Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 1367

  • Bertrand Dutheil de La Rochère répond à Chevènement

     

    Mardi 27 septembre, Bertrand Dutheil de La Rochère, membre fondateur du MDC et ancien directeur de cabinet de J-P Chevènement, a annoncé son soutien à la candidature de Marine Le Pen à la présidentielle. Il rejoindra son équipe de campagne en octobre.

    « Dans Marianne 2, Jean-Pierre Chevènement se dit attristé par le soutien que j’apporte à la candidature de Marine Le Pen. Pour ma part, je ne veux pas avoir la tristesse d’être contraint de voter, au printemps 2012, pour un quelconque « bébé Delors ».

    Ma prise de position serait due à un « grand désarroi ». Je ne ressens aucun « désarroi », sinon le désarroi des Français devant la crise avec ses perspectives de chômage et de restrictions, sinon le désarroi d’un pays devant ses élites qui ont choisi une mondialisation sans frontière, sinon le désarroi d’un peuple qui, depuis quarante ans, se sent progressivement abandonné par une gauche qui a opté pour la « préférence immigrée ».

    Je sais combien il est difficile, quand depuis des décennies on milite dans des organisations de gauche, de reconnaître que celles-ci sont aujourd’hui fourvoyées. Alors, au-delà des clivages anciens, j’invite chacun à réfléchir. Il faut sortir la France de la nasse dans laquelle le « système du pareil au même » l’a enfermée. Marine Le Pen est le seul candidat susceptible d’entreprendre l’indispensable restauration républicaine. »

    Bertrand Dutheil de La Rochère

    NPI

  • Le monde s'indigne face à des nouvelles constructions dans les colonies juives

    Lire l'article: http://fr.euronews.net/2011/09/27/le-monde-s-indigne-face-a-de-nouvelles-constructions-dans-les-colonies-juives/

    +VIDEO

    euronews - 28/09/11

  • Tension maximale dans le nord du Kosovo

    drapeau-serbie2.jpg

    Lire l'article: http://fr.euronews.net/2011/09/28/tension-maximale-dans-le-nord-du-kosovo/

    +VIDEO

    28/09/11

  • Claire Thibout confirme qu'elle remettait régulièrement des espèces à ses employeurs


    Bettencourt : l'ex-comptable met en cause Woerth par BFMTV

    28/09/11

  • Fillette décédée à Soyaux: l'autopsie ne révèle ni lésion ni malformation cardiaque

    Des examens médico-légaux complémentaires ont été ordonnés afin d'établir "les causes exactes du décès indéterminées à ce stade des investigations". Les résultats ne seront pas connus avant trois semaines.

      
    Que s’est-il vraiment passé, mardi, à 12 h 15, dans la cour de l’école Jean-Moulin à Soyaux ? Ce soir, les causes de la mort de Tylane, 10 ans, sont encore inconnues. Rappelons que la fillette est subitement décédée après un coup porté au thorax par l’un de ses camarades, un garçon de 9 ans, dans une bousculade semble-t-il anodine.

    L'autopsie pratiquée mercredi à Bordeaux a révélé "l'absence de lésions traumatiques, notamment au thorax, de nature à expliquer directement le décès" et aucune "malformation macroscopique cardiaque n'a été observée", indique un communiqué de Nicolas Jacquet, procureur de la République d'Angoulême. Le parquet n'exclut cependant pas que la fillette ait fait un arrêt cardio-respiratoire à la suite du coup de pied à la poitrine.

    Des examens médico-légaux complémentaires, anatomopathologiques et toxicologiques, ont donc été ordonnés par le parquet d'Angoulême "aux fins d'établir les causes exactes du décès indéterminées à ce stade des investigations".

    Les résultats de ces examens ne seront pas connus avant trois semaines.

    Selon une source proche de l’enquête, Tylane serait "morte sur le coup" dans ce qui est qualifié par les spécialistes de "mort-réflexe".

    Selon le communiqué, "les parents de l'enfant décédée ont été reçus, mercredi après-midi, par le procureur de la République d'Angoulême, en présence de l'association d'aide aux victimes désignée pour les soutenir et les accompagner, afin de les tenir directement informés des conclusions provisoires de l'autopsie et de l'évolution prévisionnelle de l'enquête".

    Les enfants qui ont assisté à la scène seront entendus jeudi dans un lieu adapté, en présence des membres de la cellule psychologique et de policiers formés à l'audition de jeunes enfants.

