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Blog - Page 854

  • Création d’un lobby parlementaire israélien pour soutenir les juifs de France et favoriser leur Alyah

     

     

    Un lobby parlementaire israélien pour soutenir les immigrants juifs de France, et favoriser leur venue, a été créé mercredi à la Knesset (Parlement), a constaté un correspondant de l’AFP.

    La ministre de l’Immigration Sofa Landver, présente au lancement de ce groupe de pression, a affirmé que l’objectif de cette initiative était de proposer «un plan d’action au gouvernement car nous voulons investir urgemment dans la promotion de l’Alyah (littéralement « montée vers Israël ») et l’aide à l’intégration des juifs de France».

    La ministre a précisé qu’elle allait présenter ce plan, dont elle a refusé de donner les détails, au chef du gouvernement Benjamin Netanyahu. (…)

    «L’Alyah en provenance de France s’amplifie de jour en jour et il existe un réel besoin d’agir pour faciliter l’intégration de ces nouveaux immigrants», a affirmé le député Yoni Chetboun du Foyer juif, un parti nationaliste religieux, lui-même issu d’une famille française.

    Des dizaines de représentants d’associations francophones en Israël étaient présents au lancement de ce groupe parlementaire ainsi que le député français Meyer Habib, élu dans la 8e circonscription des Français de l’étranger, comprenant Israël.[1]

    Les juifs de France affluent en Israël

    L’an dernier, plus de 3000 Français ont fait leur « alya » dans l’état hébreu. Le gouvernement israélien prépare un plan pour encourager cette vague d’immigration.

    Emmanuel Schwab est un Israélien heureux. Impossible de déceler la moindre trace de regret ou de nostalgie chez ce Strasbourgeois d’origine quand il raconte sa décision de quitter la France pour vivre en Israël et en acquérir la citoyenneté. C’était il y a douze mois tout rond. « J’ai trouvé un pays en mouvement, où l’économie est dynamique et les gens osent se lancer », explique ce diplômé en économie et gestion de l’Ecole normale supérieure, aujourd’hui installé à Tel-Aviv. « Ici, j’ai l’esprit libre, je ne suis plus pollué par le climat souvent hostile qui règne en France à l’égard des juifs et d’Israël », poursuit le jeune homme de 26 ans qui s’afflige du dernier scandale provoqué par Dieudonné et son fameux geste de la « quenelle ».

    Le nouvel arrivant fait partie des 3120 juifs de France qui ont choisi, en 2013, de faire leur « alya », autrement dit d’émigrer en Israël. Un chiffre en hausse de 63% par rapport à l’année précédente! Jamais, depuis 2005, l’immigration juive en provenance de France n’avait connu une telle vitalité.[2]

    Suite et sources : 1 20 Minutes, 2 L’Express

    Défrancisation

  • Emmanuel Ratier sur l’affaire Dieudonné


    Emmanuel Ratier sur l'affaire Dieudonné par ERTV

     

    Propos recueillis par ERTV

     

     

  • Dieudonné jouera samedi soir au Zénith de Nancy-Maxéville et sans doute dimanche à Metz

     

    L’information sera donnée par Henri Bégorre, le maire de Maxéville cet après-midi révèlent nos confrères de L’Est Républicain.

    Le maire de Maxéville (54) Henti Bégorre qui s’est toujours opposé à l’interdiction du spectacle "Le Mur" de Dieudonné à la différence de ces homologues de Metz et Nancy avait annoncé une conférence de presse cet après-midi, mercredi 15 janvier 2014.

    Il devait y préciser sa position concernant le spectacle de remplacement que propose désormais Dieudonné, une version du "Mur" expurgé de ces attaques antisémites et qui est programmé ce samedi 18 janvier au Zénith de Maxéville et le lendemain 19 janvier aux Arènes de Metz.

    Lire la suite de l’article sur lorraine.france3.fr

     

    Voir aussi, sur E&R :
    - « La ville de Nyon n’interdira pas le spectacle de Dieudonné »

  • Changement glamour

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    ALTERMEDIA

  • Dieudonné : et pendant ce temps, ses vidéos racistes cartonnent. Mais que fait YouTube ?

