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  • BHL. La philosophie de l’imposture

     

     
    19.02.2013, 17:29, heure de Moscou
           

    французский журналист философ Бернар-Анри Леви франция

     
    Photo : EPA

    C’est avec une virulence inégalable que Socrate combattait les sophistes. Et il le paya très cher, car, tout compte fait, ce n’est pas Protagoras qui dut boire de la cigüe, mais bien Socrate dont les idées furent subtilement falsifiées. Certaines tendances exégétiques ont tendance à voir en Socrate une préfiguration christique dans la mesure où, certes, il s’agissait d’un martyr de la vérité prêt à périr au nom de ses convictions.



     

    Cette facette du personnage a quelque chose de fabuleux puisque, comparé aux moultes thèses philosophiques que l’on nous fait ingurgiter durant les années lycée et qui s’évaporent tout de suite après l’obtention du BAC, celle-ci reste longtemps gravée dans la mémoire.

    Les époques passent, la philosophie reste. Simplement, on ne l’écoute plus. Ou on ne l’entend plus. C’est la sophistique qui a eu le dernier mot. Protagoras, une fois de plus, a gagné. Qui est ce nouveau Protagoras qui, allant plus loin que son lointain prédécesseur, s’évertue à faire de soi, d’Israël dont il se réclame explicitement, la mesure de toute chose ? Mais bien sûr, il s’agit de cette star presque douée du don d’ubiquité qu’est M. Bernard Henri Lévy.

    Brillant à sa façon, beau parleur, « aristocrate sans noblesse ou ignoble » comme l’a désigné Alain Soral lors d’un énième accès de franchise, BHL sert les intérêts non pas directement d’Israël, car, en aucun cas, je ne voudrais insinuer cet amalgame, mais bien ceux du lobby sioniste. Il s’y dévoue corps et âme, jusqu’à se réfugier, quand besoin est, dans le déni de l’évidence ou dans des discours évasifs que n’importe quel littéraire à la langue déliée pourrait tenir.

    Pour en avoir une représentation plus détaillée et plus vive, je vous encourage à consulter une vidéo postée il y a à peu près deux semaines de là sur youtube par des membres de l’UPR (Union pour la République). Elle est intitulée de la façon suivante : François Asselineau déstabilise BHL et lui propose un débat.En fait, c’est Erick Mary, secrétaire National à la Coordination (UPR), qui lance un défi à Lévy lors d’une espèce de conférence fermée où l’UPR semble s’être invitée d’elle-même. Voici donc ces deux questions insidieuses qui donnèrent tant de peine à BHL :

    - Est-ce que dans une démocratie, aujourd’hui, il doit y avoir des sujets tabous ?

    - Pourquoi est-ce qu’il n’y a aucun eurosceptique sur ce plateau pour débattre avec vous ?

    Le spectacle commence là. Passant outre à ces deux questions, BHL nous abreuve d’élucubrations délayées fondées sur l’idée diffuse d’une UE qui est « chimère », « immense utopie » mais qui, bien malheureusement, se retrouve banalisée par ses détracteurs. Ce qui chiffonne d’emblée, ce sont les termes employés par BHL pour caractériser l’Empire qu’il défend. Une chimère, dit-il. Une utopie, renchérit-il. Je crois qu’il y a une profonde contradiction avant tout lexicale, puisque, dans les deux cas, nous avons affaire au mythe, au degré d’existence réelle zéro. Il n’y a par conséquent rien à banaliser. Suivent des arguments hallucinants : M. Lévy évoque l’exemple de deux jeunes filles présentes sur le plateau dont le français, d’une qualité irréprochable, l’a manifestement frappé puisque ces demoiselles n’étaient pas françaises. Elles étaient espagnoles. Grand bien leur fasse, moi j’appelle ça du bilinguisme. BHL pousse ses fantaisies à bien plus loin, établissant une synonymie directe entre bilinguisme et européisme. Ce sont, répète-t-il, des « européennes nées » qui, fortes de cet européisme inné, n’ont pas conscience des faiblesses de l’Europe. Et c’est reparti de plus belle ! L’Europe est un « combat », un combat tout comme l’est la démocratie, un combat qui pourrait être perdu si, par exemple, Berlusconi revient au pouvoir lui qui, ô grand vilain, « prétend qu’il n’y avait pas que du mauvais dans Mussolini ». J’ai beaucoup apprécié la riposte de M. Mary qui a pointé le doigt sur les défilés des anciens Waffen-SS en Lettonie, thématique curieusement laissée de côté par Lévy dans ses discours anti-fachos et pourtant, je crois qu’il y a beaucoup à dire là-dessus.

