GAELLE MANN - Page 246
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David Rachline rappelle le bilan et le projet du vrai Fillon
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Aurélien, le fils de Carla Bruni, agressé et racketté sur le chemin du collège
Aurélien frappé et racketté
Les mauvaises nouvelles s’enchaînent pour Carla Bruni-Sarkozy. Il y a quelques jours, son époux Nicolas Sarkozy a accusé une défaite lors de la primaire à droite. Les dernières nouvelles ont révélé que son fils Aurélien, âgé de 15 ans, a été frappé et racketté alors qu’il se rendait au collège. Le jeune adolescent né de son ex-compagnon le philosophe Raphaël Enthoven était accompagné de deux camarades de classe. Contre toute attente, des inconnus lui ont barré le chemin, rapporte le magazine Closer repris par Gala.
Une agression qui inquiète Carla Bruni-Sarkozy
Les agresseurs d’Aurélien ont intimé à leur victime de céder son téléphone portable. Le fils de Carla Bruni-Sarkozy a refusé fermement, ce qui a obligé les inconnus à le gifler. Les assaillants s’en sont ensuite pris à ses amis. Aurélien a perdu son téléphone durant l’altercation. Sous le choc, les trois victimes ont finalement réussi à rejoindre leurs familles respectives qui voudraient déposer plainte contre X.
Cette agression est loin de rassurer Carla Bruni-Sarkozy qui fait tout son possible pour protéger l’identité de sa plus jeune fille, Giulia, 5 ans. Cette dernière est le fruit de son union avec l’ancien président Nicolas Sarkozy.
LINFO RE 25/11/16
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Michel Onfray démonte le mythe Fidel Castro
Une excellente vidéo que je vous conseille vivement de voir et d'écouter!
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Thierry Ardisson à Robert Ménard : « T’es une grosse tête de con »
27/11/2016 – FRANCE (NOVOpress) : « Ouais Robert, heu, c’est Thierry Ardisson, ben écoute, je voulais te dire que t’étais une grosse tête de con, quoi, et que ça se fait pas de quitter une émission à laquelle on a accepté d’être invité, on part pas cinq minutes après. Donc je te le redis une fois encore pour que t’aies bien compris : t’es une grosse tête de con. Salut ! » Tel est le message téléphonique que Thierry Ardisson a laissé sur la messagerie de Robert Ménard. Celui-ci avait quitté le plateau de Salut les Terriens, sur C8, après qu’un bouffon avait traité Béziers de « ville de merde » et comparé Robert Ménard à Adolf Hitler ! « Va te faire foutre » avait lancé Ménard à Ardisson, qui essayait de le retenir.
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Avec Fillon, accueil des migrants et pas de frontières nationales !
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Grégor Puppinck : La page Facebook « IVG, vous hésitez » a été fermée sans raison - scandaleux !
Avant même le vote de la loi sur « le délit d’entrave numérique », la page Facebook « IVG, vous hésitez, venez en parler« , sur laquelle on trouvait témoignages et discussions, et qui comptait 40.000 fans, a été brutalement fermée.
Aucune explication n’a été donnée aux initiateurs de cette page, le site www.ivg.net
La veille, la responsable de cette page était auditionnée à l’Assemblée nationale par la députée Catherine Coutelle, militante pro-IVG et rapporteur de la loi visant à réprimer tout discours dissuasif en la matière. Il y avait été question, Grégor Puppinck en a été témoin, du succès de cette page.
Grégor Puppinck s’interroge : est-ce un hasard ?
BV
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Lyon: Marin, tabassé par des racailles pour avoir défendu un couple, est sorti du coma
Marin, étudiant de 20 ans violemment tabassé à coups de béquille le 12 novembre, à Lyon, après avoir défendu un couple qui s'embrassait, vient de sortir du coma, se sont réjouis ce matin ses proches sur sa page Facebook de soutien.
