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  • Honte ! Une petite fille offre des roses à Taubira!

    Permalien VIDEO : http://lci.tf1.fr/france/societe/mariage-gay-des-militants-offrent-des-roses-a-taubira-et-se-font-7829870.html

     

     En visite à Bordeaux, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, et la ministre de la Justice, Christiane Taubira, ont reçu vendredi des roses de membres d'associations gays et lesbiennes. Les militants ont ensuite été victimes dans leur local de jets d'oeufs.

     

    Après l'épreuve physique" qu'a été le débat parlementaire, la ministre de la Justice Christiane Taubira, qui a tenu à bout de bras le projet de loi sur le mariage pour tous, s'est rendue vendredi en compagnie de Jean-Marc Ayrault, à Bordeaux où elle s'est exprimée devant les élèves de l'école de la Magistrature (ENM). Le Premier ministre et sa ministre ont ensuite reçu des roses de membres d'associations gays et lesbienne. Mais, preuve que la polémique est encore loin de s'éteindre dans la société français, ce malgré le vote de l'Assemblée en faveur du mariage gay, ceux qui avaient remis le bouquet ont été victimes dans leur local de jets d'oeufs de la part de plusieurs personnes, et une plainte a été déposée.

    Jean-Christophe Testu, président du Girofard, le centre lesbien et gay aquitain, accompagné de deux militants, Cyril et Stéphanie, et de la fillette de cette dernière, Zoé, vêtue d'une veste aux couleurs de l'arc-en-ciel, attendaient le chef du gouvernement et la ministre en bas des marches de lENM où ils venaient de s'exprimer. Vincent Feltesse, président PS de la communauté urbaine de Bordeaux, assistait à cette rencontre. Jean-Marc Ayrault et Christiane Taubira se sont arrêtés en souriant, la ministre embrassant la petite fille qui disparaissait presque derrière son bouquet de roses rouges. M. Testu a exprimé sa "profonde gratitude" pour l'adoption du projet de loi. La ministre a aussi reçu un recueil de poèmes du guyanais Léon-Gontran Damas, qu'elle avait cité pendant les récentes journées-marathon de débats à l'Assemblée nationale.

    "Acte homophobe"

    Christiane Taubira, dont le Premier ministre avait dit quelques minutes plus tôt qu'il était "fier d'avoir à ses côtés une grande ministre de la Justice", s'est dite "touchée" par ces présents. "Ces gestes et ces mots me surprennent toujours", a-t-elle remarqué, estimant avoir "juste fait correctement (son) travail".

    Après cette rencontre, les trois adultes et la petite fille qui avait donné le bouquet ont regagné le local associatif du Girofard, situé dans le centre-ville de Bordeaux, quand "trois à quatre personnes sont entrées et ont jeté plusieurs oeufs", dont un s'est écrasé sur un membre de l'association, a indiqué M. Testu qui dénonce "un acte homophobe". Une plainte a été déposée au commissariat de Bordeaux pour dégradation et agression. "Zoé et sa maman ont eu le temps de se réfugier dans une pièce du local", a précisé M. Testu, qui a déploré cet "acte d'intimidation".

    >> A lire également :
    - Malgré l'adoption par les députés du projet de loi sur le mariage pour tous,



    Source sur TF1 News : VIDEO. Mariage gay : des militants offrent des roses à Taubira et se font agresser

     

    15/02/13

     

     

      

     

     

  • Il a tué Carla, il ressort libre du tribunal...

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    En juin 2011, à Florensac dans l’Hérault, Carla, 13 ans, était assassinée, rouée de coups par un adolescent de 15 ans devant son collège.

    Mercredi, le tribunal a rendu son verdict : le coupable, âgé donc aujourd’hui de 17 ans, a été condamné à cinq ans de prison dont deux avec sursis et mise à l’épreuve, et aucun mandat de dépôt n’ayant été délivré, il a quitté le Palais de justice libre, sous les insultes des proches de Carla indignés.

    Du côté de la victime, on parle de « catastrophe judiciaire », les avocats du garçon, eux, se disent soulagés : « Même si les conséquences sont dramatiques, il ne sert à rien de le renvoyer dans les geôles. Il est conscient de la gravité des faits, mais c’est un enfant. » a affirmé l’un deux. « Il faut qu’au moins un des deux jeunes puisse se reconstruire », a renchéri l’autre.

    Vu sous cet angle… Si l’un des deux doit se « reconstruire », en effet, à six pieds sous terre, Carla n’est pas la bonne candidate. Forcément, il n’en reste plus qu’un, le meurtrier. C’est un raisonnement assez novateur qui, après tout, pourrait faire jurisprudence en droit pénal : la vie de la victime est déjà foutue, ça serait quand même dommage d’aller en plus gâcher celle de l’assassin. Vous voyez ? Un peu comme si le crime tuait deux fois, la justice ne peut quand même pas laisser faire ça. Astucieuse comme elle est, cette avocate ira loin. Je conseille vivement aux serial killers qui nous lisent de prendre contact avec elle.

