter des sommes réclamées.

     

    L'huissier pris pour cible d'un tir ? Sauf que la visite de l'huissier dégénère. Selon Me Sanjay Mirabeau, l'avocat de Noémie Montagne, cette dernière pensait avoir repoussé un inconnu qui tentait de pénétrer à son domicile. Elle avait alors signalé l'intrusion à la gendarmerie. Sauf que, de son côté, l'huissier a porté plainte. "Mais il s'avère aujourd'hui que ce sont des huissiers qui ont porté plainte", abonde Me Sanjay Mirabeau. Selon les informations d'Europe 1, l'huissier aurait été pris pour cible de tirs à son départ. Il n'a toutefois pas été touché. C'est donc dans le cadre d'une enquête ouverte pour "violence avec arme" que la compagne de Dieudonné a été entendue.


    Une enquête préliminaire sur ses appels aux dons. La justice a tenté à plusieurs reprises de saisir des biens de l'humoriste, qu'elle soupçonne d'avoir organisé son insolvabilité, pour payer ses amendes pénales. Parallèlement, une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Paris sur les appels aux dons lancés Dieudonné pour payer ses amendes pénales. L'enquête préliminaire ouverte sur signalement d'une association anti-raciste, la Licra, a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (la BRDP).

    L'humoriste doit 65.000 au Trésor public. Le polémiste doit au Trésor public plus de 65.000 euros d'amendes liées à ses condamnations pour propos antisémites. Dieudonné poste régulièrement des vidéos sur Internet sous forme d'appels aux dons, soit pour l'aider à payer ses amendes, soit, comme l'an dernier, pour l'aider à racheter sa maison. Le 10 janvier, France Info précisait que l'humoriste s'était engagé à rembourser ses fans avant l'été 2013. La justice poursuit parallèlement deux enquêtes ouvertes il y a environ un an contre Dieudonné, soupçonné d'avoir organisé son insolvabilité et aussi d'avoir blanchi de l'argent.

    Europe1 - 21 01 14

    Maintenant c'est sa femme que l'ON va harceler à domicile! A quand ses enfants?

     

  • Italie : « être un peu plus foncé » pour recevoir des aides (vidéo)

    Buonanno-600x310.jpg

     

     

    21/01/2014 – 14h00
    ROME (NOVOpress/Bulletin de réinformation) –
    Le député italien de la Lega Norte Gianluca Buonanno s’est grimé le visage en noir et a demandé au Parlement italien s’il fallait « être un peu plus foncé » pour recevoir des aides.

    Il a notamment évoqué les immigrés en provenance de l’extérieur de l’UE qui reçoivent des allocations alors qu’ils n’ont pas travaillé une seule journée en Italie.

    « Je propose qu’on se maquille tous en noir, et peut‑être pourra‑t‑on bénéficier des mêmes aides que reçoivent les immigrés ».

    Je dis donc aux Italiens : faites donc tous comme ça, allez voir la police, allez dans les mairies, et déclarez‑vous « réfugiés politiques » ! Comme ça, vous serez nourris et logés et on vous donnera quelques sous.

  • Marseille - Marseille : séquestrée et violée chez elle, Yvonne raconte son calvaire

     

     
    Marseille / Publié le Mardi 21/01/2014 à 05H14
     

    La septuagénaire a accepté d'évoquer la terrible expérience vécue dimanche

              
     

    N'importe qui à sa place serait anéanti au fond d'un lit d'hôpital, l'esprit à peine apaisé par de puissants anti-dépresseurs. Yvonne fait face, chez elle. Même choquée et meurtrie au plus profond de son être, elle a accepté de détailler son agression, les minutes d'enfer qu'elle a traversée, "pour l'exemple", précise-t-elle d'emblée.

    À 77 ans, Yvonne a été séquestrée, dépouillée et violée par trois jeunes hommes, qui se sont introduits à son domicile dimanche au petit matin, boulevard Baille (6e). "Je me suis réveillée avec trois hommes au pied de mon lit", témoigne-t-elle assise à la table de son séjour, dans son appartement cossu. Ils avaient une espèce de torchon sur la tête, pour ne pas que je voie leurs visages. Ils me disaient aussi de ne pas les regarder."