L'état de l'étudiant, hospitalisé et entre la vie et la mort depuis deux semaines, semble s'être subitement amélioré au cours des dernières heures. «Nous vivons au jour le jour et savourons cette avancée miraculeuse», écrivent ses proches, qui rappellent toutefois que ce n'est que le début d'un long processus de récupération. «Les nombreuses lésions observées annoncent une rééducation longue et compliquée».
Son agression, qui a scandalisé de nombreux internautes de la France entière, et son courage, avait même ému jusqu'à l'AS Saint-Etienne, son club de coeur. Une semaine après les faits, l'ASSE avait tweeté plusieurs messages de soutien sous le hashtag #CourageMarin.
Le calvaire de Marin aura également suscité un écho important chez les sympathisants et élus d'extrême-droite, dont Marine Le Pen.
Le Parisien
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Mort de Fidel Castro: la douleur du pape François, une offense aux victimes!
27 novembre 2016
Fidel Castro, qui a été fidèle à l’oppression et à la dictature communiste, est mort.
Dans ce monde où les valeurs sont inversées, où le bien devient mal et le mal est un bien, il a reçu un hommage international mais aussi pontifical. Le dictateur communiste, l’oppresseur des pauvres et de l’Église catholique, le tyran sanguinaire a eu droit aux louanges bergogliennes. Le monde à l’envers et l’envers de la vérité !
Le pape François s’est empressé, à l’annonce du décès, d’écrire une lettre de condoléances où il témoigne de sa douleur à Raoul Castro, le frère de Fidel :
« En apprenant la triste nouvelle de la disparition de votre cher frère, l’excellentissime signor Fidel Alejandro Castro Ruz, ex-président du Conseil d’État et du gouvernement de la République de Cuba, je fais part de mes sentiments de douleur à Votre excellence et aux autres familiers du défunt dignitaire, ainsi qu’au gouvernement et au peuple de la nation bien-aimée. »
Il assure également Raoul Castro de ses prières au Seigneur pour le repos de Fidel et confie tout le peuple cubain à la maternelle intercession de Notre Dame de la Charité de Cobre, patronne du pays.
Bien qu’il faille certainement, pour le Vatican, respecter un protocole diplomatique, la bien-pensance de François dans cette lettre n’a vraiment pas de limites : il en arrive à pleurer la mort d’un tyran communiste sanguinaire ! Attitude publique qui manifeste une adéquation de Jorge Maria Bergoglio avec la pensée unique planétaire qui impose une image idyllique de l’idéologie prolétarienne socialo-marxiste, symbole mensonger de la délivrance des pauvres, qu’elle ne fait pourtant qu’opprimer encore davantage : les cadavres qui jonchent la route des révolutionnaires rouges sont là pour démontrer l’échec des idéaux pseudo-humanistes de l’Internationale socialiste, version cubaine ou soviétique. Cadavres que François, porté par cette illusion d’affranchissement révolutionnaire au profit des plus pauvres, ne voit pas !
Cependant un chœur de voix dissonantes dans ce chorus des bien-pensants, faux philantropes et vrais socialistes, s’est levé : celui des exilés, des fugitifs, du petit peuple catholique, des boat-people cubains, des opposants au dictateur communiste qui ont fêté joyeusement, dans le monde entier, sa mort comme une délivrance !
La mort de Castro n’a pas seulement déchaînée la sempiternel rhétorique de circonstances, les louanges abusives et scandaleuses envers le Lider maximo et la révolution cubaine, les éloges des conformistes à la mémoire courte dominée par le politiquement correct soumis à la propagande gauchiste. Il y a aussi ceux qui se souviennent de ce dont tout le monde est au courant mais qu’on feint d’ignorer : c’était un dictateur terrible, il a opprimé son peuple, il a réprimé dans le sang les révoltes et les oppositions, il a incarcéré les adversaires…
« Mort Fidel Castro, un dictateur en moins. La pitié chrétienne est pour tous. Mais avec tous les morts qu’il avait sur la conscience, je ne pleure pas. Liberté »
a commenté froidement Matteo Salvini chef du parti identitaire italien, La ligue du Nord.
