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  • Depardieu a exécuté lezghinka avec le président tchétchène

     

     
    25.02.2013, 20:58, heure de Moscou
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    Photo : RIA Novosti

    Gérard Depardieu, qui a obtenu la citoyenneté russe au début du janvier dernier, est devenu le citoyen d'honneur de la République tchétchène, a déclaré le chef de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov sur sa page d'Instagram.

    L'acteur était heureux de voir les ensembles de chants et de danses, qui se sont produits lors d'un dîner de gala dans la capitale tchétchène, Grozny. Pendant l'exécution de lezghinka, Depardieu ne pouvait pas rester assis et s’est livré à cette danse traditionnelle sous les applaudissements de l'auditoire.

  • Grenoble: Hugo, 11 ans, obligé de fuir son collège après deux violentes agressions

     

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    Hugo, 11 ans, a le sentiment d’être victime d’une double peine. Ce jeune Grenoblois, très violemment frappé dans son collège, a été contraint de quitter l’établissement alors que son agresseur, lui, continue à y être scolarisé. Scandalisés, les parents d’Hugo ont décidé de porter plainte contre le proviseur.

     
     

    En septembre, Hugo, élève de 6e du collège Stendhal de Grenoble (Isère), est agressé par un camarade de classe âgé de 12 ans. « Il m’avait prévenu : Je vais te taper, tu vas voir qui est le plus fort. Je t’attends à la sortie. J’étais allé voir la conseillère principale d’éducation. Elle m’avait dit qu’elle placerait des surveillants devant le collège. Mais il n’y avait personne lorsque j’ai été frappé », raconte Hugo.

    Une exclusion… mais assortie du sursis

    Ses parents signalent les faits à la police. De son côté, la direction du collège affirme qu’elle ne peut rien faire, l’incident s’étant produit à l’extérieur. Le 25 janvier, Hugo est la cible du même agresseur. A l’intérieur du collège cette fois. « Avec ses mains, il m’a serré au niveau de la trachée-artère. Il m’étranglait, je ne pouvais plus respirer. Je me suis évanoui. Il m’a donné des coups de poing et jeté dans les escaliers. J’aurais pu mourir », relate, encore traumatisé, le garçon. Le médecin qui l’a examiné conclut ainsi son rapport : « Traumatisme crânien avec perte de connaissance suite à une tentative de strangulation suivie d’une chute dans les escaliers. »

    L’enfant se voit délivrer une incapacité totale de travail de dix jours, prolongée jusqu’au 22 février. Ses parents portent plainte. Ils attendent une sanction exemplaire de l’Education nationale contre l’agresseur. Or, le 18 février, le conseil de discipline prononce à son encontre « une exclusion définitive » mais « avec sursis ». Cet élève reste dans l’établissement mais change juste de classe. « Il n’a même pas eu une heure de colle pour des faits aussi graves. C’est scandaleux », clame Véronique, la mère d’Hugo.

    Hors de question pour l’enfant de revenir au collège avec le risque de recroiser son agresseur. Ses parents décident donc, contraints et forcés, de le changer d’établissement. Hugo est écœuré : « J’ai dû partir alors que c’est moi qui me suis fait agresser. Je trouve cela injuste.»

    « Si, aujourd’hui, on inculque à nos enfants que l’on peut faire ce que l’on veut, sans être sanctionné, mais dans quelle société vit-on? » s’insurge son père. Les parents d’Hugo ont décidé de porter plainte contre le proviseur pour « manquement à la sécurité » et « mise en danger de la vie d’autrui ».

    Du côté du rectorat, on regrette le départ d’Hugo, mais on justifie l’absence d’exclusion contre son agresseur : « Nous sommes dans le domaine de l’accompagnement de mineurs. Il convient de donner au jeune agresseur une chance pour le futur et qu’ayant pris conscience de ce qui s’était passé il ne renouvelle pas ce genre d’exaction », explique le directeur de cabinet du recteur.

     

    Le Parisien - 25/02/13

    NdB: Maintenant ce sont des "Chances Pour le Futur"!

  • Enfants adoptés: à 14 ans, il viole sa soeur de 10 ans qui tombe enceinte...

    Le parquet d’Avignon doit ouvrir demain une information judiciaire pour un viol entre enfants adoptés commis en Ardèche, dans un village proche de Valence (Drôme).

