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Publiée le 4 juil. 2013
Dans le cadre d'une conférence de presse lors d'un déplacement dans les Vosges, Marine Le Pen a renouvelé son opposition au traité de libre échange transatlantique.
Ecrit le 3 juil 2013 à 17:30 par Damien Rieu
Lorsque l’on parle d’immigration entre gens « conscients », il n’est pas rare de constater un scepticisme surprenant quant aux solutions à apporter au « Grand remplacement ».
Untel, intraitable pessimiste, pense que « nous n’avons plus le choix », qu’il est « trop tard » et que de toutes manières le combat contre l’immigration massive est perdu d’avance. Il préconise donc de s’enfuir au Québec – qui n’est plus épargné –, en Thaïlande ou bien dans le fond d’une vallée perdue, en espérant des jours meilleurs. Dont on ne comprend pas bien comment ils pourraient arriver.
Un autre vous expliquera « qu’il est toujours temps de les franciser » par la conversion religieuse ou républicaine, et qu’il a des exemples parmi ses proches « d’amis maghrébins qui chantent La Marseillaise et/ou fréquentent des paroisses tradis ».
Ce discours, que je pensais vaincu depuis des années par la réalité, je l’ai pourtant entendu il y a peu, de la bouche d’un professeur de banlieue dans un cercle de conférence lyonnais proche de la droite forte.
Continuer à défendre cette assimilation, c’est pourtant avoir deux épisodes et 40 ans de retard. L’échec de l’assimilation (abandon de l’identité d’origine) des années 70 précède l’échec de l’intégration des années 90 (assemblage des deux identités) auquel succède la diversité (exaltation de l’identité d’origine) des années 2000. On sait malheureusement comment se terminent le plus souvent ces juxtapositions hasardeuses de populations hétérogènes…
Et puis, c’est aussi oublier que cette assimilation était envisageable à une époque où l’immigration n’était pas encore un phénomène démographique ou familial de masse mais bien une démarche individuelle de travailleurs volontaires.
Ainsi, les derniers soldats républicains de l’assimilation se basent sur une réalité élitiste ô combien anecdotique, ou du moins en décalage complet avec la démarche psychologique inverse largement adoptée par la plupart de nos hôtes : le communautarisme francophobe et revanchard. De ce fait, c’est le croissant plutôt que la croix qui orne depuis longtemps la poitrine de ceux qui ont toujours préféré la coiffe d’un hijab ou d’un kufi au bonnet phrygien.
Croire que l’on peut inverser cette réalité, c’est au mieux perdre son temps, au pire marquer contre son camp. Plus grave pour les « intellectuels » ou « responsables » : c’est mentir à son camp !
Entre ceux qui ont déjà baissé les bras – ils sont nombreux, et les derniers irréductibles de l’assimilation – beaucoup moins, n’y aurait-il personne pour conjuguer le passé au présent et comprendre qu’il reste encore une solution au « Grand Remplacement »?
Des précédents historiques de retour au pays
Parmi les défaitistes, beaucoup ont pourtant la clef dans leur propre histoire familiale. Pas celle de leurs lointains ancêtres non, celle de leurs parents ou de leur grands-parents. Celle des pieds-noirs, qui ont dû, du jour au lendemain, quitter une terre qui n’était plus la leur, puisque ni les lois, ni les armes, ni les dieux ne pouvaient les protéger du cercueil.
On peut également citer le triste épisode de la « Partition des Indes » de 1947, qui vu 12,5 millions de réfugiés choisir entre le dominion du Pakistan et l’Union indienne au motif de la religion.
Ces cruels événements montrent bien que, dans l’histoire récente, des mouvements de retour au pays ont bien eu lieu, sans aucun autre souci que la survie, bien loin des tracas législatifs, du « qui a construit quoi » et des questionnements philosophiques sur le nombre de générations qui vivaient pourtant sur cette terre.
La manière (atroce) dont s’est fait ce retour au pays n’est évidemment pas un exemple pour nous. D’une part car il est issu d’une conflit sanglant, que nous comptons bien épargner à nos descendants en le désamorçant à temps, et d’autre part car il s’est fait dans la précipitation, et donc le tragique.
Le divorce à l’amiable aujourd’hui, plutôt que le drame familial demain
Faisant le constat que :
- toutes les tentatives de société multiculturelles ont débouché sur des conflits (et donc, à terme, à la disparition de l’un des protagonistes),
- toutes les solutions de vivre-ensemble (assimilation, intégration, diversité) n’ont fait que retarder le conflit et ont fini par lamentablement échouer,
nous pensons qu’il est préférable pour chacune de ses composantes de se séparer à l’amiable avant d’en arriver à des drames humains (tensions, haines et guerres interreligieuses ou ethniques, agrémentées de conflits socio-économiques et d’éventuelles ingérences/manipulations étrangères) comme l’histoire en compte tant.
Prendre conscience de l’importance de choisir le moindre mal, c’est agir avec pragmatisme et réalisme, pour la paix. L’inverse, c’est entraîner, par mauvaise foi ou idéologie mais le plus souvent par inconscience, les différents peuples dans la haine et le conflit. C’est-à-dire la guerre. S’ils en veulent, pas nous.
