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  • Qui est-ce? n°25

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  • Affaire Tron: menace de mort à l'encontre d'un témoin?

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    Georges Tron, mis en cause par trois femmes, a été mis en examen mercredi soir pour viols et agressions sexuelles, mais a été laissé en liberté sous contrôle judiciaire.

    « Nous avons des menaces »

    Une des deux anciennes employées municipales de Draveil qui a déposé plainte, a déclaré son indignation devant cet état de fait, sur RTL : « C'est aberrant. Ce serait le charcutier d'à côté, il serait en prison. Aujourd'hui, lui est libre » a t-elle regretté avant d'ajouter qu'« aujourd'hui nous avons des pressions, nous avons des menaces, il va falloir qu'on les vive »

    La jeune femme, outrée par cette décision de la justice, déclare qu'elle ne se laissera pas intimider par ses intimidations : « Je ne changerai pas un point, une virgule et une majuscule de mes déclarations. Il faut arrêter de salir les gens, il faut arrêter de chercher des complots ». 

    Sur BFM TV, une ex-attachée parlementaire du maire de Draveil a été tout aussi déçue, estimant qu'il était « insupportable et inconcevable de savoir que cet homme-là puisse être libéré par la justice française » La jeune femme affirme avoir reçue une « menace de mort » qui vient de l'entourage du maire.

    Les opposants de Tron le font savoir à Draveil

    Philippe Brun, président de l'association Draveil Villages et opposant à Georges Tron, a réclamé jeudi la démission du maire UMP de Draveil, après sa mise en examen mercredi pour viols en réunion.

    De son côté, l'opposante MoDem Fabienne Sorolla souhaite la même chose, et déclare même qu'il faudrait aller plus loin : « C'est tout le conseil municipal qui doit être mis sous tutelle entièrement » annonce t-elle avant de renchérir : « Il reste quand même toute l'équipe de Georges Tron et ils vont faire pression. Il faut que ça s'arrête tout ça ».

    Sur Europe 1, une jeune femme qui a voté pour Georges Tron lors des dernières élections municipales dénonce la mauvaise publicité faite à l'image de la ville : « Ça donne une certaine notoriété négative ». Sauf décision de justice différente d'ici-là, Georges Tron devrait quand même présider le prochain conseil municipal.

    Source France-Soir - 23/06/11

  • Le 63ème soldat français tombé en Afghanistan

     

    Le chasseur parachutiste de première classe Cyrille Hugodot, tué samedi 25 juin en Kapisa, venait d’avoir 24 ans et était père d’une petite fille de quatre ans. Natif de Dreux (28), il s’était engagé pour cinq ans en mars 2009 au 1er RCP de Pamiers. Il rejoint la section des tireurs d’élite (STE) de la compagnie d’éclairage et d’appui (CEA).

    Il avait ensuite été affecté à la 3e compagnie, comme tireur d’élite.

    Le 1ère classe Hugodot avait accompli sa première OPEX au Gabon (mars-juin 2010), avant de rejoindre l’Afghanistan, le 15 mai dernier.

    Il devait être promu caporal mercredi prochain.

    Ce parachutiste est le troisième du 1er RCP tué au combat en Afghanistan, après l’adjudant-chef Pascal Correia (25 juillet 2007) et le 1ère classe Florian Morillon (18 juin 2011).

    Qu’il repose en paix !

    Source

    NPI

  • Un mariage maghrébin dégénère en émeute au Vésinet

     
     

    26/06/2011 – 00h50
    LE VESINET (NOVOpress) –
    Même les villes huppées ne sont plus à l’abri des dérives de l’immigration nord-africaine. La commune du Vésinet (Yvelines) près de Versailles, a dû faire face à une émeute générée par un mariage maghrébin, vendredi après-midi. Plusieurs membres de cette communauté en provenance de Nanterre (Hauts-de-Seine), au guidon de deux ou quatre roues de type quad, se livraient à un rodéo en marge de la fête. Un des membres du cortège, roulant sans casque, décide de prendre en contresens les avenues du Vésinet. Il entre alors en collision avec une camionnette et se tue.

