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Blog - Page 924

  • J’ai pleuré en découvrant ce qu’était devenu le Marseille de mon enfance

     

    Je suis née à Marseille il y a 60 ans. J’y ai vécu jusqu’à l’âge de 18 ans. Quand j’étais petite c’était alors une ville agréable je pouvais me promener avec ma grand mère sur la Canebière sans avoir peur. Je me souviens d’une ville gaie, du soleil, de la nonchalance des gens se promenant ou attablés à une terrasse de café papotant de la pluie et du beau temps, ne se souciant pas de savoir si leur sac allait disparaître subrepticement volé par des Roms ou autres chances pour la France qui sont prêts à vous assassiner pour 10 euros ou vous égorger au nom de l’islam. Il n’y avait pas de femmes voilées. Certes Marseille est un port, donc forcément beaucoup d’étrangers arrivaient : arméniens au début du 20 ème siècle après le génocide qu’ils ont subi par les turcs ottomans, les italiens partis de leur pays pour trouver du travail, idem pour les espagnols, les portugais et les polonais. Pas de problème, ils étaient tous chrétiens, partageant la même culture. Tout ce petit monde se côtoyait sans beaucoup de difficulté.

    Ayant rendez vous chez un médecin avenue du Prado (pour ceux qui connaissent Marseille c’est ou c’était une avenue chic) j’y vais en bus au départ d’Aix. Arrivée à la gare st Charles, je décide d’aller sur le Prado à pied passant successivement par le boulevard d’ Athènes, la Canebière, la rue de Rome et enfin l’avenue du Prado, environ une heure de marche. J’ai voulu voir Marseille aujourd’hui. J’ai tellement été choquée que chemin faisant je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer voyant le triste spectacle de la France d’aujourd’hui ou plutôt de la France du futur représentée par Marseille, Roubaix, le 93 et bien d’autres parties de notre beau pays. Oui j’ai pleuré, sur mon passé, sur notre passé commun chrétien, par le spectacle de cette ville sale, envahie par les étrangers. Je n’ai croisé que des noirs, des arabes, des roms, des indiens, des blancs ne parlant pas français. Arrivée sur l’avenue du Prado, il y avait le marché, un arabe vendait des corans et une multitude de femmes étaient là voilées faisant leurs achats. Une angoisse sourde m’a envahie, je me demandais où j’étais. Qu’allait il advenir de notre pays qui fut un temps le phare du monde. Aujourd’hui dans cette partie de la ville tout n’est que désolation, burkas, kamis, barbus, commerces halal, trottoirs défoncés, rues sales, des papiers partout, des saletés, des crachats, des gens qui parlent un français vulgaire avec aucun accent marseillais, aucune expression si imagée que j’avais l’habitude d’entendre dans mon enfance. Rien qu’un sabir incompréhensible, de l’arabe, du roumain, de l’indien etc. comment a-t-on pu en arriver là ? Nos politiques ont les yeux voilés c’est le cas de le dire. Pourquoi devrions nous abandonner notre façon de vivre au profit de populations exogènes qui veulent nous imposer leurs habitudes niant notre culture doublement millénaire N’a-t-on plus voix au chapitre ? Doit-on se taire et ne rien faire ? Il est temps d’agir et de se révolter. Lorsqu’un peuple n’est plus maître de son destin, il devient un instrument aux mains des autres.

    Sophie Vienne

     

    RIPOSTE LAÏQUE

     

    NdB: Tout est tristement exact dans ce témoignage. Mais vite il faut essuyer ses larmes et VOTER  pour le Front National ! Il reste une ultime chance à saisir, saisissons-là!

  • A quand une politique au service des Français et des Européens d’abord ? Par Bruno Gollnisch

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    Il y a des annonces qui sonnent comme des surprises, d’autres comme des confirmations. Les médias ont ainsi relaté les accusations portées contre une des personnalités (paraît-il) préférées des Français si l’on en croit les sondages, à savoir le socialiste Yannick Noah.  Selon Le Figaro, Rabra Bendjebbour, l’ancienne nounou des Noah qui s’est occupée du plus jeune fils du couple, estime que ses patrons l’ont exploitée comme une esclave. Ils l’auraient fait travailler nuit et jour pour un salaire de misère. « Je suis arrivée chez eux dès la naissance du bébé, et dès lors je me suis retrouvée prise dans un tourbillon », explique-t-elle. Jusqu’au jour où elle a demandé moins d’heures de travail : « J’expliquais juste à Isabelle Camus (la compagne de M. Noah, NDLR) que je n’étais plus prête à travailler jour et nuit ! Elle m’a dit : Dans ce cas-là, dégage ! ».

     Les syndicats aux ordres aimeraient bien eux aussi que le FN dégage ,et que ce système d’essorage, d’exploitation de la France et des Français par la caste UMPS perdure. Et avec elle, la belle la rente de situation dont jouissent les dirigeants syndicaux et politiciens dont François Hollande, qui, toute honte bue, a même l’audace de se rendre demain comme le fit  son complice   bruxellois Nicolas Sarkozy, sur le site Arcelor Mittal de Florange (Moselle)

     A six mois des élections municipales, explique l’Afp,  «les syndicats se mettent en ordre de bataille pour contrer l’influence grandissante du Front National et trois d’entre eux, la CGT, la FSU et Solidaires, ont déjà prévu une réunion publique en janvier pour démonter les thématiques de l’extrême droite ».

     «Il s’agit de donner des armes aux militants pour combattre la propagation des idées d’extrême droite et du FN en cette année électorale», précise Frédéric Bodin, secrétaire national de Solidaires. Au-delà de la perspective électorale, «il est temps de prendre le flambeau de l’anti-discrimination et contre la banalisation des idées de l’extrême droite», souligne Francine Blanche membre de la direction de la CGT.

     Lui aussi en plein calcul boutiquier et électoraliste, le très immigrationniste  Manuel Valls après avoir insulté Marine Le Pen et le FN , a affirmé hier comme preuve de sa fermeté qu’il était « illusoire de penser qu’on réglera le problème des populations roms à travers uniquement l’insertion(…). Les solutions d’intégration ne peuvent concerner que quelques familles et il n’y a pas d’autre solution » que le démantèlement des campements et les reconduites à la frontière.

     A croire que le ministre de l’Intérieur s’est inspiré des propos de Bruno Gollnisch devant le parlement européen sur le dossier rom il y a quelques années que nous rappelions  fin août. « On parle de minorité opprimée expliquait Bruno, mais est-ce que vous pensez sérieusement, que si les Roms ne se sont pas intégrés depuis six siècles dans les pays d’Europe centrale ou orientale, où ils résident, c’est simplement parce que les Roumains, les Bulgares, les Hongrois, sont méchants, c’est parce les Slovaques, les Tchèques, les Slovènes, les Serbes les persécutent ? »

     «Votre angélisme en réalité est une autre forme de racisme, un racisme qui s’applique en fait aux populations indigènes, celles qui, comme dans mon pays, ne souhaitent pas que 12 millions de Roms viennent s’y installer et la seule solution, c’est de sortir de cette Europe-là ! ».