Cette séparation nécessaire peut s’envisager par la mise en place du dispositif de retour au pays. Une mesure accompagnée par un dispositif complet comprenant :
- La lutte totale contre l’immigration clandestine (les clandestins, les réseaux mafieux, les entrepreneurs, les bailleurs – c’est à dire la totalité de la chaîne).
- La fin des pompes aspirantes de l’immigration comme les aides sociales.
- Le droit rétroactif de la nationalité, avec un moratoire sur les naturalisations des 20 dernières années (étude au cas par cas).
- La fin de la binationalité.
- fin du harcèlement judiciaire envers les entreprises, agences immobilières sous prétexte de « lutte contre les discriminations » et retour à la liberté de choix total.
- la reconnaissance officielle de l’existence des communautés extra-européennes sur notre sol et pourquoi pas la mise en place d’un dialogue avec leurs représentants respectifs (mettant fin au mythe de la république une et indivisible en conflit avec le réel depuis longtemps).
- La construction de partenariats avec les pays d’origine pour s’assurer que le retour des immigrés extra-européens se fasse dans des conditions optimales, à l’instar des accords italo-africains signé début 2010 par le ministre de l’Intérieur de la Ligue du Nord, Roberto Maroni.
- Dans cette lignée, le soutien des campagnes anti-émigration actuellement mené par de nombreux États, soucieux d’en finir avec une jeunesse (dans lequel l’état a parfois investie des années en éducation ou en santé) qui n’a pour seul espoir que le départ vers l’Europe.
- Enfin, l’interdiction du financement public et étranger des lieux de culte musulmans qui inviterait ces derniers à rejoindre une vraie Terre d’Islam, plus adaptée à les accueillir.
Mais il y a un point que nous ne pouvons négliger : si les immigrés extra-européens sont venus en Europe, ce n’est ni pour la beauté des paysages ni par amour de notre civilisation mais uniquement par survie, ou au moins par l’espérance de trouver chez nous de meilleures conditions de vie, que cela soit vrai ou totalement fantasmé.
Toute politique de retour massif au pays négligeant cet aspect, c’est-à-dire n’assurant pas des conditions de vie dignes pour ceux qui repartiraient, ne pourrait se faire que par la force, entraînant des souffrances inutiles à chacune des parties concernés. Ce serait donc contraire à notre objectif : la coopération au bénéfice de chacun.
Ainsi, pour être aussi efficace qu’humain, le retour au pays doit être accompagné moralement et matériellement.
Je comprends les nombreuses réticences de ceux qui s’indisposent à l’idée d’une nouvelle dépense, de taille, dans un contexte de crise. Mais en réalité cette dépense n’est qu’un investissement sur les économies réalisées grâce au départ des populations extra-européennes. La baisse du chômage, de l’insécurité et du coût des prestations sociales ou de santé compensera largement, à terme, cette dépense. Quant au montant de l’enveloppe accordée, il pourrait, par exemple, être équivalent au coût moyen des populations extras-européennes dans notre pays sur une période de X années.
Avec cette somme, les volontaires pourraient à la fois s’assurer des conditions de vies équivalentes (voir meilleures) que chez nous, et en plus, participer au développement économique de leur pays respectifs, entraînant un appel d’air inversé. Un bonus familial pourrait également être de mise.
« C’est impossible ! »
Vous allez donc être surpris d’apprendre… qu’il existe déjà un début de retour subventionné au pays dans le micro-dispositif actuel de lutte contre l’immigration. Il est discrètement dissimulé dans le droit français. Son nom ? L’aide au retour.
Proposé par l’Office Français de l’immigration et de l’intégration, il s’adresse « aux étrangers en situation irrégulière ainsi qu’aux étrangers sans ressources qui souhaitent regagner leur pays. » Évidemment, notre proposition d’aide au retour au pays n’aura pas la clémence de s’adresser aux étrangers en situation irrégulière. En effet, contrairement aux autorités actuelles, nous n’avons pas encore oublié qu’ils étaient délinquants. Néanmoins, nous pouvons imaginer, dans le contexte où, bien sûr, nos idées auraient triomphé dans les urnes (et donc dans les esprits), qu’il s’adresse aussi aux extra-européens binationaux et aux extra-européens en général.
Ce programme actuellement co-financé par le Fond européen pour le retour est donc la preuve que nous n’inventons rien, et que le principe du retour au pays n’est ni dénué de sens, ni absent de toute réalité. Évidemment, il reste à l’améliorer, le promouvoir pour l’intégrer au débat, et en faire l’un des principaux enjeux politiques de demain.
Retrouvez Damien Rieu sur Twitter : @damienrieu
Nouvelles de France
3 juillet 2013
Le 20 juin nous faisions état sur ce blog du vote de la commission des Affaires juridiques du Parlement européen (onze voix pour, une contre et quatre abstentions) ayant débouché sur l’adoption du rapport de l’élue immigrationniste Cecilia Wikström, membre du Groupe Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe, qui recommandait la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Comme cela avait été déjà le cas dans le passé à l’encontre de Jean-Marie Le Pen et de Bruno Gollnisch, Marine avait prévenu de l’inéluctabilité de celle-ci, au regard de la lâcheté, du conformisme et du combat antinational mené par les instances bruxelloises et ses relais. Bruno a beaucoup bataillé ces derniers mois, nous le disions, contre le scandale que représente la levée proprement ahurissante de cette immunité de la présidente du FN, effective depuis hier, coupable de dire tout haut ce qu’une majorité de Français pense (de moins en moins) tout bas.