    Ces infractions vont être le prétexte à un déchaînement de violences. Les noceurs maghrébins incendient, dégradent, plusieurs véhicules. Puis ils s’en prennent aux policiers et pompiers arrivés sur place, venus pour secourir la victime. A un tel point que «les grilles du commissariat ont été baissées », relatent Julien Constant et Laurent Mauron dans Le parisien du 25 juin. A Brest (Finistère), Mulhouse (Haut-Rhin) ou encore à Trappes (Yvelines), avec leur cortège d’actes délictueux, les mariages maghrébins deviennent un problème d’ordre national.

  • Le Vieux Port de Marseille

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    Aquarelle de Jean Goudard - (1960)

  • Afghanistan: un 63ème soldat français tué par des tirs d'insurgés

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    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Un soldat français, un chasseur parachutiste de 1ère classe, est décédé en Afghanistan à la suite d'un tir d'insurgés au cours d'une opération en Kapisa, a annoncé samedi l'Elysée dans un communiqué. Ce nouveau décès porte à 63 le nombre de militaires français morts dans ce pays depuis fin 2001.


    L'incident s'est produit quand une section en mission de reconnaissance a été «violemment prise à partie» par un groupe d'insurgés dans la région de Tagab. La section assurait en bordure de route la protection d'éléments du génie en train de rechercher des engins explosifs improvisés (IED), a précisé le porte-parole de l'état-major, le colonel Thierry Burkhard.

    Atteint par un tir des insurgés, le chasseur de 1ère classe Cyrille Hugodot a été évacué sur la base de Tagab, puis héliporté vers l'hôpital militaire de l'aéroport de Kaboul, où il est décédé des suites de ses blessures, a-t-il ajouté. Cyrille Hugodot avait notamment servi au Gabon. Il était en Afghanistan depuis le 15 mai dernier.

    Fillon salue le «dévouement»

    «Le président de la République a appris avec beaucoup d'émotion la mort du soldat tricolore. Le chef de l'Etat «présente à la famille et aux proches [...] ses plus sincères condoléances et s'associe à leur peine» et «réaffirme l'engagement de la France aux côtés du peuple afghan et des autorités afghanes pour mener à son terme, avec ses Alliés, le processus de transition». Le Premier ministre a salué de son côté «le dévouement et le professionnalisme de nos unités engagées sans relâche pour la sécurisation et la reconstruction de l’Afghanistan, qui oeuvrent avec efficacité quotidiennement en opération au service de la paix».

    Le précédent soldat français tué dans le pays l'avait été également en Kapisa, le 18 juin dernier. Il s'agissait de Florian Morillon, 20 ans, qui faisait partie du régiment de Chasseurs Parachutistes de Pamiers (Ariège).
     
    Source Le Parisien - 25/06/11


  • Gay pride: à un an de la présidentielle, les politiques mis au défi

    Les organisateurs évoquent un demi-million de participants et la police 36.000 personnes. Quoiqu'il en soit, et malgré une fourchette plutôt large, ce sont des dizaines de milliers de personnes qui ont pris part samedi à Paris à la Gay Pride. L'occasion de demander aux candidats à la présidentielle de 2012 de s'inspirer du Sénat de New York qui a reconnu le droit au mariage homosexuel.
     
    "Mêmes familles, mêmes droits", "En 2012, je vote", "Pour l'égalité, en 2011 je marche, en 2012 je vote". Les pancartes brandies et le mot d'ordre d'un défilé festif, résumaient les revendications d'une marche "très politique", selon Nicolas Gougain, porte-parole de l'Inter-LGBT, principal organisateur. "Ce n'est pas encore le moment de donner une consigne de vote mais il s'agit de dire, dès maintenant, aux politiques que nous serons exigeants sur cette question", a-t-il prévenu. Et, à en croire un sondage Ifop pour Dimanche Ouest-France, cette question sociétale n'effraie pas les Français, au contraire : le mariage homosexuel recueille désormais l'assentiment d'une large majorité de Français (63%), tout comme l'adoption par les couples homosexuels (58%). Même si l'électorat de droite reste plus rétif, avec 41% de personnes favorables au mariage et 37% à l'adoption.

