(merci à Dirk)
GAELLE MANN - Page 629
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VIDEO - Le Grand Remplacement, un fantasme ?
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L’Afrique et la saleté, une histoire d’amour? (rediff
Mai
2014Complément direct de l’article du 5 mai 2014 sur l’africanisation de Marseille et la plainte contre Guy Tessier (voir ici)
————- Article de Dakar-info.com [rediffusion]
C’est terrible et choquant à le dire, l’Afrique noire est sale ! De nombreuses capitales africaines se sont érigées en chantre de l’ordure en putréfaction et des odeurs pestilentielles, témoins d’une insalubrité quasi-culturelle. Et la saleté s’épanouit allégrement partout : au cœur des ménages, dans les restaurants, le long des rues, aux abords des lieux de culte, etc.
Il est hallucinant de voir comment les Africains vaquent avec insouciance à leurs occupations autour d’une flaque d’eau nauséabonde ou d’un tas de détritus. Certes, on retrouve des localités où les populations, avec ou sans l’Etat, tentent d’assainir le cadre de vie, mais, fondamentalement, l’insalubrité prédomine.
Il est impossible de mettre de la propreté là où les hommes ne sont pas organisés et disciplinés. Dans des villes comme Conakry, Freetown, Khartoum, Kinshasa, Monrovia,…des habitations spontanées défient les normes les plus élémentaires de salubrité et de sécurité, sous le regard nonchalant des autorités. Dans d’autres comme Abuja, Cotonou, Ouagadougou,…les restaurants spontanés sur la voie publique et la floraison des vélos-taxis vrombissants et polluants entretiennent une pagaille devenue routinière.
Dans certains pays, les autorités sont occupées à ériger des monuments pour épater les électeurs plutôt qu’à rétablir l’ordre public dont la salubrité publique est une composante essentielle. C’est ainsi qu’à Dakar, on s’emploie à construire une des plus belles corniches du continent, alors qu’à quelques mètres de là gisent des quartiers comme la Médina, temple des odeurs incommodantes où des eaux insalubres stagnent même en saison sèche, mais aussi Reubeuss, siège d’un chaos souverain.
La malpropreté du cadre de vie est un signal de la conduite des hommes qui y vivent. Au-delà de la défaillance des services de ramassage des ordures, elle est révélatrice de l’indiscipline, de l’incivisme et de la désinvolture des populations. Les gouvernants des pays sales n’ont pas assez de temps pour relever le défi, car eux aussi se sont volontairement embourbés dans une insalubrité politique caractérisée par la rapacité financière, la décapitation des opposants, les tueries puériles pour un morceau de pouvoir, la gestion familiale du pouvoir de l’Etat.
Cette saleté s’exporte allégrement hors des frontières de l’Afrique. En France par exemple, les Africains ont transformé Barbès et Château Rouge en une pétaudière où la cacophonie et la confusion se prélassent le long des rues commerçantes.
En banlieue parisienne, des immeubles horriblement délabrés sont pris d’assaut par des Africains qui dorment comme des sardines dans des pièces exigües. La pauvreté est assurément un facteur explicatif, mais elle reste irrecevable comme fait justificatif. Si le tapage et la pestilence persistent dans les milieux africains, c’est moins en raison de la pauvreté que du refus de l’ordre. Il est parfaitement possible d’être pauvre et de rester propre et digne.
Si on veut contribuer, sincèrement, au développement de l’Afrique, ce sont ces vérités qu’il faut oser soulever. Il n’y a aucune honte à reconnaitre ses tares lorsqu’on se propose de les combattre. La critique est sublime lorsqu’elle est constructive.
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Prix du Trombinoscope : SOS-Hystérie pour le PS et ses alliés
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Marine Le Pen brise l'omerta sur la menace terroriste islamiste
29 01 15
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Eure : ils agressent et immolent par le feu un jeune de 18 ans
Un jeune homme de 18 ans a été aspergé d'un liquide inflammable avant d'être immolé par le feu dans la nuit de lundi à mardi dans l'Eure.