    L’argumentaire de son confrère est plus éculé : « C’est un enfant. » Oui, mais de cela, justement, est-ce qu’il est bien sûr ? Parce que, lorsqu’on lit pendant son petit déjeuner l’article du Midi libre intitulé « Affaire Carla à Florensac : scènes ordinaires de violence entre collégiens », on avale son café de travers. Question ambiance, c’est plus Millénium que Le Clan des sept ou Fantômette. Éloignez votre grand-mère de l’écran de cet ordinateur, nous encore, nous sommes mithridatisés, mais elle, la pauvrette…

    Au départ de toute cette affaire, une « querelle amoureuse » : Carla (13 ans, 5ème, je vous rappelle qu’à cet âge, nombre de fillettes ne sont pas encore réglées) reprochait à la petite sœur de celui qui allait devenir son assassin, par Facebook et sms interposés, d’avoir eu une relation sexuelle avec un garçon dont elle était amoureuse, ledit garçon ayant reconnu d’ailleurs depuis que ladite petite sœur lui avait fait une fellation. D’où des échanges de coups et de menaces de « viol dans les toilettes ». Et l’altercation fatale.

    Alors, je le répète : Sont-ce encore des enfants, et peut-on encore les juger comme tels ? La révolution sexuelle a eu cela de pénible qu’elle a fait comme toutes les révolutions : un bras d’honneur à l’expérience consciencieusement empilée par des générations, une expérience qui, en matière d’éducation, ne servait pas qu’à emmerder le monde.

    Sûr que la non-mixité, le manque de proximité entre les garçons et les filles à l’âge de la puberté, ça leur donnait l’air un peu godiche. Sûr que la coercition scolaire qui les tenait licou serré, c’était parfois énervant.

    Au départ, quand on a ouvert les vannes, c’était plutôt mignon. Mais maintenant, disons que l’on a des petits soucis, et les gentilles dames — excellentes profs au demeurant — qui trustent l’éducation nationale peinent un peu à s’interposer face à de grands gaillards de 15 ans qui, comme à Florensac, pratiquent la boxe et ne sont plus tellement intimidés par les jeunes filles en fleur. Quarante ans pour passer de Diabolo Menthe à Orange Mécanique.

    Pas complètement quand même : rassurez-vous la justice, elle, est restée aussi vert tendre que le film de Diane Kurys. Ce sont des enfants on vous dit.

    En Haute-Loire, cinq mois après Carla, Agnès (pas tout à fait 14 ans) était violée et assassinée par un de ses camarades (17 ans) du collège Cévenol. On attend impatiemment le verdict.

    Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire

  • Un feu d'artifice spatial à Tcheliabinsk - Le nombre de victimes approche de 1000

    Le météorite de Tcheliabinsk a fait du bruit à travers le monde. Les commentaires dans les réseaux sociaux vont des exclamations de panique au sujet de la fin proche du monde à l’extase à propos d’un spectacle rarissime. L’expert militaire réputé Igor Korottchenko a parlé à notre correspondant des conséquences possibles des pluies de météorites et de la capacité de l’humanité de parer à une telle menace à l’avenir.

    Le corps céleste qui chutait à une vitesse hypersonique a le plus perturbé la vie dans la ville ouralienne de Tcheliabinsk. L’onde de choc, causé par sa fragmentation dans l’atmosphère a détruit partiellement un bâtiment d’une usine de la ville, a soufflé des vitres dans de nombreux immeubles d’habitation et, selon des témoignages, a provoqué un dysfonctionnement de l’approvisionnement en gaz et de la téléphonie mobile. Mais est-ce que personne ne savait rien sur l’incident qui allait arriver ? Igor Korottchenko assure que l’humanité n’est pas aujourd’hui en mesure de prévenir au sujet d’un tel phénomène :

    Une personne n’ayant pas de formation technique pose tout de suite la question : « Pourquoi ne nous-t-on pas prévenus ? On enregistrait même des plaintes des habitants de la région de Tcheliabinsk contre le ministère des Situations d’urgence pour n’être pas avertis à temps. Il faut dire qu’il ne s’agit pas d’une inondation, mais d’un élément qui échappe pour le moment à tout contrôle.

    Diaporama : Pluie de météorites dans l'Oural

    L’expert a relevé que même le système d’alerte avancée anti-missile est en ce cas impuissant. Son principe de fonctionnement est basé sur le calcul de la trajectoire d’un missile balistique au moment où il est lancé et accélère et sur sa destruction à une étape de son vol. Dans le cas d’un météorite un tel système est inefficace : Igor Korottchenko estime que de nos jours l’humanité est sans défense face à la menace venant de l’Espace. Toutefois l’expert est persuadé qu’à l’avenir une coopération internationale permettra d’apporter une solution à ce problème aussi :

    On peut fixer de telles tâches sur un plan purement expérimentale et scientifique. Je pense que dans le cadre de l’interaction russo-américaine il faut former un groupe d’analyse des menaces globales, dont celle d’astéroïdes en est une. Il convient de créer des collectifs de spécialistes pour proposer des recettes ne seraient-ce que théoriques ce qu’il sera possible de faire au regard de monitorage, et de réaction.

    Diaporama : Les conséquences de la chute d`une météorite dans l'Oural

    L’expert a relevé que si le météorite était plus gros, l’effet de son impact pourrait équivaloir à un bombardement thermonucléaire. On se demande aussi au sujet de la réaction des puissances nucléaires en cas d’explosion d’un météorite d’une puissance comme celle de la « Reine des bombes ». Voici ce qu’en pense Igor Korottchenko :

    Les mesures de rétorsion sont basées quand même sur l’information des systèmes d’alerte avancée prévenant de tir des missiles. On ne va actionner notre arsenal atomique qu’après avoir une preuve exacte d’une attaque nucléaire d’un adversaire. En absence d’une telle information notre direction politique et militaire ne va pas prendre des mesures de rétorsion.

