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  • Les Pussy Riot ne seront pas citoyennes d'honneur de Paris [Exclusif]

    Lire: http://fr.novopress.info/132246/exclusif-les-pussy-riot-ne-seront-pas-citoyennes-dhonneur-de-paris/#more-132246 

    + VIDEO  (pour adultes)

     

     

  • Le chef exorciste du Vatican remercie Benoît XVI pour son soutien

    16/02/2013

    Le chef exorciste du Vatican remercie Benoît XVI pour son soutien


    Le chef exorciste du Vatican a remercié le pape Benoît XVI pour avoir ouvert la voie à l'exorcisme des personnes possédées par le démon mais aussi de celles qu'il tourmente.

    "Le pape Benoît XVI a rencontré lors d'une audience des exorcistes du monde entier et nous a reçus avec des mots de grand, grand encouragement", s'est félicité Gabriel Amorth, qui pourchasse le démon dans le diocèse de Rome depuis 27 ans, dans un entretien à la chaîne de télévision religieuse TV2000.

    "Il a continué de nous encourager. Le pape a fait beaucpoup pour réviser les procédures (...) et nous a fourni de puissantes prières qui servent à exorciser", a-t-il ajouté.

    Benoît XVI a annoncé lundi sa démission à partir du 28 février en invoquant son âge. Il devrait laisser le souvenir d'un pape qui a voulu clarifier le message d'une Eglise entachée par différents scandales, dont celui de la pédophilie --dans lequel Gabriel Amorth a vu l'oeuvre de Satan.

    En tant que cardinal Joseph Ratzinger, il a aidé à réformer le catéchisme de l'Eglise catholique pour "élargir le front du combat contre Satan (...), dans les cas de possession diabolique des gens mais aussi dans tous les cas de troubles causés par le démon, qui représentent 90% des cas", a poursuivi Gabriel Amorth.

    Les cas de possession totale par le démon sont très rares, a-t-il ajouté, tout en assurant avoir vu des victimes "marcher sur les murs, ramper au sol comme un serpent".

    Les troubles causés par le démon sont toutefois "devenus extrêmement courants", selon lui. "Les gens vont voir les sorciers, les diseurs de bonne aventure, ceux qui se présentent comme des exorcistes (...) C'est devenu un problème car lorsque quelqu'un a besoin d'un exorciste, ils ne sont pas très nombreux, et ils sont mal préparés", a ajouté Gabriel Amorth.

    L'Association des exorcistes a aussi vu sa tache disparaître car "l'exorcisme avait été suspendu depuis des siècles, et alors qu'il y a une énorme demande pour les exorcistes, des prêtres et des évêques n'y croient pas", a-t-il déploré.

    ALTERINFO
     

    http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/801099/Le_chef_exorciste_du_Vatican_remercie_Benoit_XVI_pour_son_soutien_.htmlhttp://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/801099/Le_chef_exorciste_du_Vatican_remercie_Benoit_XVI_pour_son_soutien_.htm

  • Femen : que fait le ministère de l'Intérieur ?

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    Lu dans Le Figaro :

    "Une fois évacuées par le service d'ordre de la cathédrale, les huit activistes Femen - une Ukrainienne et sept Françaises - ont été conduites par les forces de police «au central 4» (commissariat du IVe arrondissement), «simplement pour la forme», confirme une source de la Préfecture de police de Paris, pour «vérifier leurs papiers d'identité» et «elles ont été relâchées dans la foulée, sans garde à vue».

    Les faits sont pourtant tous des délits punissables par la loi, tant du point de vue civil que pénal. «Exhibition sexuelle dans un lieu accessible au public» (article 222-32 du Code pénal), «atteinte à l'affectation cultuelle» et «atteinte à la liberté d'exercice du culte» (loi de 1905), «injure commise envers (…) une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée» (article 33 alinéa 3 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse), «coups et blessures», «destruction ou profanation d'objet sacré»…

    «Et avec tout ça, on juge seulement bon de vérifier leurs papiers? On ne les prie pas de s'expliquer?, s'étonne Me Laurent Delvolvé, avocat de l'archevêché de Paris qui a porté plainte. Au regard de la gravité des faits et du lieu dans lequel ils ont été commis, on peut s'interroger sur le traitement policier de cette affaire… À situations égales, on a vu des traitements bien différents».

    Si l'avocat ne veut pas illustrer son propos en se lançant dans les comparaisons, Mgr Patrick Jacquin, le recteur de la cathédrale, n'hésite pas à reprendre l'interrogation qui s'empare de l'opinion: «Pensez-vous que si cela s'était passé dans une mosquée, il y aurait eu une telle désinvolture dans la manière de les appréhender?, relève-t-il. D'ailleurs, notez qu'elles ne s'attaquent jamais aux mosquées, et pour cause, elles seraient pendues!».

