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  • Résistance à l'immigration africaine en Israël...

     

    Emeutes raciales en Israël
     
     
     

    25/05/2012 – 18h45
    TEL-AVIV (NOVOpress via le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) –
    Brandissant des drapeaux israéliens (image de ce drapeau en Une) et scandant : « Expulsez les Soudanais !», des habitants d’un quartier pauvre de Tel‑Aviv s’en sont pris mercredi soir à des immigrés africains, pour la plupart originaires du Soudan et de l’Erythrée.

    Des poubelles ont été incendiées, des vitrines brisées et un automobiliste africain a été pris à partie par la foule, qui a brisé les vitres de sa voiture. Il y a eu plusieurs blessés et la police a interpellé une vingtaine de personnes.

    Quelle a été la réaction du gouvernement ?

    Aussi incroyable que cela puisse paraître, le ministre de l’Intérieur, Eli Yishai, dirigeant du parti ultrareligieux Shas, a apporté son soutien aux émeutiers ! Pour le ministre, les chiffres de la police montrent clairement que l’immigration en provenance du Soudan et de l’Erythrée est source de criminalité. « Je ne me permettrais pas de juger quelqu’un dont la fille a été violée. Je ne me permettrais pas de juger une jeune femme qui ne peut pas rentrer chez elle à pied sans être importunée », a déclaré le ministre de l’Intérieur. Avant d’ajouter : « En aucune circonstance je ne me permettrais de juger des gens qu’on attaque et qu’on fait souffrir, et auxquels l’Etat vient ensuite demander : « Pourquoi vous comportez‑vous ainsi envers les étrangers ?»».

    La société israélienne s’est réveillée hier matin avec la gueule de bois

    L’arrivée massive d’Africains en Israël fait actuellement débat. Environ 60.000 Africains sont entrés illégalement en Israël ces dernières années, via l’Egypte. Un afflux qui inquiète certains Israéliens, tandis que d’autres, qui rappellent le sort subi par les Juifs d’Europe pendant la Seconde guerre mondiale, jugent que l’Etat hébreu se doit d’accueillir les étrangers.

    Le ministre de l’Intérieur -comme bon nombre d’Israéliens- craint une submersion démographique. « Il faudrait, au nom de la démocratie, au nom du respect des résolutions de l’Onu, que l’Etat d’Israël, en tant qu’Etat juif, accepte de se suicider ?», s’est emporté le ministre de l’Intérieur israélien. Un responsable de la police a précisé que les incidents de mercredi soir n’étaient pas les premiers de ce type ce mois‑ci à Tel‑Aviv.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]
  • Bettencourt: les enquêteurs cernent Nicolas Sarkozy dont le nom apparaît désormais dans la procédure instruite à Bordeaux

    LE MONDE |23.05.2012 à 14h01 • Mis à jour le23.05.2012 à 14h01

    Par Gérard Davet et Fabrice Lhomme

     

    Eric Woerth, le 7 mai à Paris, au lendemain de la défaite de Nicolas Sarkozy à la présidentielle.

     

    Les enquêteurs chargés de l'affaire Bettencourt cernent Nicolas Sarkozy. Le nom de l'ex-président apparaît désormais dans la procédure, instruite à Bordeaux par le juge Jean-Michel Gentil, visant les délits d'"abus de faiblesse" et d'"abus de confiance" commis au préjudice de la milliardaire. Selon les procès-verbaux dont Le Monde a pris connaissance, le magistrat semble tenir pour acquis que M. Sarkozy a bénéficié, lors de sa campagne présidentielle de 2007, d'argent en espèces du couple Bettencourt. Et ce par le biais de Patrice de Maistre, ex-gestionnaire de fortune des Bettencourt, et Eric Woerth, ex-trésorier de l'UMP. Les deux hommes sont mis en examen - le premier étant toujours en détention provisoire.

    Le juge Gentil s'est d'abord attelé à tracer l'argent liquide. Le 17 janvier 2007, 50 000 euros sont retirés de l'un des comptes Bettencourt par la comptable Claire Thibout, sur l'injonction de M. de Maistre. Celui-ci réclame initialement 150 000 euros, mais la comptable refuse de sortir une telle somme car ce montant excède son autorisation de sortie d'espèces à la banque. Le magistrat s'est procuré l'extrait de compte qui donne crédit aux assertions de Mme Thibout. Interrogée le 14 septembre 2011 par le juge Gentil, celle-ci a réitéré que la demande de M. de Maistre était claire : c'était, selon les propos que lui aurait tenus le gestionnaire de fortune, "pour donner à Eric Woerth".

    ENVELOPPE KRAFT

    Le lendemain, 18 janvier, un rendez-vous est pris avec Mme Bettencourt pour lui remettre les fonds. Mme Thibout, dans son agenda, note : "Pour donner enveloppe qui donnera à Patrice." Les agendas de Mme Bettencourt et de M. de Maistre confirment la tenue de ce rendez-vous. L'enveloppe kraft contenant des liasses de vingt billets change donc de mains, pour atterrir dans celles de M. de Maistre. Le lendemain, soit le 19 janvier, celui-ci rencontre M. Woerth, qu'il connaît depuis 2006, et dont il s'apprête à engager l'épouse, Florence Woerth. Le tête-à-tête se déroule dans un café, près du QG de campagne, rue d'Enghien, à Paris. Question du juge à M.Woerth, lors de son interrogatoire du 9 février: "Vous souvenez-vous de la station de métro ?". "Non, a répondu l'ancien ministre du travail, je ne m'en souviens pas." Remarque perfide du magistrat : "Vous ne vous souvenez pas de la station de métro que vous avez emprunté tous les matins..."