28 Janv. 2015, 14h48 | MAJ : 28 Janv. 2015, 15h21
réagir115Le scénario du drame fait froid dans le dos. Un jeune homme de 18 ans, interpellé par le bruit extérieur, a été aspergé d’un liquide inflammable juste devant chez lui à Bernay (Eure) dans la nuit de lundi à mardi. Ses agresseurs l'ont ensuite immolé par le feu, rapporte le site Normandie-Actu.fr
Grièvement brûlée, la victime a été transportée dans un établissement spécialisé de la région où il a été placé en coma artificiel afin de soulager ses douleurs.Son pronostic vital n'est pas engagé à l'heure actuelle.
La procureure de la République d’Évreux a ouvert une enquête pour tentative d’homicide volontaire. Les gendarmes de la compagnie de Bernay ont été chargé des investigations. L’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) commencera par déterminer la nature du liquide inflammable.C'est qui "ils" pour commettre des actes aussi atroces ?
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Le torchon brûle entre Gérard Larcher et Claude Bartolone
Le président du Sénat, Gérard Larcher, refuse de travailler avec Claude Bartolone. Motif : ce dernier a relancé le débat sur l'existence «sous cette forme» du Sénat. Les patrons des groupes UMP de sénateurs et de députés ont accusé le président de l'Assemblée de rompre l'union nationale post-attentats.
A.R. | 29 Janv. 2015, 14h54 | MAJ : 29 Janv. 2015, 17h02
réagir2Le président de l'Assemblée, Claude Bartolone (à gauche) a remis en cause ce jeudi l'intérêt du Sénat, dont le président Gérard Larcher (à droite) lui a vivement répondu.
(LP / OLIVIER CORSAN)La véritable rupture de la belle «unité nationale» post-attentats n'est pas venue de là où on l'attendait. Au delà de leur parti respectif, les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat ont déclenché les hostilités.
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Prix du Trombinoscope: Larcher (UMP) critique le boycottage de Bartolone (PS)
Le second, Gérard Larcher (UMP), a même estimé ce jeudi qu'«il ne lui est plus possible» de travailler avec son homologue du palais Bourbon, Claude Bartolone (PS).
Bartolone pour «la fin du bicamérisme»
Alors que les deux hommes avaient rendez-vous dans la matinée pour «travailler ensemble sur la mission que nous a confiée François Hollande après les attentats sur l'engagement républicain et le sentiment d'appartenance à la nation», le chef de l'Assemblée a donné une interview à BFM TV dans laquelle il remet en cause l'existence du Sénat. De quoi grandement agacer le chef du palais du Luxembourg.
Claude Bartolone a en effet déclaré être «pour la fin du bicamérisme sous cette forme» et favorable à un «rapprochement du Conseil économique, social et environnemental (Cese) et du Sénat pour avoir un Bundersrat à l'allemande qui s'intéresserait beaucoup plus au long terme». Et l'actuel président de la chambre haute de lui répondre: «Constatant le profond désaccord de conception institutionnelle entre le président de l'Assemblée nationale et moi-même, je lui ai fait savoir que le travail en commun sur cette mission n'était plus en conscience possible. (...) Je lui ai fait savoir que je répondrai à la demande du président de la République directement.»
Bartolone «a déclaré la guerre au Sénat»
Dans l'après-midi, le chef de file des sénateurs UMP, Bruno Retailleau, a lui accusé Claude Bartolone (PS) de «rompre violemment l'union nationale» en «déclarant la guerre» au Sénat, dont le seul tort est «de ne pas être de gauche». Et d'ironiser dans un communiqué : «Monsieur Bartolone ne supporterait-il pas la qualité du travail de la Haute assemblée? (...) Il oublie un peu vite ses déclarations: en avril dernier, il avait déclaré, alors que le Sénat était à gauche, que "le Sénat pouvait changer" et qu'il "n'était pas une anomalie". (...) Comme d'habitude lorsque la gauche perd les élections, elle propose de changer les règles du jeu. La gauche a perdu le Sénat, il faut donc le supprimer!», s'est-il encore indigné.
De son côté, le chef de file des députés UMP, Christian Jacob, a précisé qu'il se désolidarisait totalement du président de la chambre basse : «Je ne me reconnais pas du tout dans les propositions de Claude Bartolone sur le Sénat. (...) Les deux chambres ont leur légitimité, et je comprends la réaction de Gérard Larcher». Selon lui, «s'il y a un affaiblissement du Sénat, c'est à cause de décisions prises par la gauche: l'extension de la proportionnelle à un nombre croissant de départements pour élire les sénateurs - ce qui les coupe des territoires - et l'aberration d'interdire le cumul des mandats.»