     Bien sûr pleureuses professionnelles ont joué leur rôle de diversion, chargées d’accréditer, de mettre en relief la pseudo fermeté de M. Valls en s’attachant à condamner son  simple constat.

     Des propos « excessifs » et méritant d’être « corrigés » selon  Arnaud Montebourg ; Valls a « franchi la ligne rouge de l’acceptable » (SOS Racisme) ; « (stigmatisé) une population) » (LDH) ; montré « une méconnaissance complète » du mode de vie des Roms qui « sont sédentaires quand ils le peuvent » ( le sénateur PS Jean-Yves Leconte) ; «  Les coups de menton à travers le micro, ça ne fait pas avancer le débat », a encore  estimé le député PS Pouria Amirshahi…

     Au 74e congrès de l’Union sociale de l’habitat à Lille, en présence de la ministre du logement Cécile Duflot, le maire de la capitale du Nord,  Martine Aubry a  déclaré hier que « La responsabilité de l’Etat, ce n’est pas de vider les terrains pour les mettre (les Roms, NDLR) dans la rue, c’est de trouver d’autres solutions. Nous sommes un pays où nous pouvons, tant que la situation n’est pas réglée en Roumanie et en Bulgarie, trouver des solutions pour accueillir les 20 000 Roms qui sont sur notre territoire. Ce qui n’est pas acceptable, c’est que Lyon, Lille et la Seine-Saint-Denis en accueillent 90% ». faudrait-il disperser géographiquement le problème pour le résoudre ?!

     Ce qui n’est pas acceptable surtout, ce sont les traités de Maastricht,  d’Amsterdam, de Nice, de Lisbonne, tous avalisés par l’UMPS qui ont ouvert sciemment nos frontières à tous ceux qui souhaitaient s’y installer. Ce qui est inacceptable  c’est aussi la tromperie entretenue par les caciques socialistes, UMP et le ministère de l’intérieur sur le nombre réel de Roms installés dans notre pays

     Nicolas Dupont-Aignan (DLR) reprenait quasiment mot pour, mot en mars dernier le constat du FN en expliquant que « Nous sommes face à une déferlante. Les chiffres officiels, données en janvier dernier par le ministère de l’Intérieur, estimaient la population rom à 15 000 personnes, mais nous sommes au moins à 100 000 personnes présentes sur le territoire national. Il n’y a qu’une seule solution, c’est le rétablissement des contrôles aux frontières », alors que la Roumanie et la Bulgarie devraient faire  leur entrée dans l’espace Schengen en janvier 2014…

     «Nous sommes face à de véritables mafias, très organisées poursuivait-il. La circulaire Valls ralentit tout actuellement. Imaginez les services préfectoraux qui viennent dans ces camps et qui demandent aux parents s’ils ont un emploi, aux enfants s’ils sont scolarisés, etc… alors que le plus souvent ces fonctionnaires se retrouvent face à des personnes qui ne parlent pas notre langue… Tout cela est indigne de notre République. »

     A Lyon notamment, la campagne municipale menée par le secrétaire départemental et conseiller régional frontiste  Christophe Boudot  ne fait pas l’impasse sur cette question. Une affiche a d’ailleurs été éditée sur ce thème   («  Camps sauvages, immigration illégale, ça suffit ! »).

     Oui, si l’arbre rom est l’arbre qui cache la forêt de l’immigration massive notait Jean-Marie Le Pen, ce dossier est révélateur du climat malsain généré par les instances bruxelloises. En mars 2010, Bruno Gollnisch tenait des propos dans l’hémicycle qui restent d’une brûlante actualité.

     Il dénonçait la mise en place par les instances européistes d’ « une hiérarchie des hommes qui place désormais au sommet la minorité Rom -10 ou 12 millions de Roms de l’UE-, puis les migrants extra-européens, puis les Européens d’origine non-européenne et enfin, tout en bas, les Européens de souche. «

     « Si l’on ajoute encore la dimension de genre et le jeunisme ambiant, on en conclut qu’il ne fait pas bon, dans votre Union prétendue européenne, être un homme d’âge moyen, Européen et d’origine Européenne ne faisant partie d’aucune minorité ethnique, culturelle, religieuse ou sexuelle identifiée comme telle par vos soins ».

     « A quand, enfin, une politique au service des Européens d’abord ? A quand la priorité à ces travailleurs pauvres, à ces classes moyennes écrasées de taxes, à ces chômeurs, à ces familles simplement européennes qui sont l’immense majorité des habitants de l’Union et des citoyens dont nous avons la charge, et auxquels vous ne pensez qu’à la veille des élections ? ».

     Gageons que les Français se saisiront des élections municipales et européennes de 2014 pour répondre à  cette question.

  • Pastaga sur toute la France

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    NOUVELLES DE FRANCE

  • Yannick Noah accusé d’esclavage

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    24/09/2013 – 21h30
    BOBIGNY (NOVOpress) – Derrière le sourire, la « cool attitude » et la « Saga Africa », le vrai visage de Yannick Noah semble moins reluisant. L’ancienne nounou de son dernier fils, Joalukas (9 ans), l’accuse lui et sa compagne Isabelle Camus d’esclavage ! Le tribunal des prud’hommes de Bobigny (Seine-Saint-Denis) est saisi de l’affaire. Si aucun accord n’est trouvé, l’affaire pourrait être portée au pénal pour « esclavage » et « abus de confiance ».

     

    « Je les ai suivis pendant trois mois, en tournée, puis en vacances, et je me suis occupée de Joalukas nuit et jour, du lundi au dimanche, pour 950 euros par mois », explique au Figaro Rabra Bendjebbour. L’ancienne nounou décrit un couple impitoyable et superficiel : « Elle ne prenait son fils dans ses bras que pour sortir dehors, devant les gens », déclare Rabra Bendjebbour au sujet d’Isabelle Camus, la compagne du chanteur. Quant au père, il ne « venait embrasser son fils qu’une seule fois par jour, le soir, avant de le laisser dormir dans ma chambre et de me laisser s’occuper de lui comme si j’étais sa mère ».

