GAELLE MANN - Page 8
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PAS DE QUOI RIRE
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Emmanuel Macron recule dans un nouveau sondage
D'après des travaux Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, l'approbation de l'action du chef de l'État recule de trois points.
Le grand débat n’est pas encore terminé que, déjà, Emmanuel Macron n’en récolte plus les fruits. Selon ce qu’indique le dernier tableau de bord Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, 31% des Français approuvent son action, soit une baisse de trois points.
En baisse chez les sympathisants LR
Si son électorat du premier tour de la présidentiel continue de se remobiliser (72%, + 9 points), Paris Match indique que la baisse est nette chez les personnes de plus de 65 ans (30%, -12 points) et les retraités (30%, -13 points). De la même manière, l’inversion se fait aussi chez les sympathisants Les Républicains (30%, -17 points).
Autre révélation de ces travaux : le « grand débat national » n’est plus l’un des principaux sujets de conversation des Français (32%, -18 points), tandis que les « gilets jaunes » sont un thème cité par 67% des personnes interrogées. A noter également que 46% des sondés (-8 points) estiment que le président « ne défend pas bien les intérêts de la France à l’étranger », écrit Paris Match, précisant qu’il s’agit « peut-être d’un effet de sa discrétion sur deux dossiers : le retour des djihadistes français et la situation en Algérie. »
VA
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JT TVL 05/03/19
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Mohamed Sifaoui : « 15 millions d’Algériens pourraient venir (en France) de manière légale »
13h43Esprits Libres – 05/03/19
Algérie: « 10 à 15 millions de personnes peuvent arriver en France, en cas de catastrophe »
(Merci à dobsky)
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Condé-sur-Sarthe (61) : un détenu radicalisé et sa compagne poignardent 2 surveillants en criant « Allah Akbar » (MàJ : le RAID les neutralise, la femme est tuée)
20h48MàJ 05/03/2019, 21h00
C’est une prison qui n’a jamais été remplie(…) On a mis de l’argent pour désécuriser cet établissement(…) on a une prison qui est à moitié vide(…) On a même des détenus qui refusent de quitter Condé-sur-Sarthe tellement ils y sont bien
Emmanuel Baudin – Secrétaire Général du Syndicat National Pénitentiaire F.O.
La compagne du détenu qui a poignardé deux surveillants de prison est décédée dans l’assaut du RAID. L’auteur de l’attaque, Michaël C., a pour sa part été blessé lors de l’intervention des forces de l’ordre.
« L’intervention du Raid est en cours » à la prison d’Alençon-Condé, ont indiqué des sources concordantes à l’Agence France presse.
Le secrétaire national de Force ouvrière, Emmanuel Guimaraes, a confirmé qu’il « y avait bien deux couteaux en céramique ». La compagne de Michaël Chiolo est « celle qui a donné les coups en premier », poursuit-il. Lors de l’attaque, le couple aurait crié « Vous êtes des mécréants, vous allez mourir ».
Le profil du détenu qui s’est retranché dans la prison de Condé-sur-Sarthe après avoir gravement blessé deux surveillants est particulièrement inquiétant. L’homme purge actuellement une longue peine pour séquestration, torture et meurtre.
Michael Chiolo a été condamné à 28 ans de prison ferme pour avoir séquestré, torturé puis finalement mis à mort un homme en avril 2012 à Montigny-lès-Metz. […] il échappera à la perpétuité requise mais écopera malgré tout d’une lourde peine. Les deux autres accusés seront, eux, condamnés à 28 et 18 ans de prison.
Converti à l’islam depuis 2010, il s’est distingué en 2015 en criant « Bataclan » dans la cour de promenade de la prison et en mimant les attentats qui avaient endeuillé la France le 13 novembre 2015. Il a écopé d’un an de prison pour apologie d’actes terroristes avant d’être transféré à Condé-sur-Sarthe.
Mickaël C., un détenu radicalisé, a donné plusieurs coups de couteau à deux surveillants de la prison d’Alençon-Condé-sur-Sarthe (Orne) ce mardi 5 mars. L’agression s’est déroulée dans une unité de vie familiale, où il venait de passer le week-end avec sa compagne, et où il est toujours retranché. Le Raid est sur place.
La compagne du détenu aurait introduit en détention l’arme de l’agression, un couteau en céramique. « La céramique ne sonne pas au portique. Enceinte, elle n’a pas été fouillée », explique Force ouvrière. Le syndicat indique également qu’elle aurait participé à l’agression sur l’un des surveillants.