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    Tribune
    Publié le 15 Janvier 2014

     

     
     
     
    Par Jonathan Hayoun, ancien Président de l’UEJF

     

    Dieudonné a fait d'internet l'un des principaux canaux de diffusion de ses idées. Il poste régulièrement des vidéos sur YouTube, toujours abondamment regardées. Alors que le très contesté humoristique défraie la chronique depuis quelques semaines, Jonathan Hayoun, producteur et ancien président de l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), interpelle le site de partage de vidéos.

     

    L'affaire Dieudonné nous met chacun devant notre responsabilité face au racisme. Elle nous interroge sur nos choix éthiques. Il n'est pas question ici d'accuser YouTube de désirer exploiter les vidéos antisémites de Dieudonné. Mais il s'agit malheureusement d'un fait.

     

    Sur le site de vidéo-partage, il est possible de faire des millions de vues en tenant des propos négationnistes. Si demain je publie une vidéo contre Dieudonné sur YouTube, elle pourra être accompagnée d'une recommandation de consultation d'une vidéo antisémite réalisée par Dieudonné et dont certains propos ont peut-être même déjà été condamnés par la justice.

     

    Cette perspective m'est insupportable.

     

    Youtube se doit de supprimer les vidéos racistes

     

    Me voilà donc empêché de proposer mes créations audiovisuelles à YouTube, laissant les vidéos haineuses de Dieudonné et consorts occuper l'espace. Par la popularité des vidéos de Dieudonné, le site de vidéo en ligne lui donne une place de premier choix. Toutes les vidéos sur Dieudonné, pour ou contre, mènent aux vidéos réalisées par Dieudonné.

     

    Le fonctionnement de Youtube est ainsi fait qu'en naviguant sur ce site, nous ne pouvons échapper à sa parole haineuse. Il arrive à mettre à son service les principaux outils d'indexation, la newsletter et la page d'accueil de YouTube. Il est devenu un locataire privilégié de la plateforme web. Son théâtre de la Main d'Or devenant son lieu de représentation secondaire.

     

    Youtube se doit de supprimer les vidéos racistes si elles lui sont signalées. Je peine à croire que personne n'ait signalé les vidéos de Dieudonné jusqu'à présent. Internet n'est pas une zone de non-droit. Il n'existe à ce jour, sauf hélas en pratique, aucun régime d'immunité numérique… Lire la suite.

    CRIF
  • Hitler et Goebbels exposés au Parlement de Potsdam

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    Aujourd'hui, 12:17

          

     

    Par La Voix de la Russie | 23 ans après la réunification des deux Allemagnes, 68 ans après la chute du 3e Reich, pendant que la France se prend les pieds dans un tapis de quenelles, l'Allemagne, décomplexé, expose dans son nouveau parlement du Land de Brandenburg les têtes pensantes du nazisme et des saluts nazis. La nouvelle est incroyable. Potsdam qui fut durant la guerre un centre de formation de l'élite nazie et durant la RDA la vraie capitale du régime avec ses centres de formation de l'élite de la Stasi et de l'anti-fascisme, organise pour l'ouverture de son nouveau parlement, qui sera ouvert au public le 18 janvier, une exposition de peinture de portraits dont ceux d'Hitler et de son ministre de la propagande Goebbels.

     Les Linke. C'est à tomber à la renverse. Gerrit Große, responsable de la commission pour l'art au Parlement de Brandebourg, du parti des Linke, ne veut pas retirer les portraits d'Hitler et de Goebbels lors des cérémonies d'ouverture du nouveau parlement du Brandebourg. Gerrit Große, qui dit « je ne veux plus vivre dans un pays ou n'importe qui décide quelle peinture a le droit d'être exposée», a même obtenu le soutien de sa fraction politique. Les Linke, qui exigent depuis des années la dissolution du parti NPD, exposent les portraits des deux leaders nazis. Gerrit Große est aussi la vice-présidente du Parlement du Brandebourg depuis 2009 et députée depuis 2001 et fut membre du SED (parti dominant de la RDA) depuis 1976.