    Liste de tâches longue comme le bras, horaires à rallonge, pas de temps libre, salaire de misère… la nounou dresse un portrait des Noah en véritables patrons voyous. La collaboration s’achève brusquement en 2004. « J’expliquais juste à Isabelle Camus que je n’étais plus prête à travailler jour et nuit! Elle m’a dit : “dans ce cas là, dégage” ». Une affaire qui écorne salement l’image de Yannick Noah.

    Et le Bloc identitaire n’a pas manqué de réagir par un communiqué titré « Escroquerie “antiraciste” : Yannick Noah n’a pas aboli l’esclavage ! ». Précisant : « [A] l’instar de Thuram, Yannick Noah, déjà entendu en 2012 par une commission d’enquête sur l’exil fiscal, aime à donner des leçons de bien-pensance à la terre entière et sans frontière. Des bancs de la fête de l’Huma aux concerts de SOS Racisme, en passant par la célébration de l’élection de François Hollande, Noah fait partie des icônes de la gauche française “antiraciste”. »

    Fabrice Robert a également réagi sur Twitter.

     

    Crédit photo Une : Huard via Flickr (cc).

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

     

  • Dis moi ce que tu aimes… Par Bruno Gollnisch

     

    PS corruption

    Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, partisan de la disparition de notre souveraineté nationale, membre du Siècle, humaniste,  nouveau chouchou des médias,  est forcement un mondialiste bien sous tous rapports.  Incapable de juguler l’explosion de la délinquance,  partisan de la poursuite de la dilution de l’identité française par l’immigration de peuplement, les  naturalisations  massives et de distribution  accrue de papiers français aux immigrés non européens, M. Valls  aime pourtant  jouer au dur. Il aime aussi donner en exemple sa  servilité vis-à-vis des mots d’ordre du Nouvel ordre mondial sous pavillon américain. Ce  fut le cas hier sur Europe 1 lorsqu’il a  accusé  Marine d’être  «dans le degré ultime de l’outrance et dans le degré zéro de l’analyse politique». Et ce, vous l’aurez compris au motif  que la présidente du FN   refuse de  soutenir  les  bellicistes atlantistes  qui veulent la mort de l’Etat laïc syrien.  Régime de Bachar el-Assad qui est effectivement « la moins pire de solutions » n’en déplaise au ministre de l’Intérieur  et à ses amis.

     Marine le Pen « n’aime pas la France et est incapable de porter un projet pour la France », a encore déclaré Manuel Valls récitant la petite phrase imaginée par ses communicants. Une   saillie qui ne manque pas de sel dans la bouche d’un homme qui a fait toute sa carrière au sein d’un PS qui est devenu au fil des ans une caricature de Parti de l’étranger. Soit un  agrégat de défense d’intérêts  clientélistes et communautaires,  chargé de vendre au bon peuple de gauche  les bienfaits  l’Europe de Bruxelles, de la monnaie unique,   de l’ultra libre-échangisme  mondialisé.

     M.  Valls sait aussi mettre les mains dans le cambouis pour verrouiller sa boutique. Selon Valeurs actuelles il a chargé Yves Colmou, ancien chef de cabinet de Michel Rocard à Matignon, ex conseiller de Lionel Jospin,  secrétaire national adjoint aux élections du PS, « récemment nommé préfet sans affectation, de s’occuper personnellement des nominations pour le corps préfectoral au sein de son cabinet ».

      M. Colmou a en effet un CV qui parle pour lui : «  Fondateur, en 1995, du département collectivité locales au cabinet Progress (dont le vice-président était Jean-Paul Huchon), Colmou s’est spécialisé dans le recrutement de hauts fonctionnaires de gauche pour les collectivités. »

     « Il refusait  dans le cadre de ses activités de consultant, de recevoir et d’aider les fonctionnaires classés à droite. Valls a  en outre, chargé son homme de l’ombre de superviser le redécoupage électoral (…).   Colmou va redécouper les circonscriptions des personnes qu’il a nommées dans ses activités privées et qu’il continue de nommer dans ses fonctions actuelles ». Bref précise Pierre Guyot sur le site Atlantico, M. Colmou est chargé de  « vérifier que cette nouvelle partition du territoire des départements ne portera pas préjudice aux élus locaux de gauche ».

     Tripatouillage électoral pour sauver les meubles l’année prochaine qui s’accompagne d’annonces démagogiques sans laquelle la gauche ne serait pas la gauche. Le Figaro se faisait l’écho aujourd’hui des réflexions du ministère de la Famille de  Dominique Bertinotti sur  un «statut de prémajorité» pour les adolescents de 16 à 18 ans.

     L’objectif serait de «passer progressivement à l’âge adulte (…).  Il ne s’agit pas de basculer tous les droits de 18 à 16 ans, mais de  grappiller  ce qu’il serait possible de faire dès 16 ans. Les experts réfléchiront aussi à la façon dont on pourrait associer les mineurs aux décisions qui les concernent, en matière d’éducation et d’orientation professionnelle notamment (..). »

     Est  ainsi  étudié  «  la possibilité d’accorder de nouveaux droits aux enfants.» Une idée qui est venue à (Dominique Bertinotti)  après son expérience de maire du IVe arrondissement de Paris, où elle avait institué des conseils d’enfants et des conseils de jeunes. Une idée qui correspond aussi au souhait de François Hollande de faire de la jeunesse sa priorité»…

     La priorité de la jeunesse ce ne sont pas des mesures gadgets  de ce type, le mariage pour tous, les assemblées bla-bla, mais de pouvoir s’insérer dans la vie active grâce à des filières d’études d’études et/ou d’apprentissages  performantes.La priorité de la jeunesse   c’est de trouver du travail dans un pays dont l’Etat défend la souveraineté,  la prospérité,  l’identité,  les intérêts nationaux d’abord . Un Etat qui au lieu de l’attaquer,  défende aussi la famille, lieu  de transmission des valeurs, d’éducation, de protection,  au sein de  laquelle les enfants sont les plus aptes à s’épanouir.

     Bruno Gollnisch le rappelait, « encore faut-il que l’Etat ne favorise pas le désordre moral. Je crois que dans la vie sociale, il y a un certain nombre d’équilibres à faire respecter,  que la famille est la cellule pour l’accueil de la vie, et pour l’éducation des enfants, et  qu’elle constitue notamment  la meilleure prévention contre la  délinquance. »

     Dans ce domaine là également, la rupture avec les  politiques menées par l’UMPS sont  d’une urgente nécessité.

