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GAELLE MANN - Page 1423

  • Carla Figuera, 13 ans, est décédée à la suite des coups, non de sa chute

    L'autopsie a parlé. La collégienne de Florensac  de 13 ans frappée lundi par un adolescent est morte des suites des coups qui lui ont été  portés et non de la chute qu'ils ont entraînée, a affirmé lundi le procureur de Béziers. "Selon les premières conclusions de l'autopsie, l'adolescente est décédée des suites d'une hémorragie interne, à la suite d'un uppercut sous le menton", a déclaré le représentant du ministère public.

    • "Il y avait des assistants d'éducation à la sortie de ce collège qui ont essayé de s'interposer et qui malheureusement n'ont pu faire grand chose", a expliqué Luc Chatel sur Europe 1. Nous sommes dans un établissement scolaire tranquille, courant, banal", a insisté le ministre.
            
    L'adolescente a été grièvement blessée lors d'une bagarre à la sortie de son établissement par le frère aîné d'une de ses amies avec laquelle elle était en conflit pour un dépit amoureux. Afin de venger sa soeur, l'agresseur, âgé de 15 ans et élève dans une école de boxe, s'est rué sur la jeune fille et lui a asséné des coups violents. En chutant au sol, le crâne de la victime a violemment heurté le trottoir. Les deux jeunes filles s'étaient battues à plusieurs reprises dans le collège "pour une histoire de garçon" et plusieurs plaintes avaient été déposées auprès des gendarmes du village. Luc Chatel a précisé qu'un échange de couriels entre les adolescentes avait envenimé la situation.
     
    "La société est plus violente qu'il y a 25 ans"
     

    Pour le ministre, la société "est sans doute plus violente qu'elle ne l'était il y a 25 ou 30 ans, et l'école n'est que le reflet de la société". "Notre devoir, c'est de tout mettre en oeuvre pour qu'au sein de nos établissements scolaires, on puisse avoir des réponses pédagogiques face à cette violence", a-t-il dit.
       
    Des dizaines d'élèves du collège s'étaient auparavant recueillis mardi matin devant les grilles de l'établissement avant d'y déposer des gerbes de fleurs. Une marche blanche sera organisée samedi matin à Florensac à la mémoire de la jeune fille. L'auteur des coups était toujours gardé à vue, mardi, dans les locaux de la gendarmerie de Florensac dans l'attente de sa présentation au parquet de Montpellier. Une information judiciaire a été ouverte pour violences volontaires sans intention de donner la mort. Il devrait être présenté mercredi en fin de matinée à un juge en vue de sa mise en examen.
     
    le 21 juin 2011 à 17:58
    Source TF1
  • Joggeuse disparue: son corps retrouvé en partie carbonisé

    Un corps en partie carbonisé a été retrouvé mardi en fin d'après-midi non loin des lunettes et du MP3 susceptibles d'appartenir à Marie-Jeanne Meyer, la jeune fille de 17 ans disparue samedi alors qu'elle faisait du jogging en Ardèche, selon nos informations. Le corps était en train "d'être hélitreuillé" dans la zone escarpée de Tournon-sur-Rhône, a confirmé le maire du village.

     
     Après la découverte des lunettes et du MP3, un hélicoptère avait été dépêché sur place pour hélitreuiller des sauveteurs dans le but d'explorer le bas de la falaise où la jeune fille aurait pu chuter, avait précisé le procureur de Privas. De très importants moyens de recherche et de secours sont déployés sur le terrain, à proximité de Tournon-sur-Rhône, depuis trois jours.

    Il semble que le corps ait été transporté et caché à cet endroit

    Partie samedi soir faire son jogging habituel, sans portable, avec juste son baladeur et une bouteille d'eau, Marie-Jeanne avait été portée disparue vers 22h30.

    le 21 juin 2011 à 19:12
    Source TF1
  • Solstice d'été à Montségur

     

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     (Cliquez sur la photo)

  • Campagne offensive du Vlaams Belang pour le retour au pays des immigrés

     

    20/06/11 – 17h20
    Anvers (NOVOpress) –
    “Mal du pays? Problèmes de langue? Chômage? Optez pour le retour”, tels sont les termes offensifs que le Vlaams Belang utilise sur des tracts qu’il distribue aujourd’hui dans les quartiers flamands accueillant plus de 15% d’immigrés. Et ce dans une trentaine de grandes villes flamandes.

    En 2008, le Vllams Belang avait lancé une campagne du même type, lorsqu’il avait distribué à Anvers un “guide du retour”. Ce guide informait sur les possibilités offertes pour un retour volontaire. Cette initiative s’inscrivait alors dans une campagne plus large visant à encourager les immigrés clandestins à rentrer chez eux.

    cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

  • Hérault: une collégienne de 13 ans tuée à coups de poing

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    (Cliquez sur la carte pour l'agrandir)

    Une jeune fille de 13 ans et demi est décédée lundi après-midi après avoir été agressée à la mi-journée à la sortie de son collège à Florensac (Hérault), près de Béziers, par le grand frère d'une camarade âgé de 15 ans, selon la gendarmerie.