Mardi, le député européen frontiste est intervenu brièvement dans l’hémicycle, se saisissant d’une parole qui lui était refusée sur ce sujet : « Je voudrai faire observer, avant que ne soit voté le rapport sur l’immunité parlementaire de Marine le Pen, que l’intéressée n’a pas pu obtenir que cette question soit débattue en séance plénière ».« Elle n’a pas la possibilité a ajouté Bruno Gollnisch , de s’exprimer sur ce sujet devant l’ensemble de nos collègues, il n’a pas été possible d’obtenir sur ce sujet, pour que chacun prenne ses responsabilités, un vote nominal. En d’autres termes, cette procédure s’apparente plus à celle du soviet suprême de l’ex Union soviétique qu’à celle d’un parlement respectueux du droit de ses membres ! »
Sûre de son bon droit et convaincue que le tribunal lui donnera raison, Marine dans un communiqué publié hier, a noté que «cette décision », qui «permettra cependant de remettre sur le devant de la scène le sujet de la laïcité et de ses violations qui sont quotidiennes en France», « exprime la crainte croissante de l’oligarchie face à l’irrésistible montée en puissance d’un mouvement patriote qui porte haut et fort la parole du peuple et propose de réelles solutions aux problèmes des Français. »
Nos compatriotes certes, ne s’y trompent pas et au-delà même du résultat des dernières élections partielles, il est révélateur que le dernier baromètre Ifop Paris Match du mois de juin indique que la présidente du FN bat son record de popularité avec 40% de bonnes opinions. Autre signe parmi d’autres, la pétition de soutien en ligne sur le site du Front a déjà recueilli en à peine quelques heures plus de 12 000 signatures et a entraîné près de 1200 nouvelles adhésions !
Alors que la justice française souhaite entendre Marine dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Lyon pour incitation à la haine raciale, (depuis quand l’islam est il une race ?!), rappelons qu’elle est poursuivie pour avoir évoqué, lors de son passage à Lyon le 10 décembre 2010, l’occupation illégale de l’espace public pour des prières de rue par des militants mahométans .
« Je suis désolée, mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la seconde guerre mondiale avait-elle déclaré, s’il s’agit de parler d’occupation, on pourrait en parler pour le coup. C’est une occupation de pans de territoire. Certes, il n’y a pas de blindés, il n’y a pas de soldats, mais elle pèse sur les habitants. »
S’il est bon de rappeler aussi comme l’a fait maint fois Bruno Gollnisch que le FN ne combat pas la religion musulmane, mais le processus d’immigration de peuplement qui génère communautarisme, prosélytisme agressif et la dissolution de l’identité française, c’est une officine extrémiste comme le MRAP , qui aime beaucoup parler de la seconde guerre mondiale, qui est citée par les médias comme à l’origine de cette plainte.
Les faiseurs d’opinions sont moins diserts sur le fait que le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF), présidé par le fantomatique Samy Debah et incarné par son porte-parole Marwan Muhamad, a déclenché l’ouverture d’une information judiciaire en déposant plainte ( le 31 janvier 2011) contre les propos de la présidente du FN, pour « provocation à la discrimination, à la violence et à la haine envers un groupe de personnes en raison de leur religion ».
Or, si le MRAP qui comme chacun le sait est extrêmement proche du parti communiste, dispose de relais médiatiques importants et reste auréolé de son progressisme laïcard et de son combat historique contre le courant national, le CCIF est un allié de revers plus encombrant pour le Système du fait de sa radicalité religieuse et communautaire clairement affichée.
Nous l’évoquions en décembre dernier, Marwan Muhamad était aussi au nombre des signataires de la pétition en faveur du rappeur Saïdou et du sociologue Saïd Bouamama, auteurs de la chanson « Nique la France », alors mis en examen suite à une action en justice de l‘Agrif de Bernard Antony.
Une pétition signée également, cela prend tout son sens nous allons le voir, par Rokhaya Diallo, présidente des Indivisibles , récente bénéficiaire d’un séjour tout frais payé offert par l’ambassade américaine, au nom de sa politique d’ingérence dans nos banlieues, visant à repérer (recruter) les talents pluriels de demain.
Au moment ou les Français s’interrogent sur les manœuvres de l’Oncle Sam contre la France et l’Europe, il s’agit de rappeler que la campagne contre l’islamophobie lancée par CCIF en octobre 2012, avait été financée à hauteur de 35 000 euros par l’Open Society Institute.
Nous relevions à l’occasion du récent voyage de Bruno Gollnisch en Russie que cet Open Society Institute est un des « outils » du milliardaire mondialiste George Soros, très impliqué dans la défense des Roms, mais aussi partisan de la poursuite d’une politique d’immigration soutenue des pays du Sud vers l’Europe. L’Open society est intervenue à de nombreuses reprises en Amérique latine et en Europe de l’Est, pour favoriser la mise en place de dirigeants ayant l’aval de Washington.La Fondation Soros joua également un rôle de tout premier plan dans la déstabilisation des ex-républiques yougoslaves et de la Russie, par le biais du soutien apporté à certaines révolutions « colorées » (Ukraine, Géorgie …).