    Il est 5h environ, quand les cambrioleurs passent à l'acte. Profitant d'une porte-fenêtre mal fermée, donnant sur le jardin, ils pénètrent dans l'appartement au rez-de-chaussée de l'immeuble bourgeois. Yvonne est endormie dans sa chambre. Face à elle, l'un des trois agresseurs brandit un couteau. "Ils l'ont peut-être trouvé dans la cuisine. Ici, je n'ai jamais d'argent, mais ils m'ont demandé ma carte bancaire et le code. Je les leur ai donné tout de suite. Ce qu'ils ont trouvé anormal, c'est que je n'ai pas de collier en or. Ensuite , ils m'ont attachée avec du fil électrique, les mains dans le dos et les pieds."

    Malgré la gravité de la situation, Yvonne contient ses angoisses. Les trois garçons d'une vingtaine d'années ne semblent pas bien prendre la mesure de leurs faits. Aucun ne porte de cagoule ni de gants. Pire, ils n'hésitent à pas à se servir à boire dans la cuisine. "Ils ont même ouvert une bouteille de champagne, se souvient Yvonne. Et ils ont eu le toupet de me dire qu'ils ne le trouvaient pas bon."

    En gardant son sang-froid, la retraitée préserve une forme de calme dans l'appartement où se joue malgré tout un vol à main armée avec séquestration, chez une personne vulnérable. Une infraction déjà passible des assises. Mais bientôt, tout va basculer dans l'indicible. Deux des cambrioleurs se décident à quitter les lieux. Yvonne, toujours fermement ligotée et un bâillon dans la bouche, espère alors la fin de son calvaire arrivée. Mais un agresseur reste sur place, pris d'une abominable pulsion. "J'étais toujours attachée et il m'a prise en poids pour m'emmener sur mon lit. Là, il a essayé de me violer. Il m'avait enlevé mon pantalon. Je suis traumatisée. Cela dépasse l'entendement."

    Même s'il n'arrive pas à ses fins, le jeune homme est désormais considéré comme un violeur. Il s'enfuit alors à son tour pour rejoindre ses complices. Yvonne, elle, se débat encore de longues minutes pour se défaire, à peine, de ses liens et se réfugie dans l'appartement du dessus. "Je n'oublierai jamais cette vision d'elle, se désole sa voisine. Dévêtue, un pantalon enroulé autour de la tête. J'ai eu un mal fou à couper le fil électrique avec les ciseaux. C'est une femme forte, mais c'est terrible ce qu'il lui est arrivé."Depuis, la Sûreté départementale multiplie les constatations pour identifier les auteurs, qui ont abandonné de nombreuses traces sur les lieux du crime.

    La Provence

  • Marseille : un mineur arrêté pour homicide, suspecté du viol de la septuagénaire

    20140121_1_6_1_1_0_obj5662017_1.jpg

     

    Yvonne, 77 ans, extrêmement choquée, a su garder son calme face à une situation cauchemardesque. Photo thierry garro      

     

     
    Marseille / Publié le Mardi 21/01/2014 à 17H28
     

    Un garçon de 16 ans a été arrêté ce matin vers 1h place Sadi-Carnot (2e) à Marseille pour un homicide commis le 20 décembre dernier. Il est également soupçonné d'avoir participé au viol de la septuagénaire, chez elle boulevard Baille, dimanche matin

                           
     

    Un garçon de 16 ans a été arrêté ce matin vers 1h place Sadi-Carnot (2e) à Marseille pour un homicide commis le 20 décembre dernier dans le quartier d'Endoume, rue Chaix (7e) contre un octogénaire retrouvé mort, sans doute après un cambriolage.

    L'adolescent est également soupçonné d'avoir participé au viol de la septuagénaire, chez elle boulevard Baille, dimanche matin, après un vol avec effraction, puis une séquestration, commis avec deux complices.