Francesco Storace, autre membre de la droite identitaire et anticommuniste italienne y va aussi de son commentaire lucide :
« Je m’en fiche de la mort d’un assassin comme Fidel Castro. »
« Fidel Castro, est mort. C’était un dictateur et un tyran. Une pensée pour les femmes et les hommes qui ont été contraints à cause de lui et de son régime à la prison, à la mort, à l’exil, « coupables » seulement d’être des dissidents politiques ou religieux »
écrit le député italien des Conservateurs et Réformateurs Daniele Capezzone.
Donald Trump également a rappelé la vérité sur Fidel Castro :
« Aujourd’hui disparaît un dictateur brutal qui a opprimé son peuple pendant presque six décennies. Pendant que Cuba reste une île totalitaire, j’ai l’espoir que la journée d’aujourd’hui soit le début de son éloignement des horreurs supportées trop longtemps et d’un futur dans lequel le magnifique peuple cubain puisse vivre finalement dans la liberté qu’il mérite. Bien que les tragédies, les morts et la douleur causées par Fidel Castro ne peuvent être effacées, notre administration fera tout son possible pour garantir au peuple cubain qu’il puisse finalement commencer son chemin vers la prospérité et la liberté. Je m’unis aux nombreux américano-cubains qui m’ont tellement soutenu pendant ma campagne. »
Ces commentaires lucides qui proclament la vérité brute sur la tyrannie castriste sont aux antipodes « des sentiments de douleur » du pape François dont la tristesse affichée et affirmée apparaît comme une offense et une indifférence envers les victimes de Fidel Castro !
Fidel Castro est mort… et c’est tant mieux pour le peuple cubain, nous le disons haut et fort !
Francesca de Villasmundo
M.P.I. -
"Cuba libre !": scènes de liesse à Miami après la mort de Fidel Castro
Des cris de joie et des slogans "Cuba libre!", "liberté, liberté!", des selfies, des concerts de klaxons et casseroles, des embrassades ont accueilli à Miami, fief des exilés cubains, l'annonce de la mort de Fidel Castro.
"C'est triste de se réjouir de la mort de quelqu'un, mais en fait cette personne n'aurait jamais dû naître", se justifie Pablo Arencibia, un enseignant de 67 ans exilé depuis 20 ans aux Etats-Unis.
"Le diable a de quoi s'inquiéter, Fidel monte le rejoindre et il va certainement essayer de récupérer son boulot", s'amuse-t-il dans le vacarme des manifestations de liesse.
Ces explosions de joie après la mort d'un homme en disent long sur le ressentiment de ces exilés à l'égard d'un régime qui a tenu Cuba d'une main de fer au prix de redoutables privations de liberté.
A Miami, la ville des Etats-Unis où vit le plus grand nombre de Cubains-Américains, l'annonce de la mort à 90 ans du leader s'est répandue comme une traînée de poudre.
Spontanément, ils sont plus d'un millier, de tous âges et parfois presque en pyjamas, à être descendus en pleine nuit dans les rues des quartiers de Little Havana (la Petite Havane) et Hialeah où vivent ces Cubains qui ont fui le régime castriste.
"C'est un grand moment pour la communauté cubaine et je suis avec elle", souligne Debbie, une Américaine née en Floride qui vit dans le quartier de Little Havana.
Avec une amie cubaine, Aymara, elles sont venues au Café Versailles, l'un des principaux lieux de rendez-vous de la communauté cubaine de Miami. Là, pendant des décennies, on avait pris l'habitude des protestations contre la régime cubain ou des discussions interminables sur la politique, le régime castriste et les moyens de contribuer à son affaiblissement. Les célébrations, elles, étaient beaucoup plus rares.
- Optimisme tempéré -
Le slogan "Cuba Libre" scandé dans ces manifestations spontanées est devenu le cri de ralliement de cette communauté qui s'est exilée à Miami après la prise du pouvoir par Fidel Castro en 1959.
