Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • Le parquet demande un contrôle judiciaire pour Georges Tron

    1503646_photo-1308661053803-3-0_640x280.jpg Goerges T ron.jpg

    Le parquet d'Evry (Essonne) a requis contre Georges Tron et une des adjointes un placement sous contrôle judiciaire à l'issue de 48 heures de garde à vue dans les locaux de la police judiciaire de Versailles. La justice a également réclamé la mise en examen le député-maire (UMP) pour viols et agressions sexuelles en réunion par personne ayant autorité, a annoncé Marie-Suzanne Le Quéau.

    La maire-adjointe en charge de la culture, Brigitte Gruel pourrait elle être mise en examen pour pour viols et agressions sexuelles avec, pour seule circonstance aggravante, la commission des faits en réunion.

    Ils sont visés par deux plaintes déposées le 25 mai par deux anciennes employées de la mairie de Draveil. Une troisième femme a été entendue dans ce dossier. Si elle refuse de porter plainte, le parquet d'Evry la considère comme une «victime». Elle «a décrit des faits présentant de fortes similitudes avec les témoignages des deux autres plaignantes», a confirmé Marie-Suzanne Le Quéau.

    Le sort de Tron et sa collaboratrice entre les mains du JLD

    L'ex-ministre et sa collaboratrice se trouvent désormais devant les deux magistrats instructeurs co-saisis du dossier qui décideront d'une éventuelle mise en examen. Ils passeront ensuite devant le juge de la liberté et des détentions (JLD) qui va examiner le dossier et décider du sort de l'ancien secrétaire d'Etat à la fonction publique : une remise en liberté assortie d'un placement sous contrôle judiciaire ou un placement en détention.

    Un peu plus tôt dans l'après-midi, une information judiciaire pour «viols et agressions sexuelles en réunion» et «par personne ayant autorité» a été ouverte contre Georges Tron et une de ses adjointes. Après près de 48 heures de garde à vue, ils ont été déférés à la mi-journée devant un juge d'instruction qui a décidé leur mise en examen.

    Un contrôle judiciaire délicat à appliquer

    La procureure d'Evry a réclamé que le contrôle judiciaire soit assorti de mesures très strictes parmi lesquelles l'interdiction d'entrer en contact avec des témoins. «J'ai demandé à ce qu'ils n'entrent pas en contact avec les victimes, mais également avec un certain nombre de personnes qui ont été entendues dans le cadre de l'enquête préliminaire, a détaillé la magistrate, évoquant notamment «des employés de la municipalité» de Draveil.

    «Je ne demande pas à ce que M. Tron ne puisse pas se rendre à Draveil ou à la mairie, je demande simplement qu'il y ait une organisation pour qu'il ne rencontre pas les témoins entendus dans le cadre de l'enquête préliminaire», a précisé la procureure.

    Une autre collaboratrice de Georges Tron, avait également été placée en garde à vue lundi avant d'être relâchée mardi. Selon une source proche de l'enquête, elle aurait durant son audition affirmé avoir exercé «des pressions sur les plaignantes à la demande de Georges Tron».

    Tron protégé par son immunité parlementaire le 29 juin

    Mme Le Quéau a toutefois prévenu que toute mesure de contrainte, détention provisoire ou contrôle judiciaire se heurterait à l'immunité parlementaire de Georges Tron dès que celui-ci sera redevenu député de plein exercice, le 29 juin, un mois après sa démission de ses fonctions de secrétaire d'Etat à la Fonction publique.

    S'ils voulaient prolonger un éventuel contrôle judiciaire, les juges devraient alors «saisir le bureau de l'Assemblée nationale» pour lui demander une levée de l'immunité, a expliqué Mme Le Quéau.


    En garde à vue depuis lundi, 14 heures, l'ancien ministre et maire de Draveil (Essonne) conteste devant les enquêteurs les accusations d'agressions sexuelles et de viol, selon ses avocats. Une ligne de défense que la procureure d'Evry a confirmé. Le maire UMP de Draveil «conteste aboslument les faits, toute relation de nature sexuelle avec les victimes, même des relations qui auraient été consenties», a déclaré la magistrate lors d'un point presse.

    «Cette enquête a permis de recueillir à la fois des éléments à charge mais également à décharge. Des témoins ont apporté leur soutien aux personnes mises en cause, et d'autres témoins sont venus témoigner en faveur des victimes», a-t-elle reconnu.
     
     
    Source Le Parisien - 22/06/11
    .

  • Qui est-ce? n°24

    24.jpg

    (Cliquez sur la photo)

  • Scandaleux: une fillette de 3 ans oubliée toute la journée dans un car scolaire!

    h-4-2392173-1296642197.jpg car scolaire.jpg

    Lundi matin, à Saint-Calais (Sarthe), une accompagnatrice de la municipalité a oublié une fillette de 3 ans dans un car scolaire. Elle n'est pas descendue à l'arrêt de son école.