  • L'histoire vraie de la mafia israélienne

     

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    10 janvier 2013, attentat en plein centre de Tel-Aviv, neuf blessés…mais ce n’est pas une faction terroriste palestinienne qui est impliquée : la cible s’appelle Nissim Alperon, le chef de l’une des familles du crime organisé israélien. Chaque semaine, on annonce des règlements de compte. Les organisations mafieuses israéliennes comptent parmi les plus violentes et les moins connues également. Certaines se contentent d’opérer à l’intérieur de l’Etat hébreu et dans les pays voisins, mais d’autres se sont implantées en Europe de l’est et de l’ouest, dans les principales villes du continent américain, ainsi qu’en Afrique du sud, en Australie et au Japon. Prostitution, blanchiment d’argent, racket, drogue, trafic d’armes, recel de biens volés, contrebande des diamants…les activités de cette mafia sont nombreuses.

    Les sommes générées par le crime en Israël, avec ses ramifications à l’étranger, sont tellement importantes que  la mafia israélienne est arrivée à corrompre des personnalités politiques. Autant la police est efficace dans le combat contre le terrorisme palestinien, autant elle semble désarmée face à un crime structuré militairement.

    À travers et des révélations et des détails inédits, ce livre retrace l’histoire des mafieux « blancs et bleus » depuis 1948. Dans une galerie de personnages tels Zeev Rozenstein, les frères Meïr et Itzhak Aberjil, Charlie Aboutboul, Rico Shirazi, le «parrain en kippa» Shalom Domrani et quelques dizaines d’autres, cette enquête décortique des organisations souvent opaques et nous entraîne dans un monde de prédateurs bâtissant leur empire illégal  grâce aux cadavres qu’ils laissent derrière eux.

    Belgo-israélien, Serge Dumont a été journaliste d’investigation à l’hebdomadaire L’Express entre 1983 et 1996. Installé à Tel-Aviv depuis lors, il a collaboré au quotidien Maariv et à l’hebdomadaire Hanachim. Il est aujourd’hui correspondant permanent des quotidiens Le Soir (Bruxelles), Le Temps (Genève), La Voix du Nord (Lille). En février 2011, lynché dans une rue Caire par les partisans d’Hosni Moubarak alors qu’il couvrait le Printemps arabe, arrêté à deux reprises, détenu au secret par les services de sécurité égyptiens, il a été libéré grâce à la mobilisation des journaux auxquels il collabore ainsi que de la diplomatie européenne.

    ZENTROPA

  • Le pape François et l’attentat au Pakistan

    24 septembre 2013

     

    Jusqu’ici, je n’ai trouvé qu’une seule réaction du pape à l’attentat qui a coûté la vie à une centaine de chrétiens pakistanais (l’attentat antichrétien le plus meurtrier de l’histoire du pays). Cette unique réaction (semble-t-il, jusqu’ici) a de quoi susciter un autre malaise. La voici intégralement. C’était dimanche après-midi, François s’adressait aux jeunes Sardes :

    « Aujourd’hui, au Pakistan, pour un choix erroné de haine, de guerre, il y a eu un attentat où sont mortes 70 personnes. Cette route ne va pas, ne sert pas. C’est seulement la route de la paix qui construit un monde meilleur. Mais si vous ne le faites pas, vous, si vous ne le faites pas, vous, personne d’autre ne le fera : c’est cela le problème ! Et c’est la question que je vous laisse : est-ce que je suis disposé(e) à prendre une route pour construire un monde meilleur ? C’est seulement cela. Et prions un Notre Père pour toutes ces personnes qui sont mortes dans cet attentat au Pakistan. »

    Il n’y a ni musulmans ni chrétiens. D’un côté il y a un choix erroné, de l’autre il y a des personnes qui sont mortes…

     

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Disparition de la petite Fiona : trois personnes, dont la mère, en garde à vue

                

    • Par lefigaro.fr
    • Mis à jour le 24/09/2013 à 22:46
    • Publié le 24/09/2013 à 20:11

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    Cécile Bourgeon affirmait jusqu'alors s'être endormie dans un parc au moment où sa fillette de 5 ans était enlevée, le 12 mai denier. Le beau-père et un proche de ce dernier sont également entendus.

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    La mère de la petite Fiona, 5 ans, disparue en mai à Clermont-Ferrand, a été placée mardi soir en garde à vue à Perpignan, où elle vit actuellement. Le beau-père de la fillette, Berkane Maklouf, a également été placé en garde à vue. Selon le procureur de Clermont-Ferrand, Pierre Sennès, la garde à vue a débuté «vers 18h15». L'avocat de la jeune femme, Me Gilles-Jean Portejoie, qui n'a pu parler à sa cliente, a déclaré ignorer «quels étaient les éléments nouveaux» justifiant ces gardes à vue. «Il faut gérer cela avec calme, sang froid et sérénité», a-t-il souligné. Selon le site du quotidien La Montagne, une perquisition était en cours dans l'appartement loué par le couple dans le centre de Perpignan.

    Le site du Parisien affirme pour sa part qu'une troisième personne, un proche du beau-père, était également entendu mardi, dans les locaux de la police judiciaire de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).

    Aucune piste concrète

    Le 12 mai dernier, Fiona, avait disparu alors qu'elle se trouvait avec sa mère au parc Montjuzet de Clermont-Ferrand. Cécile Bourgeon, alors enceinte de six mois, s'était endormie une vingtaine de minutes sur un banc, laissant la petite Fiona et sa sœur de 2 ans jouer ensemble. Après plusieurs jours de recherches minutieuses, mais infructueuses, dans les 25 hectares de ce parc escarpé, la piste de l'accident avait laissé place à celle d'un enlèvement.

    Aucune piste concrète n'avait jusqu'alors été découverte. Un numéro vert national avait pourtant été mis en place dès le lendemain et les enquêteurs avaient reçu plusieurs centaines d'appels, situant Fiona aux quatre coins du pays. «Là où je suis un peu déçue, c'est qu'il y a quand même eu beaucoup de témoignages qui n'ont abouti à rien», confiait au mois d'août la jeune mère de 25 ans.

    Elle s'est constituée partie civile pour avoir accès au dossier, de même que le père de la fillette, Nicolas Chaloufais, dont elle dit être sans nouvelles depuis plus d'un an, ainsi que son nouveau compagnon, père de son troisième enfant dont elle a accouché cet été.

     

     

    NdB: Cette gentille petite fille... On a envie de pleurer en la regardant sourire à la vie.

     

     

  • La France propose au Conseil de Sécurité de ne pas utiliser le droit de veto concernant la Syrie

          

     

    Par La Voix de la Russie | La  France a proposé aux membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU (composé par la Russie, les Etats-Unis, la Chine, la Grande-Bretagne et la France) de ne pas utiliser le droit de veto pour bloquer des résolutions sur les crimes de guerre, y compris en Syrie, a déclaré lors d'une conférence de presse ce mardi le président François Hollande.

     Selon Hollande, en ce qui concerne la destruction des armes chimiques en Syrie, le Conseil de Sécurité de l'ONU doit adopter une résolution « contraignante ».