Dans les rues de la ville, l'hymne cubain a aussi été entonné vendredi soir, pendant qu'on débouchait des bouteilles de champagne.
Environ deux millions de Cubains vivent aux Etats-Unis et 70% d'entre eux sont installés en Floride (sud-est).
Mais pour beaucoup de ces Cubains, l'optimisme doit cependant être tempéré après la mort de Fidel Castro. "Je ne crois pas que cela va changer quelque chose", soupire Aymara.
"Maintenant au tour de Raul", le frère de Fidel Castro qui lui a succédé il y a dix ans à la tête du pays. "C'était un criminel, un assassin et un homme misérable", estime Hugo Ribas, 78 ans à propos de Fidel. "Toute sa famille est criminelle", ajoute-t-il.
Pour les plus jeunes, ces manifestations de joie sont filmées sur Facebook Live ou Skype. Ainsi, disent-ils, ce moment historique peut être suivi par la famille et les amis qui vivent toujours à Cuba.
"Ceux qui disaient que l'exil est un truc de vieux peuvent voir que c'est un sentiment qui se transmet à travers les générations et que la soif de progrès et d'un Cuba démocratique concerne tous les Cubains", affirme ainsi Pablo Arencibia.
"Cela a duré trop longtemps. Il y a eu trop de douleur et de familles brisées, alors aujourd'hui je suis heureuse", lui fait écho Analia Rodriguez, 23 ans, accompagnée de son fiancé.
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Fidel Castro. Trump : « Un dictateur brutal qui a opprimé son peuple »
Donald Trump a espéré samedi que la mort de Fidel Castro éloignerait le peuple cubain des "horreurs endurées trop longtemps" et s'est dit prêt à tout faire pour soutenir la liberté et la prospérité dans l'île. Le président élu américain Donald Trump avait d'abord choisi Twitter pour sa première réaction à la mort du père de la Révolution cubaine Fidel Castro, sans évoquer dans un premier temps ses réserves face au réchauffement historique des relations entre Washington et La Havane.
« Fidel Castro est mort ! », a-t-il écrit laconique sur le réseau social, sa plateforme de communication favorite, peu après 08h locales en Floride, où il passe en famille le week-end prolongé de Thanksgiving.
« Un dictateur brutal qui a opprimé son peuple ».
Un peu plus tard, le milliardaire républicain, qui entrera à la Maison Blanche le 20 janvier, a jugé dans un communiqué que le père de la Révolution cubaine décédé vendredi soir à l'âge de 90 ans était « un dictateur brutal qui a opprimé son peuple ».
« L'héritage de Fidel Castro, ce sont les pelotons d'exécution, le vol, des souffrances inimaginables, la pauvreté et le déni des droits de l'homme », a poursuivi Donald Trump. « Aujourd'hui, le monde apprend le décès d'un dictateur brutal qui a opprimé son propre peuple pendant près de six décennies ».
« Cuba reste une île totalitaire mais j'espère que le jour d'aujourd'hui marquera une prise de distance par rapport aux horreurs subies pendant trop longtemps, vers un avenir où le merveilleux peuple cubain pourra finalement vivre dans une liberté amplement méritée », a dit le président élu.
« Que le peuple cubain entame son chemin vers la prospérité et la liberté »
« Même si les tragédies, les morts et la souffrance provoquées par Fidel Castro ne peuvent pas être effacées, notre administration fera tout ce qu'elle peut pour faire en sorte que le peuple cubain entame finalement son chemin vers la prospérité et la liberté », a par la suite annoncé le président élu dans un communiqué.
« Même si Cuba demeure une île totalitaire, mon espoir est que cette journée marque un éloignement avec les horreurs endurées trop longtemps et une étape vers un avenir dans lequel ce magnifique peuple cubain vivra finalement dans la liberté qu'il mérite si grandement », poursuit-il.