    «Le manque d'entrain pour interpeller ces femmes était flagrant dès le début, dit-on à l'archevêché de Paris. Cela se voit sur les vidéos, après avoir été évacuées par nos surveillants, elles ont continué bien tranquillement à scander leurs slogans, dénudées sur le parvis. La police ne s'est pas pressée d'intervenir alors que le commissariat est à côté

    À l'heure où se tient le procès de plusieurs catholiques qui étaient montés sur la scène du Théâtre de la Ville à Paris pour contester le caractère blasphématoire et christianophobe de Sur le concept du visage du fils de Dieu, une pièce où des excréments étaient déversés sur le personnage du Christ, certains jugent qu'il y a deux poids deux mesures. Les prévenus, qui comparaissent depuis le 1er février devant le tribunal correctionnel de Paris, «ni nus ni violents», témoigne Catherine, une spectatrice, s'étaient mis à prier et chanter des cantiques sur la scène et crier «Dieu est là», «Honte à vous de regarder ça». Interpellations immédiates, gardes à vue de 24 heures et même de 26 heures, au-delà du délai légal, pour l'un d'entre eux. Trois ans d'emprisonnement et une forte amende, c'est ce qu'ils encourent aujourd'hui. [...]"

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Farines animales pour les poissons, Delphine Batho "n'avait pas vu" : elle doit démissionner

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    Communiqués / 15 février 2013

    Communiqué de Presse de Florian Philippot, Vice-président du Front National

    La commission européenne a annoncé hier que les poissons d’élevage pourraient de nouveau être nourris aux farines animales dès juin prochain.
    Interrogée sur cette décision bruxelloise aujourd’hui sur Canal +, Delphine Batho, pourtant ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, a affirmé « n’avoir pas vu », qualifiant de « bizarre » cette autorisation.

    Sur un sujet d’une telle gravité, qui touche à la santé des consommateurs français et pour le moins au développement durable d’une société qui se veut responsable, il est gravissime que la ministre fasse preuve d’une telle ignorance.
    Le sujet ne l’intéresse-t-il pas ? Ou ce gouvernement est-il à ce point soumis à l’Union européenne qu’il ne sait même plus ce qu’elle impose à notre pays ?

    Il est légitime dans ces conditions de se demander à quoi sert la ministre Batho. Sa démission est nécessaire ; elle aurait un véritable sens politique et prouverait que le gouvernement ne prend pas totalement à la légère les questions sanitaires.
    Sur le fond du dossier, nous demandons au gouvernement français de refuser l’autorisation bruxelloise sur les farines animales.

  • " Tu vas avorter aujourd'hui... Pourtant nous nous serions tant aimés maman"

    "Je ne veux pas garder cet enfant, mais je me sens contente, je n’y peux rien"

    Dans le cadre de la propagande sur le thème cher au Planning familial "il est aujourd'hui difficile d'avorter en France" (alors que plus de 200 000 enfants sont avortés chaque année), Rue 89 publie le témoignage d'une jeune femme qui cherche à éliminer l'enfant qu'elle porte en elle. Et l'on peut lire que la loi naturelle est bien inscrite au coeur de chaque personne :

    A"Je fais le test de grossesse qui m’affiche deux barres roses aussitôt. Paf, le résultat est clair, immédiat, pas d’appel. Je sais que je ne veux pas le garder, cet enfant, et que je ne peux pas, mais je me sens contente, je n’y peux rien.

    Je me rends compte que ça ne va pas être simple, il y a un enfant dans mon ventre et je l’aime déjà. Me voilà partie pour une semaine de pleurs…

    J’en parle au coresponsable de la situation. Il est à l’écoute, il est présent. Rapidement, il me dit qu’il ne veut pas de cet enfant. Moi non plus, mais maintenant qu’il est là, j’ai du mal à comprendre pourquoi je ne le garderai pas."

    Mais l'article reste un plaidoyer pour accroître encore l'avortement en France :

    "Je commence à mieux comprendre les dénonciations récurrentes du manque de moyens pour avorter en France."

    Et les coupables sont désignés :

    "Tous les dysfonctionnements sont-ils le résultats des pressions des anti-IVG ? Sinon comment expliquer le manque d’informations accessibles et claires sur l’IVG ?"

    C'est donner beaucoup d'importance au mouvement pro-vie français. De fait, les pressions anti-avortement ne viennent pas vraiment du mouvement pro-vie, mais simplement... de la loi naturelle. Loi naturelle que cette mère ressent au sein de sa conscience ("J’ai eu moi-même beaucoup de mal à accepter qu’au vu de ma situation personnelle, professionnelle et amoureuse, je devais avorter. J’étais trop fascinée par la magie de cette création et j’ai ressenti un amour immédiat pour l’enfant."). Et cela, tous les moyens financiers, toutes les lois n'y pourront rien.

    Et il en va de même pour les personnes homosexuelles : leur frustration ne vient pas d'une pseudo homophobie ambiante ou d'un manque de reconnaissance légale de leurs relations. Elle vient de ce que le don de soi entre amoureux ne peut s'accomplir qu'entre personnes de sexe différents. La loi Taubira ne rendra pas les personnes homosexuelles plus heureuses. Et c'est pourquoi, comme pour le lobby de l'avortement, les révisionnistes du mariage demanderont toujours plus (PMA, GPA, droit de se marier à l'église...).

    Michel Janva

    Le Salon Beige  15/02/13

  • Viande chevaline : un faux scandale sanitaire peut en cacher un vrai

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    Communiqué de Laissez-les-vivre :

    "Depuis près d'une semaine, l'affaire de la viande chevaline substituée à de la viande de boeuf dans une seule et unique marque réputée de lasagnes fait la une de toute la grosse presse écrite et télévisuelle : pourtant aucun décès, aucun empoisonnement, ni même la moindre intoxication alimentaire à l'horizon. Cependant, l'affaire est présentée comme un énorme scandale sanitaire !

