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GAELLE MANN - Page 1191

  • Israël va reprendre la construction du mur de séparation en Cisjordanie - 05/07/2012

     
    Israël va reprendre la construction du mur de séparation en Cisjordanie



    L'armée israélienne va reprendre dans les prochaines semaines les travaux de construction de la clôture de séparation en Cisjordanie interrompue depuis cinq ans, a indiqué jeudi la radio publique en citant les déclarations d'un officier.

    Dans un premier temps, les travaux vont reprendre autour des colonies regroupées dans le secteur de Gush Etzion près de Bethléem. L'an prochain, la construction sera étendue autour de Maale Adoumim, une des plus importantes implantations de Cisjordanie située à l'est de Jérusalem, a précisé le colonel Ofer Hindi.

    Cet officier responsable de la construction de la clôture a donné ces précisions lors d'une audience devant la Cour suprême, la plus haute instance judiciaire israélienne, qui a ordonné à plusieurs reprises dans le passé de modifier le tracé de la clôture à la suite d'appels présentés par des Palestiniens.

    Selon la radio, les travaux ont été arrêtés depuis cinq ans à la suite de "problèmes budgétaires" et de la multiplication des appels présentés par les Palestiniens. Le quotidien Yédiot Aharonot souligne pour sa part que ce gel était également dû aux pressions de la communauté internationale et que les responsables israéliens s'attendent à des critiques dans le monde après la relance du projet.    

        
    L'édification de la barrière israélienne, qui empiète sur la Cisjordanie, a commencé en 2002 à la suite d'une vague d'attentats palestiniens.

    Plus de 400 des quelque 760 km prévus de barrière --constituée alternativement de barbelés, de fossés, de clôtures électroniques équipées de capteurs ou de murs de béton-- ont été achevés.

    Dans un avis du 9 juillet 2004, la Cour internationale de justice (CIJ) a jugé sa construction illégale et exigé son démantèlement, de même que l'Assemblée générale de l'ONU.

     

    http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/766938/Israel_va_reprendre_la_construction_du_mur_de_separation_en_Cisjordanie.html http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/766938/Israel_va_reprendre_la_construction_du_mur_de_separation_en_Cisjordanie.html

  • Il y a cinquante ans : le massacre d’Oran, avec la complicité de De Gaulle

     

    Cette ordure de général Katz, aux ordres d'une autre ordure

    Ce 5 juillet à Oran, alors que le soi-disant « cessez-le-feu » était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroule une chasse aux Blancs visant les malheureux qui n’avaient pas encore eu le temps de quitter les lieux.

    « On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
    On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »

    Bilan : 3 000 morts et disparus.

    Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir.
    Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’Etat répondit « ne bougez pas ».

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    Contre-info.com

  • Pau : l'ornithologue qui avait soigné deux merles condamné pour non tenue d'un registre de la détention...

     

    La Cour d'appel le dispense de peine à condition qu'il indemnise la Ligue de protection des oiseaux de 100 euros de dommages et intérêts.

    Christian Berit-Debat et son avocat Me Corno le 15 mars dernier

    Christian Berit-Debat et son avocat Me Corno le 15 mars dernier (Thierry Suire)



    Jugé en appel pour avoir recueilli deux merles blessés et deux œufs de pinsons abandonnés, l'ornithologue amateur Christian Berit-Debat a été relaxé de la plupart des poursuites, sauf le non respect de la tenue d'un registre.

    La cour souhaite le dispenser de peine à condition qu'il indemnise la LPO (Ligue de protection des oiseaux) à hauteur de 100 euros de dommages et intérêts. Il a jusqu'au 15 novembre pour s'acquitter de cette somme.

    En première instance, Christian Bérit-Debat avait été relaxé par le tribunal correctionnel de Pau. Les juges avaient en effet retenu l'état de nécessité. Le procureur avait fait appel. Lors du procès le 15 mars, l'avocat général avait requis une amende avec sursis et la LPO, partie civile, 1500 euros de dommages et intérêts. L'affaire avait grand bruit dans le Béarn.

    Passionné depuis 48 ans par les oiseaux, M. Berit-Debat a reçu 30 titres de champion de France, quatre titres de champion d'Europe et sept titres de champion du monde. Tous obtenus dans sa discipline : les concours d'ornithologie, lors desquels ses rossignols du Japon font admirer leur plumage jaune fluo, orange vif ou encore vert mousse.