    D'après les premiers éléments, l'adolescente aurait chuté lourdement sur la tête, ce qui a entraîné des lésions cérébrales graves et deux arrêts cardiaques, un sur place et un pendant son transport en hélicoptère, a précisé la préfecture de l'Hérault.

    La jeune fille est décédée d'un traumatisme crânien, selon l'hôpital de Montpellier. L'autopsie du corps doit avoir lieu mardi après-midi. «Une information judiciaire sera ouverte. Les chefs d'accusation seront définis plus tard, après le résultat de l'autopsie», a indiqué Patrick Mathé, le procureur de la République de Béziers. Tout l'enjeu de cette autopsie est de savoir si la victime est décédée des coups qu'elle a reçus au visage, ou d'un traumatisme consécutif à sa chute, tête la première, sur le sol.

    Selon des témoins, le jeune garçon, qui pratiquait la boxe sans pour autant être réputé violent, aurait roué de coups la victime, lui portant «plusieurs coups violents» au visage.

    Un «acte inacceptable», commis a priori «à mains nus, sans arme», selon le procureur.

    Après avoir obtenu son identité auprès des témoins de l'agression, les gendarmes ont contacté l'agresseur présumé qui s'est ensuite présenté de lui-même, en compagnie de sa mère, à la brigade de gendarmerie de Florensac (Hérault), où il a été placé en garde à vue. «La qualification retenue à cet instant est celle de violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner», a précisé le procureur de la République. Evoquant l'agression, le magistrat a évoqué un «acte inacceptable», commis a priori «à mains nus, sans arme».

    Scolarisé à Sète (Hérault), l'auteur présumé des coups, âgé de 14 ans et 11 mois, a ensuite été transféré à la brigade de recherches de gendarmerie de Pézenas (Hérault), en charge de l'enquête, où il a été auditionné. Des témoins, présents sur les lieux au moment du drame, ont également été entendus lundi après-midi. Le collège de Florensac, où une cellule psychologique a été mise en place afin d'aider au mieux les quelque 350 élèves, n'a pas été fermé, a-t-on appris auprès de l'Inspection d'Académie de Montpellier.

    Le 15 juin, une bagarre avait éclaté entre les deux adolescentes

    A l'origine de ce drame, une dispute aurait opposé récemment la jeune victime et une autre collégienne. Selon la gendarmerie, une plainte a été déposée lundi matin, contre la victime, par la mère et la soeur de l'agresseur présumé pour des «violences remontant au 15 juin» subies par cette jeune fille.

    Selon Midi Libre, un conflit opposait les deux adolescentes, pour une histoire de coeur, depuis plusieurs semaines. La soeur de l’agresseur avait cessé depuis un mois d’aller en cours, par crainte d’y croiser sa rivale. Elle avait finalement tout avoué à sa mère, qui l’avait conduite ce matin à la gendarmerie pour qu’elle dépose plainte. Le mardi 15 juin, une bagarre entre les deux jeunes filles avait déjà éclaté à Florensac.

    «Une partie de l'encadrement du collège n'a pas pu s'interposer», selon le maire

    Pour le maire socialiste de la commune, Vincent Gaudy, ce drame, «profondément navrant», «est parti d'une altercation entre filles, qui s'est transformé en règlement de compte», a-t-il affirmé. L'élu avait été informé du différend existant entre les deux jeunes filles, «à propos d'une affaire de coeur», et avait demandé la semaine dernière aux deux familles de prendre contact afin de «désamorcer le truc».

    Les deux jeunes filles «se seraient donné des gifles» après avoir «eu des mots», et c'est le frère de l'autre adolescente, âgée de 14 ans, qui est venu «régler des comptes» lundi, a souligné Vincent Gaudy. Selon le maire, l'agression s'est déroulée en présence «d'une partie de l'encadrement du collège qui n'a pas pu s'interposer». Contactée, la direction du collège n'était pas joignable. «Aujourd'hui, j'en ai gros sur la patate, a ajouté Vincent Gaudy. Je suis particulièrement affecté, car la jeune fille décédée est la fille d'un ami».

    «Il s'agit d'un drame épouvantable, a déclaré , le ministre de l'Education nationale sur BFM-TV. «La communauté éducative est en deuil ce soir. C'est un collège sans histoire, sans difficulté particulière», a assuré le ministre. Dans un communiqué, il a adressé «ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches de cette jeune collégienne» et demander au Rectorat et à l'inspection d'académie de de se rendre sur place.
     
     
    Source Le Parisien - 20/06/11


     
  • Marseille: mort à cause d'un hamburger McDo ?

    Lundi, le parquet de Marseille a ouvert une enquête pour déterminer les raisons de la mort d'un jeune homme qui avait mangé un hamburger quelques jours plus tôt.

    Depuis son repas au McDo, la victime a été pris de vomissements et de diarrhées, indique Le Parisien.

    La famille du jeune homme âgé de 20 ans a décidé de porter plainte.

    Pour l'heure, le parquet de Marseille reste sur la réserve. "Le jeune est décédé une semaine après, il n'y a pas de lien avéré entre les deux, mais cela mérite examen", a déclaré le procureur de la République à Marseille, Jacques Dallest, cité par Le Parisien.

