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GAELLE MANN - Page 918

  • Taubira: communiqué de presse du Front national - 20/10/13

    La violente et outrancière saillie de Madame Taubira rapportée par la presse n’est qu’un épisode de plus de l’affolement d’un pouvoir qui a perdu la maîtrise des choses et jusqu’au sens commun. Rien ne justifie l’expression d’une telle haine à l’encontre d’un parti tout entier et de ses millions d’électeurs.

    On peut s’interroger sur les qualités de Madame Taubira à rester ministre de la Justice de tous les Français au regard de cette transgression inquiétante des règles républicaines.
    Le Front National engagera donc une procédure judiciaire contre Madame Taubira pour faire respecter les règles du débat démocratique et républicain ainsi que l’honneur des millions de Français qui votent pour lui.

     

     

     

  • C’était un 20 octobre…

     20 octobre 2013

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    Bataille de Navarin par François Roux


     1827
    : bataille navale de Navarin : les flottes combinées de la France, de la Russie et de l’Angleterre détruisent l’escadre turco-égyptienne d’Ibrahim Pacha. Une victoire décisive pour la libération de la Grèce du joug ottoman.

    1890 : mort, à Trieste, de l’explorateur sir Richard Burton. Sous divers déguisements arabes, il visite La Mecque, Médine. Il fut le premier européen à pénétrer au Harar en Ethiopie (1854-1856), puis explora le Tanganyika (1858), le Cameroun, le Gabon… Nombre de ses textes sont aujourd’hui impubliables en raison de leur antijudaïsme. Il est l’auteur d’Arabian Nights.

    1932 :  Denoël et Steele publient Voyage au bout de la nuit, de Louis-Ferdinand Céline.
    Salué par des personnalités aussi diverses que Léon Daudet, Trotsky, Bernanos, Georges Bataille ou Claude Lévi-Strauss, il sera privé du Goncourt à la suite d’une manœuvre de Gallimard.
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    Contre-info.com

  • "L'ange blond", l'enfant mystère qui émeut la Grèce

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    Une fillette blonde aux yeux verts a été découverte dans un camp de Roms. La femme de 40 ans et son compagnon de 39 ans se présentaient comme les parents de l'enfant, mais des tests ADN ont prouvé le contraire.

     

    La presse grecque la surnomme déjà "l'ange blond" mais la véritable identité de la fillette découverte dans un camp de Roms du centre du pays, au sein d'une famille qui n'est pas la sienne, restait mystérieuse et alimentait samedi les spéculations. Les cheveux et la peau très clairs, les yeux verts, l' enfant d'environ quatre ans apparaît sur certains clichés diffusés par la police vêtue d'un jogging froissé, fines nattes dans une coiffure désordonnée. Sur une autre photo, chevelure peignée, elle esquisse un léger sourire.
     
    Les autorités grecques ont annoncé l'avoir découverte mercredi lors d'une perquisition de routine dans un camp de Roms de la ville de Farsala où la fillette se trouvait au domicile d'un couple qui s'est révélé n'avoir aucun lien de parenté avec elle. La femme de 40 ans et son compagnon de 39 ans se présentaient comme les parents de l'enfant, ce que les tests ADN ont rapidement démenti. Une enquête judiciaire pour "enlèvement de mineur" a été ouverte pour déterminer les conditions dans lesquelles l'enfant s'est retrouvée au sein de cette famille, conduisant certains médias à évoquer l'hypothèse d'un trafic d'enfants.
     
    La police a diffusé vendredi les photos de la fillette comptant sur la coopération d'Interpol pour élargir au niveau international les investigations destinées à l'identifier. "Jusqu'à maintenant nous n'avons reçu aucune déclaration de disparition d'un enfant de cet âge en Grèce ", a déclaré à la presse Vassilis Halatsis, directeur régional de la police pour la région centrale de Thessalie. La presse nationale a déjà fait de la fillette son "ange blond", comme titraient samedi les quotidiens Ta Nea (premier tirage du pays) et Ethnos revenant sur les circonstances de sa découverte.
     
    14 autres enfants déclarés
     

    Ce sont ses caractéristiques physiques qui ont attiré l'attention de la police, alors qu'elle jouait parmi quatre autres enfants au teint mat dans le pré-fabriqué où loge la famille, raconte Ethnos. Selon le communiqué de la police, le couple a changé à plusieurs reprises d'explications sur l'origine de la fillette. Après avoir soutenu qu'elle était née d'un père canadien, rencontré en Crète par la femme de 40 ans, ils ont affirmé l'avoir trouvée abandonnée à l'extérieur d'un supermarché puis, dans une autre version, qu'il l'avait achetée à sa mère, une Bulgare, selon la presse. "La fillette peut avoir été enlevée dans un hôpital, ou abandonnée par une mère célibataire" a estimé Vassilis Halatsis.
     