    Anaïs est restée seule dans le bus sur le parking de la société de transport. Ni l'accompagnatrice, ni le chauffeur du bus se sont rendus compte que la fillette était toujours dans le véhicule. Vers 16 heures, un chauffeur a aperçu la fillette qui était restée attachée sur son siège toute la journée sans manger, et sans boire, indique LCI.

    Il a déclaré : "Une chance qu'il n'y ait pas eu un temps caniculaire. Cela aurait été dramatique".

    La gendarmerie a ouvert une enquête.

    Source LE POST - 22/06/11

  • Qui est-ce? n°23

    23.jpg

  • Horreur - Elodie Despons: son concubin l'a étranglée à mort et a maquillé son crime en suicide

    elodiedespons2.jpg

    Elodie Despons, une jeune femme enceinte de 23 ans, a été découverte morte par son père vendredi à son domicile de Frouzins, en Haute-Garonne.

    Le concubin de la jeune femme, âgé de 22 ans, a été interpellé samedi après-midi et placé en garde à vue. Ce jeune homme, sorti de prison en février, aurait avoué les faits.

    Le 12 juin dernier, une dispute a éclaté entre Tarik Barrahoui et Élodie dans leur appartement de Frouzins.

    Pris d'un excès de violence, le jeune homme s'est saisi d'une une rallonge électrique et a étranglé à mort sa compagne.

    Le meurtrier a ensuite maquillé son crime en suicide en tranchant les veines du poignet de sa victime, puis a mis Élodie dans leur lit et est resté trois ou quatre jours avec leur fils, âgé de 4 ans et demi, à côté du cadavre.

    Il a ensuite quitté le domicile mercredi ou jeudi dernier avant de déposer son fils chez sa sœur à Toulouse.

     Ensuite, il s'est rendu à Narbonne pour y faire la fête avec des amis.

    Source Faits Divers - 21/06/11

  • Zemmour et NKM: à ne pas manquer!

  • Winston Smith et le chemin de Paradis, par Christian Bouchet

    maurras2.jpg

    Entrée de la bastide

    Winston Smith et le chemin de Paradis
    Début mai, j’ai visité à Martigues la bastide du chemin de Paradis, demeure familiale de Charles Maurras.

    Par un étrange hasard, j’ai partagé mon guide avec l’écrivain Renaud Camus qui y cherchait la matière pour une entrée dans le nouveau tome de ses « Demeures de l’esprit », cette série de livre qu’il consacre aux maisons d’écrivains. J’étais là, quant à moi, car je travaillais à un dossier sur ce qu’il subsiste du maurrassisme (1).

    En 2006, lors d’un précédent passage, j’avais déjà été frappé par l’état de délabrement de la demeure, depuis la situation s’est encore agravée…

    Pour résumer la situation, disons que Charles Maurras tenait énormément à cette ancienne maison familiale, qu’il y avait accumulé une très importante bibliothèque et qu’il avait souhaité en faire un témoignage du classisisme latin pour les générations futures. Ainsi, alors qu’il était emprisonné à Clairvaux, il continua à y faire faire des travaux et c’est de sa cellule qu’il conçut l’agencement actuel du jardin.

    A son décès, le bien revint à Jacques Maurras, son neveu, qui, en 1997, s’en débarrassa en en remettant les clefs au maire communiste de Martigues. L’affaire fit un certain bruit à l’époque, et des esprits clairvoyants s’inquiétèrent. On les rassura… Or ils avaient raison…

    Quatorze ans après, Winston Smith a fait son travail et Charles Maurras a presque totalement été effacé de l’histoire de la ville qui l’a vu naître.

    Si je devais décrire la situation en peu de mots, je dirais que seul le jardin a été entretenu… Et encore ! Charles Maurras l’avait fait décorer d’amphores antiques. Or elles ont disparu, toutes ayant été soit volées soit brisées.

    Quant à la bastide, ses murs sont fendus et ses boiseries sont sans peinture. Pire, on ne la visite plus, ou presque.

    En effet, alors qu’une maison d’écrivain banale attire plusieurs milliers de curieux chaque années, pour visiter la maison de Charles Maurras, il faut prendre rendez-vous au préalable auprès de la mairie pour une visite qui n’a lieu que le mardi matin et qui est réservée à cinq personnes à chaque fois…

    Il est vrai qu’il faut mieux nous dissuader de pénétrer dans les lieux car ce qu’on y voit est terrible : objets personnels laissés à l’abandon, bibliothèque dont les livres traînent en lambeaux, etc. Le tout donnant l’étrange impression d’un squat abandonné.

