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Blog - Page 923

  • Marine Le Pen sur les Roms: "Il faut tous les renvoyer"

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  • Nicolas Chafoulais : « Les problèmes sont arrivés avec son nouveau compagnon »

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    Le père de Fiona

                                           

     

    Louise Colcombet | Publié le 26 sept. 2013, 07h00

     
    Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), hier. Nicolas Chafoulais ne voyait plus ses filles depuis des mois au moment de la disparition de Fiona.
     

                                                                                                           

     

    Depuis la disparition de sa fille le 12 mai, il ne s'était guère exprimé. Nicolas Chafoulais avait préféré rester en retrait, pour ne pas gêner les investigations, par pudeur aussi. Mais aujourd'hui, alors que l' -- qui semblait piétiner -- connaît une accélération, le papa de Fiona sort de son silence. Les yeux cernés, la voix lasse, il confie son désarroi et son espoir de connaître la vérité, tout en restant prudent. Nous l'avons rencontré hier, avant que les aveux soient connus.

    Comment avez-vous appris le placement en garde à vue de votre ex-compagne et de son nouveau compagnon ?
    NICOLAS CHAFOULAIS. Par la presse. Une connaissance m'a appelé pour me dire qu'on parlait de Fiona à la télévision, je me suis rué sur le poste. J'ai été très étonné. Une garde à vue, ce n'est pas anodin. Sincèrement, je n'ai jamais pensé un seul instant que mon ex-compagne pouvait avoir quelque chose à faire dans cette histoire -- c'est une très bonne mère --, ni même son nouveau compagnon, même si nos rapports sont très mauvais depuis le début.

    Qu'entendez-vous par là ?
    Au début de notre séparation, les choses se passaient bien. Je prenais Fiona et Eva, sa petite soeur, tous les week-ends chez moi, et dans la semaine également, dès que Cécile en avait besoin. Les problèmes sont arrivés lorsqu'elle s'est mise en ménage avec son nouveau compagnon. Il m'est devenu impossible de voir mes filles, ou même de les avoir au téléphone, sauf de temps en temps. C'est toujours lui qui décrochait, il me faisait des leçons de morale sur la façon d'être un bon père, etc. Un jour, Fiona m'a confié qu'il lui avait fait mal. Quand j'ai voulu avoir une explication avec Cécile, il s'est interposé. Le ton est monté, j'étais à bout, mais pour ne pas en venir aux mains, j'ai tapé dans un poteau et me suis fracturé le tibia. J'ai été alité huit mois, plâtré jusqu'à la cuisse. C'est devenu encore plus compliqué de voir mes filles et je ne voulais pas attiser les choses en tentant par exemple d'aller voir Fiona à l'école. Je savais que cela finirait mal avec lui. Je n'ai plus revu mes filles depuis, cela fait un an. Alors, quand j'entends dire que c'est moi qui ai coupé les ponts, je trouve ça un peu fort de café. Avec mon , M e Savary, nous avons d'ailleurs saisi un juge aux affaires familiales.

    Comment vivez-vous depuis la disparition de Fiona ?
    C'est une catastrophe... Je ne dors plus, je ne mange plus. J'ai perdu près de 12 kg. Je passe mon temps à chercher des informations sur , à la télévision, ça devient une obsession. Le jour de sa disparition, avec trois amis, nous avons cherché Fiona toute la nuit et toute la journée du lundi. J'ai d'abord pensé qu'elle s'était perdue, que quelqu'un la ramènerait. Cela fait quatre mois et demi maintenant... Je me suis longtemps empêché d'envisager certaines choses.

    Qu'attendez-vous du travail des enquêteurs ?
    Je veux qu'on tire au clair ce qui s'est passé. Ne pas savoir ce qui lui est arrivé, c'est terriblement usant mais je ne veux pas faire de spéculations. Mon ex-compagne a eu un bébé depuis, elle a emmené Eva à Perpignan -- sans me prévenir d'ailleurs -- mais moi, je n'ai plus mes enfants... .