    En revanche, pas un mot sur les SOIXANTE nouveaux cas d'accidents graves ou mortels, provoqués par les pilules de troisième génération et annoncés le 12 février. Celles-ci restent sur le marché jusqu'au 31 mars, soit près de QUATRE MOIS après l'annonce officielle de leur dangerosité alors que les lasagnes absolument comestibles ont été retirées des étalages DANS LA JOURNEE.(..)

    Michel Janva

    Le Salon Beige - 15/02/13

  • "Les Expulsés" de R.M. Douglas - Par Camille Galic

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    http://www.polemia.com/les-expulses-de-r-m-douglas/

    Preuve irréfutable que les « Trois Grands » étaient bien décidés, avant même la chute du IIIe Reich, à bouleverser la géographie de l’Europe orientale en modifiant les frontières, c’est dès 1943, établit R. M. Douglas, qu’ils étudièrent les modalités pratiques d’une éviction massive des Allemands des Sudètes, de la Prusse orientale, de la Silésie et de la Hongrie, pour faire accepter à Prague, à Varsovie et à Budapest les amputations non moins massives de territoires auxquelles l’URSS comptait procéder sur ses confins occidentaux. Cet expéditif « Drang nach Westen » résultait d’une « carte de la Pologne corrigée par Staline en personne » et transmise au premier ministre Churchill, qui y souscrivit, par le Judéo-Tchèque Edvard Benes, franc-maçon devenu « petit télégraphiste du Kremlin », pour reprendre l’apostrophe assassine adressée en 1981 par François Mitterrand au président Giscard d’Estaing.

    Solution finale

    Un enfant allemand aux pieds nus fouille une poubelle à la recherche de nourriture, Hambourg 1945

    Un enfant allemand aux pieds nus fouille une poubelle à la recherche de nourriture, Hambourg 1945

    Dans une Europe appauvrie et sinistrée après cinq ans de guerre, ce formidable transfert de populations posait des problèmes logistiques et sanitaires insolubles, qui ne pouvaient qu’aboutir à une effroyable mortalité parmi les millions de « rapatriés » dans une Allemagne elle-même exsangue et transformée en champ de ruines. Les futurs vainqueurs et surtout leurs obligés d’Europe centrale, auxquels reviendrait la responsabilité des opérations, ne l’ignoraient pas. D’autant moins que le Plan Morgenthau, du nom du secrétaire d’État au Trésor de Roosevelt (que, curieusement, Douglas ne cite jamais), avait préconisé entre autres le renoncement forcé par l’Allemagne aux Sudètes, à la Silésie et à la Prusse orientale ainsi que le déracinement des populations de souche germanique.

    Les chefs de la « Croisade des démocraties » envisagèrent-ils l’inéluctable hécatombe comme une « solution finale » au problème allemand ? Bien qu’antinazi de conviction ainsi qu’il l’exprime presque à chaque page, l’historien américain n’exclut pas cette hypothèse, répondant clairement au vœu de nettoyage ethnique, accompagné de scandaleuses spoliations, des dirigeants tchèques, polonais et surtout yougoslaves. En effet, les Slovaques et les Hongrois se montrèrent beaucoup moins hostiles aux Volksdeutsche, souvent installés depuis plusieurs siècles à l’est de l’Elbe et de la Theiss qu’ils avaient mis en valeur, et si intégrés que beaucoup d’entre eux n’étaient même plus germanophones.

    Trains de la mort et viols en série

    Volonté délibérée de supprimer le plus d’indésirables possible ou gabegie et indescriptible pagaille ? En tout cas, les transferts – prévus lors de la conférence de Potsdam comme devant être « organisés et humains » – vers les zones britannique, américaine et soviétique de l’Allemagne désormais totalement occupée se firent dans les pires conditions, surtout à l’hiver 1945-46. D’abord interminablement internés dans des camps (dont Auschwitz) bientôt submergés et ravagés par diverses épidémies, typhus notamment, les déportés devaient ensuite subir, par des températures de -20°, quatre à cinq jours de trajet dans des trains de marchandises où, du fait du gel et de la famine (« un hareng pour vingt-cinq personnes » !) s’amoncelaient bientôt les cadavres de vieillards, de femmes et d’enfants. Dans un convoi de 650 expulsés, les représentants de la Croix-Rouge en Bavière trouvèrent ainsi « 94 passagers morts, dont de nombreux enfants ».

    Car si Varsovie et Prague voulaient se débarrasser de leurs Volksdeutsche, elles déportaient en priorité « l’élément improductif de la population » et gardaient « les hommes sains pour le travail obligatoire », essentiellement dans les mines. Quant aux pères de famille qui voulaient absolument partir avec leur progéniture, ils étaient soumis à un implacable racket de la part des fonctionnaires locaux, souvent issus des maquis communistes.

        Opération Swallow : une femme allemande expulsée des Territoires reconquis (image extraite de l'ouvrage)

    Opération Swallow : une femme allemande expulsée des Territoires reconquis (image extraite de l’ouvrage)

    Mais si nombre d’hommes furent transformés en main-d’œuvre servile, les femmes et même les gamines ne furent pas mieux traitées. Évoquant le premier convoi parti du camp de Szczecin (Stettin) vers Lübeck, R. M. Douglas écrit : « Le plus troublant était les marques des mauvais traitements systématiques et prolongés qu’ils [les déportés] portaient sur leur corps, les cicatrices laissées par les abus physiques et sexuels. Comme ont pu le remarquer les officiers médicaux britanniques, la plupart des femmes ont été violées, notamment une enfant de dix ans et une jeune fille de seize ans. » Et les mêmes constatations – « au camp de transit de Pöppendorf, un officier britannique découvrit que « la plupart des femmes [arrivées de camps polonais] avaient été victimes de viols multiples, de même que certains des enfants » – furent faites au fil des innombrables convois.