    McDonald's précise "ne pas avoir été saisi par les services officiels". "Malgré cela, à titre de précaution, nous avons décidé de déclencher immédiatement une enquête interne. Nous nous tenons à la disposition des services officiels qui enquêtent sur ce décès", ajoute la chaîne.

    Une autopsie et des examens toxicologiques ont été réalisés, les résultats devraient être connus dans la semaine.

    Source Yahoo! Actualités - 20/06/11

  • Yvan Colonna condamné à perpétuité pour l'assassinat du préfet Erignac

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    L'assassinat du préfet Claude Érignac a eu lieu le 6 février 1998 à 21h05 à Ajaccio dans la rue Colonna-d’Ornano.

    Le préfet de Corse, Claude Érignac, est abattu de trois balles de calibre 9 mm, une dans la nuque à bout portant, deux pour l'achever alors qu'il est à terre. L'arme du crime, un Beretta qui avait été volé cinq mois plus tôt, le 6 septembre 1997, pendant la prise en otage de deux gendarmes de la caserne de Pietrosella (Corse-du-Sud), est retrouvée sur les lieux. (Wikipedia)

     

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    Claude Erignac était né à Mende en 1937

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    PARIS (Reuters) - Pour la troisième fois et malgré ses protestations d'innocence, Yvan Colonna a été condamné lundi à la réclusion criminelle à perpétuité pour l'assassinat du préfet de Corse Claude Erignac en 1998.

    Après un mois et demi d'audience et sept heures de délibéré, la cour d'assises spéciale de Paris a désigné le berger et militant nationaliste, dans un arrêt motivé exceptionnellement par écrit, comme l'homme qui a tiré trois balles dans la tête du préfet le 6 février 1998 à Ajaccio.

    Il s'agissait du cinquième procès de ce crime, le plus grave en 40 ans de violence politique en Corse. L'affaire n'est pas terminée: Yvan Colonna va en effet se pourvoir en cassation, a annoncé un de ses avocats, Antoine Sollacaro. La défense parle aussi, pour la suite, d'un recours à la Cour européenne des droits de l'homme.

    Les neufs magistrats de la cour d'assises spéciale n'ont pas totalement suivi les réquisitions de l'accusation, qui demandait la perpétuité mais avec une période de sûreté de 22 ans incompressible. Arrêté en 2003, Yvan Colonna pourra, avec la perpétuité "simple", demander une libération conditionnelle après 18 ans de détention, soit en 2021.

    Après le verdict, Yvan Colonna est resté impassible. Son jeune fils, venu spécialement, et l'agricultrice de Cargèse qu'il a épousée en détention, ainsi que ses proches, ont poussé quelques cris de protestation comme "honte !" dans la salle.

    Sa femme et son fils sont allés le voir près du box des accusés, en larmes. Il a caressé longuement les cheveux de son épouse avant que les gendarmes ne l'emmènent.

    "Nous pensons qu'en France, la justice n'est pas suffisamment indépendante pour acquitter Yvan Colonna, malgré la preuve que nous avons faite de son innocence", a dit Me Sollacaro à la presse. Me Gilles Simeoni a parlé de "raison d'Etat" et estimé que "la démocratie judiciaire a perdu".

    A l'extérieur, des militants nationalistes portaient des tee-shirts où on lisait : "Colonna, otage de la raison d'Etat".

    LA VEUVE ÉRIGNAC S'ADRESSE À SON MARI

    La veuve du préfet, très émue, a parlé à la presse en s'adressant à son mari. "Claude, la justice a été rendue", a-t-elle dit. "M. Colonna, que ses complices et leurs femmes ont désigné comme le tueur, aurait dû revendiquer sa responsabilité, il n'en a pas eu le courage et nous, nous avons dû subir quatre années de cavale, et la manipulation qui a fait que beaucoup ont cru que M. Colonna était un simple berger."

    Yvan Colonna, 51 ans, arrêté en 2003, avait déjà été condamné deux fois, à la perpétuité simple en 2007, puis en appel en 2009 avec la sûreté de 22 ans. Cette dernière condamnation avait été cassée pour vice de forme en 2010.

    Le nouveau procès n'a pas apporté beaucoup d'éléments nouveaux, hormis une lettre datée de fin 2010, dont Yvan Colonna a d'abord admis devant ses avocats être l'auteur avant de changer d'avis. ll y menace un protagoniste clé de l'affaire, Pierre Alessandri, de "guerre" s'il ne dépose pas en sa faveur.

    Dans sa motivation, la cour estime que les accusations initiales de cinq membres du commando de tueurs condamnés à des peines jusqu'à la perpétuité, et de quatre de leurs épouses établissent qu'Yvan Colonna "a tenu le rôle du tireur".

    Les rétractations de ces personnes après des années ne sont pas prises en compte par la cour, qui relève qu'elles ont été expliquées par des versions successives, la volonté de protéger des proches, d'hypothétiques autres auteurs, par des pressions policières ou par une supposée rancune contre Yvan Colonna.

    La cour remarque par ailleurs qu'une des épouses n'a pas rétracté sa mise en cause, même au procès. Elle relève aussi à charge l'attitude d'Yvan Colonna quand les autres tueurs, parmi lesquels ses amis d'enfance, ont été arrêtés en mai 1999.