     

    Le Parisien

     

  • A Perpignan, le couple était resté discret

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    Timothée Boutry | Publié le 26 sept. 2013, 07h00

     

                                                                         

                                                  
     
    Ils sont arrivés discrètement, au coeur de l'été, avec leur histoire profondément enfouie. « Je leur avais donné un coup de main pour monter leurs affaires », se souvient un jeune homme. « C'était pendant le ramadan. Ils avaient demandé des bougies car ils n'avaient pas encore l'électricité », ajoute un groupe de trois adolescentes. « Lui m'avait dit qu'ils étaient partis de Clermont-Ferrand parce qu'ici c'était tranquille et qu'ils étaient là pour faire leur vie avec les gosses », précise encore un voisin. Quant à elle, à en juger par son ventre arrondi, impossible d'ignorer l'imminence d'un heureux événement. Ainsi, dans ce quartier populaire du nord de Perpignan qui mêle immeubles de cinq étages et pavillons, personne n'avait songé à se poser de question ou à faire le moindre rapprochement. Un nouveau départ, en somme. Jusqu'à mardi soir et l'interpellation de Cécile Bourgeon et de son compagnon Berkane Maklouf, aucun riverain n'avait donc conscience que ces nouveaux locataires en provenance du Massif central étaient la mère et le beau-père de Fiona.

    Les cheveux voilés en permanence...

    Malgré ses apparitions télévisées, le visage de la mère de la fillette disparue n'a éveillé aucun souvenir. « Il faut dire qu'elle avait tout le temps les cheveux voilés. C'est pour ça que personne ne l'a reconnue », explique le gardien de l'immeuble où ce « couple normal » occupe un F 3 au 5 e étage. A en croire les voisins, Cécile Bourgeon, qui avait choisi de gagner Perpignan pour se rapprocher de sa mère, s'aventurait surtout très peu hors du domicile. En août, l'ancienne serveuse avait donné naissance à son troisième enfant -- le premier avec Berkane Maklouf.

    Son nouveau compagnon a quant à lui davantage marqué les esprits. Les habitués du snack-bar avaient fini par s'habituer à la présence de ce nouveau venu au comportement un peu vif et que l'on apercevait volontiers en train de promener Eva, 2 ans et demi, la petite soeur de Fiona. « On savait d'où il venait mais pas ce qu'il avait fait de sa vie. Il était gentil mais restait secret », confie une figure du quartier. Berkane, qui était en recherche active d', avait également laissé transparaître une autre facette de sa personnalité : sa toxicomanie et son addiction aux drogues dures. Récemment, le beau-père de Fiona s'était rapproché de la religion musulmane. Le soir venu, il participait régulièrement avec d'autres à la prière sur un coin de terrain vague en face de son immeuble. « On sentait que ça l'intéressait mais rien d'excessif », assurent plusieurs habitants.

    Entre deux parties de cartes et deux rafistolages de voiture sur le parking, les spéculations vont désormais bon train sur les derniers rebondissements de l'affaire. Avant qu'une mère de famille ne recentre le débat : « La seule chose qui compte, c'est de retrouver la petite. »

     

    Le Parisien
  • Bachar al-Assad gagne la bataille de la communication

     

