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GAELLE MANN - Page 296

  • Interdiction du burkini : le maire LR de Cannes, soutenu par Manuel Valls, se déclare "lié à Israël"

     

    Stratégie de la tension : comme Valls, le maire anti-burkini de Cannes se déclare « lié à Israël ».

     

    38 euros d’amende : trois citoyennes vêtues d’un burkini ont été verbalisées ce week-end sur la plage de Cannes [1].

    Le 27 juillet, le maire LR David Lisnard fut le premier à prendre un arrêté pour interdire « une tenue de plage manifestant de manière ostentatoire une appartenance religieuse, alors que la France et les lieux de culte religieux sont actuellement la cible d’attaques terroristes ». [2].

    Précision sur ses connexions idéologiques qui sont passées sous silence par les médias traditionnels : Lisnard se définit étrangement comme un « patriote aimant la France et lié à Israël ».

    En octobre, Lisnard effectuait d’ailleurs une visite en Israël au cours de laquelle il rencontra des « spécialistes de la sécurité » dont l’un - Nitzan Uriel, criminel de guerre - fut sollicité pour protéger le Festival de Cannes [3].

    Le 15 mai, Lisnard accueillait chaleureusement Miri Regev, ministre de la Culture et membre du Likoud, pour monter les marches du Palais de Cannes avec elle et l’ambassadrice d’Israël. Ex-chargée de communication du criminel de guerre Ariel Sharon, Miri Regev avait comparé les immigrants soudanais à un « cancer dans notre corps ». [4].

    Le 18 mai, Lisnard inaugurait l’extension du Centre communautaire de Cannes en compagnie du président du Consistoire israélite et de Miri Regev [5].

    À noter : mardi 16 août, Manuel Valls, Premier ministre qui s’était antérieurement déclaré - comme l’avait révélé l’auteur de ces lignes - « lié à Israël et à la communauté juive », a exprimé son « soutien » envers les maires anti-burkini [6] ; [7].

  • La plus importante expérimentation de politique monétaire de l’histoire est en cours, selon Lord Rothschild

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    Le rapport financier de RIT Capital Partners, rédigé par son président Lord Jacob Rothschild, a présenté l’évolution actuelle du monde des banques centrales et de la haute finance dans le rapport semestriel de la société qu’il vient de publier. Selon lui, la plus importante expérimentation de l’histoire en matière de politique monétaire est en cours.
     
    Taux d’intérêt bas, voire négatifs, des rendements négatifs sur la dette publique et le « quantitative easing », la politique d’assouplissement monétaire mise en place par les banques centrales constituent une gigantesque expérience aux conséquences encore inconnues, a-t-il affirmé.
     

    Une expérimentation de politique monétaire aux effets inconnus et connus

     
    « Les six mois qui font l’objet de ce rapport ont vu les banques centrales poursuivre ce qui constitue à coup sûr la plus importante expérimentation en matière de politique monétaire de l’histoire du monde. Nous sommes donc dans des mers inconnues et il est impossible de prédire les conséquences non intentionnelles de taux d’intérêt très bas, et des 30 % de dettes publiques à rendement négatif, le tout associé à un assouplissement quantitatif à très grande échelle », indique Lord Rothschild.
     
    Le banquier a indiqué que cette politique a eu pour effet de provoquer une croissance rapide des bourses ; la valeur des actions américaines a été multipliée par trois depuis 2008, le début de la grande crise financière, avec une progression des investissements associée à une faible volatilité.
     
    Mais cette croissance de la richesse virtuelle n’a pas été accompagnée par des bénéfices similaires pour l’économie réelle : « La croissance demeure anémique, la demande est faible et une part importante du monde développe est en pleine déflation », commente Lord Rothschild.
     

    Lord Rothschild évoque les conséquences de la politique monétaire des banques centrales

     
    Bref, c’est le monde de la finance qui tire profit de ces politiques délibérément mises en place, dont les conséquences à long terme sont peut-être inconnues comme le prétend le milliardaire, mais dont on voit tout de même les effets.
     