    Et il faut supporter, de surcroît, l’impatience et la mauvaise humeur d’un guide dont on comprend sans mal qu’il a rêvé un jour être un commissaire politique…

    Alors qu’une bibliothèque comme celle que contient cette maison permet de comprendre tant la structuration d’une pensée que les curiosités de son possesseurs (2) ou ses relations avec d’autres intellectuels (3), et a donc une grande importance au regard de l’histoire des idées, tout est fait pour qu’il n’en reste rien.

    Encore quelques années de ce régime et la bastide du chemin de Paradis ne sera plus qu’un lieu vide, que l’on pourra alors rénover et faire largement visiter aux touristes car il s’agit d’un exemple typique d’architecture provençale du XVIIème siècle. On oubliera tout simplement de leur dire qu’y naquit et y vécut Charles Maurras qui fut un grand nationaliste français, un grand écrivain latin et un de nos plus brillants académiciens.

    Il y aurait là un combat à mener pour la préservation de notre identité, de notre héritage et de notre patrimoine, mais qui s’y risquera ? Qui saura affronter le politiquement correct et les oukazes de la bienpensance ?
     

    notes

    1 – Il sera publié dans le bimensuel Flash dans le courant de l’été.
    2 – J’ai ainsi découvert que Charles Maurras possédait une édition de 1911 du Zohar…
    3 – Durant ma visite, j’ai pu ramasser sur le sol, parmi des papiers souillés, plusieurs dédicaces d’auteurs montrant des connivences et des amitiés oubliées…

    Editorial de Christian Bouchet

    VOXNR - 21.06/11

  • Florent Morillon, le 62ème soldat français sacrifié en Afghanistan

    Morillon-RCP.jpg

    Chasseur parachutiste de 1re classe, Florent Morillon, 20 ans, est décédé suite à un tir d’insurgés.

     

  • Ardèche: le corps en grande partie carbonisé n'est pas identifiable en l'état

    "Un corps en grande partie calciné, non identifiable en l'état" a été retrouvé à proximité des autres objets retrouvés un peu plus tôt, a déclaré le procureur de la République, Christophe Raffin, jugeant "infime" "la probabilité que ce ne soit pas" la jeune joggeuse.

    "Mon idée première est que ce corps est celui de Marie-Jeanne", la lycéenne disparue samedi soir alors qu'elle était partie faire son jogging habituel, a-t-il dit.

    Selon le magistrat, il est impossible "en l'état" de déterminer s'il s'agit d'un homme ou d'une femme, mais "des comparaisons ADN seront faites le plus tôt possible" pour confirmer qu'il s'agit bien de la jeune fille et "l'identité du corps sera connue d'ici quelques jours".

    Le corps n'a pas encore pu être hélitreuillé, a indiqué le procureur, ajoutant que la "zone avait été complètement verrouillée pour protéger les indices" alors qu'un orage s'abattait en début de soirée sur la région.

    C'est le témoignage d'un habitant de Tournon qui a mis les enquêteurs sur la voie. Ce dernier avait aperçu quelque chose de suspect la nuit de la disparition de la jeune fille.

    "Il était intrigué par un événement survenu dans la nuit de samedi", des flammes qui montaient au loin, a dit le procureur. Il a prévenu les gendarmes qui ont mis deux jours à localiser l'endroit précis où ont été retrouvés mardi matin le MP3, les lunettes, puis le corps. Le tout sur une dizaine de m2 situés dans une zone très escarpée.

    Le corps a "été retrouvé dans un trou dans la terre, dans un endroit très difficile d'accès, tant par le haut que le bas et qu'il faut connaître", a précisé le magistrat, soulignant que ce trou avait "une forme particulière".

    "Il est carré, bien taillé, bien découpé, pas à la va-vite", a-t-il dit estimant qu'il avait pu être creusé par des chasseurs s'en servant pour enterrer les viscères de gros gibier.

    "Le trou a pu être creusé pour une finalité et servir à autre chose", a-t-il noté.

    "Il faut être costaud pour transporter un cadavre sur ce terrain", a encore dit M. Raffin estimant que "cela peut être le fait de plusieurs personnes".

    Les enquêteurs travaillent dans le cadre d'une "enquête en flagrance pour découverte de cadavre", selon le magistrat qui se refuse à dire si un ou plusieurs suspects étaient en garde à vue mardi soir.

    "Toutes les hypothèses restent envisageables et on peut supposer le transport d'un corps vivant comme d'un corps mort", a-t-il encore dit.

    "L'enquête est très ouverte", a déclaré pour sa part le lieutenant-colonel Emmanuel Josse, soulignant que les gendarmes allaient reprendre les auditions des témoins.

     

    Source L'Alsace - 21/05/11 - 20h00

     

     

  • Une rectrice accuse les enfants d'immigrés de faire baisser le niveau scolaire!

    La nouvelle rectrice de l'académie d'Orléans-Tours est accusée par la gauche d'avoir tenu des propos "faisant l'amalgame entre immigration et échec scolaire".