     
    | Beyrouth (Liban) | 24 septembre 2013
     
     
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    Par Ghaleb Kandil

    Les médias états-uniens et européens ont récemment diffusé des dizaines d’articles et d’enquêtes sur la Syrie, évoquant des sujets qu’ils passaient sous silence depuis plus d’un an. Les images des atrocités commises par les rebelles ont été publiées, et des photos sur les décapitations, la cannibalisme et autres actes barbares perpétrés par les pseudo-révolutionnaires, ont fait leur apparition. Cette prise de conscience médiatique a coïncidé avec les menaces d’agression militaire contre la Syrie, envisagée par le président Barack Obama.
    Ce changement de ton s’est surtout illustré par le sévère réquisitoire contre Obama auquel a procédé, sur FoxNews, la célèbre juge Jeanine Pirro, le 12 septembre. Cette chaine de télévision, dirigée par les conservateurs, s’est livrée à un procès politique contre la décision de la guerre contre la Syrie. Sa conclusion était que Barack Obama veut se lancer dans une nouvelle aventure guerrière au service d’Al-Qaïda, qui combat l’État syrien.
    Les faits leur ont donné raison. Al-Qaïda a lancé en fin de semaine dernière une attaque générale pour prendre le contrôle du Nord de la Syrie, après avoir étendu son hégémonie sur de larges portions de Deir Ezzor, Hassaké et Raqqa.
    Dans le même temps, le premier vice-directeur du Service fédéral de sécurité russe (FSB) Sergueï Smirnov, a déclaré qu’entre 300 et 400 mercenaires russes combattent en Syrie dans les rangs des extrémistes. Ces mercenaires « finiront par rentrer. Cela représente, naturellement, un grand danger », a indiqué le responsable.
    Mercredi dernier, le ministre français de l’Intérieur, Manuel Valls, avait affirmé que 130 Français combattent dans les rangs des extrémistes syriens, soulignant que leur retour en France était une source d’inquiétude en raison du danger potentiel qu’ils peuvent représenter.
    Ce changement d’attitude de la part des médias occidentaux est dû, en premier lieu, à la faillite de la guerre menée contre l’État syrien depuis deux ans et demi par les gouvernements occidentaux, les pétromonarchies rétrogrades du Golfe et la Turquie. De plus, tous les sondages aux États-Unis, en France, en Allemagne et en Grande-Bretagne, ont montré le refus des opinions publiques de la guerre contre la Syrie. Au Royaume-Uni, le Parlement a exprimé la volonté populaire en interdisant au Premier ministre David Cameron de participer à toute agression contre Damas.
    Le refus populaire d’une nouvelle guerre s’explique par les défaites des États-Unis et de leurs alliés en Irak, en Afghanistan dans la Bande de Gaza et dans les trois guerres israéliennes contre le Liban, en 1993, 1996 et 2006. Ces conflits ont eu de graves répercussions sur les économies occidentales et ont laissé de profondes traces dans la mémoire collective des peuples. La résistance de l’État syrien face à la guerre universelle menée contre lui, la chute des Frères musulmans en Égypte et l’affaiblissement de la Turquie, ont conforté l’opinion publique dans ses choix pacifistes.
    La plupart des articles et des enquêtes publiés dans les médias occidentaux donnent, enfin, une image proche de la réalité sur ce qui se passe en Syrie : un État, prêt à procéder à des réformes sérieuses, qui est aux prises avec des gangs de mercenaires extrémistes, en majorité membres d’Al-Qaïda. Les façades « démocratiques » installées par l’Occident et ses auxiliaires se sont effondrées, pour laisser apparaitre le vrai visage de la rébellion : des takfiristes, criminels, tueurs d’enfants, violeurs de femmes et mangeurs d’hommes. Voilà les groupes qui sont recrutés, entrainés, armés, financés et nourris par les illustres démocraties saoudienne et qatari !
    Lors de ses récentes apparitions dans les médias occidentaux, le président syrien Bachar al-Assad est parvenu à briser le mur du silence et à montrer à l’opinion publique la véritable image de ce qui se passe dans son pays. Ses arguments, son bon sens, sa logique, étayés de faits, de preuves et de chiffres, ont réussi à convaincre beaucoup de personnes, aussi bien chez les citoyens ordinaires que chez les élites intellectuelles et politiques honnêtes. Certes, l’opinion publique occidentale n’est pas devenue pro-régime, mais elle a saisi la réalité de ce qui se passe en Syrie. Une vérité que la gigantesque machine médiatique, contrôlée par les gouvernements américain, européens et ceux des pays du Golfe, se sont employés à cacher depuis deux an et demi.
    Après avoir gagné la bataille politique et diplomatique, avec l’aide de son allié russe, et pris le dessus dans la bataille militaire, avec le soutien du Hezbollah et de l’Iran, la Syrie est en passe de remporter la bataille de la communication.
    L’autre facteur déterminant dans le changement d’attitude de l’opinion occidentale, est la position du Vatican. Le Saint-Siège est résolument hostile à toute agression militaire contre la Syrie. Sa position découle de son souci de défendre la cause des chrétiens d’Orient, dont l’existence est aujourd’hui menacée par les takfiristes, qui tentent de détruire le dernier État laïque d’Orient, garant des libertés religieuses de tous les citoyens.
    La journée de prière pour la Syrie, célébrée à l’appel du Vatican le 7 septembre, a rassemblé des millions de fidèles dans les églises du monde entier, y compris aux États-Unis. Cet élan de solidarité a également joué un rôle essentiel dans le basculement de l’opinion publique.