     


     http://french.ruvr.ru/news/2013_09_24/La-France-propose-au-Conseil-de-Securite-de-ne-pas-utiliser-le-droit-de-veto-concernant-la-Syrie-2115/

  • Les armes secrètes NBC d'Israël

    RESEAU VOLTAIRE  (ROME)  24 SEPTEMBRE 2013

     

        

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    Entrée du Life Science Research Institute à l’Institute for Biological Research de Ness-Ziona. Cette structure est la couverture du programme de recherche et de fabrication des armes chimiques et biologiques israéliennes.

    Les inspecteurs ONU, qui contrôlent les armes chimiques de la Syrie, auraient beaucoup plus à faire s’ils étaient envoyés contrôler des armes nucléaires, biologiques et chimiques (NBC) d’Israël. Mais selon les règles du « droit international », ils ne peuvent pas le faire. Israël n’a pas signé le Traité de non-prolifération nucléaire, ni la Convention qui interdit les armes biologiques, et a signé mais non ratifié celle qui interdit les armes chimiques.

    Selon Jane’s Defense Weekly, Israël —seule puissance nucléaire au Proche-Orient— possède de 100 à 300 têtes nucléaires et leurs vecteurs appropriés (missiles balistiques et de croisière et chasseurs-bombardiers). Selon des estimations du Sipri, Israël a produit 690 à 950 kgs de plutonium, et continue à en produire autant que nécessaire pour fabriquer chaque année 10 à 15 bombes du type de celle de Nagasaki. Il produit aussi du tritium, un gaz radioactif avec lequel on fabrique des têtes neutroniques, qui provoquent une contamination radioactive mineure mais de plus haute létalité. Selon différents rapports internationaux, cités aussi par le journal israélien Ha’aretz, des armes biologiques et chimiques sont développées à l’Institut pour la recherche biologique, situé à Ness-Ziona, à côté de Tel Aviv. Officiellement, 160 scientifiques et 170 techniciens font partie du staff, qui depuis cinq décennies accomplit des recherches en biologie, chimie, biochimie, biotechnologie, pharmacologie, physique et d’autres disciplines scientifiques. L’Institut, avec le Centre nucléaire de Dimona, est « une des institutions les plus secrètes d’Israël » sous juridiction directe du Premier ministre. Le plus grand secret entoure la recherche sur les armes biologiques : bactéries et virus qui, disséminés chez l’ennemi, peuvent déclencher des épidémies. Parmi eux, la bactérie de la peste bubonique (la « mort noire » du moyen-âge) et le virus Ebola, contagieux et létal, pour lequel n’est disponible aucune thérapie.

    On peut avec la biotechnologie produire de nouveaux types d’agents pathogènes auxquels la population cible n’est pas en mesure de résister, ne disposant pas du vaccin spécifique. On dispose aussi de sérieux indices sur des recherches pour développer des armes biologiques pouvant anéantir chez l’homme son système immunitaire. Officiellement l’Institut israélien effectue des recherches sur des vaccins contre des bactéries et virus, comme celles sur l’anthrax financées par le Pentagone, mais il est évident qu’elles permettent de développer de nouveaux agents pathogènes à usage guerrier.

    Le même expédient est utilisé aux États-Unis et dans d’autres pays pour contourner les Conventions qui interdisent les armes biologiques et chimiques. En Israël la chape de secret a été en partie déchirée par l’enquête qu’a faite, avec l’aide de scientifiques, le journaliste hollandais Karel Knip. Il ressort en outre que des substances toxiques développées par l’Institut ont été utilisées par le Mossad pour assassiner des dirigeants palestiniens. Des témoignages médicaux indiquent qu’à Gaza et au Liban, les forces israéliennes ont utilisé des armes de conception nouvelle : elles laissent le corps intact à l’extérieur mais, en y pénétrant, dévitalisent les tissus, carbonisent le foie et les os, et coagulent le sang. Ceci est possible avec la nanotechnologie, cette science qui projette des structures microscopiques en les construisant atome par atome.

    Au développement de ces armes participe aussi l’Italie, liée à Israël par un accord de coopération militaire et son premier partenaire européen dans la recherche et le développement. Dans la dernière loi de Finances est prévue une attribution annuelle de 3 millions d’euros pour des projets de recherche conjoints italo-israéliens. Comme celui, indiqué dans le dernier avis de la Farnesina (ministère italien des Affaires étrangères), de « nouvelles approches pour combattre des agents pathogènes résistants aux traitements ».

    Ainsi l’Institut israélien pour la recherche biologique pourra-t-il rendre les agents pathogènes plus résistants encore.

    Voir le site internet de l’Institut israélien de recherches biologiques

    Traduction
    Marie-Ange Patrizio

    Source
    Il Manifesto (Italie)

  • 23 septembre 1939 : mort de Freud

     

    Ce darwiniste forcené et cocaïnomane invétéré, génial fumiste, aura été le fondateur d’une pseudo-science psychologique : la « psychanalyse », qui a la particularité de rendre névrosés ceux qui ne l’étaient pas avant de l’approcher.
    Charlatanerie mêlant le vrai et l’absurde, le fatras monté par Freud et ses compères (presque uniquement ses coreligionnaires) tourne principalement autour du sexe – véritable obsession -, auquel tout est ramené.

    En fait, Sigmund Freud a largement plagié le docteur Jean-Martin Charcot (un peu comme Einstein a plagié le Français Poincaré) concernant l’hystérie, l’inconscient, la suggestion par l’hypnotisme, le « ça », le « moi », etc., mais a ajouté ses délires pansexualistes.

    La « théorie » fondamentale de la psychanalyse est basée sur le « complexe d’Œdipe » défini en l’occurrence comme le désir inconscient qu’aurait tout enfant de tuer son père pour entretenir des rapports sexuels avec sa mère…
    Pour Freud, « l’enfant est un pervers polymorphe »…

    Il n’est pas précisé, dans la pourtant très copieuse fiche wikipedia de Freud, que ce dernier a lui-même connu l’inceste dans sa jeunesse.
    Ce « détail » capital amène pourtant à penser qu’il a probablement élaboré sa « science » en projetant universellement la névrose qui le rongeait suite à son traumatisme, afin de se déculpabiliser.
    Il disait pourtant lui-même avoir « découvert » le complexe d’Œdipe au cours de son « auto-analyse ».

    La « méthode psychanalytique » consistera, pour Freud et ses disciples, à s’efforcer de suggérer (sinon d’implanter) aux patients des pensées et des souvenirs à connotation sexuelle voire incestueuse, qui, sous l’apparence de les apaiser, vont véritablement les névroser.

