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  • Quiz: pourriez-vous obtenir la nationalité française ?

    http://www.linternaute.com/actualite/questionnaire/fiche/17483/d/f/1/

    Si le quiz ne sera pas utilisé pour refuser la naturalisation, il fait partie du dispositif d'accès à la nationalité.

     

     

  • Dix tonnes d'aide alimentaire envoyées de France sont arrivées au Kosovo

    10/07/2012 — 15h00
    GRACANICA (NOVOpress) —
    Les bénévoles de l’association humanitaire française « Solidarité Kosovo » démarchent depuis plusieurs mois différentes entreprises agroalimentaires afin de trouver des stocks de nourriture disponibles en grosse quantité. Grâce au soutien d’une grande firme française, l’association a récemment pu récupérer 10 tonnes d’aide alimentaire.

    Après un long voyage de 2000 km, ces 10 tonnes de nourriture convoyées par Solidarité-Kosovo viennent d’arriver hier au Kosovo à Gracanica. Destinées à la soupe-populaire serbe, les 15 palettes de conserves vont permettre la confection de repas chauds pour les 3000 familles des enclaves qui se nourrissent quotidiennement grâce au travail de cette association humanitaire serbe.

    Il n’en a pourtant pas toujours été ainsi. Ces familles vivaient auparavant du travail de la terre ou bien du revenu du chef de maison. Mais la guerre les a malheureusement privées de tout. La spoliation de leurs champs ne leur permet plus de biner un lopin de terre pour y cultiver des légumes ou y ramasser du foin nécessaire aux bêtes, lorsque celles-ci n’ont pas été volées.

    10 tonnes d’aide alimentaire envoyées de France sont arrivées au Kosovo !

    C’est sous une chaleur écrasante de 35° que la précieuse marchandise a été déchargée (photo) par les bénévoles de la soupe-populaire accompagnés du permanent du bureau humanitaire financé par Solidarité-Kosovo, le diacre Bojan.

    La responsable de cette soupe-populaire a tenu à exprimer toute sa gratitude pour le soutien de taille que Solidarité-Kosovo lui a fourni.

    En effet, depuis la mise en place d’un partenariat d’aide humanitaire en mars dernier, ce sont 30 000 repas individuels et 10 tonnes d’aide alimentaire qui ont été donnés à cette association serbe pour le besoin des plus démunis.

    A côté des traditionnels convois de matériel de Solidarité-Kosovo ou du financement de projets sur place (à l’image de la classe de mer qui se déroulera cet été), l’association indique que d’autres convois spécifiquement dédiés à l’aide alimentaire auront lieu dans les prochains mois.

    Les personnes souhaitant aider ces actions humanitaires peuvent faire un don à l’association par Internet, par chèque, etc. Solidarité Kosovo étant reconnue d’intérêt général, chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66% du montant du don.

     

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • La DCRI téléphone à Merah deux heures après la tuerie de Ozar-Hatorah

     

     

    Le renseignement intérieur était bien en contact avec le tueur de Toulouse au point de l’appeler régulièrement.

    Par Aziz Zemouri et Armel Méhani pour Le Point

    Les fadettes de Mohamed Merah ont parlé. Les factures détaillées de son numéro de portable apportent leurs lots de révélations. On y apprend que la DCRI a eu huit contacts téléphoniques avec le tueur de Toulouse et Montauban entre le 22 octobre 2011 et le 19 mars 2012, jour où le djihadiste a assassiné quatre personnes, dont trois enfants, à l’école confessionnelle juive Ozar-Hatorah à Toulouse.

    Ce 19 mars 2012, alors que le terroriste venait de commettre ses crimes, il reçoit deux appels qui sont directement transférés sur son répondeur, l’un à 10 h 49, l’autre à 12 h 2, soit quelques heures seulement après l’effroyable tuerie. Les fonctionnaires l’avaient-ils déjà identifié comme suspect ? Si oui, pourquoi avoir attendu qu’il se retranche chez lui, deux jours plus tard, pour procéder à son interpellation ?

    Certains policiers de la DCRI sont soupçonnés par la Justice d’avoir fait fuiter, à TF1, l’enregistrement audio des négociations entre Mohamed Merah et un agent local de la centrale du renseignement, laissant croire à une faute personnelle de ce fonctionnaire pour sauver l’institution. À la lecture des fadettes, le mystère demeure entier concernant les liens entre la DCRI et Mohamed Merah.