     

    RESEAU VOLTAIRE

  • UDT FN - Conférence d'Aymeric Chauprade: La France face aux défis géoplitiques mondiaux


    #UDTFN : Conférence d’Aymeric CHAUPRADE par MarineLePen

     

    14 septembre 2913

  • Edith Cresson : l’arroseur arrosé (par les Roms)

     

    La propriété d'Edith Cresson

    Des centaines de gens du voyage se sont installés à Saint-Sylvain-d’Anjou près d’Angers et insupportent (bizarrement) les riverains.
    Parmi eux, l’ancien Premier ministre, Édith Cresson, furieuse après le maire, qui s’en remet au préfet.
    « Ils ont des toilettes chimiques mais ils vont quand même faire ça chez nous. Le cabinet du préfet m’a dit que c’était une habitude culturelle ! », s’énerve la mère Cresson, 79 ans.

    L’ancien bras droit de François Mitterrand n’a pas l’intention de supporter plus longtemps « les désordres dans mon potager, les vols de fruits et de bois ». Elle compte déposer plainte.

    Pourtant, Cresson, qui a favorisé l’invasion de la France pendant des années, aurait largement de quoi accueillir dans son château, ses communs, ou sur son parc de 8 hectares quelques familles de Roms ou d’immigrés qui viennent s’entasser chez nous aux détriments du Français moyen…

    Par ailleurs, ceux qui ont croisé des Roms et autres Gitans cet été sur les routes des vacances auront pu être surpris par la qualité de leurs caravanes. Ne pensez pas tout de suite à mal… il y a les subventions de  la CAF !

  • Clermond-Ferrand: Fiona enterrée nue en présence de sa petite soeur - Son corps n'a pas été retrouvé

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    La maman de Fiona, disparue en mai dernier, a finalement craqué en révélant mercredi, lors de sa garde à vue, que sa fille était décédée après avoir été frappée par son beau-père, Berkane Maklouf, un toxicomane marginal. Les parents de la petite fille auraient ensuite enterré son corps près du lac d'Aydat, une commune proche de leur ancien domicile du Puy-de-Dôme, mais les enquêteurs n'avaient toujours pas retrouvé son corps, mercredi soir, après une demi-journée de fouilles. Le beau-père et la maman de Fiona sont arrivés vers 18 h 15 au palais de justice de Clermont-Ferrand, sous les huées de la foule.

    Selon le procureur de la République de Clermont-Ferrand Pierre Sennès, qui s'est exprimé vers 18 h 30, le juge d'instruction va procéder à la mise en examen de Cécile Bourgeon et de Berkane Maklouf, même si le corps de la petite fille n'a toujours pas été retrouvé. Pierre Sennès a ensuite rappelé les versions de chacun des deux protagonistes. La jeune femme, qui vient d'accoucher de son troisième enfant, accuse son compagnon d'avoir frappé mortellement la fillette lors d'une soirée arrosée entre amis. Berkane Maklouf, lui, "nie farouchement" ces accusations. Il a reconnu un accident domestique et il a admis que le couple avait monté un scénario. Selon lui, l'enfant s'est étouffée dans son vomi. En trouvant la petite fille au matin, sa mère aurait souhaité appeler les secours, mais ils auraient paniqué, puis échafaudé un scénario.

    Double mise en examen

    Le couple a alors mis le corps dénudé de la petite fille dans un sac, puis dans le coffre de la voiture du couple. Cécile Bourgeon a ensuite pris le volant, Berkane était passager, et la petite soeur de Fiona Eva est montée à l'arrière de la voiture. Ils sont ensuite allés dans une zone forestière, où Berkane a creusé un trou pour y déposer le corps nu de la petite fille. Cécile a jeté le sac qui contenait la dépouille de l'enfant au retour par la fenêtre de la voiture.