    Sud-Ouest - 05/07/12

  • Etats-Unis: 162 ans de prison pour son premier délit

     

    Par , publié le 05/07/2012 à 11:31, mis à jour à 18:42

    Etats-Unis: 162 ans de prison pour son premier délit

    ETATS-UNIS - Quartavious Davis, 162 ans de prison pour une série de sept vols à main armée.

     

    Quartavious Davis avait à peine dix-huit ans quand il a été arrêté pour une série de vols à main armée. La première fois qu'il avait affaire à la justice - qui l'a pourtant condamné à 162 ans de prison.

    Comme l'écrit Tom Brown, le journaliste de l'agence Reuters qui l'a popularisée lundi dernier, l'histoire de Quartavious Davis n'avait aucune raison de faire la Une des journaux, moins encore de figurer dans les annales du crime. Une demi-douzaine d'attaques à main armée en trois mois, aucun blessé, un seul coup de revolver en direction d'un chien qui les poursuivait, lui et ses complices - sans même toucher l'animal: Davis est un petit malfaiteur noir comme les geôles américaines en comptent tant.

    Un criminel banal, mais désormais détenteur d'un bien triste record: la justice de Miami l'a condamné il y a deux mois à 1941 mois d'emprisonnement - 162 années! - alors qu'il avait dix-huit ans au moment des faits et commettait là ses premiers délits. La faute à une pratique courante dans les tribunaux de Floride, le "stacking", l'empilage, qui permet à un juge de distinguer les différents éléments d'un même acte d'accusation, chacun d'eux étant dès lors considéré comme un crime à part entière. De primo-délinquant, Quartavious Davis est ainsi devenu multirécidiviste, notamment accusé de sept détentions d'armes en vue de commettre des actes violents - autant que le nombre de braquages qu'il aurait commis.

    Alors que la Cour suprême a déclaré il y a une semaine que la perpétuité appliquée aux mineurs, y compris en cas de meurtre, relevait d'un "traitement cruel et inhabituel", l'avocat de Davis, tout juste majeur quand il a été arrêté, a beau jeu aujourd'hui de mettre en avant la "cruauté" et "l'extrémisme" de la très lourde peine infligée à son client, adolescent qui n'a pas de sang sur les mains et n'avait jamais eu affaire à la justice. Il rappelle également que ses cinq complices, qui l'ont lourdement chargé, qui ont plaidé coupable et négocié avec les autorités, ont écopé, eux, de peines allant de... 9 à 22 ans d'emprisonnement!

    Quartavious Davis va maintenant faire appel. En cas d'échec, il portera l'affaire devant la Cour suprême. Il refuse d'abdiquer et ne veut pas mourir en prison. "Je n'accepterai jamais ce qui m'est arrivé, se défend-il. Ils savent que ce qu'ils ont fait est injuste."

    L'Express

  • La catastrophe du Rio-Paris imputé aux pilotes et à la technique

    LE BOURGET, Seine-Saint-Denis (Reuters) - Le rapport d'enquête administrative final sur la catastrophe du vol d'Air France Rio-Paris qui a fait 228 morts le 1er juin 2009 conclut à des causes humaines et techniques ainsi qu'à des problèmes de formation et de prévention.

    Le rapport du Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) présenté jeudi formule 25 recommandations pour améliorer la sécurité, notamment concernant la formation des pilotes à Air France et l'ergonomie des avions Airbus.

    L'Airbus 330 assurant le vol AF447 s'était abîmé dans l'Atlantique en pleine nuit, ce qui constitue une des plus graves catastrophes de l'histoire d'Air France et un choc pour Airbus, en rude compétition avec Boeing sur le marché mondial de l'aéronautique.

    Le président du BEA, Jean-Paul Troadec, a souligné dans sa conclusion devant la presse que l'équipage de l'avion avait "perdu le contrôle de la situation" car il ne s'était pas même rendu compte que l'avion tombait, mais il a souligné les problèmes posés par l'avion.

    "Si le BEA pensait que l'accident était dû uniquement à cet équipage particulier, il n'y aurait pas de recommandation sur l'avion et la formation. Cet accident aurait pu arriver à d'autres équipages", a dit Jean-Paul Troadec.

    Il a expliqué que les mauvaises manoeuvres des pilotes résultaient d'une panne initiale d'une sonde de mesure de vitesse "Pitot", ainsi que de mauvaises informations données aux pilotes par l'informatique de bord, leur ayant ordonné à tort de cabrer l'appareil.

    L'analyse des "boîtes noires" de l'Airbus 330 retrouvées au fond de l'Atlantique en mai 2011 a montré que l'accident était parti d'un gel amenant une défaillance des sondes de mesure de vitesse "Pitot", fabriquées par le français Thales, qui avait entrainé le désengagement du pilote automatique.