    Il a retiré, rappelle la cour, 30.000 francs en espèces avant de prendre la fuite pendant quatre ans, non sans avoir donné un entretien à TF1 où il disait avoir le "profil de l'assassin", mais qu'il faudrait "le prouver". Il a été arrêté dans le maquis en possession d'une grenade et d'un chargeur.

    Édité par Marc Angrand

    Source Yahoo! Actualtés  - 20/06/11

  • Georges Tron et son adjointe en garde à vue

    L'ancien secrétaire d'Etat à la Fonction publique, visé par une enquête pour viol et agression sexuelle, passe la nuit dans les locaux de la police judiciaire de Versailles.

    L'homme politique Georges Tron, visé par une enquête pour agressions sexuelles, a été placé en garde à vue lundi, à la police judiciaire de Versailles. Une élue municipale de la ville de Draveil, dont Georges Tron est maire, est elle aussi entendue par les enquêteurs. «M. Tron et son adjointe vont tous les deux passer la nuit en garde à vue. Sa garde à vue doit durer 24 heures et peut être prolongée de 24 heures», a déclaré lundi soir le procureur. Une perquisition a également eu lieu lundi à la mairie.

    Le parquet d'Evry avait ouvert fin mai une enquête préliminaire pour viol et agression sexuelle à la suite de la plainte de deux ex-employées municipales de Draveil. L'ancien secrétaire d'Etat à la fonction publique devait être confronté à ces deux accusatrices, mais aussi à une troisième, qui a «récemment porté des accusations» contre Georges Tron, selon une source de l'enquête. On ignorait s'il s'agissait d'une employée municipale, comme les deux autres.

    Des massages intimes dans le bureau du maire

    Les deux premières femmes avaient affirmé à la police avoir subi des attouchements sexuels de la part du maire. Les faits se seraient produits de janvier 2007 à mars 2009, pour la première plaignante et de septembre 2008 à septembre 2010 pour la seconde. Selon les deux femmes, Georges Tron prenait prétexte la pratique de la réflexologie pour leur caresser les pieds. Selon elles, les gestes se seraient transformés en véritables agressions sexuelles. «Les choses ont vite dégénéré», expliquait au Parisienl'une d'entre elles.

    Georges Tron, qui n'a pas été mis en examen dans cette affaire, avait été contraint de démissionner du gouvernement le 29 mai, mais il est resté maire de Draveil. Les médias français avaient publié de nombreux témoignages anonymes le mettant gravement en cause.

    En présentant sa démission, Georges Tron s'était défendu de tout comportement répréhensible. Il avait laissé entendre qu'il était victime d'une vengeance orchestrée par des membres de la famille Le Pen. «Je ferai une affaire personnelle de faire reconnaître mon innocence», avait alors expliqué Georges Tron dans sa lettre de démission.

    Source Le Figaro - 20/06/11

  • Gudrun Himmler, la "princesse du Nazisme"

     

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    A 81 ans, Gudrun Burwitz pourrait être une grand-mère comme une autre. Mais la fille d’Heinrich Himmler a choisi une autre voie: celle de l’aide aux anciens officiers nazis poursuivis dans le monde entier.

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    Source Kahina Sekkai - Parismatch.com -  19/06/11

    Elle est devenue une figure incontournable de «Stille Hilfe», de par sa naissance, mais aussi de par son âpreté aux combats, qui lui ont valu le titre de «Princesse du Nazisme». D’après Andrea Roepke, spécialiste de ces questions, «"Stille Hilfe" ne concerne pas seulement le National-Socialisme. Il collecte aussi des fonds pour le mouvement néo-nazi.» Parmi ses «protégés» du moment, Klaas Carel Faber, 89 ans. Ce Hollandais a rallié les SS et assassiné de sang-froid des centaines de juifs. Mais le dernier en date est Soren Kamm. Officier SS danois, il est recherché dans son pays pour «crimes de guerre», notamment l’assassinat d’un éditeur de journaux Henrik Clemmensen, tué à Copenhague. En 1946, un associé de Kamm a été condamné à la peine de mort pour cet acte odieux, et exécuté dans l’année. Seulement, l’Allemagne refuse l’extradition de l’ancien nazi, même après des aveux publics de culpabilité à la télévision allemande.

    «Je fais ce que je peux»

    «Stille Hilfe» a été créé en 1951, mais avait déjà commencé des missions d’extradition dès 1946. Même une fois arrêtés, les criminels nazis pouvaient compter sur le soutien des membres du groupuscule, souvent affilié à l’ODESSA (l’organisation des anciens SS). Ainsi, Hildegard Lächert, gardienne de camp connue sous le nom de Brigitte la Sanglante ou encore Klaus Barbie ont été appuyés, aussi bien mentalement que financièrement. Jusqu’à, au moins, la fin des années 1990, l’association touchait entre 60 000 et 80 000 euros de dons par an, de quoi construire un socle financier assez solide pour permettre de coûteux déplacements.