    Et maintenant, trêve de balivernes. Mettons-nous à l’évidence. Notre héros se moque éperdument des Waffen, car, il ne faut pas l’oublier, le fascisme se sert sous différentes sauces et l’une de ces sauces se prépare à petit feu aux antichambres d’Israël, c’est-à-dire aux USA via les états membres de l’OTAN qui font le sale boulot. Allez donc consulter le site de BHL et vous y verrez, en guise de devise, cette thèse qui, quoique polysémique, révèle parfaitement la personnalité du personnage si on la remet dans son contexte initial : « L’art de la philosophie ne vaut que s’il est un art de la guerre ». L’art du meurtre, car, qui dit A, devrait dire B.

    Cette guerre, ostentatoirement offensive, ostentatoirement parasitaire qui est menée sous l’égide du lévyisme, on la retrouve toute belle, toute éclatante, toute cirée à la lumière de ce documentaire entièrement faussaire qu’est le Serment de Tobrouk. On y voit un Lévy resplendissant, entrant en Supermen en terre libyenne, y semant les grains de la liberté, de connivence parfaite avec Mme. Clinton affublée, tout comme lui, d’un rôle messianique. Mais les Français, entre-temps,  en ont soupé de ce baratin autodithyrambique. La preuve : le documentaire n’a eu que très peu de succès avec seulement 1475 visualisations en une semaine sur un réseau de 15 salles. Lévy ose nous parler de la Libye comme il avait osé, en inspirateur idéologique de l’affaire yougoslave, nous parler de l’émancipation du Kosovo. Le bilan, on le connaît. Qui donc nous ressuscitera ces Serbes, hommes, femmes, enfants, charcutés pour le plus grand bien de la démocratie ? Où est donc le tout-puissant BHL lorsqu’il est d’une importance cruciale de dénoncer la transplantologie noire qui s’exerçait dans les tréfonds de cette région ethniquement saignée à blanc ? Idem pour l’Irak qui à ce jour est un pays détruit. Idem pour la Lybie dont on ne parle même plus, car il s’agit tout bonnement de deux états plongés dans la Charia ? La Lybie qui était, pour rappel, un état extrêmement riche, un état satellite en plein Afrique, un état qui, grâce aux engagements de Kadhafi, était sur le point de créer le Dinar-or, monnaie susceptible de contrer efficacement le système Dollar. Or, qu’a donc fait BHL ? Il a, via le soutien sarkoziste et son don de conviction, exploité les différends tribaux presque antédiluviens inséparables de l’histoire libyenne, exploité les nuances de l’Islam pour les diriger contre cet islam éclairé qui semble tant chiffonner notre grand démocrate.

    Les appétits de BHL ne tarissent pas pour si peu. Inlassable, le voici qui revient cinquante ans en arrière pour extraire l’Algérie du carcan antidémocrate dans lequel ce pays, jusque là autonome, si je ne m’abuse, aurait la malchance d’être plongé. Je me contenterai de reprendre ces paroles de Lévy qui expliquent, de un, la nature perverse des révolutions oranges, de deux, l’introduction des troupes françaises au cœur du Mali qui, dès le début, n’était conçu que comme une sorte de tremplin, de destination transitoire. « L’Algérie n’est pas un pays arabe ni islamique mais un pays juif et français, sur un plan culturel (…). L’Algérie connaîtra elle aussi un printemps arabe ». Mentionnant le cas algérien, Lévy arbore ce rictus hideux qui ne semble plus trop nuire à son image de marque. Il nous parle de « maturité » algérienne et personne ne vient le contredire. Belle maturité, en effet, que celle qui a été acquise au Kosovo, en Irak, en Tunisie, en Libye.