Et Christian Jacob de conclure: «L'union nationale, ce n'est pas que tout le monde se range derrière le Parti socialiste!»
Le chef de file des députés socialistes, Bruno Le Roux, a enfin essayé de calmer le jeu. Il a appelé «le Sénat et son président à revenir sur leur décision»: «Le sursaut national du 11 janvier appelle au dépassement des intérêts de chapelle pour se consacrer exclusivement à ce qui forme notre bien commun», a-t-il demandé.Le Parisien
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Présidentielle 2017 : Le Pen largement en tête au premier tour, selon un dernier sondage
29 Janv. 2015, 13h28 | MAJ : 29 Janv. 2015, 13h45
réagir165Marine Le Pen, avec 29 à 31%, sortirait nettement en tête si le premier tour de la présidentielle avait lieu dimanche, selon un sondage Ifop pour Marianne* publié jeudi. Nicolas Sarkozy, Manuel Valls, ou Alain Juppé seraient chacun autour de 23%, et François Hollande à 21%.
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Ce sondage envisage divers scénarios de confrontations possibles. Au second tour, la présidente du Front national serait nettement battue, avec 45% des voix dans le meilleur cas de figure pour elle.
Au premier tour, François Bayrou obtiendrait de 7 à 9%, Jean-Luc Mélenchon 8%, Cécile Duflot et Nicolas Dupont-Aignan entre 3 et 4% et l'extrême gauche de 2 à 3%. Que le candidat de l'UMP soit Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé, le président sortant, François Hollande, recueillerait 21% des voix, confirmant sa remontée dans les enquêtes d'opinion. Ce qui représente un gain de sept à huit points par rapport à la dernière enquête de fin octobre 2014 où il était entre 13 et 15%.
Sarkozy en recul de deux points
Que l'un ou l'autre soit le candidat de l'UMP, le Premier ministre Valls ferait mieux que François Hollande au premier tour, avec 23% (contre 17% dans l'enquête de juillet 2014 qui le testait face à Nicolas Sarkozy et d'autres candidats dont Mme Le Pen).
Nicolas Sarkozy (23%) est en recul de deux points, que ce soit face à François Hollande (en comparant à l'enquête de fin octobre) qu'il devancerait de deux points ou face à Manuel Valls (par rapport à l'enquête de juillet), avec lequel il ferait jeu égal.
Recul encore plus accentué pour Alain Juppé face à François Hollande, puisqu'il ne totaliserait plus que 23% contre 28% fin octobre, le président sortant recueillant 21%. Si le candidat socialiste était Manuel Valls, le maire de Bordeaux obtiendrait 22% (l'évolution du rapport de forces électoral entre les deux hommes ne peut être mesurée car ils n'ont pas figuré ensemble dans les sondages précédents).
Le score de Le Pen évolue peu selon l'identité de ses rivaux
Très élevé, le score de Mme Le Pen évolue peu selon l'identité de ses rivaux, mais elle ferait mieux face à Alain Juppé que face à Nicolas Sarkozy: 29% en cas de confrontation avec François Hollande et Nicolas Sarkozy, 30% face à Manuel Valls et Nicolas Sarkozy, 31% face à Hollande/Juppé ou face à Valls/Juppé.
Dans les duels de second tour face à Marine Le Pen, François Hollande l'emporterait (55% contre 45%), tandis que la victoire de Manuel Valls (61% contre 39%) ou de Nicolas Sarkozy (60% contre 40%) serait encore plus large. Alain Juppé n'est pas testé en duel face à la candidate FN.
Sarkozy l'emporterait face à Hollande au second tour
Si le second tour mettait aux prises François Hollande et Nicolas Sarkozy (hypothèse hautement improbable au vu des intentions de vote du premier tour), l'ancien président battrait nettement son successeur (57% contre 43%). Alain Juppé l'emporterait par vingt points d'écart (60% contre 40%).
La marge d'erreur est évaluée par l'Ifop à 2,5 points pour un score de 20%, de 2,8 points pour un score de 30%.