    Au «Daily Mail», qui a essayé de la contacter, Gudrun Burwitz a simplement répondu: «Je ne parle jamais de mon travail. Je fais juste ce que je peux, quand je le peux.» Un haut-gradé des services anglais connait bien le personnage: «Elle a plus de 80 ans, mais elle est en pleine forme. Elle aime que les gens pensent qu’elle est une sorte de Mrs Doubtfire, mais ce n’est pas le cas.» Véritable vedette pour l’extrême droite allemande, «Püppy» ne semble malheureusement pas prête à baisser les bras. Point final

  • Libye: 15 morts civils dans une nouvelle "bavure" de l'OTAN qui dément...

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    (Cliquez sur la photo)

    Le régime libyen a affirmé que 15 personnes, dont trois enfants, avaient été tuées lundi dans un nouveau raid de l'Otan, à Sorman à l'ouest de Tripoli. Une accusation aussitôt démentie par l'Alliance atlantique qui a reconnu deux bavures, au cours du week end.

    Ce raid, mené vers 04H00 du matin (heure française), a visé une résidence d'un vieux compagnon de route du leader Mouammar Kadhafi, à environ 70 km à l'ouest de la capitale, selon un responsable du régime, qui a précisé que celle-ci avait été «touchée par huit missiles».

    En début d'après-midi, un responsable de l'Otan a fermement démenti tout raid ayant tué des civils à Sorman.

    «Nous n'avons pas opéré là-bas», a-t-il déclaré sous couvert de l'anonymat, ajoutant: la seule frappe cette nuit dans la région de Tripoli s'est déroulée «à Tripoli même, et pas à 04 heures du matin».

    Le porte-parole du régime, Moussa Ibrahim, présent sur les lieux, a souligné de son côté que le raid avait «fait 15 morts dont trois enfants». Il a dénoncé «un acte terroriste et lâche, qui ne peut être justifié».

    Un journaliste, emmené sur place avec d'autres correspondants de la presse internationale, a constaté que plusieurs bâtiments avaient été détruits. Il n'a en revanche pas vu de corps, seulement une tête décapitée qui a été retirée des décombres. La résidence appartient à Khouildi Hemidi, qui faisait partie du conseil de commandement de la révolution de 1969.

    Selon M. Ibrahim, la plupart de victimes appartiennent à la famille Hemidi et deux de ses petits-enfants figurent parmi les enfants tués. Parmi les morts se trouvent également des membres de deux familles habitant à côté de la résidence.

    «Nous ne pouvons pas courir le risque de tuer des civils»

    «L'Otan joue sa crédibilité. Nous ne pouvons pas courir le risque de tuer des civils, c'est quelque chose qui ne va absolument pas», a déclaré Franco Frattini, le ministre italien des Affaires étrangères en marge d'une réunion avec ses homologues européens à Luxembourg. Le responsable transalpin a exhorté l'Otan a combler «ses carences de communication». «Parce que nous devons contrecarrer la propagande médiatique» du régime de Tripoli, a-t-il estimé.

    L'Otan a reconnu une bavure dimanche

    Khouildi Hemidi s'en est sorti sain et sauf: il se trouvait au moment du raid dans un bâtiment qui n'a été que partiellement endommagé. Sa résidence, immense, s'étend sur plusieurs hectares, avec une ferme et des animaux (gazelles, paons, autruches...) dont certains ont été blessés ou tués. En l'espace de 24 heures, l'Alliance atlantique a déjà reconnu deux «bavures» en Libye à un moment où la légitimité de son intervention reste contestée et où elle stagne sur le terrain.

    Dimanche, elle a admis avoir tué par erreur des civils lors d'une frappe nocturne à Tripoli, dans laquelle neuf personnes dont cinq membres d'une même famille sont mortes.

    Elle a expliqué avoir voulu viser «un site militaire de missiles» mais qu'il y a pu y avoir «une erreur dans le système qui peut avoir fait un certain nombre de victimes civiles». Samedi, l'Alliance atlantique avait déjà dû admettre avoir accidentellement frappé une colonne de véhicules rebelles dans la région de Brega (est) le 16 juin. Et au moins deux autres incidents du même type étaient déjà survenus.

    La coalition internationale a commencé son intervention le 19 mars, sous mandat de l'ONU pour protéger la population civile en Libye où un mouvement de contestation sans précédent contre le régime autoritaire de Mouammar Kadhafi, au pouvoir depuis 42 ans, était réprimé dans le sang. L'Otan a pris le commandement des opérations le 31 mars.

    Depuis, l'Alliance a effectué quelque 1 500 sorties. Chacune a été préparée et exécutée avec un grand soin pour éviter les victimes civiles, s'est défendue dimanche l'Otan. Ibrahim a, au contraire, accusé l'Otan de commettre des actes «barbares en visant délibérément des civils».


    Entre 10 000 et 15 000 morts, près de 952 000 personnes en fuite 

    Face au risque d'enlisement du conflit, une réunion de hauts responsables de l'ONU, de l'Union européenne, de la Ligue arabe, de l'Organisation de la conférence islamique et de l'Union africaine a ainsi insisté samedi au Caire sur la nécessité d'une solution politique. Lundi, les Emirats ont annoncé le gel des avoirs de 19 personnalités libyennes.