Bref, à l’heure où les nationaux, par la voix de Marine Le Pen, demande à la France d’accorder l’asile politique à Edward Snowden, où Bruno Gollnisch demande la fin des persécutions contre Julian Assange, est-il étonnant de retrouver des structures liées à un Nouvel Ordre Mondial , bien décidé à nous faire taire et à éradiquer nos souverainetés et identités nationales, à la manœuvre contre le FN ?
Bruno Gollnisch
PHOTOS ET VIDEOS
Amiral Marcel GENSOUL (1880 - 1973)
2 juillet 2013
« Le souvenir de ces morts dérange tout le monde parce que l’événement échappe à la logique. Il est à part des tragédies de la guerre. Personne n’a intérêt à ce que l’on en parle trop » (Amiral Marcel Gensoul)
Mers El-Kébir… le « Grand Port », mot composé arabe, évoque la mer, que ce lieu géographique essaie d’étreindre dans la tenaille, largement ouverte de sa rade, et l’installation portuaire que la France de la seconde moitié du XX° siècle y a créée (1928 – 1945)…
Tour à tour port de pirates, centre de transit commercial et base navale, elle a offert une physionomie différente à chaque nouveau contact de populations, à travers les vicissitudes d’une histoire bimillénaire. Ce mouillage est à 200 kilomètres des ports ibériques de Carthagène et d’Alméria, du port rifain de Mélilla, à une distance à peu près double du Détroit de Gibraltar, passage obligatoire de la Méditerranée à l’Atlantique ou du Moyen Orient à l’Occident européen.
Mieux abrité que Gibraltar, le port possède une des rades les plus belles et les plus sûres de l’Algérie. Le site profite enfin de la proximité de l’agglomération urbaine d’Oran, créée au début du X° siècle.
Le but de la base navale est, non seulement de compléter la défense des côtes algériennes, de maintenir l’intégrité du territoire français, mais aussi d’assurer la liberté des communications et d’organiser notre présence dans la Méditerranée occidentale, en cas de conflit, face à une Italie hostile (en 1939) et à une Espagne d’une neutralité bienveillante envers les pays de l’Axe Berlin-Rome.
L’armistice franco-allemand du 25 juin 1940 consacre l’échec de nos armées sur terre ; notre flotte, une des plus puissantes -qui n’avait pas été vaincue- est libre.
Ni l’amiral Darlan, ni le général Weygand n’ont l’intention « …de livrer à l’ennemi une unité quelconque de notre flotte de guerre » et De Gaulle le dira, le 16 juin à Churchill en ces termes « La flotte ne sera jamais livrée, d’ailleurs, c’est le fief de Darlan ; un féodal ne livre pas son fief. Pétain lui-même n’y consentirait pas ».
Les Anglais, de leur côté, désirent que notre flotte, riche en unités lourdes et légères, se rende dans leurs ports. Elle aurait pu le faire, le 16 juin 1940, mais personne ne lui en donne l’ordre et la Marine reçoit l’assurance, « qu’en aucun cas, la flotte ne sera livrée intacte », mais qu’elle se repliera probablement en Afrique ou sera coulée précise l’Amiral Darlan. Hitler ne demande pas livraison de notre flotte (le projet d’armistice ne le prévoyant d’ailleurs pas), pas plus que de nos colonies, sachant qu’il n’est pas dans nos intentions d’accepter de telles exigences.
Les 18 et 19 juin, sont sabordées ou détruites, des unités en construction à Cherbourg, celles en réparations à Brest, Lorient, La Pallice et au Verdon. Les bâtiments capables de prendre la mer appareillent partie pour Plymouth, partie pour Casablanca, même le cuirassé Jean Bart inachevé.
Le 27 juin, Churchill, en dépit des assurances données par le gouvernement Français, décide, dans le plus grand secret, de mettre « hors d’état de nuire » la marine française. Cette opération aura pour nom Catapult.
Le 30 juin, dans un accès de colère, l’amiral North s’adresse à l’amiral Somerville :
- Qui a eu cette fichue idée (opération Catapult) ?
- Churchill ! répondit Somerville
-No « Catapult », but « Boomerang » ! Cette opération nous met en danger, répliqua North. Winnie (Churchill) est fou ! Je vois ce qu’il veut mais c’est une solution criminelle.
Les bâtiments de la Méditerranée, le 3 juillet 1940, sont amarrés le long de la jetée de Kébir, d’est en ouest : le transport Commandant Teste, les cuirassés Bretagne et Provence, les croiseurs Strasbourg et Dunkerque. Leur font vis-à-vis, dans le fond ouest de la baie, six contre-torpilleurs : Mogador, Volta, Tigre, Lynx, Terrible, Kersaine…les fleurons de la flotte française. Au mât du Dunkerque, flotte la marque de l’Amiral Gensoul, commandant en chef… La démobilisation doit commencer dans quelques jours, les équipages se préparent à aller en promenade pour se distraire à terre.
Les clauses de l’armistice ont été scrupuleusement observées, et dans le délai qui avait été fixé. Sur nos bâtiments, les culasses des pièces ont été démontées ; il en a été de même dans les batteries de côtes et de D.C.A. Dans les hangars d’aviation, les mesures de démobilisation ont été prises ; on a vidé les réservoirs de leur essence, démonté les canons des chasseurs et les mitrailleuses de tous les appareils ; les munitions ont été rassemblées et mises en dépôt.