    La philosophie, c’est comme l’homéopathie. Il est des herbes qui guérissent. Il est des herbes qui tuent. La BHL étant un poison sous toutes ses formes, elle requiert un antidote mais celui-ci ne pourra être élaboré que le jour où la France renoncera à servir des lobbies qui jamais au grand jamais ne tiendront compte de ses intérêts. En attendant, espérons qu’il se trouvera un Camus ou un Malraux susceptible de dévisser conceptuellement les fondements du lévyisme.

    La Voix de la Russie

  • Quels secrets du Vatican ont affaibli le pape ?

     

     
    Mario Sommossa, Rédaction en ligne
    21.02.2013, 18:17, heure de Moscou
           

    Папа Римский Бенедикт XVI ватикан

     
    Photо: EPA

    Un homme très âgé qui, de plus, porte le lourd fardeau de la vie suscite la compassion. Les derniers jours du pontificat de Jean-Paul II touchait profondément même les anticléricaux les plus féroces. Lors de ses dernières apparitions publiques, le Saint-Père actuel paraissait très fatigué. Les raisons de sa démission sont donc tout à faire plausibles.

    Cependant, ce départ est quelque chose de tout à fait révolutionnaire dans la longue tradition de l’Église catholique. Avant Benoît XVI il n’y avait qu’un seul pape, Célestin V, qui a démissionné du Saint-Siège et il a, pour cela, été accusé par Dante de lâcheté : « Qui fit par lâcheté le grand refus » («per viltate fece il gran rifiuto»). Sans parler du fait que, selon la tradition catholique, pendant son règne le pape acquiert une certaine sacralité et sa démission rend sa fonction et lui-même simples (trop simples ?). Le pape précédent, ayant pris conscience de la tâche qui lui incombait, a dit une fois « on devient Père de l’Église pour toute la vie, que l’on le veuille ou non », et est resté pape toute sa vie, parce que « le Christ n’a jamais quitté sa croix ».

    Cependant, la décision de Benoît XVI est plus que compréhensible du point de vue humain, même si elle est lourde de conséquences. C’est un fait. On ne verra que dans un certain temps si le prestige du Pape et sa « proximité avec les gens simples » seront préservés ou bien perdus jamais.

    Toutefois, c’est le caractère inhabituel de la situation qui nous incite, même si l’on ne le veut pas, à émettre d’autres hypothèses quant au comportement étrange de Benoît XVI. On ne saura vraiment jamais confirmer ou infirmer ces hypothèses, comme on n’a jamais vraiment su comment est décédé Jean-Paul II.

    Le Vatican est connu par sa capacité extraordinaire à garder des secrets et son extraterritorialité. Cela l’a aidé dans les situations les plus délicates comme, par exemple, dans le meurtre d’un capitaine des gardes suisses, de sa femme et d’un jeune soldat, survenu il y a quelques années.

    Notre cerveau incrédule propose deux hypothèses. La première concerne ce qu’a fait Joseph Ratzinger avant d’occuper le Saint-Siège. En effet, il est particulièrement impliqué dans la dissimulation de nombreuses affaires de prêtres pédophiles, qui ne pouvaient pas être soumis aux tribunaux laïcs et dont la punition la plus sévère était d’être expulsée de la paroisse où ces crimes ont eu lieu et d’être replacé. Et que se passerait-il si, preuves à l’appui, la responsabilité du pape actuel dans cette affaire était remise en cause ? Ou bien s’il était directement lié à ces méfaits ?

    Était-ce du chantage adressé au pape ou un simple avertissement d’un quelconque « service spécial » ? Mais le scandale qui implique le père de la chrétienté pourrait porter atteinte à l’Église en général. Si cette supposition se confirme, l’affirmation du pape selon laquelle sa « démission est justifiée par le bien pour l’Église » prend tout un autre sens.