    Les faits se sont produits mardi vers 12 h 15 alors que les élèves de l'école Jean Moulin étaient en rang pour se rendre à la cantine. Après avoir reçu le coup de pied, la fillette s'est aussitôt effondrée au sol et les secours arrivés rapidement sur les lieux n'ont pu la ranimer.

    Sud-Ouest - 28/09/11

  • Carla Bruni: encore des rumeurs!

    Carla Bruni-Sarkozy a choisi de communiquer le moins possible sur sa grossesse, son accouchement, et la naissance de enfant. Conséquence : les médias et les journalistes lancent des bruits à tout va, certains semblent assez extravagants.

     L'un des plus repris concerne la réservation d'un étage complet de la clinique de la Muette, là où la "Première Dame de France" doit accoucher. Certains observateurs supposent que le blocage du premier étage de l'établissement aurait été ordonné par le couple présidentiel.

    Contactée par téléphone, une infirmière du service maternité de la clinique parisienne du XVIe arrondissement dément formellement : « C'est une rumeur totalement fausse et farfelue. Nous ne pouvons pas réserver un étage complet d'un service, en monopolisant autant d'espace et de personnel. En plus, je ne pense pas que Madame Sarkozy apprécierait de recevoir un tel traitement de faveur."

    28/09/11

  • Claire Thibout rouvre la plaie Bettencourt

    Le témoignage de l’ex-comptable de la milliardaire est une nouvelle pierre dans le jardin de l’Elysée. Peut-être la plus gênante.

    Par ERIC DECOUTY, VIOLETTE LAZARD

     

    Elle parle doucement, pèse ses mots, mais le ton est ferme, sans hésitation. Dans un long entretien à Libération (lire l'interview), Claire Thibout, l’ex-comptable de Liliane Bettencourt, sort du silence dans lequel elle s’était murée depuis plus d’un an. Elle raconte dans le détail l’histoire des enveloppes distribuées aux politiques, les visiteurs du soir chez les Bettencourt et les incroyables pressions qu’elle a subies durant des mois. Car, en juillet 2010, après avoir livré ce même témoignage aux enquêteurs, Claire Thibout avait été vouée aux gémonies. Accusée de mythomanie, de manipulation et même de vol, ses déclarations avaient alors été partiellement discréditées, aussi bien par les policiers que par Philippe Courroye, le procureur de Nanterre, à l’époque maître de l’enquête.

    Explosif. Ce temps est révolu. La comptable a été lavée de tous soupçons et la procédure est désormais entre les mains de trois juges d’instruction bordelais, dont l’indépendance n’est pas en doute. Ce sont eux - Jean-Michel Gentil, Cécile Ramonatxo et Valérie Noël - qui ont longuement interrogé l’ex-comptable mercredi 14 septembre.

    Un autre témoin clé, dont l’identité reste à ce jour mystérieuse, a également été entendu, tout comme Isabelle Prévost-Desprez (1), la juge de Nanterre venue s’expliquer pour ses propos dans le livre Sarko m’a tuer où elle affirme que l’ancienne infirmière de Liliane Bettencourt a dit un jour à sa greffière : «J’ai vu des remises d’espèces à Sarkozy, mais je ne pouvais le dire sur procès-verbal.»

    De source proche du dossier, on affirme que le volet le plus explosif de l’affaire Bettencourt, qu’on croyait enterré à Nanterre, «ressuscite à Bordeaux». Mais dans la plus grande discrétion. Il vise l’éventuel «trafic d’influence, le financement illicite de parti politique ou de campagne électorale». En clair, les juges cherchent à vérifier si la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007 a bien été légalement financée.

    Rebondissements. Dans cette perspective les explications de Claire Thibout sont cruciales. Elle raconte dans le détail comment Eric Woerth, le trésorier de cette campagne, aurait reçu 50 000 euros des mains de Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt. Un épisode qui se serait déroulé le 19 janvier 2007, trois mois avant le premier tour de l’élection.

    Il est d’autant plus crédible qu’un certain nombre de documents saisis par les enquêteurs confirmeraient les rendez-vous entre Claire Thibout et Patrice de Maistre, puis entre l’homme de confiance de la milliardaire et Eric Woerth. Interrogés à Nanterre, l’été dernier, les deux hommes avaient nié sans être davantage inquiétés. Il pourrait en aller tout autrement d’ici quelques semaines face aux magistrats bordelais.

    De la même façon, les magistrats s’intéressent à la remise de Légion d’honneur à Patrice de Maistre par Eric Woerth puis à l’embauche de l’épouse de celui-ci au sein du holding des Bettencourt. Là encore, les explications de Claire Thibout sont capitales, comme sa narration des incroyables pressions dont elle aurait fait l’objet.