     Tableaux. Ce sont 112 portraits réalisés par Lutz Friedel, un peintre du Land de Brandebourg, né en 1948 à Leipzig, qui seront exposés au nouveau parlement du 18 janvier 2014 au 13 décembre 2014. C'est le Président en personne du Bundestag, Norbert Lammert (CDU) qui va tenir un discours d'ouverture le 21 janvier. Parmi les 5 fractions, SPD, Linke, FDP, Grüne, CDU, représentées à l'assemblée du Brandenbourg, seules la CDU et le FDP ont, sans succès, tenté d'interdire l'accrochage des portraits des deux leaders nazis. « Les peintures de dictateurs et de criminels n'ont pas leur place au Parlement», disent-ils. Au contraire, le SPD, les Linke et les Grünen revendiquent la liberté de l'art pour accrocher Hitler et Goebbels pendant une année dans les couloirs du nouveau parlement. « C'était évident que ce projet allait être attaqué », dit Lutz Friedel, qui explique son refus de retirer un seul portrait.

     Symboles nazis interdits. En Allemagne, les symboles liés au nazisme sont interdits. Un fonctionnaire ne peut pas avoir sur son lieu de travail le drapeau du Reich sous la forme d'un autocollant sous peine d'être puni comme ce fut le cas pour un chauffeur de bus berlinois. Que Hilter et Goebbels trouvent leur place dans un lieu emblématique de la démocratie à côté de Konrad Adenauer et d'Helmut Schmidt montrerait une évolution certaine des mœurs outre-Rhin. Sans complexe, la politique allemande réintroduit les portraits des dignitaires nazis dans l'enceinte d'un parlement. L'affaire a de quoi choquer, surtout qu'il est question d'un nouveau parlement flambant neuf qui devait faire table rase sur le passé du vieux parlement qui domine la ville de Potsdam située sur une colline.

  • À force de nous prendre pour des imbéciles…

     

    BABELDe la piteuse conférence de presse tenue hier par François Hollande,  Marine Le Pen a dit  ce qu’il fallait en penser dans un communiqué consultable sur le site du FN.  La feuille de route de M.  Hollande, sa social-démocratie revendiquée n’est que le cache-sexe de la même politique,  sans âme ni souffle,  déjà menée par ses prédécesseurs, la poursuite de l’inféodation de notre pays à la ruineuse idéologie euromondialiste. Derrière les mots ronflants, une vision pantouflarde, étroite, frileuse, dépassée,  « moisie » dirait Sollers, du destin d’une France sur une pente déclinante.

    Entre mensonges par omissions ou délibérés, flous artistiques, diversions et énormités (son « Il n’y a pas de Système, le seul Système que je connaisse c’est celui du racisme et de l’antisémitisme » vaut son pesant de cacahuètes), cet exercice présidentiel a un gout amer pour les Français. Il  ne manquera pas comme l’a relevé Marine,  de nourrir les inquiétudes bien légitimes de nos compatriotes.

    Dans une tribune publiée il y a quelques jours  sur le site du  Nouvel Obs, des membres du  cercle de réflexion  du PS Terra Nova (Sophie Lemaire et Mehdi Thomas Allal, coresponsables du pôle anti-discriminations de cette structure, les députés Yann Galut, Alexis Bachelay,  Patricia Schillinger, Colette Capdevielle, Marie-Anne Chapdelaine) , invitaient la gaucheà  « réagir pour reconquérir l’électorat populaire. »

    Il s’agirait ainsi de  «prendre en compte (…) ce besoin de reconnaissance très fort, et de considération, ressenti par les électeurs frontistes. Il existe un sentiment récurrent : celui d’être anonyme, d’être relégué, d’être déclassé (…). Les ouvriers et les employés du secteur privé ne seraient plus représentés. Le PS se priverait ainsi de relais parmi les catégories populaires. Beaucoup de mouvements sociaux lui échappent de fait. »

    Ces socialistes s’inquiètent de ce que « le Front National gagne en respectabilité. Les trente ans du baromètre d’image du FN 2013, réalisé par TNS Sofres du 24 au 28 janvier pour France Info, ont ainsi été marqués par deux résultats : un tiers des Français adhérerait aux idées du Front National, tandis que 47 % des sondés considéreraient qu’il « ne représente pas un danger pour la démocratie » (contre 55 % en 2012).