  • Le "nananère" de Marine Le Pen à Mamère !


    Le nananère de Marine Le Pen à Mamère par Europe1fr

    Marine Le Pen et Noël Mamère participaient mercredi soir sur Europe 1 à un débat sur le droit de vote des étrangers non-communautaires aux élections locales. Le ton est monté quand le député écologiste a évoqué "la France aux français" chère à Jean-Marie Le Pen, le père de son interlocutrice. "Nananère!", lui a ironiquement répondu la présidente du Front national. "C’est du niveau 4 ans et demi. C’est dans les cours d’école qu’on dit ‘eh ben ton papa et ta maman ils ont fait ça, euh’. Vous êtes pitoyable, vous n’avez aucun argument", a-t-elle poursuivi. "Votre père n’est pas un anonyme", a rétorqué Noël Mamère. "Vous sortez exactement les mêmes arguments que lui, et vous êtes en train de nous expliquer qu’il faut que la France reste aux Français."

  • Des hologrammes pour remplacer les manuels d'histoire

     

    Depuis l’apparition de Tupac en Hologramme, on sait que cette technologie est capable de ressusciter les morts à des fins de divertissement, mais elle peut aussi avoir un intérêt historique.

    Les membres de « l’institut des technologies créatives » (ICT) de l’USC, (university of Southern California) en partenariat avec la fondation pour la Shoah de la même université ont commencé à travailler sur un projet destiné à conserver et diffuser les récits des survivants de l’holocauste grâce à des hologrammes.

    Le premier récit enregistré est celui de Pinchas Gutter, 80 ans et survivant d’un camp de concentration nazi situé en Pologne. L’homme a été interviewé et filmé en 3D dans un dôme large de près de 8 mètres et éclairé grâce à 6000 LED, le tout sur fond vert. On peut apercevoir le résultat sur la vidéo ci-dessus.

    hologramme

    Les membres du projet avouent vouloir capturer autant d’histoire(s) que possible, avant que tous les survivants ne disparaissent, et pouvoir ainsi diffuser les témoignages dans les musées et bien sur les facultés.

    On note également que la technologie utilisée diverge de celle qui avait réanimé un rappeur. L’image de ce dernier était en fait composée de plusieurs couches d’images en 2D projetées sur un écran quasi invisible. Ici, le rescapé est projeté sur un miroir incurvé, ce qui permet de le voir sous différents angles.

    Le Journal du Geek

     

     

  • Mieux vaut être une Femen qu'un Identitaire !

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    Journaliste.
    Fondateur de Reporters sans frontières.

     

    Revenons sur les Femens et leur intervention à Notre-Dame de Paris. Ou plutôt sur les réactions qu’elle a suscitées. Que je sache, si certains – à commencer par les contributeurs de Boulevard Voltaire – se sont scandalisés de ce happening de mauvais goût, si deux plaintes ont été déposées selon le recteur et archiprêtre de la cathédrale – dont l’une pour « profanation d’un espace cultuel » et « profanation d’objets sacrés » -, je n’ai entendu aucune de nos habituelles grandes consciences, personne parmi nos people du monde médiatique exiger un procès, une condamnation, une interdiction. Et c’est fort bien.

    Si Marine Le Pen a dénoncé une provocation « ignoble et lâche » Manuel Valls, notre ministre de l’Intérieur, s’est contenté de parler d’une « provocation inutile ». Et le maire de Paris, Bertrand Delanoë, usant d’à peu près les mêmes termes, d’une « provocation inopportune et déplacée ». Et pourquoi pas.

    Du côté de la presse, si David Abiker et Bruno Roger-Petit ont dit leur désapprobation sur leurs blogs respectifs, pas d’éditoriaux au vitriol, pas de tribunes outrées dans les colonnes de Libération ou du Monde. Le site d’Edwy Plenel n’a pas lancé ses fins limiers sur les traces des éventuels parrains de nos dames, sur ceux qui les financent. Rien. Dans nos bon médias de gauche, même si l’on réprouve de telles méthodes, il ne viendrait à l’idée de quiconque d’aller plus loin qu’un vague froncement de sourcils. Et c’est fort bien.

    La liberté de manifester est garantie par la Constitution, des Déclarations diverses et variées, des Conventions signées et ratifiées. Qu’il s’agisse d’une église, que ces pétroleuses aient badigeonné leur poitrine dénudée de slogans comme « No homophobe », « Crise de la foi », « Bye bye Benoît ! », tout cela ne change pas grand-chose aux yeux de ceux qui sont en charge de l’ordre public. Ils n’en tirent aucune circonstance aggravante pour ces jeunes femmes aux atours fort télégéniques. Et pourquoi pas.

    Mais que ces gens ont peu de mémoire ! Dois-je leur rappeler leurs cris, leur indignation, leurs menaces quand les jeunes du mouvement Identitaire sont allés occuper une mosquée à Poitiers ? Une mosquée en construction. Sans l’ombre d’un fidèle. Mais, que voulez-vous, ils ne sont pas de gauche et ils touchent à l’Islam. Résultat : garde à vue, contrôle judiciaire – avec interdiction de quitter le département ou de rencontrer d’autres membres du mouvement —, et procès en perspective pour quatre d’entre eux. Accusés notamment de « provocation à la discrimination nationale, raciale et religieuse » et « d’organisation d’une manifestation sur la voie publique sans déclaration »… On a même entendu Harlem Désir demander la dissolution du mouvement, rien que ça ! Et Jean-Marc Ayrault, qui n’avait rien d’autre à faire, se fendre d’un communiqué vengeur alors qu’il était en voyage à… Manille.