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  • Fillon refuse tout accord avec le FN, « une formation politique qui dit autant de bêtises »

     

     

     

     
     
    On perdrait toute la confiance de tous les Français sérieux.
    François Fillon

    (…) Face à environ 200 militants réunis à Fleury-les-Aubrais, près d’Orléans, François Fillon a prévenu : « Jamais je n’accepterai le moindre accord avec un parti qui dit autant de bêtises », s’en prenant ensuite essentiellement au programme économique du parti de Marine Le Pen. « On serait balayés par les Français, balayés. Peut-être qu’on gagnerait quelque pourcentage de voix immédiatement à notre droite » mais « on perdrait toute la confiance de tous les Français sérieux », a ajouté François Fillon, lors de son premier déplacement de candidat lundi dans le Loiret

    Suite et source : France Info, merci à Marine

    Défrancisation

  • Quatre nationalistes interpellés par le GIGN à la Part-Dieu

    Quatre d’entre eux étaient montés sur le parvis de la gare et refusaient de descendre avant d’avoir parlé à « un membre du gouvernement ». C’est le GIPN qui a procédé à leur interpellation.

    Les quatre nationalistes, dont Alexandre Gabriac, le président des Jeunesses nationalistes, étaient montés sur le parvis de la gare de la Part-Dieu ce mardi vers 10h30. Après avoir déployé une banderole, ils se sont mis dans des positions qui empêchaient une interpellation traditionnelle en toute sécurité. Pompiers et policiers avait déployé un gros dispositif, mais c’est le GIPN qui a dû intervenir.

    Accédant simultanément par les toits et par une nacelle des pompiers, les membres du GIPN ont interpellé vers 13h15 les quatre militants qui n’ont pas offert de résistance.

    D’après nos informations, Alexandre Gabriac a annoncé que d’autres actions auraient lieu dans la journée, à d’autres endroits, sans plus de précisions.

    Leur action semble faire suite à l’interdiction de manifester qui avait été prononcée par la préfecture, fin juin. Les manifestants s’étaient finalement rassemblés gare de la Part-Dieu, et 70 d’entre eux avaient été interpellés.

    Source : Le Progrès

    Défrancisation - 10/07/12

  • Gendarme abattue: le poignant témoignage de sa mère

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    Françoise Champlon, la mère d’Alicia, l’une des deux femmes gendarmes tuées le 17 juin dans le Var, s’exprime pour la première fois depuis le drame.

    Propos recueillis par Timothée Boutry avec Geoffroy Tomasovitch | Publié le 10.07.2012, 11h38

    Alicia Champlon est l’une des deux gendarmes tuées le 17 juin à Collobrières (Var) lors d’une intervention pour un tapage nocturne. | (SIRPA-GENDARMERIE.)

     
    Installés dans la Meuse, les parents d’Alicia Champlon confient leur douleur depuis le décès de leur fille unique de 29 ans et de sa collègue gendarme Audrey Berthault à Collobrières (Var) le 17 juin. Les deux femmes intervenaient pour un simple tapage nocturne. Elles ont pourtant été froidement abattues par Abdallah Boumezaar, un homme déjà condamné par le passé.
     
     
    Défendus par Me Gilbert Collard, les époux Champlon oscillent entre désespoir et colère.

    Dans quel état d’esprit êtes-vous?
    FRANÇOISE CHAMPLON.
    On n’est pas bien du tout. On a perdu le sommeil, on n’a plus aucun repère… J’ai le visage d’Alicia sans cesse devant les yeux. C’est atroce de perdre sa fille unique. Mais je suis aussi très en colère contre celui qui a fait ça (NDLR : mis en examen et incarcéré, Abdallah Boumezaar a avoué avoir tué les deux femmes). Son geste est révoltant.


    Quelle fille était Alicia?
    C’était une jeune fille adorable qui s’épanouissait dans son travail. Elle avait toujours voulu faire ce métier. Quand elle avait 12 ans, elle disait déjà : « Je serai gendarme et je travaillerai dans le Sud. » Elle avait été la plus jeune à intégrer l’école. Elle aimait servir son pays et faire respecter la loi. Avec son compagnon, qui est lui aussi gendarme, ils avaient des projets. Elle avait un avenir et tout pour être heureuse.

    Evoquait-elle les risques inhérents à son métier?
    Jamais. Alicia nous disait toujours de ne pas se faire de souci pour elle. Rien ne lui faisait peur. Elle était gradée et savait se faire respecter avec son caractère bien trempé. D’ailleurs, peu importe que la patrouille ait été constituée de deux femmes. On savait qu’il y avait des risques, qu’un accident pouvait arriver mais là, c’est beaucoup plus dur d’accepter un assassinat. Ça renforce notre colère mais ça génère aussi de la haine.

    Que ressentez-vous par rapport à son assassin présumé?
    Je veux savoir dans quelles conditions il a été relâché après ses précédentes condamnations. J’attends les résultats de l’enquête. La fait son travail, je ne veux pas les mettre en cause. Peut-être qu’ils n’ont pas assez de moyens, mais il y a clairement quelque chose qui ne va pas. En tout cas, j’attends beaucoup du procès pour que justice soit faite et qu’il soit emprisonné à vie. Ce jour-là, je ne baisserai pas les yeux face au de ma fille.