    Depuis le 15 février, le conflit a fait entre «10 000 et 15 000 morts et obligé près de 952.000 personnes à prendre la fuite», selon des organisations internationales.

    Sur le terrain, de violents combats se poursuivaient dimanche soir à l'est et à l'ouest de l'enclave rebelle de Misrata (200 km à l'est de Tripoli), où neuf personnes ont été tuées et 51 blessées dimanche, selon la rébellion, qui a affirmé avoir repoussé plusieurs tentatives des loyalistes d'avancer vers la ville.

     

    Source Le Parisien - 20/06/11

  • Hallucinant! Les évêques italiens appellent l'Europe à accueillir 200 millions de "réfugiés environnementaux"

    19/06/2011 – 08h00
    ROME (NOVOpress) – D’ici à 2050, le nombre des « réfugiés environnementaux », contraints de quitter leur pays à cause des désastres naturels, de la désertification, de la pollution, du manque d’eau, de nourriture et d’énergie, pourrait atteindre 200 millions.

    Les évêques italiens appellent l’Europe à accueillir 200 millions de « réfugiés environnementaux »

    C’est ce qu’affirme la conférence épiscopale italienne dans son message pour la sixième Journée pour la sauvegarde de la Création, qui aura lieu le 1er septembre (texte intégral ici).

    Face à tant d’immigrés qui cherchent à rejoindre l’Europe, le texte, élaboré conjointement par la « Commission épiscopale pour les problèmes sociaux et le travail, la justice et la paix » et la « Commission épiscopale pour l’œcuménisme et le dialogue »,  rappelle encore une fois le devoir de solidarité et d’accueil de tout homme, « sans jamais repousser aucun de nos frères ». « Il y a, écrivent les évêques, de plus en plus d’hommes et de femmes qui sont contraints d’abandonner leur terre d’origine pour des motifs liés, plus ou moins directement, à la dégradation de l’environnement. »

    Dans ce processus, expliquent les évêques devenus climatologues, « un rôle non négligeable est joué par le changement climatique, qui, à travers la variation brutale et pas toujours prévisible de ses zones, risque d’affecter l’habitabilité de régions entières de la planète et d’augmenter, en conséquence, les flux migratoires. »

    Selon les deux commissions épiscopales, « pour autant que des prévisions soient possibles, on ne se trompe pas en imaginant que, d’ici le milieu de ce siècle, le nombre des réfugiés environnementaux pourra atteindre les 200 millions ». Dans cette perspective, les évêques exhortent à « éduquer à l’accueil », ce qui implique de « devenir des témoins authentiques de gratuité et de service à l’égard de toute personne humaine ».

    C’est l’occasion de relire l’analyse rigoureuse de l’idéologie de « l’accueil aux immigrés » récemment menée par le plus célèbre converti d’Italie, Magdi Cristiano Allam.

    Source : www.blitzquotidiano.it

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

  • Arrêtés en train de faire l'amour dans une église

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    La préservation de l'environnement, d'accord, mais il y a des limites. Deux activistes de l'association écologiste "Fuck the forest" ont été arrêtés par la police alors qu'ils tentaient de faire l'amour dans la cathédrale d'Oslo en Norvège. Un troisième individu, lui aussi membre de l'association, a été interpellé car il se promenait nu dans l'église.

    Ce sont les membres de la paroisse qui ont surpris la scène et qui, offusqués, ont alerté la police. Le couple a été inculpé d'atteinte à la pudeur. L'homme et la femme ont écopé d'une amende, une alternative à une peine de seize jours de prison.

    En effet, le couple "ne se voyait pas passer plus de deux semaines sans faire l'amour", a indiqué l'association "Fuck the forest" dans une déclaration.

     19/06/11

     
  • Preuve que les "révolutions arabes" étaient prévues depuis dix ans...


    Preuve que l'invasion Lybienne était prévue... par psartekonish

    19/06/11

  • Des milliers de Chinois défilent à Paris contre l'insécurité

    Entre 3.000 Chinois, selon la police, et 20.000, selon les organisateurs, ont défilé dimanche à Paris pour protester contre les actes de violence dont la communauté chinoise de France se dit victime et exiger plus de sécurité.

    Derrière une grande banderole proclamant: "Liberté, égalité, fraternité et sécurité", le cortège a défilé de la place de la République à celle de la Nation, dans l'est de la capitale.

    Les manifestants, parmi lesquels beaucoup de jeunes, certains enveloppés dans des drapeaux français et en agitant d'autres de petite taille, ont scandé "Sécurité pour tous" ou "Vivons ensemble, vivons en sécurité".

    "Nous réclamons la sécurité parce que c'est un droit, c'est la condition essentielle de l'exercice des libertés", a lancé Olivier Wang, le porte-parole du collectif des associations asiatiques de France et leurs amis français.

    Les Chinois sont pris à partie car "il y en a beaucoup qui n'ont pas de papiers et une certaine catégorie de la population française les agresse sachant qu'ils n'iront pas porter plainte à la police", a expliqué Jean-Pierre Buisson, un manifestant français marié à une Chinoise.

    Depuis deux ans, le collectif dénonce des agressions et vols violents visant les Asiatiques, notamment dans le quartier de Belleville.