    On ne trouve pas non plus sur wikipedia certaines citations pourtant éloquentes de Freud, comme lorsqu’il exprimait sa peur du « danger de voir cette science devenir une affaire juive ».

    Il écrivait aussi en 1908 :
    « Nos amis [adeptes de sa théorie ; NDCI] aryens nous sont indispensables. Sans eux, la psychanalyse serait victime de l’antisémitisme ».

    Et en 1912, il constatait amèrement :
    « Mon intention de fondre ensemble juifs et goyim au service de la psychanalyse me semble un échec. Ils se séparent comme l’huile et l’eau ».

     

    Contre-info.com

  • Marseille : le rideau tombe sur Kenny Tissus ..

    20130924_1_5_1_1_0_obj4773961_1.jpg Kenny.jpg

    Aujourd'hui

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    En 1970, le même magasin...

     

     
    Marseille / Publié le mardi 24 septembre 2013 à 06H13
     

    L'emblématique enseigne de la rue de Rome va fermer ses portes après avoir fêté ses 50 ans d'existence. Le gérant évoque son ras-le-bol

     
     

    Même les couleurs chatoyantes des étoffes au rabais n'y font rien. L'atmosphère qui règne chez Kenny Tissus, l'emblématique enseigne du 13, rue de Rome, est pesante et prend à la gorge.

    Un petit poste radio crache le vieux tube des Everly Brothers, Bye bye love and happiness. Traduire : l'amour et la joie, c'est fini. Comme une prémonition.

    Au bout de cinquante ans d'existence, qui l'auront vu devenir le lieu incontournable du textile marseillais, le commerce va baisser le rideau. Stéphane Buccino, le gérant, assiste aux dernières heures de son magasin, derrière sa caisse, les yeux embués de larmes. "J'aurais pu continuer, je n'ai pas l'âge de la retraite, mais je suis à bout de nerfs. Les travaux du tramway, qui m'ont fait perdre 70 % de ma clientèle, m'ont achevé. J'ai connu l'époque prospère des années 80, où les gens se mettaient sur leur 31 pour se rendre rue de Rome. C'était à la fois populaire et chic. On faisait l'équivalent d'un million d'euros de chiffre d'affaires !" se remémore le quadragénaire, qui a hérité de son parrain la gérance du magasin, en 1997.

    Les menottes au poignet du "boss"
    "En tant que patron, j'ai connu les années galère. On a vu la rue se paupériser progressivement, la délinquance monter en flèche. Jamais je n'aurais pensé devoir un jour défendre mon commerce de mes poings. C'est pourtant ce que j'ai dû faire, souvent. Me battre pour éviter qu'on me vole", poursuit-il, amer.

    C'est pourtant lui, le "boss" de Kenny Tissus, qui s'est un jour retrouvé les menottes aux poignets. "Jusqu'à la fin des années 2000, nous avions le droit d'exposer nos tissus dans la rue, d'avoir des étals. Puis la municipalité nous l'a formellement interdit. Alors qu'à Noailles, rue Vacon notamment, il y a des tissus pleins les trottoirs ! Face à cette concurrence déloyale, je suis entré en résistance, en continuant d'exposer les miens. Après plusieurs avertissements, la police est venue m'arrêter, sous les yeux de mes clients et de mes employés. Je m'en souviendrai toute ma vie", lâche Stéphane Buccino, la gorge nouée.

    "C'est une page de mon existence qui se tourne"
    À ses côtés, Betty, la vendeuse. Présente depuis 1981, elle sanglote tout en servant les ultimes clients. "C'est une page de mon existence qui se tourne. Kenny Tissus, c'était une grande famille, balbutie-t-elle. Mais je ne perds pas mon emploi. Le repreneur a accepté de me garder."

    Le repreneur en question possède déjà quelques enseignes de prêt-à-porter sur la rue de Rome, et ne devrait pas innover en ouvrant une nouvelle boutique de...prêt-à-porter masculin, baptisée Route 66.

    Rien de très rock'n'roll, lorsqu'on sait que la boutique proposera des marques à la mode (italiennes, notamment), dont on peut aisément dénicher les versions contrefaites dans les rues adjacentes. Des vêtements confectionnés avec des tissus nettement différents des belles étoffes  de Kenny...

     

    La Provence

     

    NdB:  Le "Grand Remplaçement" des  commerces marseillais...  un exemple parmi d'autres dans cette ville défigurée par l'immigration de masse.

     

     

     

  • Remplacer les fêtes chrétiennes par Yom Kippour et l’Aïd : et on va dire amen ?

    Ecrit le 24 sept 2013 à 12:36 par Vivien Hoch dans Poing de vue

     
     

    La France est un pays de culture et de tradition catholique, sous un régime républicain et démocratique. Je mérite sûrement la guillotine, bien affûtée, de la libre parole républicaine pour ces propos nauséabonds. Plus besoin de guillotine, elle est désormais implantée directement dans les âmes et consciences, et ce, dès l’enfance, grâce à la « ligne Buisson » de la laïcité de Vincent Peillon, et la pastorale républicaine qu’il met en place à l’école. Prochaine étape : la suppression des fêtes chrétiennes. On y vient très vite, on y est : une «sociologue» convertie à l’islam, membre de l’Observatoire de la laïcité, vient de proposer de remplacer deux fêtes chrétiennes par une fête juive et une fête musulmane…

     

    L’Observatoire de la laïcité, organisme étatique dépendant directement du Premier Ministre de la République, a été créé en 2007, sûrement pour contrer, au moins en tant que « poudre aux yeux », la problématique du culte musulman au cœur du quotidien des citoyens. Aujourd’hui, au main des socialistes, cet observatoire devient très dangereux – comme pour nombre de lois prises sous la droite, que la droite applaudissait, et qu’elle se prend aujourd’hui en pleine poire. Dounia Bouzar, qui a été nommée dimanche à l’observatoire de la laïcité par le Premier ministre, qui est une anthropologue spécialiste du fait religieux, propose, dans un entretien à Challenges, de remplacer deux fêtes chrétiennes (au choix) par Yom Kippour et l’Aïd…

    Cette experte, donc, nous informe que « la France a montré l’exemple de la laïcité au monde en instaurant la première la liberté de conscience » [sauf pour les pharmaciens ou les maires - ajout de l’ami Michel Janva]. Liberté de conscience, soit dit en passant, qui existait dès la grèce antique, sinon avant, et qui trouve d’ailleurs dans la théologie médiévale des arguments étayés. Il suffit d’ouvrir saint Thomas d’Aquin pour comprendre que l’homme créé à l’image de Dieu veut dire qu’il en est l’image en tant qu’il est libre, comme Lui, de ses actes et de ses pensées.