    On perçoit aussi du dégoût chez vous…
    Oui, j’ai l’impression qu’on ne respecte plus rien. Ni son pays, ni ses lois, ni les uniformes. Personne n’a plus peur de rien. Notre fille, elle, a été digne jusqu’au bout. Nous sommes très fiers de notre fille chérie.

    Quelle place occupe Audrey Berthaut dans votre cœur?
    Elle est avec nous. Sa photo est sur notre bureau, à côté de celle de notre fille. Elles sont désormais unies pour la vie. La semaine dernière, nous avons eu son mari au téléphone. Lui aussi est anéanti. Ses deux filles lui permettent de tenir.

    Etes-vous soutenus depuis le décès d’Alicia?
    Enormément. On reçoit des centaines de lettres. Des officiels nous écrivent mais aussi des anonymes : des parents de militaires, des pompiers… On reçoit aussi des témoignages de l’étranger. La gendarmerie est très présente, on découvre vraiment à quel point c’est une grande famille. On regrette simplement de ne pas avoir eu de coup de téléphone du de la République car, en tant que chef des armées, c’était le supérieur d’Alicia.

    L’élan de solidarité ne s’essouffle pas…
    Non. On va tous les jours au cimetière et, à chaque fois, on découvre de nouvelles fleurs. Depuis le drame, notre voisine, qui est veuve, nous fait à manger. L’assistante sociale est d’une très grande écoute. Tout cela est très précieux, ça nous réchauffe le cœur.

    Le Parisien

  • La justice allemande enquête sur un Nazi de 91 ans qui aurait participé à un masacre de juifs

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    La justice allemande a ouvert une enquête sur un homme de 91 ans, Herbert N., soupçonné d'avoir participé au massacre de 360 Juifs du ghetto de Zhitomir (Ukraine) en 1942, selon le quotidien Märkische Allgemeine, lundi 9 juillet 2012.

     

    « Il est soupçonné d'avoir participé au massacre de 360 Juifs du ghetto de Zhitomir (Ukraine) »

    «Il existe un soupçon que (cet homme) se soit rendu coupable d'avoir participé au meurtre de 360 personnes», a expliqué au quotidien la porte-parole du parquet de Cottbus (est), Petra Hertwig. «Nous regardons s'il y a matière à d'autres enquêtes», a-t-elle ajouté sans vouloir révéler de détails. Cet homme, qui a été entendu par la justice, appartenait au commando Reichsführer SS, soupçonné d'avoir tué les Juifs du ghetto de Zhitomir.

     

     
  • Marches de l'Armée Tsariste

  • Russie : 65 livres islamiques interdits

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    Intérieur d'une mosquée russe

     

     

    Un tribunal de la ville de Orenbourg en Russie par son jugement a interdit la vente de plus de 65 livres islamiques sur le territoire russe. Ces livres sont principalement les recueils de hadiths très connus d’Al-Bukhari ou Muslim ainsi que des livres sur Sirah du Prophète Muhammad (paix soit sur lui), de la « littérature jugée extrémiste ». La liste de ces livres comprend également des classiques tels que le Riyad as-Salihin, les 40 hadiths de I’imam An-Nawawi, les livres de l'Imam al-Ghazali, etc.

    Cette terrible nouvelle a été reçue avec fureur par la communauté musulmane. Le Conseil des muftis de Russie, l’office central spirituel des musulmans, le centre de coordination des musulmans du Caucase, y compris l’association russe du consentement islamique ont condamnés fermement cette décision judiciaire.

    « Interdire ces livres, c'est interdire l'Islam »

    « Nous considérons l'interdiction de la littérature religieuse comme une tentative de la renaissance sur le contrôle de l’idéologique totale » a déclaré le Conseil des muftis de Russie en faisant référence à la période de guerre dans sa déclaration sur l'arrêt de la cour d'Orenbourg. « Une telle pratique est inacceptable dans une société démocratique et c’est un signal d'alarme pour les citoyens russes ».

    « Nous sommes très profondément indignés par la décision d'interdire des dizaines de livres qui font l’autorité islamique » a déclaré le Conseil spirituel des musulmans du Daghestan. Elle poursuit que « par l'interdiction de ces livres c’est l'interdiction de l'Islam en Russie, puisque les musulmans comprennent l'interprétation du Saint Coran par le biais des hadiths et de la biographie et les enseignements du Prophète (paix et bénédictions sur lui) ».

    Une lettre envoyée au président Vladimir Poutine

    L'Union de la jeunesse musulmane de Russie a adressé un appel spécial auprès du Président de la Russie Vladimir Poutine pour faire valoir leur protestation contre la décision du tribunal sur les livres islamiques et avec une demande d'annulation de ce jugement jugé injuste.