    Ce problème était connu de longue date mais ce n'est qu'après l'accident qu'Air France a changé les sondes sur toute sa flotte pour des Goodrich, un équipement qui s'est avéré être de meilleure qualité, dit Jean-Paul Troadec.

    Le commandant de bord étant alors en repos, les deux co-pilotes ont cabré l'avion. Trop penché vers l'arrière, il a ensuite chuté comme une pierre pendant trois minutes et trente secondes, une situation que les pilotes ne sont pas parvenus à rattraper, jusqu'à ce que l'appareil heurte l'océan à 200 km/h.

    ORDRE ERRONÉ DE L'INFORMATIQUE

    Le rapport du BEA relève à ce moment des "actions inappropriées sur les commandes déstabilisant la trajectoire", mais, élément nouveau, il est apparu que le pilote a cabré l'avion en raison d'un ordre erroné d'un équipement informatique de bord appelé "directeur de vol".

    Le rapport recense quatre autres facteurs imputables à l'équipage, mais les explique par des problèmes de consignes et de formation.

    L'équipage n'a pas adopté la bonne procédure, ne comprenant pas que l'avion "décrochait". Il n'a pas pris en compte l'alarme sonore de décrochage, qui a retenti pendant toute la chute, sans doute car avec le stress, ils ne l'ont pas entendu. Le rapport recommande donc d'installer une alarme de décrochage visuelle.

    LE BEA souligne que les équipages n'étaient pas correctement formés pour répondre aux problèmes de givrage des sondes et d'anomalies de vitesse, ni entraînés pour un pilotage manuel en haute altitude.

    Les 25 recommandations portent sur "la formation et l'entraînement des équipages, l'ergonomie de l'avion, les processus de retour d'expérience, la surveillance de l'exploitant, le déclenchement des secours".

    Il faudra notamment "parfaire les connaissances des systèmes avions et la modification de leurs caractéristiques en cas de situation inhabituelle", modifier les simulateurs de vol pour reproduire les situations de risque, dit le BEA.

    Un avocat des familles de victimes, Me Olivier Morice, a critiqué ce rapport. "Nier comme le fait le BEA l'influence extrêmement importante des défaillances techniques, c'est être dans le déni de la réalité de cet accident. Les familles des victimes ne peuvent pas l'accepter", a-t-il dit.

    L'enquête judiciaire, qui a pour but de mettre au jour des responsabilités pénales éventuelles, va se poursuivre avec se propre logique, même si le rapport du BEA sera versé à la procédure. Pour l'instant, Air France et Airbus sont toutes deux mises en examen pour "homicides involontaires" depuis mars 2011.

    Edité par Patrick Vignal

    Yahoo!Actualités - 05/07/12

  • Jérôme Cahuzac, ministre du budget, dit non à la redevance TV pour les ordinateurs


    Jérôme Cahuzac, ministre du Budget : "Pas... par rtl-fr

     

  • Un jeune juif agressé dans un train entre Toulouse et Lyon

    L’agression s’est déroulée, mercredi soir dans la Drôme, dans un train effectuant la liaison entre Toulouse et Lyon. Un élève de l’école toulousaine Ozar Hatorah, où Mohamed Merah avait tué le 19 mars trois élèves et un père de famille, rentrait dans sa famille à Villeurbanne. Le jeune homme âgé de 17 ans aurait été pris à partie par deux voyageurs qui jugeaient sa conversation téléphonique trop bruyante.

    L’adolescent aurait ensuite été roué de coups au niveau de la plate-forme des toilettes par ces deux mêmes individus. Au cours de l’agression, l'un des deux hommes aurait alors proféré à son encontre des injures à caractère antisémite.

    Arrivé à Lyon, l’adolescent s’est rendu au commissariat pour déposer plainte. Ses deux agresseurs présumés avaient été identifiés par les agents de sûreté de la SNCF. Originaires du sud de la France, ils ont finalement été interpellés, ce vendredi vers 11 heures, dans un bureau de recrutement de l’armée et placés en garde à vue.

    Cette affaire intervient dans un contexte très sensible, trois mois après la tuerie de Toulouse et quelques semaines après l’attaque contre de jeunes Juifs à Villeurbanne. Le ministère de l’Intérieur a rapidement condamné «de manière la plus ferme» une agression «antisémite». Manuel Valls a par ailleurs rappelé «la mobilisation totale des pouvoirs publics afin de combattre toutes les résurgences de ce mal profond qu’est l’antisémitisme».