     Autre crainte, l’adhésion grandissante des sympathisants/électeurs  de l’UMP aux idées défendues par l’opposition nationale qui conduit à la tentation d’une alliance à la base contre les  socialo-communistes.  « Selon un sondage Europe 1- Ifop-Fiducial réalisé en avril 2013, est-il rappelé,  53 % des sympathisants UMP se déclarent favorables au passage d’accords électoraux avec le (FN),  soit une augmentation de 9 % par rapport à une même étude réalisée par l’Ifop en 2012. »

    Aussi, le FN « semble remporter une bataille des idées, se présentant aujourd’hui comme un parti de gouvernement, dans un contexte où son discours est de plus en plus accepté, légitimé, colporté… ».« Il y a donc urgence pour la gauche à se réapproprier certains thèmes constitutifs de son identité, sous peine de perdre définitivement la bataille culturelle. La reconquête des catégories populaires passe par cet aggiornamento. » 

    Nous l’avons vu, n’en déplaisent aux membres de Terra Nova, fondation qui proposait il y a peu  aux dirigeants du  PS de jouer  la carte des   minorités pour contrer dans les urnes un peuple  Français qui ne veut pas abdiquer ses valeurs, son identité et sa souveraineté, le discours de M. Hollande ne porte aucune trace de cet  aggiornamento.

    La toute dernière  enquête du CEVIPOF, réalisée en partenariat avec le Conseil économique, social et environnemental (CESE), cerne d’ailleurs assez bien ce  discrédit qui touche les partis du Système.

     Dans celle-ci, 72% des sondés (+4 points en un an) estiment que « les jeunes ont aujourd’hui moins de chances de réussir dans la société que leurs parents » ;  60% affirment « n’avoir confiance ni dans la droite, ni dans la gauche pour gouverner le pays » (+8 points), 73% (63% fin 2011) affirment que « les notions de droite de gauche ne veulent plus rien dire». 87% des personnes interrogées estiment que le personnel politicien, «se préoccupent peu ou pas du tout de leur avis », (ils étaient  81% à le penser fin 2009). 69% (+ 15 points depuis 2012)  jugent que « la démocratie française ne fonctionne pas bien».

    Autres jugements qui recoupent pleinement  les critiques, avertissements  et analyses du FN, à peine plus d’un   Français sur  trois (35%)  pensent que l’appartenance de la France à l’Union européenne est « une bonne chose » tandis que  67% affirment  qu’ «il y a trop d’immigrés en France » (+ 18 points de plus par rapport à 2009).  par ailleurs,   50% (+18 points  là aussi) affirment qu’ « il faudrait rétablir la peine de mort ».

    Et si François Hollande ne recueille la confiance que d’une Français sur cinq (20% contre  27% il y a un an), la cote de confiance de Marine Le Pen gagne deux points dans la même période  pour s’établir à 34%. Quant au  Front National,  il  fait  désormais jeu égal avec l’UMP: 36% des sondés jugent que le FN   représente le mieux l’opposition de droite.

    Un mot encore pour évoquer la dernière saillie en date de Vincent Peillon, ministre de l’Education (de la rééducation),  agrégé de philosophie  et prosélyte extrémiste  d’une très radicale idéologie maçonnique,  comme nous le constations et comme  il l’avouait dans son livre  « Une religion pour la République… ». M. Peillon a ainsi affirmé ces derniers jours que le FN est un « parti fasciste , car il utilise « les mêmes ingrédients (que  dans les années 30). Quand elle (Marine Le Pen) fait sa mue sur les thématiques sociales, elle fait la même chose qu’à cette époque-là. »

    Propos   grotesques qui montrent au mieux l’inculture de ce ministre (mais croit-il vraiment  aux énormités qu’il professe ?),  au pire sa conception de la politique ramenée à une succession de mauvais slogans éculés. Ce qui est vrai pour le coup et ne souffre pas la contestation,  c’est le mépris des électeurs qui est celui de Vincent Peillon, tête de liste du PS pour les élections européennes dans le Sud-Est pour en découdre avec  Jean-Marie Le Pen et  Bruno Gollnisch.

    En effet,  seul ministre à avoir obtenu cette autorisation, il n’entend pas pour autant  respecter les sympathisants de gauche qui  voteraient  pour lui puisqu’il démissionnera, sitôt élu, pour garder son portefeuille (dans tous  les sens du terme)  ministériel.