    « Une caractéristique notable du système des camps d’après-guerre est l’importance des agressions sexuelles ainsi que des humiliations sexuelles ritualisées qui étaient infligées aux détenues », souligne ainsi R. M. Douglas en parlant de « supermarchés du sexe » réservés aux nouveaux maîtres des pays libérés et à leurs sbires, alors que, convient-il, dans les camps d’extermination nazis « le viol ou les mauvais traitements sexuels de la part des gardes étaient rarissimes et sévèrement punis par les autorités quand ils étaient découverts ».

    Camps d’extermination

    Peut-on parler de camps d’extermination à propos des Volksdeutsche bientôt rejoints par des Allemands antinazis à peine libérés des camps hitlériens, mais aussi (dans le cas de la Pologne et de la Yougoslavie) par des juifs, deux catégories dont le seul crime était leur origine ?

    Ex-secrétaire de Churchill, John Colville fit savoir au Foreign Office qu’en Pologne et en Tchécoslovaquie « les camps de concentration et tout ce qu’ils représentent n’ont pas disparu avec la défaite de l’Allemagne ». En Yougoslavie, un observateur de la Croix-Rouge conclut que dans les quatre camps de Backi Jarak, de Filipovo, de Gakowa-Krusevlje et de Sekic, « où les autres établissements envoyaient les détenus incapables de travailler, la ration était si faible qu’elle avait manifestement pour seul but d’entraîner une mort “naturelle” ». De fait, à Krusevlje, « le taux de mortalité, surtout parmi les enfants, atteignait jusqu’à 200 décès par jour », selon l’ambassade britannique à Belgrade.

    Dans le journal catholique tchèque Obzori, des lecteurs s’indignaient également du traitement réservé aux Sudetendeutsche : devant ces « scènes honteuses, nous nous taisons, comme la nation allemande se taisait », fulminait l’un d’eux, tandis qu’un survivant d’Auschwitz écrivait : « Face aux pires brutalités commises par les Allemands, nous nous consolions en nous disant “seuls les Allemands sont capables de faire des choses pareilles”. Pour rien au monde je ne voudrais qu’on pût parler ainsi de nous. »

    De même Ignacy Cedrowski, médecin du camp polonais de Potulice et lui aussi « survivant d’Auschwitz où « toute sa famille avait succombé à la Shoah », fut « pourtant stupéfait par l’exploitation meurtrière dont les travailleurs allemands étaient victimes dans les fermes d’État de la voïvodie de Poméranie en 1946-47 ». Et les conditions ne devaient guère être meilleures pour les 40.000 Volksdeutsche qui, au lieu d’être expulsés vers l’Allemagne, « furent déportés de Pologne vers les camps de travail en URSS » au printemps 1945.

    Crime contre l’humanité mais indulgence pour les bourreaux

    Le « crime contre l’humanité » dénoncé par certains hauts fonctionnaires britanniques et dirigeants de la Croix-Rouge est donc avéré mais « une infime minorité de criminels furent poursuivis », et ils « ne passèrent guère de temps en prison ». Bourreau du camp tchèque de Linzervorstadt, Wenzel Hrnecek fut bien arrêté et accusé en 1948 de haute trahison mais… « pour collaboration avec les États-Unis d’Amérique » (1) ! Le Slovaque Karol Pazur, auteur du massacre de Pierov (où il avait fusillé des Volksdeutsche puis froidement éliminé leurs enfants dont il ne savait que faire) fut condamné à douze ans de prison mais amnistié et libéré trois ans plus tard, etc…

    « En Pologne, les efforts visant à traîner les criminels devant les tribunaux furent encore moins couronnés de succès », déplore R. M. Douglas qui cite les cas emblématiques de Czezlaw Geborski qui, bien qu’« inculpé pour meurtre, torture et viol de prisonniers » en 2000 après la chute du communisme, mourut en 2006 sans avoir été jugé, et surtout de Salomon Morel. Ce chef du camp de Swietochlowice-Zgoda où, en cinq mois, avait péri le tiers des 5.000 prisonniers, en avait été récompensé par un rapide avancement mais, ayant pris sa retraite de colonel en 1968, il fut brièvement inquiété en 1990. Ce qui le poussa à émigrer en Israël où le gouvernement estima qu’il « n’y avait aucune raison d’accuser M. Morel de crimes sérieux ». D’ailleurs, trancha Edgar Bronfman, alors président du Congrès juif mondial, « son procès s’inscrivait dans le cadre d’un effort politique des révisionnistes et néo-nazis pour “relativiser” les crimes de l’Allemagne contre les juifs ».

    Mauvaise conscience et loi du silence

     R.M. Douglas, Les Expulsés, éditions Flammarion, 2012, 510 pages avec photos, notes et copieuse bibliographie, Traduction de Laurent Bury.