    L’enfant mis en cause est suspecté d’avoir abusé de sa sœur, autiste et âgée d’environ 10 ans selon nos informations recueillies auprès du parquet d’Avignon. Le garçon en aurait seulement 4 de plus. Tous deux sont originaires de Madagascar, et ont été adoptés par une famille ardéchoise.

    La victime présumée est tombée enceinte : elle a été contrainte à un avortement thérapeutique. Les tests ADN ont identifié le jeune garçon comme étant le père, et il a été placé en garde à vue.

    Le pôle de l’instruction d’Avignon est saisi de l’enquête, compétent pour les affaires criminelles du ressort de l’Ardèche.

     

    par J.G. le 21/02/2013 à 21:04
     
    ledauphine.com
  • Une commission d'enquête sur la mort d'Arafat Jaradat

    sans-titre.png Arafat  Jarabat.png

    Arafat Shaheen Jaradat, 30 ans, père de deux enfants, est mort samedi dans la prison de Megiddo dans le nord d’Israël, d’un arrêt car­diaque selon les auto­rités israé­liennes. C’est le sixième mort enre­gistré dans cette prison.

    S’agissant d’un homme jeune, en bonne santé et en garde à vue depuis son arres­tation le 18 février, sa mort est plus que sus­pecte. Accusé d’appartenance au Fatah et de par­ti­ci­pation à la résis­tance popu­laire, il avait été arrêté à la suite de heurts avec les colons hyper vio­lents de Kyriat Arba près d’Hébron.

    Transféré en Israël après son arres­tation, en vio­lation de la 4ème convention de Genève, il y était interrogé par le Shin Beth dans les condi­tions qu’on imagine.

    L’AFPS dénonce avec force la vio­lence ins­ti­tu­tion­na­lisée de la poli­tique car­cérale des auto­rités israé­liennes dans le but de briser la résis­tance de toute une société. Elle s’associe à la demande d’une Com­mission d’enquête inter­na­tionale pour faire la lumière sur les condi­tions de cette mort. Le gou­ver­nement français, alerté depuis long­temps sur les condi­tions d’enfermement des pri­son­niers poli­tiques pales­ti­niens, doit fer­mement appuyer cette exigence.

    Il doit sans attendre tirer, comme il l’a fait pour d’autres pays, toutes les consé­quences de ces vio­la­tions sys­té­ma­tiques des droits de l’homme et des Conven­tions inter­na­tio­nales par les auto­rités israéliennes.

    Aujourd’hui est un jour de deuil et de révolte dans les prisons où 3000 pri­son­niers com­mencent une grève de la faim. Nous sommes à leurs côtés. Il faut lever le voile sur les condi­tions d’arrestation et de détention des pri­son­niers. Le mur du silence doit être brisé.

    Nous appelons à ren­forcer la cam­pagne de par­rainage des pri­son­niers palestiniens.

    La résistance ne sera pas brisée par la répression !

    Bureau national AFPS

    Paris le 24 février 2013

    http://www.france-palestine.org/Une-commission-d-enquete-sur-la

    ALTERINFO. NET

  • Sondage: l'Europe, on n'y croit plus !

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    C’est un sondage qui fera certainement mal au cœur à tous ceux qui défendent encore ardemment l’idée européenne. Alors que la économique s’accroît et que les plans d’austérité se succèdent dans les 27 pays de l’UE, les Français n’ont jamais été aussi désenchantés vis-à-vis de l’institution bruxelloise.

     

    Ils sont seulement 38% à considérer la construction européenne comme une source d’espoir, selon une exclusive BVA réalisée pour l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris*). Alors qu’ils étaient 50% fin 2011 et même 61% en 2003!

    Qui connaît son ?

    Une dégringolade qui touche surtout les catégories les plus modestes. Car une fracture nette se dessine entre les « gagnants » de la construction européenne (cadres, seniors, urbains, hauts revenus…) et ceux qui se considèrent comme les « perdants » (ouvriers, employés aux revenus modestes, ruraux). L’Europe, qui se voulait protectrice face aux dangers de la mondialisation, est désormais vécue comme une entité anxiogène. D’ailleurs, les Français s’accordent massivement — ils sont 75%! — pour considérer que l’UE a été inefficace ces dernières années. Un constat qui peut paraître sévère au vu des plans successifs d’aide pour sauver la Grèce de la faillite ou des instruments de régulation mis en place comme le mécanisme d’union bancaire.