     Et dire que ce sont ces mêmes socialistes  qui à l’instar d’un Juppé ou d’un Copé, s’étonnent douloureusement, se frappent la poitrine à la lecture  des sondages évoqués plus haut. A force de prendre les Français pour des veaux, des imbéciles manipulables et de s’essuyer les pieds sur la démocratie…

    Bruno Gollnisch

  • Florian Phulippot invité du Grand Décryptage

    Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

  • Florian Philippot sur RMC - 15 01 14

  • Villa Médicis: Julie Gayet remplacée par la romancière Emmanuèle Bernheim

     

    Julie Gayet écartée du jury de la villa Médicis

    Par LEXPRESS.fr, publié le 15/01/2014 à  09:04

    La ministre de la Culture Aurélie Filippetti a finalement décidé de ne pas nommer l'actrice membre du prestigieux jury chargé de sélectionner les pensionnaires de la villa Médicis à Rome. 

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    93

    Julie Gayet écartée du jury de la villa Médicis

    L'actrice Julie Gayet, dont le magazine Closer a révélé la liaison avec le président français François Hollande, devait devenir membre du jury désignant les pensionnaires de la Villa Médicis.

     

    REUTERS

    La ministre de la Culture Aurélie Filippettti a finalement décidé de ne pas nommer Julie Gayet membre du prestigieux jury de la Villa Médicis, à Rome. Le ministère de la Culture affirme même que Julie Gayet n'avait pas encore été nommée membre du jury de la Villa Médicis, contrairement à ce qu'annonçait le site officiel de l'Académie de France à Rome. 

    "Son nom a été proposé par Eric de Chassey, le directeur de l'Académie de France à Rome-Villa Médicis, mais la ministre a décidé de ne pas la nommer. L'arrêté n'avait pas été signé", a précisé le cabinet. 

    Selon Le Canard Enchaîné de ce mercredi, cette nomination avait pourtant été annoncée en décembre dernier par le ministère de la Culture, avec celle des autres membres du jury. Une information embarrassante depuis que le magazine Closer a révélé la liaison de Julie Gayet avec le président François Hollande

    Ce jury est chargé de la sélection des quinze pensionnaires, chercheurs ou artistes, qui rejoindront la Villa Médicis en septembre à Rome pour une durée de 12 à 18 mois. 


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/julie-gayet-ne-fera-pas-partie-du-jury-de-la-villa-medicis_1314230.html#rcqz3VE8RJR5chk5.99

    Julie Gayet écartée du jury de la villa Médicis

    Par LEXPRESS.fr, publié le 15/01/2014 à  09:04

    La ministre de la Culture Aurélie Filippetti a finalement décidé de ne pas nommer l'actrice membre du prestigieux jury chargé de sélectionner les pensionnaires de la villa Médicis à Rome. 

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    Julie Gayet écartée du jury de la villa Médicis

    L'actrice Julie Gayet, dont le magazine Closer a révélé la liaison avec le président français François Hollande, devait devenir membre du jury désignant les pensionnaires de la Villa Médicis.

     

    REUTERS

    La ministre de la Culture Aurélie Filippettti a finalement décidé de ne pas nommer Julie Gayet membre du prestigieux jury de la Villa Médicis, à Rome. Le ministère de la Culture affirme même que Julie Gayet n'avait pas encore été nommée membre du jury de la Villa Médicis, contrairement à ce qu'annonçait le site officiel de l'Académie de France à Rome. 

    "Son nom a été proposé par Eric de Chassey, le directeur de l'Académie de France à Rome-Villa Médicis, mais la ministre a décidé de ne pas la nommer. L'arrêté n'avait pas été signé", a précisé le cabinet. 

    Selon Le Canard Enchaîné de ce mercredi, cette nomination avait pourtant été annoncée en décembre dernier par le ministère de la Culture, avec celle des autres membres du jury. Une information embarrassante depuis que le magazine Closer a révélé la liaison de Julie Gayet avec le président François Hollande

    Ce jury est chargé de la sélection des quinze pensionnaires, chercheurs ou artistes, qui rejoindront la Villa Médicis en septembre à Rome pour une durée de 12 à 18 mois. 