    La réponse officielle de l'administration présidentielle indique qu’« il y a une séparation officielle du pouvoir exécutif et judiciaire en Russie. L’administration ne peut pas interférer et recommande aux musulmans de faire appel contre ce jugement. »

    L'islam est la deuxième religion en Russie par le nombre de ses adeptes. Selon diverses estimations, les musulmans seraient entre 15 et 25 millions, soit 10 à 17 % de la population du pays.

    Mooslym

  • Merah : la bande sonore était placée sous scellés


     

     

    Par Stéphane Durand-Souffland Mis à jour le 09/07/2012 à 22:19 | publié le 09/07/2012 à 12:49
    L'enregistrement sonore n'est consultable qu'au palais de justice de Paris.

     

     

    Les conditions d'accès à cette pièce étaient drastiques pour les acteurs judiciaires.

    Qui a livré à TF1 l'enregistrement de Mohamed Merah, diffusé dimanche soir? Deux enquêtes, judiciaire et administrative, sont ouvertes pour identifier la source de la chaîne. Toutes deux ont été confiées à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), la «police des polices», comme si les premiers soupçons portaient sur des fonctionnaires non identifiés.

    Il est vrai que les sources potentielles sont peu nombreuses. La bande sur laquelle sont conservés les échanges de Mohamed Merah, retranché en mars dernier dans son appartement toulousain, avec les hommes du Raid qui l'assiègent, est soumise à des conditions d'accès drastiques, de manière tout à fait exceptionnelle. Si une retranscription sur papier figure de longue date au dossier, le son originel, qui fait partie des pièces de la procédure, est soumis à un régime spécial. Des experts mandatés par les juges d'instruction ont achevé récemment leurs travaux sur cette bande. Et l'ont renvoyée aux magistrats du pôle antiterroriste parisien, qui œuvrent en co-saisine.

    Ceux-ci, en milieu de semaine dernière, ont informé les avocats concernés qu'aucune copie ne serait délivrée, justement pour empêcher la divulgation de cette pièce - placée sous scellés et consultable uniquement au palais de justice de la capitale - auprès du grand public. Une décision qui a fait l'unanimité, tant l'émotion suscitée par les tueries de Mohamed Merah reste vive. La fuite a donc sans doute eu lieu entre jeudi et dimanche, plus vraisemblablement avant le week-end. À noter que des copies ont circulé, pour les besoins de l'enquête, dans différents services de police, tels que la DCRI (renseignement intérieur) et la DCPJ (Direction centrale de la police judiciaire).

    Les parties civiles se sont immédiatement indignées de la diffusion de larges extraits audio par TF1, à l'instar de Me Patrick Klugman, conseil des familles des quatre victimes de l'école juive Ozar Hatorah, à Toulouse: «La parole de Mohamed Merah n'est rien d'autre que de la propagande. Il commente ses crimes, en fait l'apologie, professe son théorème salafiste et ment pour protéger on ne sait qui», commente Me Klugman.

    Le CSA choqué

    Indignation, aussi, d'avoir été mises devant le fait accompli: «TF1 aurait pu prendre la peine de nous prévenir et de présenter le document autrement, avec, par exemple, un grand témoin sur le plateau pour équilibrer l'émission», tempête Me Simon Cohen, l'un des pénalistes les plus renommés de Toulouse.

    La direction de la chaîne met en avant le droit et la liberté d'informer, soutenue en cela par la Société des journalistes. Mais le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) s'est dit «choqué», et la famille de l'une des victimes de Mohamed Merah entend faire diligenter des poursuites à l'égard de la chaîne, notamment pour «recel de violation du secret de l'instruction». Une procédure dont l'issue, de l'avis de plusieurs juristes, serait des plus aléatoires: «Ça se termine toujours en quenouille», soupire l'un d'eux, fataliste. «La liberté d'informer n'est pas en cause mais elle n'exonère pas de la réflexion sur l'opportunité de diffuser ce document audio, à ce moment, de cette manière», a déclaré de son côté le sénateur Assouline lors du point presse hebdomadaire du PS. Qui avait intérêt à rendre public le dialogue entre l'assassin de Toulouse et ceux qui allaient le tuer en tentant de l'interpeller? L'avocate algérienne du père de Mohamed Merah croit pouvoir dénoncer «une pièce de théâtre pour orienter l'opinion publique» alors qu'elle est censée produire, le 12 juillet, des preuves supposées de l'«assassinat» programmé du tueur antisémite, sous la forme de mystérieuses vidéos que personne d'autre qu'elle, jusqu'à présent, ne semble avoir visionnées.