    Berkane sera mis en examen pour "coups mortels" sans intention de donner la mort, avec circonstances aggravantes. Il risque 30 ans de réclusion criminelle. Il est aussi accusé de recel de cadavre et non assistance à personne en danger. Il était déjà connu des services de police pour des faits de violence et toxicomanie. La mère Cécile Bourgeon, inconnue des services de police, sera elle mise en examen pour recel de cadavre, non-assistance à personne en danger, dénonciation de crime imaginaire et destruction de preuve entravant le travail de la justice. Elle encourt 5 ans d'emprisonnement.

    Milieux toxicomanes

    Comment en est-on arrivé à ces chefs d'inculpation ? Dès la déclaration de la disparition, le 12 mai dernier, dans le parc Montjuzet de Clermont-Ferrand, les enquêteurs ont privilégié deux pistes : celle de l'enlèvement (une information judiciaire pour "enlèvement et séquestration" a immédiatement été ouverte) et la piste familiale. L'ensemble de la famille a donc été mise sous écoute téléphonique. Cette piste a prospéré au fil des semaines, le travail d'enquête ayant mis à jour un certain nombre de détails d'emploi du temps qui contre-disaient la version de Cécile Bourgeon.

    D'autre part, l'enquête a confirmé que Cécile Bourgeon et Berkane Maklouf avaient des contacts quotidiens dans les milieux toxicomanes, où il leur arrivait de se rendre pour acheter ou consommer de la drogue accompagnés des deux petites filles (Fiona et sa petite soeur Eva, NDLR). Enfin, fin août-début septembre, les enquêteurs ont découvert que Cécile Bourgeon avait visionné un message sur internet relayant un appel à témoins sur une disparition d'enfant dans un parc.

    Mardi, les enquêteurs ont perquisitionné l'appartement du couple dans un quartier populaire du nord de Perpignan, où il s'était installé récemment. Une perquisition a également eu lieu à l'ancien domicile de Cécile Bourgeon à Clermont. Dans cette affaire, en plus du couple Bourgeon-Berkane, trois personnes, qui étaient présentes lors du repas précédant la mort de Fiona, ont été placées en garde à vue et entendues par les enquêteurs.

    LE POINT - 26/09/13


     

     

  • La mère de Fiona et son compagnon devraient être présentés aux juges

    http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/2013/09/26/la-mere-de-fiona-et-son-compagnon-devraient-etre-presentes-aux-juges-1705831.html

  • Les Roms en France, enjeu des municipales malgré eux

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    Souvent précarisée à l'extrême dans les grandes villes, la population rom est devenue un enjeu très discuté à l'aube des municipales. Zoom sur ces populations venues d'Europe de l'Est et sur les idées reçues.

     
    Alexandra Gonzalez
    Le 25/09/2013 à 19:03
     
     

    Rejetés dans leur pays d'origine, les Roms, venus en France depuis plusieurs années en espérant de meilleures conditions de vie, font face depuis quelques mois à une salve de déclarations hostiles de l'opposition, et parfois même de la majorité socialiste.

    Entre réalité d'une intégration difficile, et fantasmes sur un peuple accusé de nombreux maux, BFMTV.com fait le point sur cette population, devenue un enjeu politique majeur à six mois du scrutin des municipales.

    > Qui sont les Roms?

    En France, les Roms viennent de Roumanie à plus de 80%, les autres sont principalement Bulgares. Ils seraient aux environs de 20.000. Près de la moitié vit en Ile-de-France, les autres généralement à Lille, Marseille, Bordeaux, Nantes, ou encore Lyon.

    Certains sont tout à fait intégrés et travaillent. D'autres, forcément plus visibles, vivent dans des squats, des cabanes, des caravanes, ou parfois même dans la rue. Ils habitent souvent en périphérie, mais certains, notamment sans-abri, arrivent également dans les centres-villes.

    Selon Marion Cadier, chercheuse à Amnesty International, "ils ont tendance à se regrouper selon leur région d'origine, par nécessité pour survivre, mais pas par choix de vivre en communauté".