  • Affaire Karachi: un témoin suisse embarasse Balladur

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    Chargé du volet de l’affaire Karachi, le juge Van Ruymbeke vient de recueillir, en Suisse, un témoignage qui conforte les suspicions entourant le de la campagne d’Edouard Balladur, en 1995. Pendant deux heures, Mustapha El Jundi, aujourd’hui âgé de 70 ans, a confirmé au magistrat français avoir retiré de la banque SCS Alliance, en avril 1995, à la demande de son ami l’intermédiaire Abdul Rahman El Assir, la somme de 13 millions de francs en liquide.

     

    Selon El Jundi, les liasses, composées de billets de 500 francs neufs, ont été ensuite directement remises à Ziad Takieddine, autre intermédiaire des contrats d’armement passés en 1994 par la France avec le Pakistan (Agosta) et l’Arabie Saoudite (Sawari II). «Je n’ai pas posé de questions sur la destination des fonds», aurait indiqué El Jundi au magistrat français, qui suspecte qu’une partie de ces sommes a pu servir, à l’époque, à financer la campagne du candidat Balladur à la présidentielle.

    Ziad Takieddine, interrogé à de multiples reprises, a toujours nié en bloc l’existence de telles remises. Son ancien partenaire et ami, Abdul Rahman El Assir, lui, les confirme. Le juge Renaud Van Ruymbeke a prévu d’entendre ce témoin-clé en septembre. Egalement domicilié en Suisse, El Assir est actuellement mis en examen pour «recel d’abus de biens sociaux» et «blanchiment aggravé». Un homme «discret», indique son avocat Me Pascal Maurer. «Il ne comprend pas la position et l’attitude de Ziad Takieddine, précise-t-il. Ce n’est pas la personne qu’il avait connue».

     

    LeParisien.fr - 05/07/12 

  • Montpellier: agressé pour un collier en or, un octogénaire est entre la vie et la mort

    Il a voulu s'interposer pour empêcher le du collier en or de son épouse. Un octogénaire est entre la vie et la après le malaise cardiaque qui a suivi son agression mercredi après-midi à Montpellier. Son pronostic vital est réservé.

    Selon le ministère de l'Intérieur, en début d'après-midi, «deux individus ont agressé un couple d'octogénaires afin de dérober un bijou que la femme portait à son cou».                                 



    Son mari, en tentant de s'interposer, a été violemment projeté au sol puis victime d'un arrêt cardiaque. L'homme est âgé de 83 ans.

    Les deux agresseurs âgés de 15 et 16 ans interpellés

    Après cette agression survenue en pleine rue, le duo fuit les lieux à scooter, selon cette source. Peu après, une femme se fait elle aussi arracher son collier en or à proximité. Mais elle parvient à donner un signalement de ses agresseurs.

    Repérés non loin de là, deux adolescents de 15 et 16 ans, tentent de se débarrasser d'un collier et sont interpellés. Un troisième adolescent de 15 ans sera arrêté peu après au guidon du scooter utilisé lors de la première agression.

    Les vols d'or avec violence en forte augmentation

    Relevant «la recrudescence des vols avec violence de bijoux en or», le ministère annonce qu'il réunira «dans les prochains jours (...) les professionnels de ce secteur afin de mettre en oeuvre le plus rapidement possible des mesures indispensables pour lutter contre ce nouveau fléau».

    Les vols à l'arraché de colliers explosent depuis plusieurs semaines, les élevés de l'or y étant pour beaucoup, à près de 1600 dollars l'once (31g). A Paris et dans sa proche banlieue par exemple, entre le mois d'avril et le mois de mai 2012, ces vols ont augmenté de près de 260%, passant de 154 à 400.

    Les victimes sont, la plupart du temps, des femmes ou des personnes âgées.

    LeParisien.fr - 05/07/12

  • Rapport sur la torture des enfants palestiniens dans les prisons israéliennes

     

    Rapport sur la torture des enfants palestiniens, dans les prisons israéliennes!
     
    IRIB- Une dispute diplomatique majeure a éclaté, après que les Israéliens eurent été dénoncés ...

    ...pour leur traitement des enfants palestiniens, dans un rapport réalisé par des avocats et révélant des pratiques inadmissibles, tels que l'imposition de capuchons et l'utilisation de fers aux pieds.