    À la fin de cet entretien sur les cas posés par la problématique musulmane au travail et dans les cantines, le journaliste lui demande quand même s’il faut ajouter deux fêtes en plus ; et notre experte en laïcité de répondre : « le clergé y a longtemps été opposé mais il a évolué et n’y est plus hostile car il y a beaucoup de fêtes chrétiennes ». Il a « évolué ». Comprenez : le clergé sort enfin des siècles sombres, moyenâgeux et lugubres dans lesquels il était enfermé, et il en sort sous l’impulsion du « sens de l’histoire », qui file en droite ligne vers le Grand Soir socialiste, le paradis terrestre, enfin délivré de toute croyance et de toute vérité des cieux.

    Et, comme toute histoire a ses prophètes, je vous en offre deux qui avait tout prévu : le prophète Jacques Attali disait déjà, en février 2003, qu’« il convient (…) d’enlever de notre société laïque les derniers restes de ses désignations d’origine religieuse. »… Pas mieux que l’autre prophète, Vincent Peillon, qui affirmait dans une vidéo de 2005 qu’il fallait détruire la religion catholique, pour imposer sa « religion laïque et républicaine » (l’équivalent, chez lui, de « socialiste »). L’enjeu, dit Peillon, est « de forger une religion qui soit non seulement, plus religieuse que le catholicisme dominant, mais qui ait davantage de force, de séduction, de persuasion et d’adhésion, que lui. ». La chose est claire ? Il parle exclusivement du catholicisme, et non des autres religions : la rivalité mimétique de la République et de l’Église, dès la Révolution française – qui n’est pas terminée, rappelons-le, est un combat, une guerre des religions qui est strictement polarisée par ces deux-là. L’islam est là de surcroit, comme un allié objectif de la République dans ce combat, quoi qu’on puisse en penser.

    L’objectif est donc clairement de bâtir une société anti-chrétienne. Pourquoi autant de pessimisme et de fermeture, me direz-vous : l’espace social n’est-il pas le lieu de la « cohabitation des différences » et du « multiculturalisme » ? Oui, très bien, et alors il ne resterait qu’à nous, chrétiens, de convaincre les autres – sans pouvoir trop en parler publiquement, en se cachant dans les caves, en évitant d’être trop « visible », se faisant tout petit, et en n’intervenant surout pas dans les débats publics.  Comment voulez qu’une lampe éclaire le monde si elle est placée sous la table ? Comment voulez-vous que l’avenir de la France se bâtisse sans son passé ? Comment voulez-vous construire une maison sans ses fondations ? Point n’est besoin de fondation, d’historicité et de continuité, puisque, dans leurs esprit peilloniens, tout commence par la Révolution, et tout finira avec la Révolution achevée : une Révolution, selon le grand-maître Peillon, qui est « un événement religieux », une « nouvelle genèse »  un « nouveau commencement du monde », une « nouvelle espérance », une « incarnation théologico-politique », qu’il faut porter à son terme, à savoir : « la transformation socialiste et progressiste de la société toute entière » (La révolution française n’est pas terminée, p. 195).

    Que les musulmans (et les juifs) ne se réjouissent donc pas trop vite : ils sont aujourd’hui les idiots utiles de la République, plus que les alliés objectifs. Une République qui se sert de l’islamisation, à sa droite, et du « multiculturalisme », à sa gauche, pour imposer sa propre religion, mais qui veut les feindre toutes, et, au premier chef, l’Église, dont elle est depuis le début la copie mondaine et le décalque horizontal.  Elle veut et n’existe que pour s’imposer elle-même comme religiosité, et, grâce à Vincent Peillon, dont on peut reconnaître, au moins, la franchise, cela est rendu public. Oui il faudra répandre la bonne parole, selon le rapport de l’Observatoire de la laïcité remis le 25 juin au Premier ministre : « favoriser la diffusion de guides de la laïcité dans les municipalité, hôpitaux, maternités, entreprises privées », « inventer une charte laïque » ou encore « enseigner la morale laïque à l’école » (p. 4), tout cela en s’appuyant « sur la lutte contre toutes les discriminations économiques, sociales, urbaines ». L’homme nouveau, républicain et socialiste, ouvert à tout sans n’être à rien, subissant toutes les cultures du monde sans avoir le droit à la sienne, étant partout « chez autrui » plutôt que « chez lui », sera lisse et livide, sans visage et sans porosité, homme relatif et relativiste, où tout se vaut, dans une angoisse permanente et suffocante. Rien à quoi se rattacher. Sinon à la République laïque et socialiste qui est là, et qui tend les bras.

    Oui, c’est encore une religion, sinon une certaine forme de religiosité, qui est encore à l’œuvre dans ce médiocre spectacle dit « laïque ». Les petits rituels narcissiques, ludiques ou névrotiques de l’homo festivus sont désormais les grandes-messes du monde post-moderne, avec leurs prêtres, leurs thuriféraires, leurs porte-croix, leurs fêtes de Bacchus, leurs processions infâmes et leurs vêpres télévisuelles débilisantes. Et les sermons servis au cours de ces messes profanes sont d’une violence inouïe pour toute personne attachée à la continuité, la verticalité, la transcendance et le sérieux de la vie en société. Chrétiens, vous n’êtes pas les bienvenues : vous représentez le passé, le mur, l’échafaud sur lequel, certes – et encore ! – on a bâti la civilisation, mais qu’il faut désormais rejeter. Place aux autres, à tout le monde, sauf à vous, déchets moyenâgeux.

    - Faites donc une « croix » sur deux fêtes (au choix, mais ne rêvez pas trop pour un réferendum) :

    Lundi de Pâques (21 avril pour 2014)

    Jeudi de l’Ascension (29 mai pour 2014)

    Lundi de Pentecôte (9 juin pour 2014)

    Assomption (15 août)

    Toussaint (1er novembre)

    Noël (25 décembre)

    Puis tournez-vous vers le dieu républicain, ses valeurs « humanistes » et immanentes, cette « transcendance flottante », cette réduction anthropologique, gage de paix, de sérénité, et surtout, comme nous le voyons tous les jours dans notre société, de beau, de vrai et de bien. Amen.

     

    NOUVELLES DE FRANCE

  • La France humiliée par l’armée israélienne d’occupation

     

    http://www.france-palestine.org/La-France-humiliee-par-l-armee

    AFPS, dimanche 22 septembre 2013

    Des diplo­mates euro­péens ont été mal­menés le 20 sep­tembre, à Khirbet al Makhoul dans la vallée du Jourdain par l’armée israélienne.