    La police estime avoir déterminé que l'enfant a été enlevée à sa famille biologique en 2009 et que le couple rom a berné la mairie d'Athènes en la faisant inscrire à son nom sur les registres d'état civil, ce qui lui a permis d'obtenir un certificat de naissance. L'homme et la femme ont par ailleurs déclaré 14 autres enfants dans trois villes différentes, selon le communiqué de la police qui émet des doutes sur la réalité de ces naissances puisque trois enfants seraient nés en cinq mois entre juin et novembre 1993 et trois autres d'octobre 1994 à février 1995.
     
    La fillette a été placée dans une institution de bienfaisance, "Le sourire de l'enfant". Son président, Kostas Giannopoulos, a expliqué qu'après une phase de "pleurs et d'angoisse", la fillette s'est apaisée "réalisant qu'elle était entre de bonnes mains". Elle parle "la langue des Roms" et comprend le grec, a précisé le responsable de cette structure dont le standard, a-t-il ajouté, a été contacté par de nombreux parents concernés par une disparition d'enfant.

     

    TF1News - 20/10/13

  • La famille de Leonarda agressée au Kosovo - 20/10/13

    http://www.bfmtv.com/international/famille-leonarda-agressee-a-mitrovica-627742.html

     Déroulez et lire les commentaires

  • Réaction à l’intervention de François Hollande

     19 octobre 2013  

    Front National flamme

    Communiqué de Florian Philippot, vice-président du Front National

    Il est incroyable que le président de la République s’exprime sur l’affaire Leonarda ! La proportion prise par ce dossier montre que la caste politique est dans une déconnexion totale avec les Français. Que le gouvernement se mette dans un tel état de crise pour un dossier aussi secondaire montre un manque gravissime d’autorité et de clarté dans l’action de l’Etat.

    La position prise aujourd’hui par François Hollande est quant à elle ahurissante. Reconnaissant lui-même la légitimité de l’éloignement de cette famille, il estime que Leonarda peut revenir en France, mais seule. C’est du grand n’importe quoi !

    Quelle est la légalité d’un tel retour, et cette décision fera-t-elle jurisprudence ? Comment envisager que cette fille vive seule en France sans un soutien public ? Cette décision sera en tout cas un signal extrêmement négatif qui va encourager l’immigration clandestine et compliquer les expulsions.

     

    Très grave, cette annonce a dès maintenant comme conséquence le chantage, en direct sur les chaînes de télévision, d’une famille kosovare virulente qui menace de revenir dès lundi illégalement en France, et qui incite au déchaînement de la violence dans les lycées français ! C’est une faillite totale de l’Etat, les Français sont légitimement atterrés.

    Sur le fond du dossier, le rapport de l’IGA ne fait que confirmer ce que le bon sens commande depuis le début : la loi exigeait l’expulsion de cette famille, et seules les conditions dans lesquelles l’interpellation s’était faite pouvaient être critiquées, non pas de la responsabilité des forces de l’ordre mais des pouvoirs publics. Il est donc évident que la famille kosovare tout entière doit rester au Kosovo, et que l’Etat doit empêcher son retour.

    Le Front National dénonce un autre point scandaleux : on apprend dans le rapport de l’IGA que la famille a reçu à deux reprises une proposition financière de la part de l’Etat (d’abord 8.500 euros puis 10000 euros) pour quitter le territoire national, ce qui méritera aussi des explications. Nous les demanderons.

    D’une manière plus générale, nous condamnons le laxisme absolu des dirigeants politiques depuis de nombreuses années, tant durant le quinquennat précédent que depuis l’élection de François Hollande. Il devient essentiel de lutter contre l’immigration clandestine, notamment en retrouvant le contrôle de nos frontières et en coupant les pompes aspirantes de cette immigration.

     

  • Miss Monde, Miss pro-vie

     

    Miss-monde-2013-MPI.jpgLe 22 septembre dernier, Megan Lynne Young, une Philippine de 23 ans, était couronnée Miss Monde. Trois semaines plus tôt, elle répondait aux questions d’une journaliste du réseau ABS-CBN :

    - Quelle genre de beauté préférez-vous ?

    - Celle de l’enfant à naître. Je suis opposée à l’avortement, je crois en l’abstinence avant le mariage, et je vois ce dernier comme une union inséparable pour la vie entière.

    A propos du projet de loi de « santé reproductive » du gouvernement philippin (bloqué par la Cour Suprême) :

    - Je suis pour la vie (pro-life). Si le projet signifie tuer un être qui est là, je suis contre, bien sûr. Mes convictions sont : non à l’avortement.

    Sur la contraception :

    - Je ne m’engage pas dans un truc pareil. Le sexe est réservé au mariage. Telles sont mes convictions.

    - Comment une fille splendide peut-elle ne pas avoir de relations sexuelles ?