    La cause ? Dans un entretien publié vendredi dans La Nouvelle République, Marie Reynier a déclaré : "Si on enlève des statistiques les enfants issus de l'immigration, nos résultats ne sont pas si mauvais ni si différents de ceux des pays européens".

    "Nous avons beaucoup d'enfants de l'immigration et devons reconnaître notre difficulté à les intégrer. Commençons par combattre l'illettrisme de leurs parents. Quand je vous parle d'ambition, je parle bien sûr aussi de ces jeunes parmi lesquels il y a évidemment de grands talents cachés et qu'on loupe", ajoute-t-elle.

    Dans cette interview parue samedi, cette rectrice nouvellement nommée évoquait le niveau des élèves de la région Centre, "quatre points inférieurs à la moyenne nationale" selon elle. Et sa réponse survenait après la question du journaliste qui lui demandait si le problème ne venait pas par exemple des classes "surchargées".

    "Des propos en droite ligne avec ceux de M. Guéant"

    Ces propos ont sucité un énorme tollé à gauche.

    Le député PS d'Indre-et-Loire Jean-Patrick Gille, a dénoncé sur France Info "des propos en droite ligne (avec ceux) de M. Guéant, ministre de l'Intérieur, faisant l'amalgame entre immigration et échec scolaire".

    Le ministre avait suscité la controverse le mois dernier, en affirmant que "les deux-tiers des échecs scolaires, c'est l'échec d'enfants d'immigrés", affirmant s'appuyer sur un rapport du Haut conseil à l'intégration datant de 2010.

    Les élus écologistes ont également réagi.

    Dimanche, Karim Laanaya, du groupe Europe Ecologie-Les Verts au conseil régional du Centre, a demandé la démission de la rectrice, jugeant ses propos "scandaleux".

    "Je suis atterré et scandalisé par les propos plus que limites à tendance xénophobe", a dénoncé Jean Delavergne, président du groupe écologiste au conseil régional du Centre. Avant de fustiger "des propos qui vont dans la droite ligne du ministre de l'Intérieur". "Cette attitude est uniquement faite pour cacher les vrais problèmes, notamment les suppressions de postes à la rentrée prochaine", a-t-il affirmé.

    Le Parti communiste s'est aussi indigné samedi de ces propos, déclarant dans un communiqué qu'"aucune étude ou statistique n'indique de différence de résultats ou de trajectoire scolaires, à catégorie sociale égale, lié à l'origine ethnique".

    Note de la rédaction
    La rectrice de l'académie d'Orléans-Tours s'est dite "choquée" lundi de voir ses propos sortis de leur contexte dans le cadre d'une "désinformation partiale".

    La rectrice "Marie Reynier regrette que les propos cités, sortis du contexte académique, aient pu heurter", indique un communiqué de l'académie.
  • Carla Figuera, 13 ans, est décédée à la suite des coups, non de sa chute

    L'autopsie a parlé. La collégienne de Florensac  de 13 ans frappée lundi par un adolescent est morte des suites des coups qui lui ont été  portés et non de la chute qu'ils ont entraînée, a affirmé lundi le procureur de Béziers. "Selon les premières conclusions de l'autopsie, l'adolescente est décédée des suites d'une hémorragie interne, à la suite d'un uppercut sous le menton", a déclaré le représentant du ministère public.

    • "Il y avait des assistants d'éducation à la sortie de ce collège qui ont essayé de s'interposer et qui malheureusement n'ont pu faire grand chose", a expliqué Luc Chatel sur Europe 1. Nous sommes dans un établissement scolaire tranquille, courant, banal", a insisté le ministre.
            
    L'adolescente a été grièvement blessée lors d'une bagarre à la sortie de son établissement par le frère aîné d'une de ses amies avec laquelle elle était en conflit pour un dépit amoureux. Afin de venger sa soeur, l'agresseur, âgé de 15 ans et élève dans une école de boxe, s'est rué sur la jeune fille et lui a asséné des coups violents. En chutant au sol, le crâne de la victime a violemment heurté le trottoir. Les deux jeunes filles s'étaient battues à plusieurs reprises dans le collège "pour une histoire de garçon" et plusieurs plaintes avaient été déposées auprès des gendarmes du village. Luc Chatel a précisé qu'un échange de couriels entre les adolescentes avait envenimé la situation.
     
    "La société est plus violente qu'il y a 25 ans"
     

    Pour le ministre, la société "est sans doute plus violente qu'elle ne l'était il y a 25 ou 30 ans, et l'école n'est que le reflet de la société". "Notre devoir, c'est de tout mettre en oeuvre pour qu'au sein de nos établissements scolaires, on puisse avoir des réponses pédagogiques face à cette violence", a-t-il dit.
       