    Alors, un conseil aux jeunes de Génération identitaire : la prochaine fois, mettez les filles en première ligne et surtout, torse nu. Quant aux aboyeurs de service : pour une fois, soyez conséquents, l’indignation à géométrie variable, ça commence à bien faire.

    Robert Ménard, le 14 février 2013
     
    BOULEVARD VOLTAIRE

     

  • La Serbie ne reconnaîtra pas le Kosovo, même pour intégrer l'Union européenne

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    14/02/2013 -20h20
    BELGRADE (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) - C’est une annonce faite par Slavenko Terzic, ambassadeur de Serbie en Russie, au cours d’une conférence de presse, et alors que les négociations d’adhésion de son pays à l’Union européenne doivent s’ouvrir l’année prochaine.

    Le diplomate a ajouté que « la Serbie est prête à accorder la plus large autonomie aux Albanais kosovars, mais ne reconnaîtra jamais l’État artificiel du Kosovo ».

    Rappelons que le Kosovo, séparé du territoire serbe par les forces occidentales, n’a pas été reconnu par l’ONU, une majorité de pays défendant l’intégrité territoriale de la Serbie.

    Crédit photo : DR

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Savoie: harcelé au collège, Matteo s'est pendu à 13 ans - Ses parents portent plainte

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    Page d'hommage à Matteo sur facebook

     

    Les parents de Matteo, l'adolescent de 13 ans qui s'est suicidé vendredi en Savoie, ont porté plainte pour «homicide involontaire» et «non-assistance à personne en danger». Le garçon était en classe de 4e au collège Saint-Exupéry à Bourg-Saint-Maurice.

     

    Sa famille avait déjà porté plainte en 2011 contre deux jeunes de l'établissement qui avaient agressé leur fils dans la cour de récréation, alors qu'il était en 6e.



    Le parquet d'Albertville a indiqué que l'ouverture d'une information judiciaire était envisageable, mais que si tel était le cas, elle ne devait pas l'être avant plusieurs jours, le temps de procéder aux auditions et d'avancer dans l'.

    Amateur de rap, Matteo, retrouvé vendredi après-midi pendu dans sa chambre, avait posté une vidéo sur dans lequel il exprimait son mal-être. »Il y a aussi la discrimination, oui je le crie fort, j'en ai beaucoup souffert, mais il n'y a pas que moi. La vie est une lutte, il faut résister», peut-on entendre.

    Des difficultés relationnelles avec ses camarades

    Le collégien, dont «on avait repéré les difficultés relationnelles avec ses camarades dès son arrivée au collège, avait fait l'objet d'un accompagnement par l'intermédiaire du conseiller principal d'éducation avec qui il avait noué une relation de confiance», a expliqué le directeur de cabinet du rectorat, François Charlon.

    La 5e et le début de 4e s'étaient «bien passés», selon le rectorat, jusqu'à ce qu'il y a une quinzaine de jours le jeune garçon reçoive un coup de poing. «Cet événement serait passé inaperçu dans d'autres circonstances», a relevé le rectorat. «Le père avait pris rendez-vous avec le directeur du collège et une sanction avait été infligée à l'auteur du coup», a précisé M. Charlon.

    Le Parisien - 14/02/13

  • Plaintes contre les Femen sans réponse : Allô Mme Taubira ?

     

     

    Communiqué des cercles des avocats libres sur l’action des FEMEN :

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    Mardi 12 février, un groupe d’activistes se disant appartenir aux « femen » a fait irruption dans la cathédrale de notre Dame, dévêtues, et recouvertes de slogans anti-chrétiens en hurlant des insanités telles que « fuck the pope ». Elles entendaient célébrer la démission de Benoit XVI et prétendaient dénoncer l’homophobie de l’Eglise catholique.

    Ce n’est malheureusement pas la première fois que ces activistes qui se prétendent féministes et qui ont été interdites en Ukraine, se livrent en France et en toute impunité à ce type d’exaction anti-chrétiennes. Le 18 novembre dernier, celles-ci avaient violemment attaqué le cortège des catholiques traditionnalistes qui manifestaient contre le mariage entre personnes du même sexe. Munies d’extincteurs, dévêtues de la même façon et affublées de slogans violemment anti-chrétiens, elles avaient commis par moins de quatre infractions pénales.

    A ce jour, et sauf erreur de notre part, il ne semble pas que la moindre poursuite ait été engagée à leur encontre. A contrario, certains pères de famille qui avaient défendu leur famille en novembre dernier en repoussant les femen ont été placés en garde à vue, mis en examen et placés sous contrôle judiciaire. Les plaintes déposées par les familles contre les activistes FEMEN sont à ce jour toujours sans réponse. Il y a à l’évidence une différence de traitement de la part des autorités politiques et judiciaires qui confine ici à la discrimination et au déni de justice.

    Combien d’agressions faudra-t-il tolérer avant de commencer à appliquer la loi et à défendre les catholiques comme des citoyens ordinaires ? Une telle agression aurait été à l’évidence impensable dans une mosquée. Faut-il rappeler que les jeunes gens qui ont pénétré dans une mosquée en construction en octobre dernier ont été interpellés, placés en garde à vue et placés sous contrôle judiciaire avec une interdiction de sortir du département ? Les FEMEN subiront elles le même sort ?