*Enquête réalisée en ligne du 21 au 23 janvier auprès d'un échantillon de 983 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d'un échantillon de 1051 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).Le Parisien
NdB: Encore un petit effort et c'est bon !
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VIDEO - Marion Maréchal-Le Pen au journaliste Gilles Leclerc: "On va vous avoir, ça va vous faire mal !"
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Le mariage d’un couple homo franco-marocain validé
18h56La Cour de cassation a validé mercredi le mariage d’un couple homosexuel franco-marocain, estimant que la liberté fondamentale de se marier l’emportait bien sur une convention bilatérale passée entre la France et le Maroc.
Ce mariage avait été validé par deux fois en octobre 2013, par le tribunal de grande instance puis par la Cour d’appel de Chambéry, mais le parquet général avait formé un pourvoi en cassation.
Merci à Lilib
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Contournement de la loi 1905, mode d’emploi (par François Baroin)
19h23BFMTV | Bourdin | 28/01/2015
- la laïcité, je sais que vous êtes un défenseur de la laïcité; comment ça se passe à Troyes ? Vous avez 1 mosquée et je crois qu’il y a 1 autre mosquée en construction, une grande mosquée
- on a un lieu de prière qui s’appelle une mosquée et il y a des projets d’aménagements
- vous les encouragez ces projets ?
- on les accompagne- donc on ne finance pas, on accompagne
- je ne suis pas pour le financement des établissements religieux : la loi 1905 (bla bla) séparation très stricte entre l’Eglise et l’Etat, alors on dit depuis, la religion musulmane s’est développée etc
On a les moyens juridiques parfaitement pour accompagner les représentants musulmans qui veulent pratiquer à ciel ouvert et non plus dans les caves comme par le passé et encore aujourd'hui d’ailleurs dans certaine parties de notre territoire; donc on peut pratiquer des baux emphytéotiques,des accompagnements dans des financements des associations culturelles : il y a des moyens qui ne sont pas des contournements mais qui sont des moyens d’accommodements intelligents pour permettre à une religion de pratiquer son culte : c’est aussi ça l’esprit de la loi de 1905
- mais on ne va pas plus loin ?
- on ne va pas plus loin, en revanche …FDS
Mais qui va croire ça? Les veaux, les bobos?
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Pour Manuel Valls « le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens »
28 janvier 2015 par admin4 - Contre-info.comL’écrivain israélien
Une assertion nullement étayée dans cette haineuse tribune publié par le quotidien rothschildien.
Mais celle-ci recèle une autre pépite.L’auteur écrit en effet que « le Premier ministre français, Manuel Valls, avec une grande générosité d’esprit, a proclamé que le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens ».
Dans ce cas-là, il faut savoir que ce ne sont pas des propos discriminatoires, non.
En revanche, l’inverse relèverait d’un racisme et d’un antisémitisme effroyables, passibles des tribunaux : c’est cela, la logique républicaine.
Idem lorsque ce même homme disait que « les juifs sont à l’avant-garde de la République ». -
L’État Islamique en déroute ?
28 janvier 2015 par Pierrot - Contre-info.com
Les revers successifs infligés par l’armée syrienne, les Kurdes, les Irakiens et la coalition internationale pourraient expliquer cette nouvelle vidéo (ci-dessus). Les barbus promettent aux Français, aux Belges et aux Américains de nouveaux attentats sur leurs sols avant d’égorger un soldat kurde.Lu sur le Réseau Voltaire :
La ville de Kobané a été presque entièrement libérée par les forces du PYG (Syriens kurdes alliés du PKK turc) avec le soutien de l’aviation de la Coalition internationale anti-Daesh.
Il semble que deux tiers de la totalité des bombardements effectués par la Coalition l’aient été à Kobané.
On compte au moins 1 200 morts du côté des jihadistes et 800 du côté syrien, mais le bilan pourrait être beaucoup plus lourd.
Au même moment, l’armée arabe syrienne a terminé l’encerclement des zones occupées par les jihadistes à Alep et sa banlieue. Ceux-ci ne devraient donc plus pouvoir être ravitaillés depuis la Turquie.
Enfin, l’armée arabe syrienne poursuit son attaque contre Daesh à Deir-es-Zor où les jihadistes tiennent encore l’aéroport militaire.
En définitive, les jihadistes se replient sur Raqqa où la bataille a commencé.