Lire aussi : Barack Obama. L'Histoire « jugera de l'impact énorme » de Fidel Castro
Opposé à la levée de l'embargo
Cuba est engagée dans un dégel historique avec les Etats-Unis depuis fin 2014, mais Donald Trump a affiché des réserves sur ce rapprochement, affirmant qu'il ferait « tout pour obtenir un accord solide » avec La Havane.
Le magnat de l'immobilier, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, a également déclaré qu'il était pour l'instant opposé à la suppression de l'embargo financier et commercial imposé à l'île depuis 1962. Sa levée dépend du Congrès qui, contrôlé par les Républicains, y est opposé.
« Toutes les concessions que Barack Obama a faites au régime de Castro l'ont été à travers des ordonnances présidentielles, ce qui signifie que le prochain président peut revenir dessus et je le ferai sauf si le régime de Castro répond à nos demandes, pas mes demandes, nos demandes », avait déclaré Donald Trump en septembre lors d'un discours de campagne, avant l'élection du 8 novembre qui lui a donné la victoire.
Réactions virulentes parmi les républicains
« Vous savez ce que sont ces demandes. Ces demandes porteront sur les libertés religieuses et politiques pour le peuple cubain et la libération des prisonniers politiques », avait ajouté le républicain.
Les réactions à la mort de Fidel Castro étaient particulièrement virulentes du côté des élus républicains américains d'origine cubaine.
« Un tyran est mort », a écrit sur Twitter Ileana Ros-Lehtinen, élue à la Chambre des représentants pour la Floride, où les exilés cubains sont nombreux. « Bien que Fidel Castro soit mort, le nouveau patron, Raul, est exactement pareil que l'ancien patron », a-t-elle fustigé.
L'ancien rival de Donald Trump à la primaire républicaine, le sénateur du Texas Ted Cruz, d'origine cubaine par son père, a dénoncé sa « dictature communiste brutale ».
« La mort de Fidel Castro ne ramènera pas ses milliers de victimes, pas plus qu'elle n'apportera de réconfort à leurs familles », a-t-il écrit dans un communiqué. « Nous pensons aujourd'hui à eux et honorons les âmes courageuses qui ont mené la lutte solitaire contre la dictature communiste brutale qu'il a imposée à Cuba. »
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Affaire Fiona: vers un second procès?
http://www.leparisien.fr/faits-divers/affaire-fiona-vers-un-second-proces-26-11-2016-6379614.php
VIDEOS
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Bernard de la Villardière dénonce l’idéologie multiculturaliste à la con des «bobos de merde»
J-1Critiqué fin septembre pour son sujet intitulé L’islam en France: la République en échec diffusé en prime time sur M6 dans Dossier tabou, Bernard de La Villardière avait répondu à ses détracteurs dans un long message publié sur Facebook. «Cette fausse polémique m’a évidemment atteint car elle révèle le mal profond dont souffre la presse française» avait-il notamment écrit le 6 octobre. «J’aurais aimé qu’elle commente plutôt ce que nous avons contribué à révéler à travers ce premier numéro de Dossier Tabou : l’incapacité des autorités publiques – au niveau national et local – à encourager voire organiser un islam conforme aux valeurs de la République.»
Il avait également épinglé le directeur adjoint de la rédaction de L’Express.fr, Eric Mettout. «Il demande de pisser de la copie à longueur de journée à des journalistes bien planqués derrière leur ordinateur et qui ne connaissent pas grand-chose du monde qui les entoure, avait-il critiqué. Il en fait des snipers pour régler ses comptes avec la vie et ses fantasmes fracassés par la dure réalité.» Même son de cloche auprès de nos confrères du magazine Society. «L’Express est devenu un journal bobo con, avec cette idéologie bobo de merde que je déteste de plus en plus» a-t-il déclaré. Bobo, c’est l’idéologie multiculturaliste à la con. Tout va bien dans le meilleur des mondes, etc. C’était sympa dans les années 70. Mais là, c’est juste con.»
