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marchant le long des houx. Il a peur des abeilles et bouge ses oreilles. Il va près des fossés d'un petit pas cassé. Il réfléchit toujours ses yeux sont de velours. Il reste à l'étable fatigué, misérable. Il a tant travaillé que ça vous fait pitié. L'âne n'a pas eu d'orge car le maître est trop pauvre. Il a sucé la corde puis a dormi dans l'ombre. Il est l'âne si doux marchant le long des houx.... |
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Le départ du général-major Errol R. Schwartz aura lieu au milieu de la cérémonie présidentielle — classée «événement national exceptionnel» au point de vue de la sécurité — alors que des milliers de ses hommes seront déployés afin de protéger la capitale durant une investiture à la planification de laquelle il a contribué depuis des mois.
«Le timing est extrêmement inhabituel», a déclaré Schwartz dans une interview vendredi matin, confirmant un mémo annonçant son limogeage obtenu par le Washington Post. Pendant l’investiture, Schwartz doit commander non seulement la Garde nationale mais également 5000 troupiers sans armes arrivés en renfort de tout le pays. Il doit également superviser le soutien de l’armée de l’air protégeant Washington durant l’investiture.
«Mes troupes seront dans la rue», a dit Schwartz, qui a 65 ans depuis octobre. «Je les verrai sortir, mais je ne pourrai pas les accueillir à leur retour en caserne.» Il a déclaré qu’il «n’aurait jamais envisagé d’abandonner une mission au cœur de la bataille».
Le couple avait appelé les pompiers mercredi, mais ceux-ci n’avaient pu que constater le décès de l’enfant dans l’appartement familial, à Saint-Herblain.
Depuis plusieurs mois, l’enfant aurait, « de manière régulière, fait l’objet de sévices très appuyés, de coups, et à certaines occasions était entravé par des liens », a-t-on indiqué de même source. Mercredi, le jour du drame, l’enfant, David, aurait été de nouveau puni et frappé avec un objet non identifié à son retour de l’école avant de devoir supporter « la punition de la baignoire », remplie d’eau froide. Il aurait été entravé aux chevilles et aux poignets avec des liens qui ont ensuite été retrouvés dans l’appartement.
(…)
Né en Côte d’Ivoire et élevé par sa grand-mère, David avait rejoint sa mère en France fin août dernier. Âgée de 26 ans, celle-ci était venue en France en 2008 pour poursuivre des études de droit. Elle était actuellement femme au foyer. Âgé de 31 ans, son compagnon travaillait comme ouvrier au moment des faits. Le couple était sans antécédent judiciaire. Tous deux ont été interpellés et placés en garde à vue mercredi, après la découverte du corps de l’enfant. »
Merci à oxoxo
Chris Cox qui fait partie des « Bikers pro Donald Trump » a prévenu que son groupe de motards aiderait si des manifestants devaient perturber le jour de l’intronisation présidentielle.
Ce groupe de motards dirigé par un bûcheron artiste de la tronçonneuse venu de Caroline du Sud se rendra dans la capitale Washington DC le jour de l’investiture du 45 ème président des Etats-Unis.
Les bikers seront en première ligne face aux protestataires anti Trump qui ont décidé de venir également ce jour-là pour manifester leur mécontentement.
« Les bikers seront très certainement en sous-nombre par rapport aux manifestants mais nous sommes prêts à former un « Wall of meat » ( ndlr : un mur de viande de protection ) a déclaré Chris Cox à Fox Business.
Cox a rassuré en citant l’exemple passé de Cleveland où la police avait su contenir les pro et les anti Trump à distance.
« Nous prévoyons un jour de célébration sans incident. Nous avons un code de conduite et ne tolérons pas la violence. Mais, si cela devait devenir houleux, alors là vous pouvez toujours compter sur l’organisation des Bikers pour Trump » a-t-il précisé.
Cox dit que lui et les autres membres du groupe soutiennent Trump car il n’est pas un politicien issu de l’Establishment mais également ils apprécient son franc-parler pour les problèmes les concernant eux particulièrement.