Depuis 9h45, le détenu est retranché avec sa compagne, Hanane A. et inconnue des services de police, dans une unité de vie familiale (UVF). Selon nos informations, cette dernière est enceinte. L’assaillant dit par ailleurs être en possession d’une ceinture d’explosifs, ce que personne n’a pu vérifier.
« Le caractère terroriste de cette attaque ne fait aucun doute », a déclaré la ministre de la Justice, à propos de la situation à la prison de Condé-sur-Sarthe.
Selon plusieurs médias, le détenu a agressé les surveillants en criant « Allah Akbar ».
« Il y avait du sang partout, c’était une scène de boucherie. Nous avons dû les maintenir éveillés pour qu’ils ne perdent pas connaissance« , a fait savoir à Ouest-France un responsable syndical à propos de ses collègues blessés.
« Nous avons un acte terroriste qui s’est déroulé en prison », a vivement réagi Yoann Karar, le secrétaire général adjoint de FO Pénitentiaire, sur l’antenne de BFMTV.
Deux surveillants de la prison de Condé-sur-Sarthe dans l’Orne ont été agressés par un détenu radicalisé muni d’une arme artisanale. Le pronostic vital de l’un des deux agents est engagé.
Les faits se sont déroulés aux alentours de 9 heures, le détenu est actuellement retranché dans la prison. Le Raid et les Eris, les équipes régionales d’intervention et de sécurité, ont été appelés sur place. Inauguré en 2013, le centre pénitentiaire d’Alençon-Condé-sur-Sarthe abrite des détenus violents et dangereux qui n’ont plus rien à perdre. C’est l’une des deux prisons les plus sécurisées de France, avec Vendin-le-Vieil.
Le centre pénitentiaire d’Alençon-Condé-sur-Sarthe a ouvert un quartier spécial pour détenus radicalisés. La création de ce nouveau QPR avait été annoncée en février par le gouvernement.
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JT TVL lundi 4 mars 2019
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La disparition programmée de la langue française - par Pierre-Emile Blairon
J’ai dans ma bibliothèque quelques livres de grammaire et de langue française (chinés dans les vide-greniers) dans un état qui laisse supposer qu’ils ont été fréquemment pris en main. Par exemple, celui-ci, dont la trente et unième édition (!) fut imprimée en 1950. C’est un manuel de grammaire destiné aux classes de sixième. La deuxième leçon présente, dans la rubrique La vie des mots, le texte suivant : « Le sens des mots s’élargit : Le mot boucher désignait au Moyen-Age l’homme qui vendait de la viande de bouc. Un panier n’était proprement qu’une corbeille à pain. Le mot bureau a désigné tout d’abord un petit morceau de bure ou étoffe grossière, ensuite le meuble sur lequel on pose cette bure, puis la salle dans laquelle ce meuble est placé… »
Qui d’entre nous sait encore ce qui constituait, pour un élève de sixième en 1950, le B.A ba de son apprentissage de la langue française ?
L’histoire des mots venait en parallèle de l’histoire des hommes ou de l’histoire d’une nation car les notions de langue, de citoyenneté et de nation étaient naguère (c’est-à-dire il n’y a guère de temps, dans un passé récent) intimement liées.
18 ans après, il ne resterait rien, en quelques mois, de cet ancestral mais fragile ordonnancement des règles subtiles et précieuses de notre langue ; la révolte de mai 68 était passée par là ; rébellion plus que révolte des étudiants petits-bourgeois, enfants de grands bourgeois, marxistes d’opérette qui, pour faire la nique à papa et à maman (expression qui a trouvé son délicat point d’orgue, ou son point G, de nos jours), se donnait pour tâche d’appliquer en France les pratiques radicales (et collectivistes en matière d’éducation) du Petit livre rouge de Mao.
C’est ainsi que, de démission en démission (de ministres de l’Education nationale) et de dogmatisme idéologique en abdication laxiste, désinvolte ou inconsciente (on pense à cette professeur-e ou professeuse qui, le pistolet sur la tempe, était en train de rigoler bêtement), les « maîtres » ont renoncé à inculquer la moindre règle de grammaire ou d’orthographe aux petits Français. C’est ainsi que ceux qui fréquentent les réseaux sociaux ou qui s’enquièrent de quelques commentaires sur internet peuvent lire ces perles que j’ai relevées (en l’état) en quelques minutes sur la toile, qui pourraient prêter à sourire, si elles n’étaient pas aussi tragiquement révélatrices d’un épouvantable désastre : l’indigence de notre enseignement qui a fabriqué des analphabètes en masse.
- « moi je dit que cette imprimant vaux le coût quand ton voix les prix des cartouche cet imprimante est a 599€ mais je dit que l'on peu faire des économies sur les cartouche d'encre. »
- « Feu circoncis sans dégât de la raffinerie !"