    Incapable de se mettre d’accord pour aider la France engagée contre les jihadistes au Mali, l’Europe n’est guère incarnée au niveau politique. Qui connaît son président, le Belge Herman Van Rompuy? Ou celle qui est censée incarner la politique étrangère de l’Union, la Britannique Catherine Ashton? Evidemment, cela n’aide pas…

    Sondage réalisé les 14 et 15 février 2013 auprès de 1069 personnes pour l’Iris, en collaboration avec notre journal.

    Le Parisien  

  • Décès d'un prisonnier palestinien: Israël est accusé de l'avoir torturé à mort

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    Le ministre palestinien des Prisonniers a affirmé, dimanche, que le détenu palestinien mort samedi dans une prison israélienne est décédé à la suite de tortures. Une accusation qu'il fonde sur l'autopsie du prisonnier, à laquelle un médecin palestinien a assisté.

    Le détenu palestinien décédé samedi dans une prison israélienne est mort à la suite de "tortures", a affirmé dimanche le ministre palestinien des Prisonniers, Issa Qaraqaë, après l'autopsie à laquelle a participé un médecin palestinien. Les résultats de l'autopsie d'Arafat Jaradat, 30 ans, "prouve qu'Israël l'a assassiné", a déclaré M. Qaraqaë lors d'une conférence de presse à Ramallah, en Cisjordanie. Au même moment, 3000 détenus palestiniens observaient une journée de grève de la faim pour protester contre la mort d'Arafat Jaradat.

    L'autopsie a montré des fractures sur tout le corps et des contusions au visage de la victime, résultant de tortures, a précisé M. Qaraqaë, en citant le docteur palestinien qui a pris part à l'expertise, ajoutant que la condition cardiaque d'Arafat Jaradat était bonne.

    Les autorités israéliennes ont attribué son décès "probablement" à une crise cardiaque. Selon le Shin Bet, le service de la sécurité intérieure israélien, qui l'interrogeait pendant sa détention, le jeune homme a été "victime d'un malaise" et est décédé samedi après le déjeuner dans la prison de Megiddo (nord d'Israël).

    Arafat Jaradat, originaire d'un village de la région d'Hébron (sud de la Cisjordanie), avait été arrêté le 18 février pour être interrogé par le Shin Bet à la suite de heurts près de la colonie de Kiryat Arba, à proximité d'Hébron, au cours desquels un Israélien avait été blessé le 18 novembre 2012. Il doit être enterré lundi près d'Hébron.

  • Valence: quatre étudiants de 21 à 24 ans sauvagement agressés

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    Les coups portés ont été d’une rare et d’une extrême brutalité. Un déchaînement de violence commis par deux jeunes hommes âgés d’une vingtaine d’années, et qui a fait quatre victimes. Quatre étudiants de l’École régionale des Beaux-arts de Valence, qui ont été sérieusement blessés jeudi en début d’après-midi.

    Il est 13 heures quand les quatre étudiants, un jeune homme âgé de 21 ans et trois jeunes femmes de 21, 22 et 24 ans, patientent à l’arrêt de la rue Georges-Bizet dans le quartier Fontbarlettes, avant de prendre leur bus.

    Les quatre jeunes gens sont rapidement abordés par deux individus qui leur demandent des cigarettes. C’est à partir de là, que le cauchemar des quatre étudiants va débuter.

    De 20 à 45 jours d’ITT

    Manifestement sans raison, les deux agresseurs vont s’acharner sur le jeune homme. Ils lui portent de violents coups de poing et de pied. Des coups qui ne cessent de pleuvoir alors que leur victime s’effondre au sol.

    Une de ses camarades, qui s’écarte de la “scène” pour tenter de prévenir la police, est rattrapée par les cheveux et est également rouée de coups.

    Les deux autres sont à leur tour violemment frappées alors qu’elles veulent porter secours au jeune homme à terre.

    Ces deux jeunes filles sont par ailleurs dépouillées de leur téléphone portable.

    L’arrivée d’un bus, dans lequel les quatre étudiants vont trouver refuge, va enfin mettre un terme à ce déchaînement de violence. Même si des menaces sont encore proférées à leur encontre.

    Les quatre victimes ont été prises en charge par le centre hospitalier de Valence. Le jeune homme s’est vu délivrer 45 jours d’incapacité totale de travail, l’étudiante qui a tenté d’alerter les secours a 30 jours d’ITT et les deux autres, 20 jours d’ITT.

    Depuis jeudi après-midi, les policiers valentinois, qui ont ouvert une enquête pour “vols avec violences en réunion” multiplient leurs investigations pour identifier ces deux jeunes agresseurs.