    Curieusement, ce rendez-vous ne figure pas à l'agenda de M. Woerth, contrairement à celui de M. de Maistre qui a précisé que l'entrevue s'était déroulée de 8 h 30 à 9 h 30. Plus ennuyeux pour M. Woerth, l'agenda de Mme Thibout porte cette mention, à la date du 19 janvier 2007: "Patrice et trésorier, rue des Poissonniers (...) sécurité." "Lors de ce rendez-vous, interroge donc le magistrat, M. de Maistre vous a-t-il remis une somme de 50 000 euros en espèces ?" "Non, proteste M. Woerth, il ne m'a jamais remis d'argent (...). Nous avons parlé de la campagne qui commence..." Si le magistrat postule que l'enveloppe a bien, ce jour-là, été remise à M. Woerth, il manque 100 000 euros : Mme Thibout a assuré que M. de Maistre s'était débrouillé pour les trouver. Or, le 28 janvier 2007, M. de Maistre se rend à Genève, où il a rendez-vous le 30 janvier avec l'avocat René Merkt, qui gère les comptes non déclarés du couple Bettencourt. Interrogé, M. Merkt confirme la rencontre, et précise que M. de Maistre réclamait des fonds, par le biais d'un mécanisme de compensation, en insistant pour qu'ils soient livrés en main propre à Mme Bettencourt.

    Les 100 000 euros ont-ils été débloqués ce jour-là ? Toujours est-il que le 5 février 2007, un coursier débarque chez Mme Bettencourt, en présence de M. de Maistre, entre 17 h 15 et 17 h 45. Les enquêteurs ont établi que les fonds étaient toujours livrés ainsi. Deux jours plus tard, le 7 février 2007, M. de Maistre et M. Woerth se retrouvent de nouveau, le matin, toujours dans ce café discret. Juste après la rencontre, le trésorier de l'UMP file au QG, où se tient une réunion avec l'équipe financière.

    "Il voulait évoquer l'importance du rôle des PME dans l'économie française", se défend l'ex-ministre sur procès-verbal pour justifier ce rendez-vous avec M. de Maistre. L'explication ne convainc pas le magistrat qui relève notamment que l'agenda de M.Woerth mentionne ce jour-là deux réunions importantes censées se tenir aux mêmes horaires, mais au QG de campagne. Pourquoi, du coup, ne pas avoir organisé le rendez-vous au bureau ? Pour M. Woerth, le café, "c'est plus convivial". Il réfute la thèse du magistrat, convaincu que 100 000 euros lui ont été donnés ce jour-là. "Patrice de Maistre ne m'a jamais remis d'argent liquide", assure l'ex-ministre au juge.

    ARGENT DISCRÈTEMENT DÉBLOQUÉ

    Quoi qu'il en soit, le lendemain, 8 février 2007, l'étude Merkt à Genève reçoit un virement de 560 000 euros, sur un compte de Mme Bettencourt, la somme paraissant provenir d'un système de compensation. Le magistrat semble donc persuadé qu'une partie de l'argent ainsi discrètement débloqué est parvenu à M. Woerth, dans le but, de financer - illégalement - la campagne de M. Sarkozy.

    Via un procès-verbal daté du 27 février, le juge Gentil a donc décidé de verser à la procédure ouverte pour "abus de faiblesse" plusieurs témoignages d'anciens membres de la maisonnée Bettencourt. Il précise sa pensée: "Disons faire le lien avec plusieurs dépositions de témoins faisant état d'une visite de Nicolas Sarkozy au domicile de Liliane Bettencourt pendant la campagne présidentielle de 2007." Pour le magistrat, il s'agit de prouver que cet argent sorti en liquide de Suisse, a servi, in fine, à financer la campagne de M. Sarkozy. Il accumule donc les indices. Comme cette phrase extraite d'un cahier tenu par l'écrivain François-Marie Banier. A la date du 26 avril 2007, celui-ci mentionne que sa richissime confidente se plaint des exigences financières de Nicolas Sarkozy. Or, ce même 26 avril 2007, 400 000 euros, décaissés de Suisse, ont été apportés à M. et Mme Bettencourt.

    Pourquoi cette arrivée d'espèces, alors que le couple "n'avait pas de besoins pour financer son quotidien puisque tout lui était acheté", comme l'a expliqué Mme Thibout au juge ? Sur l'implication de M. Sarkozy, les dépositions des témoins apportent au magistrat des éléments nécessaires, à défaut d'être suffisants. Secrétaires ou chauffeurs, ils sont formels : M. Sarkozy a bien rendu visite à Mme Bettencourt durant la campagne électorale. Mais ces rencontres-là, le dictaphone du majordome Pascal Bonnefoy, dont les enregistrements pirates ont déclenché toute l'affaire, ne les a pas enregistrées...