    La police marseillaise, sensibilisée à la dangerosité du suspect, avait diffusé son signalement massivement afin d'arrêter le jeune au plus vite.

    C'est un équipage du Service interrégional de sécurisation des transports en commun qui a procédé à son interpellation. Il se trouve actuellement en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire, en charge de l'enquête sur l'homicide.

    Son empreinte papillaire avait été trouvée chez l'homme retrouvé mort, ainsi que chez la retraitée violée. Une fois l'audition du jeune suspect terminée terminée et une très probable mise en examen, il sera interrogé par la Sûreté départementale dans le cadre des investigations sur le vol avec séquestration et l'agression sexuelle.

    Il pourrait par ailleurs avoir commis d'autres faits très violents  au domicile de personnes âgées. Les investigations pourraient désormais s'accélérer avec les résultats des analyses des traces ADN trouvées chez la victime du boulevard Baille.

    La police s'attache désormais à mettre la main sur les deux complices présumés du principal suspect, également soupçonnés d'avoir été présents lors des différentes agressions.

    La Provence

  • Boulogne-Billancourt : l'ex-préfet de région Bernard Fragneau met fin à ses jours

     

      Roberto Cristofoli | Publié le 20.01.2014, 22h42 | Mise à jour : 23h29

     

      Ce haut fonctionnaire portant une imposante moustache poivre et sel était décrit comme «atypique».
    | LP/Nicolas Jacquard

                                                                             
    L'ex- de la région Centre et du Loiret, Bernard Fragneau, 63 ans, a mis fin à ses jours, ce soir vers 19 heures, à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Le haut fonctionnaire a commis l'irréparable dans des locaux professionnels de son épouse.

    En 2010, ce haut fonctionnaire portant une imposante moustache poivre et sel et décrit comme «atypique» avait demandé à être relevé de ses fonctions après avoir été désavoué par le président de la République, Nicolas Sarkozy, pour avoir fait expulser Najlae Lhimer, 19 ans, une étudiante marocaine en situation irrégulière.
     
    Elle avait été arrêtée et expulsée après être venue porter plainte dans une gendarmerie de Château-Renard (Loiret) contre son frère qui la battait, avant d'obtenir son rapatriement quelques semaines plus tard et de faire un retour très médiatisé en France devant les micros et les caméras.

    Cet énarque de la promotion Michel de l'Hospital était depuis préfet hors cadre après avoir été en poste dans le Jura, l'Eure, l'Essonne, le Pas-de-Calais et dans la région Poitou-Charentes.

    Le Parisien
  • 21 janvier : anniversaire du régicide

    20 janvier 2014

    Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, âgé de 38 ans.
    Cet acte sauvage recelait une grande force symbolique : en décapitant celui qui était le père de la nation organique et le sommet de l’Etat monarchique, c’était l’ordre ancien qui était aboli, en profondeur, au profit d’une contre-civilisation qui allait s’instaurer progressivement et inexorablement et dont nous connaissons aujourd’hui une certaine étape.

    Pour l’anecdote, et contrairement à ce que laissait espérer l’innovation technique que constituait la guillotine, l’exécution du roi martyr fut une boucherie.
    Revenons donc à ce triste épisode, au cœur des heures les plus sombres de notre histoire.

    Craignant un ultime rebondissement si le roi faisait un discours devant la foule, le commandant de la garde nationale donna l’ordre de faire jouer tous les tambours au pied de l’échafaud, qui était d’ailleurs fortement protégé.
    Sur la dernière marche cependant, le roi fit un signe impérieux aux tambours qui, surpris, cessèrent de battre, et cria d’une voix tonnante : « je meurs innocent de tous les crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France. Et vous, peuple infortuné… »


    Déjà, des ordres étaient donnés et les tambours reprenaient.
    Un journaliste de l’époque écrivit : « est-ce bien le même homme que je vois bousculé par quatre valets de bourreau, déshabillé de force, dont le tambour étouffe la voix, garrotté à une planche, se débattant encore, et recevant si mal le coup de la guillotine qu’il n’eut pas le col mais l’occiput et la mâchoire horriblement coupés ? »

    D’après certains témoignages, il fallut s’y reprendre à deux fois pour trancher la tête, tandis que d’autres affirment que le bourreau dut appuyer de tout son poids sur la lame qui avait à peine entamé le crâne – au lieu du cou – afin de détacher la tête…
    Le prêtre présent raconta qu’ensuite « le plus jeune des gardes, qui semblait avoir dix-huit ans, saisit immédiatement la tête, et la montra à la populace en faisant le tour de l’échafaud ; il accompagna cette monstrueuse cérémonie des gestes les plus atroces et les plus indécents ».