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Florian Philippot invité de Mardi Politique
F. Philippot: «Le clivage gauche-droite est... par rfiFlorian Philippot était l’invité de Mardi Politique. Le Vice-président du Front National était interrogé par Pierre Firtion (RFI), Roselyne Febvre (France 24), Christophe Forcari (Libération).
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L’Iran organise un concours international de dessins sur le thème de l’Holocauste
- Publié le : mercredi 28 janvier 2015
- Mots-clés : Histoire; Humour; Iran; Seconde Guerre mondiale
- Commentaires : 19
- Source : E&R
En réponse à la « Charlie-mania » qui s’est emparée de l’Occident, la République islamique d’Iran, dans un esprit finalement très « Charlie », lance un concours international de dessins sur le thème de l’Holocauste.
Organisé par la Maison de la bande dessinée de l’Iran et le complexe culturel de Sarcheshmeh, ce concours est le deuxième dans son genre. Le premier s’était déroulé en 2006 suite à la publication de caricature de Mohammed dans un journal d’extrême droite danois.
« L’organisation de ce 2e concours international de dessins sur l’Holocauste est une protestation à la récente publication récente de caricatures offensant le prophète Mohammed dans le journal français Charlie Hebdo », a indiqué le secrétaire du concours, Masud Shojaei-Tabatabaii, directeur de la Maison de la bande dessinée de l’Iran, lors d’une conférence de presse le 24 janvier dernier. Shojaei-Tabatabaii a ajouté que les dessinateurs du monde entier sont invités à soumettre leurs œuvres avant le 1er avril 2015.
Les thèmes du concours sont les suivant :
1. Si l’occident ne connaît pas de limite à la liberté d’expression, pourquoi ne permet-il pas aux chercheurs et historiens de travailler sur l’Holocauste ?
2. Pourquoi les Palestiniens opprimés devraient compenser l’Holocauste, alors qu’ils n’ont eu aucun rôle durant la Seconde Guerre mondiale ?
3. La préoccupation d’autres holocaustes tels que l’Holocauste atomique ou encore l’Holocauste irakien, syrien ou en cours dans la bande de Gaza. Le premier prix est de 12 000 dollars, le second de 8 000 dollars et le troisième de 5 000 dollars. Les meilleurs œuvres sélectionnées seront exposés au Musée d’art contemporain de la Palestine à Téhéran et dans plusieurs autres emplacements de la capitale iranienne.
Pour plus d’informations :
http://www.irancartoon.com/the-second-holocaust-international-cartoon-contest-2015/#E&R
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Nice : à 8 ans, un écolier convoqué pour "apologie de terrorisme"
Mis à jour : 28-01-2015 20:03- Créé : 28-01-2015 17:47POLEMIQUE – L'écolier niçois avait dit "Je suis avec les terroristes". Il a été entendu par un officier de police judiciaire en présence de son avocat. Selon le rectorat, le père de l'c'est évidentlève s'était montré menaçant avec le directeur de l'école.
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Christine Lagarde lèche-babouche (Présent 8281)
27/01/2015 – RIYAD (NOVOpress)
Après les condoléances appuyées de François Hollande au nouveau roi Salmane, c’est Christine Lagarde qui a rendu hommage samedi au roi Abdallah d’Arabie saoudite, décédé la veille. Un hommage honteux. Scandaleux. Au cours duquel la présidente du FMI est allée jusqu’à saluer ce « grand leader » qui « était, de manière discrète, un grand défenseur des femmes » !Une véritable provocation
Une véritable et insupportable provocation quand on sait que sous cette tyrannie wahhabite, fondée sur l’application la plus stricte de la charia, les femmes sont, de leur naissance jusqu’à leur mort, sous la tutelle permanente et légale des hommes. Pour étudier, se marier, voyager, pratiquer l’une des très rares professions qu’elles ont le droit d’exercer, subir une opération chirurgicale… Rien ne se fait sans l’autorisation du père, du mari, du frère, de l’oncle ou encore du fils. Et puis, il y a la liste interminable des interdits : activité sportive, conduite automobile… Pensez qu’il aura fallu attendre 2013 pour que ces dames soient autorisées à faire… du vélo ! Et encore : à condition d’être accompagnées d’un homme de leur famille et dans les zones de faible affluence.