     

    Le Figaro

  • Merah et les négociateurs

    Patientez un peu pour le téléchargment de cette vidéo sur Rutube: le résultat en vaut la peine

  • Des jeunes de six pays accueillis

    sans-titre.png  enfants défavorisés.png

    L’association les Colis de la vie, qui vient en aide aux enfants du Blanc-Mesnil et à leurs familles, a vu les choses en grand pour ses 20 ans. Elle accueille ce week-end 46 enfants défavorisés du Liban, Madagascar, Sénégal, Haïti, Burkina Faso et Allemagne et les emmène pendant deux semaines avec 14 enfants de la ville en vacances dans l’Allier.

     
      Le but de ce séjour sous la tente : apprendre à mieux se connaître. Chaque jour, ils découvriront les coutumes et plats d’un pays.

    Le Parisien - 09/07/12

     

     

                         

  • AFGHANISTAN - L'exécution publique de Najiba, 22 ans, soupçonnée d'adultère

     

    NdB: Je choisis de publier cette vidéo précisément en raison de son  caractère extrêmement violent et particulièrement informatif !

  • La vidéo de l'exécution d’une jeune femme afghane suscite l'indignation

     

    Mis à jour à 17h51

    L'exécution filmée d'une jeune Afghane accusée d'adultère circule sur Internet. Les autorités ont lancé une chasse à l'homme pour en retrouver les auteurs.

    La vidéo (dont on voit ici une image de l'assassin) montre l'exécution sommaire d'une jeune femme.

    Image de la vidéo: l'exécuteur tire sur la jeune femme

    Une vidéo montrant l’exécution par balle d’une femme soupçonnée d’adultère dans un village à une centaine de kilomètres de Kaboul relance une nouvelle fois la polémique sur les avancées de la condition féminine en Afghanistan après dix années de présence internationale.

    La publication de cette vidéo intervient quelques heures après une importante réunion internationale à Tokyo des bailleurs de fonds de l’Afghanistan, qui ont pressé les autorités afghanes d’améliorer les droits de la femme en échange de l’octroi d’une aide de 16 milliards de dollars d’ici 2015.

    Les images de la vidéo sont évidemment horribles. Dans un petit village de la province de Parwan, qui touche celle de Kaboul, plusieurs dizaines d’hommes, assis par terre ou regroupés sur des toits de maisons à flanc de montagne, fixent la silhouette d’une femme recouverte d’un voile grisâtre, qui leur tourne le dos.

    L’accusée, assise sur ses talons, écoute son arrêt de mort, sans bouger ni chercher à s’enfuir. Tout juste se permet-elle de tourner fugitivement la tête en début de séquence.

    "Cette femme, fille de Sar Gul, soeur de Mostafa et épouse de Juma Khan, s’est enfuie avec Zemarai. Elle n’a pas été vue dans le village pendant environ un mois", énonce son vraisemblable juge, un homme portant une longue barbe noire, après avoir cité quelques versets du Coran condamnant l’adultère.

    "Dieu nous dit d’en terminer avec elle"

    "Mais heureusement, les moudjahidines l’ont attrapée. Nous ne pouvons lui pardonner", poursuit le juge taliban. "Dieu nous dit d’en terminer avec elle. Juma Khan, son mari, a le droit de la tuer". Une Kalachnikov est alors tendue à un homme vêtu de blanc qui se poste deux mètres derrière l’accusée.

    Aux cris d’"Allah akbar" (Dieu est grand), celui-ci tire deux premiers coups en direction de la femme qu’il manque. Une troisième balle la touche à la tête. La victime s’écroule. Ce qui n’empêche pas son bourreau de faire feu à encore dix reprises sur son cadavre.

    Dans la foule, uniquement composée d’hommes, certains enregistrent la scène sur leurs téléphones portables. D’autres demandent au tueur d’arrêter de s’acharner. D’autres ont le sourire aux lèvres. Des "Longue vie à l’islam" et autres "Longue vie aux moudjahidines" résonnent.

    Arrêtée par les talibans

    La version officielle est substantiellement différente. D’après Roshna Khalid, une porte-parole de la province de Parwan, Najiba, 22 ans, a été arrêtée par les talibans pour avoir eu des "relations" (extra-conjugales) avec un commandant taliban du district de Shiwari, dans la province de Parwan.

    "Il y a seize jours", les insurgés ont décidé "en moins d’un heure qu’elle était coupable et l’ont condamnée à mort. Ils l’ont abattue devant les habitants de son village", a raconté la porte-parole. La police et l’armée, mobilisées ailleurs, n’ont pu intervenir, selon elle.

    Les forces de sécurité préparent toutefois "une grande opération" dans le district "pour retrouver les coupables", a averti Roshna Khalid.

    Un acte "anti-islamique"

    Le ministère afghan de l’Intérieur a "fortement condamné" un acte "anti-islamique et inhumain" commis par "des tueurs professionnels".

    Des crimes odieux perpétrés contre des femmes sont rapportés chaque mois en Afghanistan, surtout dans les campagnes régies par les traditions. Selon l’ONG Oxfam, 87% des Afghanes affirment avoir subi des violences physiques, sexuelles ou psychologiques ou un mariage forcé.