Vers 7 heures du matin, un torpilleur anglais, le Foxhound, se présente devant Mers El-Kébir. Un premier message annonce qu’il a à son bord un officier britannique, chargé d’apporter au commandant en chef de la flotte de l’Atlantique une communication de la plus haute importance. Mais une véritable force navale l’accompagne : le Hood, bâtiment de 42000 tonnes, le plus grand cuirassé du monde, armé de pièces de 380 ; le Vaillant, la Résolution, armés également de pièces de 380 ; l’Ark-Royal, le plus rapide des porte-avions anglais, tous escortés de bâtiments légers et de torpilleurs.
Sur les bâtiments français, l’arrivée inattendue de cette imposante armada provoque de l’étonnement, qui sera bientôt de la stupeur. Un officier d’état-major français est envoyé par l’amiral Gensoul à la rencontre de l’officier britannique, le commandant Holland. Celui-ci est porteur d’un document qu’on peut résumer ainsi :
« La flotte de l’Atlantique est invitée à rallier la flotte britannique, ou à défaut, un port de l’Amérique, avec équipages réduits. En cas de refus de cette offre, elle devra se saborder, sinon, par ordre du gouvernement de Sa Majesté, la flotte britannique usera de la force. »
L’amiral Gensoul réaffirma au parlementaire britannique que les craintes de voir les bâtiments français tomber aux mains des Allemands et des Italiens étaient injustifiées : « La marine française n’a pas l’habitude de manquer à sa parole ! », s’exclama-t-il.
Plus tard, il affirmera qu’il ne pouvait accepter « un ultimatum se terminant par : « ou vous coulez vos bateaux ou je vous coule. C’est exactement : la bourse ou la vie… quelquefois, on donne sa bourse pour sauver sa vie. Dans la Marine, nous n’avons pas cette habitude-là ». Servitude et grandeur militaires !
Ainsi, nos bâtiments, contre la force, se défendraient par la force.
Au moment où l’officier britannique sort de la rade, le commandant de la flotte anglaise signale : « Si les propositions britanniques ne sont pas acceptées, il faut que je coule vos bâtiments. »
Les bateaux français, aux feux éteints, disposés pour un désarmement rapide, reçoivent l’ordre à 7h55 : « Prendre dispositions de « combat », puis à 9h10 : « Flotte anglaise étant venue nous proposer ultimatum inacceptable, soyez prêts à répondre à la force par la « force ».
En effet, le 3 juillet 1940, vers 10h, l’Amiral anglais Somerville adresse un ultimatum aux unités de la flotte française : « Coulez vos bâtiments de guerre dans un délai de 6 heures, ou nous vous y contraindrons par la force. »
Après un conseil tenu par l’Amiral Jarry, commandant la Marine à Oran, le général de Saint-Maurice et le Préfet Boujard, celui-ci informe la population, par un communiqué affiché à 13h30, « qu’une alerte réelle pourrait avoir lieu l’après-midi, l’invite à se réfugier dans les abris, tranchées, etc…, renvoie les élèves dans leur famille ». Les consulats anglais du département sont gardés et surveillés, pour parer à toute manifestation. Les services de défense passive, l’hôpital, les services sanitaires, la Croix-Rouge et la police sont alertés. La dispersion des habitants de Mers El-Kébir est décidée, seul le Maire, les conseillers municipaux, les fonctionnaires et ouvriers de la Centrale et des travaux portuaires restent à leur poste.
Dès 14h, heure approximative de l’expiration de l’ultimatum, les avions de l’Ark Royal volant sur l’eau déposent des mines magnétiques, à l’entrée du port et de la rade de Mers El-Kébir. L’escadre française est pratiquement bloquée (Churchill l’a reconnu). L’Amiral Gensoul cherche à gagner du temps pour permettre aux batteries côtières, aux avions de la Sénia (aéroport situé à la périphérie d’Oran), aux unités de la Flotte, de se réarmer pour le combat et aussi de laisser à nos alliés d’hier le temps de réfléchir à la portée de leur ultimatum. L’amiral anglais répond à une demande de cesser le feu qu’il ne l’arrêtera « que quand toute la flotte française sera coulée ».
A 16h56, la flotte anglaise commence le feu. Abritée derrière l’éperon rocheux du fort de Mers El-Kébir, elle tire à cadence accélérée sur nos bâtiments qui cherchent à sortir de la rade. Les consignes s’exécutent partout avec ordre, à Oran comme à Kébir. Après 12 ou 15 minutes de « tir au gîte », les batteries côtières du Santon et de Canastel répondent au feu des Anglais ; le Strasbourg sort des passes. Le bilan s’établit ainsi : le croiseur Bretagne, atteint, explose, coule en sept minutes et disparaît sous l’eau : 150 hommes seulement sur 1300 fuient la mort, soit à la nage, soit en chaloupes. Le croiseur Dunkerque, n’ayant pu prendre la mer, à cause d’une avarie à son gouvernail, reçoit un obus qui tue 150 marins, plus de 100 mécaniciens et chauffeurs, 2 ingénieurs… Le bâtiment est hors de combat. Le croiseur Provence, touché, peut par ses propres moyens, aller s’échouer sur la côte de Kébir : il y a 4 morts. Le contre-torpilleur Mogador X61, incendié par l’arrière, s’échoue et compte 14 morts. Le Rigaut de Genouilli est atteint, seul le Commandant Teste, non cuirassé, amarré à la jetée en construction, est intact. Le Strasbourg fonce vers la haute mer, part vers Alger, puis Toulon.