- "Le politicien qui se fait dessus plus vite que son nombre ! »
- Ils font aussi faucheton que tout la bande
- Bonjour à tous allor comme je ne suis plus censuré je reviens vaire vous pour nôtre petit concours national, avez vous fait vaut pancarte et, ou banderole avec revendications à metre partout en ville ?
- "les règles imposé ne sont pas les n'autres !"
- il faudrait arrêter d accuser à tord et art vers.
- « maintenant sa de viens du n'importe quoid »
Effectivement, ça devient n’importe quoi… Pour beaucoup de personnes, l’attention que l’on accorde à l’orthographe et à la grammaire est une question de bonne éducation ; quand on écrit, on s’astreint, par respect de soi et des lecteurs, par courtoisie, à éviter les fautes ou à les corriger, comme on peut trouver naturel de dire bonjour à sa boulangère.
D’autres – les plus nombreux, hélas – ne voient pas cette nécessité. Ils estiment que la forme importe peu du moment qu’on se fait comprendre. En d’autres termes, qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse. C’est effectivement un raisonnement de pochard. Un homme bien né et bien éduqué ne boit pas du champagne dans une tasse à café et nos amis belges savent bien qu’une bonne bière ne peut être dégustée dans n’importe quel bock ; chaque bière de tradition a d’ailleurs élaboré son propre verre comme, en France, il existe des verres pour déguster du bordeaux, du bourgogne ou de l’alsace.
Le flacon, en même temps qu’il contient le nectar, lui donne sa forme, sa structure, et sublime ses qualités. Sans contenant, il n’y a pas de contenu. La langue française contient à elle seule tout le génie français.
La langue, l’écriture, l’expression, la communication.
On a prétendu que le XXIe siècle allait être celui de la communication. C’est vrai qu’il n’y eut jamais autant d’outils pour la servir ni autant de mots pour la définir. Mais il est vrai aussi qu’il n’y eut jamais aussi peu de liberté d’expression ; on croyait 1984 dépassée, mais cette année rendue intemporelle par George Orwell arrive en 2019, au pas clouté des flics-robots anonymes, cachés derrière leurs visières et leurs boucliers, sans pitié, sans états d’âme ni de service.
« Une langue est un système conventionnel de signes utilisé par un groupe social (Larousse) qui ne précise pas : humain.
Les animaux, eux, ont des moyens de communiquer très variés (chant des baleines ou des oiseaux, danse des abeilles, postures des chiens, etc.) qui laissent supposer que les hommes auraient bien à en apprendre, même s’ils ne se servent ni de leur langue (comme organe vocal) ni de l’écriture.
Certains situent les débuts de l’écriture à Sumer en Mésopotamie (l’actuelle Irak) environ quatre millénaires avant notre ère ; mais les tablettes de Tartaria découvertes en Roumanie pourraient être antérieures de 1500 ans à l’écriture sumérienne si leur authenticité est prouvée.
Nos ancêtres les Gaulois
La civilisation celtique, installée sur la quasi-totalité de l’Europe avant l’émergence des civilisations grecque et romaine, a fait son apparition un millénaire avant notre ère, son écriture, et les quelques bribes de gaulois dont nous avons héritées (quelques dizaines de mots[1]), est apparue trois ou quatre siècles après, mais nous n’en avons aucune certitude.
Les druides étaient les représentants sacerdotaux des Gaulois, intercesseurs entre le peuple et les dieux, mais aussi leurs sages et leurs savants ; leur parole prévalait sur celle du roi ; leur parole… car les druides n’écrivaient pas et n’enseignaient pas l’écriture, qu’ils connaissaient parfaitement[2], mais qu’ils considéraient déjà comme l’un des éléments de la fin du cycle, une concession faite à la matérialité ; les candidats à la fonction druidique apprenaient pendant une vingtaine d’années les bases de la sagesse (la connaissance) celte en faisant travailler leur cerveau, leur mémoire et en les vérifiant sur le terrain.