    Des dizaines d'élèves du collège s'étaient auparavant recueillis mardi matin devant les grilles de l'établissement avant d'y déposer des gerbes de fleurs. Une marche blanche sera organisée samedi matin à Florensac à la mémoire de la jeune fille. L'auteur des coups était toujours gardé à vue, mardi, dans les locaux de la gendarmerie de Florensac dans l'attente de sa présentation au parquet de Montpellier. Une information judiciaire a été ouverte pour violences volontaires sans intention de donner la mort. Il devrait être présenté mercredi en fin de matinée à un juge en vue de sa mise en examen.
     
    le 21 juin 2011 à 17:58
    Source TF1
  • Joggeuse disparue: son corps retrouvé en partie carbonisé

    Un corps en partie carbonisé a été retrouvé mardi en fin d'après-midi non loin des lunettes et du MP3 susceptibles d'appartenir à Marie-Jeanne Meyer, la jeune fille de 17 ans disparue samedi alors qu'elle faisait du jogging en Ardèche, selon nos informations. Le corps était en train "d'être hélitreuillé" dans la zone escarpée de Tournon-sur-Rhône, a confirmé le maire du village.

     
     Après la découverte des lunettes et du MP3, un hélicoptère avait été dépêché sur place pour hélitreuiller des sauveteurs dans le but d'explorer le bas de la falaise où la jeune fille aurait pu chuter, avait précisé le procureur de Privas. De très importants moyens de recherche et de secours sont déployés sur le terrain, à proximité de Tournon-sur-Rhône, depuis trois jours.

    Il semble que le corps ait été transporté et caché à cet endroit

    Partie samedi soir faire son jogging habituel, sans portable, avec juste son baladeur et une bouteille d'eau, Marie-Jeanne avait été portée disparue vers 22h30.

    le 21 juin 2011 à 19:12
    Source TF1
  • Solstice d'été à Montségur

     

    Solstice-d-ete-a-Montsegur-Juin-2009-photo-1.jpg

     (Cliquez sur la photo)

  • Campagne offensive du Vlaams Belang pour le retour au pays des immigrés

     

    20/06/11 – 17h20
    Anvers (NOVOpress) –
    “Mal du pays? Problèmes de langue? Chômage? Optez pour le retour”, tels sont les termes offensifs que le Vlaams Belang utilise sur des tracts qu’il distribue aujourd’hui dans les quartiers flamands accueillant plus de 15% d’immigrés. Et ce dans une trentaine de grandes villes flamandes.

    En 2008, le Vllams Belang avait lancé une campagne du même type, lorsqu’il avait distribué à Anvers un “guide du retour”. Ce guide informait sur les possibilités offertes pour un retour volontaire. Cette initiative s’inscrivait alors dans une campagne plus large visant à encourager les immigrés clandestins à rentrer chez eux.

    cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

  • Hérault: une collégienne de 13 ans tuée à coups de poing

    1501163_carteweb-herault-01.jpg

    (Cliquez sur la carte pour l'agrandir)

    Une jeune fille de 13 ans et demi est décédée lundi après-midi après avoir été agressée à la mi-journée à la sortie de son collège à Florensac (Hérault), près de Béziers, par le grand frère d'une camarade âgé de 15 ans, selon la gendarmerie.

    D'après les premiers éléments, l'adolescente aurait chuté lourdement sur la tête, ce qui a entraîné des lésions cérébrales graves et deux arrêts cardiaques, un sur place et un pendant son transport en hélicoptère, a précisé la préfecture de l'Hérault.

    La jeune fille est décédée d'un traumatisme crânien, selon l'hôpital de Montpellier. L'autopsie du corps doit avoir lieu mardi après-midi. «Une information judiciaire sera ouverte. Les chefs d'accusation seront définis plus tard, après le résultat de l'autopsie», a indiqué Patrick Mathé, le procureur de la République de Béziers. Tout l'enjeu de cette autopsie est de savoir si la victime est décédée des coups qu'elle a reçus au visage, ou d'un traumatisme consécutif à sa chute, tête la première, sur le sol.

    Selon des témoins, le jeune garçon, qui pratiquait la boxe sans pour autant être réputé violent, aurait roué de coups la victime, lui portant «plusieurs coups violents» au visage.

    Un «acte inacceptable», commis a priori «à mains nus, sans arme», selon le procureur.

    Après avoir obtenu son identité auprès des témoins de l'agression, les gendarmes ont contacté l'agresseur présumé qui s'est ensuite présenté de lui-même, en compagnie de sa mère, à la brigade de gendarmerie de Florensac (Hérault), où il a été placé en garde à vue. «La qualification retenue à cet instant est celle de violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner», a précisé le procureur de la République. Evoquant l'agression, le magistrat a évoqué un «acte inacceptable», commis a priori «à mains nus, sans arme».