    Au final, alors que les rebondissements se succèdent dans l’affaire dite de Karachi, que des proches du chef de l’Etat sont mis en examen, que des hauts policiers risquent d’être poursuivis pour avoir espionné le téléphone d’un journaliste du Monde(lire page 5), l’enquête Bettencourt pourrait bien s’avérer être la plus embarrassante pour le pouvoir.

    La convocation inéluctable d’Eric Woerth en sa qualité de trésorier de la campagne de Nicolas Sarkozy, avec la menace d’une mise en examen pour «trafic d’influence» et «financement illicite de campagne électorale», placerait le chef de l’Etat en première ligne.

    (1) Suite à ses déclarations dans le livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Isabelle Prévost-Desprez est convoquée vendredi par sa hiérarchie. La présidente de la 15e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre est attendue pour «un entretien préalable à l’engagement de poursuites disciplinaires» dans le bureau du premier président de la cour d’appel de Versailles.

    Photo Bruno Charoy

    Libération - 28/09/11

  • Un Parlement juif européen à Bruxelles avant la fin de l'année

    arton8275-49a13.jpg

    L’Union juive européenne (European Jewish Union, EJU) a annoncé l’élection et l’établissement avant la fin de cette année d’un parlement juif de 120 membres, un organisme qui devrait servir à "rassembler et coordonner les voix des communautés juives à travers le continent européen’’.

    ’’Nombreux sont ceux qui dans le monde juif ont envisagé la création d’un parlement européen juif qui réunirait pensées, croyances et idées et représenterait et exprimerait les préoccupations des juifs d’Europe à l’égard des dirigeants européens et mondiaux,’’ explique l’EJU, un organisme voué au renforcement de la vie juive en Europe.

    L’idée de la création d’un parlement européen juif a été pour la première fois envisagée il ya plusieurs années par le président de l’Etat d’Israël, Shimon Peres.

    Le parlement juif européen permettrait de s’assurer que les intérêts des communautés juives de l’Est, d’Europe centrale et occidentale soient incluses et convenablement représentés dans cette nouvelle plateforme. Il permettrait de relever les défis et de présenter des réponses innovantes et pertinentes.

    Les Juifs résidant dans les pays de l’UE et les pays de la famille de l’EJU auront l’occasion d’être élus et d’élire le Parlement, indépendamment de leur affiliation politique, religieuse ou communautaire.

    Les 120 membres du parlement seront des représentants issus de tous les horizons : personnalités publiques, responsables laïcs, hommes politiques, artistes, écrivains, musiciens, animateurs et mentors religieux.

    Leur dénominateur commun sera leur identité juive et leur passion à faire avancer les intérêts juifs à l’échelon international.

    Le parlement aura son siège à Bruxelles où se tiendront régulièrement des assemblées générales ordinaires.

    La constitution du parlement sera préparée dans la première année par un comité constitutionnel qui sera mis en place immédiatement après les élections et sera composé de membres du parlement.

    Le projet de constitution sera soumis à débat, examen et au vote de l’assemblée générale.

    Les élections au parlement juif européen seront organisées via Internet, via le site de l’EJU pour permettre une totale transparence et accessibilité à chaque Juif en Europe.

    L’EJU invite ceux qui sont intéressés à devenir candidats ou à recommander des candidats à s’inscrire sur la page web des élections.

    L’inscription pour les élections a débuté le 15 août et les résultats seront annoncés en octobre.

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-parlement-juif-europeen-avant-la-fin-de-l-annee-8275.html

    ALTER INFO - 27/09/11

     

     

     

  • Paris - En plus de se moquer des Harkis, Sarkozy empêche une délégation FN de leur rendre hommage

     

    Marie-Christine Arnautu en compagnie de Louis de Condé, ancien combattant pour l'Algérie française

    Compte-rendu de Marie-Christine Arnautu

    Une délégation du Front National devait assister ce dimanche à l’hommage rendu aux Harkis par Nicolas Sarkozy aux Invalides. L’entrée fut cependant refusée à la vice-présidente du FN, Marie-Christine Arnautu, et aux militants qui l’accompagnaient, au motif que leurs noms ne figuraient pas, comme pourtant annoncé, sur les listes du protocole… Ils ont alors appris que si certaines associations de Harkis avaient pu entrer, Zora, Amid et leurs amis (Harkis qui campent depuis plus d’un an devant l’Assemblée nationale afin de faire reconnaitre l’honneur de leurs parents), eux, étaient fermement bloqués au Trocadéro par les forces de l’ordre.