Les bikers recherchaient désespérément une personne qui allait se lever vent debout et nommer un chat un chat. Cox s’est expliqué : « L’islam radical est un point primordial chez le groupe des Bikers pour Trump. L’immigration illégale concerne tout vétéran américain. Nous pensons que tout le monde doit comprendre la valeur du sacrifice de nos militaires et c’est pour ça que nous sommes là pour eux. Nous devons faire changer ces attitudes désormais. »
Selon Cox, le rassemblement des motards au Park John Marshall commencera juste au moment où Donald Trump quittera la scène pour se rendre vers le Capitole. Et finira peu avant la parade prévue sur Pennsylvania Avenue.
Traduction FDS de Fox Business
En visite dans le Nord de la France, l’ancien ministre de l’économie est accusé de « mépriser » les habitants du bassin minier.
« Il doit s’excuser et vite ». Emmanuel Macron, en visite dans le Nord, s’est attiré les foudres de nombreux politiques pour avoir affirmé selon L’Avenir de l’Arthois que « l’alcoolisme et le tabagisme se sont peu à peu installés dans le bassin minier ».
« Il faut traiter cela en urgence afin de rendre le quotidien de ces personnes meilleur », indiquait le candidat « En Marche » à l’occasion d’une visite à Nœux-les-Mines. Très vite, ses adversaires politiques se sont engouffrés dans la brèche pour instruire un procès en « mépris » à l’ancien locataire de Bercy.
« Avec sa morgue de banquier parisien, Macron insulte toute la population du bassin minier ! », s’est emporté sur Twitter Steeve Briois, maire Front national de Hénin-Beaumont, où Emmanuel Macron s’est aussi rendu vendredi. « Terrible mépris social chez Macron. Le vernis craque très vite », a renchéri le numéro 2 du parti de Marine Le Pen, Florian Philippot. (…)
Une situation qui n’empêche pourtant pas Steeve Briois de dénoncer « l’abject mépris de classe d’Emmanuel Macron ». Dans un communiqué, il estime que le candidat « humilie encore une fois les classes populaires et les habitants de notre région, en relayant des clichés dignes de l’ignoble banderole déployée il y a une dizaine d’années ».
Alors qu’il doit tenir ce samedi un meeting à Lille, Emmanuel Macron fait l’objet de nombreuses critiques sur sa tournée nordiste. Hier, le Front national dénonçait le « safari » du candidat à la présidentielle, accusé de vouloir repartir du Nord « avec de belles photos ».
Chartres : un enseignant mis en examen pour agression sexuelle sur l'un de ses élèves
NDF
BREIZATAO – ETREBROADEL (10/01/2017) Un syndicat étudiant de la prestigieuse université de Londres a formellement demandé le retrait du cursus de l’étude de philosophes comme Platon, Descartes ou Kant. Motif ? Ils sont Blancs.
The Telegraph (source) :
Le syndicat actif au sein de l’Ecole des Etudes Orientales et Africaines affiliée à l’université évoque la nécessité d’intégrer dans les cours de philosophie « une majorité de philosophes » originaires d’Afrique ou d’Asie. L’organisation syndicale a indiqué que cette demande participait d’une campagne plus large pour « décoloniser » l’université britannique car il recherche à « confronter l’héritage structurel et épistémologique de l’héritage colonialiste ».
L’article poursuit :
L’organisation étudiante de l’école a encore affirmé que « décoloniser l’université » et « combattre l’institution blanche » qu’elle représente était une de ses « priorités pour l’année universitaire en cours. Le syndicat a enfin ajouté que les « philosophes blancs » ne devaient être étudiés « que si nécessaire », ajoutant que leurs travaux devrait être seulement enseigné d’un « point de vue critique ».
En somme, enseigner la culture occidentale dans l’université anglaise – en attendant celle d’autres pays – est devenu une forme de « colonialisme » selon les masses allogènes qui, précisément, colonisent l’Europe.
Ces demandes participent de plus en plus clairement d’une volonté politique assumée de la part d’organisations ethno-communautaires immigrées – notamment islamiques – d’instituer un racisme anti-blanc officiel dans tous les pays occidentaux.