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/julie-gayet-ne-fera-pas-partie-du-jury-de-la-villa-medicis_1314230.html#rcqz3VE8RJR5chk5.99

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    Julie Gayet, à Cannes, en mai dernier. Crédits photo : John Shearer/WireImage

    Emmanuèle Bernheim a été choisie pour remplacer au pied levé l'actrice.


     

    Une polémique peut en cacher une autre. Aurélie Filippetti a finalement décidé de ne pas nommer au jury de la Villa Médicis l'actrice Julie Gayet, affirme mercredi matin le ministère de la Culture. «Son nom a été proposé par Éric de Chassey, le directeur de l'Académie de France à Rome-Villa Médicis, mais la ministre a décidé de ne pas la nommer. L'arrêté n'avait pas été signé», explique mercredi matin le cabinet de la ministre.

    Mais si Eric de Chassey a fait publier sur le site Internet de la Villa Médicis le nom des jurés, dont celui de Julie Gayet, c'est qu'il avait le feu vert d'Aurélie Filippetti. Jusqu'à mercredi matin, le nom de Julie Gayet figurait sur le site de la prestigieuse institution, au côté de l'artiste plasticienne Anne-Marie Clairet, de la chorégraphe et danseuse étoile de l'Opéra de Paris Marie-Agnès Gillot, et de la compositrice Lucia Ronchetti . Il a été retiré depuis.

    Le Figaro - 15 01 14

  • Julie Gayet nommée à la villa Médicis par le ministère de la Culture

     

     

     

    Selon le Canard Enchaîné, l'actrice Julie Gayet a été nommée membre du jury 2014 de la Villa Médicis par arrêté ministériel, peu avant les fêtes.

    Une polémique peut en cacher une autre. L'information est passée presque inaperçue, glissée dans un encart en bas de page de l'édition du Canard Enchaîné du mercredi 15 janvier. On y apprend que la veille de Noël, Aurélie Filipetti a nommé par arrêté «une certaine Julie Gayet» parmi quatre personnalités du monde de la culture qui composeront le Jury 2014 de la Villa Médicis.

    Sur la page officielle de la prestigieuse institution, son nom figure en effet au côté de l'artiste plasticienne Anne Marie Clairet, de la chorégraphe et danseuse étoile de l'Opéra de Paris Marie-Agnès Gillot, et de la compositrice Lucia Ronchetti.

    Le jury compte sept membres au total, en comptant le directeur de l'institution, Eric de Chassey, et deux autres administrateurs de la villa, Pierre Oudart et Thierry Tuot. Il est chargé d'auditionner à Paris et de désigner les futurs pensionnaires de l'Académie de France à Rome, que les heureux élus intègreront en septembre. «Une belle carte de visite pour la suite», relève le journal satirique au sujet de la nomination de Julie Gayet.

     

    Le Figaro


  • Vaudeville élyséen: le véritable propriétaire de l'appartement se dit " choqué"

     http://www.leparisien.fr/politique/affaire-hollande-gayet-le-proprietaire-de-l-appartement-se-dit-choque-13-01-2014-3489433.php

    + VIDEO: Valérie veut une "clarification"


  • La Shoah à la maternelle ? 12 01 14

  • L'affaire François Hollande et Julie Gayet vue de Taïwan : délirant !

    14/01/2014 – 20h00
    TAIWAN (NOVOpress) -
    Le site d’information taiwanais Tomonews, spécialisé dans les images de synthèse, a réalisé une vidéo d’une minute qui se propose d’illustrer – de manière osée – l’affaire François Hollande et Julie Gayet.

    Le scénario et ses scènes délirantes contribuent à ridiculiser le Président le plus impopulaire de la Vème République.

    Voici la vidéo en version française !