    Lire aussi : "Anciens employés des Bettencourt, ils se souviennent des discrètes visites du candidat Sarkozy"

    Gérard Davet et Fabrice Lhomme

     

  • Derrière l'éloge fait à Jules Ferry - Par Bernard Lugan

    Derrière l’éloge fait à Jules Ferry - Par Bernard Lugan

    (Cliquez sur la photo)

     

     

    Lorsque l’on est président de la République, l’on se doit d’être prudent avec l’Histoire et de demander à ses conseillers de relire soigneusement leurs fiches. Nicolas Sarkozy et François Hollande l’ont tous deux appris à leurs dépens. Le premier avec son « Discours de Dakar », dans lequel, voulant paraître avoir compris des Afriques dont il ignorait tout, il humilia gravement les Africains. Le second avec son éloge de Jules Ferry, quand, pensant placer son mandat sous la figure tutélaire d’un homme de gauche consensuel, il provoqua la polémique, une grande partie de ses millions d’électeurs issus de notre ancien Empire colonial considérant le « père de l’Ecole républicaine » comme un odieux « raciste ». Adieu le consensus…

    Faut-il que la culture historique des conseillers du nouveau président soit à ce point partielle qu’ils aient pu ignorer que Jules Ferry (photo) a, en son temps, tenu des propos qui, aujourd’hui, le feraient très sévèrement condamner par les tribunaux ? Dans son fameux discours du 28 juillet 1885 prononcé devant les députés, il déclara ainsi : « Il faut dire ouvertement qu’en effet, les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures ; mais parce qu’il y a aussi un devoir. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures ». Précisant sa pensée, il ajouta même que la colonisation est le « devoir d’hommes de race supérieure »…

    Pour Jules Ferry, la conquête coloniale n’était brutale qu’en apparence puisque son but était civilisateur. La République n’avait-elle pas agi de même avec les « fanatiques » Vendéens pour les libérer de leur « obscurantisme », avec les Bretons, les Occitans ou les Basques et toutes ces « peuplades inférieures » qu’elle brisa et accultura par « altruisme », pour les transformer et les « sublimer » en Français ? Il devait donc en être de même avec les « sauvages » d’Afrique. Toujours par amour de la Liberté et du genre humain.

    Chez Jules Ferry se retrouvent à la fois la notion de conquête émancipatrice et celle d’une France patrie des Droits de l’Homme ne pouvant se dérober devant les exigences de cette croisade laïque, libératrice et pour tout dire républicaine, qu’était la colonisation. D’ailleurs, pour lui, « la race supérieure ne conquiert pas pour le plaisir, dans le dessein d’exploiter le faible, mais bien de le civiliser et de l’élever jusqu’à elle » (Discours du 28 juillet 1885).

    Ceux qui ont applaudi le discours prononcé au pied de sa statue dans l’attente fébrile de maroquins tant espérés, Madame Taubira en tête, ainsi que les édiles socialistes qui ont fait débaptiser des universités et des rues portant le nom d’Alexis Carrel, ont donc une mémoire curieusement sélective, pour ne pas dire hémiplégique…

    Pour justifier une politique coloniale qui était à l’opposé du Contrat social, la gauche française établit en effet une hiérarchie entre les « races », entre « les civilisations ». Etant ses héritiers sans même le savoir, par simple imbibition à l’air du temps, messieurs Sarkozy et Guéant firent de même… et il leur en coûta médiatiquement… Pourtant, aussi tard que le 9 juillet 1925, Léon Blum, cette autre grande conscience républicaine elle aussi irréprochable, n’avait pas craint d’affirmer devant les députés : «Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d’attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de les appeler aux progrès réalisés grâce aux efforts de la science et de l’industrie. »

    Lors du congrès de la Ligue des droits de l’Homme qui se tint à Vichy en 1931, Albert Bayet, son président, déclara quant à lui sous les applaudissements nourris des ennemis de toutes les intolérances, que la colonisation française était légitime car porteuse du message des « grands ancêtres de 1789 » et que, coloniser revenant à : « Faire connaître aux peuples les droits de l’Homme, ce n’est pas une besogne d’impérialisme, c’est une tâche de fraternité ».

    A la différence des partisans des lois mémorielles, mille-feuilles historicide interdisant toute recherche, l’universitaire est bien conscient qu’il ne s’agit évidemment pas ici d’oublier le contexte qui prévalait à l’époque. Condamner les propos de Jules Ferry, d’Albert Bayet ou de Léon Blum en ayant l’œil fixé sur l’étalon mètre du politiquement correct que leurs héritiers ont déposé dans le pavillon de Flore de la pensée unique serait en effet une aberration scientifique. Ceci ne doit cependant pas dispenser les héritiers des « grands ancêtres », aujourd’hui si prompts à la repentance et aux condamnations hors contexte, d’oublier de « balayer devant leur porte ».