    Lord Rothschild prévoit une détérioration de la situation géopolitique mondiale qui comporte de nombreux « risques » pour l’économie mondiale. Bien sûr, il note dans la colonne du passif le vote en faveur du Brexit, mais aussi l’élection présidentielle aux Etats-Unis, le ralentissement de la croissance chinoise et la progression du terrorisme global qu’il relie, sans surprise, au conflit au Proche-Orient, qui continue de s’étendre selon lui.
     
    Question : un mondialiste comme lui est-il satisfait de la tournure des événements dont on peut suivre les effets en temps réel et qui, selon ses propres termes, sont les résultats d’une expérimentation menée délibérément par la haute finance ?
     

    Anne Dolhein

    REINFORMATION TV

  • HUMOUR ?

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  • Corse: les deux habitants de Sisco remis en liberté

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  • Sisco : les Maghrébins ont passé leur journée à agresser tout le monde explique le procureur (MàJ)

     

    20h15

    17/08/2016

     

    L’origine des incidents entre « une famille maghrébine » et des habitants du village de Sisco dans le Cap Corse samedi, incombe « à l’évidence » à « des membres de la famille », a déclaré mercredi le procureur de la République de Bastia, Nicolas Bessone.

    « Ils ont voulu, dans un logique de caïdat, s’approprier la plage et la privatiser », a déclaré M. Bessone lors d’un point de presse, ajoutant: « ils ont multiplié (…) des incidents avec un certain nombre de personnes: jets de pierre (…), tensions très fortes, insultes, menaces ».


    « Globalement, la version avancée par les jeunes est corroborée », indiquait hier soir une source proche de l’enquête. Le soir des événements, à chaud, les jeunes gens avançaient tous la même version sans aucune divergence sur le déroulement chronologique des faits et faisant état de détails identiques.

    Le lendemain, dimanche, à l’occasion d’un rassemblement devant les grilles de la mairie de Bastia, cette même version était une nouvelle fois avancée par une jeune femme de dix-sept ans qui appartenait au groupe pris à partie. De jeunes gens. Selon un touriste rencontré à Sisco, témoin de la scène et entendu près de trois heures par les enquêteurs de la gendarmerie, signe de l’importance accordée à ses déclarations : « Ils [les familles d'origine maghrébine, ndlr] voulaient simplement privatiser la plage, ils n’ont pas accepté que des photos de l’endroit soient prises ». [...]

    Corse Matin

    D’après nos informations, plusieurs personnes d’origine maghrébine impliquées dans ces violences sont connues des services de police : « Quelques procédures ont été établies à l’encontre de ces individus. De la délinquance des banlieues, du droit commun », admet une source proche de l’enquête qui n’entend pas en dire davantage. [...]

    Corse Matin

  • Jean-Louis Harouel (juriste) : «L’islam est un code de droit qui prétend remplacer le droit du pays d’accueil»

     

    21h20

    Pour Jean-Louis Harouel, professeur agrégé de droit à Paris, l’interdiction du burkini sur certaines plages est parfaitement conforme au droit. Pour lui, le port du vêtement islamique traduit une volonté politique d’imposer une culture et des modes de vie contraires à notre histoire et nos valeurs.

    Jean-Louis Harouel est l’auteur de «La grande falsification. L’art contemporain», «Le vrai génie du christianisme» et «Revenir à la nation» (Editions Jean-Cyrille Godefroy). Son dernier ouvrage Les droits de l’homme contre le peuple est paru aux éditions Desclée de Brouwer.

    Aujourd’hui, dans le contexte d’un affrontement de civilisations donnant lieu à un conflit armé ayant fait en un an des centaines de victimes sur le territoire national , il est logique que reviennent au premier plan les exigences de l’ordre public, et le juge des référés a d’ailleurs invoqué «le contexte de l’état d’urgence et des récents attentats» pour justifier sa décision en la fondant sur «un risque de troubles à l’ordre public».

    Est-ce un premier pas vers l’interdiction de tous les signes religieux dans l’espace public? N’est-ce pas une vision de la laïcité excessive ? Cette dernière sert-elle de cache-sexe à un combat plus spécifique contre l’islam politique ?

    L’islam est, par nature, politique. On ne saurait trop le rappeler: l’islam est un système total qui mêle le religieux, le politique, le juridique, la civilisation.