Ce rigorisme spirituel n’a pas servi la culture celte ; les historiens et les « intellectuels » ont considéré la civilisation celte comme négligeable pace qu’elle n’avait laissé ni une écriture complète et des écrivains, ni des temples à colonnes, ni un art de la guerre. La force des Romains et la raison des Grecs semblent avoir gagné sur la spiritualité des Celtes. Pourtant, les druides connaissaient le langage des dieux qui est celui des symboles ; pour les druides, la langue des dieux ne pouvait pas s’écrire ; plus tard, pourtant, une écriture est née de ce langage des formes qui ne s’adresse qu’à l’intuition, au cœur et à l’intelligence, il s’agit de l’écriture runique dont on découvre peu à peu sa richesse[3]
Ce sont les Gaulois qui ont inventé la charrue et les plus importantes méthodes de culture du sol, avec lequel ils entretenaient des liens magiques, et ce sont eux qui travaillaient le plus finement l’art de la parure et des bijoux. A la fois des paysans frustes et des artistes délicats. Le génie français vient de cet antagonisme apparent. Et, comme tout est analogie, un autre antagonisme apparaîtra issu du premier avec les langues régionales, implantées dans le terroir de leurs ancêtres, et, plus tard, la langue française dont s’entichera toute l’Europe pour sa délicatesse et sa préciosité. C’est ce que Spengler appellera une langue de culture, voire de civilisation puisque le français tendra à l’universalité.
Les langues régionales
Les langues régionales, elles, naissent du sol, du terroir, chacune portant dans son accent toute l’histoire d’un pays, jusqu’aux moindres intonations, la couleur des toits et des robes, le souffle du vent, le chant des oiseaux, l’odeur des foins, les gestes des semeurs, des bûcherons, du cordonnier, la chaleur des amitiés, la défiance de l’étranger en même temps que le sens de l’hospitalité. Le gallo-roman a donné naissance à la langue d’oc au sud et d’oïl au nord mâtinée de franc. Dans les abbayes romanes construites sur les lieux sacrés des païens, les moines copistes, dans le froid et le silence des scriptorii, s’évertuent à éradiquer les derniers témoignages des anciens guérisseurs des campagnes, à propager la parole du nouveau dieu et à l’enluminer.
L’apparition de la langue française et son triomphe dans le monde
En 1539, François Ier, par l’Edit de Villers-Cotterêts, imposera le français comme langue administrative de tout le royaume et les Révolutionnaires jacobins de 1789 continueront l’œuvre de centralisation et d’uniformisation des rois en interdisant les langues régionales.
La langue française ne pouvait que triompher et les langues régionales péricliter ; les élèves des troisième et quatrième républiques s’appliquaient tout autant à écrire leurs dictées - peut-être en tirant la langue - que les scribes du Moyen-Age à reproduire les textes sacrés. Jusqu’en 1968, la langue française conservera de par le monde une aura indéniable et, en France même, une utilisation châtiée, ou tout au moins policée, jusque dans les milieux les plus modestes. Un enfant d’ouvrier maniait la langue française avec autant d’aisance et de maîtrise qu’un enfant de bourgeois.
Puis le paysan fut moqué et la terre natale désertée. Ce fut la ruée vers les villes, les mégapoles, la mondialisation, le mondialisme ; l’anglais basique remplaça le français comme langue universelle.
L’éternel combat entre la qualité et la quantité allait ressurgir ; quand le français était devenu la langue européenne au XVIIIe et mondiale au XIXe siècle, sa difficulté à la maîtriser constituait, paradoxalement, l’un de ses atouts, à des époques où le goût de l’effort était répandu, mais aussi parce qu’on lui reconnaissait cette beauté qui s’était patiemment construite et qui avait fini par devenir naturelle : la distinction s’apparentait alors à la grâce. Ceux qui avaient consenti (entre autres) à cet effort étaient légitimement l’élite d’une nation.
« Notre langue est réputée pour sa clarté, pour la précision de son vocabulaire, pour la richesse de ses verbes et de leur construction, pour la force de sa syntaxe. C’est pour cela que toute l’Europe se l’est appropriée il y a trois siècles. » disait Hélène Carrère d’Encausse devant les membres de l’Académie française en 2002.
Hélène Carrère d’Encausse poursuivait : « « L’enseignement, tel qu’il était conçu, enserrait l’élève dans les mailles serrées d’un même savoir lui offrant la maîtrise de la langue, la connaissance de l’histoire nationale, d’une géographie remarquable par sa variété. Ce savoir commun à des générations de toutes origines les avait unifiées dans la certitude de partager un même passé, une même culture, un même patrimoine et par là même d’être unies dans un même destin et une même vision de l’avenir. Mais depuis presque un demi-siècle, des théoriciens de la pédagogie ont imposé au système éducatif français une idée que naïvement ils croyaient neuve, c’est que l’école avait pour mission d’écouter l’enfant au lieu de lui apporter les connaissances qui formeraient son raisonnement. »
En 2019, il est impossible d’avoir recours au passé et tout ce qui faisait le charme de la vie est interdit.
La langue française, à partir de 1968, fut méthodiquement, lentement mais rageusement et inexorablement, assassinée.