    En définitive, derrière l’éloge en apparence « innocent » de Jules Ferry prononcé par François Hollande, se cachent deux hypothèses :

    1) La première est qu’à Sciences-Po et à l’ENA, les professeurs d’histoire du futur président devaient être particulièrement incompétents et que ses actuels conseillers ont de singulières lacunes historiques. Nous aurions là la preuve par 9 des résultats obtenus par ces « pédagogistes » enkystés au ministère de l’Education nationale depuis la Libération et qui, tant sous les régimes de gauche que sous les régimes dits de « droite », n’ont eu de cesse d’assassiner l’enseignement de l’histoire.

    2) La seconde serait au contraire celle d’une volonté clairement affichée d’un grand retour aux sources idéologiques de la gauche française, François Hollande raccrochant ainsi une famille doctrinalement déboussolée par le « mitterrandisme » aux mythes fondateurs de la République, tout en occultant prudemment le fait que le « père de l’école républicaine » fut le chantre d’un certain « racisme philanthropique ».

    Les années à venir nous diront laquelle de ces hypothèses était la bonne…

    Bernard Lugan

    Source : Le Blog de Bernard Lugan et de la revue l’”Afrique Réelle”.
    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
     

     

  • Espagne: une histoire qui soulève le coeur - Avortement raté, le médecin devra entretenir l'enfant pendant 25 ans

    Cet Espagnol a été condamné jeudi à verser à la mère près de 1000 euros par mois jusqu'aux 25 ans du garçon né par sa faute.

    Il n'est pas le père de l'enfant mais il devra débourser 978 euros par mois pendant 25 ans pour son entretien. Un médecin espagnol a en effet été condamné jeudi pour avoir «raté» l'avortement de Tamara, l'une de ses patientes. Une erreur qui a conduit à la naissance, en octobre 2010, d'un enfant non désiré.

    Six mois avant, la jeune femme, enceinte de sept semaines, s'était présentée pour une IVG à la clinique de Palma de Majorque. L'opération chirurgicale, réalisée par aspiration du foetus, se passe apparemment bien. Deux semaines plus tard, elle effectue une échographie et le médecin lui confirme qu'elle n'est plus enceinte. «Le scan a duré trois minutes», a raconté jeudi la jeune mère aux journalistes.

    Trois mois plus tard, Tamara croit être de nouveau enceinte. Lorsqu'elle refait une échographie, elle découvre qu'il s'agit de la même grossesse, et qu'elle est dans son cinquième mois.

    Confuse, la clinique lui rembourse les 400 euros de l'IVG, lui fait signer un document exemptant la clinique de toute responsabilité, et lui propose de lui payer une seconde IVG dans un centre à Barcelone. Ce alors qu'elle est au-delà de la limite légale de 22 semaines pour recourir à une IVG. Elle choisit de garder l'enfant, qui est né quatre mois plus tard, en bonne santé.

    Tamara décide néanmoins de faire un procès au médecin: non seulement son erreur a «altéré irréversiblement sa vie» selon son avocat, mais elle a passé ses derniers mois de grossesse rongée d'angoisse à l'idée que l'opération ait pu causer des dommages à son enfant.

    150.000 euros au titre du préjudice moral

    Le juge lui a donné raison jeudi et a condamné le médecin à lui payer 150 000 euros au titre du préjudice moral subi en plus des près de 1000 euros par mois pour l'entretien du garçon. Il a estimé que le médecin était responsable d'avoir mal analysé l'échographie et qu'en plus, il aurait dû savoir qu'il était, lors de la première visite de Tamara, encore temps de faire un IVG médicamenteuse, plus fiable que l'IVG chirurgicale.

    «Je vais bien aujourd'hui, parce que j'ai dû accepter toute cette histoire. Il n'y avait pas d'autre possibilité», a confié Tamara, 24 ans, après l'annonce de la condamnation du médecin. «Je suis heureuse avec mon fils. Quand je devrai tout lui expliquer, j'essaierai de lui faire comprendre que s'il n'était pas désiré à sa naissance, il l'est aujourd'hui».

    L'avocat de la défense va faire appel, soulignant que la patiente a refusé d'avorter une seconde fois lorsqu'on lui a proposé.

    Le Figaro - 25/05/12

  • Immigration - Deuxième nuit d'échauffourées à Massy (Essonne)

    Dans cette ville de l'Essonne, des affrontements ont de nouveau eu lieu dans la nuit jeudi à vendredi, après la mort mercredi d'un jeune homme qui roulait sans casque à bord sur une moto volée.

     

     

     

    Mercredi soir, des détritus qui se trouvaient sur le trottoir avaient été incendiés. Plus tard, une voiture a été retournée et des affrontements ont eu lieu. Des encombrants, qui avaient été déposés sur le trottoir, ont été placés sur la route. Des vitres ont été brisées sur une vingtaine de véhicules. Il n'y avait eu ni blessés ni interpellations.