    - Il faut répondre non à ce genre de demande. Si on essaye de vous y pousser, vous prenez du recul. En effet la personne qui vous propose cela ne mérite pas votre compagnie non plus que la moindre relation. Si en revanche un gars fait ce sacrifice, cela signifie beaucoup.

     

    Blog d'Yves Daoudal - 17/10/13

  • Khatchik veut revenir en France pour étudier

     

     
     
    Le jeune lycéen arménien, Khatchik Kachartryan, 19 ans, qui a été expulsé le 12 octobre, a livré son témoignage aujourd'hui sur BFMTV. (autre vidéo)

    Le 19 septembre, il avait été arrêté pour vol à la tire au centre commercial des Halles, à Paris. N'ayant pas de papiers, il avait été envoyé dans un centre de rétention administrative à Vincennes dans lequel il était resté trois semaines avant son expulsion.

    Joint par téléphone par la chaîne, Khatchik raconte avoir été ligoté et bâillonné. "Ils m'ont attaché les pieds, les mains et ils ont fermé ma bouche", explique-t-il. Comme il ne voulait pas rentrer dans l'avion, des policiers l'auraient forcé à y entrer. Il déclare vouloir "retourner en France pour étudier et pour aider [sa] mère car elle est toute seule avec [sa] sœur".
     
     
     
     

  • Mariage gay : pas de clause de conscience pour les maires

     

    Les maires et leurs adjoints sont tenus d’unir les couples de même sexe et ne peuvent invoquer une clause de conscience, a déclaré vendredi le Conseil constitutionnel, désavouant ainsi les édiles opposés à la loi sur le mariage homosexuel.

    Les Sages ont rejeté une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) qui demandait l’annulation de la circulaire du 13 juin 2013 relative « aux conséquences du refus illégal de célébrer un mariage de la part d’un officier d’état civil ».

    « Le Conseil a jugé qu’eu égard aux fonctions de l’officier de l’état civil dans la célébration du mariage, le législateur n’a pas porté atteinte à leur liberté de conscience. Il a jugé les dispositions contestées conformes à la Constitution », précisent-ils dans un communiqué.

    Lire la suite de l’article sur bvoltaire.fr

    E&R

  • Citoyens belfortains, où étiez-vous quand on égorgeait halal dans votre ville ?

    http://ripostelaique.com/citoyens-belfortains-ou-etiez-vous-quand-on-egorgeait-halal-dans-votre-ville.html

     + PHOTOS

  • Laurent LOUIS à Elio Di Rupo:" J'ai envie de vous le faire bouffer votre noeud papillon!"

    Publiée le 16 oct. 2013

    Incidents à la Chambre lors de l'intervention du député belge Laurent LOUIS qui dira ce qu'il pense de Di Rupo à l'occasion de la discussion sur la déclaration de politique générale du gouvernement belge. Bilderberg, Rothschild, médias-mensonges, tout y passe, y compris le noeud papillon du Premier Ministre belge.

     

    Via ALTERMEDIA

  • À peine ouverte, l'unique mosquée de Tahiti doit garder portes closes

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     Ouverte depuis quatre jours seulement, la première et unique mosquée de Polynésie a dû rester fermée vendredi. Son inauguration a provoqué un tollé à Tahiti, mettant en lumière les craintes suscitées par l'islam sur l'île.
     
    Par FRANCE 24   (texte)
     

    Quatre jours seulement après son inauguration, la première mosquée de Polynésie ouverte sur l’île de Tahiti a été contrainte, vendredi 18 octobre, de garder portes closes. L’établissement se trouve sous le coup d’une interdiction de la mairie de Papeete, pour qui ce local qui n'est "pas prévu pour recevoir du public" doit être mis aux normes. Pourtant, la présidence de la Polynésie française avait publié un communiqué le 15 octobre indiquant qu'il n'était “pas nécessaire d'obtenir une autorisation particulière.” Le texte soulignait également que "l'islam est une grande religion monothéiste".

    Population hostile et xénophobie

     

    Mais dans cette collectivité d'outre-mer où la religion musulmane est très peu connue, l'ouverture de la mosquée s'est avant tout heurtée à la vive hostilité de la population locale, mettant en lumière les craintes suscitées par l'islam en Polynésie.

    Des propos très hostiles, parfois xénophobes, ont inondé les réseaux sociaux. Le site Tahiti-Infos, le premier à avoir traité de l’ouverture de la mosquée, a été contraint, pour la première fois, de fermer ses pages de commentaires sur les articles abordant le sujet. Des pétitions et appels à manifester ont également été lancés et le jeune imam de l’établissement, Hicham El Barkani, tout juste débarqué de Seine-Saint-Denis, a "reçu des menaces de mort", selon son avocat.

    La Polynésie française compte seulement quelques centaines de musulmans, originaires de France, du Sénégal, de Djibouti ou encore du Maghreb. La plupart, enseignants et militaires, ne sont là que pour quelques années.