    Ce groupe de diplo­mates qui accom­pa­gnaient un convoi de tentes et de vivres destiné à des Pales­ti­niens dont les habi­ta­tions avaient été démolies par l’armée, a été vio­lemment pris à partie par des soldats qui ont lancé des gre­nades assour­dis­santes pour le stopper.

    Une diplomate fran­çaise, Marion Fesneau-​​Castaing qui pro­testait de son immunité diplo­ma­tique a été tirée hors de son véhicule et main­tenue à terre tandis que le matériel d’aide huma­ni­taire était confisqué.

    En apportant une aide huma­ni­taire à une com­mu­nauté d’une dizaine de familles dont les habi­ta­tions avaient été rasées par les forces d’occupation, les diplo­mates étaient dans leur rôle et leur action plei­nement conforme au droit inter­na­tional et aux recom­man­da­tions des Chefs de mission de l’UE en poste à Jérusalem.

    Si les chefs mili­taires se per­mettent de tels actes violant gros­siè­rement règles diplo­ma­tiques et droit huma­ni­taire, c’est qu’ils sont sys­té­ma­ti­quement habitués à une totale impunité.

    Faut-​​il voir dans cet acte, la mise en exé­cution des menaces du ministre de la Défense israélien qui avait ordonné au général Eitan Dangot de "geler les contacts avec des repré­sen­tants de l’UE dans la zone C", ter­ri­toire pales­tinien sous contrôle total d’Israël ?

    La France, dont nous ne doutons pas qu’elle pro­testera, doit le faire publi­quement. Elle ne peut se retrancher der­rière des obli­ga­tions de dis­crétion au nom d’une pré­tendue effi­cacité, alors qu’à travers sa diplomate elle a été déli­bé­rément humiliée.

    Il revient au gou­ver­nement de prendre toute mesure appro­priée, y compris par le rappel de son ambas­sadeur à Tel-​​Aviv, pour obtenir de véri­tables excuses et l’engagement de laisser l’Union Euro­péenne pour­suivre ses actions huma­ni­taires sans entraves. Ne pas réagir avec la fermeté néces­saire ne ferait qu’encourager la répé­tition de ces actes indignes.

    Le Bureau national

  • C’est ce qu’ils appellent l’information

     

    Hier midi je regardais les informations sur BFM. Il y était question, longuement, et en boucle, de l’attentat de Nairobi.

    Il n’y avait pas un mot sur le triple attentat de Bagdad qui a fait (le même jour) 65 morts.

    Il n’y avait pas un mot sur l’attentat qui a coûté la vie à plus de 80 chrétiens au Pakistan (une centaine aux dernières nouvelles) – l’attentat antichrétien le plus meurtrier au Pakistan (même cela ne méritait donc pas d’être dit sur BFM).

    J’ai zappé sur LCI. C’était pareil.

    Les auteurs de ces attentats sont tous des islamistes. De ce point de vue il n’y a donc pas de raison d’évoquer l’un sans évoquer les autres.

    Les victimes ? Au Pakistan, des chrétiens : on s’en fout. A Bagdad : des chiites, mais c’est comme ça presque tous les jours. A Nairobi ? Les islamistes ont attaqué un centre commercial dont les propriétaires sont israéliens…

    Et les forces spéciales israéliennes ont débarqué aussitôt…

    C’est quand même troublant.

    (Aujourd’hui, sur BFM – et aussi semble-t-il sur LCI -, il n’y avait plus AUCUNE autre information que la prise du centre commercial, et il y avait une caméra fixe montrant l’incendie du centre commercial. Bravo la télévision… Et alors qu’on ne parlait donc QUE de cela, il n’y avait plus un seul mot sur les forces israéliennes, dont parlent pourtant toujours les dépêches…)

     

    Le blog d'Yves Daoudal - 23/09/123

  • "La France doit remplacer deux fêtes chrétiennes par Yom Kippour et l'Aïd"

    Posté le 23 septembre 2013 à 21h13 | Lien permanent | Commentaires (5) 

       Dixit Dounia Bouzar, tout juste nommée hier à l'Observatoire de la laïcité. Dominique Amina (son vrai prénom) est anthropologue et ancien membre du CFCM, le Conseil français du culte musulman.

    "Je pense que la France a Dounia Bouzarmontré l’exemple de la laïcité au monde en instaurant la première la liberté de conscience, d’avoir la religion de son choix ou de ne pas croire en dieu. Elle doit donc continuer à montrer la voie. Aujourd’hui tous les Français fêtent Noël et je pense qu’il faudrait également qu’un de nos jours fériés soit celui d’une fête juive et d’une fête musulmane. [...]

    On doit remplacer deux fêtes chrétiennes par Yom Kippour et l’Aïd. Le clergé y a longtemps été opposé mais il a évolué et n’y est plus hostile car il y a beaucoup de fêtes chrétiennes. Qu’une fête juive et une fête musulmane deviennent une fête pour tous les Français permettrait de combattre le communautarisme et de faire avancer la cause de la laïcité. Aujourd’hui, les français de confession juive ou musulmane sont très mal à l’aise quand ils demandent un jour de congé pour célébrer ces deux fêtes très importantes. On peut le leur refuser pour nécessité de service. J’espère bien pouvoir aborder ce sujet à l’observatoire."

    Interview complète ici.

    Louise Tudy

    Le Salon Beige

  • Pause sourire

     

    Eux aussi s'inquiètent pour leurs enfants mais pas à cause du gender.

    Permalien de l'image intégrée

    (Trouvé sur Twitter)

    Lois Spalwer

    Le Salon Beige

  • Selon Manuel Valls, "Marine Le Pen n'aime pas la France" !


    Valls : "Le Pen, le degré zéro de l'analyse... par LeNouvelObservateur

     

    Publié le 23-09-2013 à 10h44
    - Mis à jour à 14h48

    Le ministre de l'Intérieur a condamné les propos de la présidente du FN selon qui la France est "la catin" du Qatar.

    Le ministre intérieur a vivement critiqué les propos de Marine Le Pen. Europe 1
     

    Manuel Valls a vivement critiqué, lundi 23 septembre, les propos tenus la veille par Marine Le Pen selon qui la France est "la catin d'émirs bedonnants, la catin du Qatar, de l'Arabie saoudite". Elle avait aussi accusé la France de soutenir "le fondamentalisme islamique terroriste". Pour le ministre de l'Intérieur, "Madame Le Pen n'aime pas la France parce que parler ainsi de la France, c'est manifester une absence d'amour pour sa patrie. Cela montre son incompétence et son incapacité à porter un projet pour la France." Il a également affirmé que Marine Le Pen était "dans le degré ultime de l'outrance et dans le degré zéro de l'analyse géopolitique".

    Amandine Debaere - Le Nouvel Observateur