    1,08 g d'alcool dans le sang

    Ces violences font suite à la mort d'un jeune garçon (sic), dans la nuit de mardi à mercredi, alors qu'il circulait à bord d'une moto volée. Selon des sources concordantes, des rumeurs mettent en cause la police. Le jeune homme décédé, âgé de 24 ans, était originaire de la ville voisine d'Antony. Il aurait perdu le contrôle de la moto, qu'il venait  de dérober lors d'un cambriolage et qu'il conduisait à très vive allure. Il ne portait pas de casque et ne détenait aucun permis de conduire. Selon les premiers éléments de l'enquête, la moto a été retrouvée à une quarantaine de mètres du point d'impact.

    Connu des services de police, ce jeune homme présentait un taux de 1,08 g d'alcool dans le sang, et avait consommé du cannabis, selon cette même source. Un autre jeune homme, âgé de 19 ans, originaire de Massy, et qui se trouvait avec lui sur la moto, a été grièvement blessé. Il a été transporté à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre.

    TF1 News - le 25 mai 2012 à 08:59
  • Hollande promet à Kaboul un retrait "ordonné" d'Afghanistan

    KABOUL (Reuters) - François Hollande a réaffirmé vendredi lors d'une brève visite surprise en Afghanistan sa volonté de retirer cette année les troupes combattantes françaises stationnées dans le pays, que Paris continuera d'aider ensuite "sous d'autres formes".

    Le nouveau président de la République, chef des armées, est resté environ huit heures sur le sol afghan, où il a rencontré des soldats, déjeuné avec son homologue afghan Hamid Karzaï, et rencontré la communauté française.

    Le départ "non négociable" des quelque 3.400 soldats français encore en Afghanistan "sera ordonné et coordonné (...) en bonne intelligence avec nos alliés", a déclaré François Hollande sur la base de Nijrab, dans la vallée de la Kapisa.

    Ce retrait commencera par celui des troupes combattantes, qui sera achevé avant la fin de l'année et concernera 2.000 personnes, a-t-il ensuite précisé lors d'une conférence de presse commune avec Hamid Karzaï à Kaboul.

    "Fin 2012, il n'y aura plus de troupes combattantes", a-t-il dit. "Nous rapatrierons 2.000 personnes."

    Des militaires français resteront sur place pendant quelques mois en 2013 pour gérer le rapatriement du matériel, a ajouté François Hollande, qui avait déjà rencontré Hamid Karzaï au sommet de l'Otan de Chicago le week-end dernier.

    La France restera ensuite en Afghanistan pour développer une coopération économique et culturelle et aider les Afghans, notamment dans les domaines de la santé, de l'éducation et du logement, a dit François Hollande.

    "Nous voulons que la France reste en Afghanistan mais différemment du passé", a-t-il dit.

    Loin d'être un abandon, "ce sera une poursuite et un engagement supplémentaire, mais sous d'autres formes", a-t-il insisté lors d'une rencontre avec la communauté française.

    Le chef de l'Etat a aussi répondu à l'inquiétude exprimée par certains militaires quant à un retrait massif d'hommes dans un délai aussi court, qui pose des questions de sécurité.

    "Le retrait ne sera pas facile à organiser, nous devons prendre toutes les précautions", a-t-il dit. "Ma mission est que la France ne regarde pas l'Afghanistan comme une zone de danger ou de risque, ou de drames mais comme (un pays) qui mérite bien d'avoir à un moment l'espoir pour sa population".

    Lors de sa courte visite sur la base de Nijrab, où il a écouté une Marseillaise a cappella, François Hollande a insisté sur l'utilité de la présence militaire française.

    "Le temps de la souveraineté afghane est venu", a-t-il dit. "La menace terroriste qui visait notre territoire, sans avoir totalement disparu, a été en partie jugulée".

    HOMMAGE AUX SOLDATS TUÉS

    François Hollande était accompagné du ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, et du chef d'état-major des armées, l'amiral Edouard Guillaud. Cette visite avait été préparée lors d'un Conseil de défense restreint, mercredi à l'Elysée.

    Arrivé à Kaboul en début de matinée, le chef de l'Etat s'est d'abord rendu en hélicoptère à Nijrab. Devant les militaires de la base, il a rendu hommage aux 83 soldats français tombés en Afghanistan, où la France est présente depuis 2001.

    Il avait officialisé le retrait français lors du sommet de l'Otan de Chicago. Les alliés de la France vont aussi quitter l'Afghanistan mais leur retrait sera étalé jusqu'en 2014.

    La France sera présente au-delà de 2012 pour aider au rapatriement du matériel mais aussi dans le cadre de missions de formation de l'armée afghane, tel que prévu dans le traité d'amitié et de coopération signé en janvier entre les autorités afghanes et l'ex-président Nicolas Sarkozy. Ce texte doit encore être ratifié par l'Assemblée nationale française.

    La droite française a critiqué le retrait anticipé des troupes françaises, plus rapide que ce qu'avait prévu l'ancien locataire de l'Elysée.

    "Je constate avec plaisir que le président Hollande reprend les mots 'ordonné' et 'coordonné', a toutefois déclaré sur BFM-TV l'ancien ministre de la Défense, Gérard Longuet. "M. Hollande met de l'eau dans son vin, je ne m'en plaindrai pas".

    Le Parti socialiste s'est dit satisfait. "La méthode de François Hollande sur la scène internationale, c'est le respect et la fermeté", a déclaré Harlem Désir, numéro deux du parti, lors d'un point de presse.