    L’islam est un code de droit qui prétend remplacer le droit du pays d’accueil. Si bien que toute concession faite à l’islam comme religion est un abandon consenti à l’islam comme système politico-juridique ainsi qu’à la civilisation islamique.

    Face à l’islam, la laïcité conçue comme neutralité ne suffit pas. Le cas de figure n’est pas le même qu’avec le catholicisme. Notre laïcité s’est certes construite contre l’Église, mais en accord avec les paroles fondatrices du christianisme: rendre à César et à Dieu ce qui leur revient respectivement.

    L’islam est au contraire l’anti-laïcité par excellence, si bien que notre État laïque devrait le combattre beaucoup plus durement qu’il n’a combattu le catholicisme.

    Ainsi que je le préconise dans mon récent livre "Les droits de l’homme contre le peuple", il faut pour l’islam un régime dérogatoire comme en Suisse où la construction de minarets est interdite alors qu’on peut bien sûr y construire des clochers.

    Il faut impérativement nommer l’ennemi. Or, en l’espèce, celui-ci est double : d’une part les djihadistes violents qui massacrent dans notre pays ; et d’autre part, les djihadistes «civilisationnels», qui œuvrent inlassablement à rendre toujours plus présents sur notre sol leur civilisation, leurs règles et leur mode de vie. [...]

    Il est clair qu’en Corse où la population est restée plus près de son sol, plus ancrée dans ses villages, elle se montre plus réactive face au processus de la conquête islamiste non dite mais bien réelle dont l’Europe occidentale est l’objet. Cependant, même dans l’Hexagone, de plus en plus de gens ont conscience du lien qui existe entre les carnages des terroristes islamistes et le folklore identitaire arabo-musulman qui est le terreau où se nourrit le djihadisme.

    Le Figaro

    Merci à Stormisbrewing

  • JOURNAL TV Libertés DU 16 AOÜT 2016

  • Derrière le burkini. Par Marine Le Pen -

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    Cet été le débat public français s’est transporté sur les plages. L’affaire du burkini, ce maillot de bain intégral propagé depuis quelques années par les islamistes de tous horizons, a libéré la parole dans un pays qui a largement besoin de s’exprimer après les horreurs qu’il a vécues en juillet, sur la promenade des Anglais puis dans une petite église normande.

    Bien sûr le burkini doit être proscrit des plages françaises, où il n’a strictement rien à faire. C’est une question de laïcité républicaine, d’ordre public, assurément ; mais bien au-delà, c’est de l’âme de la France dont il est question : la France n’enferme pas le corps de la femme, la France ne cache pas la moitié de sa population, sous le prétexte fallacieux et odieux que l’autre moitié craindrait la tentation. Les plages françaises sont celles de Bardot et Vadim, pas celles de lugubres belphégors. Les Françaises, les Français, et je le sais un très grand nombre de Françaises musulmanes qui rejettent de toutes leurs forces l’islamisme, attendent qu’on tienne bon sur cette question de principe et de cœur.

    Alors profitons du burkini pour aller au fond des choses. Le problème qui nous assaille ne trouvera pas de réponse réelle et définitive par des rustines, aussi justifiées soient ces rustines à un moment donné. Quelques maires UMP et PS interdisent le burkini dans leur commune, c’est bien. Mais ces maires là auront-ils la cohérence, et le courage, de reconnaître que c’est la politique d’immigration et de clientélisme communautaire de leurs partis respectifs qui les a conduits un jour à devoir prendre un tel arrêté ? Que représentent ces quelques arrêtés quand on sait que chaque année continuent d’affluer dans notre pays 200 000 étrangers, titre de séjour légal en main, auxquels viennent s’ajouter un nombre record de réfugiés et de clandestins logés dans des campements, des bidonvilles, dans nos villes et nos villages ? Cette politique est celle de François Hollande, mais elle était déjà celle de Nicolas Sarkozy avant lui.
    Aucune rustine non plus ne suffira face au tourbillon communautariste, et donc islamiste, dans lequel notre pays est pris. Une fois l’été passé, les plages et les burkinis oubliés, est-ce que tout recommencera comme hier et avant-hier ? Nouvelles revendications politico-religieuses dans les cantines, à l’hôpital, à l’école, dans l’entreprise, dans les services publics,…Toujours le même clientélisme d’élus locaux qui contournent sans vergogne la loi de 1905 sur la laïcité et financent des mosquées, parfois même salafistes, déguisées en centres culturels. Toujours les mêmes relations de soumission en haut lieu avec le Qatar et l’Arabie Saoudite.
    Tout laisse craindre que, oui, tout reprendra comme hier et avant-hier.