    L'islam assimilé au terrorisme

    De nombreuses obédiences religieuses, des sectes également, cohabitent dans une Polynésie très fervente, mais elles sont toutes d'influence chrétienne. Et l'islam est souvent assimilé dans l'île au terrorisme. La diffusion à la télévision locale d'images de femmes voilées se rendant à la mosquée, dont deux Polynésiennes, ont également alimenté les craintes. "Les vahinés à la plage, les maillots de bain, les bringues, les cheveux lâchés, tout ça c'est notre coutume, et on veut rien changer", s'alarme ainsi Heiti, employée d'une société d'assurances attenante à la mosquée.

    La vague de contestation est telle que le président Gaston Flosse, dans son communiqué du 15 octobre, a dû rappeler qu’en Polynésie “de nombreux cultes cohabitent parfaitement.” “Bien que terre traditionnellement chrétienne, la Polynésie est aussi une terre accueillante, et il ne faut pas tomber dans l’islamophobie”, a-t-il ajouté.

    "Ils pensent que les musulmans sont des Ben Laden, faut pas rester sur des a priori", regrette une jeune femme issue d'une famille musulmane. "La religion musulmane est pour la tolérance", assure-t-elle, en préférant toutefois rester anonyme, "par peur des réactions".

    "Il faut faire la distinction entre les différentes formes d'intégrisme et ce qu'est vraiment l'islam: une grande religion avec de grandes valeurs", a déclaré Taaroanui Maraea, président de l'Église protestante. Du côté de la communauté catholique, on se montre plus circonspect. "Ce n'est pas la salle de prières qui est inquiétante, ce sont ceux qui sont venus l'installer", a commenté Monseigneur Hubert Coppenrathen, décelant chez le jeune imam "une attitude un peu conquérante". "Il faut être sur ses gardes", a-t-il ajouté.

  • Erich Priebke, ancien officier SS, aura une sépulture en Italie dans un lieu secret

    http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/10/19/erich-priebke-ancien-ss-sera-finalement-enterre-en-italie_3499626_3214.html

  • Noël en Syrie

    Ecrit le 19 oct 2013 à 18:04 par Charles de Meyer 

      Noël en Syrie

    Je suis heureux de vous annoncer la naissance du projet Noël en Syrie. Il aura pour objet de passer les fêtes de Noël auprès des communautés chrétiennes en Syrie. Nous savons peu en France que la Syrie compte 1 700 000 chrétiens, autant d’individus pris en étau entre la barbarie des milices islamistes et les souffrances de la guerre. Face au chaos des intérêts et des mensonges, nous comptons répondre par la simplicité d’une présence réconfortante et la distribution de jouets, de médicaments et de moyens de communication.

    Cette initiative est fondée sur la réflexion, et pour beaucoup la méditation, des vertus du don gratuit et de l’esprit de paix et d’innocence que doit inspirer la naissance du Christ dans une mangeoire. Évitons le misérabilisme dans ce long chemin qui nous mènera dans les villages martyrs mais cherchons plutôt à retourner le scandale en force d’affirmation. C’est par ce triomphe sur la nature blessée du ressentiment et de l’indignation que nous parviendrons à faire de Noël en Syrie un creuset de générosité mais également de conversion.

    Noël en Syrie se distinguera des organisations humanitaires classiques. En effet ce projet cherchera à utiliser la sommes des bonnes volontés et des intelligences qui voudront en France participer à des quêtes, tenir des points d’information, monter des actions de sensibilisation afin que nous puissions soutenir la courage de ceux qui partiront. Il va de soi qu’un rôle particulier sera accordé à ceux qui veulent soutenir cette action par la prière.

    Les chrétiens syriens, dans leur diversité et dans leur richesse, sont les grands oubliés de notre gouvernement. Nous n’avons pas le droit de laisser la vocation française s’éteindre au nom d’intérêts dont nous savons trop bien qu’ils ne correspondent ni à un avantage stratégique ni à une quelconque charité. Aussi ce mouvement sera-t-il le vôtre : en partageant nos contenus sur les réseaux sociaux, en conversant, en militant dans vos paroisses et vos quartiers, vous pourrez faire de la souffrance des chrétiens d’orient un vrai sujet de préoccupation pour tous les hommes de bonne volonté.

    Vous avez besoin d’un clic, d’un moment, d’une bonne action pour devenir les acteurs d’un renouveau au cœur de notre monde, lancez-vous à nos côtés pour que nos frères syriens méditent les splendeurs de la crèche avec des Français pour les épauler.

    Suivez-nous sur le site www.noelensyrie.fr sur Facebook et sur Twitter.