    On notera avec inquiétude que l’idéologie républicaine, contre-nature et forgée dans le sang de très nombreux Français, connaît aujourd’hui un certain regain de popularité dans la « mouvance nationale », même si certaines structures comme le Renouveau français y ferraillent inlassablement contre la doctrine mortifère issue des Loges.

    Ci-dessous, le beau testament de Louis XVI, rédigé le 25 décembre 1792, envoyé à la Commune de Paris le 21 janvier 1793 :
    Lire la suite

    Contre-info.com

  • Le débat sur l’IVG revient aujourd’hui à l’Assemblée nationale

    IVG-600x448.jpg

     

     

    20/01/2014 – 14h05
    PARIS (NOVOpress) - La proposition de certains parlementaires PS de réécrire la loi Veil de 1975 sur l’interruption volontaire de grossesse relance le débat. La refonte viserait à supprimer la référence à la « situation de détresse » de la femme, justifiant le recours à l’IVG, même si elle n’est pas appliquée en pratique — rappelons que plus d’un tiers des françaises ont déjà eu recours à l’avortement. Seconde mesure : l’extension du délit d’entrave à l’IVG au « fait d’empêcher ou de tenter d’empêcher de pratiquer ou de s’informer sur une interruption de grossesse ». Les associations de soutien aux femmes choisissant de garder leur enfant risquent désormais jusqu’à deux ans de prison et 30.000 € d’amende.

    Ce débat anime aussi les plateaux télévisés et Roselyne Bachelot, ancienne ministre de François Fillon, a eu l’occasion de prendre farouchement la défense du droit à l’avortement : « Il s’agit, a‑t‑elle dit, d’une liberté imprescriptible, nous l’avons conquise il y a 40 ans, il n’est pas question de revenir sur ce droit ».

    Crédit photo : petervidrine via Flickr (cc)

  • Jacques Bompard contre l'avortement

    On ôte la vie à 200.000 enfants par an depuis la loi Veil de 1975 ... depuis, ça fait des millions de citoyens français qui sont allés à l'incinérateur .

    Jacques Bompard

  • Conférence de Genève: la France interdit le survol de son territoire à la délégation syrienne

    Damien le 20 janvier 2014 à 19:36

    La Syrie a affirmé lundi que les autorités françaises avaient interdit le survol de leur territoire à l’avion devant transporter mardi sa délégation à la Conférence de paix de Genève II, selon une source officielle à Damas.

    « La France a refusé à l’avion qui devait transporter mardi notre délégation de traverser son espace aérien, ce qui prouve qu’elle fait tout son possible pour faire échouer la Conférence de Genève », a affirmé à l’Agence France-Presse un haut responsable au ministère syrien des Affaires étrangères. La Conférence doit s’ouvrir à Montreux mercredi en présence d’une trentaine de pays.

    Suite et source : Le Point, merci à Ivan

    Défrancisation

  • Avortement : le président équatorien Rafael Correa demande à l’ONU de s’occuper de ses affaires

     

    Le président équatorien Rafael Correa a répondu samedi à l’ONU, qui demandait des explications à l’Équateur sur le fait que l’avortement restait pénalisé dans le nouveau code pénal du pays.

    « Messieurs, occupez-vous de vos affaires et non de celles d’un pays souverain », a répliqué Rafael Correa.