Qui sont les assassins ?
Les commanditaires de l’assassinat sont les idéologies progressiste et mondialiste, l’une et l’autre ayant pour but de faire table rase du passé quel qu’il soit et de détruire tout ce qui peut constituer un système structuré ou des points de repère : la langue, la nature, le patrimoine, le genre sexuel, l’architecture, la famille, l’identité, les cultures, l’histoire, les nations, les peuples, etc.
En ce qui concerne la langue française, leurs hommes de main – les exécuteurs des basses œuvres - sont l’idéologie, le laxisme, la paresse, le « progrès », le « politiquement correct », la superficialité, la mode qui s’entendent tous comme larrons en foire et il est bien souvent difficile de les distinguer.
L’idéologie est représentée par les fonctionnaires de l’Education nationale (autrefois appelés « maîtres »), par les féministes et les militants du « genre » (l’écriture dite « inclusive ») et par le politiquement correct, un totalitarisme importé des Etats-Unis.
C’est ainsi qu’une gomme devient un « bloc mucilagineux à effet soustractif », un nain, « une personne à verticalité contrariée », nager dans une piscine, c’est « se déplacer dans un milieu aquatique profond standardisé et traverser l’eau en équilibre horizontal par immersion prolongée de la tête ». Les lycéens ne savaient pas qu’il fallait, comme ils disent, « se prendre la tête » avant d’en piquer une.
Les féministes ont cru féminiser tous les noms de métiers en inventant des néologismes qui ne font que caricaturer leur recours inconscient et systématique au « mâle » dont elles ne cessent pourtant de dénoncer la prédominance : c’est ainsi qu’une « chercheure » devient le féminin de « chercheur » (un missile à tête chercheure ?) qu’une « auteure » est le féminin d’auteur alors que les membres de l’Académie française ont décidé de se lancer dans la surenchère et optent pour « autrice ». Qui sont les plus ridicules ? les précieuses ou les précieux ?
La reddition au « globish », cet anglais de basse-cour qui a envahi le monde, est le résultat d’un effet de mode, ceux qui veulent être « modernes », dans le vent (s’assimilant ainsi d’emblée à des girouettes), du laxisme de nos gouvernants qui n’ont rien fait pour protéger notre langue et, bien au contraire, tout fait pour l’éradiquer, tout comme nos médias qui ne manquent pas une occasion de remplacer un mot français existant par sa version globish, ce qu’ils font par snobisme, par mépris du peuple et par inculture.
Enfin le « progrès » technique planétaire mis à la disposition du plus grand nombre a zombifié de par le monde des millions de jeunes gens incapables de communiquer autrement que par leurs smartphones. Ils écrivent, certes, mais des SMS en langage phonétique dévalué dit « texto ».
Quel est, dans ce contexte, l’avenir de notre langue ? Bien sombre, vous en conviendrez. Il ne passe, comme tout ce que nous dénonçons dans bien d’autres domaines de notre culture agonisante, que par un profond changement de paradigme, un violent coup de barre qui arrêterait le processus d’involution et d’uniformisation par le bas, et qui ne peut être désigné, pour dire clairement les choses, que par un seul mot : révolution.
Pierre-Emile Blairon
[1] http://users.skynet.be/sky37816/Mots_gaulois.html
[2] L’écriture de Glozel, qui n’a jusqu’ici jamais pu être identifiée, pourrait bien être de l’ancien gaulois : voir la revue Ialon n°47
[3] Paul-Georges Sansonetti, Les Runes et la Tradition primordiale, éditions Exèdre.
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Yasmine remporte le prix de la « Jeune Européenne de l’année 2019 » décerné par le Parlement européen
23h33 -
Les propos du député Aurélien Taché comparant le port du voile islamique au port du serre-tête provoquent des remous au sein de LREM (MàJ : il s’excuse)
21h40
Twitter réagit à la déclaration du député Taché (LREM) :
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Paris. Un agent de la RATP perd une phalange après avoir été mordu par un voyageur
21h58Les faits se sont produits lundi à la Gare du Nord à Paris. Un homme a violemment agressé l’agent de sécurité du réseau qui venait de l’interpeller.
La sordide affaire remonte à quelques jours. Lundi, à la Gare du Nord (Paris, Xe), un agent du Groupe de protection et de sécurisation des réseaux (GPSR) a été violemment agressé. Dans des circonstances encore à déterminer, l’un des membres d’une équipe de quatre agents du GPSR, était en train d’amener un individu qu’il venait d’appréhender au commissariat. Mais ce dernier n’était visiblement pas disposé à se laisser faire. Il a mordu le pouce gauche de l’agent de sécurité si fort que ce dernier en a perdu la première phalange, son gant en cuir.