Barbarie institutionnalisée
Dans ce beau pays où la plupart des bâtiments ont une entrée pour les hommes et une autre pour les femmes, les violences conjugales sont quasiment impunies. Et gare à celles qui tombent entre les mains de la sinistre Muttawa : flagellations, lapidations et même décapitations sont monnaie courante.
Une barbarie dont les femmes, d’ailleurs, ne sont pas les seules victimes : pour avoir défendu la liberté d’expression, considérée comme « une insulte à l’islam », le blogueur Raif Badawi a ainsi été condamné en novembre 2014 à dix ans de prison, une amende de 1 000 riyals et 1 000 coups de fouet. Il s’est d’abord vu infliger, le 9 janvier dernier, devant une mosquée de Jeddah, les 50 premiers coups de fouet et devait en recevoir 50 autres vendredi. Mais en raison d’une cicatrisation lente de ses premières plaies, la seconde flagellation a dû être reportée…
Franck Delétraz
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Provence: la récolte des violettes a commencé à Tourettes-sur-Loup
Rafraîchissant!
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RER A : Elle s’endort dans le train et se fait violer par des « Roumains »
2h20Une jeune femme qui s’était endormie dans un train de banlieue parisienne a été agressée par deux hommes. Ils ont été remis à la justice.
Deux hommes ont été arrêtés et déférés devant la justice, soupçonnés d’avoir violé, pendant qu’elle dormait, une femme dans une rame du RER A entre Paris et Cergy (dans le département du Val-d’Oise), a-t-on appris lundi 26 janvier de source policière.
La jeune femme de 21 ans a expliqué aux policiers s’être assoupie après avoir pris son RER A dimanche 18 janvier vers 8 heures du matin à la station Charles de Gaulle en direction de Cergy-Préfecture «un jour et une heure où peu de gens sont présents dans le RER», selon cette source.
Elle a assuré aux policiers qu’à son réveil, un homme était en train de la violer tandis que son complice était en train de lui voler son téléphone portable. Elle est parvenue à sortir du RER à la station Cergy-Préfecture.
Les deux hommes ont été retrouvés
Grâce aux images de vidéo-surveillance et à l’exploitation du téléphone de la victime, les enquêteurs de la sûreté régionale des transports sont parvenus à «loger» le violeur présumé, un "Roumain" de 20 ans, aux abords d’un hôtel désaffecté de Villiers-le-Bel, et à l’interpeller mercredi.Son complice, un "Roumain de 18 ans, se sachant recherché, s’est lui rendu aux enquêteurs vendredi. Après avoir été placés en garde à vue, les deux ont été déférés devant le parquet de Pontoise.
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Au camp des Milles, Denise témoigne de l'horreur d'Auschwitz
Mardi 27/01/2015 à 20H10 Les MillesDans le silence du Site-Mémorial des Milles, 70 ans jour pour jour après la libération du camp d’Auschwitz, de jeunes lycéens ont rendez-vous avec l’Histoire. Encore sonnés par l’éprouvante cérémonie donnée plus tôt près du wagon du souvenir, ils visionnent à présent "Auschwitz, voyage au bout de l’enfer" ; leurs visages tirés trahissent leur effroi. Le film est interrompu. Une vieille dame apparaît dans la pénombre, sous un épais chapeau de velours côtelé. Si petite, dans son manteau bleu pâle, et pourtant impressionnante de charisme, Denise Toros Marter promet de tout dire. Mais vite.
"La cérémonie de ce matin m’a beaucoup fatiguée, il faisait si froid !" Le froid, à 87 ans, Denise s’en souvient encore. Ses orteils surtout, lorsqu’à sa libération du camp d’Auschwitz, il a fallu lui en amputer quatre parce qu’ils étaient atteints de gangrène. "Pourquoi vous a-t-on déportées, vous et votre et votre famille ?", demande simplement une élève. "Parce que nous étions de confession israélite, pas particulièrement pratiquants, traditionalistes. On respectait simplement les grandes fêtes." Denise oublie sa fatigue. Elle veut témoigner à tout prix, en détail, depuis son enfance et le plaisir qu’elle avait à écouter ses arrière-grands-parents parler en provençal. "On se croyait protégés des occupants nazis", lâche-t-elle.