    Ce voyage en Afghanistan poursuit une séquence internationale riche pour le nouveau président qui s'est rendu à Berlin dès le jour de son investiture, le 15 mai, puis quatre jours aux Etats-Unis pour des sommets du G8 et de l'Otan, et enfin à Bruxelles mercredi pour un Conseil européen informel.

    Rob Taylor avec pool à Kaboul, avec Elizabeth Pineau à Paris, édité par Yves Clarisse et Patrick Vignal

    Yahoo! Actu - 25/05/12

  • Dordogne: un père poursuivi pour une gifle au violeur de sa fille

    Le tribunal de Bergerac a condamné le père à 200 euros avec sursis

    Les faits remontent à juillet 2010. Un couple du Sarladais vient d'apprendre que la dernière de leurs quatre enfants, une fillette de 4 ans, a été victime d'un viol. L'auteur est le fils de leurs amis, qui viennent chaque été en Dordogne. Il n'a pas 13 ans. Son jeune âge lui évitera un procès aux assises, il passera devant le juge des enfants de Nice (où il réside). Les parents ne savent pas alors que le garçon ne risque guère plus qu'une sanction éducative avec suivi socio-judiciaire.

    Le viol devrait être jugé à l'automne. Mais hier, les parents de la fillette étaient poursuivis. Leur avocate, Me Pascale Lascaray, ne cachait pas sa colère de les voir répondre, devant le tribunal de Bergerac, de violences envers l'adolescent. Elles ont été commises en présence de son père, qui n'a pas estimé devoir s'interposer. Mais la mère a porté plainte pour un œil au beurre noir !

    Un délit en réponse au crime

    L'écoute attentive de la magistrate qui présidait l'audience a néanmoins permis de replacer les différents faits, le crime de l'adolescent et le délit des parents, à leur juste place. « Votre colère était légitime, mais on ne peut pas accepter la justice privée. Une engueulade, oui, des coups, non », expliquait le vice-procureur, en demandant une sanction symbolique de 300 euros avec sursis. « Il méritait une trempe ! Et la réaction de mes clients a été très retenue par rapport au viol, totalement reconnu par son auteur. Le père de l'enfant a tendu son poing en disant "si tu étais un homme, je te casserais la gueule". Mais il n'a pas frappé», plaidait Me Lascaray en demandant la dispense de peine.

    Le tribunal a tranché pour une peine de 200 euros avec sursis.

    Sud-Ouest - 24/05/12

  • La statue de Raoul Wallenberg à Budapest souillée par des pieds de porc

    Des inconnus ont souillé à Budapest la statue de Raoul Wallenberg, le diplomate suédois qui a sauvé des milliers de Juifs hongrois pendant l'Holocauste, en y pendant des pieds de porc ensanglantés.

    « Les autorités ont promis une "action immédiate", selon les médias »

    Un groupe de touristes de New York visitant le site, mardi 23 mai 2012, ont découvert cette dégradation, selon les médias hongrois. Les autorités ont promis une "action immédiate", selon les médias.

    Cette année marque le centenaire de la naissance de Raoul Wallenberg. Pendant l’occupation nazie de la Hongrie, Wallenberg avait émis des documents de voyage – connus sous le nom de "passeports Wallenberg" pour au moins 20.000 juifs et également mis en place plus de 30 maisons d'hébergement pour les Juifs.

    Il a disparu après avoir été arrêté en janvier 1945 par les troupes soviétiques.

  • C'était le 23 mai 1996: mort en martyr du jeune Eugène Rodionov

    23rd mai, 2012

     

    En février 1996, ce jeune soldat russe fut capturé par des rebelles musulmans de Tchétchénie.

    Il fut gardé prisonnier – et probablement torturé – pendant 100 jours.
    Le 23 mai, le jour de ses 19 ans, parce qu’il avait encore une fois refusé d’abjurer le christianisme et d’embrasser la religion de Mahomet, il fut décapité au couteau.

    Il est souvent considéré comme un saint en Russie.

    Source

    Contre-info.com

  • Yamina Benguigui: " A qualité égale, priorité au beur "

    Rédigé par lesoufflet le 23 mai 2012.

    23.05.2012

    yamina_benguigui

    Yamina Benguigui, la nouvelle ministre déléguée aux Français de l’étranger et à la Francophonie, estime que les emplois devraient être réservés aux immigrés par rapport au « blanc de souche ».

    Yamina Benguigui, réalisatrice, présentatrice télé (Hollande semble décidément bien sensible à cette humble profession) et chantre de l’antiracisme, a été nommée ministre dans le gouvernement Ayrault. Cette femme considère que pour les embauches, en France, « à qualité égale, priorité au beur puisqu’il a eu plus d’obstacles à franchir qu’un blanc de souche ».

    Une déclaration faite par une ministre de la République française au magazine Courrier cadre, en octobre 2004. Éric Zemmour avait été condamné pour moins que cela, et il n’est pas un représentant de la république.

    Il faudrait que les gouvernants arrêtent de nous mettre des pseudos politiques peoples sortis de nul part, dont la présence est uniquement due au symbole qu’ils représentent.