    Le commissaire de police du quartier avait reçu ordre d’arrêter leurs voitures afin de les empêcher d’accéder aux Invalides, sans leur en donner la moindre raison et sans doute parce que le texte de leur banderole n’aurait pas convenu au chef de l’Etat…

    Marie-Christine Arnautu et les militants les ont alors rejoints. Ils sont alors appris, sans grande surprise, que Nicolas Sarkozy n’avait fait aucun discours et s’était juste contenté de remettre une médaille à une dizaine des leurs.

     Le Front National ne s’était donc pas trompé en mettant en garde les Harkis : si lors de sa campagne électorale en 2007, Nicolas Sarkozy avait promis de reconnaître « officiellement la responsabilité de la France dans l’abandon et le massacre des Harkis », il n’en serait rien. Pas plus dans ce domaine que dans tant d’autres, ses engagements seraient respectés. Il est donc dommage qu’hier certains d’entre eux se soient montrés sensibles aux sirènes des honneurs… Ils n’en ont été que plus déçus.

  • Les féministes veulent bannir le terme de "Mademoiselle"

    Deux associations féministes protestent contre la différenciation imposée aux femmes sur les documents administratifs.

    Les associations féministes ont le sens des priorités, elles l'ont prouvé depuis quelques années. S'il en fallait une nouvelle preuve, les Chiennes de garde et leurs cadettes d'Osez le féminisme lancent une grande campagne contre la case «Mademoiselle» sur les documents administratifs. Au nom de quoi, protestent-elles, une femme devrait-elle préciser si elle est mariée ou non, alors qu'un homme n'est jamais interrogé sur cette dimension de son état civil? Au nom de quoi devrait-on accepter un qualificatif, «Mademoiselle», qui signifie «pucelle»?

    De fait, cette distinction n'a rien d'officiel, et dès 1972, René Pleven, ministre de la Justice, avait rappelé que la mention n'était absolument pas réglementaire. Yvette Roudy, ministre des Droits des femmes en 1983, avait même parlé de «discrimination». Mais la force de l'habitude, en la matière, est plus qu'ailleurs cause d'inertie.

    Qu'à cela ne tienne, les deux associations féministes, célèbres, l'une pour son combat pour la féminisation des noms de fonction (mais non pour la masculinisation des «sentinelles» et autres «ordonnances») et l'autre pour sa récente campagne d'affichage intitulée «Osez le clito», ont décidé de mettre fin à cette injustice en incitant les femmes à systématiquement cocher la case «Madame».

    80 % des emplois précaires, en France, sont occupés par des femmes ; celles-ci sont davantage touchées par la pauvreté; la pyramide des âges des assistantes maternelles laisse présager un manque dramatique de gardes d'enfants dans les cinq années à venir. Les combats sont pléthore. Mais leur hiérarchisation est sans doute révélatrice de la vitalité du féminisme contemporain.

    Le Figaro - 27/09/11

    NdB: Une telle sottise laisse sans voix!

     

  • DSK: l'immunité diplomatique, un pari risqué

    untitled.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    La protection invoquée par l'ex-directeur du FMI donne lieu à controverse et devrait ralentir la procédure. 

    «J'ai une immunité diplomatique», déclarait le 14 mai à New York celui que les policiers venaient de menotter à l'aéroport JFK. Quatre mois plus tard, cette immunité est soulevée par les avocats de Dominique Strauss-Kahn pour demander le classement de la plainte au civil déposée le 8 août par Nafissatou Diallo. Voici l'état du dossier soumis au tribunal du Bronx. 

    Les arguments de DSK 

    Selon ses avocats, DSK, comme directeur général du FMI, bénéficiait d'une «immunité absolue en matière civile». Cette protection découle de la convention de 1947 sur les privilèges et immunités des institutions spécialisées des Nations unies. Elle s'est prolongée, selon eux, jusqu'à ce qu'il retrouve sa liberté et rentre en France le 4 septembre.

    Bien que les États-Unis n'aient pas ratifié la convention de 1947, elle s'imposerait en vertu du «droit coutumier international». Les avocats estiment même que le patron du FMI bénéficie de «l'immunité absolue accordée aux diplomates selon le droit international». Ils rappellent que le 14 mai, lorsqu'il fut arrêté à l'aéroport Kennedy, leur client voyageait avec un passeport français et un laissez-passer de l'ONU. Mais non avec passeport diplomatique.