Autre cible de ses critiques, le magazine Télérama qu’il accuse de n’avoir jamais rien d’écrit de positif sur lui. «Pourquoi? Parce qu’ils font du délit de sale gueule, estime-t-il. C’est de la pure paresse intellectuelle. Quand on a lancé Enquête exclusive, on m’a caricaturé. L’homme qui marche, obsédé par la drogue et les putes, c’était Le Petit journal. C’était drôle d’ailleurs. Le problème, c’est que tous les journaux ont repris le truc au premier degré, sans regarder le contenu des émissions.» Une caricature qu’il trouve injuste, arguments à l’appui, et qui l’agace profondément. «C’est l’autre là, Morandini, qui me caricaturait en obsédé du sexe! Eh bah, il est tombé par là» a-t-il conclu, tout en assurant être «blindé» désormais face à toutes ces attaques.
TV Mag -
La semaine du président Trump
Boulevard Voltaire suit de près l'expérience TRUMP à la Maison Blanche, depuis le jour de son élection. Voici un résumé de ce qui s'est passé cette semaine.
BV
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Madame Fillon n’aime pas les Français
comme elle l’explique dans The Telegraph en 2007 :
« J’ai fait cette comédie pour obtenir la nationalité française il y a 15 ans, juste pour pouvoir voter. Les Français m’exaspèrent, car ils se croient supérieurs aux autres. Ce sont les choses du quotidien qui m’ennuient : le manque de politesse, leur incapacité à faire la queue. Les Français ne sont pas particulièrement chaleureux. Shakespeare ? C’est une formidable antidote à la France ! »
NDF
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Marion Maréchal-Le Pen à Florence avec la Ligue du Nord : « Il ne s’agit pas de construire des murs mais de mettre des portes. La porte on peut l’ouvrir ou la fermer. » dans Politique — par Francesca de Villasmundo — 26 novembre 2016
La jeune Marion Maréchal-Le Pen, vice-présidente du Front-National, étoile montante du parti fondé par son grand-père, est en visite à Florence, après avoir rencontré Matteo Salvini pour construire un réseau de cette nouvelle droite anti-européenne poussée en avant par la victoire du Brexit et de Trump aux États-Unis.
Sa venue dans la capitale toscane a suscité l’ire voilée du maire de la ville, Dario Nardella, qui s’est déclaré prêt à ouvrir les portes de la ville mais, car il y a un mais, il a tenu a souligné le passé partisan de Florence qui ne s’accorde pas, selon ce bien-pensant, avec la pensée politique la jeune française :
« Nous souhaitons toujours la bienvenue à tout le monde, il ne manquerait plus que cela. Mais étant donné que Marion Le Pen vient d’un mouvement, le Front National français, qui a ses racines dans le national-socialisme européen le plus autoritaire, qui se complaît dans des valeurs qui ont porté à l’explosion de la seconde guerre mondiale en Europe, j’espère que quelqu’un aura la force et le courage de rappeler, à ces messieurs qui viennent à Florence, que notre ville est médaille d’or de la valeur militaire de la Résistance et de la guerre de libération contre le fascisme. »
Ces leçons de morale d’un vieux politicien en perte de prestige, réductio ad Hitlerum bien facile, n’ont pas empêché Marion Le Pen de se rendre à Florence comme prévu et d’exposer son programme politique pour la France et l’Europe lors d’un entretien avec le quotidien Il Corriere della Sera : négociation avec la Commission européenne pour obtenir un statut dérogatoire; rétablissement des frontières, sortie de l’espace Schengen, obtention de la souveraineté monétaire et de la suprématie des droits français sur ceux européens, sont les points phares de sa politique française dans le cadre européen. Autrement, affirme-t-elle le FN
« proposera un référendum pour la sortie de la France de l’UE. »
Sa critique sur les deux candidats en lice pour les primaires de la droite, Juppé et Fillon, est lapidaire :
« Ils font partie du même régime politique. Ils ont contribué à la création de l’Europe fédérale. Aujourd’hui ils se présentent comme des hommes qui veulent résoudre un problème qu’ils ont eux-mêmes créé. «