  • Avec Hollande et ses amis, la politique dans le caniveau…

     

    Avec Hollande et les autres, la politique dans le caniveau...Assouline dit de Copé qu’il abaisse la politique, qu’il est désastreux pour avoir dit que le Président donnait de la France une image désastreuse. Que le « président » de l’UMP, élu dans les conditions confuses que l’on sait, n’élève pas le débat est une évidence. Il fait feu de tout bois, mais en l’occurrence, ce n’est pas lui qui place le niveau aussi bas. De Gaulle n’appartient pas à la préhistoire. En moins un demi-siècle, l’image politique de la France s’est effondrée. On pouvait critiquer la politique du Général. On ne peut nier que sa dimension historique donnait à la France dans le monde un poids largement supérieur à sa puissance, notamment économique. Si le visage altier du personnage le rendait parfois inaccessible, on savait que c’était une volonté déterminée chez lui de donner à sa fonction un prestige inséparable du pouvoir et de sa légitimité. Les contours de sa vie privée et de son rôle public étaient clairs et visibles. Les médias ne pénétraient pas le sanctuaire familial de la Boisserie. Charles de Gaulle payait de sa poche le goûter de ses petits-enfants lorsqu’ils lui rendaient visite à l’Élysée. Mais, dans le fond, rien n’était caché, seulement discret, comme l’était la Première Dame, qui partageait la vie du Président, mais savait bien qu’elle n’avait aucune légitimité politique. Par la suite, la distance s’est atténuée avec Pompidou, puis chez les successeurs l’écart s’est creusé entre la façade impeccable et des boudoirs qui l’étaient moins. Le cynisme y a pénétré comme il se doit avec Mitterrand. Les Français ne lui en ont pas tenu rigueur au nom de leur libéralisme dans le domaine des moeurs et du sacro-saint respect de la vie privée. Les esprits chagrins seront toutefois enclins à souligner qu’il s’agissait là d’une vie privée douteuse financée par l’argent public, et que ce n’était pas acceptable.

    On ne peut à la fois occuper une responsabilité de premier plan dans le monde et détenir en France un pouvoir que la Constitution a rendu particulièrement éminent sans que les obligations qui en découlent soient aussi exceptionnelles. Au premier rang, figure le devoir d’offrir au monde entier, une image respectable de la France et des Français que l’on représente. La présence d’une concubine aux côtés du Président créait une situation boiteuse. La tendance de l’intéressée à s’afficher et à revendiquer un droit à la parole était incongrue. La publicité faite autour d’une autre liaison fait dériver le « statut » entre le pathétique et le ridicule. L’image du « Chef de l’État » sur un scooter, casqué allant à ses rendez-vous galants, a fait s’esclaffer la terre entière. Ce n’est pas tolérable. On dira que c’est la vie privée d’un homme normal. Précisément, non. Même un Président « normal », qui évite les excès de l’hyperprésidence, n’a pas le droit de se contenter d’être un homme normal. Il doit à tout moment affirmer une dignité exemplaire. Les « c’est du sérieux » ou « casse-toi » du prédécesseur ont été des entorses à cette règle. La légitimité n’est pas seulement une situation juridique, c’est un sentiment qui repose sur le respect qu’inspire son détenteur. Le locataire actuel de l’Élysée a méconnu cette seconde obligation. Enfin, pendant le temps de sa présidence, le Premier des Français appartient à ceux-ci, matériellement puisque ce sont eux qui lui fournissent les moyens d’existence privilégiés dont il jouit, et psychologiquement aussi. La disponibilité du Président n’est pas limitée aux heures de bureau. Les Français veulent que le Chef de l’État soit concentré sur leurs problèmes. Lorsqu’ils apprennent qu’il en a d’autres dont l’importance peut contrarier son action, alors un doute s’installe. Un tel pouvoir exige une ascèse. C’est encore plus vrai lorsque les temps sont durs pour beaucoup de Français et que les résultats ne sont pas au rendez-vous.

    Valls veut interdire les paroles qui divisent les Français. L’affichage provoquant d’une morale idéologique à deux vitesses divise bien plus fortement les Français. Qu’une Ministre de la culture se réjouisse d’une interdiction, même justifiée, alors qu’elle applaudit bruyamment à des spectacles qui sont aussi des transgressions, qu’une autre parle de l’avortement comme d’un droit fondamental, sont des comportements qui manquent à la prudence, au respect de la diversité des Français. Un exécutif dirige et représente toute la Nation. Manifestement, ceux qui occupent ce pouvoir actuellement ne semblent pas en avoir conscience.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Finkielkraut : «Nous sommes engagés dans un mouvement de profanation intégrale»

    Tribune
    Publié le 14 Janvier 2014

     

     

    Interview - écrivain, philosophe, essayiste, Alain Finkielkraut construit une œuvre autour de la transmission, la défense des humanités et la critique de la modernité. Le racisme, l'antisémitisme, l'antiracisme nourrissent depuis longtemps sa méditation sur l'identité. Sorti au mois d'octobre, son dernier ouvrage, L'Identité malheureuse (Stock), a été au cœur d'un âpre débat et connaît un important succès de librairie. Il réagit à l'affaire Dieudonné.