    Scolarisé à Sète (Hérault), l'auteur présumé des coups, âgé de 14 ans et 11 mois, a ensuite été transféré à la brigade de recherches de gendarmerie de Pézenas (Hérault), en charge de l'enquête, où il a été auditionné. Des témoins, présents sur les lieux au moment du drame, ont également été entendus lundi après-midi. Le collège de Florensac, où une cellule psychologique a été mise en place afin d'aider au mieux les quelque 350 élèves, n'a pas été fermé, a-t-on appris auprès de l'Inspection d'Académie de Montpellier.

    Le 15 juin, une bagarre avait éclaté entre les deux adolescentes

    A l'origine de ce drame, une dispute aurait opposé récemment la jeune victime et une autre collégienne. Selon la gendarmerie, une plainte a été déposée lundi matin, contre la victime, par la mère et la soeur de l'agresseur présumé pour des «violences remontant au 15 juin» subies par cette jeune fille.

    Selon Midi Libre, un conflit opposait les deux adolescentes, pour une histoire de coeur, depuis plusieurs semaines. La soeur de l’agresseur avait cessé depuis un mois d’aller en cours, par crainte d’y croiser sa rivale. Elle avait finalement tout avoué à sa mère, qui l’avait conduite ce matin à la gendarmerie pour qu’elle dépose plainte. Le mardi 15 juin, une bagarre entre les deux jeunes filles avait déjà éclaté à Florensac.

    «Une partie de l'encadrement du collège n'a pas pu s'interposer», selon le maire

    Pour le maire socialiste de la commune, Vincent Gaudy, ce drame, «profondément navrant», «est parti d'une altercation entre filles, qui s'est transformé en règlement de compte», a-t-il affirmé. L'élu avait été informé du différend existant entre les deux jeunes filles, «à propos d'une affaire de coeur», et avait demandé la semaine dernière aux deux familles de prendre contact afin de «désamorcer le truc».

    Les deux jeunes filles «se seraient donné des gifles» après avoir «eu des mots», et c'est le frère de l'autre adolescente, âgée de 14 ans, qui est venu «régler des comptes» lundi, a souligné Vincent Gaudy. Selon le maire, l'agression s'est déroulée en présence «d'une partie de l'encadrement du collège qui n'a pas pu s'interposer». Contactée, la direction du collège n'était pas joignable. «Aujourd'hui, j'en ai gros sur la patate, a ajouté Vincent Gaudy. Je suis particulièrement affecté, car la jeune fille décédée est la fille d'un ami».

    «Il s'agit d'un drame épouvantable, a déclaré , le ministre de l'Education nationale sur BFM-TV. «La communauté éducative est en deuil ce soir. C'est un collège sans histoire, sans difficulté particulière», a assuré le ministre. Dans un communiqué, il a adressé «ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches de cette jeune collégienne» et demander au Rectorat et à l'inspection d'académie de de se rendre sur place.
     
     
    Source Le Parisien - 20/06/11


     
  • Marseille: mort à cause d'un hamburger McDo ?

    Lundi, le parquet de Marseille a ouvert une enquête pour déterminer les raisons de la mort d'un jeune homme qui avait mangé un hamburger quelques jours plus tôt.

    Depuis son repas au McDo, la victime a été pris de vomissements et de diarrhées, indique Le Parisien.

    La famille du jeune homme âgé de 20 ans a décidé de porter plainte.

    Pour l'heure, le parquet de Marseille reste sur la réserve. "Le jeune est décédé une semaine après, il n'y a pas de lien avéré entre les deux, mais cela mérite examen", a déclaré le procureur de la République à Marseille, Jacques Dallest, cité par Le Parisien.

    McDonald's précise "ne pas avoir été saisi par les services officiels". "Malgré cela, à titre de précaution, nous avons décidé de déclencher immédiatement une enquête interne. Nous nous tenons à la disposition des services officiels qui enquêtent sur ce décès", ajoute la chaîne.

    Une autopsie et des examens toxicologiques ont été réalisés, les résultats devraient être connus dans la semaine.

    Source Yahoo! Actualités - 20/06/11

  • Yvan Colonna condamné à perpétuité pour l'assassinat du préfet Erignac

    corps_erignac-316-a716b.jpg

    L'assassinat du préfet Claude Érignac a eu lieu le 6 février 1998 à 21h05 à Ajaccio dans la rue Colonna-d’Ornano.

    Le préfet de Corse, Claude Érignac, est abattu de trois balles de calibre 9 mm, une dans la nuque à bout portant, deux pour l'achever alors qu'il est à terre. L'arme du crime, un Beretta qui avait été volé cinq mois plus tôt, le 6 septembre 1997, pendant la prise en otage de deux gendarmes de la caserne de Pietrosella (Corse-du-Sud), est retrouvée sur les lieux. (Wikipedia)

     

    claude-erignac_lepelerin_1234690166.jpg

    Claude Erignac était né à Mende en 1937

    1494892_col01-files-corse-proces-pr.jpg

    PARIS (Reuters) - Pour la troisième fois et malgré ses protestations d'innocence, Yvan Colonna a été condamné lundi à la réclusion criminelle à perpétuité pour l'assassinat du préfet de Corse Claude Erignac en 1998.