    Autant que la mauvaise conscience des Occidentaux complices de cette tragédie – non pas « méconnue », comme l’affirme la jaquette du livre, mais délibérément occultée –, la crainte de « relativiser » les persécutions allemandes et de donner ainsi des armes aux révisionnistes explique sans doute le silence assourdissant sur l’expulsion-exécution des Volksdeutsche, notamment en France. Pourtant, celle-ci, absente de la conférence de Potsdam, était foncièrement hostile à l’opération, pour des raisons du reste moins morales que politiques : Paris ne voulait pas d’un accroissement de la population allemande et d’un éventuel revanchisme sur ses frontières.

    N’ayant donc pris aucune part à ce qui demeurera comme l’une des pages les plus sombres de l’histoire européenne, pourquoi notre pays refuse-t-il de voir la réalité en face ? Car Les Expulsés n’est pas le premier livre consacré à la question. Or, les ouvrages publiés par la courageuse maison d’éditions Akribeia (2) ont été totalement boycottés et, bien que paru en 1997 à Londres, le livre majeur du Canadien James Bacque, Crimes and Mercies : The Fate of German Civilians under Allied Occupations, 1944-1950, n’a jamais eu chez nous l’honneur d’une traduction (3).

    Si, malgré son aridité et son style parfois lourd que fait d’ailleurs oublier la richesse de sa documentation, Les Expulsés connaît un réel succès de librairie, peut-on espérer qu’il se trouvera un éditeur assez téméraire pour braver la Pensée unique en publiant le livre de James Bacque ?

    Camille Galic
    3/02/2013

    R.M. Douglas, Les Expulsés, éditions Flammarion, 2012, 510 pages avec photos, notes et copieuse bibliographie, Traduction de Laurent Bury.

    Notes

    (1) Parfaitement bilingue, il se réfugia en Bavière où il parvint à se faire inscrire comme Sudetendeutsche. Identifié, il fut simplement expulsé par la RFA.
    (2) Tels Le Livre noir de l’expulsion par Heinz Nawratil, Martyre et héroïsme des femmes de l’Allemagne orientale par Johannes Kaps ou La Tragédie des Allemands des Sudètes, par Austin J. App. En vente à www.akribeia.fr qui diffuse aussi le livre de Douglas.
    (3) Bacque (qui, lui, incrimine Henry Morgenthau) évalue le nombre de Volksdeutsche morts au cours de leur expulsion entre 2,1 et 6 millions. On trouvera un commentaire en français de son livre sur le site library.flawlesslogic.com/cmrev_fr.htm

    Correspondance Polémia : 9/02/2013

  • Des extrémistes juifs paradent à Paris, Manuel Valls ferme les yeux

    Lire: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Des-extremistes-juifs-paradent-a-Paris-Manuel-Valls-ferme-les-yeux-16464.html

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    E&R

  • Saint-Valentin: deux fleuristes braqués à Perpignan et Narbonne

     

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    Pour les fleuristes, la Saint-Valentin est un des jours de l'année où les affaires sont bonnes et où la caisse est pleine en fin de journée. Ce qui n'a pas échappé aux malfaiteurs. Deux commerçants en ont fait l'amère expérience jeudi soir, à quelques minutes d'intervalles, dans deux villes voisines.

    A Narbonne (Aude), vers 20 heures, deux hommes d'un à pompe ont braqué un magasin de fleurs de l'avenue Anatole-France.

     

    Tandis que l'un menaçait les quatre employés et les quatre clients encore présents, l'autre remplissait un sac avec le contenu de la caisse. Les deux braqueurs, encagoulés et gantés, sont repartis à pied et n'ont pu être rattrapés par les patrouilles de police dépêchées dans le quartier. Les enquêteurs espèrent recueillir des informations en analysant les images de vidéo-surveillance.

    A Perpignan (Pyrenées Orientales), vers 20h20, les deux associées d'une boutique de fleurs du boulevard Clémenceau ont été braquées par deux hommes également cagoulés et gantés, dont l'un tenait une arme de poing. Après s'être fait remettre le contenu de la caisse et avoir fouillé les placards, les deux hommes sont là aussi repartis à pied, sans être inquiétés. L'enquête destinée à retrouver la piste des deux braqueurs a été confiée à la police judiciaire de Perpignan. Selon le quotidien régional L'Indépendant, qui a révélé les deux affaires, les fleuristes perpignanaises disent être victimes de vols quotidiens, en dépit des nombreuses caméras du boulevard.

     

    LeParisien.fr

  • Angers: un restaurant Subway obligé de fermer pour discrimination homophobe

    Lire l'article et les tweets: http://www.leparisien.fr/societe/accuse-d-homophobie-un-restaurant-subway-ferme-ses-portes-15-02-2013-2570841.php

    Ca commence...

  • Mussolini: Benoît XVI abandonne son troupeau

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    16/02/2013 – 10h00
    ROME (NOVOpress) –
    Soit sincérité soit prudence politique, en pleine campagne pour des élections où le vote catholique sera crucial, la classe politique italienne a professé presque unanimement la plus grande admiration pour la renonciation de Benoît XVI.

     

    Seule exception, la petite-fille du Duce et députée du Popolo della Libertà berluconiste, Alessandra Mussolini, habituée des déclarations à l’emporte-pièce, comme lorsqu’elle avait soutenu Hollande contre Sarkozy (lire) à la dernière présidentielle française.

    Pour elle, « le fait de laisser son propre troupeau sans pasteur suscite le trouble et le désarroi. Le Pape n’est pas un homme comme les autres. Comme il est le Vicaire du Christ, c’est précisément quand il sait qu’il n’a plus de forces qu’il a le devoir de continuer et de porter sa croix jusqu’à la fin. C’est un grand signe de déstabilisation mondiale qui affaiblit l’Église ».

