GAELLE MANN - Page 177
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NDA face à Bourdin
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Marine Le Pen interviewée sur France 2 (30.04)
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Grand Meeting de Villepinte avec Marine et Nicolas Dupont-Aignan
https://www.facebook.com/MarineLePen/videos/1735420049807645/
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Une vidéo de David Rachline: un rappel nécessaire!
https://www.facebook.com/rachlinedavid/videos/10154281144606106/
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JOYEUX PREMIER MAI !
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Nicolas Dupont-Aignan traite Macron de "malade mental" - En direct
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Vif débat entre Sébastien Chenu (FN) et Sylvain Maillard (EM) le 30/04
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Marine Le Pen ne mentionne plus la sortie de l'euro dans sa profession de foi
Par Emmanuel Galiero
Mis à jour le 28/04/2017 à 19h06VIDÉO - La candidate du FN écarte l'idée d'une sortie de la monnaie unique, mais prône une renégociation des traités européens.
C'est un virage important dans la campagne de Marine Le Pen: la sortie de l'euro n'existe plus dans sa profession de foi, publiée vendredi. Cette question faisait rage au sein du Front national depuis les élections régionales de 2015. Finalement, le camp des «marionistes» l'a emporté sur celui des «philippotistes». Et Marine Le Pen s'est résignée à mettre en sourdine l'une des mesures les plus clivantes de son programme présidentiel.
Après les défaites des régionales, nombre de frontistes, tels Louis Aliot, Nicolas Bay, Philippe Olivier, Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen, avaient réclamé une réflexion urgente sur le sujet. Ils n'avaient pas compris comment un parti capable d'atteindre des scores de 45 % au premier tour d'un scrutin, pressenti pour décrocher six régions métropolitaines sur douze, pouvait se retrouver le bec dans l'eau au second tour. Très vite, ils ont estimé que des électeurs atteignables s'étaient enfuis. Leurs regards se sont alors tournés vers l'électorat de droite.
Pendant la campagne des régionales, «depuis le terrain», comme l'avait expliqué Aliot, les interrogations étaient remontées en masse. Ces électeurs de droite tant convoités avaient exprimé de vives réticences face à la sortie de l'euro.
Attentive, tout en protégeant son vice-président Florian Philippot, partisan d'une sortie franche, Marine Le Pen avait persisté à croire que ce projet de récupération de la souveraineté monétaire pouvait s'imposer dans la tête d'un électorat réticent. Sa contradiction tactique était de continuer à défendre cette idée tout en reconnaissant que le débat national sur cette question n'avait «jamais eu lieu». Sans débat sur le sujet, comment pouvait-elle espérer que les électeurs de droite, effrayés par son projet européen, pouvaient se rapprocher d'elle?
«Cette question européenne est anxiogène», juge Robert Ménard, le maire de Béziers, proche du Front national. Lui, n'a «pas cessé» d'essayer d'ouvrir les yeux de Marine Le Pen sur cette question. Il est convaincu qu'en abandonnant des propositions rejetées par plus de 70 % des Français, la candidate peut élargir son électorat. Selon lui, beaucoup d'élus de droite sont prêts à la rejoindre sur tous les autres sujets, de l'école à la sécurité, mais pas sur l'euro. Ménard cite souvent la diversité de son conseil municipal en exemple. Sur trente-sept élus, on y compte des FN, LR, DLF, CNIP, RPF mais aussi des villieristes et des sans-étiquette. «C'est exactement ce qu'il faut faire pour la France!», assure-t-il.
Vendredi, quand le maire de Béziers a découvert qu'elle avait réalisé un tel «virage» sur l'euro, il a réagi avec enthousiasme. «C'est une très bonne nouvelle, a-t-il confié au Figaro, cela prouve qu'elle a enfin compris. Si l'on veut gagner une élection, il faut rassembler et rassembler d'abord dans son propre camp. Pour le FN, c'est la droite.»