    Au delà de ce problème de « politique show-business », présent à gauche comme à droite, en France comme aux États-Unis, si les nominations, comme ministres, de ces peoples sont toutes aussi grotesques que celle de Benguigui, tous ne se permettent pas des discours de discrimination raciale.

    En nommant ministre une telle femme aux positions idéologiques anti-françaises nauséabondes, à la limite du racisme, Jean-Marc Ayrault et François Hollande ont fini de convaincre de leur irresponsabilité.

    En voyant Yamina Benguigui au ministère, on comprend mieux les couleurs des drapeaux qui ont fleuri place de la Bastille le soir de l’élection de François Hollande. C’était donc cela le fameux rassemblement des Français promis par le candidat avant son élection ?

    24 ACTU

  • Gérard de NERVAL (1808-1855)

    EL DESDICHADO

     

    Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l'Inconsolé,
    Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie :
    Ma seule Étoile est morte, - et mon luth constellé
    Porte le Soleil noir de la Mélancolie.

    Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m'as consolé,
    Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie,
    La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,
    Et la treille où le Pampre à la Rose s'allie.

    Suis-je Amour ou Phoebus ?... Lusignan ou Biron ?
    Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ;
    J'ai rêvé dans la Grotte où nage la Sirène...

    Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron :
    Modulant tour à tour sur la lyre d'Orphée
    Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée.

  • De nouveau des voitures incendiées à Forbach: il est temps d'appliquer la tolérance zéro !

    Posté par le 24 mai 2012

     

    Communiqué de Florian Philippot, candidat Front National – Rassemblement Bleu Marine dans la 6e circonscription de Moselle

    Dans la nuit de mercredi le quartier du Wiesberg à Forbach a une nouvelle fois flambé : trois voitures y ont été incendiées.

    Le nombre de voitures brûlées à Forbach s’envole depuis le début de l’année, et battra en 2012 un triste record.

    Cette situation n’est plus admissible. Elle est le résultat de l’insupportable laxisme des responsables de l’UMP et du PS.

    Laurent Kalinowski, en sa qualité de maire socialiste de Forbach, et Pierre Lang, député sortant portant le bilan de l’UMP, sont les représentants de partis en total échec face à l’insécurité. Tous deux manifestent une inaction coupable devant des actes d’une telle gravité.

    Pire, l’UMP au pouvoir n’a eu de cesse de réduire les effectifs de police et de gendarmerie, et projette dans son programme de continuer à le faire au rythme de 3.000 par an.

    L’ordre doit revenir partout dans le bassin houiller. Je suis le seul candidat de la tolérance zéro. Le projet législatif du Front National dans le cadre du Rassemblement Bleu Marine prévoit notamment :

    • La reconstitution en cinq ans des forces de police et de gendarmerie détruites par l’UMP depuis 2007
    • La suppression des aides sociales pour les délinquants récidivistes condamnés à des peines supérieures à un an de prison
    • L’expulsion immédiate des étrangers
  • Montbéliard: une jeune fille de 15 ans violée en pleine rue sous la menace d'un tournevis

    Les faits se sont déroulés le 11 février dernierdans le quartier de la Petite-Hollande, à Montbéliard, dans le Doubs.

    Aux environs de 20H00, une adolescente marchait dans la rue lorsqu'un individu cagoulé a surgi par derrière et lui a serré le cou.

    Puis, sous la menace d'un tourvenis, il l'a violée.

    Un homme, connu des services de police pour vol, a été identifié grâce à son ADN.

    Il a été interpellé lundi et placé en garde à vue. Déjà soupçonné dans une autre affaire d'agression sexuelle, il a nié les faits.

    Il a été placé en détention provisoire.

     
     
    Faits Divers
  • Hollande va à Bruxelles en train mais regagne Paris en voiture ...

     

    François Hollande a fait mercredi le trajet Paris-Bruxelles en train. Continuant de se démarquer de son prédécesseur, François Hollande a ensuite regagné Paris en voiture dans la nuit de mercredi à jeudi à l'issue du sommet européen informel tenu à Bruxelles. Il a serré des mains et s'est laissé prendre en photo aux côtés des sympathisants venus nombreux. Juste avant son départ pour Bruxelles, François Hollande s'est offert un nouveau bain de foule Gare du Nord à Paris. Accompagné du chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy, le président français a pris place à bord d'un train Thalys pour se rendre dans la capitale belge, où était organisé un sommet informel des dirigeants de l'Union européenne.

     

    Un mode de transport inédit qui vient conforter son image de "président normal", car s'il a voyagé en première classe, il était "dans un compartiment qui ne lui était pas réservé", a précisé l'Elysée. Son prédecesseur, Nicolas Sarkozy, utilisait deux avions, un Airbus A330-223 dévolu à l'usage du président et surnommé "Air Sarko One", et un Falcon 7X, l'avion d'affaires haut de gamme du groupe Dassault.

    A l'issue de la réunion, qui s'annonce houleuse compte tenu des menaces de naufrage de la Grèce et de la fragilité des banques espagnoles, François Hollande sera de retour à Paris dans la soirée. Mais en voiture cette fois-ci.