     

    "Raidissement de la majorité"
     

    Pour le socialiste Jack Lang, un habitué de la Gay Pride depuis sa première édition en 1983, une loi reconnaissant le mariage homosexuel et l'homoparentalité est "inéluctable". Et si la gauche devait l'emporter "une loi permettra la pleine égalité" dès 2012, a renchéri le numéro deux du PS, Harlem Désir, en tête du cortège aux côtés du maire de Paris, Bertrand Delanoë. A droite, certains éléments sont favorables à cette reconnaissance. Tandis que Nicolas Gougain a regretté "un raidissement de la majorité et du gouvernement" sur ces questions, Thierry Coudert, élu UMP au Conseil de Paris, également présent dans le carré de tête, assure que son parti est "en train d'évoluer" : "J'espère qu'à l'occasion de la prochaine présidentielle, notre majorité fera un pas sur cette question". "L'UMP est très en retard, les députés de ce parti sont en décalage total avec la société française qui a évolué", regrette Emmanuel Blanc, président de Gaylib, l'association des homosexuels de l'UMP, qui en avril avait prévenu sur son blog: "Si vous voulez nos voix, donnez-nous nos droits !".
     

    Mais le chemin semble encore long. L'Assemblée nationale a rejeté mi-juin une proposition de loi PS visant à ouvrir le mariage aux couples homosexuels, la gauche votant pour tandis qu'une très large partie de la majorité UMP-Nouveau Centre s'y est opposée. A contrario, les autorités de l'Etat de New York (Etats-Unis) donnent de l'espoir aux militants de ce côté-ci de l'Atlantique. La décision des sénateurs new-yorkais de reconnaître le mariage gay, conforte les militants, selon Nicolas Gougain: "Cela montre que d'autres avancent alors que nous, en France, on piétine". "Il y a dix ans j'ai eu beaucoup d'espoir quand le Pacs est passé. Depuis tout stagne. En Espagne et au Portugal, la religion est très importante et pourtant le mariage (homosexuel) est permis", relève une militante, venue défiler avec sa compagne et leurs deux filles.
     
    L'Inter-LGBT demande la reconnaissance des familles homosexuelles, l'ouverture du mariage et de l'adoption aux personnes de même sexe, ou encore une loi sur l'identité de genre facilitant le changement d'état civil pour les personnes transsexuelles.

    Des traditionalistes scandent des slogans homophobes sur le passage de la Gay Pride

    Des catholiques traditionalistes ont scandé des slogans homophobes au passage de la Gay Pride à proximité de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet samedi à Paris (Vème arrondissement).
    "Le Sida, pour les pédés!", "Gay Pride, hors d'Europe!", "Première, deuxième, troisième génération, nous sommes tous des enfants d'hétéros", sont quelques-uns des slogans adressés aux membres de la communauté homosexuelle qui, partis de Montparnasse, rejoignaient Bastille pour une soirée festive.
    Au passage du cortège, boulevard Saint-Germain, une quarantaine de catholiques traditionalistes, réfugiés derrière les grilles de la paroisse, ont invectivé les manifestants en brandissant des drapeaux tricolores.

    TF1 NEWS -25/06/11
     

  • Une Gay pride très politique

     
    Avec interviews de Jack Lang, Eva Joly et Jean-Luc Mélenchon

     

     

  • Sauver la Grèce? "L'Europe"? Les Banques?

     Il en fallait plus pour déstabiliser La candidate du FN à la présidentielle qui tout au long de l’émission, a surtout réussi   à faire entendre et à expliquer aux Français non  seulement la possibilité, mais la nécessité d’un discours alternatif à un euromondialisme qui détruit notre pays. De la Grèce et du coût du plan de sauvetage de ce pays pour les Français il a été également question hier, Marine Le Pen chiffrant à 20 milliards d’euros l’effort supplémentaire qui sera demandé aux Français…

    Athènes a trouvé hier  un accord avec les inspecteurs dépêchés par le Fonds monétaire international (FMI) et l’Union européenne sur un plan d’austérité sur cinq ans, dit de  « redressement budgétaire », de 28,4 milliards d’euros, qui doit être approuvé par le Parlement d’ici au 30 juin.

    Jeudi toujours,  un nouveau plan « pour sauver la Grèce de la faillite et éviter une contagion de la crise à toute la zone euro voire au reste du monde », évalué généralement à une centaine de milliards d’euros, a été promis par l’UE en échange des  nouvelles mesures d’austérité    consenties par le gouvernement  grec. Dans l’immédiat, les Européens verseront 12 milliards d’euros de prêts, sur les 110 milliards promis l’an dernier dans un premier plan de sauvetage.