Et partout ces mêmes visions apocalyptiques ; parmi les carcasses d’acier éventrées, calcinées, retentissent les cris déchirants de centaines et de centaines de marins agonisants, mutilés, brûlés ou suffoquant au milieu d’une fumée âcre et d’un mazout noirâtre qui étouffent leurs dernières plaintes.
Aussitôt les secours s’organisent. Le Maire de Mers El-Kébir, M. Boluix-Basset, les pêcheurs, gendarmes, pompiers, marins rescapés et la population aident au sauvetage des hommes des bâtiments atteints, jetés à l’eau valides ou blessés. Une chapelle ardente est installée dans la salle du cinéma de Kébir. Les obsèques des 1380 marins –assassinés- ont lieu le 5 juillet, au cimetière de Mers El-Kébir, en présence du Maire, du Préfet et de l’Amiral Gensoul qui s’adressera une dernière fois à ses hommes en ces termes : « Vous aviez promis d’obéir à vos chefs, pour tout ce qu’ils vous commanderaient pour l’Honneur du Pavillon et la grandeur des armes de la France. Si, aujourd’hui, il y a une tache sur un pavillon, ce n’est certainement pas sur le nôtre. »
Le drame n’est pas terminé pour autant. La haine ancestrale de nos « alliés » va se concrétiser ce 6 juillet 1940. A 6h30, par trois fois en vagues successives, des avions britanniques survolent la rade, à basse altitude, déposent des mines magnétiques entre le Dunkerque et la passe, prennent le navire comme cible. Torpilles et bombes atteignent le bâtiment qui s’enfonce et échoue sur le fond, en donnant de la bande. Les trois chalutiers ou remorqueurs, coopérant à l’évacuation des morts du 3 juillet, sont coulés à leur tour. La D.C.A côtière, les batteries du Santon, Bel Horizon et Lamoune, les mitrailleuses installées sur la côte, au stade de la Marsa et à l’usine électrique répondent. Le drame, c’est que cette attaque fera encore 205 tués et 250 blessés atteints gravement. Au total, la marine française déplore plus de 1927 morts ou disparus et plusieurs centaines de blessés dont la plupart gravement brûlés. Deux avions anglais sont abattus.
Ce qui est horrible, c’est que les marins anglais ont tué en une semaine plus de marins français que la Flotte allemande pendant toute la seconde guerre mondiale. Nous ne sommes pas loin des 2403 morts du drame de Pearl Harbor, l’un des grands événements de cette guerre puisqu’il décida de l’entrée en guerre des Etats-Unis d’Amérique. Mais les Japonais étaient leurs ennemis, les Anglais étaient nos alliés. C’est là un crime inqualifiable… impardonnable.
Le 8 juillet, De Gaulle, parlant au micro de la BBC, déclare :
« En vertu d’un engagement déshonorant, le gouvernement qui fut à Bordeaux avait consenti à livrer nos navires à la discrétion de l’ennemi… J’aime mieux savoir que le « Dunkerque » notre beau, notre cher, notre puissant « Dunkerque » échoué devant Mers El-Kébir, que de le voir un jour, monté par les Allemands, bombarder les ports anglais, ou bien Alger, Casablanca, Dakar. » … et pas le moindre mot de compassion envers les victimes de cette tragédie.
Pour la première fois se trouvait ainsi affirmée, dans la bouche même d’un général français, une contrevérité : Alger, Casablanca, Dakar, donc les clés de l’Empire, allaient être utilisées contre les alliés britanniques. Et comme il vouait une haine viscérale à « l’Empire » qu’il considérait comme « Pétainiste » et qu’il fallait absolument mettre au pas pour la réalisation future de ses desseins, il donna à la flotte britannique, le 23 septembre 1940, la consigne de bombarder Dakar. Ce fut l’échec. L’insuccès des Britanniques fit comprendre aux uns et aux autres qu’il était vain de vouloir détacher l’Empire français de la Métropole et que la poursuite des attaques servirait de prétexte à une intervention allemande.
Dans ses mémoires, Churchill n’a pas caché son embarras. Il a comparé Mers El-Kébir à une tragédie grecque : « Ce fut une décision odieuse, la plus inhumaine de toutes celles que j’ai eues à partager », écrira-t-il.
Les historiens, les politiques, les « moralistes » et les censeurs qui ont eu à juger des hommes, des gouvernants, et à écrire l’Histoire, ont dédaigné de prendre en considération le traumatisme dévastateur que cet événement tragique avait produit dans les esprits…
Mers El-Kébir explique en grande partie l’attitude de bon nombre de nos gouvernants de Vichy durant le conflit comme elle explique aussi celle des autorités civiles et militaires d’Algérie en 1942-1943 et d’une population acquise au Maréchal Pétain mais volontaire pour poursuivre la lutte avec Darlan et Giraud contre les puissances de l’Axe.