    La deuxième hypothèse concerne le scandale récent dans lequel étaient mêlés le majordome du pape et ses prélats, qui participaient aux guerres intravaticanes. Un rapport secret sur ce sujet a été récemment remis au pape et les critiques ont lié ces faits aux intrigues intérieures concernant, entre autres, la Banque du Vatican (IOR). Les règlements de comptes entre les prélats autour de cette banque sont apparus aux yeux de tous, y compris le licenciement soudain de son directeur Ettore Gotti Tedeschi et des grandes difficultés à trouver le nouveau directeur général. Et si l’opposition s’était renforcée au point qu’elle a touché le pape ? Dans ce cas, ce serait une autre raison possible de sa démission pas si volontaire dans ce cas.

     

    Évidemment, nous ne faisons qu’émettre des hypothèses sans disposer d’éléments solides. Cependant, le caractère inhabituel de l’acte de Benoit XVI et l’habitude de scrupuleusement protéger les quelques mètres carrés du territoire papal ne peuvent pas nous convaincre que les causes officielles du départ de pape sont la seule et unique vérité.

    La Voix de la Russie

  • Mélenchon : « On a une langue commune avec les arabes, c’est l’arabe »

     

     

    Jean-Luc Mélenchon, président du Front de Gauche, était linvité d’Europe 1, le 19 février dernier. Et il nous fait une révélation, qui doit faire retourner François 1er dans sa tombe : la langue de la France serait en effet aussi bien le français…que l’arabe. »On a deux langues en commun : le français et l’arabe » dit-il en parlant des arabes.

    Pour rappel, c’est l’ordonnance de Villers-Cotterêts, en 1539, qui a fait du français la langue officielle et administrative de la France. Et Monsieur Mélenchon, qui n’est pas chef d’État, s’arroge le droit de faire de l’arabe, sous la pression migratoire, la langue du pays au même titre que le français !

    Lorsqu’une population entre massivement dans un autre pays et impose sa langue, au point qu’elle devienne l’égale de la langue autochtone, on donne un nom à ce phénomène : la colonisation. Subversive celle-ci, car elle ne s’impose pas par les armes mais par l’immigration et la démographie…

    Contre-info.com

  • Deux policiers tués au nord de Paris: réaction de Marine Le Pen - 21/02/13

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Marine Le Pen présente ses condoléances les plus attristées aux familles et aux proches des deux policiers tués ce matin sur le périphérique parisien. Elle forme des vœux de rétablissement pour leur collègue gravement blessé.

    Elle demande que toute la lumière soit faite sur les circonstances de ce drame et que la justice s’applique avec la plus grande des sévérités à l’encontre du conducteur du véhicule en cause, récidiviste et en état d’ébriété.

    Le nombre de policiers et de gendarmes tués ou blessés dans l’exercice de leur fonction ne cesse d’augmenter année après année, dans l’indifférence coupable des gouvernements successifs.
    Il est temps d’inverser cette tendance inadmissible.

    Les moulinets médiatiques de Manuel Valls et le laxisme militant de Christiane Taubira sont en ce sens un très mauvais signal.

  • Paris: deux policiers de la BAC tués par un chauffard récidiviste

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    Le jeune chauffard, alcoolisé et roulant sans permis, n'a laissé aucune chance aux fonctionnaires.

    La collision a été d'une violence inouïe. Le jeune chauffard, alcoolisé et roulant sans permis, n'a laissé aucune chance aux fonctionnaires. Jeudi, au petit matin, c'est toute la police qui a été endeuillée par la mort de deux collègues de la brigade anticriminalité de nuit (BAC N), percutés de plein fouet alors qu'ils circulaient à bord d'une voiture de patrouille sérigraphiée sur le périphérique intérieur parisien, entre les portes de Clignancourt et de la Chapelle. Âgés de 32 et 40 ans, ces policiers étaient tous les deux pères de famille.

    Un troisième membre de l'équipage, passager avant du véhicule, âgé quant à lui de 54 ans, luttait contre la mort. Dans l'après-midi, son pronostic vital était qualifié de «très fortement engagé».

    Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée à la brigade criminelle, la tragédie s'est nouée avenue de la Grande-Armée, quand un 4×4 Range Rover noir et aux vitres fumées attire l'attention d'une première patrouille de la BAC après avoir commis une série de délits routiers.