     

    par Thomas ZIMMERMANN le 23/02/2013 à 06:02
     
     
    ledauphine.com
  • Benoît XVI a "répondu à la volonté de Dieu" en renonçant

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    CITE DU VATICAN (Reuters) - Pour sa dernière bénédiction du dimanche avant de renoncer à ses fonctions, le pape Benoît XVI a déclaré qu'il obéissait à la volonté de Dieu et qu'il n'abandonnait pas l'Eglise catholique.

    Le pape, qui s'est exprimé devant des milliers de fidèles rassemblés place Saint-Pierre, a déclaré qu'il continuerait à servir et aimer l'Eglise par la prière et la méditation après son départ, prévu jeudi.

    "Dieu m'a demandé "d'escalader la montagne", de me consacrer encore plus à la prière et à la méditation", a-t-il dit parlant d'une voix ferme tandis que les fidèles l'acclamaient aux cris de "Longue vie au pape".

    "Cela ne veut pas dire que j'abandonne l'Eglise, a-t-il ajouté.

    "En fait, si Dieu me demande cela, c'est précisément parce que je peux continuer à la servir avec le même dévouement et le même amour dont j'ai fait preuve jusqu'à présent", a-t-il dit, précisant qu'il continuerait à servir l'Eglise d'une façon qui correspond plus à son âge et à ses forces.

    Le dernier Angelus du pape a été vécu par la foule avec des sentiments mitigés. "C'est une émotion douce-amère", a confié Sarah Ennis, une Américaine de 21 ans venue du Minnesota étudier à Rome.

    "UN VENT MAUVAIS"

    "C'est amer, parce que nous aimons notre pape et nous n'aimons pas le voir partir, mais c'est aussi doux parce qu'il part pour une bonne raison et que nous attendons avec impatience de connaître le nouveau pape", a-t-elle ajouté.

    Pour d'autres, en revanche, la renonciation de Benoît XVI augure de lendemains difficiles pour l'Eglise catholique.

    "C'est un vent mauvais qui souffle", estime Marina Tacconi, une sage-femme. "C'est comme si quelque chose de mauvais risquait d'arriver. J'ai 58 ans. Des papes, j'en ai vu passer et partir, mais je n'en ai jamais vu démissionner. Je ne trouve pas que ce soit une bonne chose."

    Benoît XVI tiendra sa dernière audience générale mercredi sur la place Saint-Pierre et rencontrera les cardinaux jeudi matin avant de démissionner.

    La papauté sera vacante jeudi à 20h00. Les cardinaux commenceront à se concerter le jour suivant pour préparer le conclave, qui devrait débuter mi-mars.

    Benoît XVI se rendra dans un premier temps à Castel Gandolfo, la résidence d'été des papes, au sud de Rome. Il se retirera ensuite en avril dans un couvent au sein du Vatican, une fois la rénovation des bâtiments achevée.

    Philip Pullella et Naomi O'Leary; Danielle Rouquié et Hélène Duvigneau pour le service français, édité par Pascal Liétout

    Le Point - 24/02/13

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  • Dieudonné à Bordeaux : la Fondation du Mémorial de la traite des noirs dénonce « l’hypocrisie » de la Licra

     

    Le conflit déclenché par la Licra contre la venue de Dieudonné à Bordeaux prendrait-il un aspect communautaire ? Dans un communiqué de presse, l’association fondée par Karfa Diallo (photo) critique vivement la position de la Licra et « s’engage à soutenir ce spectacle ».

    « Ni raciste, ni antisémite, Dieudonné est fidèle à une tradition humoristique bien établie en France de Coluche à Desproges. La Fondation du Mémorial de la traite des noirs dénonce l’hypocrisie de certains acteurs politiques et associatifs locaux, toujours prompts à défendre des causes complètement déphasées tandis qu’ils assistent sans broncher au piétinement de la mémoire des africains et de leurs descendants à Bordeaux. »

    L’humoriste Dieudonné présentera son nouveau spectacle Foxtrot le jeudi 4 avril 2013 à 20h30 à la Patinoire Mériadeck.

    E&R

  • Les FEMEN veulent empêcher Berlusconi de voter

     

     
    24.02.2013, 19:44, heure de Moscou
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    Italie : nues, elles veulent empêcher... par BFMTV

    L'Italie mène le scrutin ce dimanche et lundi prochain pour une nouvelle composition des deux chambres du parlement. Le chef du parti gagnant sera chargé de former le gouvernement.