L’Afrique du Nord, malgré son traumatisme, accepta de rentrer en guerre en 1942 et sera avec son « armée d’Afrique », l’une des composantes de la victoire finale. Elle conservera, néanmoins, son hostilité à De Gaulle, que ce dernier, devenu président du Comité de la Libération devait justifier… Il se souviendra toujours de ce sentiment d’inimitié à son égard et, dès 1958, remis au Pouvoir par ceux-là mêmes qui l’avaient blâmé, leur fera supporter amèrement le poids de sa rancune…
Ces morts français, bannis de la mémoire nationale, auraient pu reposer en paix. Or, le 5 Juillet 2005, jour anniversaire d’une autre tragédie (Le massacre de plus de trois mille Européens, le 5 Juillet 1962 à Oran), le cimetière de Mers El-Kébir fut saccagé sans qu’aucune autorité gouvernementale française, aucun média, aucune association humanitaire et « antiraciste », n’élevassent la moindre protestation, préférant s’humilier à « commémorer » la « répression » (beaucoup plus commerciale) de Sétif par l’armée française en 1945.
Aujourd’hui encore, le souvenir de cette lâche agression britannique contre une flotte au mouillage et désarmée demeure vivace dans la Marine et, paraphrasant Talleyrand, on peut affirmer que « Mers El-Kébir a été pire qu’un crime, une faute ».
Quant aux survivants de cette tragédie qui défilèrent devant les cercueils de leurs camarades, ils ont conservé depuis, ce visage dur des hommes qui n’oublient pas.
N.B : Le 24 mai 1941, au large de l’Islande, le cuirassé Bismarck coula le Hood. Trois jours plus tard, le 27 mai 1941, il fut attaqué au large de Brest et sombra à son tour sous les coups d’une armada britannique.
José CASTANO
Contre-info.com
http://www.frontnational.com/videos/marine-le-pen-sur-rmc-2/
Un trésor gît sous nos pieds, un trésor dont l’utilisation dégagerait des recettes évaluées à une soixantaine de milliards d’euros par an, soit l’équivalent de notre facture énergétique ou du déficit de notre balance commerciale, créerait des dizaines de milliers d’emplois, mettrait fin à la dépendance où nous sommes et resterons vis-à-vis de nos fournisseurs étrangers tant que des énergies nouvelles n’auront pas pris la relève, et inverserait durablement non seulement la courbe du chômage mais celle de notre déclin. Ce trésor, ce sont les gaz et les huiles de schiste que recèle en abondance le sous-sol de notre pays comme de beaucoup d’autres.
Or, cette ressource fabuleuse est délibérément inexploitée comme si nous pouvions nous payer ce genre de fantaisie, ce luxe de milliardaires dans la situation de crise où nous sommes. Le navire est à la dérive depuis des années, l’équipage, en proie à la faim, est ravagé par le scorbut, mais la soute où est entreposée la réserve de vivres frais qui lui permettraient de reprendre des forces et de retrouver la santé est doublement cadenassée et sur la porte il est écrit : entrée interdite.
Un groupuscule fanatique, une secte obscurantiste qui exerce une influence disproportionnée à son nombre et préjudiciable à l’ensemble de la population a obtenu la prohibition, dans les conditions actuelles, de la mise en exploitation des gisements enfouis dans les roches souterraines et gelé la recherche de nouvelles techniques qui assureraient notre prospérité sans atteindre notre environnement. Il en est et il devrait en être ainsi tant que ce groupuscule sera l’appoint indispensable et cher payé de l’actuelle majorité. Chaque jour qui passe dans l’immobilisme et le refus de l’évidence est pourtant un jour perdu.
Le Parti socialiste osera-t-il, par exemple après les municipales, passer outre le veto de son allié, pour ne pas dire de son satellite, quitte à affronter le fusil à un coup de celui-ci – la menace de son départ ? Les écologistes pousseront-ils, dans cette hypothèse, leur logique à son terme ? Quoi qu’il en soit, le pire n’étant jamais sûr, on peut voir un signe d’espoir dans le rapport conjoint que viennent de réaliser deux parlementaires, Christian Bataille et Jean-Claude Lenoir, l’un socialiste, l’autre UMP, qui souhaitent sortir de la situation absurde qui ferme la porte à l’avenir.
Il est parfaitement exact que l’exploitation des gaz de schiste présente des risques et des inconvénients considérables. Il convient donc de réduire ceux-ci à leur minimum incompressible. Mais les risques et les inconvénients étaient-ils moins réels lorsque l’humanité se lança dans l’exploitation du charbon, des minerais, du pétrole, du gaz ou du nucléaire ? D’un excès d’indifférence aux retombées nuisibles ou dangereuses de ces avancées techniques, nous sommes passés, notamment en France, à un respect religieux du principe de précaution. Toutes les activités humaines sont polluantes. L’agriculture est polluante. L’industrie est polluante. L’automobile est polluante. Le tourisme est polluant. La cigarette est polluante. La vie est polluante. Mais le dogmatisme écologiste n’est rien d’autre que le visage le plus avenant de la mort.