    Le nouveau code pénal, approuvé à l’Assemblée et partiellement voté par l’exécutif, indique que l’avortement est autorisé uniquement dans des cas très limités de viol de personnes handicapées, ainsi que dans les cas où la vie de la mère est en danger. Le législateur devrait analyser les observations du Président dans les huit jours après la ratification du texte original.

    Le président équatorien Rafael Correa, catholique, a ouvertement manifesté son désaccord avec l’avortement, qu’il considère comme un « crime ». Sa position a récemment provoqué une crise interne dans le groupe des législateurs, beaucoup d’entre eux étant sur le point de voter en faveur de la dépénalisation.

    Correa a accusé l’ONU et sa « bureaucratie internationale » de pratiquer « l’ingérence illicite et illégale ».

     

    Voir aussi, sur E&R :
    - « Équateur : ultimatum aux banquiers secourus par l’État lors de la crise de 1999 »
    - « Le président équatorien Rafael Correa dénonce la théorie du genre »

  • La phrase du jour

    « La chute des civilisations est le plus frappant et en même temps le plus obscur de tous les phénomènes de l'histoire.  »

    Joseph Arthur de Gobineau

     

     

  • Les Français dans la rue, le PS et Frédéric Haziza en « état de détresse » (?)

    BeWb-YtIMAAjZbN

    Avorter est-il un acte médical comme les autres, une intervention anodine comme l’ablation de l’appendicite ? Oui, explique en substance le ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, qui se félicite de l’amendement socialiste dans le projet de loi sur l’égalité homme-femme dont l’examen débute aujourd’hui à l’Assemblée. Celui-ci a pour objet de supprimer la mention de «l’état de détresse», spécifiée dans la loi Veil de 1975 sur l’IVG, comme condition pour avorter. Cette référence à l’état de détresse est «obsolète» a réaffirmé Mme Vallaud-Belkacem dans un entretien accordé au quotidien gratuit Direct-Matin. «Cela peut paraître symbolique, mais c’est un message fort: les femmes doivent pouvoir choisir de poursuivre ou non une grossesse sans avoir à se justifier. Faisons-leur confiance ».

    Le ministre a beau botter en touche, la confiance n’a rien à voir avec ce qui est en jeu ici, confiance dont pour le coup nous sommes totalement dépourvus vis-à-vis de ce gouvernement. A fortiori à la lecture de certaines des recommandations du rapport Pisani-Ferry visant à lutter contre les stéréotypes filles-garçons. Remis à Najat Vallaud-Belkacem le 15 janvier, ledit rapport expose des mesures louables, mais entend surtout, dés le plus jeune âge, éradiquer du crâne de nos chères têtes blondes tous les repères fondés sur l’altérité sexuelle et la traditionnelle complémentarité homme-femme.

    Comme exemple de ce délire orwellien, il est ainsi prévu une énième modification des manuels scolaires pour en expurger les représentations homme-femme jugées stéréotypées par les progressistes et autres défenseurs de la théorie du genre (gender). Mais aussi la mise en place de supports d’éducation pour enseigner aux parents que leurs pratiques éducatives peuvent entraîner à leur insu, des risques sanitaires pour leurs enfants( !). Ou encorela nécessitéd’imposer, comme l’a déclaré Jean-Marc Ayrault le 6 janvier, la mixité dans les métiers de la petite enfance (assistantes maternelles, personnel de crèches), pour ne pas véhiculer le stéréotype que les femmes sont plus à même de garder les enfants que les hommes

    Alors même que la France est confrontée à une crise démographique majeure, son taux de natalité positif ne résultant que de l’immigration de peuplement, rappelons aussi que le Premier ministre a également exprimé sa volonté de mettre tous les moyens en œuvre pour que les femmes travaillent autant que les hommes…Chacun aura compris que ce vœu là n’est pas, de loin, celui de toutes les femmes dont beaucoup travaillent par nécessité, lesquelles seraient ravies a contrario que le salaire maternel préconisé par le programme du FN devienne réalité!

    Bref, ce souhait de M. Ayrault n’est pas plus de nature à soutenir notre démographie que les 200 000 IVG pratiquées chaque année, chiffre correspondant d’ailleurs aux entrées annuelles d’immigrés non européens sur notre sol.