    Dès que Berlusconi est apparu dans le bureau de vote, trois étrangères se sont déshabillées à mi-corps en criant « Basta, Berlusconi ». Les agents des forces de l'ordre les ont arrêtées. Probablement, deux Ukrainiennes et une Française ont participé à cette action .

    La Voix de la Russie

  • Les policiers Cyrille et Boris sont morts parce que Traoré était en liberté, Madame Taubira !

     

     

    Cette fois, on va voir ce qu’on va voir !

    Manuel Valls est sur le coup, il s’est déplacé jusque dans les locaux de la BAC pour rendre hommage « avec émotion » aux deux policiers tués ce matin sur le périphérique parisien par un chauffard multirécidiviste bourré et roulant sans permis, accompagné dans son forfait meurtrier d’un complice de la même trempe.

    Ayrault et Hollande n’étaient pas en reste et nous ont sorti eux aussi le grand couplet sur leur « profonde émotion ». Il faut dire que ça ne leur coûte pas cher et en plus, coup de bol, ça ne tombe même pas pendant leurs vacances.

    Les deux chances pour la France, Malamine Traoré et son copain Mehdi Bensassou, vont bien se prendre deux mois de sursis dans les dents, assortis d’un travail d’intérêt général d’une semaine, Taubira refusant désormais de mettre en prison les malheureux coupables, en raison du caractère peu sûr des lieux pénitentiaires.

    Malamine, victime de la société française raciste, nauséabonde et colonialiste, est déjà une star dans son commissariat puisqu’il n’en est pas à son coup d’essai. En effet, à 22 ans il s’est déjà illustré par de multiples vols et trafics en tous genres, et a déjà été condamné cinq ou six fois pour des délits routiers assortis pour certains d’état d’ébriété avancé. Il faut dire pour sa défense que n’étant pas titulaire du permis, il n’a pu bénéficier des cours de conduite et des conseils avisés d’un moniteur d’auto-école, ce qui toutefois ne l’a pas empêché de se payer la location d’un Range Rover de luxe, à faire pâlir d’envie des clients bobos des boutiques bios branchées de Neuilly.

    Pour ceux qui se demanderaient bêtement comment le bonhomme a pu louer le véhicule sans présenter de permis, c’est tout simplement parce que la société de location « faisait l’objet d’une enquête », suite à un contrôle effectué en 2012 sur une voiture de luxe conduite par un conducteur qui n’avait officiellement pas les moyens de la louer… Autrement dit, un dealer ne sachant pas blanchir correctement de l’argent sale, mais bénéficiant certainement d’aides diverses de l’Etat. Pour faire simple.

    C’est donc deux policiers, Cyrille et Boris, âgés respectivement de 40 et 32 ans, qui ont perdu la vie à cause de l’irresponsabilité de notre gouvernement à faire appliquer des peines à la hauteur des délits, et de son incapacité à faire régner l’ordre dans notre pays, mais à cause aussi de juges inconscients dont le rôle aujourd’hui ne consiste plus qu’à parodier un semblant de justice face aux racailles dominantes, tellement ils répugnent à les faire payer et à les punir.

    Le résultat en est qu’à cause de ce système perverti et fissuré jusqu’au trognon taubiresque, deux familles sont en deuil et une autre famille reste suspendue à la vie d’un troisième policier, actuellement dans un état critique.

    Le Parisien, qui rate rarement une occasion de faire de l’humour, croyait bon de nous préciser ce matin que le criminel n’aurait pas freiné avant de percuter le véhicule des policiers, comme si ce genre d’individu pouvait avoir la même conscience morale que nous autres, les éduqués, roulant avec un permis dûment acquis et inquiets de perdre le moindre point. Comme si Traoré n’avait pas au contraire appuyé sur le champignon, juste pour s’en payer une bonne tranche et frimer de son palmarès devant ses potes. Car on imagine sans peine que pour lui, la mort de flics ça le fait sûrement bien triper. Le fait est que l’engin roulait à 150km/h, autant dire que le bilan aurait pu être encore plus lourd.

    Le canard semblait déplorer surtout les bouchons que tout cela avait occasionné et l’obligation pour les usagers de devoir sortir du périph. Oui c’est sûr, c’est fâcheux…

    Il faut croire que la magistrature a donné pleinement sa bénédiction à Traoré de s’être lâché ce matin, puisque malgré des précédents similaires il pouvait encore se pavaner dehors, libre, conduisant un 4×4 qu’un salarié ordinaire ne pourrait se payer, faisant des bras d’honneur à la société si bienveillante et indulgente à son égard, ricanant de notre respect des lois alors qu’il y a longtemps qu’on n’a plus rien à y gagner mais tout à y perdre, et touchant vraisemblablement des subsides offerts par nos bons soins pour compléter quelque lucratif trafic.