BOULEVARD VOLTAIRE - 08/06/13
Xavier Lemoine, maire (PCD) de Montfermeil, a dissuadé deux homosexuels de maintenir leur demande de "mariage" :
"J’ai reçu une demande et il n’y a pas eu de célébration. Ce mariage n’a pas eu lieu", indique l'élu du Parti Chretien Démocrate, le parti de Christine Boutin.
Xavier Lemoine explique qu'il refuse de déléguer son pouvoir d'officier d'état civil à un adjoint ou un conseiller municipal en avançant un argument : Ils marient en mon nom.
Xavier Lemoine "ne pense pas" pour autant risquer de sanctions car : "On ne peut pas parler de refus. J’ai reçu ces personnes. L’échange a été extrêmement courtois et cordial. J’ai rappelé les principes que je défendais, ces personnes m’ont exposé leur point de vue. Elles ont ensuite pris des dispositions."
Le Salon Beige - 02/07/13
Lundi 1 juillet 2013
1er juillet 1961. Mort de l’écrivain Louis-Ferdinand Céline, à l’âge de 67 ans, dans sa maison de Meudon à six heures du soir, alors qu’il met la dernière main à son roman Rigodon. Il écrit à son éditeur pour l’en avertir et dit à sa femme Lucette : "Voilà, c’est fini. On va s’en aller à la mer. Quelque part… loin." Pris d’un soudain malaise, il s’étend en chien de fusil sur son divan et meurt dans les minutes qui suivent.
(Éphémérides Nationalistes)
"Quand on a pas d’imagination, mourir c’est peu de chose, quand on en a, mourir c’est trop."
France Eternelle
Ecrit le 30 juin 2013 à 23:27 par Guillaume Aubert
Alors que les veillées se multiplient en France contre la loi Taubira, les Veilleurs organisent cet été une grande Marche du 10 au 31 août. Les marcheurs longeront la côte atlantique avant de se retrouver, pour les trois derniers jours, à faire le tour de la région parisienne. La Marche se clôturera le samedi 31 août à Paris par une grande veillée. Il est possible de consulter l’événement Facebook créé à cet effet.
Voici le texte publié par les Veilleurs:
Chers Veilleurs,
Voilà maintenant plusieurs semaines que le murmure mystérieux d’une Marche des Veilleurs résonne d’une oreille à l’autre. Nous avons la joie de vous annoncer que le murmure s’est fait projet, et que le projet prend corps : oui, du 10 au 31 août prochain, une grande Marche rassemblera les Veilleurs de toute la France ! Il est désormais temps de publier cet événement national afin de lui permettre de devenir réalité et, nous l’espérons, d’entrer dans l’Histoire.
Les veillées longeront la côte atlantique et auront lieu chaque soir dans un lieu différent. Les trois derniers jours de la Marche (« Le Grand Paris des Veilleurs ») se dérouleront à Paris et dans sa banlieue : nous ferons le tour de la couronne parisienne avant de clôturer la Marche par une grande Veillée, le samedi 31 août, en plein cœur de la capitale.
La Marche des Veilleurs ne prendra pas la forme d’un périple touristique, modelé par les savants conseils de guides divers et variés, et évitant avec soin les paysages qui ne rempliraient pas les critères pittoresques ou hédonistes requis. Elle n’a pas non plus pour but de fédérer les Veilleurs entre eux. Il s’agit d’abord et avant tout d’une démarche citoyenne, motivée par l’engagement qui nous unit tous, au service de notre Cité, de nos concitoyens et de l’Homme, et destinée à lancer un signal vibrant et fort à notre pays et aux personnes qui le dirigent, en vue d’un réveil national des consciences.
La Marche des Veilleurs doit ainsi être l’occasion de partir à la rencontre des Français à travers les réalités diverses qui tissent leur quotidien : économiques, sociétales, culturelles, environnementales, etc. Aussi les lieux de veillées choisis permettront-ils de toucher les Français, de les inviter à vivre l’expérience des Veilleurs avec nous et de les sensibiliser aux enjeux qui nous préoccupent tous.
A vous maintenant de relayer au maximum la nouvelle de cette Marche autour de vous ! Un site web officiel des Veilleurs sera lancé dans le courant du mois de juillet. D’ici là, les informations pratiques, les lieux et dates des veillées seront publiés sur la page Facebook des Veilleurs dans les jours qui viennent. Pour rester dans les principes fondateurs des Veilleurs, chaque personne est libre de rejoindre et de quitter la Marche quand elle le souhaite, dans une démarche personnelle, libre et citoyenne, sous son entière responsabilité, pour la durée de son choix. Chacun est donc invité à se prendre en charge au maximum.
Merci, chers amis, pour votre engagement et pour toute l’aide que vous pourrez apporter dans l’annonce, la mise en place et la réussite de cet événement national, afin d’imprimer sur le sol de France les empreintes résolues de nos consciences en marche !
« La vérité est en marche et rien ne l’arrêtera. » (Emile Zola)
Fraternellement,
Les Veilleurs
PS : Si vous avez des talents à proposer pour enrichir la qualité des veillées (textes, musiques, interventions, etc.) ou pour nous aider pour la marche, nous vous invitons à écrire à veilleurs.benevoles@gmail.com.
Nouvelles de France
NdB: Né le 20 juin 1928, Jean-Marie Le Pen vient de fêter ses 85 ans
En quoi était-il plus "économique" de commander uniquement des saucisses halal?