    NOUVELLES DE F5RANCE

  • Grèce: une fillette de 4 ans non identifiée trouvée dans un camp de Roms

    Publiée le 19 oct. 2013


    http://fr.euronews.com/2013/10/19/gre...
    La police grecque cherche à identifier une fillette blonde de quatre ans découverte mercredi dans un campement de Roms à Farsala, dans le centre de la Grèce.

    Des tests ADN ont confirmé qu'elle n'était pas la fille biologique du couple qui l'hébergeait. Ce couple a été arrêté; il pourrait prochainement être inculpé d'enlèvement de mineur.

    ''Les parents présumés n'ont pas donné la même version des faits lors de leurs auditions'', a expliqué Vassilis Halatsis, le directeur de la police locale. ''Leurs contradictions ont renforcé notre convocation qu'ils n'étaient pas les parents biologiques de l'enfant.''

     

    Pauvre petite! Elle a l'air triste... 

     

  • Leonarda Dibrani: le rapport d'enquête valide l'expulsion mais critique ses conditions

    L'expulsion de Leonarda Dibrani et de sa famille est «conforme à la réglementation en vigueur», mais si les forces de l'ordre qui sont intervenues pendant la sortie scolaire de l'adolescente «n'ont pas fait preuve du discernement nécessaire».

    Telles sont les principales conclusions du rapport de l' administrative, reçu ce samedi par le ministre de l'Intérieur Manuel Valls et aussitôt remis au et au Premier ministre, Jean-Marc Ayrault. Mis en ligne sur le site du ministère de l'Intérieur, le document préconise ainsi de «proscrire plus explicitement toute intervention dans les espaces et le temps scolaires et périscolaires».

    Dans le détail, le rapport revient sur les modalités d'éloignement de la famille de la collégienne du Doubs, avant, pendant et après l'expulsion vers le Kosovo. Puis il dresse le bilan de l'opération, qui s'est déroulée en deux temps, entre le départ du père, Resat Dibrani, le 8 octobre, et celui de la Leonarda, sa mère et ses cinq frères et soeurs, le 9 octobre. 

    Les policiers n'ont pas «évalué les conséquences possibles»

    «La décision d’éloigner la famille Dibrani est justifiée en droit», affirme dans ce rapport l'Inspection générale de l'administration (IGA), qui rappelle que tous les recours pour obtenir une autorisation de séjour en France avaient été épuisés. Alors que l’éloignement était inéluctable, les pouvoirs publics ont alors fait du regroupement familial une priorité. «Essentiellement focalisés sur l’objectif de parvenir à regrouper la famille et de ramener la jeune fille auprès de sa mère, l’attention des forces de l’ordre n’a pas été éveillée par le fait que Leonarda Dibrani se trouve dans un bus dans le cadre d’une sortie scolaire», souligne l'IGA, ajoutant qu'«elles n'ont pas pris la mesure des enjeux que représenterait une intervention pour interrompre cette sortie», ni «évalué les conséquences possibles». 

    Car ce sont les conditions d'interpellation de Leonarda, confiée aux forces de l'ordre en pleine sortie scolaire, qui ont mis le feu aux poudres et valu à Manuel Valls des attaques jusque dans son propre camp. Les policiers «n'ont pas fait preuve du discernement nécessaire», reconnaissent les inspecteurs, tout en assurant que la préfecture du Doubs n'a pas été saisie de cette question.

    Pour éviter que cette situation se reproduise, l'IGA recommande de préciser «les instructions déjà anciennes relatives aux espaces scolaires et aux interventions proches de cet espace, de façon à proscrire plus explicitement toute intervention dans les espaces et le temps scolaires et périscolaires». 

    Un sombre portrait du père de famille

    Le rapport d'enquête dresse par ailleurs un portrait sombre du père de Leonarda, dont le comportement «ne dénotait pas "une réelle volonté de s'intégrer à la société française"». Le rapport évoque notamment «une absence de recherche sérieuse d’emploi alors que l’offre est, dans l’arrondissement de Pontarlier, réelle», un «mauvais entretien de l’appartement» familial et «des absences répétées des enfants au sein des écoles et collèges» qu'ils fréquentaient.

    Sur ce point, les inspecteurs précisent que Leonarda a été «absente 66 demi-journées en 6e, 31 en 5e, 78 en 4e et 21,5 depuis le début de l'année scolaire en cours». Toujours selon le rapport, un professeur de l'adolescente «a en revanche souligné sa volonté d'intégration et ses progrès».

    Enfin, selon les inspecteurs, Resat Dibrani a «été placé en garde à vue pour un cambriolage» en octobre 2010, «mis en cause comme auteur dans un vol commis dans une déchetterie» puis encore placé en garde à vue, début 2013, lorsque ses filles aînées ont «fait état de violences exercées par leur père» avant de se rétracter.