    Un commentaire dans Libé attire l’attention des lecteurs puisque son auteur s’interroge sur la possibilité de rapprocher cet événement tragique avec un incendie criminel qui a eu lieu dans une boite de nuit parisienne, l’Arc, située près de l’Arc de Triomphe, où deux personnes auraient été vues lançant un projectile incendiaire sur le bâtiment. Bien entendu, ce n’est qu’une hypothèse, ce ne sont pas les Traoré et autres Vladimir qui manquent par ici…

    Notre société ne peut plus accepter de tels agissements. Il n’est plus tolérable que des multirécidivistes soient remis en liberté et nuisent au peuple, a fortiori quand ce peuple les a accueillis sur son sol pour leur permettre d’acquérir une vie meilleure. Il n’est pas question que la vie des nouveaux venus se fasse au détriment de la nôtre. Les délinquants étrangers ou naturalisés n’ont pas vocation à venir nous pourrir la vie, à venir tuer nos familles, à rester impunis et libres quand des policiers, des pompiers, des militaires, ou des citoyens ordinaires se retrouvent à six pieds sous terre. Non seulement Traoré doit purger sa peine en prison, mais il devrait aussi être renvoyé chez lui pour la purger, afin que le poids de son entretien ne nous incombe pas en plus de nous avoir privés des nôtres.

    Mort de 2 policiers 21 fév 2013 par Malamine Traoré

    Les policiers n'ont eu aucune chance

    Les policiers n’ont eu aucune chance

    Quant à ce gouvernement pathétique et fantoche, s’il ne veut pas se prendre une magistrale raclée par le peuple, il a plutôt intérêt à changer son fusil d’épaule et à se souvenir que c’est le peuple qui vote, que la colère gronde dans toutes les couches de la société et que nous refusons de nous laisser trucider sans réagir.

    Maintenant, si la tâche de gouvernance est trop lourde à porter pour ses membres pétochards, il a encore la possibilité de déclarer forfait en nous laissant l’opportunité de revoter, on ne lui en voudra pas, bien au contraire.

    Caroline Alamachère

    RIPOSTE LAÏQUE

  • Nigeria: l'offense faite aux otages. Au nom de quoi et de qui parlait Kader Arif , ministre délégué aux Anciens Combattants ?

    Lire l'article: http://metamag.fr/metamag-1185-Nigeria---l’offense-faite-aux-otages-Mais-au-nom-de-quoi-et-de-qui--parlait-Kader-Arif--.html

    + Photos et carte

    Il annonce la libération des otages, dont quatre enfants, enlevés dans un parc animalier, mais l'information est FAUSSE! Il ne l'a pas vérifiée. Les otages sont toujours aux mains de leurs ravisseurs...

  • Le "plan banlieues" de Jean-Marc Ayrault

    Le gouvernement a assuré mardi que l'Etat était "de retour" en banlieue et annoncé une série de mesures qui, faute de marge de manoeuvre budgétaire, visent surtout à mieux orienter les moyens existants vers les quartiers en difficultés.

    "L'Etat est de retour dans les quartiers. L'Etat républicain est de retour, celui de l'égalité", a déclaré le Premier ministre Jean-Marc Ayrault à l'issue d'un Comité interministériel des Villes (CIV), qui a rassemblé 20 ministres à Matignon.

    >> A lire aussi - Pourquoi le Qatar dépense des millions pour les banlieues françaises

     

    1.000 quartiers prioritaires

    Parmi les 27 propositions formulées mardi, certaines se détachent, comme celle de la délimitation de 1.000 quartiers prioritaires. Aujourd’hui, l’argent est saupoudré sur 2.500 quartiers en difficulté ce qui, selon le gouvernement, entraîne une trop grande dilution des moyens. Pour sélectionner ces zones, les experts gouvernementaux ont choisi un critère : à savoir le nombre de foyers en dessous du revenu médian des foyers français.

    Mais contrairement au plan mis en place sous Nicolas Sarkozy, aucun crédit spécifique ne sera alloué. A la place, une réorientation des dépenses publiques, ministère par ministère, devra être mise en œuvre.