    « Nous n’avons pas le choix. Si la zone euro disparaissait, l’UE elle-même serait en danger », a affirmé  Alain Juppé à la BBC. C’est bien en effet le fond du problème.

    Le Bulletin d’André Noêl rappelle que «  les gouvernements grecs successifs sont responsables de la faillite de l’Etat dont doivent répondre également les citoyens dans la mesure où ils ont bénéficié de ce laxisme ».  Dès 2004 Bruxelles savait que les comptes présentées par le gouvernement grec –  étaient faux et faux délibérément : le déficit budgétaire n’était pas de 6% environ, comme Athènes l’affirmait mais de… 16%. Dès ce moment, il aurait fallu réagir et suggérer une cure d’austérité qui eût été moins sévère que celle que subit le pays actuellement. Mais l’Union européenne se contenta d’une timide admonestation car des élections législatives devaient avoir lieu peu après, laissant ainsi les socialistes grecs faire campagne en annonçant hausses des salaires et des retraites. »

    Résultat, la Grèce  traîne  aujourd’hui une dette de 350 milliards € « et tout le monde sait qu’elle sera incapable d’y faire face », notamment en l’absence d rentrées fiscales importantes, de croissance forte, et d’amélioration  de sa productivité pour exporter. Aussi, « d’après les experts honnêtes, (Marc Fiorentino) il n’y a qu’un seul moyen : qu’elle abandonne l’euro, retrouve la drachme ». « Ce qui entraînerait l’équivalent d’une dévaluation de 30%. Jadis, c’est ainsi que les Etat se tiraient du mauvais pas où leur laxisme les avait menés (…). »

    Comme l’ont soutenu de longue date le FN et Bruno Gollnisch, cet article souligne que « le problème c’est que  l’Union ne se satisferait pas d’une telle solution, principalement Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Elle entraînerait la disparition de l’euro auquel ils tiennent pour des raisons politiques, idéologiques, même si c’est un fiasco économique et financier » . L’Union se déliterait dans la foulée, le Portugal, l’Espagne, l’Irlande, voire l’Italie, sui-vraient l’exemple grec. »

    « Dès lors, il n’y a plus qu’une  solution : la fuite en avant en prêtant, encore et toujours et en empruntant pour cela sur les marchés financiers auxquels la Grèce n’a plus accès alors qu’elle devait y faire sa réapparition en 2012, ce qui est évidemment hors de sa portée.

    Et cela en échange d’un plan d’économies encore plus drastique qui étrangle les Grecs. On ne veut pas que la Grèce dévalue, alors on dévalue la vie des Grecs. Et, parallèlement, on essaie de donner une structure pérenne à la tutelle bruxelloise en militant pour un « ministre de l’économie de l’Union , et cela en violation des traités » est-il justement remarqué.

    Dans Courrier International (22 juin)  est paru un article publié dans le journal anglais The Guardian, qui là aussi ne s’embarrasse pas de langue de bois  européiste pour décrire la réalité   toute nue ;  une  crise grecque dont le caractère insoluble est  largement caché par la classe politico-médiatique  à nos compatriotes.

    « La faillite et le départ de la Grèce ont  toujours paru l’issue la plus probable de la crise qui frappe la zone euro » est il écrit. « La dernière chose dont a besoin une personne en faillite est de s’endetter davantage à des taux prohibitifs et de subir une baisse de ses revenus». Or, « dans le cadre du dispositif actuellement en vigueur, la troïka UE – Fonds monétaire international (FMI) – Banque centrale européenne (BCE) s’attend à ce que la dette souveraine grecque soit équivalente à 200 % du PIB en  2015, contre 150 % aujourd’hui. Le service de la dette coûtera 12 % du PIB, dépassant de loin les budgets consacrés à la santé et à l’éducation, tandis que le déficit de l’Etat représentera 15 % du PIB. Le pays fera inévitablement faillite.»