    A moins que les Français disent cette fois haut et fort : ça suffit.

    L’immigration de masse, ça suffit. Il suffit de voir la République, la France, plier systématiquement face aux communautarismes. Il suffit d’être culpabilisé quand on a l’audace, indispensable, vitale, de crier l’amour de son pays, de ses traditions, de son mode de vie, de sa liberté.

    Il suffit aussi de laisser le champ libre à certaines associations qui, derrière l’apparence de l’indépendance, ne sont que le faux nez d’un projet politique, l’islamisme le plus rétrograde. Qu’est devenue l’association marseillaise qui souhaitait privatiser un centre aquatique une journée entière au bénéfice des seules femmes charia-compatibles ? La préfecture a-t-elle enquêté sur la concordance entre l’objet social déposé en préfecture et l’activité réelle de cette association ? Sait-on d’où viennent ses financements ?
    De la même manière, pourquoi considérer le CCIF (« Collectif contre l’islamophobie en France ») tel qu’il se présente lui-même ? A-t-on enquêté sérieusement sur les accusations de liens avec l’islamisme dont se fait l’écho le Canard Enchaîné aujourd’hui même ? De quoi vit cette association qui se prétend indépendante : des mannes du milliardaire George Soros comme un fichier dévoilé le rappelle ? Est-elle d’une façon ou d’une autre liée à des puissances étrangères ?
    Puisque cette association multiplie les procès contre des élus de la République, envahit les plateaux de télévision, communique abondamment et prétend peser sur le débat public, cette enquête approfondie n’est pas seulement nécessaire, elle est indispensable. Juridiquement, quel est d’ailleurs son intérêt à agir dans l’affaire du burkini alors qu’elle multiplie les recours devant les tribunaux administratifs et le Conseil d’Etat ? En quoi y-a-t-il soupçon même d' »islamophobie » à vouloir interdire cette tenue ?
    Donner carte blanche, médiatique, politique, juridique, morale, à ces associations qui ont souvent plus d’avocats et d’heures d’antenne de télévision que d’adhérents effectifs, est une folie.
    Il y a suffisamment d’expériences étrangères pour que nous sachions comment s’infiltre l’idéologie islamiste dans une société : la dissimulation à travers des associations aux causes en apparence louables.

    Nous devrons être exigeants, beaucoup plus que la classe politique au pouvoir depuis des décennies ne l’a été. Il en va de la concorde civile, de nos valeurs, de notre liberté de femme, d’homme, et de l’égale dignité entre tous les Français.

    CARNETS D"ESPERANCES

  • Un tweet de Florian Philippot

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  • Chevènement accepte de présider la « Fondation pour les œuvres de l’islam de France »

     

    8h46

    Jean-Pierre Chevènement,77 ans, devrait accepter, malgré les critiques, de présider la Fondation pour les œuvres de l’islam de France censée oeuvrer à une meilleure intégration de l’islam dans la République. Tenant d’une « laïcité républicaine », il dévoile au Parisien ses projets et sa vision de « l’islam de France ».

    « C’est une bonne réponse à la poussée du terrorisme, conforme à l’intérêt des musulmans aussi bien qu’à l’intérêt de la France. »


    Vous êtes pressenti pour présider la Fondation pour les oeuvres de l’islam de France. Allez-vous accepter ?

    Dès le début de cette année, nous avons eu, Bernard Cazeneuve, son cabinet et moi-même, plusieurs réunions sur le sujet. Car, dès 1999, j’avais, comme ministre de l’Intérieur, lancé une grande consultation sur l’islam de France. [...] J’apprécie beaucoup Bernard Cazeneuve pour sa modération, sa détermination, sa parole toujours maîtrisée.

    Vous allez donc dire oui ?