    2.000 emplois "francs" dans dix villes

    Plusieurs mesures portent également sur la lutte contre le chômage : ainsi, 30% des 150.000 emplois d'avenir seront réservés aux jeunes de 16 à 25 ans.

    Par ailleurs, 2.000 emplois francs seront expérimentés dans dix villes pilotes telles Amiens, Marseille ou encore Grenoble. Ces emplois prévoient une subvention de 5.000 euros pour l’embauche d’un jeune issu d’un quartier sensible, qu'il soit diplômé ou non.

    L'encadrement scolaire sera également renforcé dans ces zones.

    >> A lire aussi - L'Etat va subventionner 2.000 "emplois francs" en 2013

     

    Pas de "plan Marshall"

    le gouvernement n'a pas l'intention de lancer "un plan Marshall des banlieues" ni "un plan de sauvetage miraculeux imaginé dans un cénacle ministériel", a martelé Jean-Marc Ayrault.

    Les 27 mesures adoptées mardi, préparées depuis des mois par le ministre délégué à la Ville François Lamy en concertation avec les acteurs du secteur, se font d'ailleurs à budget constant.

    Ainsi, aucun chiffre n'est donné pour la poursuite de la rénovation urbaine, bien que le CIV entérine le lancement d'une nouvelle génération d'opérations, promesse de campagne de François Hollande.

    BFMTV - 23/02/13

    NdB: Le Premier ministre ne semble pas être au courant de l'économie parallèle du trafic des stupéfiants qui rapporte d'énormes bénéfices aux jeunes dealers! Vit-il dans un monde déconnecté de la réalité des "quartiers"?

  • Enfants égorgés à Dampmart : un proche de la mère témoigne [Document BFMTV]

    "Quand j'ai vu Philomène, je ne l'ai pas reconnue". Au micro de BFMTV, ce proche de la mère de famille interpellée vendredi après-midi à Paris, puis hospitalisée ce samedi, après que ses trois enfants ont été retrouvés égorgés au domicile familiale de Dampmart (Seine-et-Marne), confie son étonnement.

    "Elle a expliqué que son mari la tapait"

    "Quand je suis rentré chez mon frère, j'ai trouvé Philomène là-bas", raconte-t-il, assis dans un café de la capitale. "Quand je l'ai vue, je ne l'ai même pas reconnue tellement elle était dégradée. Elle était en train de pleurer et elle n'arrêtait pas d'expliquer qu'on la tapait, que son mari la tapait (...). Je n'ai rien compris", poursuit-il.

    Et d'expliquer : "C'est une femme très très gentille, très généreuse, qui n'a pas de problèmes, qui n'est pas violente. Vraiment, ça m'a surpris".

    Problèmes d'alcool

    Vendredi, des voisins de cette famille décrite comme "sans histoires", avaient eux aussi évoqué une femme "adorable" et "toujours souriante".
    Agée de 40 ans, cette mère de famille , prénommée Philomène, avait été recherchée par la police, vendredi, après que ses trois enfants de 9, 11 et 17 ans ont été découverts égorgés au petit matin par leur père, dans la maison familiale de Dampmart, en Seine-et-Marne.

    >> A lire aussi : Triple homicide en Seine-et-Marne : l'énigme demeure


    Elle avait finalement été retrouvée et interpellée dans l'après-midi, chez des proches, dans le 20e arrondissement de Paris, géolocalisée grâce à son téléphone portable.
    Elle aurait, selon une source judiciaire, des problèmes d'alcool. Des voisins, interrogés vendredi par BFMTV, avaient évoqué un couple en instance de divorce, en désaccord au sujet de la garde des enfants.

    Samedi, à l'issue d'un examen psychiatrique, la mère de famille, d'origine sénégalaise, a été hospitalisée d'office. Une marche blanche a été organisée à Dampmart ce samedi après-midi, en mémoire des trois enfants.

  • Révisionnisme autorisé

     

    Petite note sur la fausse "Maison des esclaves de Gorée"

    Cette histoire de maison des esclave de Gorée a été inventé par Pierre André Cariou, médecin chef breton de la marine française dans les années 1950.

    Il n’a pas cherché à la falsifier, mais a émis des suppositions, qu’il a intégrées dans un roman historique non-édité Promenade à Gorée (manuscrit disponible à la BNF Mitterand) et dans le circuit touristique qu’il proposait aux rares touristes de l’île de Gorée ; souvent des amis et familles qui venaient visiter les marins militaires français hospitalisés à l’hôpital de la Marine.