    « Les  marchés financiers le savent pertinemment et ils refusent d’avancer un sou pour de nouveaux prêts privés (…) Mais aujourd’hui, la crise a atteint son paroxysme (…). La Grèce va bénéficier d’un nouveau prêt important, mais elle devra consentir à de nouvelles mesures d’austérité, notamment une diminution des salaires et des pensions de retraite, peut-être 150 000 suppressions d’emplois dans le secteur public, un alourdissement de la fiscalité et un programme massif de privatisations. Et que se passera-t-il si Athènes accepte ces conditions ? D’après les calculs de la troïka elle-même, en 2015 la dette souveraine atteindra 160 %du PIB, le service de la dette 10 % et le déficit public 8 %. Bref, la Grèce sera toujours en situation de faillite. .»

    Alors, quel est l’intérêt d’un nouveau renflouement ? Sauver la nation grecque ? Que nenni, expose la conclusion de cet article :  «  Il s’agit, en fait, de voler au secours des détenteurs d’obligations étrangers et d’accorder un sursis aux banques (…)  En 2015, la Grèce se mettra en défaut de paiement, mais sa dette sera détenue pour l’essentiel par des créanciers publics, à savoir l’UE, la BCE et le FMI. Quand arrivera ce moment, les banques se seront désengagées et le fardeau retombera sur les contribuables européens. Quant à la Grèce, elle aura été broyée par l’austérité, avec un taux de chômage officiel d’environ 15 %. Lorsque l’UE effacera la dette d’Athènes, comme elle devra le faire immanquablement, elle demandera des contreparties exorbitantes, allant peut-être même jusqu’à exercerouvertement des pressions pour que la Grèce quitte la zone euro. » Tout est dit?

    Blog de Bruno Gollnisch - 24/06/11

     

  • Marine Le Pen installe son QG de campagne à Paris

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    Comme l’avait fait son père en 1988, Marine Le Pen ne mènera pas campagne depuis le siège officiel de son parti (aujourd’hui à Nanterre, Hauts-de-Seine), mais va s’installer dans un QG parisien, probablement dans le XVIIe arrondissement. Elle disposera là d’un bureau « plus présidentiel », selon son entourage. Bruno Bilde, son chef de cabinet, qui la suivra, y voit un avantage, outre « l’aspect pratique » : « Montrer qu’elle n’est pas uniquement la candidate du Front, et qu’elle peut rassembler au-delà de son camp. »

    Louis Aliot, le vice-président du FN, confie que ce déménagement permettra de « faciliter les contacts ». Un immeuble discret peut décomplexer les membres de la société civile qui hésiteraient, en revanche, à se montrer au « Carré », surnom donné au siège nanterrois du FN.

    C’est donc à Paris que Marine Le Pen va préparer ses deux prochains rendez-vous majeurs : une conférence de presse à la mi-juillet sur les « grandes orientations » de son programme, une grande convention à la mi-novembre pour le « lancement » de ce programme.

     En attendant, samedi soir, dans la propriété paternelle de Montretout à Saint-Cloud, la fille de l’ex-président reçoit le gratin de son comité de soutien « privé, et Jean-Marie Le Pen fête avec un peu de retard son 83ème anniversaire sur le thème de la "vague Marine".

    Source France-Soir  - 25/06/11

     

  • La francisque de François Mitterrand

  • Sarkozy écrit à Gilad Shalit via ses parents

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    PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy a écrit aux parents de Gilad Shalit, Franco-Israélien retenu prisonnier par le Hamas palestinien depuis sa capture le 25 juin 2006, pour s'adresser directement au détenu, annonce l'Elysée.

    "Face à votre courage et à la détermination pacifique de vos admirables parents, face à la solidarité internationale, j'exhorte ceux qui vous emprisonnent à mettre fin au sort si injuste qui vous est fait", lit-on dans la lettre diffusée par la présidence.

    "Cher Gilad, je le réaffirme ici, la France ne vous abandonnera pas à votre sort et n'aura de cesse d'agir, avec d'autres y compris dans le monde arabe, pour que finisse ce calvaire injustifiable", ajoute le chef de l'Etat.

    Le gouvernement israélien refuse pour l'instant d'accéder aux demandes du mouvement palestinien de relâcher le soldat fait prisonnier sous l'uniforme de Tsahal en échange de la libération de centaines de prisonniers.

    Thierry Lévêque, édité par Eric Faye

    Source Yahoo!Actualités - 25/06/11

     

  • Frédéric Mitterrand: un nouveau scandale!