    Après un mois et demi d'audience et sept heures de délibéré, la cour d'assises spéciale de Paris a désigné le berger et militant nationaliste, dans un arrêt motivé exceptionnellement par écrit, comme l'homme qui a tiré trois balles dans la tête du préfet le 6 février 1998 à Ajaccio.

    Il s'agissait du cinquième procès de ce crime, le plus grave en 40 ans de violence politique en Corse. L'affaire n'est pas terminée: Yvan Colonna va en effet se pourvoir en cassation, a annoncé un de ses avocats, Antoine Sollacaro. La défense parle aussi, pour la suite, d'un recours à la Cour européenne des droits de l'homme.

    Les neufs magistrats de la cour d'assises spéciale n'ont pas totalement suivi les réquisitions de l'accusation, qui demandait la perpétuité mais avec une période de sûreté de 22 ans incompressible. Arrêté en 2003, Yvan Colonna pourra, avec la perpétuité "simple", demander une libération conditionnelle après 18 ans de détention, soit en 2021.

    Après le verdict, Yvan Colonna est resté impassible. Son jeune fils, venu spécialement, et l'agricultrice de Cargèse qu'il a épousée en détention, ainsi que ses proches, ont poussé quelques cris de protestation comme "honte !" dans la salle.

    Sa femme et son fils sont allés le voir près du box des accusés, en larmes. Il a caressé longuement les cheveux de son épouse avant que les gendarmes ne l'emmènent.

    "Nous pensons qu'en France, la justice n'est pas suffisamment indépendante pour acquitter Yvan Colonna, malgré la preuve que nous avons faite de son innocence", a dit Me Sollacaro à la presse. Me Gilles Simeoni a parlé de "raison d'Etat" et estimé que "la démocratie judiciaire a perdu".

    A l'extérieur, des militants nationalistes portaient des tee-shirts où on lisait : "Colonna, otage de la raison d'Etat".

    LA VEUVE ÉRIGNAC S'ADRESSE À SON MARI

    La veuve du préfet, très émue, a parlé à la presse en s'adressant à son mari. "Claude, la justice a été rendue", a-t-elle dit. "M. Colonna, que ses complices et leurs femmes ont désigné comme le tueur, aurait dû revendiquer sa responsabilité, il n'en a pas eu le courage et nous, nous avons dû subir quatre années de cavale, et la manipulation qui a fait que beaucoup ont cru que M. Colonna était un simple berger."

    Yvan Colonna, 51 ans, arrêté en 2003, avait déjà été condamné deux fois, à la perpétuité simple en 2007, puis en appel en 2009 avec la sûreté de 22 ans. Cette dernière condamnation avait été cassée pour vice de forme en 2010.

    Le nouveau procès n'a pas apporté beaucoup d'éléments nouveaux, hormis une lettre datée de fin 2010, dont Yvan Colonna a d'abord admis devant ses avocats être l'auteur avant de changer d'avis. ll y menace un protagoniste clé de l'affaire, Pierre Alessandri, de "guerre" s'il ne dépose pas en sa faveur.

    Dans sa motivation, la cour estime que les accusations initiales de cinq membres du commando de tueurs condamnés à des peines jusqu'à la perpétuité, et de quatre de leurs épouses établissent qu'Yvan Colonna "a tenu le rôle du tireur".

    Les rétractations de ces personnes après des années ne sont pas prises en compte par la cour, qui relève qu'elles ont été expliquées par des versions successives, la volonté de protéger des proches, d'hypothétiques autres auteurs, par des pressions policières ou par une supposée rancune contre Yvan Colonna.

    La cour remarque par ailleurs qu'une des épouses n'a pas rétracté sa mise en cause, même au procès. Elle relève aussi à charge l'attitude d'Yvan Colonna quand les autres tueurs, parmi lesquels ses amis d'enfance, ont été arrêtés en mai 1999.

    Il a retiré, rappelle la cour, 30.000 francs en espèces avant de prendre la fuite pendant quatre ans, non sans avoir donné un entretien à TF1 où il disait avoir le "profil de l'assassin", mais qu'il faudrait "le prouver". Il a été arrêté dans le maquis en possession d'une grenade et d'un chargeur.

    Édité par Marc Angrand

    Source Yahoo! Actualtés  - 20/06/11

  • Georges Tron et son adjointe en garde à vue

    L'ancien secrétaire d'Etat à la Fonction publique, visé par une enquête pour viol et agression sexuelle, passe la nuit dans les locaux de la police judiciaire de Versailles.