    > Pourquoi est-ce devenu un enjeu des municipales?

    A moins d'un an des élections, les maires sont de plus en nombreux à taper du poing sur la table sur la question des Roms, y compris à Paris, où à droite comme à gauche, les deux principales candidates se sont fendues de commentaires plus ou moins fermes et controversés.

    Sur RTL mercredi, le maire communiste de la Courneuve, Gilles Poux, a réclamé pour sa part l'ouverture d'une "table ronde" avec l'Etat, la région et les départements sur ce sujet en Ile-de-France. "On est concerné par ce problème de façon quasi-permanente depuis 7 ou 8 ans", déplore l'édile.

    "Je comprends la difficulté des maires qui ont des campements de Roms dans leurs villes, car dès lors qu'ils acceptent d'accueillir ces populations, les maires des alentours refusent alors les camps, et leur renvoient tout le monde. Cela devient ingérable", reconnaît le Dr Jean-François Corty, haut responsable chez Médecins du Monde, qui regrette le manque de coopération.

    > Sont-ils nomades comme les gens du voyage?

    Pas du tout, comme le rappelle à BFMTV.com le Dr Corty. "Les Roms sont des sédentaires qui migrent pour des raisons économiques et sociales. Ils n'ont pas vocation à vivre dans des camps. Ils veulent travailler, scolariser leurs enfants, avoir un toit, mais les expulsions incessantes entretiennent les clichés, en les empêchant de sortir de la précarité: là où ils trouvent refuge, il n'y a pas de ramassage de déchets, pas d'eau potable, pas de propreté. Les riverains sont incommodés, et cela crée une fracture."

    Marion Cadier confirme: "Ce sont des nomades forcés, qui fuient une situation encore plus discriminante dans leur pays d'origine". Un rapport de l'ONG sorti mercredi dénonce les traitements réservés à ces "condamnés à l'errance": "Les Roms continuent d'être chassés de leurs lieux de vie de façon répétitive sans être consultés, informés et relogés de façon adéquate, en infraction avec des engagements internationaux pris par la France". Une précarité immense dont profitent parfois certains réseaux mafieux pour organiser du travail d'enfants ou de la mendicité.

    > De quels droits disposent-ils en France?

    Le travail: les Roumains et les Bulgares, derniers en date à être entrés dans l'Union européenne, sont les seuls -avec les Croates- à être sous le coup de mesures restrictives pour avoir un emploi. Une circulaire publiée en août 2012 en a aboli une partie, comme la taxe dont devait s'acquitter un employeur qui recrutait quelqu'un de cette nationalité.

    D'autres mesures restrictives prendront fin au 31 décembre prochain, même si ces deux pays n'appartiennent pas à l'espace Schengen. Les Roumains et les Bulgares pourront travailler librement en France sans avoir d'autorisation de travail, difficile à obtenir lorsqu'elle concerne un emploi qui ne figure pas parmi la "liste des 292 métiers" qui leur sont accessibles.

    Les soins: les Roms, comme toute population étrangère, peuvent bénéficier de l'Aide médicale de l'Etat dès lors qu'ils peuvent justifier de trois mois de présence sur le territoire français.

    Le séjour: durant ses cinq premières années en France, un citoyen européen n'a pas à détenir de carte de séjour, sauf s'il est Roumain ou Bulgare. Dans ce cas, il n'a le droit de circuler librement que trois mois. Au-delà, il doit justifier d'un emploi ou de ressources suffisantes. Il s'expose sinon à une reconduite à la frontière. Cela pourrait changer avec l'adhésion à l'espace Schengen.

    Les aides sociales: les Roms n'en bénéficient pas s'ils sont en France depuis moins de trois mois. Au-delà, ils doivent généralement pouvoir justifier d'une adresse, ce qui est difficile pour ceux qui vivent en campement.

    L'aide au retour humanitaire, instaurée en 2007 par Nicolas Sarkozy, a été fortement réduite par Manuel Valls en décembre dernier. Elle est passée de 300 à 50 euros par adulte.