    Dans ce qui est une première enquête du genre, une équipe de neuf personnalités juridiques a examiné comment de jeunes Palestiniens, âgés de seulement 12 ans, sont traités lors de leur arrestation. Le rapport titré : «Les enfants en détention militaire», indique avec des détails comment les jeunes garçons sont tirés de leurs lits au milieu de la nuit, les poignets liés derrière le dos, les yeux bandés et forcés de s'agenouiller ou de se coucher face contre le sol dans les véhicules militaires.

    Le Foreign Office en Grande-Bretagne a déclaré la nuit dernière qu'il soulèverait la question avec Israël.

    Les enfants de Cisjordanie sont détenus dans des conditions qui peuvent s'apparenter à de la torture, comme la pratique de l'isolement, et avec peu ou pas du tout d'accès à leurs parents. Ils peuvent être contraints de rester éveillés, avant d'être à la fois verbalement et physiquement maltraités, puis forcés à signer des aveux qu'ils ne savent pas lire.

    L'équipe - dirigée par Sir Stephen Sedley, un ancien juge du tribunal d'appel - a entendu dire que «chaque enfant palestinien est traité comme un terroriste potentiel». Dans une conclusion accablante, le rapport souligne les violations répétées de la Convention des Nations Unies sur les droits de l'enfant, qui interdit les traitements cruels, inhumains et dégradants.

    «Nous étions assis dans la cour [de justice] et j'ai vu une partie d'une audience préliminaire, quand un enfant très jeune a été amené, un garçon, portant un uniforme brun avec des fers aux pieds. Nous avons été choqués de voir cela. C'était une situation où nous avons été invités par de hauts magistrats à entrer dans les tribunaux militaires pour des séances d'information», a expliqué Greg Davies, l'un des auteurs du rapport, et avocats spécialisés dans les droits humains.

    «Tenir des enfants systématiquement et pendant de longues périodes en isolement devrait, si cela se produisait, s'apparenter à de la torture», indique le rapport.

    Hier soir, le Foreign Office, qui a soutenu le rapport, a déclaré qu'il transmettra les réclamations auprès des autorités israéliennes.

    «Le gouvernement britannique est depuis longtemps préoccupé au sujet du traitement infligé aux enfants palestiniens dans les prisons israéliennes, et a, par conséquent, décidé de financer ce rapport indépendant. Tout en reconnaissant que certaines mesures positives ont été prises récemment par les autorités israéliennes [ ?], nous partageons bon nombre des préoccupations du rapport, et nous continuerons à faire pression pour de nouvelles améliorations».

    Hier soir, Amir Ofek, le porte-parole de l'ambassade [de l'entité sioniste] a déclaré que son pays a apprécié les efforts de la délégation, mais il a blâmé les Palestiniens qui «glorifient le terrorisme».

    Source : "The Independent"

    29/06/12

  • Milan: un curé interdit sa paroisse aux Roms "pour cause de vols répétés"

    04/07/2012 — 12h30
    MILAN (NOVOpress) — « Pour cause de vols répétés, les tsiganes n’entrent pas » : telle est l’affiche qu’a récemment apposée l’abbé Alberto Sacco, 76 ans, à l’entrée de sa paroisse de San Silvestro, dans la banlieue de Milan. Les Roms sont quand même libres d’entrer dans l’église pour prier mais tous les bâtiments paroissiaux leur sont interdits.

    Les Roms sont nombreux dans la zone, dans des campements sauvages. Pendant plus d’un an, ils ont pris pour cible favorite la piste cyclable sur la route devant l’église, agressant et dépouillant les passants et les cyclistes. Les carabiniers, à la fin de février dernier, se sont décidés à intervenir et en ont arrêté quatre.

    Les Roms ont depuis déplacé leurs activités de l’autre côté de la route, aux dépens des maisons, des magasins et aussi de la paroisse. Des voitures ont été vandalisées et dévalisées à plusieurs reprises. Les Roms viennent en outre régulièrement faire leur choix dans les vêtements usagés que recueille et trie la paroisse, volant ce qui leur plaît et laissant tout le reste par terre, dans le plus grand désordre. « Parfois, raconte le curé, ils emportent des sacs entiers de vêtements, que nous avons l’habitude de distribuer le samedi. Mais, là-dessus, nous avons toujours fermé les yeux ».