Selon les déclarations de la victime, le jeune homme interpellé aurait craché sur l’agent, qui a tenté de se protéger avec sa main. Ce jeune homme, âgé de 17 ans, et domicilié dans un foyer à Asnières (Hauts-de-Seine), faisait déjà l’objet d’un contrôle judiciaire pour une autre affaire.
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JT TVL vendredi 02/03/19
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Allemagne : de nombreux migrants ne supportent pas le sang européen, les hôpitaux cherchent des donneurs africains ou arabes
12h00*On recherche des donneurs originaires d’Afrique et du Proche-Orient
*De nombreux migrants ne supportent pas le sang européen
*Des recherches sont en cours sur les particularités du sang dans les différentes ethnies
Elizabeth Y. de Mettmann [Rhénanie-du-Nord-Westphalie] appelle publiquement à l’aide. Son fils a une maladie du sang qui met sa vie en danger. Seul un don de cellules souches peut l’aider. Mais le sang européen provoque souvent chez les migrants et réfugiés d’Afrique ou des pays arabes une réaction de rejet avec de graves conséquences pour la santé pouvant aller jusqu’à la mort.Le docteur Thomas Zeiler […] a lancé pour cette raison un projet de recherches de concert avec les hôpitaux universitaires de Düsseldorf et de Essen, ainsi qu’avec l’association Caritas. Il porte le nom de « Blustar.NRW » [NRW : initiales allemandes de Rhénanie-du-Nord-Westphalie]. Sont recherchés des donneurs de sang et de cellules souches venant des pays africains, mais aussi du Proche et du Moyen-Orient, ainsi que de Turquie.
C’est justement avec des patients qui ont immigré ces dernières années qu’on rencontre des difficultés au niveau des soins. Dans le même temps, grâce à ce projet subventionné par l’Union européenne, les recherches doivent être poursuivies sur les propriétés différentes du sang et des cellules souches dans les différentes ethnies.
[…]
(Traduction Fdesouche)
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Alexandre Benalla et Vincent Crase remis en liberté et placés sous contrôle judiciaire
JUSTICE La cour d'appel de Paris a décidé de remettre Alexandre Benalla et Vincent Crase en liberté, une semaine après leur placement en détention provisoire
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- Alexandre Benalla et Vincent Crase ont été remis en liberté, ce mardi.
- Ils avaient été placés en détention provisoire, il y a tout juste une semaine.
- Ils sont à nouveau placés sous contrôle judiciaire.
Ils auront passé une semaine tout pile en prison. Alexandre Benalla et Vincent Crase ont été remis en liberté et placés sous contrôle judiciaire ce mardi après-midi, a appris 20 Minutes de source proche du dossier. L’ancien chargé de mission d’Emmanuel Macron et son acolyte, mis en examen pour les événements de la place de la Contrescarpe, avaient été placés en détention provisoire le 19 février. Leur contrôle judiciaire avait été révoqué après la révélation, par Médiapart, d’enregistrements laissant entendre qu’ils s'étaient rencontrés alors qu'ils n'en avaient pas le droit.
Après avoir échoué à les remettre en liberté une première fois vendredi, les avocats des deux hommes avaient indiqué leur intention de saisir la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris. C’est donc celle-ci qui, à l’issue d’une audience qui a débuté à 9h, a finalement décidé de revenir sur la décision rendue il y a une semaine en remettant les deux hommes en liberté et en ordonnant, à nouveau, leur placement sous contrôle judiciaire. « Les mesures du [précédent] contrôle judiciaire reprennent leurs effets », a indiqué le parquet général de Paris dans un communiqué.
L’affaire la plus grave du quinquennat de Macron
Mis en examen pour les violences commises en marge des manifestations du 1er mai 2018 à Paris, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont entraîné l’exécutif dans une crise sans précédent depuis le début du quinquennat d'Emmanuel Macron. Jeudi dernier, la commission des Lois du Sénat a d'ailleurs éreinté l'Elysée pour sa gestion de l'affaire,mettant en avant de nombreux « dysfonctionnements ». Outre cette affaire de violences, l’ancien chargé de mission du président de la République est mis en cause pour avoir conservé ses passeports diplomatiques et de service, avoir obtenu un port d’arme de façon indue et il est soupçonné d'avoir conclu un contrat avec un oligarque russe sulfureux.