    24 juin 2011, 17:02
     Frédéric Mitterrand

    Frédéric Mitterrand est au cœur d’un nouveau scandale que les médias taisent pour le moment mais qui pourrait bien lui coûter très cher : le ministre aurait dépensé pour 120 000 euros de blanchisserie personnelle. Le tout payé par le contribuable…

    C’est le scandale qui devrait coûter (enfin) la tête à notre ministre présentateur de télévision : le site d’extrême-droite Nationpresse a retrouvé (pas compliqué en même temps, c’est sur le site du ministère de la Culture, ligne 143 du tableau Excel) un appel d’offre qui fait état d’un marché de 120 000 euros annuel pour « blanchissage du linge du ministre », donc pas pour l’ensemble du ministère (ce qui ferait déjà beaucoup), juste 120 000 euros par an pour laver le linge de Frédéric Mitterrand !

    Ce n’est pas la première fois d’ailleurs que le neveu de tonton est épinglé pour ses pratiques d’Ancien Régime. Avant de demander à l’État de dépenser 1200.000 euros afin de laver ses draps, Frédéric Mitterrand s’était fait installer une petite sonnette sous son bureau pour appeler le petit personnel.

    Tout de même, 120.000 euros, ça reste hallucinant !! C’est tout un club de boxe thaï qui est passé au Ministère ou quoi ??!!?? Plus sérieusement, comment Nicolas Sarkozy peut-il conserver (pourquoi l’avait-il appelé d’ailleurs…?) un tel ministre qui traîne autant de casseroles, ne sert à rien et représente tout ce qui dégoûte les Français de la politique ?

    Source Le Canard acharné - 24/06/11

  • Kadhafi nargue l'OTAN et parie sur la lassitude

    Sur le terrain, la situation militaire tourne en faveur du régime, jugent les dirigeants libyens. Selon eux, les rebelles ont démontré qu'ils n'avaient pas les moyens de s'avancer vers la capitale.

    Mouammar Kadhafi, même s'il a le «dos au mur», se battra «jusque dans l'au-delà». Dans un message audio diffusé par la télévision libyenne, le colonel libyen a lancé un nouveau message de défi à l'Otan, qu'il accuse de «tuer nos enfants et nos petits-enfants». Une allusion au raid aérien mené le 20 juillet contre la maison du général Khouildi Hamidi, compagnon historique et proche conseiller du Guide, qui a causé la mort de 15 personnes.

    La femme, enceinte du fils du général, et ses trois enfants ont notamment été tués à cette occasion. L'Otan affirme que la villa, totalement détruite, servait également de centre de commandement. Le général Hamidi a survécu au raid. Il assistait mardi aux funérailles, enveloppé dans un burnous traditionnel. Il ne se trouvait sans doute pas dans sa maison quand les missiles sont tombés. Les dirigeants libyens ont en effet abandonné les bâtiments militaires, mais aussi leurs domiciles et se déplacent régulièrement d'un endroit à l'autre.

    Comme le montre la harangue du colonel, les responsables libyens sont persuadés que le temps travaille désormais pour eux. Kadhafi parie sur l'enlisement et sur les divisions de l'Otan, ainsi que sur une éventuelle lassitude des opinions publiques occidentales. Les déclarations italiennes réclamant une trêve des bombardements ont été accueillies comme une confirmation de cette théorie. «La guerre contre la Libye changera l'Otan», affirmait il y a une semaine au Figaro Seïf al-Islam, le fils préféré du Guide. Gardant un œil sur les débats au Congrès, le régime libyen estime pouvoir négocier avec Washington, «dont la position est plus modérée», assure-t-on à Tripoli.

    Insurrection intérieure 

    Sur le terrain, la situation militaire tourne en faveur du régime, jugent les dirigeants libyens. Selon eux, les rebelles ont démontré qu'ils n'avaient pas les moyens de s'avancer vers la capitale. L'issue militaire et politique du conflit se joue à Misrata, estiment les autorités. Raison pour laquelle Kadhafi ne relâchera pas la pression sur ce bastion des rebelles, à 200 km à l'est de Tripoli.

    La capitale elle-même semble pouvoir tenir. Le gasoil, carburant des véhicules militaires, n'est pas rationné. Les minibus à moteur Diesel continuent d'assurer les transports en commun. Seules les voitures particulières, qui marchent toutes à l'essence, font la queue aux stations-service. Quant aux munitions, le régime jure en posséder assez «pour dix ans».