En frappant l’université, ces organisations allogènes entendent embrigader ou soumettre les futures élites de ce pays.
Jean-Lin Lacapelle, 49 ans, secrétaire FN aux fédérations, vient de boucler un Tour de France de 96 départements. Son physique d’acteur de cinéma et son surnom de « nettoyeur » en font une forte personnalité dont on attend parfois la visite avec inquiétude. Sa mission : professionnaliser le mouvement de Marine Le Pen et en faire un parti prêt à l’exercice du pouvoir qui est toujours beaucoup plus difficile que sa conquête.
— Vous êtes un ancien haut cadre de L’Oréal. Comment passe-t-on du n° 1 de la beauté à la bête immonde ?
— Je suis en effet un ancien cadre de L’Oréal mais je suis avant tout un militant de toujours du Front national et de la cause nationale. Je suis arrivé en 1984 au FN. J’ai occupé différentes fonctions. J’ai été conseiller régional de 1998 à 2010 dans le Centre, candidat une vingtaine de fois à différentes élections. Je me considère avant tout comme un militant patriote avant d’être un cadre d’entreprise privée. Maintenant il est vrai que cette double expérience, à la fois politique et à la fois professionnelle dans le privé, a laissé penser à Marine Le Pen que je pouvais peut-être apporter une valeur ajoutée dans la mission qu’elle m’a confiée, celle du secrétariat national aux fédérations au sein de l’appareil du Front national et celle de responsable de la mobilisation militante dans le cadre de son équipe de campagne.
— Quel était le but de votre Tour de France des fédérations FN ?
— Lorsque Marine Le Pen nous a hissés à la hauteur du premier parti de France en recueillant 30 % des suffrages aux dernières régionales, elle a exprimé clairement l’objectif de professionnaliser le mouvement. Ça ne veut pas dire casser le mouvement ni le changer bien évidemment, mais améliorer le fonctionnement du Front national et hausser notre niveau d’exigence. Cela signifie aussi renouveler un certain nombre de cadres sans les écarter, je tiens à cette précision. Si nous sommes contre le cumul des mandats, nous sommes aussi contre le cumul des responsabilités et il est bon de mettre un peu de sang neuf dans les rouages.
— Vous dites que l’on ne peut plus diriger le Front national comme il y a 15 ans. Concrètement, comment procédez-vous pour améliorer l’appareil frontiste ?
— Très rapidement, au fil de mes déplacements, je me suis rendu compte qu’il y avait un besoin d’écoute et de proximité entre le siège et les fédérations et il m’a paru nécessaire et important de faire le tour des départements. J’en suis à 85 fédérations visitées sur 96. Sous la forme de conférences de presse, réunions de bureaux qui me donnent l’occasion de rencontrer personnellement les cadres, les élus et les candidats et moments de convivialité lors d’un dîner, car c’est important aussi d’allier l’utile à l’agréable.
Les choses avancent très vite. Je me suis fixé quatre objectifs. Premièrement : les bonnes personnes aux bons postes. Il faut avoir les bons secrétaires départementaux. Avec le secrétaire général Nicolas Bay, nous avons proposé au Bureau politique 35 nouveaux secrétaires départementaux qui ont été nommés depuis. C’est un gros renouvellement. Secondement : les bonnes structures. Il est important que chaque secrétaire départemental ait une équipe étoffée autour de lui. Plus on a de talents, plus on a de compétences, plus on est efficace. L’objectif était aussi de professionnaliser les structures fédérales. Troisièmement : les bons outils. Etre actifs sur les réseaux sociaux, avoir une permanence. Pour l’image du Front national, nous avons souhaité moderniser nos structures et faire en sorte que chaque département ait sa permanence. Nous avons ouvert des permanences dans des départements qui n’en avaient jamais eu. La Charente par exemple, l’Ain, la Meuse.