    Ce quartier, qui a accueilli après la Première Guerre mondiale de nombreux migrants juifs d'Europe de l'Est, a vu depuis les années 60 s'installer une importante communauté maghrébine. Il s'est métamorphosé ces dix dernières années du fait d'un afflux d'immigrés asiatiques qui ont repris de nombreux petits commerces.

    Dénonçant le manque de protection des pouvoirs publics, Anh Dao Traxel, fille adoptive d'origine vietnamienne de Jacques Chirac, a regretté qu'"aucun élu de la République" ne soit venu à la manifestation.

    La marche s'est dispersée rapidement et dans le calme une fois arrivée à la Nation, afin d'éviter d'éventuels incidents, selon les organisateurs.

    L'an dernier le 20 juin, une manifestation du même type dans le quartier de Belleville avait réuni environ 8.500 Chinois, selon la police. Elle s'était terminée par des échauffourées avec des bandes de jeunes qui avaient entraîné l'intervention des forces de l'ordre.

    Des chercheurs estiment à plus de 600.000 le nombre de Chinois vivant en France, essentiellement en région parisienne et issus de provinces différentes de Chine, certains ayant émigré pour des raisons économiques, d'autres politiques.

    Source Nouvel OBS - 19/06/11

  • Maroni: "Sur l'immigration, nous avons contre nous l'Europe, les juges et l'OTAN"

     
     
     

    Maroni : « Sur l’immigration, nous avons contre nous l’Europe, les juges et l’OTAN »

    19/06/2011 – 16h00
    PONTIDA (NOVOpress)Arborant fièrement une cravate et un ciré verts aux couleurs de la Padanie, le ministre de l’Intérieur italien, Roberto Maroni, a retrouvé les accents du militant devant la base de la Ligue du Nord, rassemblée aujourd’hui à Pontida. Sur l’immigration clandestine, a-t-il déclaré, « nous avons contre nous l’Europe, qui ne nous aide pas, nous avons contre nous les juges, qui sont tous en faveur des clandestins. Mais nous ne cédons pas et nous ne cédons jamais ».

    « Le problème, a expliqué Maroni, est la Libye. Là, il n’y a pas de ministre de l’Intérieur avec lequel passer des accords. Là, il y a la guerre, les bombes, les missiles, qui ne sont pas intelligents. Il y a un seul moyen d’arrêter les réfugiés : halte aux bombes, pensons à un gouvernement, à quelqu’un qui gouverne en Libye ».

    Mais, a poursuivi le ministre, « nous avons contre nous l’OTAN, qui a dit que nous ne pouvions pas faire de blocus maritime. J’aimerais quand même que quelqu’un m’explique pourquoi on peut le faire à l’entrée (pour imposer un embargo maritime sur la Libye) et pas à la sortie. »

  • Qui est-ce? n°22

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    (Cliquez sur la photo)

  • Apéro géant à Montpellier: remise en liberté des trois jeunes accusés de viol

    Deux des trois jeunes soupçonnés d'avoir violé une Irlandaise de 17 ans, vendredi lors d'un «apéro géant» à Montpellier, ont été relâchés samedi soir «faute de charges suffisantes dans l'immédiat», a annoncé dimanche le  parquet.

    «Leur garde à vue n'a pas été prolongée», a indiqué Patrick Desjardins, procureur adjoint de la République à Montpellier. Le troisième violeur présumé avait déjà été relâché samedi matin car il n'avait pas été reconnu lors de la confrontation avec la jeune fille.

    «L'affaire est prise au sérieux, mais elle mérite davantage d'investigations. Celles-ci sont menées par la sûreté départementale», a-t-il ajouté. Les trois suspects avaient été placés en garde à vue vendredi soir.

    Agressée, la jeune fille est parvenue à s'échapper

    En séjour linguistique à Montpellier, la jeune fille affirme avoir été agressée vendredi, vers 23h30, par trois individus, après avoir perdu son groupe d'amis. Parvenant à s'échapper, elle a immédiatement alerté les forces de l'ordre présentes sur place. Trois personnes ont été rapidement interpellées.

    Environ 5.000 personnes ont participé à cet apéro géant, un peu plus d'un an après une première édition, alors interdite, qui avait attiré 10.000 participants. Les festivités avaient été placées sous haute surveillance. Une soixantaine de fonctionnaires de police étaient présents ainsi qu'un nombre équivalent de personnels de renfort (CRS ou gendarmes mobiles). Une quarantaine de pompiers étaient également mobilisés, de même qu'une équipe de secours aquatique.
     
     
    Source Le Parisien - 19/06/11
  • Ardèche - Joggeuse disparue: aucune piste n'est écartée

    Acte criminel, accident, voire simple fugue: toutes les pistes étaient envisagées par les enquêteurs dimanche, près de 24 heures après la disparition «inquiétante» de Marie-Jeanne Meyer, une joggeuse de 17 ans, à Tournon-sur-Rhône en Ardèche.

    «On a des inquiétudes légitimes», a affirmé lors d'une conférence de presse le procureur de la République de Privas, Christophe Raffin, qui a ouvert une enquête pour «disparition inquiétante de mineur» alors qu'un appel à témoins a été lancé par la gendarmerie.