     

    Le Figaro : Que révèle l'affaire Dieudonné de notre société et de notre pays?

     

    Alain Finkielkraut : Je dirais pour commencer que nous devons au ministre de l'Intérieur la prise en compte par les grands médias de l'ampleur et de la gravité du phénomène. Dieudonné faisait, en toute quiétude, son show au Théâtre de la Main d'Or à Paris et ses tournées dans les grandes villes de province devant des salles bondées. Il a fallu que Manuel Valls demande aux préfets d'interdire ces spectacles pour que les journaux se saisissent du problème et pour qu'émerge sous nos yeux ébahis la génération Dieudonné. Une France multicolore cimentée non, comme on le dit, par le racisme, mais par la haine des juifs.

     

    Son public assure qu'il s'en prend à tous.

     

    Dieudonné ne choisit pas les juifs comme une cible parmi d'autres de son humour dévastateur. Les juifs sont son obsession et l'antijudaïsme sa philosophie. Il interprète l'histoire comme une confrontation planétaire entre deux subjectivités: les juifs et, non pas les Aryens, mais les peuples, tous les peuples. Il déclare que les juifs se sont enrichis grâce à la traite négrière, que plus récemment ils ont très vraisemblablement introduit le sida en Afrique. Il ne considère pas le sionisme comme un mouvement de libération nationale ni même comme une forme de colonialisme dont les Palestiniens auraient à souffrir. Le sionisme à ses yeux est une entreprise de domination du monde. S'affranchissant de toutes les données géographiques, il confère au sionisme les deux attributs de l'omniprésence et de l'omnipotence. Nous revenons, avec Dieudonné, à la thématique du Protocole des sages de Sion. Les one-man-show de Dieudonné sont structurés par l'antisémitisme. Au lendemain de l'initiative de Manuel Valls, il a dit ceci: «Les juifs et les nazis se sont fait la guerre. Qui a tort? Qui a raison? Moi, je suis neutre. Je ne sais pas lequel a volé l'autre, mais j'ai ma petite idée.» Éclats de rire dans la salle. Et on voudrait nous faire croire qu'il peut tout d'un coup se métamorphoser en Bourvil ou en Pierre Dac. Dieudonné peut prendre quelques petites précautions et mettre autant que possible «sioniste» à la place de «juif» dans ses sketchs, cela ne trompera personne… Lire la suite.

    CRIF
  • Patrick Klugman, l’avocat des Femen, de BHL, de Caroline Fourest et de SOS Racisme…

     

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    Focus sur Maître Patrick Klugman. Celui-ci est à la fois l’avocat des Femen, de Caroline Fourest, de Bernard-Henri Lévy et de SOS Racisme.

    Cet avocat trouve naturel d’interdire les spectacles de l’humoriste Dieudonné mais considère que les Femen doivent pouvoir librement profaner les lieux de culte catholiques.

    Né en 1977, Patrick Klugman est ancien président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF).

    Proche de Bertrand Delanoë, Patrick Klugman est membre du PS et siège au Conseil de Paris. Il a été élu dans le 17e arrondissement.

    Vice-président de SOS Racisme, Patrick Klugman est également membre coopté du Comité Directeur du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

    Me Patrick Klugman est fréquemment l’invité des médias. Entre 2004 et 2008, il était très régulièrement présent dans l’émission de Samuel Etienne sur i-Télé. Depuis, il est un invité incontournable de Jean-Marc Morandini sur Europe 1.

    Patrick Klugman dispose aussi d’une tribune hebdomadaire sur RCJ, radio communautaire juive, ainsi que un blog littéraire dirigé par BHL.

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