Et puis non. Le 23 mai 1944, Denise, ses parents, un de ses frères et sa grand-mère sont arrachés à leur vie marseillaise. Déportés. L’effroyable séjour au camp, le travail, l’usure, Denise raconte tout. Jusqu’à la libération du camp, le 27 janvier 1945 et son retour en France, cinq mois après. "Nous revenions mes frères et moi, orphelins. Nos parents et notre grand-mère, on les avait mis dans une chambre à gaz puis dans les fours crématoires."
Au centre de rapatriement, dans l’hôtel le Lutetia, on lui montre des photos. Avez-vous vu ma fille ? Avez-vous vu ma mère ? "Sur les images, il n’y avait que de superbes femmes aux cheveux longs... Ce que j’avais vu à Auschwitz, ce n’était que des femmes amaigries et tondues. Je ne pouvais rien leur dire..." Et cela durera vingt ans. Vingt ans de silence, le temps de se reconstruire, d’essayer, au moins. "Avant de parler, il fallait trouver un équilibre, reconstituer une famille, l’heure était à l’apaisement des esprits." Puis, les premiers films, les premiers documents et les premiers négationnistes, aussi. "Là, on a compris qu’il fallait parler." Depuis, Denise Toros-Marter ne s’est plus arrêtée.
Mais hier, plus que d’habitude, un mot revenait souvent dans son discours : vigilance. "Malheureusement, d’année en année, on est confronté à des événements qui nous meurtrissent. On avait dit plus jamais ça et on est obligé de reconsidérer qu’il y a une nouvelle forme de racisme et d’antisémitisme qui se propage. Il faut absolument s’élever contre ça, il faut qu’on arrive à déceler le danger que ça représente, il faut que vous, les jeunes, fassiez très attention. Vous êtes nos héritiers, les témoins des témoins et vous devez être vigilants à toute percée du racisme parce que ça commence comme ça et puis vous voyez comment ça aboutit..."
La Provence
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La récompense du FN sème le trouble lors de la cérémonie du Trombinoscope !
LE SCAN POLITIQUE - Le maire frontiste Steeve Briois a reçu le prix de l'élu local 2014 dans la résidence officielle du président de l'Assemblée nationale. Celui-ci a boycotté l'événement. Les ministres primés se sont, eux, fait excuser.
Il est arrivé en avance, à l'Hôtel de Lassay, la résidence du président de l'Assemblée nationale. Steeve Briois, maire FN d'Hénin-Beaumont, a invité les parlementaires frontistes Marion Maréchal Le Pen, Gilbert Collard et Stéphane Ravier à venir avec lui recevoir son prix d' «élu local» de l'année 2014 décerné par Le Trombinoscope, mardi soir. En 20 ans, c'est la première fois que le Front national est récompensé lors de cette cérémonie, dont le jury est composé de journalistes.
«On se met où? On n'est pas habitués!», plaisante Marion Maréchal Le Pen. Les quatre élus avancent d'un pas hésitant mais fier dans les salles pompeuses. Ils prennent place aux premiers rangs, alors que la salle se remplit lentement. Visiblement enchantés d'être conviés, ils plaisantent entre eux, prennent des selfies, tandis que la cérémonie tarde à débuter.
Le président UMP du Sénat Gérard Larcher, ainsi que le député PS frondeur Laurent Baumel, également primés, arrivent quelques minutes plus tard. Mais les caméras et appareils photo sont braqués sur les frontistes. Alors que la cérémonie a lieu chez lui, Claude Bartolone a fait savoir plus tôt dans la journée qu'il boycotterait l'événement, qu'il aurait normalement dû introduire par un mot d'accueil. En cause: la récompense accordée au maire d'Hénin-Beaumont et vice-président du parti de Marine Le Pen, Steeve Briois.
Un geste rapidement soutenu par 10 députés socialistes du Pas-de-Calais, qui ont publié un communiqué pour condamner le «choix sensationnaliste» du Trombinoscope susceptibles de «blesser» les élus locaux. «Nous saluons la décision du président Bartolone de ne pas participer» soutiennent-ils.