    > La Roumanie dans l'espace Schengen: qu'en est-il?

    Aucune date n'a été fixée pour l'adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l'espace Schengen, car il faut un accord à l'unanimité des 26 autres Etats membres. Or, plusieurs pays bloquent.

    Mercredi, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls n'a d'ailleurs pas masqué ses réserves sur ces adhésions. "Si les conditions ne sont pas réunies, on ne peut pas le faire. Actuellement, non, on ne peut pas (…). La responsabilité de ces pays, c’est d’assurer la sécurité à leurs frontières. L’Union reconnaît que ces pays ne sont pas prêts. On verra plus tard".

    Le Conseil européen doit se réunir à la fin de l'année pour prendre une décision sur la circulation des touristes en provenance de ces deux pays. En revanche, au 1er janvier 2014, Schengen ou pas, les travailleurs bulgares et roumains auront les mêmes droits d'accès à l'emploi que les autres Européens en France.

    BFMTV

     

    Pourquoi devons-nous accueillir ces populations qui sont rejetées par leur pays d'origine?  Pourquoi les Roms sont-ils rejetés par la Roumanie et la Bulgarie?

  • Les propos du compagnon de la mère de Fiona deux jours après sa disparition

       

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    Altercation avec des journalistes le 14 mai 2013

     

     

    Berkane Maklouf, le compagnon de la mère de Fiona, accusé par celle-ci d'avoir tué accidentellement sa fille, avait eu une altercation avec les journalistes deux jours après l'annonce de sa disparition du parc Montjuzet. 
    Excédé par la présence des journalistes au pied de leur domicile à Clermont-Ferrand, le compagnon de la mère de Fiona, Berkane Maklouf avait eu une altercation avec eux au matin du 14 mai, peu après 10 h 30, deux jours après le lancement des recherches dans les environs du parc Montjuzet.
     
     
    "Laissez-nous tranquille ! On aimerait avoir la paix ! Cécile n'arrête pas de faire des saignements. Vous voulez assister en direct à une fausse couche ?!" menaçait le jeune homme, faisant allusion aux six mois de grossesse de sa compagne. "La scientifique a tout retourné chez nous ! Même la gamine (Eva) n'arrêtait pas de pleurer: elle ne reconnaît pas sa chambre !"
     
    Enervé, le jeune homme implorait les médias: "Laissez-nous nous reconstruire un petit peu quand même ! Laissez nous nous remettre d'aplomb ! On a fait 48 heures d'audition. C'est bon quand même ! On est en train de péter un plomb. Nous mêmes on veut retrouver notre gamine, on ne sait pas où est notre pépette ! Vous croyez quoi ?!" 
     
    Ce soir, après 24 heures de garde à vue à Perpignan, la mère de Fiona est passée aux aveux et accuse son compagnon de lui avoir porté un ou plusieurs coups fatals la veille de la déclaration de la disparition. Berkane Maklouf est sorti ce soir peu après 18 heures des locaux de la police judiciaire des Pyrénées Orientales les menottes aux poignets. Il est toujours entendu dans les locaux de l'Hôtel de police de Perpignan.
     
    Il déclarait le 14 mai au matin aux journalistes : "Vous voulez vraiment nous aider ? Allez faire du porte à porte. Toquez à Montjuzet, toquez chez des gens, placardez des affiches. voilà les choses que vous pouvez nous faire."
     
    Etienne Vuillaume
     
    La Montagne.fr 25/09/13
  • La mère de Fiona passe aux aveux: la petite fille est morte sous les coups portés par son compagnon

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    Fiona, 5 ans

     
    20 h : Cécile Bourgeon vient de passer aux aveux. Fiona aurait succombé à un coup porté par le compagnon de la mère. Le corps a été dissimulé, selon la jeune femme.
     
     
    La Montagne
     
     
     
     
    HORREUR! Cette femme savait et mentait pour couvrir son concubin. Et elle pleurait devant les caméras pour mieux tromper!  Comment une mère peut-elle agir  ainsi?
     
     
     

     

  • Le CSA met en demeure Radio Courtoisie

     

    Le CSA met en demeure Radio Courtoisie
     
     

    Qui a dit que le Conseil supérieur de l’audiovisuel ne servait à rien ?