    Crédit photo : DR.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Scandales en série autour de la viande, et l'abattage rituel halal et casher ?

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    16/02/13 – 18h10
    PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) –
    Cette semaine les révélations autour de la viande dans nos assiettes ont été crescendo. Alors qu’en début de semaine, des traces de viande de cheval avaient été retrouvées dans des lasagnes surgelés, prétendument au bœuf, avant-hier de la phénylbutazone, un anti-douleur puissant pour les chevaux, interdit chez l’homme par la bouche du fait de ses complications et aussi chez les chevaux destinés à l’alimentation humaine, a été mis en évidence dans trois carcasses de cheval provenant d’abattoirs britanniques à destination de la France.

     

    Parallèlement à la présence de viande de cheval dans les produits de la société française Spanghero, Le Parisien révélait également les liens douteux de cette société avec un trader condamné en janvier 2012 pour escroquerie pour avoir vendu de la viande de cheval d’Amérique du Sud qu’il faisait passer pour du bœuf. La société Spanghero a nié avoir eu connaissance de viande de cheval dans ce qui lui était livré par ses fournisseurs, mais hier soir France Info a révélé, que d’après ses informations, les enquêteurs de la répression des fraudes (DGCCRF) ont trouvé, dans l’usine de la société à Castelnaudary, de nombreuses factures comportant de façon bien visible le code de la viande chevaline, code que l’entreprise ne pouvait ignorer selon les enquêteurs.

    Pendant ce temps-là, le scandale sanitaire majeur de la viande halal ou casher continue. Il convient de rappeler que l’abattage selon un rite barbare qui fait fi de la souffrance animale, peut entraîner la présence dans la viande d’une bactérie donnant des morts, l’Escherichia coli. Une viande dont la plus grande partie (surtout du halal) va dans le circuit classique sans étiquetage spécifique – le gouvernement français refusant d’instituer cet étiquetage malgré les nombreuses demandes – et dont les consommateurs ignorent donc la provenance et la dangerosité, et par laquelle, également sans le savoir, ils versent une dîme aux mosquées et aux synagogues.

    Crédit photo : Bill Vidigal, via Wikipédia (cc).

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    NdB: A noter que chez les Juifs, il est interdit par la cacherout de consommer de la viande de cheval, tout comme celle de porc, le cheval faisant partie des animaux "impurs".  Mais le scandale de l'abattage rituel casher continue pour les autres animaux de boucherie tels que boeuf, veau, mouton, agneau.

     

  • Christiane Taubira et Jean-Marc Ayrault accueillis à Bordeaux par les opposants au “mariage” homosexuel

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    16/02/13 – 12h00
    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) –
    Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault était à Bordeaux ce vendredi matin, accompagné du Garde des Sceaux, Christiane Taubira. L’objet de ce déplacement était la visite de l’Ecole Nationale de la Magistrature.

     

    Si une dizaine d’activistes homosexuels (au premier plan sur l’image ci-dessous) étaient venus soutenir les ministres socialistes, c’est surtout la présence d’environ 200 opposants au « mariage » homosexuel qui occupait le terrain (image en une , et au deuxième plan dans l’image ci-dessous). A l’appel de la « La Manif pour tous », ces opposants à la loi Taubira ont rappelé au ministre que leur mobilisation était intacte, et que la lutte contre ce projet de loi « discriminant les enfants » allait continuer. Dans un communiqué de presse, ces derniers appellent les bordelais à se joindre à la “deuxième grande manifestation nationale qui aura lieu le dimanche 24 mars” .

     

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    Des partisans du mariage homosexuel ont volé un drapeau de la manif pour tous et tentent d’y mettre le feu !

    Ce matin, les partisans de la famille ont déposé à Paris une pétition de 700.000 signatures au Conseil économique, social et environnemental (CESE), lui demandant d’ouvrir un débat sur le sujet. La pétition est toujours en cours jusqu’au 28 févriers, les organisateurs espèrent atteindre le million de signatures.

    Crédit photo : DR.

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  • Lobby homo: une arnaque pour le contribuable

     

    En France, le lobby homosexuel coûte très cher au contribuable. C’est ce que nous révèle en effet Le Cri du Contribuable.

    Ainsi apprend-on qu’en 2010, l’État a subventionné Act Up à hauteur de plus de plus de 200000 euros ! Les mêmes qui, en 2005, avaient agressé le recteur de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris, Monseigneur Patrick Jacquin, et qui, en 2004, avaient, dégradé la façade de Élysée.

    Quant à SOS Homopho­bie, elle a touché 6 100 € de la Ville de Paris dès 2002, puis 10 000 € chaque année à partir de 2006. Il faut rajouter les 2000 € de subventions exceptionnelles votée les 11 et 12 décembre 2012 pour le projet « Interventions dans les établissements parisiens », alors même que SOS Homophobie avait perdu l’agrément du ministère de l’Education nationale, suite à une décision du 23 novembre du tribunal administratif de Paris, saisi par la Confédération nationale des associations familiales catholiques.

    Caroline Fourest, co-fondatrice de Prochoix, « la revue pour le droit de choisir » qui est une publication pro-maria­ge gay, touche 12 000 euros d’argent municipal, comme chaque année. Sachant que son journal ne paraît plus depuis avril 2012 et que le blog associé n’a publié que dix billets en un an…

    Le Paris Foot Gay voit quant à lui ses subventions versées par la Ville de Paris passer de 30 000 € à 40 000 € en un an.