Et contraste avec sa vive sympathie pour la victoire de Trump :
« Sa victoire est une bonne nouvelle pour la France et pour l’équilibre du monde. Trump resserrera l’alliance avec la Russie, en sortant de la logique de la guerre froide, et il refusera la politique belliqueuse portée en avant par Clinton en Irak et en Afghanistan. Trump refuse aussi les traités de libre-échange, comme celui entre l’Europe et les États-Unis. Sa victoire est une déconfiture d’un système médiatique et politique qui a cherché à manipuler la volonté populaire. »
Quant à l’immigration, elle prône la fin de l’invasion :
« Il ne s’agit pas de construire des murs mais de mettre des portes. La porte on peut l’ouvrir ou la fermer. »
Tout en rendant responsable l’Europe de cette déferlante migratoire :
« C’est la faute de l’Europe, qui a encouragé l’immigration et a déstabilisé la Libye, en faisant tomber Kadhafi. L’Europe va chercher les bateaux, souvent avertie par les trafiquants eux-mêmes, et organise leur rapatriement sur nos côtes. Elle devrait faire, au contraire, comme l’Australie, qui ramène les bateaux dans les pays d’origine et n’a pas de morts sur ses côtes. L’Europe incite à l’immigration clandestine qui a comme conséquence directe la mort de centaines de personnes. La vraie approche humanitaire est celle de l’Australie. »
Marion Le Pen ne croit pas non plus que l’immigration soit une richesse pour la France et le dit clairement :
« Non. Aujourd’hui en France il y a des zones de son territoire dans lesquelles il n'y a plus ni culture ni lois françaises. Il y a 100 Molenbeek. Il y a des millions de musulmans qui veulent appliquer la charia. Nous sommes le pays européen où se forme le plus grand nombre de djihadistes et où domine la version salafiste de l’islam. »
Son but, en rencontrant Matteo Salvini chef de la Ligue du Nord, est, explique-t-elle, de
« construire un réseau de partis qui partagent nos idées sur l’Europe ». « Salvini a beaucoup de charisme et c’est un grand orateur politique : il peut être l’homme fort pour construire une grande droite identitaire et souverainiste et pour préparer une nouvelle idée de l’Europe qui naîtra des ruines de l’Union Européenne. L’Italie aussi souffre beaucoup de la monnaie unique, sur le plan industriel notamment. »
Interrogée sur les propos réductionnistes du maire de Florence, elle réplique par l’ironie :
« J’ai entendu ce qu’il a dit. C’est le type même de la vieille classe politique qui, en manque d’arguments, fait la morale aux autres. La grande différence entre nous deux, c’est que je ne passe pas mon temps à penser à 1945 mais je regarde vers l’avenir et je cherche à réparer les erreurs faites dans le passé par la classe politique. » Quant au fascisme « il ne me dit rien. Je n’ai aucun lien avec cette histoire », explique-t-elle. « J’appartiens à un parti souverainiste qui défend la culture française. Quand je viens à Florence, je ne pense pas au fascisme. Plutôt à Marie et Catherine de Médicis qui furent de grandes reines de France. »
Francesca de Villasmundo
M.P. I.
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La France va prépositionner des troupes en Estonie face à la Russie !
26/11/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Ce n’est hélas pas un gag : la France va prépositionner des troupes et du matériel en Estonie, pour faire face à une agression de la Russie ! Ce déploiement a été confirmé par Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, à son homologue estonien, Hannes Hanso, lors d’une réunion du forum de sécurité à Halifax, au Canada. La France enverra l’an prochain cinq chars Leclerc, 12 véhicules de combat d’infanterie et 300 soldats en Estonie. L’unité sera basée à Tapa, au nord-est du pays, et servira sous le commandement du bataillon britannique de l’OTAN. L’annonce de cette nouvelle par la presse estonienne a entraîné une réaction immédiate de Thierry Mariani, député (LR) des Français de l’étranger, atterré et révolté.