    François Hollande en voiture !

    François Hollande a regagné Paris en voiture dans la nuit de mercredi à jeudi à l'issue d'un sommet européen informel à Bruxelles. Le nouveau président français semble vouloir se démarquer des usages de son prédécesseur qui préférait l'avion. Le chef de l'Etat français a quitté Bruxelles vers 2h30 du matin après avoir donné une longue conférence de presse. A vitesse normale, en respectant les limitations de vitesses, il était censé arriver à Paris 3 heures et demie plus tard, soit vers 6 heures.

    François Hollande avait déjà surpris en décidant mercredi de venir en train à Bruxelles. Il avait alors embarqué dans l'aventure le premier ministre espagnol Mariano Rajoy, qui avait fait escale à Paris pour le rencontrer afin d'accorder leurs positions pour le sommet informel de Bruxelles. Mariano Rajoy, qui a visiblement apprécié le voyage, a publié des photographies sur son compte twitter.

    Le déplacement en train tranche avec les pratiques de Nicolas Sarkozy, qui utilisait deux avions pour venir participer aux sommets européens à Bruxelles, ville distante de 300 km de Paris.

    Cette initiative «hollandaise» a été l'occasion d'une opération de communication, avec des équipes de télévisions embarquées pour le voyage.

    Il n'est toutefois pas évident que François Hollande puisse la renouveler pour se rendre à Bruxelles, car le train nécessite de déployer de gros moyens pour assurer sa sécurité. Le rail contraint les autorités belges à faire de même pour le trajet dans leur pays.
  • Afghanistan: Moscou préoccupé par le statut des bases US après 2014

    Le statut des bases militaires américaines en Afghanistan après 2014, soit après le retrait programmé de la Force internationale d'assistance à la sécurité (ISAF), n'est pas évident, a indiqué jeudi Zamir Kaboulov, représentant spécial du président russe pour l'Afghanistan.

    "Kaboul et Washington n'ont pas encore signé un accord sur les bases. Ils se proposent de le faire dans un an. On nous dit que ce document définira tant le statut de telles bases militaires que le statut et les droits des militaires américains sur ces bases", a indiqué le diplomate.

    Et d'ajouter que la Russie se posait en outre des questions sur la raison du maintien de ces bases en Afghanistan.

    "De toute évidence, une telle infrastructure militaire n'est pas destinée à résoudre des problèmes intérieurs de l'Afghanistan, mais revêt sans doute une vocation régionale beaucoup plus large", a estimé M.Kaboulov.

    Selon la Maison Blanche, un tel accord ne prévoit pas de bases militaires permanentes en Afghanistan mais engage le pays à donner "accès et jouissance aux forces américaines jusqu'à 2014 et au delà" et offre la possibilité pour les forces américaines d'y rester après cette date pour "former les forces afghanes et viser (les éléments) d'Al-Qaïda restants".

    Moscou - RIA Novosti - 24/05/12

  • La Licra dresse une "liste noire" des candidats du Front National pour les législatives

    La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) a annoncé, lundi 21 mai 2012, qu'elle dresserait la "liste noire" des candidats aux élections législatives "se réclamant des thèses haineuses et xénophobes du Front national".

    « Des candidats du Front national (FN), remaquillé pour la circonstance en Rassemblement Bleu Marine, pourraient entrer à l'Assemblée nationale le 17 juin prochain »

    "Des candidats du Front national (FN), remaquillé pour la circonstance en Rassemblement Bleu Marine, pourraient entrer à l'Assemblée nationale le 17 juin prochain", souligne dans un communiqué la Licra, qui a décidé "de mener campagne ces prochaines semaines pour faire battre le FN dans les urnes". "La Licra demandera dans une charte présentée aux candidats, de droite comme de gauche, un engagement de désistement en faveur du candidat républicain le mieux placé s'il y a un risque d'élection d'un représentant de l'extrême droite", indique-t-elle dans son communiqué. "Cette charte républicaine ainsi que la liste noire de la Licra seront rendues publiques prochainement", précise le président de la Ligue, Alain Jakubowicz (photo). "Il n'y a aucune compromission possible avec le FN: le seul « ni ni » qui vaille est « ni avec le Front National ni avec ses idées »", ajoute-t-il.

  • Montpellier - L'arrêté du maire interdisant à Dieudonné de se produire est annulé

    24/05/2012, 18 h 15 | Mis à jour le 24/05/2012, 18 h 27
    Le cinéma vient de fermer ses portes et une dizaine de camions de CRS sont posté devant en attendant l’arrivée sans doute imminente de Dieudonné. (D. C.)

    Nouveau rebondissement dans l’affaire Dieudonné : le tribunal administratif vient de casser l’arrêté municipal interdisant à l’humoriste de se produire au Gaumont multiplexe de Montpellier ou toute autre lieu de la ville. La juridiction constate “une atteinte grave à la liberté d’expression”.

    Le cinéma vient de fermer ses portes et une dizaine de camions de CRS sont posté devant en attendant l’arrivée sans doute imminente de Dieudonné. Une trentaine de fans sont déjà là.

    Midi Libre