    À son retour en Europe, après ce vol New York-Paris, leur client devait rencontrer la chancelière Angela Merkel puis d'autres responsables, expliquent les conseils, pour montrer que, malgré la parenthèse de Manhattan, DSK n'était pas en simple visite privée ce week-end-là. Au passage, ils regrettent qu'« à cause des accusations mensongères de la plaignante, le FMI ait dû fonctionner sans son directeur général à une période critique de la crise économique mondiale»… Sur le strict plan du droit, leur requête est «solide, argumentée, riche en jurisprudence», note l'avocat franco-américain Christopher Mesnooh.

    Une immunité aux contours flous 

    Personne ne se risquait pourtant mardi à livrer une réponse définitive sur l'immunité de DSK. «On est dans la zone grise», remarquait une source officieuse au FMI. Un FMI, aujourd'hui dirigé par Christine Lagarde, qui ne s'aventure pas à commenter une requête judiciaire de son ancien patron, comprenait-on.

    Les statuts de l'institution prévoient une forme d'immunité, limitée aux actes accomplis dans l'exercice des fonctions. En cas de poursuites pénales, cette immunité ne joue pas. Au lendemain de l'arrestation de DSK pour tentative de viol, le FMI avait d'ailleurs précisé que «l'immunité du directeur général est limitée et n'est pas applicable dans cette affaire». En revanche, en matière civile, les juristes n'ont pas fini de débattre. À New York, la requête était accueillie avec un certain scepticisme.

    À Paris, même prudence. Le Quai d'Orsay a fait plancher sa direction juridique et a interrogé la Cour de cassation dès le mois de mai. Puis, il a de nouveau consulté ces experts à propos de Christine Lagarde, susceptible d'être poursuivie par la Cour de justice de la République dans l'affaire Tapie. Conclusion ? «La matière est mouvante, il n'existe pas de jurisprudence établie pour le FMI.»

    Un choix stratégique 

    Sur un plan tactique, beaucoup d'avocats saluent la performance des avocats de DSK. «Leur stratégie, c'est d'épuiser l'adversaire. Ils gagnent du temps et ils l'obligent à dépenser des sommes colossales», note ainsi l'avocat new-yorkais Kevin McCarthy. Certains estimaient mardi que les 25 pages d'analyse juridique livrées lundi au tribunal du Bronx avaient dû coûter «au moins 100.000 dollars». En principe, les conseils de Nafissatou Diallo doivent répondre à cette demande de rejet dans les premiers jours d'octobre. Une gageure pour un cabinet comme celui de Kenneth Thompson. À moins que le juge McKeon ne leur accorde un délai. «On est partis pour des mois et des mois d'échanges de conclusions», pronostique un connaisseur.

    Source Le Figaro - 27/09/11

  • Humour de Na!

    (Cliquez sur le dessin pour l'agrandir)h-20-2598689-1317019594.jpg Na!.jpg

  • Mathieu Madénian traite les électeurs du Front National de "fils de pute"

  • Front National: "Nous ne laissserons pas ces injures impunies"

     

    Communiqué de Wallerand de Saint-Just, avocat à la Cour

    Lorsque les représentants de la caste, comme Caroline Fourest, ne diffament pas, ils injurient. Cette haine grandit d’ailleurs en même temps que la popularité de Marine Le Pen.

    Les propos ignobles de Messieurs Darmon et Madénian ne peuvent rester impunis et, en ce qui me concerne, je prépare les procédures nécessaires. J’interviens aussi auprès du CSA. En effet, France Télévisions a sciemment diffusé les propos orduriers de Monsieur Darmon.

    On n’ose imaginer les réactions au cas où les électeurs de François Hollande ou de Nicolas Sarkozy seraient traités de « fils de pute ». Il faut dire que M. Goasguen et Mme Aram (encore sur le service public) ont montré la voie.

    Malgré le silence assourdissant et la complicité des « autorités » de tout genre, le Front National, ses adhérents et ses millions d’électeurs traînés ainsi dans la boue, sauront se défendre et répliquer.

    Message à l’attention des adhérents, sympathisants et électeurs du Front National :

    Les procédures nécessaires sont mises au point pour réagir aux injures très graves dont nous sommes les victimes.
    Si vous voulez vous joindre à ces procédures, notamment à celle concernant un M. Madénian qui vous traite publiquement de « fils de pute » (au seul motif que vous votez FN ou Marine Le Pen), merci de nous adresser un message dans ce sens, par mail ou par courrier, mentionnant votre nom, votre prénom, votre adresse et votre numéro de téléphone.