    Nul besoin d’être grand clerc pour discerner que derrière cette inaction volontaire du Ministère Public toujours prompt par ailleurs à faire la chasse aux idées jugées politiquement incorrectes par les ligues de vertu et la police de la pensée transparaît en arrière fond un climat de christianophobie latent. Le cercle des avocats libres qui regroupe des confrères et des membres des professions judiciaires attachées aux libertés mais également à la justice et l’équité, dénonce cette différence de traitement flagrant et appelle à protester énergiquement mais pacifiquement devant le ministère de la justice pour dénoncer ce traitement manifestement méprisant à l’encontre des chrétiens et demander l’application de la loi. Il communiquera prochainement sur la date et l’heure de ce rassemblement.”

    source Michel Janva

    ALTERMEDI FRANCE 

  • Famille Spanghero: "nous sommes atterrés par ce qui se passe"

    "C'est un traumatisme", résume Walter Spanghero. L'ancien propriétaire du groupe alimentaire éponyme, et son frère Laurent, se disent "attérrés" par le scandale de la viande de cheval, qui éclabousse l'ancienne société familiale. Car c'est bien l'entreprise Spanghero qui est aujourd'hui montrée du doigt.

    "Spanghero savait"

    L'accusation est venue de Benoît Hamon. Jeudi après-midi, le ministre délégué à la Consommation a indiqué, lors d'un point presse révélant les résultats de l'enquête menée par la DGCCRF, que "Spanghero savait qu'il étiquetait de la viande de cheval sous l'étiquette de viande de boeuf" avant de les revendre à la société Comigel, qui fabrique les plats.

    "Le premier acteur de cette filière à estampiller la viande en tant que 'boeuf' était Spanghero", a insisté le ministre, précisant que l'industriel sera poursuivi.

    Dans la foulée, le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll a annoncé la "suspension immédiate" de l'agrément sanitaire de la société Spanghero.

    Le "désespoir" des frères Spanghero

    Du côté de Castelnaudary, dans l'Aude, où siège l'entreprise, les frères Walter et Laurent Spanghero se disent "désespérés". Bien que la société ne leur appartienne plus depuis 2009, ils estiment que leur nom a été sali.

    "Nous sommes affectés", explique Laurent Spanghero. "Ca fait cinquante ans que nous sommes ici, nous travaillons encore et nous somme atterrés par ce qui se passe, dont nous ne sommes pas responsables. Comment voulez-vous ne pas être atterré ? Qu'est-ce qu'on va dire quand nos enfants, nos petits-enfants vont passer dans la rue ? On va dire 'c'est un Spanghero'", se désole-t-il, visiblement très ému.

    "On vit des moments difficiles", poursuit son frère, Walter. "Je pense beaucoup aux personnes qui sont encore dans l'entreprise et qui vont au devant des problèmes parce qu'aujourd'hui, la vie est difficile. Je ne souhaite qu'une chose : qu'ils aient des lendemains heureux. Pour le reste, la justice fera son chemin et on verra bien", lance-t-il, avant d'évoquer un "traumatisme".

    BFMTV - 14/02/13

  • La honte de la République, par Bruno Gollnisch

    le cri munch bis

    Elles ont établi à Paris en septembre 2012, avec l’accord des autorités, « le premier centre d’entraînement » au « nouveau féminisme ». Les prostituées ukrainiennes regroupées au sein du collectif Femen, financé par le milliardaire allemand Helmut Geier, sa compatriote femme d’affaires Beat Schober, et le businessman américain Jed Sunden ont « fêté » hier à leur manière, citons une d’entre elles, « le départ du pape Benoit XVI et la légalisation du mariage homosexuel en France ». Dépoitraillées, couvertes de slogans orduriers et beuglant comme à l’accoutumée leur haine de la religion catholique, les amies de Caroline Fourest se sont livrées à leurs provocations dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Chacun jugera comme il convient des protestations de MM. Valls et Delanoë. Socialistes et progressistes qui ont longuement ovationné mardi à l’Assemblée le garde des Sceaux Christiane Taubira, porteur du projet de loi en faveur du mariage (et à terme de l’adoption) pour les couples homosexuels, adopté en première lecture par 329 voix pour et 229 contre.

    Si quatre députés du groupe socialiste ou apparentés ont voté contre et cinq se sont abstenus, à l’UMP, sous la pression de la « base », seuls Benoist Apparu et Franck Riester ont voté pour. Nathalie Kosciusko-Morizet, Pierre Lelouche, Bruno Le Maire, Edouard Philippe et Nicole Ameline se sont abstenus. Cinq députés UDI ont voté pour, dont Jean-Louis Borloo, Yves Jégo et Jean-Christophe Lagarde.