    L'hypothèse d'une insurrection intérieure, souhaitée par l'Otan, ne s'est pas concrétisée jusqu'ici. Une certaine tension règne tout de même à Tripoli, qui a connu quelques nuits agitées jusqu'à ces deux derniers jours. Des rafales d'armes automatiques se faisaient entendre. Un sympathisant du colonel reconnaît «quelques rares attaques contre des check-points» de l'armée. Le garde d'une personnalité de la télévision libyenne est mort par balle devant un hôtel abritant en majorité des journalistes étrangers, probablement abattu par un sniper. Quelques slogans recouverts de peinture blanche ne chantaient sûrement pas les louanges du Guide. Et, raconte un habitant, on retrouve parfois le drapeau rouge, noir et vert de la révolution attaché sur le dos de chats errants, ou accroché à des ballons flottant dans l'air.

    «Cellules clandestines» 

    Mais les «cellules clandestines» annoncées par Benghazi ne se sont pas manifestées de façon significative. Des Tripolitains évoquent aussi des règlements de comptes personnels, favorisés par la distribution d'armes à une partie de la population. De nombreux habitants de la capitale restent cependant fidèles au colonel, redoutant l'arrivée des rebelles de l'Est et la possibilité d'une guerre civile. «Tout le monde est armé maintenant», soupire un commerçant.

    Source Le Figaro - 23/06/11

  • Lille: un étudiant poignardé dans la rue pour son portefeuille

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    Ce matin, un étudiant qui sortait de sa résidence boulevard de Strasbourg à Lille, a reçu un coup de couteau. Il est actuellement hospitalisé dans un état grave mais le pronostic vital n'est pas engagé.

       Ce matin, vers 11 heures, un étudiant est sorti de sa résidence boulevard de Strasbourg à Lille pour se rendre à un examen. Cet étudiant en quatrième année de Science Po Lille revient dans hall chercher de l'aide quelques minutes plus tard, un couteau planté dans l'abdomen.

    Le jeune homme de 21 ans indique qu'on lui a volé son portefeuille.

    Pour l'instant, on n'en sait pas plus sur les circonstances de ce qui semble être une agression (sic). La victime, qui a perdu beaucoup de sang, a été transporté dans un état grave à l'hôpital.

    La PJ de Lille est chargée de l'enquête.

    Source La Voix du Nord - 24/06/11

     

  • "Langue arabe maternelle exigée": un nouveau critère de Pôle emploi !

     
     
    Pôle emploi

    Pôle emploi

    24/06/2011 – 12h30 GUINGAMP (NOVOpress) – Pôle emploi aime les musulmans et le fait savoir. Dans une annonce actualisée le 16 juin 2011 (numéro de l’annonce : 838148C), Pôle emploi recherchait un sacrificateur destiné à faire le contrôle de l’abattage halal dans des abattoirs du secteur de Guingamp (Côtes d’Armor). Entre abattage halal et discrimination, il n y a qu’un pas, puisque l’annonce était destinée à un locuteur “de langue arabe maternelle”. Autant dire que non seulement pour pouvoir postuler à cette annonce d’emploi dans un abattoir breton, il fallait parler arabe, mais être également arabe par le sang, ce qui relève de la discrimination pure et simple émanant d’un organisme au service de TOUS les Français.

    Pour aller plus loin dans l’enquête, des lecteurs ont d’abord appelé Pôle emploi, puis postulé à cette offre d’emploi en rentrant les critères exigés. Les coordonnées de l’employeur qui nous ont été renvoyées sont celles de l’ARGML, l(‘Association rituelle de la grande mosquée de Lyon). (argml@mosquee-lyon.org, 04 78 76 00 23).

    Cette affaire permet de dévoiler au grand jour le développement de l’abattage halal sur tout le territoire, mais également les pratiques de Pôle emploi, qui accepte désormais que des employeurs, pourtant installés sur le territoire français, réclament l’arabe, et dans d’autres cas le chinois (mandarin), pour  des métiers qui n’ont rien “d’international”.

    Reste à savoir si des associations comme SOS Racisme ou le MRAP se pencheront sur cette discrimination organisée par Pôle emploi.

    Suite à notre enquête, l’annonce a bizarrement été suspendue. Affaire à suivre …