    La liste n’est pas terminée, mais elle est scandaleuse. Car il est désormais avéré que l’État, dont la vocation est d’assumer ses fonctions régaliennes en vue de garantir le bien commun, confisque ses prérogatives et les détourne de leur fin afin de satisfaire les intérêts catégoriels et exclusivement idéologiques des lobbies ! Sans l’accord des Français, va sans dire… Dans de telles conditions, quelle légitimité l’État peut-il encore avoir à leurs yeux ?

    Contre-info.com

  • Le mariage gay voté, Taubira défend désormais le PMA: "Cette revendication est légitime" - A quand l'offensive pour la GPA ?

    De quelle "mission" se croit-elle investie ? De faire naître des enfants avec "deux mamans et pas de papa" pour la satisfaction égoïste de lesbiennes en mal de maternité ?  Du droit légitime des enfants à avoir un père et une mère comme le veut la nature, elle se garde bien de parler...

  • Les nuages... les merveilleux nuages

     

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    Le 12 février 2013, au-dessus des ports de Marseille (Photo EB)

    "J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages !" 

     Baudelaire

  • Un gamin de 13 ans se suicide, lassé d’être maltraité dans l’indifférence parce que rouquin

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    C’est finalement d’une forme de racisme ordinaire qu’est mort dans une relative indifférence Matteo, un beau petit Savoyard de 13 ans, retrouvé pendu dans sa chambre pour avoir été mis « en souffrance de par ses camarades de classe » de 4e parce qu’il était roux.

    Il est pourtant d’usage en France de lutter contre toutes les formes de racismes, nous payons d’ailleurs suffisamment cher les gouffres financiers que sont les associations supposées faire ce qu’il faut pour lutter contre les discriminations en tous genres.

    Se moquer des obèses, des handicapés, des noirs, des juifs, des homosexuels, des maghrébins, des aveugles et autres, c’est mal, ça mérite les gros yeux et la condamnation. Se moquer des roux est par contre très amusant, réclamer qu’on les noie dans un étang ou qu’on les latte à coups de pieds suscite des esclaffements collectifs et enjoués.

    C’est donc dans cet engouement roussophobe que des petits crétins ont laissé s’exprimer leurs moqueries et leurs coups, sans que cela ne semble vraiment faire réagir le corps enseignant alerté pourtant par les signalements des parents de Matteo, notamment sur les coups que leur fils avait reçus au visage en janvier dernier. On imagine sans trop de peine que si la victime des quolibets et des coups avait été d’origine extra-européenne, les enseignants n’auraient pas manqué de faire diligence pour faire cesser ce scandale, criant au racisme, probablement même en auraient-ils profité pour faire un petit cours d’usage en de telles circonstances. Nul doute que les associations antiracistes auraient été sur le coup, de même que les médias rugissants qui en auraient probablement fait leurs choux gras la bave aux lèvres. Mais là, un roux… Allez, c’est pas méchant, c’est des blagues potaches, bon enfant, on se chambre entre ados, c’est bien connu. On ne va quand même pas leur faire la leçon sur la discrimination à ces chérubins, pas pour un roux quand même !

    Malgré ces signaux d’alerte, les médias, qui aiment à s’interroger sur la façon d’enfoncer des portes ouvertes, se posent aussitôt la question d’usage : la tragédie aurait-elle pu être évitée ? Mais oui messieurs, elle était aussi évitable qu’un meurtre commis par un multirécidiviste qu’une Justice laxiste aurait laissé en liberté.

    Le racisme c’est mal, appeler à tuer les roux, c’est drôle.

    Il est admis que traiter un noir de « sale nègre » parce qu’il a la peau marron et les cheveux crépus est infiniment plus grave que de traiter un roux de « sale rouquin » parce qu’il a la peau blanche et les cheveux orange. La nuance entre les deux est certainement très subtile car pour ma part, je ne vois pas de différence.

    « Peut-on vraiment parler de second degré quand on parle de mettre les roux dans des fours à 800°? » s’interrogeait un roux dans Rue89.

    En 2011, la compagnie Orangina avait créé le buzz en plaisantant sur l’incongruité pour un roux d’avoir des amis. Et Tesco, une entreprise britannique, avait adressé des cartes de vœux montrant un petit garçon roux sur les genoux du père Noël avec ce slogan « le père noël aime tous les petits enfants, même les roux ».

    Imagine-t-on un seul moment par exemple la Banque Postale faisant une affiche avec une famille métissée et sous-titrée « on aime tous nos clients, même les blancs » ? Ou Arthur Martin indiquant sur ses cuisinières qu’elles cuisent très bien les noirs, même à 280° ?

    Oui, c’est drôle comme là, tout d’un coup ça choque tout le monde.

    Et pourtant…

    « Durant toute ma scolarité, primaire et collège, ça n’a pas cessé : boîte à rouille, roukmout, sale rouqin, rouquinos… Comment réagir lorsque le « racisme » n’est pas censé atteindre les blancs ? ».

    « Si on ne peut plus se faire des griffes sur les noirs, les arabes, les gros, reste toujours les roux… ».

    « Les roux incarnent selon moi un petit alibi qui permet de faire ressortir cette petite pulsion discriminante qui existe en chacun de nous. S’en prendre à un roux, ça reste politiquement correct sous nos latitudes ».