    La famille a laissé le logement mis à sa disposition «dans un état de dégradation avancée» et «M. Dibrani n'a pas hésité à user de menaces afin d'éviter d'être expulsé de cet appartement», poursuit l'IGA. «Aux agents de l’office français d’immigration et d’intégration, qui lui proposaient une aide au retour (8500 €, la première fois ; 10 000 € une deuxième), il a annoncé qu’il tuerait sa famille s’il était expulsé», précise-t-il.

     

    Le Parisien - 19/10/13

  • Leonarda refuse la main tendue de Hollande: elle "n'abandonnera pas sa famille pour revenir seule" en France - 19/10/13


    Leonarda "n'abandonnera pas sa famille" pour... par BFMTV

  • Récupérons la morale et laissons-leur la sensiblerie ! Par Renaud Camus

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    Le 18 octobre 2013

    Renaud
    Camus
    Ecrivain.
     
     

    Depuis deux jours, la gauche se déchire sur l’expulsion de la jeune Kosovare. Manuel Valls est très critiqué. Certains, au PS, réclament même sa démission. Qu’en pensez-vous ?

    Que, s’il tient bon, le NON pourra lui donner une carte de membre d’honneur, malgré tous ses affreux péchés (à commencer par ses projets de naturalisations de masse).

    La politique d’immigration est mise en accusation… pour son côté prétendument « inhumain ». Que faut-il faire, selon vous ?

    Il faut à tout prix, pour notre bord, récupérer la morale. Elle n’est pas de leur côté, elle est du nôtre. On peut leur laisser en échange la sensiblerie niaiseuse, qui est à la morale ce que Vanessa Paradis est à Beethoven.

    Je le répète depuis toujours, la morale ce n’est pas, ou ce n’est que très rarement, un choix entre le bien et le mal. C’est bien plus souvent un choix entre deux biens, ou entre deux maux, qu’il faut peser avec soin. Et cette évaluation morale ne peut pas être soumise uniquement à des critères de sensibilité à fleur de peau, sans réflexion sur le principe et sur les conséquences de nos actions. Comme le dit très justement Jean-Pierre Chevènement — un autre qui devrait rejoindre le NON… —, « nous vivons sous la dictature de l’émotion ». Il est infiniment moins grave, moralement, de renvoyer une jeune fille dans son pays avec sa famille que de contribuer par lâcheté, par conformisme, par esprit de collaboration au pire, par amitié pour le désastre, à l’établissement et au renforcement d’une société de la violence quotidienne, de la nocence généralisée, de l’hébétude, où la morale, pour le coup, est bafouée sur tous les trottoirs et dans toutes les cages d’escalier, sans parler des tribunaux et des salles de rédaction.

    La morale — comme le style, comme la syntaxe, comme la courtoisie, comme la civilisation, comme la dentisterie, comme la vaccination —, c’est souvent un détour, un bref passage par le contraire de l’effet recherché, une petite douleur pour en éviter une grande. Et vraiment, arracher qui que ce soit à notre Éducation nationale, dans l’état où elle est, ce n’est pas commettre une grande cruauté. On doute qu’au Kosovo l’école soit bien pire… Mais les remplacistes, tout occupés qu’ils sont à faire tourner leur usine à malheur, le Grand Remplacement, jouent sans scrupule sur des analogies obscènes, et voudraient nous faire croire que Mlle Leonarda est une enfant d’Izieu, ou peu s’en faut, et Manuel Valls un mélange de Laval, de Papon et de René Bousquet. C’est nous prendre pour des imbéciles mais c’est surtout insulter le souvenir des tragédies véritables.

    On a entendu des députés dire que la loi, c’est bien, mais que, au-dessus de la loi, il y a les valeurs républicaines. N’est-ce pas une porte ouverte à tous les abus ?

    Non seulement la loi est dérisoirement insuffisante à mettre un terme à la colonisation en cours mais, en plus, les rares dispositions juridiques qui pourraient constituer un frein à la substitution ethnique sont considérées par les deux pouvoirs remplacistes — le médiatique et le politique — comme purement symboliques, des survivances sans poids face à la seule urgence morale qui tienne à leurs yeux, le changement de peuple et de civilisation. C’est un peu comme les tourniquets du métro : si vous avez les jambes assez souples et les bras assez forts pour passer par-dessus, ça ne vous concerne pas, c’est uniquement pour les cochons de payants.

    La jeune Leonarda, interviewée par des médias français, a évoqué son retour au Kosovo : « Ce n’est pas comme en France, il n’y a personne pour nous aider. On est comme les clochards. On a dormi sur un banc [...]. » La solution est-elle dans la suppression des aides allouées aux clandestins en France ?

    Absolument. Ce n’est pas toute la solution, loin de là, mais c’est la première mesure à prendre. L’Europe tient d’une main une corne d’abondance et de l’autre un martinet. C’est absurde.

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

     

  • Sondage : 65% des Français opposés au retour de Leonarda et de sa famille

    Selon un sondage BVA pour i>télé et notre journal, ils seraient 74 % à donner raison au ministre de l’Intérieur.