    Preuve du conformisme du microcosme politico-médiatique, des «mutins de panurge » comme disait le regretté Philippe Muray (une plume de son calibre aurait fait merveille dans la recension de cette nouvelle avancée sociétale de « l’empire du bien »), nos journaux et chroniqueurs ne tarissent pas d’éloge sur Mme Taubira, son intelligence, sa culture, sa fermeté dans les débats, son charme… Bref, l’émule de saints républicains comme Robert Badinter ou Simone Veil, là ou beaucoup de Français ont vu l’étalage d’un sectarisme et d’un extrémisme qui traduisent ses origines politiques. Nous nous souvenons aussi de ce débat de mars 2007 sur le thème de l’immigration ou face à Marine Le Pen et faute d’arguments rationnels, Christiane Taubira était souvent tombée dans l’invective. Position outrancière dans le domaine de la gestion des flux migratoires qui avait conduit le futur ministre de la Justice à signer, en juin 2010, une pétition exigeant la régularisation des travailleurs immigrés en situation irrégulière sur notre territoire…

    Avec cette diction ampoulée, ce ton déclamatoire et le style pompier qu’elle affectionne, Mme Taubira a donc subjugué ses amis et adversaires politiques de l’UMP ; déjà quelques fins connaisseurs de la vie politique française, en font une possible (probable) « première ministrable ». Oubliées les critiques assassines contre celle qui, en se présentant à la présidentielle de 2002, fut désignée comme responsable de l’élimination de Lionel Jospin au premier tour…

    Le quotidien Sud Ouest rapporte les propos de l’ex-président UMP de l’Assemblée, Bernard Accoyer, qui certainement bien fatigué affirme : « Elle est très bonne. Elle sortira bénéficiaire de ce débat. » Il est vrai que Christiane Taubira , Bruno Gollnisch l’avait rappelé et cette dernière en avait fait l’aveu, avait été « draguée » par Nicolas Sarkozy en 2007 qui souhaitait qu’elle entre dans le gouvernement d’ « ouverture » de François Fillon. Nous rappelions aussi à l’occasion de sa nomination dans le gouvernement Ayrault, cet épisode un brin comique ( ?) : invitée quelques temps auparavant sur RMC dans l’émission « Les grandes gueules », elle expliquait, croyant être en off, qu’elle se verrait bien quitter notre pays d’ingrats pour aller faire carrière « au Brésil ou en Afrique du Sud »…

    Mais, aujourd’hui cette nouvelle popularité de Mme Taubira « est confirmée par BVA » croit savoir Sud Ouest puisque un Français sur quatre déclare désormais « avoir une meilleure image » du ministre de la Justice. » « D’elle, on retient sa couleur de peau ajoute gravement cet article – Je suis devenue noire à Paris , confesse-t-elle comme blessée – 61 ans depuis quelques jours, Christiane Taubira, mère divorcée de quatre enfants, est un cri (sic) . Tous les coups reçus n’ont fait que m’érafler, si peu, comparé au supplice intime d’être de ce peuple qui assiste, passif, à son effondrement. Elle parle, bien sûr de sa Guyane qu’elle a trouvé, un jour, « la force de quitter ».

    « C’est d’abord pour cette terre qu’elle s’est battue comme économiste, sociologue, ethnologue. Comme militante indépendantiste et pourchassée (sic), qui votera Balladur en 1993. Comme candidate aux Européennes, sous la bannière de Tapie. Comme socialiste avant de se présenter, au risque de dévier l’histoire, contre Jospin, en 2002. Comme soutien de Montebourg après avoir été chargée d’un rapport par le président Sarkozy .Elle n’hésite pas à contredire son parti, le PRG, sur l’Europe, ou le PS sur les signes religieux à l’école. Les méchantes langues diront d’elle qu’elle mange à tous les râteliers. Christiane Taubira est surtout une incarnation de la liberté, la sienne et celle des autres : l’histoire dira si son nom restera davantage attaché au mariage gay qu’à la loi du 10 mai 2001 qui reconnaît la traite négrière et l’esclavage comme crimes contre l’humanité. »

    Comment ne pas être bouleversé par ce parcours sans tâche : militante anti-colonialiste humaniste, amie de Bernard Tapie, à l’origine d’une loi de repentance, invitant les « métropolitains » à battre leur coulpe pour les crimes de leurs ancêtres ?

    Bruno Gollnisch le relevait lors des débats sur cette fameuse repentance et le masochisme antinational, « tous ceux qui, aujourd’hui, ne se sentent pas Français, se retrouvent et se rassemblent pour se poser en victimes, passées, présentes ou à venir, de la France. Et lui demander de rendre gorge et comptes, devant les tribunaux s’il le faut. Car nos lois, sous prétexte de lutter contre le racisme et l’antisémitisme, confient au juge le droit de dire la vérité historique, et à n’importe quel groupe d’influence celui de tenter de la lui dicter. »

    « Ainsi de la loi Gayssot, de sinistre notoriété, ou encore de la loi Taubira qui ne désigne comme crime contre l’humanité que l’esclavage et la traite transatlantique de Noirs, mais pas les traites transafricaines ou arabo-musulmanes, pourtant identiques dans l’horreur et l’ignominie. »

    « Ainsi, poursuivait-il, aucun discours politique de défense des identités nationales, de fierté de l’Histoire nationale, de lutte contre le déferlement migratoire ou les dangers que fait peser sur la liberté de tous et de chacun l’islamisation en marche de notre continent n’est plus à l’abri des foudres de la police de la pensée. Il y a plus urgent que d’officialiser la dictature intellectuelle et judiciaire de tenants de la préférence étrangère et de la multiculturalité forcée. » Et aucune justification à l’établissement du mariage gay, débat fou qui a monopolisé l’énergie de la classe politicienne alors que notre pays se tord de douleur sous les coups redoublés du mondialisme.

    De fait, il y a une continuité idéologique entre la loi Taubira de 2001 et celle en faveur du mariage pour tous, continuité relevée par Bruno Gollnisch et qui porte le nom de logique communautariste, laquelle conduit à l’atomisation de la France au nom de la défense d’ « intérêts » particuliers. Il s’agit au nom d’une conception bien dévoyée de la politique et plus grave encore, de l’avenir de notre pays, de plaire à des clientèles communautaires dont le cercle de réflexion socialiste terra nova affirme qu’elles sont l’avenir électoral de la gauche

  • Galliano refait parler de lui: s'est-il déguisé en juif hassidique ?