Le quatrième point enfin et pas le moindre, ce sont les bons candidats. Cela veut dire hausser notre niveau d’exigence sur le choix des pré-investitures pour les élections législatives. Nous partons du postulat que Marine Le Pen sera élue présidente de la République et qu’il y aura un raz de marée bleu marine à l’Assemblée nationale. Il lui faut donc un groupe constitué de députés capables de défendre son projet politique. Nous sommes d’autant plus exigeants dans le choix et la désignation de nos candidats et dans le niveau de qualité requis.
— En allant à la rencontre de ces nombreux Français, quelle préoccupation ou quelle inquiétude vous ont paru les concerner en priorité ?
— La France est à genoux. On sent les Français extrêmement inquiets. Mais on les sent lucides. Je ressens pour la première fois une fenêtre de tir historique dans la candidature de Marine Le Pen. Elle est la seule capable d’apporter une lueur d’espoir, un projet politique clivant et rupturiste, le seul projet sur le territoire du patriotisme. Quand on voit les exemples du Brexit, des référendums en Italie, en Hongrie, de l’élection en Autriche qui aurait dû être gagnée s’il n’y avait pas eu de fraude lors du premier scrutin, mais aussi de l’élection de Trump aux Etats-Unis, on sent qu’il se prépare un printemps des patriotes en France. Le clivage droite-gauche est depuis longtemps pour moi révolu, je fais partie de cette école-là. Je crois que tout va se jouer maintenant sur la candidature de Marine Le Pen candidate des Français, candidate du peuple et des patriotes français. Face aux candidats du système, à ceux qui ne veulent pas changer l’Union européenne et veulent poursuivre la politique catastrophique qui nous a menés là où nous sommes.
— Notre famille d’idées reproche à Marine Le Pen une gauchisation de ses idées. N’est-ce pas plutôt son électorat qui se modifie, avec l’arrivée d’anciens électeurs de gauche séduits par les idées qu’elle défend ? Comme 30 % des fonctionnaires par exemple qui disent avoir une bonne opinion d’elle.
— Pour la première fois, nous concourons pour gagner. Marine Le Pen doit recueillir 50 % et une voix pour gagner au second tour. Ça veut dire qu’elle ne doit pas être la candidate exclusive du Front national. Elle est au-dessus des partis. Elle est soutenue par le Front national mais elle est la candidate du rassemblement national, du rassemblement patriote et comme elle l’a elle-même formulé, la candidate du rassemblement présidentiel. C’est ce qu’elle incarne aujourd’hui. Si nous voulons gagner l’élection présidentielle au scrutin majoritaire et conquérir les plus hautes fonctions de l’Etat, nous devons rassembler la majorité des Français et sortir des clivages. Marine a cette capacité d’ouverture et de rassemblement.
propos recueillis par Caroline Parmentier
Entretien paru dans Présent daté du 14 janvier 2017
« Tintin est complètement idiot et Hergé raciste »
Marie-Anne Soubré, avocate, participait à l’émission « Les Grandes Gueules » ce 13 janvier 2017 sur RMC, au cours de laquelle a été évoquée la colorisation de l’album Tintin au pays des Soviets.
NDF
Ndb: Marie-Anne Soubré est un lieu commun à elle toute seule..
Grammaire : le COD tire sa révérence
Détruire la langue française à partir de l'école, en faire peu à peu une langue morte. Voilà l'objectif des "remplaceurs"!
Jean Bonnevey ♦
En revanche l’arrivée de Donald Trump ne cesse d’être diabolisée. C’est Lucifer à la maison blanche. Tout est fait pour gâcher son intronisation en le présentant comme un dépravé tenu par la Russie.
Il n’y a bien sûr aucune preuve mais les médias ne parlent que de ça pour polluer la première conférence de presse du président élu. Les chefs du renseignement américain ont informé Donald Trump la semaine dernière de l’existence d’informations compromettantes qui auraient été recueillies pendant des années par la Russie sur le milliardaire républicain, et rassemblées dans des notes confidentielles circulant à Washington.