    La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est quand les Roms ont commencé à s’en prendre aux enfants du patronage. Mi-juin, deux femmes tsiganes sont entrées dans le préau et ont volé deux sacs à dos des enfants. Des adultes de la paroisse, qui les ont vues s’enfuir avec leur butin, les ont poursuivies et ont pu récupérer les sacs, qui ne contenaient du reste que des livres de classe. À la demande du curé, plainte n’a pas été déposée contre les voleuses, mais l’épisode a eu raison de sa patience et il s’est décidé à mettre son affiche. « Je dois veiller sur les enfants et les jeunes qui me sont confiés, en les protégeant ainsi que leurs effets personnels », se justifie-t-il.

    L’affaire a fait du bruit dans la presse locale. Certains journalistes ont donné au curé des leçons de christianisme, lui rappelant que « l’accueil des étrangers non-européens est un des principes fondamentaux de la religion chrétienne », ou lui reprochant carrément d’avoir oublié l’Évangile, où le Christ est mis en croix entre deux larrons et déclare : « Aujourd’hui, tu seras avec moi au paradis ». Les journalistes semblent avoir oublié, de leur côté, que ces paroles ne s’adressent pas aux deux larrons mais seulement au bon, lequel s’était repenti…

    Les jeunes du patronage, en tout cas, ont beaucoup apprécié la décision de leur curé, même s’ils doivent encore faire attention à la sortie, où des bandes de Roms les attendent dans la rue pour demander l’aumône et « emprunter » des téléphones portables.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Des policiers israéliens brutalisent un enfant de 9 ans

    04/07/12 – 11h00
    TEL-AVIV (NOVOpress)
    – C’est une vidéo amateur qui est à l’origine du nouveau scandale impliquant les forces de sécurité israéliennes. En effet, cette vidéo à Hébron montre un jeune Palestinien de 9 ans brutalisé par deux gardes-frontières dans une ruelle. Sur les images, l’enfant est saisi et jeté à terre par un policier israélien avant qu’un autre ne vienne lui décocher un violent coup de pied.

    Les autorités de le police des frontières israélienne ont mollement condamné le comportement des policiers, tout en soulignant qu’il s’agissait là bien sûr d’un « incident exceptionnel ». Certaines autre sources policières affirment pour leur part que la ruelle d’où venait le jeune garçon était l’un des endroits où les jeunes du voisinage ont l’habitude de jeter des pierres sur les soldats.

    Mais peut-être encore plus choquants que l’incident lui-même sont les commentaires haineux qui ont fleuris sur la page Facebook de la chaîne de télévision israélienne Channel 2, qui a diffusé la vidéo. On pouvait ainsi lire des phrases telles que « Voilà ce que méritent tous ces gamins là-bas ! », ou « Je lui aurais mis cinq balles dans la tête ».

    Des actes et propos qui, jusqu’à présent, n’ont pas suscité de grande campagne d’indignation de la part des grandes consciences internationales, pourtant habituellement très promptes à dénoncer les violences policières ainsi que les démonstrations de haine et de racisme.

     

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • République exemplaire: un collaborateur de Moscovici à Bercy interpellé pour possesssion de stupéfiants

    04/07/2012 — 16h30
    PARIS (NOVOpress) — La réalité plus forte que les promesses ? Tel est le sentiment que l’on peut avoir à la suite d’un fait divers qui embarrasse le gouvernement Ayrault. En effet, un sous-préfet, collaborateur de Pierre Moscovici à Bercy (le ministère de l’Economie) a été interpellé dans la nuit de lundi à mardi dernier et placé en garde à vue pour possession de stupéfiants, en l’espèce de la cocaïne et du cannabis. Un comportement à l’inverse de la république exemplaire promise par François Hollande…

    C’est la déambulation un peu étrange de ce haut-fonctionnaire – réputé proche de l’UMP et ancien chef de cabinet du préfet de région d’Île-de-France – qui avait étonné les policiers du 12ème arrondissement de Paris.

    Pour s’expliquer, le sous-préfet a indiqué aux policiers s’être rendu dans une “soirée particulière” où il acquis pour 200 euros de cocaïne.

    Il a été présenté à un magistrat qui a prononcé une injonction thérapeutique.

     

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Ecole Pierre-Brossolette aux Mureaux: 100% des élèves sont d'origine étrangère

     En quoi ce quartier est-il "défavorisé" ?