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    sans-titre.png John Galliano  en juif hassidique.png

    La photo fait la Une du tabloïd américain, le "New York Post" : on peut voir le couturier John Galliano portant un manteau et un chapeau et des boucles de cheveux roulées sur les côtés, rappelant la tenue traditionnelle des juifs orthodoxes. Le quotidien dénonce un nouvel "affront" de l'ancien directeur artistique de Dior, congédié après avoir tenu, ivre, des propos antisémites à Paris en 2011.

    Même s'il est resté invisible à la Fashion Week de New York, le couturier John Galliano a de nouveau fait parler de lui mercredi, en raison d'une photo le montrant vêtu d'une tenue ressemblant, selon ses détracteurs, à celle portée par les juifs hassidiques.

    RTL INFO

  • Cavaillon: Charlotte, 14 ans, était-elle esclave chez un couple ?

     

     
    Cavaillon / Publié le jeudi 14 février 2013 à 16H41
     

    La jeune Ivoirienne affirme avoir été achetée dans son village près d'Abdijan

    Le couple où "travaillait" Charlotte est installé rue de la Brèche, en plein centre-ville de Cavaillon.
    Photo L.P.
    Le couple où "travaillait" Charlotte est installé rue de la Brèche, en plein centre-ville de Cavaillon.

    Hier, les policiers de Cavaillon dissimulaient mal une certaine stupéfaction après avoir mis fin à une affaire d'un autre âge. Pour eux, elle avait commencé à peine quelques heures plus tôt, mardi, en fin de matinée, lorsqu'une adolescente s'était présentée au commissariat.

    La jeune fille, âgée de 14 ans, et qui disait se prénommer Charlotte, expliquait qu'elle était Ivoirienne, qu'elle n'avait aucun papier et, surtout, qu'elle avait été achetée à sa famille pour être conduite en France et placée chez un couple cavaillonnais où elle servait de bonne à tout faire.

    Le Cavaillonnais qui l'aurait "achetée"

    En un mot comme en cent, c'est une jeune "esclave" qui venait de se réfugier à l'hôtel de police. Les policiers n'ont pas tardé à se présenter chez le couple -- un Ivoirien et une Française, parents de deux enfants en bas âge -- où "travaillait" Charlotte. Là ils ont assuré avoir pu vérifier les déclarations de la jeune fille. Selon l'adolescente, le Cavaillonnais qui l'aurait "achetée", se serait présenté au début de l'été dernier à Dabou, son village d'origine, tout près d'Abidjan.

    Et il aurait fait son "marché" dans sa famille, la choisissant pour qu'elle puisse s'occuper de la maison et des enfants. Courant septembre dernier, elle arrivait finalement en France. Au total, le Cavaillonnais aurait déboursé 4 500 € (3 M de F CFA) pour faire venir la jeune fille. Chez le couple, où elle n'était pas scolarisée, elle restait à la maison principalement pour s'occuper des enfants.

    Jugement le 15 mars

    Mais, selon ses dires, elle était régulièrement corrigée à coups de ceinture. C'est d'ailleurs à l'issue de l'une de ces corrections, cette fois administrée par un "ami" de son "patron", en fait un ressortissant togolais en situation irrégulière en France hébergé chez le couple, que la jeune fille a pris la fuite. Celle-ci, après avoir été entendue, a été placée dans un foyer de l'enfance à Avignon.

    Le Cavaillonnais présenté hier soir devant le tribunal d'Avignon pour violences volontaires, traite des êtres humains et aide et assistance à l'entrée d'étrangers en séjour irrégulier, a obtenu un délai pour assurer sa défense et ne sera jugé que le 15 mars. En attendant, il a été placé sous écrou. Il a tout de même eu le temps d'expliquer au juge qu'il n'avait jamais acheté l'adolescente mais l'avait au contraire sortie de son village pour qu'elle ait une éducation en France.

    Quant aux 4 500 €, ils n'auraient été payés que pour permettre à Charlotte de quitter son pays. Le prévenu a également assuré que c'est la jeune fille qui refusait la scolarisation. L'ami togolais sera également jugé en mars alors que la compagne du premier a été laissée libre.

    La Provence - 14/02/13

  • Des Identitaires occupent l’occupation d’une église en Autriche

    sans-titre.png Identitaires en Autriche.png

     

    13/02/2013 – 12h00
    VIENNE (NOVOpress) – Depuis décembre 2012 une cinquantaine d’immigrés clandestins musulmans occupent la Votivkirche (l’Eglise votive) à Vienne avec l’appui de groupes gauchistes et de Caritas (sa branche française est le Secours Catholique).

    Dimanche dernier, neuf jeunes gens du Identitäre Bewegung Österreich (Mouvement Identitaire Autrichien) ont à leur tour occupé (photo en Une) l’occupation de l’église pour protester contre l’immigration de masse et l’islamisation.

     

    Des Identitaires occupent l’occupation d'une église en Autriche

    Les immigrés clandestins occupant l’église. Cliquer sur l’image pour l’agrandir.

    Devant le risque d’affrontement de la part de groupes gauchistes et des immigrés, la police est intervenue et ces membres du groupe local viennois Wiens identitäre Richtung (WIR) – qui déclarent lutter “pour la préservation de leur identité” – ont quitté l’église.