La chaîne CNN et d’autres médias ont rapporté l’existence d’un document de 35 pages, composé d’une série de notes datées de juin à décembre 2016 et rédigées par un ancien agent du contre-espionnage britannique, jugé crédible par le renseignement américain, pour le compte d’opposants politiques à Donald Trump. Cela devrait suffire à discréditer la note mais non. Selon ces médias, dont CNN et le New York Times, les chefs du renseignement américain ont présenté au président élu un résumé de deux pages de ces 35 pages, en même temps qu’ils lui détaillaient leur rapport, partiellement déclassifié vendredi, récapitulant l’ensemble des opérations russes de piratage informatique et de désinformation aux États-Unis. Le fait que ce résumé ait été présenté à Donald Trump, Barack Obama et plusieurs responsables du Congrès souligne l’importance accordée à ces documents par les chefs espions.
«Fausses informations – une chasse aux sorcières totale!» a réagi le président élu des États-Unis sur twitter, écrivant la totalité de son message en lettres capitales. Comme cela tombe bien en effet- rumeur de sexe tape etc.-pour conforter une image qui est celle du mâle blanc sans morale. Il faut prouver aussi que Trump est aux mains de Poutine qui peut le faire chanter. Plus c’est gros plus ça passe.
Et pendant qu’on apprend de belles sur le gros dégoûtant milliardaire, Obama, magnifique, essuie une larme. Barack Obama a sorti son mouchoir mardi soir dans son discours d’adieu à Chicago quand il a évoqué sa femme Michelle, sa « meilleure amie » devenue First Lady « avec grâce », sa fille aînée Malia essuyant elle aussi quelques larmes.
Il y a cependant un petit problème. La grande absente était sa fille cadette, Sasha, 15 ans, qui n’est pas venue assister au dernier discours de son père en tant que président et a manqué récemment plusieurs sorties publiques de la famille.
Tout n’est peut être pas si parfait au paradis… mais l’essentiel , c’est de dépeindre Lucifer le maître des enfers et du vice qui va remplacer le messie multiracial.
METAMAG
[Magdi Cristiano Allam est un journaliste italien d'origine égyptienne. Musulman converti au christianisme, il vit en permanence sous la protection de la police.]
En premier lieu, il est essentiel d’identifier la nature de la menace, à savoir qu’il s’agit du terrorisme islamique. Car il est trompeur de parler de terrorisme international ou de djihadisme en sous-entendant que cela n’a rien à voir avec l’islam. C’est ainsi qu’on conforte la thèse selon laquelle les terroristes sont mauvais tandis que l’islam est bon.
Nous ne vaincrons pas le terrorisme islamique tant que les gens n’auront pas l’honnêteté intellectuelle et le courage humain de dire que c’est précisément l’islam qui est la racine du mal, car ce sont les terroristes islamiques qui, plus que les autres, respectent à la lettre et complètement ce qu’Allah a prescrit dans le Coran ainsi que ce que Mahomet a dit et fait. [...]
[Une autre] faiblesse de la stratégie du gouvernement [italien], c’est qu’elle se concentre sur les moyens et ignore l’objectif. Le terrorisme n’est qu’un moyen, l’objectif est l’islamisation de la société. Les terroristes islamiques veulent atteindre ce but par la violence, tandis que d’autres groupes islamiques plus rusés comme les Frères musulmans, les wahhabites, les salafistes et de façon générale les musulmans modérés qui contrôlent les mosquées poursuivent le même objectif de nous soumettre à l’islam en s’appuyant sur notre peur de l’islam.
À cause des terroristes islamiques qui coupent les têtes, nous faisons alliance avec des terroristes islamiques "qui coupent les langues" – avec ceux qui nous ont obligés à donner à l’islam une légitimité sans tenir compte de la violence qu’il contient. Si nous nous mettions à la place des musulmans soi-disant modérés, nous comprendrions qu’ils ont un grand intérêt à coopérer avec les autorités pour trouver et faire arrêter les terroristes islamiques. Car plus on arrête de terroristes, plus s’accroît la peur parmi les gens, plus nous plaçons notre confiance dans ceux qui veulent nous islamiser « pacifiquement » et nous facilitons ainsi leur succès. Le gouvernement ne doit pas se contenter d’empêcher les attentats islamiques. Il doit avant toute chose empêcher que nos enfants soient un jour soumis à l’islam.