    Refusant de se soumettre à un contrôle, le chauffeur, âgé de 22 ans, accélère et file en direction de la porte Maillot, puis du périphérique. Chauffard récidiviste, il a été condamné à six reprises pour des délits routiers, dont conduite sous l'empire d'un état alcoolique ou encore défaut de permis. Connu aussi pour détention de drogue, il a écopé de sa première sanction dès 2008. À l'occasion de sa dernière comparution devant un tribunal, en janvier 2011, il avait été condamné à quatre mois de détention, dont trois avec sursis, peine assortie de deux ans de mise à l'épreuve.

    Le passager était fiché pour trafic de stupéfiants

    Pris en chasse, le chauffard fonce vers le nord de Paris. Une folle course-poursuite s'engage, semant un début de panique sur le périphérique. Selon un chauffeur de taxi témoin du drame, le Range Rover roulait à «au moins 160 km/h», pour une vitesse autorisée de 80 km/h maximum.

    Après avoir distancé ses poursuivants, le fuyard et son acolyte sont venus s'encastrer dans la voiture de la «BAC N», dont la partie arrière a été littéralement broyée. Les deux policiers en tenue assis sur la banquette ont été tués sur le coup. Interceptés dans la foulée, les passagers du Range Rover, à peine accidenté, ont été placés en garde à vue par les policiers du 36, quai des Orfèvres, pour «homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique». Ils encourent la réclusion criminelle à perpétuité. Le chauffeur présentait en outre un taux de 0,78 gramme d'alcool par litre de sang.

    Un contrôle n'est jamais anodin

    Sans attendre, Manuel Valls s'est déplacé jeudi matin au commissariat du boulevard Bessières, pour rendre hommage aux fonctionnaires décédés, des «policiers jeunes et expérimentés, pères de jeunes enfants», ainsi qu'à leur collègue plongé dans le coma.

    Le premier flic de France a promis «une sanction impitoyable», en martelant: «Je ne puis accepter de tels faits, encore moins les banaliser.» Dans les rangs de la «grande maison», l'émotion reste vive. Et la colère gronde, sourdement. «L'ensemble des collègues éprouve à la fois un sentiment de tristesse et de révolte devant le comportement du chauffeur de ce véhicule», s'est exclamé Nicolas Comte, porte-parole d'Unité SGP (premier syndicat des gardiens de la paix). «On attend que l'enquête livre les circonstances exactes de ce drame, mais aussi que la justice soit intraitable avec ces délinquants meurtriers, a réagi de son côté Jean-Claude Delage, secrétaire général d'Alliance Police nationale (gardiens de la paix). Nous sommes en état de choc, en particulier les collègues de la BAC de Paris. On voit bien le rôle des BAC, toujours les premiers à intervenir, 24 heures sur 24.» Tous sont d'accord sur un point: tout contrôle, quel qu'il soit, n'est jamais anodin.   

     
    Par Christophe Cornevin
    GRAND REPORTER
     
    Le Figaro - 21/02/13
     

     

  • Trierweiler est revenue d'Inde... en fureur!

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    Quand un article ne lui plaît pas, la journaliste-première dame n'hésite pas à décrocher son téléphone pour signifier son courroux. Après un reportage de son employeur «Paris-Match» sur son escapade amoureuse avec dans les jardins du Luxembourg, la salariée du magazine people a lâché une bordée d'injures sur la messagerie vocale du directeur de sa rédaction, rapporte le «Canard enchaîné».

    «Je viens de découvrir ton journal de merde (...), qui fait de la merde (...) et ses photos de merde aurait vociféré la Première dame normale à son patron.

    Dans un numéro précédent, une journaliste avait osé compléter l'un de ses articles par un encadré. Dring ! «C'est exclu. C'est ma page» rapporte encore le «Canard». En Inde, la semaine dernière, l'envoyée spéciale de «Match» qui avait signé le papier sur l'escapade amoureuse n'a pas eu le droit de suivre Trierweiler à l'occasion de ce voyage officiel. Des représailles qui se sont aussi appliquées à une journaliste de «Libération» qui a écrit un article sur les caprices de Valérie à New Delhi : pas de presse écrite, seulement la télévision, sauf TF1. L'intéressée n'a pas tardé à savoir que «son article avait déplu».