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Mort de Castro à 90 ans: les réactions dans le monde - Scènes de liesse à Miami!
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Fillon-Juppé : Le débat des compères
Aussi faux et dangereux l'un que l'autre!
Juppé a affirmé, il y a peu de temps, à propos de ses relations avec François Fillon qu’ils étaient « des amis de longue date qui ne se sont jamais véritablement disputés ». On en a eu confirmation lors de la campagne du premier tour où ils n’ont bataillé l’un contre l’autre qu’à fleurets mouchetés et comme la mort dans l’âme. Il faut donc saluer l’effort qu’ils ont dû accomplir jeudi soir pour trouver des terrains de mésentente. Certes, il y en a eu quelques-uns, mais ce sont ceux de boutiquiers. 35 heures, 37, 39, 48 ? Payées combien ? Pour les salariés du privé et les fonctionnaires ? Faut-il en supprimer 600 000, 500 000, 250 000 et comment ? Et les policiers ? Redéployer les effectifs ou en recruter ? On attendait des visionnaires et on a eu des experts-comptables ! L’électeur de la droite et du centre est prié de déterminer à quel endroit mettre le curseur afin de choisir entre ces deux vieux compagnons pour aller voter dimanche.
Mais sur l’essentiel, hélas, ils sont d’accord ! Sur la loi naturelle, qui touche aux fondements de notre civilisation, ils s’entendent pour entériner ce qui la bafoue. Ils sont déterminés à conserver le « mariage pour tous » après avoir voté contre, comme la droite libérale l’a toujours fait, acceptant, sans barguigner, les lois socialistes qu’elle avait combattues : l’abrogation de la peine de mort, le Pacs et maintenant le « mariage » gay. C’est cette abdication que Juppé et Fillon appellent « rupture » et cette continuité qu’ils nomment « alternance ». L’un, certes, ne veut que l’adoption simple pour les « couples » de même sexe, l’autre l’accepte plénière, la belle affaire ! Ils ont protesté avec véhémence de leur volonté de pas toucher si peu que ce soit, au prétendu « droit à l’avortement ».
Pour l’un, Juppé, il s’agit d’un droit « fondamental », pour l’autre, Fillon, c’est un droit « essentiel ». Cherchez la différence dans votre dictionnaire des synonymes… Le député de Paris a tenu à dissiper un « affreux » soupçon, développé par son compère, à savoir qu’il pourrait être hostile à l’avortement. Il l’a rassuré : certes, il y est opposé dans le tabernacle de sa conscience, mais qu’on ne s’alarme point, cela ne peut avoir aucune incidence sur sa gouvernance, l’homme public qui est pour ignorant l’homme privé qui est contre.
On notera, pour l’anecdote, qu’ils sont tous les deux des anciens combattants de mai 68, avec mention spéciale pour Juppé qui a avoué avoir manifesté à la fois avec les gauchistes et les gaullistes : sous l’étudiant on voyait déjà poindre la graine de politicien qui ne met pas tous ses œufs dans le même panier. On oubliait : ils sont résolus tous les deux à combattre « les extrémismes ». On se demande pourquoi ce pluriel, puisqu’il n’a jamais été question de Nathalie Arnaud de Lutte ouvrière ni de Philippe Poutou du Nouveau parti anticapitaliste mais seulement du Front national, abusivement jugé extrémiste, en se demandant qui sera le plus efficace pour battre Marine Le Pen. Nous sommes d’accord avec eux : quel que soit le vainqueur dimanche, il n’aura qu’un adversaire sérieux en 2017, c’est la présidente du Front national.
Guy Rouvrais
Article paru dans Présent daté du 26 novembre
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Procès du meurtre de Fiona, 5 ans, tuée sous les coups de Berkane Makhlouf, le "beau-père"
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JOURNAL TVLibertés DU 25/11/16