    Il s’agit d’une tâche d’intérêt public car les 4,1 millions de musulmans que compte la France doivent pouvoir exercer leur culte mais dans le respect de la laïcité et des principes de la République. Cette mission est tellement d’intérêt public qu’aucun responsable ne peut s’y dérober. Je ne m’y déroberai donc pas sauf si ma nomination devait entraîner des problèmes insolubles qui me forceraient à me retirer. dis à un certain nombre d’hommes politiques de l’opposition : il en va de l’intérêt du pays que cette fondation, d’ailleurs mise en place en 2005 sous la présidence de Jacques Chirac, puisse enfin fonctionner. Comme le dit Omar Sy, nous portons tous le maillot bleu de l’équipe de France. [...]

    Quelle est votre position sur des problèmes concrets comme le port du voile à l’université, le burkini, les repas hallal dans les cantines…

    Légalement, les choses me paraissent assez claires et modifier la loi n’est pas une priorité. Le conseil que je donne dans cette période difficile — comme le recteur de la mosquée de Bordeaux — est celui de discrétion. Les musulmans, comme tous les citoyens français, doivent pouvoir pratiquer leur culte en toute liberté. Mais il faut aussi qu’ils comprennent que, dans l’espace public où se définit l’intérêt général, tous les citoyens doivent faire l’effort de recourir à la « raison naturelle ». Un principe que le prophète recommande quarante-quatre fois, selon l’islamologue Jacques Berque, dans le Coran.

    L’avenir des jeunes nés de l’immigration est en France et nulle part ailleurs. Il faut les empêcher de tomber dans l’impasse suicidaire dans laquelle les poussent Daech et les salafistes à la vue courte. Si nous aimons la France, il faut faire des Français de confession musulmane des Français qui, comme les autres, ont envie de travailler à l’essor de la France. Il y a un intérêt commun à ce que le bateau France tienne la mer, car, s’il devait couler, ce sont tous ses passagers qui couleraient avec lui.

    Le Parisien

    NdB: Les propos de Chevènement se situent HORS de la réalité véçue au quotidien par les citoyens français non-musulmans.

    A propos, la France compte au moins 6 millions de musulmans!

  • Val-d'Oise : suicide du directeur général des services d’Argenteuil

    http://mobile.francetvinfo.fr/france/qu-est-ce-quun-chasseur-de-couts_838565.html#xtref=acc_dir

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    >Île-de-France & Oise>Val-d'Oise|E.L.S.|16 août 2016, 23h58|0

    Harold Matysen, directeur général des services de la mairie d’Argenteuil est décédé ce mardi après-midi, après avoir mis fin à ses jours.

    Capture France 2
     
     
    E.L.S.
     
    Val-d'OiseArgenteuilHarold MatysenGeorges Mothron
     

    On l’appelait « Cost Killer », le chasseur de coûts. Harold Matysen, directeur général des services de la mairie d’Argenteuil est décédé ce mardi après-midi, après avoir mis fin à ses jours. Harold Matysen avait été recruté en juin 2014. Il était considéré comme l’homme capable de résorber la dette d’Argenteuil, l’une des villes les plus endettées de France. Il avait à sa tête plus de 2 400 agents et gérait un budget de 260 M€.

    Le maire (LR) de la commune, Georges Mothron, l’avait notamment choisi pour son expérience de dix-huit ans dans le cabinet d’audit privé Michel Klopfer. Harold Matysen avait également exercé le poste de directeur général adjoint des services à la mairie de Boulogne-Billancourt (92).

    Le Parisien

    NdB: Qu'avait-il découvert pour certains?

     

  • Ferveur à Marseille pour la procession du 15 Août

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    Sortie de la cathédrale La Major

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    Dans la foule, face au soleil

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    Un bébé lui est tendu par ses parents

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    Face à face sur le Vieux-Port avec Notre-Dame de la Garde

    (Photos EB le 15 août 2016)

  • Robert Ménard fait placarder sa ville d’affiches dénonçant la partialité du journal Midi libre

    Le quotidien est la cible du maire d’extrême droite de Béziers, qui a fait placarder des affiches attaquant ouvertement le journal.