    «Aucune piste n'est abandonnée, aucune n'est privilégiée», a poursuivi le magistrat soulignant qu'«aucun mot n'a été retrouvé» pouvant expliquer un départ volontaire de la jeune fille, brillante élève qui devait passer lundi son baccalauréat de français.

    Elle était partie à 18H00 de son domicile situé dans un hameau des hauteurs de Tournon pour son habituel jogging d'une petite heure. Sa petite soeur ne la voyant pas revenir alors que la mère était absente, a alerté cette dernière qui a prévenu les gendarmes vers 22H30. Les recherches ont débuté dès minuit avec la participation des parents.

    Une famille «sans histoire»

    Dimanche après-midi, environ 200 gendarmes, appuyés par cinq équipes cynophiles et un hélicoptère, ratissaient toujours les vergers escarpés dominant l'ouest de Tournon, où la jeune lycéenne avait l'habitude de courir. 

    Par ailleurs, les enquêteurs ont commencé à auditionner l'entourage de la disparue pour «déterminer son état d'esprit au moment de son départ». Marie-Jeanne «mesure 1,65 mètre, a des cheveux noirs longs et lisses, la peau mate et pèse environ 60 kilos», a précisé la gendarmerie, qui a diffusé son portrait priant «toute personne susceptible d'apporter des éléments utiles» d'appeler le 04 75 20 91 00. L'adolescent portait des lunettes de vue et est partie avec un lecteur MP3 mais sans son téléphone portable, a précisé le procureur.

    «Nous sommes dans une période où il y a beaucoup de monde à Tournon», a-t-il observé, évoquant la présence de nombreux saisonniers dans cette région fruitière ainsi que de touristes. L'organisation prochaine d'un festival est également susceptible d'attirer «une fréquentation malsaine», ce qui pourrait constituer «des circonstances favorisantes», a ajouté le magistrat.

    L'adolescente «vivait depuis un an et demi à Tournon avec ses parents, sa petite soeur et son frère de 15 ans», une famille «sans histoire» et «très modeste», selon le maire de cette commune de 10 000 habitants, Frédéric Sausset (UMP). Scolarisée en première au lycée Gabriel-Faure de Tournon, elle était «première de la classe». «En très bonne condition physique», elle partait fréquemment courir «mais ne s'absentait pas plus d'une heure», a poursuivi l'élu.

    Selon lui, «la piste de la fugue est pratiquement en train de s'écarter». «On ne croit plus trop à la chute suivie d'une blessure, parce que l'hélicoptère a beaucoup ratissé le secteur», a-t-il ajouté.

    Les recherches sur ce terrain boisé et escarpé «vont se poursuivre dans la nuit et éventuellement lundi», «en escargot» autour du domicile familial, avec l'appui de l'hélicoptère «équipé de caméras de vision nocturne», a précisé le lieutenant-colonel Emmanuel Josse, commandant du groupement de gendarmerie de l'Ardèche.

    Source La Parisien- 19/06/11 - dernière heure

  • Pau: l'adolescent disparu depuis dix jours aperçu par plusieurs témoins?

    Pau l adolescent disparu apercu par plusieurs temoins

    Depuis samedi, Alexandre Junca, 14 ans, a disparu à Pau  (Pyrénées-Atlantiques). Alors que la piste de la séquestration a été évoquée par  les enquêteurs, elle est aujourd’hui abandonnée. Les lieux fréquentés par le  jeune Palois ont été passés au peigne fin, les caves du quartier de Saragosse,  où il a été vu pour la dernière fois, ont été fouillées. Mais Alexandre est  introuvable.

     En revanche, la police dispose de témoins qui indiquent avoir vu  l’adolescent, ce qui conforterait la piste d’une fugue. Un automobiliste aurait  en effet aperçu Alexandre mardi, aux alentours de 19 heures, en train de faire  du stop à l’entrée de l’autoroute. Les enquêteurs entreprennent donc de  visionner les vidéos de surveillance, mais les résultats ne sont pas connus pour  l’instant.

     Pour autant, le beau-père d’Alexandre ne croit pas à l’hypothèse  d’une fugue : « Il ne serait pas parti les  mains dans les poches, juste sur son  vélo, sans avoir rien dit aux copains avec qui il avait passé la soirée, Il a  laissé sa carte de bus, son  cartable, le chargeur de son portable… Il aurait  emmené certaines affaires s’il  avait fait une fugue et on ne lui connaissait  aucune raison d’en faire une », a-t-il indiqué au Parisien.

    Rappel des  faits

    L’adolescent a disparu depuis samedi à Pau, après avoir  passé la soirée avec des  amis. A 22h42, il a envoyé un SMS à son père, lui disant qu’il  rentrerait avant  23 heures. Depuis, silence radio. Le téléphone portable du garçon est sur  répondeur. Son vélo a été retrouvé dimanche, à proximité du domicile de son  père. Des analyses ADN sont en cours, car l’antivol retrouvé ne serait pas celui  d’Alexandre. Le père, quant à lui, a été  entendu lundi, mais devait être à nouveau interrogé mercredi, selon  La République des Pyrénées.

    S.C. Le 09/06/2011
    Source ELLE