    Voilà pourquoi Matteo a voulu en finir avec la vie. Voilà pourquoi ceux qui ont été alertés n’ont pas fait ce qu’il fallait pour que ce racisme toléré (voire encouragé) depuis qu’il était en 6e prenne fin.

    Les SOS machin-chose seraient bien inspirés d’arrêter de créer du racisme là où il n’y en a pas et de se rendre un peu plus utiles là où il existe réellement et où il tue.

    Caroline Alamachère

    Riposte Laïque

  • Sécurité alimentaire: Bruxelles autorise les farines animales pour les poissons

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    15/02/13 – 18h00
    BRUXELLES (NOVOpress)
    – Alors que le scandale de la viande chevaline dans les barquettes surgelées de lasagnes Findus a remis au premier plan la question de la sécurité alimentaire au sein d’un système agro-alimentaire mondialisé de plus en plus difficilement contrôlable, la Commission européenne vient d’annoncer qu’elle autorisait à nouveau l’utilisation de farines animales pour l’alimentation des poissons d’élevage.

    Les poissons d’élevage pourront donc à nouveau être nourris avec des farines de porc et de volailles à compter du 1er juin.

     

    On se souvient que ce mode d’alimentation totalement anti-naturel avait conduit à la crise de la « vache folle », l’épidémie d’Encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) qui avait entraîné l’abattage d’un nombre considérable de bovins transformés de force en carnivores.

    Cette autorisation d’usage pour les poissons ne serait que la première étape d’une réintroduction plus générale des farines animales dans les circuits d’élevage industriels. En effet la Commission «entend proposer une autre mesure pour réintroduire l’utilisation des PAT – farines animales – de porc et de volailles pour les volailles et les porcs, seul le cannibalisme à l’intérieur de mêmes espèces étant interdit. »

    «Cette réintroduction des farines animales améliorera la durabilité à long terme du secteur de l’aquaculture, car ces PAT pourraient être un substitut précieux aux farines de poisson, qui sont une ressource rare», indique notamment la Commission dans un communiqué.

    Cette décision montre une fois encore que les exigences économiques des lobbys de l’industrie agro-alimentaire s’imposent à la fois au « principe de précaution » et aux exigences de protection de la santé publique.

    Une nouvelle invitation à privilégier le local, l’artisanal et le biologique pour résister à cette inquiétante dérive.

    Crédit photo : Emmanuel PARENT, via Flickr (cc).

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

     

  • Marseille: information judiciaire après la mort d'un jeune tué par un policier - La légitime défense n'est pas reconnue

    MARSEILLE (Reuters) - Une information judiciaire a été ouverte vendredi pour homicide volontaire après la mort d'un jeune homme de 19 ans tué jeudi à Marseille par un policier, a annoncé le procureur de la République, Jacques Dallest.

    Le parquet a demandé le placement en détention du gardien de la paix de 39 ans qui devait être déféré devant un juge.

    "Il n'y a manifestement pas eu de légitime défense. Aucun des agresseurs n'était porteur d'une arme à feu ou d'un couteau", a déclaré le magistrat lors d'une conférence de presse.

    Une altercation a éclaté dans la nuit de mercredi à jeudi entre le gardien de la paix et un groupe de jeunes dans une épicerie du IIIe arrondissement, dans les quartiers nord de la ville. Le policier a tiré une fois sur l'un des jeunes.

    L'autopsie du corps de la victime a montré que la balle d'un calibre de 9 mm était entrée par la fesse gauche, avait touché les intestins et le foie avant de provoquer une hémorragie massive qui est à l'origine du décès.

    Lors de sa garde à vue, le policier a expliqué avoir eu peur et avoir tiré au jugé pour se défendre. Les amis de la victime parlent d'un "tir volontaire" à une distance de quelques mètres. Lors de son interpellation, le gardien de la paix présentait un taux d'alcoolémie positif de 1,26 g dans le sang.

                  UN JEUNE MIS EN EXAMEN

    Contrairement aux affirmations tenues jeudi par la hiérarchie du policier, ce dernier avait en revanche le droit de porter son arme même s'il n'était pas en service.

    "Un policier est autorisé à garder l'arme sur lui dans le ressort de sa circonscription car il peut être requis à tout moment, même si en général cela ne se fait pas", a expliqué le directeur départemental de la sécurité publique, Pierre-Marie Bourniquel.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, le fonctionnaire se trouvait vers minuit dans l'épicerie à l'arrivée d'un groupe de trois jeunes du quartier, dont l'un fumait un joint de cannabis. Une réflexion du policier au fumeur a provoqué une rixe, puis le fonctionnaire a fait usage de son arme.

    Après avoir transporté la victime dans un hôpital de la ville, l'un de ses amis était revenu sur les lieux de l'incident et avait précipité sa berline de marque allemande dans la vitrine de l'épicerie.

    Il a été mis en examen pour violence volontaire en réunion, dégradation de biens d'autrui et conduite sans permis.

    Le parquet a requis un placement en détention de cet homme de 29 ans qui a déjà fait l'objet de huit condamnations pour des faits de vol aggravé, de violences et d'infraction à la législation sur les stupéfiants.

    Jean-François Rosnoblet, édité par Yves Clarisse

    Yahoo! Actualités - 15/02/13

    NdB: On peut tuer quelqu'un à coups de poing!