Dans sa profession de foi du second tour, au chapitre «restaurer la démocratie, rendre la parole au peuple», Marine Le Pen prend soin de ne faire aucune allusion à l'euro. Elle évoque simplement l'idée de renégocier les «traités européens pour retrouver notre souveraineté et bâtir une Europe des nations». Elle mise sur ce coup de canif pour déclencher un électrochoc à droite. À dix jours du premier tour, elle est prête à toutes les inflexions pour décrocher l'Élysée. Dans une interview accordée vendredi à Ouest France, elle a annoncé qu'elle pourrait dévoiler le nom de son premier ministre lundi à Villepinte, à l'occasion de son dernier meeting de campagne.
Le Figaro
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Marion Maréchal-Le Pen sur BFMTV
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Insulté par Gilles Lellouche, Mathieu Kassovitz et Benjamin Biolay, Nicolas Dupont-Aignan porte plainte
NdB: Il faut lire les tweets ignobles qu'il a reçus de de ces trois personnages !
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Pas si beau que ça...
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Macron veut des sanctions contre la Pologne et la Hongrie pour « non-respect des valeurs de l’UE »
16h43Dans une interview accordée à la presse régionale, Emmanuel Macron tape du poing sur la table. La Pologne devra être sanctionnée pour sa politique de dumping social et le non-respect des valeurs de l’Union européenne.
Emmanuel Macron souhaite aussi que le cas de la Pologne soit examiné « dans son intégralité ». « Je veux que sur le non-respect des droits et des valeurs de l’Union européenne, des sanctions soient prises. Les traités le prévoient. On ne peut pas avoir une Europe qui débat de la décimale après la virgule et qui, lorsque vous avez un pays membre qui se comporte comme la Pologne ou la Hongrie, sur des sujets liés à l’université, aux réfugiés, à nos valeurs fondamentales, on décide de ne rien faire. »
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Rien ne va plus entre les médias russes et Emmanuel Macron
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Jacques de Guillebon: "Face au candidat de la post-humanité, il est logique de soutenir Marine Le Pen"
Jacques de Guillebon : "Face au candidat de la... par bvoltaire -
Laurent Jacobelli (Debout La France): «On ne peut pas laisser le pays entre les mains d'Emmanuel Macron»
INTERVIEW - Le secrétaire général adjoint de Debout La France et porte-parole de Nicolas Dupont-Aignan était présent lors de la présentation à la presse de l'alliance entre le président de DLF et Marine Le Pen. Il explique ce choix.
Propos recueillis par Emmanuel Galiero
LE FIGARO. - Quel impact attendez-vous après cette alliance de second tour?
Laurent JACOBELLI. - C'est un moment historique. Aujourd'hui, des patriotes aux parcours, programmes et personnalités différents se réunissent face à un enjeu. Ils partagent un même combat pour la France. Quand on est gaulliste, comme le sont Nicolas Dupont-Aignan et Debout La France, on a toujours ce sentiment de devoir aider notre pays. La France va très mal. Nous ne pouvions par regarder le train passer. Rester simplement spectateur de ce qui se passe aurait été une forme de non assistance à France en danger.
Cet accord est scellé aussi contre Emmanuel Macron. Pourquoi?
Ce combat nous voulons le mener face à quelqu'un qui va défendre toujours plus de délocalisations, donc toujours plus de chômage. Nous nous opposons à quelqu'un qui affirme qu'il n'y a pas de culture française et qui, inféodé à Mme Merkel, voudra toujours plus de mouvements migratoires. On ne peut laisser le pays entre ses mains. Il faut réagir. Nicolas Dupont-Aignan et Marine Le Pen ont eu l'intelligence de discuter.
Comment Nicolas Dupont-Aignan appréhende-t-il cette éventuelle fonction de Premier ministre qu'il a réclamée?
C'est un honneur et un double devoir. Le devoir de travailler aux côtés de la future présidente à redresser la France et le devoir qu'au gouvernement, la pluralité des patriotismes soit représentée. Nicolas Dupont-Aignan est l'image de cette ouverture qui existe aujourd'hui avec Marine Le Pen. Il en sera le représentant et le garant.