     

    « Tous les jours, l’info en laisse ». Midi libre n’aurait pu rêver d’un meilleur slogan pour faire sa publicité. Seulement, cette campagne d’affichage sur laquelle on voit un chien tenant dans sa gueule un exemplaire du journal couplé au fameux slogan a été commandée par Robert Ménard et la mairie de Béziers. Les journalistes du quotidien régional ont donc décidé de répliquer, mardi 16 août, la Société des rédacteurs dénonçant une « quête irrationnelle de polémique » et une campagne d’affichage « haineuse » du maire d’extrême droite.

     

    Robert Ménard attaque Midi libre et son actionnaire majoritaire : Jean-Michel Baylet

    Si les affiches placardées par l’élu héraultais s’attaquent au journal, c’est en partie à cause de ses liens avec le ministre Jean-Michel Baylet. Ainsi, l’affiche s’interroge : « À qui appartient Midi libre ? », avant de répondre : « À J-M Baylet, ministre des Collectivités territoriales ». Le président du PRG est effectivement l’un des copropriétaires du groupe La Dépêche du Midi, qui possède le puissant quotidien régional du même nom et a racheté Midi libre. Plusieurs membres de sa famille figurent dans l’organigramme du groupe, dont son ancienne épouse, Marie-France Marchand-Baylet, qui a succédé comme PDG à Jean-Michel Baylet, devenu ministre en février.

    [...] 

    Capture.PNG Ménard affiche.PNG

     

    [...]

    Plusieurs responsables d’extrême droite s’en sont pris ces derniers mois à des journaux régionaux. À Fréjus, le maire FN David Rachline a dénoncé dans une lettre le « journalisme aux relents de totalitarisme » de Var Matin, et pendant la campagne des régionales, Marine Le Pen avait accusé La Voix du Nord, qui avait pris position contre elle, de « s’ériger en autorité morale et (de) lancer des fatwas ».

    Lire l’intégralité de l’article sur lepoint.fr

  • L’imam de Bordeaux appelle les catholiques à faire preuve de « discernement »!

    https://www.google.fr/?gfe_rd=cr&ei=Y5oZVeirFY398weDkIDQCA

    VIDEO

  • Hillary Clinton est-elle apte à gouverner ? La preuve que non, en images (rediff.)

    https://youtu.be/C-EnJjWWqrc

      

     

    Les Américains, même ceux de gauche, sont de plus en plus nombreux à se poser des questions sur l’état de santé mentale et physique de la candidate démocrate.

     NDF

  • VIDEO - Interdiction du burkini : une atteinte à une liberté individuelle élémentaire, celle de se vêtir à son goût

    Interdiction du burkini : une atteinte à une liberté individuelle élémentaire, celle de se vêtir à son goût

     

     

     

    Le 28 juillet, le maire de Cannes a interdit le port du burkini sur les plages de la ville. Une première alors que deux autres communes ont pris un arrêté similaire : Villeneuve-Loubet, le 5 août, et Sisco, en Corse, à la suite des violents heurts de ce week end. Mais est-ce légal ? Et, surtout, ne s’agit-il pas d’une atteinte à la liberté de se vêtir librement (et avec pudeur) tant que le visage n’est pas caché (ce que la sécurité oblige) ?

    NDF

    NdB: Il y a atteinte à l'hygiène élémentaire!

  • Odon Vallet, historien des religions : "La France a été consacrée à la Vierge Marie"

    http://www.laprovence.com/article/societe/4075033/odon-vallet-historien-des-religions-la-france-a-ete-consacree-a-la-vierge-marie.html

    et

    http://www.contre-info.com/15-aout-assomption-et-fete-nationale-francaise-2#more-34093

     

  • Le 15 août 1945 : fin du procès du Maréchal Pétain.

     

    Le Maréchal est condamné à mort, à l'indignité nationale et à la confiscation de ses biens, assortissant toutefois ces condamnations du vœu de non-exécution de la sentence de mort, en raison de son grand âge.

    Le Maréchal qui a refusé de répondre et de reconnaître ce tribunal révolutionnaire, se lève et prend la parole :

    « Au cours de ce procès, j'ai gardé volontairement le silence, après avoir expliqué au peuple français les raisons de mon attitude.

    Ma pensée, ma seule pensée, a été de rester avec lui sur le sol de France, selon ma promesse, pour tenter de le protéger et d'atténuer ses souffrances. Quoi qu'il arrive, il ne l'oubliera pas. Il sait que je l'ai défendu comme j'ai défendu Verdun.