    À l’origine de ce qui allait devenir la plus importante escroquerie mémorielle de l’histoire, un petit garçon qui servait de « boy » à Cariou, l’adolescent Joseph N’Diaye.

    Joseph N’Diaye devenu adulte prit la suite de Cariou dans les années 1970. Dans les années 1980 sorti le film Racine avec la figure inoubliable de « Kounta Kinté » l’Africain ; les Américains noirs, qui vivaient souvent une sorte d’amnésie volontaire quant à leurs souffrances passées, furent pris d’une envie légitime de retourner voir mama africa.

    Lire la suite de l’article sur huffingtonpost.fr

    E&R

  • Hollande à un enfant: " Sarkozy ? Tu ne le verras plus"

     

    Nicolas Sarkozy pourrait-il revenir en politique ? Le doute était de mise auprès de ses amis cette semaine, mais François Hollande ne semble pas y croire, si on se fie à ses déclarations lors de son passage au Salon de l'agriculture, samedi 23 février.

    Lors de la discussion, un enfant souligne qu'il n'avait vu François Hollande que "dans la télé". Le président plaisante un moment sur le fait que c'est "mieux en vrai", puis un autre petit assure qu'il n'a "jamais vu Nicolas Sarkozy". "Ah ben, tu ne le verras plus", répond du tac au tac François Hollande, déclenchant les rires de ses proches dans l'assemblée.

    C'est sur Twitter que les opposants à la majorité ont réagi. Le député de Seine-et-Marne Yves Jégo a qualifié le président de "présomptieux" tandis que le sénateur des Hauts-de-Seine, Roger Karoutchi a commenté : "Outre la hauteur de vue, l'élégance, c'est la méthode Coué :' non il ne me battra pas en 2017.'"

    Francetv info - 23/02/13

     

  • Bordeaux: le spectacle de Dieudonné sera-t-il interdit comme le demande la LICRA ?

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    Lire l'article: http://www.sudouest.fr/2013/02/23/dieudonne-la-mairie-reflechit-975655-2780.php

  • A Paris, un rabbin de 55 ans mis en examen pour avoir tu des agressions sexuelles sur mineurs

     

    A , un rabbin de 55 ans a été mis en examen jeudi pour «non dénonciation d'atteintes sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans.» Selon RTL qui révèle l'information, ce rabbin, directeur d'une école juive orthodoxe, avait été alerté par des parents d'élèves dont les enfants auraient subi des attouchements commis par un surveillant.                                       

    Mais il n'aurait rien fait.

    L'affaire a commencé l'été dernier à l'école pour garçons Beth-Hanna dans le XXe arrondissement, lorsqu'un couple de parents raconte au directeur que leur fils aurait été agressé sexuellement par un des surveillants de l'établissement. Puis d'autres jeunes enfants racontent les mêmes scènes avec la même personne. Sauf que le rabbin, membre de la communauté Loubavitch, ne veut rien entendre. Il ne dénonce pas les faits à la police et tente de convaincre les familles de se taire également, alors que certaines veulent porter plainte.

    Mais une famille va quand même parler à la police, ce qui va conduire à l'arrestation en novembre du surveillant par la brigade de protection des mineurs de la PJ parisienne. Le Rabbin, lui, est soupçonné de n'avoir rien fait pour protéger ses élèves.

    Des faits «très fermement condamnés»

    Le Grand rabbin de , Gilles Bernheim, a indiqué suivre les deux dossiers «avec vigilance car il attache la plus haute importance à la protection de l'enfance. Il condamnera avec la plus grande fermeté les agissements délictueux qui seraient établis par la justice», ont ajouté ses services dans un communiqué.

    De son côté, Haïm Nisenbaum, porte-parole du mouvement juif orthodoxe Beth Loubavitch, dont dépend l'école Beth Hanna, a condamné «très fermement» les faits reprochés au surveillant, et indiqué que ce dernier avait été mis à pied par le directeur, puis licencié. «Le directeur n'a pas jugé nécessaire de porter plainte au nom de l'école parce qu'il s'était entretenu avec des familles qui le faisaient. Il n'a pas voulu en rajouter, a -t-il déclaré. C'est une décision qu'il a prise seul. Légalement, il a sans doute eu tort, mais c'était une attitude plus morale que légale. Il n'a en aucune façon tenté de dissuader les familles, il n'y a aucune volonté de cacher quoi que ce soit.»

    LeParisien.fr 22/02/13