    Toujours selon le «Canard», en coulisses, la rédaction de «Paris-Match» grince et certains jugent la situation intenable. Valérie Trierweiler terroriserait quelques journalistes. Au sein même de «ça devient très compliqué», résume un ponte. La compagne de François Hollande assume sa position, elle a bien laissé un message vocal à Olivier Royant, directeur de la rédaction de «Match», mais elle en conteste la forme.

    Le Parisien 20/02/13

  • Fragment de météorite trouvé sur une plage du Var il y a quelques années

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    (Photos prises avec un IPhone)

    J'ai trouvé ce drôle de petit caillou parmi le sable et les galets de la plage des Lecques.

    Il mesure 3 cm de long et pèse 10 grammes.

    Sa surface présente de nombreux petits trous et des traces de brûlure de couleur rousse. 

    Il ne flotte pas: ce n'est pas un éclat de bois calciné. C'est une pierre.

    Je l'ai ramassée et conservée, sans penser du tout à un fragment de météorite.

    Mais quand j'ai vu les photos des fragments trouvés dans l'Oural et cherché  aussi d'autres photos sur Internet pour comparer, j'ai compris que ce curieux petit caillou que je n'avais pas identifié provenait sans doute de l'explosion d'une météorite.

    Quand, comment sur cette plage ? Cela je l'ignore!

    Gaëlle MANN

     

  • Taubira chouchoute ses délinquants et refuse leur emprisonnement

     

    Alors que l’indispensable bouquin de Laurent Obertone, la France Orange Mécanique, bat des records de vente (56 000 exemplaires vendus depuis le 17 janvier, 20 000 en réimpression, classé n°1 chez Amazon dans les catégories Actu, Politique et Société et Société Française), dans un silence médiatique à faire pâlir de jalousie un dictateur nord-coréen, la Taubira continue son délire ultra permissif qu’elle veut nous contraindre à partager avec elle, au prix tout de même des futures vies brisées ou volées par ses petits délinco-protégés.

    Son laxisme invraisemblable sonne comme une autorisation à l’autodéfense répressive hors de tout contrôle, hors de toute raison. Cette femme, par sa compétence encore « incognita » et son inconséquence notable, nous prépare à des flambées de violence, sous prétexte de préserver ses chers petits délinquants tant choyés.

    L’indépendantiste Taubira, par ailleurs ancienne condamnée par la Justice (1), doit tout à la France qui lui a offert ses galons de ministre qu’elle n’aurait jamais eus si sa Guyane natale avait été indépendante. La discriminante Taubira, dont la mémoire est si sélective qu’elle se rappelle bien de l’esclavage des noirs par les blancs qu’elle déteste (sauf quand ils lui offrent une place au soleil bien rémunérée), mais oublie fort à propos que les principaux esclavagistes des noirs étaient les noirs eux-mêmes, celle qui se refuse à dénoncer la terrible traite arabo-musulmane, incomparablement plus longue et meurtrière, afin que les « jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes », mais qui n’a par contre pas d’objection à ce que les jeunes Français blancs portent, eux, sur leur dos le poids de l’héritage d’une poignée d’individus ayant participé à l’esclavage.

    Cette femme a une telle aversion pour notre peuple, qu’elle rêve de le voir disparaître, que pour cela tous les moyens sont bons.

    « Une société n’a pas le droit d’être tolérante, parce que son premier devoir est de vivre » disait Gustave Le Bon. La ministre de la justice, par son excès de tolérance, condamne notre peuple à mort. Et quand on voit la joie et l’exaltation qu’elle en éprouve, on se dit que décidément, cette femme-là nous hait de toutes ses tripes au point de vendre son âme et notre Justice aux barbares.