     

    Contre-info.com

     

  • Allemagne : l’état distribue des tracts aux restaurateurs pour griller les militants nationaux

     

    C’est ce que rapporte Le Figaro :

    L’État de Brandebourg met à la disposition des hôteliers une brochure pour détecter les réservations masquant des réunions, de plus en plus discrètes, de nostalgiques du IIIe Reich (NDLR : comprenez n’importe quel patriote). Comment reconnaître et éviter les clients néonazis? L’État régional du Brandebourg a décidé de publier une brochure répondant à ces questions à l’adresse des hôteliers et restaurateurs. L’initiative s’inscrit dans le combat de ce Land d’ex-RDA, voisin de Berlin, contre l’extrême droite. Cette mouvance utilise en effet des moyens de plus en plus détournés pour s’infiltrer dans les nouveaux Länder de l’Est et y étendre son influence.
    Quelque 1200 professionnels vont recevoir le fascicule de 20 pages les appelant à ouvrir l’œil pour refuser l’entrée de leur établissement aux militants d’extrême droite, affirme la Fédération des hôtels et restaurants (Dehoga). L’État de Brandebourg veut ainsi leur mettre «à portée de main» un outil pour les aider à décrypter des réservations qui pourraient cacher des rassemblements d’extrême droite. «Les nazis jouent de plus en plus à cache-cache», explique Martina Münch, ministre de l’Éducation du Brandebourg. Le document détaille les signes ostensibles de reconnaissance (croix, dessins, marques d’habillement) arborés par les néonazis.

     

    Contre-info.com

  • Islam en France: Charles Maurras visionnaire

    4 juillet 2012

    Il n’en est pas moins vrai que nous sommes en train de faire une grosse sottise. Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon.

    Il n’y a peut être pas de réveil de l’islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l’on fait se trouve être la plus vaine des choses. Mais si il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on puisse en douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la Chrétienté enseignèrent contre l’Islam représente plus d’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir (…)

    La construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de position par nos sujets et nos protégés. Ceux-ci là tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse (…)

    J’aperçois, de ci de là, tel sourire supérieur. J’entends, je lis telles déclarations sur l’égalité des cultes et sur les races. On sera sage de ne pas les laisser se propager, trop loin d’ici, par des hauts parleurs trop puissants Le conquérant trop attentif à la foi du conquis est un conquérant qui ne dure guère.

    Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l’amitié. Nous venons de commettre le crime d’excès.

    Fasse le Ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu (…)

    Charles Maurras, Action Française du 13 juin 1926

    Merci à Louis : via NPI

    Contre-info.com

  • La France donne Bethléem à la Palestine

    Le Centre Simon Wiesenthal est choqué par le vote du Comité du patrimoine mondial sur "le Lieu de naissance de Jésus, l'Église de la Nativité et la Route du pèlerinage, Bethléem".

    Rapport de la réunion à Saint-Pétersbourg par le Directeur des relations internationales du Centre Simon Wiesenthal, le Dr Shimon Samuels

    3 juillet 2012

     

    Par une majorité des deux tiers de treize Etats membres sur six et deux abstentions, le Comité du patrimoine mondial (CMP) de l'UNESCO a inscrit "le Lieu de naissance de Jésus, l'Église de la Nativité et la Route du pèlerinage, Bethléem" sur sa liste en tant que site palestinien.

    « Le Centre Wiesenthal a fait part de son indignation aux autorités françaises et travaille, en collaboration avec ses amis, pour empêcher de futures prédations du patrimoine chrétien et continue à faire campagne au sein des organisations internationales co »

    Bien que 21 Etats membres se prononcèrent par un vote secret, le vote décisif fut celui de la France. L'ambassadeur français, Daniel Rondeau, fut le seul délégué à annoncer publiquement son vote qu'il a qualifié de "conforme à la ligne politique de son pays qui soutint l'entrée de la Palestine à l'UNESCO en octobre dernier".

     

    Une décision contre cette nomination fut déjà prononcée, sur la base des conclusions de l'organisme expert auprès du CPM, ICOMOS (le Conseil international des monuments et des sites), disant que la demande palestinienne, soumise après hors délai, ne remplissait pas les conditions d'une inscription en urgence. Cette décision fut rejetée.

     

    La lettre s'opposant à la démarche palestinienne, adressée au Président Abbas par les autorités catholique, orthodoxe et arménienne gardiennes de l'Église de la Nativité, fut ignorée. Une autre version de soutien et non signée fut distribuée par l'Autorité palestinienne.

     

    L'Algérie, renfort de la Palestine, a produit le document de base pour le vote en le justifiant par le fait que "Bethléem, lieu saint pour les chrétiens comme pour les musulmans, est un puissant symbole pour plus de deux milliards de croyants dans le monde."

     

    "La réaction triomphale du Délégué palestinien relève plus de la menace politique que du patrimoine culturel : "Les colons israéliens menacent l'existence du peuple palestinien...nous allons présenter de nombreuses autres nominations de sites mis en danger par Israël..."