    Messieurs les Juges, ma vie et ma liberté sont entre vos mains, mais mon honneur, c'est à la Patrie que je le confie.

    Disposez de moi selon vos consciences. La mienne ne me reproche rien, car pendant une vie déjà longue, et parvenu par mon âge au seuil de la mort, j'affirme que je n'ai eu d'autre ambition que de servir la France. »

    Messages d'outre-tombe du maréchal Pétain:

    Par Philippe Pétain, Monique Paillard, Jean Paillard aux Nouvelles Editions Latines, Page 275. Voir la chronique du 23 juillet.

    Le Salon Beige

  • Sisco : Cazeneuve ose appeler cela une rixe entre corses et maghrébins !

     

    Publié le 15 août 2016 - par

     
     
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    Immigrants légaux, illégaux, racisme, xénophobie, islamophobie, islam, islamisme, modérés, extrémistes, radicalisés, déradicalisés, détraqués, déprimés, Allah akbar, mosquée, imam, imam, mosquée…. Ouf…Ras le bol !

    Tous ces mots ont envahi le vocabulaire déjà très restreint, de nos medias et de nos gouvernants. On les a appris par cœur. On sait d’avance la chanson qui va nous être interprétée et on a décidé de ne plus l’entendre.

    Ça commence à bien faire. On en a une overdose.

    Nous, quand on apprend ou qu’on entend ou qu’on lit, aux infos, qu’il y a eu des Français agressés, tués (de préférence au couteau ou à la machette ou à la hache) ou explosés, on veut la Vérité.

    Et la Vérité, est toujours la même, d’une simplicité effarante, d’une logique imparable :
    Un ou des musulmans (ou arabo-musulmans) ont tué au cri d’Allah, de bons Français, innocents qui se baladaient tranquillement dans la rue ou qui se baignaient sur une plage corse ou, encore, écoutaient la messe dans une église.

    Les Français ne sont pas idiots. Les Français sont excédés. Les Français savent que le poison mortel qui les guette aujourd’hui, s’appelle musulman et islam.

    Et si les gouvernants et leurs medias croient nous faire prendre des vessies pour des lanternes, on veut leur dire, ici, que nous en avons plus qu’assez de les entendre protéger ces barbares d’un autre âge avec leurs mots choisis quand ce ne sont pas par des actes judiciaires.

    Quand un musulman tue, agresse, blesse, on veut entendre dire que c’est un musulman qui a commis cet acte criminel. Quels que soient son état d’esprit, sa situation sociale, ses motivations, on s’en contrefout. Il a agressé, il a blessé, il a tué, il est coupable et il doit être condamné comme l’est n’importe quel quidam Français dans ce pays où la loi l’exige mais ils n’ont pas à cacher la nationalité ni la religion du criminel puisqu’ils ne le font pas lorsqu’il s’agit d’un individu qui n’est pas musulman.

    Cacher la religion de l’assassin ne fait qu’exacerber notre colère. Parce qu’il n’est plus un secret pour personne que les musulmans tuent les infidèles au nom d’Allah quoiqu’en disent ceux qui ont une vision erronée de l’islam. On veut parler, ici, de ces musulmans qui se disent modérés ou qui nient les appels au crime écrits dans leur livre.

    Ainsi, au fallacieux prétexte que nous engloberions, à tort, TOUS les musulmans dans cette révélation, on laisse la bride sur le coup de ces adeptes d’Allah qui recommencent se sachant intouchables.

    Le fait est que, depuis trop longtemps, ces immigrés musulmans haineux se sentent impunis et cela les encourage à attenter à la vie des Français, en toute liberté. Les contorsions de nos élus et de nos medias pour relater leurs forfaits les font bien rire. Et nous, ça nous rend furieux.

    Aujourd’hui, les medias français font les gros titres d’une « rixe entre Corses et maghrébins ».

    Une rixe ? Voilà un nouveau mot pour ne pas nommer un attentat ou une agression de la part de musulmans.

    Pourquoi pas, tant qu’ils y sont, parler de vendetta ? Nous ne sommes plus au temps de Colomba et les Corses ne sont pas tous des Orson qui s’ignorent. Les Corses n’aspirent qu’à vivre en paix sur leur île.