    Didier Micoine | Publié le 18.10.2013, 23h36 | Mise à jour : 23h42

                                    

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    Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a annoncé vendredi sa décision d'écourter sa visite aux Antilles en raison de l'affaire Leonarda, la collégienne dont l'expulsion vers le Kosovo est au coeur d'une polémique, et de rentrer à Paris avec un jour d'avance. | Miguel Medina

                                                                          

     La situation est jugée suffisamment grave pour que Manuel Valls écourte son déplacement aux Antilles. Le ministre de l’Intérieur sera donc dès ce matin à , pour la présentation de l’enquête administrative sur les conditions d’expulsion de la collégienne Leonarda vers le Kosovo. Depuis cinq jours, l’affaire déchaîne les passions.

     
     
    Mais si elle a provoqué une (nouvelle) au sein du et poussé des milliers de lycéens à manifester dans la rue, elle n’aurait pas le même retentissement dans l’opinion.


    Selon notre sondage exclusif BVA réalisé pour « CQFD », i>télé et « le Parisien »-« Aujourd’hui en France », moins d’un Français sur deux (46 %) se déclare choqué par l’interpellation de la collégienne rom, lors d’une sortie scolaire. Et une majorité des sondés (65 %) affirment être opposés à ce que l’expulsion de la jeune Kosovare soit annulée et, donc, que la famille de Leonarda puisse revenir en France.

    Valls plébiscité à 89 % par les sympathisants de droite

    Bien sûr, les résultats de l’enquête sont très différents selon le positionnement politique des personnes interrogées. Les sympathisants de gauche disent ainsi majoritairement (68 %) avoir été choqués par les conditions de l’interpellation de Leonarda. C’est notamment le cas de 64 % des électeurs socialistes, de 76 % des sympathisants de Jean-Luc Mélenchon et du PC ou de 78 % de ceux des Verts. Près de sept électeurs écologistes sur dix seraient d’ailleurs favorables à ce que l’expulsion soit annulée. Sur ce point, les électeurs PS, eux, sont plus partagés. La moitié d’entre eux se disent partisans d’une annulation de la procédure d’expulsion et du retour de la famille de la collégienne. Un cas de figure qui est clairement rejeté par les sondés de droite (à 85 %).


    Très attaqué par certains de ses amis, Manuel Valls défend donc une ligne qui serait soutenue par trois Français sur quatre (74 %), c’est-à-dire une majorité. La position du ministre de l’Intérieur dans cette affaire est approuvée par les deux tiers des sympathisants socialistes (65 %), mais aussi — plus surprenant — par une minorité non négligeable des électeurs écologistes (46 %) ou du Front de gauche (37 %), alors même que les leaders de ces partis y sont très hostiles.

    Mais là où Valls fait un tabac, c’est dans le camp d’en face : 89 % à droite approuvent la position du ministre socialiste… un plébiscite ! Trois semaines après ses propos polémiques sur les Roms, Manuel Valls n’apparaît donc pas fragilisé alors que le gouvernement cherche une issue à la crise. Mais si la fermeté affichée par le ministre de l’Intérieur est approuvée dans l’opinion, le jugement sur sa personnalité est plus nuancé. Certes, il reste le ministre le plus populaire du gouvernement, mais il est perçu comme un diviseur dans son camp. En clair, il ne gagne pas sur tous les tableaux.

                                     

             

                             LeParisien.fr

  • Le père de Leonarda: "Valls est obligé de dire OK!"

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    À Mitrovica, la famille de l'adolescente de 15 ans expulsée alors qu'elle participait à une sortie scolaire se réjouit à l'idée d'un retour possible en France.

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    Démarre4/5

    Leonarda a retrouvé le sourire. «D'abord, parce que je suis une star maintenant!, clame la jeune fille. Ensuite, parce qu'avec ma famille, on a vu sur Internet tous les lycéens qui étaient descendus dans la rue pour nous!» Et, surtout, «parce que je suis sûre qu'on va rentrer en France: c'est pas possible autrement!» A Mitrovica, au nord du Kosovo, une semaine après son expulsion de France, la famille Dibrani crie déjà victoire: «On attend la réponse de Valls, qui est obligé de dire OK!», fanfaronne le père.