    L'homme politique Georges Tron, visé par une enquête pour agressions sexuelles, a été placé en garde à vue lundi, à la police judiciaire de Versailles. Une élue municipale de la ville de Draveil, dont Georges Tron est maire, est elle aussi entendue par les enquêteurs. «M. Tron et son adjointe vont tous les deux passer la nuit en garde à vue. Sa garde à vue doit durer 24 heures et peut être prolongée de 24 heures», a déclaré lundi soir le procureur. Une perquisition a également eu lieu lundi à la mairie.

    Le parquet d'Evry avait ouvert fin mai une enquête préliminaire pour viol et agression sexuelle à la suite de la plainte de deux ex-employées municipales de Draveil. L'ancien secrétaire d'Etat à la fonction publique devait être confronté à ces deux accusatrices, mais aussi à une troisième, qui a «récemment porté des accusations» contre Georges Tron, selon une source de l'enquête. On ignorait s'il s'agissait d'une employée municipale, comme les deux autres.

    Des massages intimes dans le bureau du maire

    Les deux premières femmes avaient affirmé à la police avoir subi des attouchements sexuels de la part du maire. Les faits se seraient produits de janvier 2007 à mars 2009, pour la première plaignante et de septembre 2008 à septembre 2010 pour la seconde. Selon les deux femmes, Georges Tron prenait prétexte la pratique de la réflexologie pour leur caresser les pieds. Selon elles, les gestes se seraient transformés en véritables agressions sexuelles. «Les choses ont vite dégénéré», expliquait au Parisienl'une d'entre elles.

    Georges Tron, qui n'a pas été mis en examen dans cette affaire, avait été contraint de démissionner du gouvernement le 29 mai, mais il est resté maire de Draveil. Les médias français avaient publié de nombreux témoignages anonymes le mettant gravement en cause.

    En présentant sa démission, Georges Tron s'était défendu de tout comportement répréhensible. Il avait laissé entendre qu'il était victime d'une vengeance orchestrée par des membres de la famille Le Pen. «Je ferai une affaire personnelle de faire reconnaître mon innocence», avait alors expliqué Georges Tron dans sa lettre de démission.

    Source Le Figaro - 20/06/11

  • Gudrun Himmler, la "princesse du Nazisme"

     

    Gudrun Burwitz.jpg

    Himmler-et-Hitler_articlephoto.jpg

    A 81 ans, Gudrun Burwitz pourrait être une grand-mère comme une autre. Mais la fille d’Heinrich Himmler a choisi une autre voie: celle de l’aide aux anciens officiers nazis poursuivis dans le monde entier.

    Himmler-Gudrun.jpg

    Source Kahina Sekkai - Parismatch.com -  19/06/11

    Elle est devenue une figure incontournable de «Stille Hilfe», de par sa naissance, mais aussi de par son âpreté aux combats, qui lui ont valu le titre de «Princesse du Nazisme». D’après Andrea Roepke, spécialiste de ces questions, «"Stille Hilfe" ne concerne pas seulement le National-Socialisme. Il collecte aussi des fonds pour le mouvement néo-nazi.» Parmi ses «protégés» du moment, Klaas Carel Faber, 89 ans. Ce Hollandais a rallié les SS et assassiné de sang-froid des centaines de juifs. Mais le dernier en date est Soren Kamm. Officier SS danois, il est recherché dans son pays pour «crimes de guerre», notamment l’assassinat d’un éditeur de journaux Henrik Clemmensen, tué à Copenhague. En 1946, un associé de Kamm a été condamné à la peine de mort pour cet acte odieux, et exécuté dans l’année. Seulement, l’Allemagne refuse l’extradition de l’ancien nazi, même après des aveux publics de culpabilité à la télévision allemande.

    «Je fais ce que je peux»

    «Stille Hilfe» a été créé en 1951, mais avait déjà commencé des missions d’extradition dès 1946. Même une fois arrêtés, les criminels nazis pouvaient compter sur le soutien des membres du groupuscule, souvent affilié à l’ODESSA (l’organisation des anciens SS). Ainsi, Hildegard Lächert, gardienne de camp connue sous le nom de Brigitte la Sanglante ou encore Klaus Barbie ont été appuyés, aussi bien mentalement que financièrement. Jusqu’à, au moins, la fin des années 1990, l’association touchait entre 60 000 et 80 000 euros de dons par an, de quoi construire un socle financier assez solide pour permettre de coûteux déplacements.

    Au «Daily Mail», qui a essayé de la contacter, Gudrun Burwitz a simplement répondu: «Je ne parle jamais de mon travail. Je fais juste ce que je peux, quand je le peux.» Un haut-gradé des services anglais connait bien le personnage: «Elle a plus de 80 ans, mais elle est en pleine forme. Elle aime que les gens pensent qu’elle est une sorte de Mrs Doubtfire, mais ce n’est pas le cas.» Véritable vedette pour l’extrême droite allemande, «Püppy» ne semble malheureusement pas prête à baisser les bras. Point final