     

    L'ambassadeur israélien, Nimrod Barkan: "Cette décision est politique et viole la convention du patrimoine mondial. La responsabilité du site a été habilement retirée aux Églises et confiée à un Etat inexistant. L'UNESCO vit aux pays des merveilles"

     

    La plus grande responsabilité dans cette situation revient à la France. L'inscription aurait, en effet, été impossible sans le vote français. Tout porte à croire que les trois autres européens (la Suisse, l'Estonie et l'Allemagne) se prononcèrent contre. Bien que n'étant pas membre du CPM, les États-Unis ont fait de grands efforts pour empêcher cette mascarade.

     

    Le Centre Wiesenthal a fait part de son indignation aux autorités françaises et travaille, en collaboration avec ses amis, pour empêcher de futures prédations du patrimoine chrétien et continue à faire campagne au sein des organisations internationales contre le vol de l'identité du patrimoine juif.

     

    NdB: Jésus est né en Palestine

     

     

     

  • Lyon (5e) - Cible d'insultes racistes, un restaurateur de Saint-Jean va vendre ses deux bouchons

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    « Un tel acharnement, je n’ai jamais vu ça de ma vie ». Attablé à la terrasse d’un de ses restaurants, Mohamed Chikha jette fréquemment des regards autour de lui. Encore aujourd’hui, trois semaines après l’agression que lui et son personnel ont subie, il n’est pas rassuré. « On a tous peur que ça recommence », souffle-t-il. « Ça » remonte à la nuit du 8 au 9 juin. Il est minuit passé et le terrassier range le mobilier de « Chez Louise » et « La Grange », deux bouchons lyonnais de la place du Change à Saint-Jean (Lyon 5 e). Un groupe s’approche et l’un d’eux s’amuse à uriner sur les plantes. Le terrassier se fâche, l’homme aurait répliqué avec des insultes racistes : « La France aux Français », etc. Inquiet, l’employé appelle à l’aide son patron. « J’étais à la caisse », raconte Mohamed Chikha. « Je leur ai demandé de partir ».

    Barres de fer et poings américains

    Le groupe disparaît mais quelques minutes plus tard, ils sont de retour, bien plus nombreux. Selon le responsable de l’établissement, une quinzaine d’hommes dont certains sont munis des barres et des poings américains, commencent alors à bousculer et à casser le mobilier, à taper sur les bacs. Un membre de la famille, Hamid, essaie de s’interposer. « Ils nous ont frappés avec des ceintures. J’ai reçu un violent coup sur la tête et le genou ». Hamid sera le plus grièvement blessé avec dix points de suture sur le crâne et une ITT supérieure à 8 jours. Dans la bagarre qui a suivi, le terrassier a été frappé ainsi que le patron des deux bouchons. En entendant le vacarme, un passant s’est précipité : « J’ai aperçu une dizaine hommes prenant la fuite. La terrasse était saccagée et les gens médusés d’avoir entendu des slogans à connotation nationaliste ». Le directeur de cabinet du maire du 5 e arrivé très vite sur les lieux, a constaté les dégâts. Pour les enquêteurs, s’il y a bien eu des insultes à caractère islamophobe au début du différend, il paraît prématuré de parler d’« agression raciste ». Le commissariat du 5 e arrondissement cherche à identifier les auteurs présumés des dégradations et injures.

     

    L’avocate des trois victimes, Faten Mazigh, est catégorique : « C’était une agression sauvage et raciste. Depuis, les serveurs travaillent la peur au ventre. Ils ont subi un choc psychologique ». Quant à Mohamed Chikha, sa décision est prise : il vend ses commerces. Deux de ses salariés ont démissionné.

     

    Le Progrès - 04/07/12

  • Miss Aube 2012

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    Miss Black France est sacrée Miss Aube 2012

    Cette année, elles n’étaient que quatre en lice, pour le titre de Miss Aube.

    Au terme des passages, le jury, composé de sept personnes retenues par Jean-Pierre Rota, président du comité, s’est retiré pour délibérer, prenant en compte divers critères tels que le charme, la silhouette, la grâce, le sourire, le maintien et la prestance.

    C’est une « belle plante » nommée Prescilla Larose que le jury a sacrée Miss Aube. Émue, la jeune fille a reçu son diadème entourée de ses dauphines, Mélodie Baruque et Aurianne Gouvry.

    Prescilla Larose, candidate de Miss Black France 2012.

     

    Source : Est Eclair, merci à Marine

    Défrancisation - 03/07/12