    Dans les grandes villes, où l’influence de la coalition de l’Otan, présente depuis fin 2001, est sensible, des progrès sont palpables.

    Mais ils ne sont pas assez massifs, notamment en raison de la duplicité du gouvernement qui épouse la cause des femmes pour "continuer à recevoir" de l’aide internationale mais écoute "en pratique" "les demandes des éléments extrémistes", dénonce la société civile.

    Début mars, le président Hamid Karzaï a ainsi appuyé le Conseil des oulémas, la plus haute autorité religieuse, lorsque celui-ci a édicté que "l’homme est fondamental et la femme secondaire".

    Droits des femmes en danger

    Nombre d’ONG redoutent que les droits des femmes afghanes ne fassent les frais d’un éventuel futur retour au pouvoir des talibans, avec qui M. Karzaï et les Occidentaux tentent de négocier la paix.

    Dimanche, à Tokyo, la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton avait lancé un vibrant plaidoyer pour les femmes d’Afghanistan.

    "Les Etats-Unis sont convaincus qu’aucune nation ne peut parvenir à la paix, la stabilité et la croissance économique si la moitié de sa population n’a pas de droits", a souligné la secrétaire d’Etat.

    Dimanche soir, le chef de la diplomatie britannique William Hague a déclaré qu’il était "choqué et dégoûté" par les informations publiées sur cette exécution.

    "Des actions aussi déplorables que celle-ci soulignent le besoin vital pour une meilleure protection des droits des femmes et des filles en Afghanistan", a-t-il déclaré dans un communiqué.

    NDLR: Nous choisissons délibérément de ne pas diffuser cette vidéo sur notre site d'information en raison de son caractère violent et non-informatif. (ats/Newsnet)

    Créé: 09.07.2012, 13h16

    Tribune de Genève

  • FN à l'Assemblée : un "rôle d’information et d’agitation constructive"

     

    Dans Présent, Marion Maréchal Le Pen, plus jeune député, déclare :

    "Je n’avais jamais idéalisé cette fonction mais je dois dire que je suis restée perplexe. J’ai vu une assemblée qui est vraiment dans un drôle d’état. Il y a déjà un taux d’absentéisme énorme et une frappante indiscipline. Lors des débats sur le Conseil européen, le Front de Gauche, l’UMP et le PS ont dit la même chose. J’ai assisté à la répétition du même point de vue. L’UMP est d’accord sur le fond avec l’extrême gauche de Mélenchon et le Parti socialiste de Hollande et donne vraiment l’impression d’être obligée de critiquer pour la forme. Quant aux socialistes, ils clament intervention après intervention qu’il n’y aura pas de rigueur dans le même temps qu’ils sont à la manœuvre pour l’imposer très durement.

    [...] Nous sommes 8 non-inscrits et notre temps de parole pour les questions au gouvernement est de 5 minutes chacun. Mais nos discours devraient être davantage observés, scrutés et peut-être répercutés que ceux des autres. Au quotidien, c’est surtout le droit d’amendement, garanti par la Constitution, qui pourra nous permettre de nous faire entendre dans l’hémicycle et dans les médias. Si nous déposons un amendement sur chacun des articles d’un projet de loi, nous aurons droit à un temps de parole à chaque fois pour le défendre.

    Et puis il y a la salle des Quatre Colonnes. Nous serons des piliers des lieux. Ce sera notre rendez-vous avec les Français. Après chaque séance, nous avons l’intention de parler : « Regardez ce qui se passe, regardez-les, regardez les connivences, qui a voté quoi, attention à ce qui se prépare. » Nous représentons les « orphelins de la démocratie », les 3 528 000 électeurs du FN aux législatives et les quelque six millions d’électeurs de Marine Le Pen à la présidentielle, nous aurons un rôle d’information et d’agitation constructive. [...]

    Le rapprochement avec Jacques Bompard est-il d’actualité ?

    Il faut être raisonnable. Nous sommes déjà à côté dans l’hémicycle… Et très proches pour le reste ! On ne pourra pas faire l’impasse sur une collaboration. [...] Il y a quelque chose à jouer dans le Sud de la France. Là-bas les principaux partis politiques sont le Front national, la Ligue du sud et la Droite populaire. Et les électeurs là-bas réclament l’union des droites. Le clivage politique est quasiment inexistant. Les lignes bougent. De jeunes UMP sont venus militer pour moi. S’il y a une reconquête politique de la droite française, elle partira du Sud."

    Michel Janva

     

    Le Salon Beige - 09/07/12

  • "Maurice Bardèche" de Francis Bergeron

    Le : 09 Juillet 2012

     


    Après avoir écrit pour la même collection la biographie condensée d’Henri Béraud, de Léon Daudet, de Henry de Monfreid, de Hergé et de Saint-Loup, Francis Bergeron évoque cette fois-ci la vie d’une personne qu’il a bien connue : Maurice Bardèche.