» Marine Le Pen parie sur le ralliement du «peuple de droite»
Il y a toujours eu un mur entre la majorité des partis politiques et le Front national. Quelles ont été les réactions au sein de votre parti?
Notre parti est très démocratique. Nous avons eu quinze heures de débat, de discussions et d'interrogations avec l'ensemble des membres de notre conseil national. Aujourd'hui, à quelques exceptions près - deux ou trois voix dissonantes - Nicolas Dupont-Aignan est soutenu très largement. Le parti a confiance en lui. Il sait qu'il est un démocrate et que jamais il ne trahira nos valeurs.
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Louis Aliot invité de Jean-Jacques Bourdin
http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/louis-aliot-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-939077.html
Louis Aliot remet les pendules à l'heure !
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Présidentielle 2ème tour - Nicolas Dupont-Aignan explique son ralliement à Marine Le Pen
Excellente vidéo
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Conférence de presse commune de Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan
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Conférence de presse commune de Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan (29.04.2017)
https://www.facebook.com/MarineLePen/videos/1733078106708506/
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Dupont-Aignan se rallie à Marine Le Pen
Par Tristan Quinault-Maupoil
Publié le 28/04/2017 à 22h02Le leader de Debout la France a annoncé, ce vendredi, qu'il participerait à la campagne de la candidate du Front national avec qui il a «signé un accord de gouvernement».
Après plusieurs jours de tergiversations, Nicolas Dupont-Aignan a révélé, vendredi au journal télévisé de France 2, son ralliement à Marine Le Pen. «Ce soir, j'annonce officiellement que je soutiendrai Marine Le Pen, que je ferai même campagne avec elle sur un projet de gouvernement élargi», a lancé le souverainiste qui a obtenu 4,7% des voix dimanche dernier, soit un million de suffrages de plus qu'en 2012.
Les deux responsables politiques s'afficheront ensemble à Paris, samedi à 11 heures. «Nous avons signé un accord de gouvernement avec une évolution de son programme, avec des éclaircissements, des infléchissements et même des ajouts de mon programme présidentielle», a d'ores et déjà précisé Nicolas Dupont-Aignan qui a martelé que «Madame Le Pen n'est pas d'extrême droite». Et de viser Emmanuel Macron: «Je ne veux pas donner la France à la Bourse de Paris.»
Le risque d'«être satellisé et marginalisé»
Le député-maire de Yerres a toutefois indiqué qu'aucun accord électoral n'avait été conclu pour les élections législatives de juin: «Mon parti, Debout la France, aura des candidats partout. Les Français auront le choix. Il y aura des candidats DLF face à des candidats FN. Les Français conserveront le choix entre deux patriotismes, comme ils l'ont eu au premier tour de la présidentielle .»
Depuis plusieurs jours, les discussions sont houleuses entre l'ancien candidat à l'élection présidentielle et les cadres de son parti. Réuni lundi, le bureau politique de Debout La France a été incapable de se départager. Lors du conseil national, consulté vendredi pendant quatre heures trente, des proches du député l'ont mis en garde contre le risque de voir DLF «être satellisé et marginalisé». Mais en fin d'après-midi, Nicolas Dupont Aignan a discrètement retrouvé Marine Le Pen et Florian Philippot dans un appartement du 17e arrondissement de Paris. Là, il a acté son ralliement malgré l'absence de consensus de son mouvement. Au même moment, Marine Le Pen annonçait à Ouest France qu'elle donnerait probablement lundi, lors de son meeting à Villepinte, le nom du premier ministre qu'elle aimerait nommer en cas de victoire. Il y a plusieurs semaines, elle avait précisé que celui-ci pourrait ne pas être issu des rangs du FN.
Un scénario qui n'a pas convaincu tous les cadres de Debout la France. Aussitôt l'interview de Nicolas Dupont-Aignan terminée, plusieurs d'entre eux ont claqué la porte du parti. Parmi eux, Dominique Jamet, le vice-président de DLF ou encore le responsable du projet, Eric Anceau. «Je renonce ce jour à toutes mes fonctions au sein de DLF», a annoncé ce dernier sur Twitter.
Le Figaro