(Traduction Fdesouche)
(merci à Dirk)
Mardi dernier 10 janvier a eu lieu la bénédiction du nouvel avortoir du Planning familial américain à Washington par une « vingtaine de dirigeants religieux ».
Non, ce n’est pas un canular. C’est raconté par le site DCist, qui donne un grand reportage et des photos, et par le Huffington Post, qui donne même une vidéo. J’ai vérifié tous les noms et tous les titres, et tout est, hélas, exact. Du reste la page Facebook du Planning familial de Washington renvoie à l’article du Huffington Post.
« Dans presque tous les messages que j’adresse à notre personnel, je parle de notre travail sacré », dit Laura Meyers, présidente et directrice du Planning familial de Washington. « Cette bénédiction confirme le caractère sacré de notre travail. »
D’où le sous-titre de l’article du Huffington Post (en rubrique « religion ») : « Parce que ceci est aussi un espace sacré ».
A l’entrée il y avait la troupe de percussion féminine Batala. L’une d’elles a déclaré qu’elles avaient décidé de participer à cet événement « parce que beaucoup d’entre nous ont bénéficié du Planning familial ».
Les « dirigeants religieux » se sont réunis au premier étage pour un « cercle de prière » mené par le rabbin Michael Nemath, directeur du « Centre d’action religieuse du judaïsme de réforme ». Puis chacun y est allé de son allocution et de son rite. On croit comprendre que parmi la vingtaine de « dirigeants religieux » il y avait des « pourvoyeurs d’avortement » (évidemment, si c’est sacré…), une « patiente du Planning familial »… Quant à Kendall Wilson-Flippin, qui a exécuté une « danse liturgique », c’est un prof de danse fitness…
La cérémonie avait été organisée par la « Coalition religieuse pour le choix reproductif », nommément par les révérends Christine et Dennis Wiley de l’Eglise unie baptiste du Christ. Pour eux comme pour beaucoup d’intervenants, « c’est leur foi religieuse qui est précisément la raison pour laquelle ils sont solidaires du Planning familial ».
Le rabbin Namath a souligné que selon la tradition juive, prendre des décisions saines à propos de son corps est une façon d’honorer Dieu. Et il a prié : « Dieu, que ton esprit repose sur ces soignants qui servent d’instruments de tes mains. » Sic.
Daayiee Abdullah, le premier imam ouvertement homosexuel d’Amérique, se trouvait en Thaïlande mais a participé à la cérémonie via Skype.
Deux prêtres hindous ont chanté un mantra qui donne « de bonnes vibrations » au bâtiment, puis ils ont aspergé d’« eau bénite » le rez-de-chaussée parce que « quand nous chantons des mantras les vibrations traversent l’eau », ce qui laisse l’énergie négative derrière…
Pour clore la cérémonie, chacun a écrit sur une pierre ce dont il voulait se débarrasser, et a jeté la pierre dans une jarre d’eau, la remplaçant par une pierre où était inscrit un mot de bénédiction…
Serina Floyd, directrice médicale du Planning familial, a déclaré : « Les patientes expriment leur honte, leur culpabilité ou leur crainte quant à la façon dont Dieu les percevra. Mais avorter ne vous rend pas antipathique aux yeux de Dieu. Maintenant, je peux dire aux patientes que c'est un espace béni. »
Une consolation : les articles n'évoquent pas la présence d'un prêtre catholique...
Le blog d'Yves Daoudal
Excellent!
13 janvier 2017 par Pierrot - Contre-info.com
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé vendredi vouloir une mise en détention systématique des migrants arrivant dans le pays. « Le gouvernement a décidé de rétablir la détention des étrangers par la police », a indiqué le dirigeant conservateur lors d’une allocution à la radio nationale, sans fournir davantage de détails. Une mise en détention systématique irait « ouvertement contre l’UE », a reconnu M. Orban. Mais « nous devons protéger notre souveraineté », a-t-il assuré, soulignant vouloir mener des « batailles importantes » contre Bruxelles cette année.
Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com/hongrie-viktor-orban-veut-une-mise-en-detention-systematique-des-migrants |
Par François-Xavier Bourmaud
Mis à jour le 13/01/2017 à 19h49
REPORTAGE
Envoyé spécial à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais)
Les yeux du barman s'arrondissent. La surprise n'est pas feinte. «Macron ici ?! Il a des couilles, quand même. Qu'est-ce qu'il vient faire?» Ici, c'est Hénin-Beaumont, ville ouvrière symbole de l'implantation électorale du Front national sur les terres dévastées de la gauche. Emmanuel Macron est venu remettre des médailles du travail à des salariés de Metro, un grossiste alimentaire réservé aux professionnels de la restauration.
Cela fait un moment déjà que les socialistes ne sont plus les bienvenus sur ces terres du Nord. Alors un candidat réputé social-libéral, énarque, ancien banquier d'affaires… Cela flaire un peu la provocation, comme un défi lancé à ses anciens camarades du PS qui ont vécu l'humiliation dans ces Hauts-de-France aux dernières élections régionales. Forcés de se retirer au second tour pour faire barrage à Marine Le Pen et l'empêcher d'y remporter une victoire symbolique. Un défi au Front national aussi, provoqué au cœur de son bastion le plus fort. Ce n'est pas seulement ça. Vendredi à Hénin-Beaumont, il s'agissait surtout de calcul électoral.
Les équipes d'Emmanuel Macron ont observé que, lors du dernier scrutin des régionales, les artisans et les petits commerçants ont pour la première fois plus voté pour le FN que pour la droite. Pas pour des questions liées aux thèmes traditionnels de l'extrême droite, tels que l'immigration ou l'islam, mais en raison de la lourdeur des procédures administratives ou du poids trop important des charges. C'est cet électorat qu'Emmanuel Macron veut ramener à lui. C'est le sens de sa visite vendredi chez le grossiste Metro.
En l'attendant, des restaurateurs et commerçants terminent leur réapprovisionnement. Dans leurs établissements, ils sont au contact quotidien de la population, à la fois thermomètre de l'humeur ambiante mais aussi prescripteurs. L'un d'entre eux le rappelle: «C'était à gauche avant ici. Mais ils sont tous partis. Marine n'a eu qu'à ramasser.» Il en faudrait peu pour que cet électorat revienne à son vote historique. Et il regarde Emmanuel Macron avec curiosité. «Au moins lui, il est jeune. Ça fait un peu avenir. Des gars comme Fillon, ils sont là depuis combien de temps? Trente ans?», s'interroge un commerçant. Il ne savait pas qu'Emmanuel Macron venait dans le magasin. Mais il décide de rester l'écouter, «pour voir».
En revanche, pas question pour Emmanuel Macron de se frotter directement à l'électeur de base en déambulant dans la ville. La météo ne s'y prêtait pas. Pas plus que la configuration d'Hénin-Beaumont, dénué de centre-ville commerçant à arpenter. D'ailleurs, du côté de l'extrême droite locale, on s'est efforcé de minimiser la portée de la visite du leader d'En Marche! en la renvoyant à celles d'autres adversaires du FN. «Macron veut refaire les matchs perdus de Mélenchon et Valls. Cela ne leur a pas porté chance. Jamais deux sans trois», évacue le maire d'Hénin-Beaumont, Steeve Briois.
Face à Emmanuel Macron, les frontistes avaient décidé de jouer la carte de l'indifférence. Sans nier l'agitation créée localement par la visite de l'ancien ministre de l'Économie, le FN en minimise toutefois la portée et assure que ce déplacement a été organisé via les «relations parisiennes» du visiteur. «Macron fuit les Français. Il organise des réunions dans des entreprises bien sélectionnées où il ne peut pas être en confrontation avec les gens qui ont subi sa politique. Mais il ne peut pas faire semblant d'oublier qu'il a été l'un des principaux ministres de François Hollande», s'agace Briois. Des attaques auxquelles Macron répond dès son arrivée dans le supermarché. «Je respecte celles et ceux qui ont pu voter Front national mais je combattrai jusqu'au bout les idées du FN», lance-t-il.
LE FIGARO