    Le refus justement de la banalisation de l’IVG et de l’extension du délit d’entrave à l’avortement -comme si celui-ci était menacé en France…-, mais aussi la dénonciation de la négation par l’UMP hier, et le PS aujourd’hui, de la réalité du drame de l’avortement, étaient les thèmes centraux de La marche pour la vie organisée hier à Paris.

    Celle-ci a connu un record de mobilisation, avec officiellement près de 45 000 personnes dans les rues de la capitale pour demander notamment la mise en place d’une véritable politique d’aide aux femmes enceintes en difficulté qui souhaitent poursuivre leur grossesse.

    Un succès populaire qui a surpris et/ou inquiété les médias, cortège qui réunissait aussi de nombreuses personnalités et délégations venues de toute l’Europe. La présence de Bruno Gollnisch à cette manifestation, qui y a reçu beaucoup de chaleureux témoignages de soutien et de sympathie, n’a pas été du goût de Frédéric Haziza, journaliste sur LCP et Radio J.

    Surmené (?) par l’écriture de son dernier opus, Vol au dessus d’un nid de fachos, que nousn’avons pas lu, éprouvé certainement par les critiques, les insultes aussi qui l’assaillent depuis de longs mois sur la toile et les réseaux sociaux, M. Haziza a récidivé dans le tweet bête et méchant .

    Il y a quelques mois, Bruno Gollnisch invitait à la décence le socialiste Edouardo Rihan-Cypel qui faisait la leçon aux Français. Cela avait heurté M. Haziza qui avait vu dans les remarques de Bruno sur cet apparatchik du PS la preuve qu’il était marqué du signe de la Bête. En l’occurrence le député FN était décrit comme l’incarnation de « la peste brune en action », le symbole de la « France rance et pétainiste. »

    Dans un nouveau tweet publié hier, Frédéric Haziza a dénoncé la participation de l’ex ministre et ancienne présidente du PCD, Christine Boutin, à La marche pour la vie aux côtés notamment de Bruno Gollnisch : « Boutin a chois son camp celui des fachos. »

    Blog de Bruno GOLLNISCH

  • Nicolas Bedos peut s'autoriser à "cracher des horreurs"

    4350518_3_74f3_nicolas-bedos-dans-l-emission-on-n-est-pas_a0bb809d2387c5620032e9c82ccd533d.png

    Pourquoi aller jusqu'à la vulgarité, l'obscénité ?

    Parce que je m'adresse aux jeunes. J'ai parlé avec eux pendant des heures dans des bars, des boîtes. Ils considéraient qu'il y avait d'un côté des « bourges relous » et de l'autre Dieudonné, ses outrances, sa « liberté ». Je tenais à leur dire : moi aussi je peux cracher des horreurs du moment qu'on sait que je respecte la tragédie de l'holocauste et que je défends les immigrés. Un texte sage m'aurait mis dans le sac des donneurs de leçon insipides.

    (extrait de l'émission du 11 01 14  France 2)

    Le Monde

  • Christiane Taubira chez le juge

    La plainte déposée par Patrick Buisson le 13 novembre contre le garde des Sceaux pour 'prise illégale d'intérêt' vient d'être jugée recevable par la cour d'appel. Un juge d'instruction devrait donc être nommé dans les jours à venir.

    Mis en cause par plusieurs plaintes de l'association Anticor, en février et novembre 2010 pour «favoritisme», puis en octobre 2012 pour «détournement de fonds», Patrick Buisson a dénoncé le soutien publiquement apporté par la ministre de la Justice, à l'action judiciaire d'Anticor. L'avocat de Patrick Buisson, Gilles Goldnadel souligne :

    «C'est la première fois dans l'histoire de la République qu'un ministre a un pied dans une association partie civile et un pied place Vendôme, et, de surcroît, c'est la première fois qu'un garde des Sceaux affiche aussi ostensiblement son soutien à un plaignant, et son mépris pour un justiciable».

    Michel Janva

    Le Salon Beige