    Mais voilà, les musulmans sont – aussi – en Corse.

    Et c’est dans une crique habituellement tranquille du Cap, qu’en plein mois d’août, période invasive de l’île par les pinzuttis, qu’une dizaine de musulmans sont installés. Jusque-là, vous nous direz, quoi de plus normal ?

    Sauf que leurs femmes se baignent en burqa.

    Des touristes prennent en photo le paysage (ou l’incongruité de la scène !). Les musulmans contrariés leur lancent des pierres.

    Les jeunes Corses qui habitent le village sont descendus à « la marine » regardent la scène.

    Ils sont immédiatement pris à partie et insultés par le groupe de musulmans qui les agressent au couteau, harpon et autre hache.

    L’un deux ayant été blessé, les autres gamins se sont précipités pour prévenir les parents qui ont pris, eux aussi, des coups de couteau et de harpon pendant que les femmes voilées crevaient les pneus de leurs véhicules avec – encore – des couteaux.

    Sisco est un adorable petit village. Les habitants, informés de l’attaque des enfants par les musulmans, sont arrivés en force dans la crique.

    Une maman témoigne : « C’était une scène de guerre ! ».

    Et Cazeneuve ose appeler ça une rixe ? « Une violente rixe dont l’enquête devra déterminer les circonstances et les motifs » ?

    Non, Monsieur. C’était un guet-apens. Dans leurs sacs les musulmans avaient plusieurs armes blanches qu’ils se sont empressés de sortir et dont ils ont usé contre des jeunes Français désarmés.

    Nous n’acceptons plus ces phrases à l’emporte-pièce qui essayent de noyer le poisson quand le poisson n’est qu’un fugu musulman que les Français évitent comme la peste. Mais ce sont eux qui viennent nous chercher. Jusque dans les recoins les plus isolés de notre France. Ils ne sont que provocation.

    Si les musulmans veulent qu’on respecte leurs coutumes, ils doivent d’abord respecter les nôtres. A notre époque où les gens ont plus l’habitude de se baigner à poil qu’habillés, il est tout à fait normal que des femmes en burqa pataugeant dans l’eau intriguent et forcent les regards.

    Si vous ne voulez pas que l’on regarde vos femmes, cachez-les ! Allez prendre vos bains de mer à minuit ! Mais ne venez pas emmerder les braves gens avec vos simagrées religieuses.

    S’il fut un temps où les immigrés musulmans se tenaient tranquilles et vivaient sans nous causer de problème, il y a déjà trop longtemps, voire plusieurs années, qu’ils sont redevenus ce qu’ils étaient il y a 14 siècles, avec leur haine pour les Chrétiens et les Juifs – et les Français en particulier puisqu’il s’agit, avant tout, de leurs actes criminels dans notre pays.

    Souvenez-vous. Nous avons tout d’abord eu l’épisode « des regards ». Oui, il aurait fallu marcher avec une canne blanche à la main ou les regarder avec les yeux fermés ! Même en étant sur un autre trottoir, ces jeunes musulmans se sentaient « agressés » par nos regards. C’était devenu l’excuse de masse pour agresser physiquement, voire tuer, en toute impunité, ceux qui les « blessaient avec les yeux ».

    Et ils s’en sont servis de ces regards ! Du Nord au Sud et d’Est en Ouest, on ne comptait plus le nombre de victimes qui avaient eu l’outrecuidance de les « regarder ».

    Et puis, il y a eu l’interdiction. L’interdiction de nommer – seulement nommer – l’islam. Les Français devaient se taire, avaler toutes leurs fantaisies sinon ils étaient immédiatement traduits en justice. Et de cette lubie de nos gouvernants et de la justice, ils s’en sont servis, à qui mieux-mieux, les musulmans contre les Français.

    Aujourd’hui, ils sont passés à l’étape supérieure.

    Aujourd’hui, ils tuent. Ils tuent dans les rues, dans les églises, dans nos maisons.

    Et ils tuent sur nos plages.

    Jusqu’à quand ?

    Danièle Lopez

    RIPOSTE LAÏQUE - 15/08/2016