Placés sous contrôle judiciaire, Alexandre Benalla et Vincent Crase devaient, depuis cela, respecter plusieurs obligations, à commencer par le fait de ne pas se voir et ne pas se parler. Mais le 31 janvier, Médiapart a publié des enregistrements clandestins d’une conversation entre les deux hommes, datés du 26 juillet, prouvant donc qu’ils n’avaient pas respecté leurs obligations.
C’est après leur révélation qu’ils avaient été envoyés en prison – à la Santé pour Alexandre Benalla, à Bois-d’Arcy (Yvelines) pour Vincent Crase. Mais contestant la légalité des enregistrements, leurs avocats ont déposé plainte pour « atteinte à la vie privée ». De son côté, le parquet de Paris a décidé d'ouvrir une enquête afin d'identifier dans quelles conditions ces mystérieux enregistrements ont pu être effectués.
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JT TVL 01/03/19
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Aurillac (15) : un terroriste islamiste déchu de la nationalité française logé à l’hôtel aux frais de l’État, fureur du maire (MàJ)
J-2
Il existe un fanatisme des droits de l’homme, quand cette idéologie humanitariste est vécue comme une nouvelle religion. Ainsi, rien n’est plus révoltant que la décision de la Cour européenne des droits de l’homme, qui refuse toujours l’extradition vers l’Algérie d’un terroriste ayant purgé sa peine en France. Depuis sa libération en 2008, Kamel Daoudi est assigné à résidence aux frais de l’Etat. Après avoir été hébergé à Saint-Jean-D’Angely (Charentes Maritimes), il vient d’arriver à Aurillac (Cantal), où depuis plus d’une semaine la République lui offre l’hôtel. Le ministre de l’Intérieur n’a pas jugé utile de prévenir le maire, Pierre Mathonier (PS). Dans une lettre à Christophe Castaner datée du 19 février, l’élu dénonce « l’attitude dangereuse qui consiste d’un côté à solliciter les maires pour organiser le Grand Débat National afin d’aider à canaliser la colère qui gronde dans le pays, et de l’autre à les mépriser sur certains autres sujets ». Le franco-algérien, naturalisé français en 2001, avait été arrêté la même année en Grande-Bretagne dans le cadre du démantèlement d’une cellule d’Al Qaïda. Il avait précédemment fréquenté un camp d’entrainement en Afghanistan.
Kamel Daoudi, condamné pour un projet d’attentat terroriste, est assigné à résidence à Aurillac depuis le 15 février. Sa venue a été imposée par le ministère de l’Intérieur au maire. Pierre Mathonier réclame des comptes à Christophe Castaner dans un courrier.
Kamel Daoudi, condamné pour terrorisme et déchu de la nationalité française, doit pointer deux fois par jour au commissariat d’Aurillac. « Face à une décision d’une telle importance et sur un sujet aussi sensible que le terrorisme, il me semble que le maire de la commune aurait pu être consulté. Devant le fait accompli et sans aucune information préalable, je dois gérer une anxiété compréhensible de la population aurillacoise. Cette situation, où je ne peux apporter aucun élément aux Aurillacois sur le contexte et les décisions qui ont prévalu à cette arrivée, est inacceptable et très inconfortable », exprime Pierre Mathonier dans un courrier adressé le 19 février au ministre de l’Intérieur.
« Cette décision d’imposer l’accueil de Kamel Daoudi sans concertation avec les élus locaux est de nature à susciter des amalgames malsains, que des groupes extrémistes se complaisent à alimenter, remettant en cause le travail fait pour obtenir l’assentiment de la population à l’accueil de réfugiés »
NdB: l'hystérie des "droits de l'homme" a saisi ceux qui nous gouvernent, c'est une véritable épidémie!
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JT TVL 27/02/19
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Décathlon (et sa cour), à fond pour l’islamisme!
Le hijab n'est pas un vêtement, c'est un étendard politique
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Italie : la coalition de droite menée par la Ligue de Salvini remporte l’élection régionale de Sardaigne, jusqu’ici dirigée par la gauche
20h36Une coalition entre le parti Forza Italia de Silvio Berlusconi et la Ligue d’extrême droite a remporté les élections régionales en Sardaigne.
« J’ai envoyé un message à Christian Solinas », candidat de la coalition de droite et d’extrême droite, « pour lui souhaiter bon travail », a annoncé à la presse Massimo Zedda, candidat de la gauche, en fin de journée, alors que le dépouillement était encore en cours en Sardaigne, jusqu’ici gouvernée par la gauche.