    Pour nous joindre par mail : contact@frontnational.com
    Pour nous joindre par courrier : FN – Service Juridique – 78 rue des Suisses – 92000 Nanterre

    NPI - 27/09/11

  • La Droite populaire trompe les électeurs ! Elle roule pour Sarkozy!

    Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National

    La Droite populaire vient ce jour de publier douze mesures destinées, une nouvelle fois, à tromper les électeurs.

    Alors, que scrutin après scrutin, les Françaises et les Français délaissent le vote UMP et abandonnent un président qui n’a tenu aucune des promesses sur lesquelles il s’était fait élire, certains députés tentent comme ultime recours de photocopier en partie nos propositions en matière d’immigration et d’insécurité pour préserver des situations acquises.

    Doit-on rappeler que depuis que ce groupe existe, aucune de ses propositions n’a été reprise par la majorité gouvernementale ?
    Il est maintenant acquis que cette droite d’apparence sert de leurre pour empêcher le basculement massif de l’électorat populaire vers la candidature de Marine Le Pen.

    L’heure n’est pas au calcul politicien mais au rassemblement de toutes celles et ceux qui restent attachés à l’indépendance nationale, à la souveraineté du peuple, à la sécurité, à l’identité et à la justice sociale.

    Il est peut-être temps que ces députés prennent leurs responsabilités et rejoignent la dynamique lancée par Marine Le Pen autour d’un programme de salut public qu’une immense majorité de Français appelle de ses vœux.

    NPI - 27/09/11

  • Droit de vote aux étrangers façon UMPS

    27/09/11

  • "Mallettes africaines": pourquoi Bourgi s'est-il rétracté ?

    arton19286-c2503.jpg Bourgi.jpg

    Le président sénégalais Abdoulaye Wade a renoncé à poursuivre en diffamation l’avocat Robert Bourgi qui a déclaré s’être trompé en accusant le chef d’Etat africain d’avoir remis des fonds occultes à des hommes politiques français, a indiqué mardi son avocat.

    "Il a reconnu son erreur. Pourquoi l’accabler davantage ?", a déclaré Me Jean-René Farthouat, en précisant que la plainte du président sénégalais n’avait pas encore été envoyée au parquet de Paris.

    Me Bourgi, un ancien conseiller officieux de l’Elysée pour les affaires africaines, avait créé une vive polémique en accusant les 11 et 12 septembre dans plusieurs médias des présidents africains d’ex-colonies françaises, dont M. Wade, d’avoir versé, entre 1997 et 2005, 20 millions de dollars transportés dans des mallettes à l’ex-président Jacques Chirac et à son ex-Premier ministre Dominique de Villepin.

    Le porte-parole de la présidence sénégalaise avait d’emblée démenti les accusations de Me Bourgi et des proches de M. Wade avaient ensuite annoncé leur intention de poursuivre l’avocat en diffamation.

    Me Bourgi avait également accusé Karim Wade, le fils du président sénégalais, d’avoir remis 500 millions de FCFA (760.000 euros) à M. Villepin alors qu’il était secrétaire général de l’Elysée.

    A la suite des accusations de Me Bourgi, le parquet de Paris a diligenté le 13 septembre une enquête préliminaire.

    Lors de son audition jeudi par la brigade financière de la police judiciaire à Paris, Me Bourgi a cependant déclaré aux enquêteurs qu’il s’était trompé en accusant Abdoulaye Wade et son fils, avait indiqué lundi son avocat, Me Eric Dupond-Moretti.

    Outre M. Wade, Me Bourgi avait mis en cause quatre dirigeants africains -Blaise Compaoré (Burkina Faso), Laurent Gbagbo (Côte d’Ivoire), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville) et Omar Bongo (Gabon).

    Robert Bourgi avait aussi accusé l’ex-dirigeant d’extrême droite Jean-Marie Le Pen d’avoir reçu des fonds occultes de M. Bongo pour financer sa campagne présidentielle de 1988.

    Les responsables mis en cause ont tous démenti.

    MM. Chirac, Villepin et Le Pen ont annoncé leur intention de porter plainte en diffamation. Si M. Le Pen a saisi le tribunal de grande instance de Paris d’une citation directe à l’encontre de Me Bourgi, les plaintes de MM. Chirac et Villepin n’avaient pas encore été envoyées mardi.

    27/09/11