    Selon l’APA (la plus importante agence de presse d’Autriche) – qui a fait étonnamment des dépêches au ton assez modéré -, Caritas et SOS Mitmensch (l’équivalent du SOS Racisme français) ont parlé d’une provocation délibérée. En tous les cas, avec peu de moyens et sans violences, cette action a eu un grand retentissement dans les médias autrichiens, ce qui n’est pas sans rappeler les actions des identitaires français dont les idées s’implantent avec succès en Autriche.

    Crédit photo en Une : Identitäre Bewegung Österreich, DR. Crédit photo dans le texte : Klaus Werner-Lobo, via Flickr (cc).

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Big Brother : l’UE va-t-elle financer des patrouilles sur Internet ?

      13 février 2013

    Par Ludovic de Danne, conseiller de Marine Le Pen aux Affaires européennes

    A l’approche des élections européennes de 2014, un article du Télégraphe britannique du 3 février dernier, et qui n’a été repris par aucun média français, révèle que le Parlement européen envisagerait de financer, à hauteur de 2 à 3 millions d’euros, des agents ou « trolls » afin de contrecarrer tout ce que des eurocritiques pourraient écrire sur Internet (sites, Twitter, Facebook, etc.).

    Ce journal sérieux aurait eu accès à des documents internes faisant état de propositions de dépenses, d’analyse et de planification, en vue d’une propagande sans précédent : “Une attention particulière doit être accordée aux pays qui ont connu une forte augmentation dans l’euroscepticisme”. L’UE “doit avoir la capacité de surveiller les conversations publiques” et “de comprendre les sujets tendances et avoir la capacité de réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente, à participer et à influencer la conversation, par exemple, en fournissant des faits et des chiffres afin de déconstruire les mythes“.

    Paul Nuttall, député de l’UKIP, a attaqué ces propositions, qui, selon lui, violent la neutralité de la fonction publique européenne en transformant des fonctionnaires en “trolls” afin de traquer sur Internet tout ce qui est considéré comme étant nuisible sur les réseaux sociaux.

    Ces documents ajouteraient : “La crise économique et financière actuelle, ainsi que des taux élevés de chômage, en particulier parmi les jeunes, se traduit par une diminution de la confiance dans les institutions européennes (…) il est évident que l’image de l’Union européenne souffre”. “Afin d’inverser la perception que – l’Europe est le problème -, nous avons besoin de communiquer que la réponse aux défis actuels … est – plus d’Europe et non moins d’Europe- “.

    Au final, ces documents confidentiels révélés par la presse britannique démontrent tout simplement que l’UE fédéraliste, mondialiste et ultralibérale, avoue qu’elle n’a pas assez de partisans, tant dans le virtuel que dans le réel. Il est de toute façon intolérable que celle-ci finance, avec des fonds publics, de faux internautes en vue de contrer la liberté d’expression populaire par un harcèlement idéologique en ligne.

    Front National 

  • Notre-Dame porte plainte contre les Femen

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    Rosace de Notre-Dame de Paris - XIIIème siècle

    Le recteur de la cathédrale a annoncé avoir déposé une triple plainte, mardi, contre les activistes féministes, qui avaient pénétré seins nus dans l'édifice religieux, pour "trouble de l'espace cultuel", "profanation" et "coups et blessures".

    Elles avaient voulu "fêter" à leur manière la démission de Benoît. Huit féministes du mouvement Femen avaient pénétré seins nus dans la nef de Notre-Dame de Paris, mardi, et avaient fait tinter avec des morceaux de bois trois des neuf nouvelles cloches qui y étaient déposées de manière provisoire. Des actes qui avaient scandalisé les visiteurs de la cathédrale et qui ont poussé Monseigneur Jacquin à déposer plainte. "Cette intrusion a été d'une violence inouïe et je pèse mes mots", a expliqué le recteur et archiprêtre de Notre-Dame à France 3 Ile-de-France.

    Il a indiqué avoir porté plusieurs plaintes, dès "mardi après-midi au commissariat du 4e arrondissement" : "une pour "trouble de l'espace cultuel", une autre pour "profanation" et une troisième pour "coups et blessures" sur les gens et les surveillants", a-t-il dit à Métro. "Un de nos surveillants a eu l'épaule démontée, un autre a fait un malaise après avoir été frappé", a-t-il détaillé.

    Si Bertrand Delanoë et Manuel Valls ont condamné l'action des Femen, Mgr Jacquin estime qu'ils sont exprimés bien trop tard : "J'ai trouvé scandaleux qu'à 20 heures, soit neuf heures après les faits, il n'y ait aucune réaction ou condamnation ni de l'Etat ni de la mairie de Paris". Le recteur de Notre-Dame espère que les huit jeunes femmes "seront condamnées" et "qu'elles participeront à la restauration de notre cloche Denis" de manière financière. Dans Le Figaro, il explique aussi que "la cloche Marcel" a reçu des coups "qui ont fait sauté la feuille d'or". Et il a bien l'intention d'obtenir réparation du "préjudice".


    TF1 - 13/02/13

     

     

     

     

     

     

  • La Fontaine Saint-Michel à Paris

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    L'Archange Saint Michel terrassant le Dragon

    Photo prise au flash le dimanche 10 février 2013 à 20h, le monument n'étant pas éclairé par les spots habituels. (Photo EB)