    Il est vrai qu’au regard de la vulgarité et de la bêtise des émissions de téléréalité, du développement exponentiel des programmes pornographiques et para-pornographiques, de la partialité permanente de l’information et des disproportions de temps de parole accordé aux différents courants politiques, on pouvait légitimement s’interroger sur l’efficience du contrôle effectué par cette institution dirigée par Olivier Schrameck, ancien directeur de cabinet de Lionel Jospin.

     


    On est aujourd’hui rassuré, en apprenant qu’à la suite de son Assemblée plénière du 24 juillet dernier, le CSA a, le 11 septembre, mis en demeure Radio Courtoisie pour « manquement aux obligations déontologiques » et encouragement à des « comportements discriminatoires à l’égard de personnes à raison de leur appartenance ou non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

    La raison de cette procédure ? Les propos jugés excessifs tenus sur le mariage gay et l’islam au cours de l’émission Le Libre Journal d’Henry de Lesquen diffusée par Radio Courtoisie le 27 mai 2013, « sans qu’aucun des invités en plateau n’exprime d’opinion contraire ou nuancée », comme l’indique le CSA. Dans cette émission, le directeur d’antenne et président de Radio Courtoisie avait notamment qualifié le mariage homosexuel « d’abject et contre-nature » et comparé l’islam à une « menace pour l’identité nationale française ».

    Ce noble souci de mesure et d’impartialité exprimé par le CSA surprendra toutefois ceux des auditeurs et téléspectateurs des grands médias nationaux qui ont eu l’impression d’assister durant plusieurs mois à une intense propagande en faveur de l’union des couples du même sexe.

    Radio Courtoisie, le seul média hertzien à avoir fait entendre une voix clairement discordante dans ce concert médiatique, se voit donc reprocher sa position dissidente et est mise en demeure de la corriger.

    Un « deux poids/deux mesures » de la part du CSA qui a immédiatement déclenché l’ire de nombreux internautes, notamment ceux issus de la mouvance de la Manif pour tous, voyant là une nouvelle expression de la « dictature socialiste » et de sa volonté de faire taire les opinions divergentes.

    Une page Facebook a ainsi rapidement été mise en place pour défendre « la radio du pays réel et de la francophonie » contre ce qui est considéré comme une tentative d’intimidation et de censure.

    La mise en demeure du CSA est une procédure qui peut être suivie de sanctions telles que des amendes, voire une suspension de diffusion.

    Source : Observatoire des journalistes et de l’information médiatique, via Polémia.

    Crédit image : Radio Courtoisie, DR.

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  • La mère de Fiona n'était pas dans le Parc

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    19H25

     

     

    Cette fois c'est officiel, Cécile Bourgeon, la mère de Fiona, n'était pas dans le parc où la fillette est censée avoir disparu.

     
     
    FAITS DIVERS - 25/09/13
  • Fiona: la mère et son concubin s'étaient renseignés sur les disparitions d'enfants

     

     

     Jean-Marc Ducos | Publié le 25.09.2013, 19h40 | Mise à jour : 19h41                                    

                                    

     

                                                           

                                                    

    Selon une source proche de l’affaire, la mère et le beau-père de Fiona ont consulté quelques jours avant la disparition supposée de l'enfant, le 12 mai dernier à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), des archives de presse sur concernant des affaires de disparitions d'enfants.

    Ce sont des analyses informatiques menées par la police scientifique de la PJ qui ont permis de l’établir.
    Cet élément, très troublant aux yeux enquêteurs, est sans doute l’une des raisons pour lesquelles Cécile Bourgeon, la mère de la fillette, et son compagnon actuel, Berkane Maklouf, ont été placés en garde à vue
     
    NdB:  La "disparition" de Fiona était-elle préméditée par le couple?  

     

               LeParisien.fr

  • Roms: Bruxelles menace à nouveau la France de sanctions

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    http://www.leparisien.fr/politique/roms-bruxelles-menace-a-nouveau-la-france-de-sanctions-25-09-2013-3168703.php