    Dans le salon, un feuilleton grésille sur un vieux poste de télévision. Mais personne ne le suit. «C'est normal, on ne comprend pas l'albanais!, lance la collégienne de 15 ans. C'est pas notre pays, ici! Je comprends même pas pourquoi on est là.» Trois pièces, une petite cuisine et une salle d'eau rudimentaires au premier étage d'une maison entourée d'un jardinet, voilà le nouveau quotidien des Dibrani et de leurs six enfants. Seuls quelques livres religieux et une tapisserie représentant La Mecque ont été rapportés de France, montre Leonarda: «On n'a rien d'autre!» Le gouvernement kosovar, toutefois, semble attentif au bien-être des Dibrani. Il verse une aide mensuelle de 150 euros pour leur hébergement, et a mis un fonctionnaire du ministère de l'Intérieur à leur disposition. «Je resterai là tant que la famille aura besoin de moi», explique Selim, veste camel et sourire avenant, posté dans la cour de la maison. «L'autre jour, Selim a été nous acheter plein de nourriture!», s'enthousiasme le petit Ronaldo, un verre de soda à la main. La facture est encore sur une étagère de la cuisine: 498 euros. «Tout à l'heure, on ira faire du shopping pour habiller les enfants, indique le fonctionnaire. C'est normal, il faut aider nos compatriotes!»

    Le brevet à la fin de l'année

    Des compatriotes, enfin pas tout à fait. Seul le père, Resat, 43 ans, serait kosovar, natif de Mitrovica. «Regardez, je viens de recevoir les actes de naissance!», lance-t-il. D'après ces documents, tous les enfants sont nés à Fano, en Italie, sauf Medina, la petite dernière, née à Pontarlier, dans le Doubs. Leur mère est originaire de Sicile. «On a quitté l'Italie, car c'est plus facile d'avoir des papiers en France, explique le quadragénaire, dans un français embrouillé, mêlé d'albanais et d'italien. J'ai fait faire, pour 50 euros, un faux certificat de mariage à Paris, et j'ai dit qu'on était tous kosovars.» Entrée irrégulièrement en France en janvier 2009, la famille a cependant épuisé, en quatre ans, tous ses recours.

    «Les Dibrani n'ont pas mérité cela!, tonne le père. Savez-vous que pendant deux mois avant l'élection présidentielle, on a fait du porte-à-porte en distribuant des tracts du PS, on s'est tapé tous les meetings du Doubs pour crier “Vive Hollande!””? C'est la présidente de l'association des sans-papiers: elle nous a dit que si Hollande gagnait, on aurait des papiers! Mais Hollande, il a gagné, et nous, on a gagné quoi? On est virés!» S'il y a quelqu'un auquel Resat Dibrani en veut particulièrement, c'est à Manuel Valls. «Sur toutes les télés, je l'ai entendu dire: “Les Roms dehors!”, s'indigne-t-il. C'est lui qui a tout comploté.» Les larcins évoqués par des associations, la plainte pour violences contre ses filles aînées, «tout est entièrement faux!», se scandalise Resat Dibrani. «Croyez-vous que ma mère serait assez folle pour dénoncer mon père?», interroge Leonarda, qui admet avoir reçu «une fessée» parce qu'elle était rentrée trop tard.

    À Levier, Resat Dibrani vivait de «petits boulots», comme «aller chercher le pain pour des gens», et était bénévole pour les Restos du cœur, qui lui donnaient «des cartons de nourriture». Aujourd'hui, pas question de chercher du travail au Kosovo. «Vous savez combien il gagne, Selim? demande le père. 200 euros! Vous pensez qu'avec ça je vais nourrir ma famille?» Ses enfants, d'ailleurs, ne veulent pas aller à l'école ici, ni même apprendre la langue. «Le plan, explique-t-il, c'est qu'ils vont retourner en France avec ma femme, puisqu'ils sont italiens. Après, je les rejoins et on se marie, pour de vrai cette fois, à Levier.» Quant à Leonarda, «très bonne élève», elle espère rattraper les cours et obtenir son brevet à la fin de l'année. Et ensuite? «Je rêve d'être avocate, sourit-elle. Pour aider les sans-papiers

     

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  • Norvège: les populistes entrent nombreux au gouvernement

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    Siv Jensen est née le 1er juin 1969 à Oslo

     

    18/10/2013 – 11h00
    STOCKHOLM (NOVOpress/Bulletin de réinformation) –
    Les populistes du Parti du Progrès, partisans d’une ligne dure sur l’immigration et de baisses d’impôts importantes, ont accédé pour la première fois au pouvoir ce mercredi. Le Parti du Progrès compte sept ministres (sur 18). La dirigeante du parti, Siv Jensen (photo), devient ministre des finances, le second plus important poste, juste après le premier ministre.

     

    La Norvège possède le plus gros fonds souverain au monde, dont la valeur, actuellement de 790 milliards de dollars, ne cesse d’augmenter. Et le gouvernement est autorisé à y puiser jusqu’à 4 % chaque année pour abonder son budget. Parmi les mesures envisagées par la droite figurent aussi la possibilité pour les policiers de s’armer et celle donnée aux municipalités d’interdire la mendicité. Comme c’est la règle en Norvège, le nouveau gouvernement respecte la parité avec neuf hommes et neuf femmes. Aucun de ses membres n’est issu de l’immigration.

    Crédit photo : FrPMedia, via Wikipédia, (cc).

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