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    On sait que Bardèche fut l’exemple-type de la méritocratie républicaine hexagonale. Ce natif d’un village du Cher en 1907 montra très tôt de belles dispositions intellectuelles pour l’étude et la littérature. Excellent élève, ce boursier se retrouve à l’École normale supérieure (E.N.S.) où il allait côtoyer une équipe malicieuse constituée de José Lupin, de Jacques Talagrand (le futur Thierry Maulnier) et de Robert Brasillach, l’indéfectible ami. « Brasillach lui fait du thé, lui offre des gâteaux catalans. Mais la culture littéraire de Brasillach date un peu; Bardèche lui fait découvrir à son tour Proust, alors qu’il vient d’obtenir le prix Goncourt, Barrès, dont les funérailles nationales datent tout juste de deux ans, et Claudel, ancien de Louis-le-Grand, dont l’œuvre est déjà reconnue (p. 16). »

    À l’E.N.S., Maulnier et Brasillach commencent à publier dans la presse tandis que « Bardèche […] se destine réellement à l’enseignement supérieur, et […] voit son avenir dans l’approfondissement de la connaissance des grands textes et des grands auteurs (p. 20) ». À côté de sa passion littéraire, Maurice Bardèche éprouve de tendres sentiments pour la sœur de son ami Robert, Suzanne Brasillach. Ils se marient en juillet 1934 et partent en voyage de noce pour l’Espagne en compagnie de Robert qui vivra avec eux jusqu’en 1944 ! Francis Bergeron raconte qu’au cours de ce voyage, Maurice Bardèche faillit mourir dans un accident de la route. Bardèche fut trépané et conserva sur le front un « enfoncement dans le crâne (p. 26) ».

    On ne va pas paraphraser cet ouvrage sur le talentueux parcours universitaire de Bardèche qui suscita tant d’aigreurs et de jalousie. Sous l’Occupation, si Robert Brasillach travaille à Je suis partout, Bardèche préfère se tenir à l’écart des événements et se dévoue à Stendhal et à Balzac. Or le mois de septembre 1944 marque un tournant majeur dans la destinée du jeune professeur : il est arrêté, puis emprisonné. Il voit ensuite son cher beau-frère jugé, condamné à mort et exécuté le 6 février 1945. Dorénavant, « la vie et, plus encore, peut-être, le martyre et la mort de Robert [vont] occup[er] une place centrale tout au long de l’existence de Maurice (p. 43) ». Guère attiré jusque-là par la politique, Maurice Bardèche s’y investit pleinement et va produire une œuvre remarquable, de La lettre à François Mauriac (1947) à Sparte et les Sudistes (1969). En outre, afin de publier les œuvres complètes de Robert Brasillach, il fonde une maison d’édition courageuse et déjà dissidente, Les Sept Couleurs.

    Le respectable spécialiste de littérature du XIXe siècle se mue en fasciste, terme qu’il endosse et qu’il revendique d’ailleurs fièrement dans Qu’est-ce que le fascisme ? (1961). Dès la fin des années 1940, il se met en relation avec d’autres réprouvés européens dont les militants du jeune M.S.I. (Mouvement social italien). En 1952, il participe au célèbre congrès de Malmö qui lance le Mouvement social européen dont le bulletin francophone est Défense de l’Occident (titre ô combien malvenu, car les positions qui y sont défendues ne rappellent pas l’occidentalisme délirant d’Henri Massis – il faut comprendre « Occident » au sens d’« Europe » et de « civilisation albo-européenne pluricontinentale »). Sorti en décembre 1952, ce titre est dirigé par Bardèche. Si le M.S.E. s’étiole rapidement, miné par des divergences internes et des scissions, Défense de l’Occident devient une revue qui accueille aussi bien les nationaux que les nationalistes, les nationalistes-révolutionnaires que les traditionalistes. La revue disparaîtra en novembre 1982. Francis Bergeron n’en cache pas l’ensemble inégal du fait, peut-être, d’une forte hétérogénéité thématique visible à la lecture de ses nombreux collaborateurs. Par fascisme, Bardèche soutient une troisième voie hostile au capitalisme et au socialisme. Mais son fascisme, anhistorique et éthéré, cadre mal avec les réalités historiques du fascisme. Dès 1963 dans L’Esprit public, Jean Mabire rédigeait un article roboratif intitulé « L’impasse fasciste » repris successivement dans L’écrivain, la politique et l’espérance (1966), puis dans La torche et le glaive (1994). Au-delà des blessures vives de la Seconde Guerre mondiale, « Maît’Jean » esquissait de nouvelles perspectives européennes et authentiquement révolutionnaires.