Selon des résultats portant sur plus des deux tiers des 1.840 bureaux de vote de l’île, M. Solinas a remporté environ 48% des voix, tandis que M. Zedda a obtenu environ 33% des votes. La grande surprise a été l’effondrement du M5S, antisystème, qui avait obtenu en Sardaigne plus de 40% des voix lors des législatives de mars 2018. Son candidat, Francesco Desogus, a obtenu seulement 11% des voix, selon les mêmes résultats partiels. Le M5S est en perte de vitesse depuis la formation du premier gouvernement populiste dans un pays fondateur de l’Union européenne en juin et cède régulièrement du terrain face à la Ligue.
Cette victoire de la droite suit de deux semaines une victoire semblable dans les Abruzzes (centre), où la Ligue avait obtenu à elle seule 28% des voix, doublant son score par rapport à mars 2018, tandis que le M5S, qui avait frôlé les 40% aux législatives, a vu son poids divisé par deux.
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JT TVL 25 FEVRIER 2019
NdB: Salon de l'agriculture, mais aussi le Salon des veaux...
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Rennes : Dorian, 24 ans, tabassé à mort par des « jeunes » en sortant de boîte de nuit. Un suspect remis en liberté. La mère de la victime en colère (MàJ)
20h4724/02/2019
La chambre de l’instruction a remis en liberté, vendredi 22 février, un des six mis en examen. La mère de Dorian Guémené a réagi en appelant à un rassemblement, ce samedi, sur les lieux du drame.
Ce samedi 23 février, vingt-cinq soutiens se sont retrouvés à proximité de la discothèque L’Espace, à Rennes, là où Dorian Guémené, 24 ans, avait été roué de coups, dans la nuit du samedi 7 au dimanche 8 juillet 2018. Via Facebook , la mère de la victime a appelé au rassemblement, après que la chambre de l’instruction a décidé, vendredi, de remettre en liberté l’un des six hommes mis en examen pour l’assassinat de son enfant.
« Nous ne comprenons pas cette décision de justice et nous voulions dire notre colère,réagit-elle hier, après plus de deux heures de recueillement, près de la discothèque. Même si ce suspect affirme ne pas avoir donné de coups, qu’il ait assisté à la scène de violence sans avoir appelé les secours suffit à faire de lui un coupable. »
08/09/2018
La mère de Dorian, tué à Rennes le 7 juillet dernier à la sortie d’une discothèque, interpelle les pouvoirs publics. Son objectif : faire en sorte que ce genre de drame ne se reproduise plus.
Roué de coups à l’extérieur de la boîte de nuit L’Espace, à Rennes, samedi 7 juillet, un jeune homme est décédé des suites de ses blessures, le lendemain dimanche. Il s’appelait Dorian Guémené. Avait 24 ans. Suspectés d’avoir participé aux violences, quatre hommes âgés de 22 à 28 ans, mis en examen hier pour « meurtre avec guet-apens » et « violences aggravées », ont été écroués ce mercredi.
(…)
« Dorian pensait toujours aux autres avant lui. Il était très généreux. Nous ne souhaitons pas qu’il reste dans l’anonymat », expose la sœur de Dorian Guémené, quatrième d’une fratrie de sept enfants. Lui est né à Saint-Malo. Il a passé une partie de son enfance dans la Manche.
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« J’étais si fier de lui… Il a fait tellement de bonnes choses, exprime son père. Il était plein de vie, enthousiaste tout le temps. » « Notre enfant était toujours joyeux, de bonne humeur. Il était volontaire, généreux, dit aussi sa mère. Aimant les gens, il avait trouvé sa place en étant serveur au bar le Kenland. »
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Adolescent, Dorian Guémené a suivi une formation de jeune sapeur-pompier (JSP), à la caserne de Pleurtuit, pendant quatre années.Il étudiera l’électromécanique, au lycée professionnel maritime d’Étel (Morbihan) avant de s’engager dans l’armée de terre, à Angers, comme sapeur de combat. Il effectuera une mission de six mois sur un bateau, en Martinique, au Sénégal, au Brésil…
L’enquête menée par la police à permis d’établir que la victime avait eu « une altercation verbale avec plusieurs individus au sein de la discothèque, nécessitant l’intervention des agents de sécurité qui avaient invité les mis en cause à quitter l’établissement », explique le parquet de Rennes.
La victime et l’un de ses amis sont sortis 15 à 20 minutes plus tard par une issue réservée au personnel, donnant sur une impasse. A la sortie de cette impasse, un groupe d’individus s’est précipité sur la victime. Celle-ci a reçu plusieurs coups au visage, « notamment alors qu’elle se trouvait au sol », précise le magistrat ayant instruit le dossier.(…)
« L’un des mis en examen présente un antécédent judiciaire de violences volontaires aggravées », précise le magistrat.(…)