Valls excusé, Macron et Royal prétextent l'indisponibilité
Avant de livrer un hommage aux «confrères de Charlie Hebdo», Arlette Chabot, présidente du jury du Trombinoscope, a jugé nécessaire de faire une mise au point sur la polémique. «Le jury est influencé par l'actualité politique. Nous avons fait nos choix en décembre», se justifie la journaliste visiblement embarrassée. D'ordinaire festive, la cérémonie se déroule dans une ambiance pesante. Les habituelles badineries qui ponctuent les discours ont cédé face au malaise, les applaudissements sont timides.
Les distinctions décernées à Laurent Baumel, socialiste frondeur, pour le titre de «député de l'année» et à Gérard Larcher, président du Sénat, pour le «sénateur de l'année», n'ont pas fait de vagues. Alors qu'elle était restée floue sur sa présence, la ministre Ségolène Royal, décorée du titre de «ministre de l'année 2014», s'est fait représenter au dernier moment par un chargé de mission. «Ségolène Royal est retenue au ministère», prétend-il, évoquant une rédaction sur la conférence environnementale COP21. Même scénario pour le ministre de l'Economie Emmanuel Macron, attendu jusqu'au dernier moment. «Il est au banc», élude à la tribune une assistante parlementaire. En séance dans l'Hémicycle pour le débat portant sur sa loi, tout près de l'Hôtel de Lassay, Emmanuel Macron a visiblement lui aussi choisi le boycott. Quant à Manuel Valls, «personnalité politique de l'année», selon le Trombinoscope, il avait une bonne excuse: il était retenu dans le Doubs, pour un meeting.
Le président de Public Sénat refuse de donner le prix à Steeve Briois de ses propres mains
C'est Gilles Leclerc, président de la chaîne de télévision Public Sénat, qui est chargé de remettre le prix à Steeve Briois. La scène est scrutée et attendue par l'ensemble de l'assistance. Sur l'estrade, le journaliste, gêné, prend soin de préciser qu'il n'était pas forcément «volontaire» pour «cet exercice particulier». «Il est rare que le jury remette un prix à un politique non pas pour ce qu'il a fait», argumente Gilles Leclerc. «Il fallait souligner le symbole», poursuit-il, soulignant les victoires électorales du FN aux élections européennes et municipales en 2014. «Où étiez-vous le 11 janvier monsieur Briois?», a conclu le journaliste, dans une interrogation qui sonne comme une accusation. Le président de Public Sénat a quitté l'estrade avant que Steeve Briois le rejoigne, laissant une hôtesse de la cérémonie remettre elle-même le prix.
Les parlementaires frontistes exultent. Le discours de Gilles Leclerc les fait rire aux éclats. Steeve Briois reçoit son prix en condamnant «l'interrogatoire de police», auquel il a été soumis, selon lui. «Ce prix, attribué visiblement à contrecœur, me va droit au cœur», a-t-il célébré, se disant «fier» de cette récompense d'élu local de l'année, «qui met fin à une certaine injustice».
Marion Maréchal Le Pen: «On est remontés à bloc»
À l'issue de la cérémonie, les parlementaires FN crient au loup. «Gilles Leclerc aurait pu recevoir le prix de l'aplaventrisme! Le prix de la carpette! Il est minable!», s'égosille Stéphane Ravier, sénateur FN des Bouches-du-Rhône et maire du 7ème secteur de Marseille. L'élu s'en prend directement au journaliste, qui passe à côté de lui: «Vous avez rampé! Vous auriez du être neutre mais vous êtes un militant! C'est de l'impolitesse! Vous auriez du envoyer directement le prix à Hénin-Beaumont», s'énerve Ravier, qui estime que le président de Public Sénat a «jugé» les bilans municipaux du FN notamment à Marignane et à Toulon. «Ce n'est pas un jugement personnel, les maires FN n'ont pas été reconduits», se défend Gilles Leclerc. «On a assumé ce prix».
«On a bien rigolé, j'ai même remercié ‘monsieur Clavel'(Leclerc, Ndlr)», résume Marion Maréchal Le Pen, qui n'a manifestement pas retenu le nom du président de Public Sénat. «Maintenant, on est remontés à bloc». Au buffet, Arlette Chabot, Laurent Joffrin, Gilles Leclerc et Christophe Barbier, membres du jury du prix du Trombinoscope, se sont déjà éclipsés.
LE FIGARO
HONTEUX !