    Déjà marqué par son fascisme assumé, Maurice Bardèche accepte d’être un paria de l’histoire parce qu’il ose un avis révisionniste (*) sur les événements contemporains. « Ses exercices de “ lecture à l’envers de l’histoire ”, comme il les appelle lui-même, font partie des points les plus détonants de son discours. Ils démontrent son courage tranquille, et ne peuvent que susciter l’admiration. Sur le fond, il y aurait certes beaucoup à dire, explique Bergeron. De toute façon, comme l’a rappelé Bardèche lui-même à Apostrophe, on ne peut plus s’exprimer librement sur ces questions (p. 87). » Saluons toutefois sa clairvoyance au sujet de la mise en place d’une justice internationale mondialiste. Déjà prévue dans l’abjecte traité de Versailles de 1919, cette pseudo-justice planétaire se réalise à Nuremberg et à Tokyo avant de réapparaître dans les décennies 1990 et 2000 à La Haye pour l’ex-Yougoslavie, à Arusha pour le Rwanda et avec l’ignominieuse Cour pénale internationale qui veut limiter la souveraineté des États.

    Tout en étant fasciste et après avoir prévenu en 1958 le camp national du recours dangereux à De Gaulle, Maurice Bardèche n’hésite pas à vanter le caractère fascisant des régimes de Nasser et de Castro, et à faire preuve dans Défense de l’Occident d’une grande lucidité géopolitique. « Bardèche […] faisait bouger les lignes de la vision géopolitique de son camp (p. 67). » Cet anti-sioniste déterminé encourage le panarabisme et, dès l’automne 1962, appelle les activistes de l’Algérie française à délaisser leur nostalgie et à relever le défi de la nouvelle donne géopolitique. Il est l’un des rares à cette époque à prôner une entente euro-musulmane contre le condominium de Yalta.

    C’est sur la question européenne que Maurice Bardèche a conservé toute sa pertinence. Quand on lit L’œuf de Christophe Colomb (1952) ou Sparte et les Sudistes, on se régale de ses fines analyses. Bardèche réfléchissait en nationaliste français et européen. À la fin de l’opuscule, avant l’habituelle étude astrologique de Marin de Charette et après les annexes biographiques, bibliographiques, de commentaires sur Bardèche et de quelques-unes de ses citations les plus marquantes, Francis Bergeron reproduit l’entretien que lui accorda Bardèche dans Rivarol du 5 avril 1979 (avec les parties supprimées ou modifiées par Bardèche lui-même). Cet entretien est lumineux ! « Devons-nous accepter […] de ne pas nous défendre contre la concurrence sauvage, déclare Bardèche, accepter le chômage, le démantèlement d’une partie de notre industrie, la dépendance à laquelle nous risquons d’être contraints ? » On croirait entendre un candidat à l’Élysée de 2012… Le sagace penseur de la rue Rataud estime que « l’Europe qu’on nous prépare ne sera qu’un bastion avancé d’un empire économique occidental dont les États-Unis seront le centre »… Il prévient qu’« il ne faut pas que l’Europe ne soit que le cadre agrandi de notre impuissance et de notre décadence », ce qu’elle est désormais. Il importe néanmoins de ne pas rejeter l’indispensable idée européenne comme le font les souverainistes nationaux. L’Europe demeure plus que jamais notre grande patrie civilisationnelle, identitaire et géopolitique. « L’Europe indépendante constitue un idéal ou plutôt un objectif », juge Bardèche avant d’ajouter, prophétique, que « la crise économique peut nous aider à la faire plus vite qu’on ne le croit ».

    Ce nouveau « Qui suis-je ? » est bienvenu pour découvrir aux plus jeunes des nôtres l’immense figure de ce fidèle Européen de France, ce magnifique résistant au politiquement correct !

    Georges Feltin-Tracol
    Europe Maxima
    20 mai 2012

    Titre original : Maurice Bardèche, Européen fidèle

    Note de la rédaction :

    (*) A deux reprises, Maurice Bardèche a connu la prison. Une première fois, dans la folle répression de la Libération, il fut arrêté le 1re septembre 1944, pour fait de collaboration – en réalité pour l’unique raison de sa proche parenté avec Robert Brasillach – et libéré le 29 avril 1945. Une seconde fois, deux livres, Nuremberg ou la Terre promise (1948) et Nuremberg II ou les Faux monnayeurs (1950), lui valurent un an de prison ferme et une amende de cinquante mille francs pour apologie de crime de guerre (la loi Gayssot n'existait pas encore) : incarcéré le 30 juin 1954, il a été gracié le 14 juillet suivant par le président René Coty et libéré immédiatement.

    Francis Bergeron, Bardèche, Pardès, coll. « Qui suis-je ? », (44, rue Wilson, 77880 Grez-sur-Loing), 2012, 123 p., 12 €.

    Correspondance Polémia : 9/07/2012

    Image : 1re de couverture