    Nos dirigeants installent tellement de violence dans notre pays qu’ils sont totalement dépassés par leur œuvre, inaptes à renverser la vapeur mais surtout désireux de se faire un matelas de voix électorales, car comme chacun sait, les délinquants ordinaires, lorsqu’ils votent, votent à gauche. Ils savent où sont leurs bénéfices, et les politiciens ont tout intérêt à être très gentils avec eux. Les victimes, avérées ou potentielles, n’intéressent absolument pas les politiques du genre de Mme Taubira, l’empathie et la droiture ayant une curieuse tendance à s’évaporer quand les bonnes places sont à prendre. Et lorsqu’à cela s’ajoute le ridicule sentiment d’infériorité d’être née dans un département d’outremer qu’on voudrait à tout prix voir indépendant (et donc indépendant aussi de tout assistanat financier probablement…), la rancœur personnelle prend alors le pas sur le professionnalisme et l’intégrité de la mission ministérielle qui a été confiée à notre délirante ministre.

    « Notre société condamne à mort des innocents parce qu’elle se refuse à condamner à la perpétuité des coupables » dit Obertone.

    La prison sert à punir le délinquant pour son acte tout en préservant les citoyens de sa toxicité, à l’empêcher de nuire à la société, à éviter d’éventuelles victimes en leur permettant de rester en vie, bref, à garantir la sécurité du peuple. Mais de cela la Garde des Sceaux n’en a cure, la vie d’un délinquant a pour elle plus de valeur et de respectabilité que celle d’un honnête citoyen. La balance de la Justice est un peu de guingois.

    Va-t-on expliquer à une vieille dame de 80 ans violée par un multirécidiviste que son violeur doit être chouchouté au nom de la pédagogie, qu’il doit être laissé en liberté parce que nos prisons sont engorgées des malfrats de tous horizons à qui on a proposé de faire comme chez eux en France et de se servir, et que ma foi, ma pauvre dame, l’heure est aux restrictions budgétaires ? Va-t-on lui expliquer encore qu’elle devra s’acquitter de davantage d’impôts pour que ceux encore détenus puissent bénéficier d’un nouveau téléviseur dans leur chambre ou de denrées alimentaires moins chères que pour les citoyens ordinaires soumis à un budget serré, au point que ces denrées sont parfois distribuées par les prisonniers à leur famille à l’extérieur ? (exact!)

    Si le gouvernement souhaite laisser vaquer en toute liberté les malfrats à leurs occupations, c’est aussi parce que nos prisons sont pleines à craquer et que personne ne souhaite en construire de nouvelles.

    François Hollande souhaite l’instauration de « peines de probation » en lieu et place de l’incarcération. Les délinquants condamnés à de courtes peines ne seraient donc plus écroués mais pourraient être invités par exemple à remplir un cahier de vacances comme déjà testé en août 2012 suite à un caillassage sur des policiers. C’est Nathan et Fleury-Mérogis unis dans un même combat !

    On nous explique que la grande nouveauté va consister, contrairement au système de sursis avec mise à l’épreuve, à laisser tout de même en liberté le délinquant même s’il ne respecte pas les obligations prévues par la Justice ! Dans ce cas, on se demande bien pourquoi ce dernier ferait des efforts pour se racheter. Il faut comprendre que l’argument sorti du chapeau des experts est que la prison est… dangereuse ! On a envie de répondre qu’elle est à l’image de ceux qui la composent, et c’est précisément pour cela qu’ils ne doivent pas en sortir, pour ne pas répandre leur dangerosité dans toute la société. CQFD.

    De nombreux policiers dénoncent l’idéologie de la Taubira et une mise à mal de leur travail rendu de fait inutile. Patrice Ribeiro, patron de Synergie-officiers, déplore sa vision du « voyou comme une victime de la société, sans un mot de compassion pour la victime du délit ». Précisément, à quel moment ce gouvernement fantaisiste va-t-il se décider à penser enfin aux victimes ?

    Il ajoute qu’« à l’heure où les cambriolages et les vols à la tire explosent, cette politique est surréaliste et ne pourra conduire qu’à une explosion encore plus forte de la délinquance ainsi qu’à une démobilisation des forces de l’ordre. (…) La garde des Sceaux est dans le déni du réel. Mais avant de rattraper les politiques, la réalité va surtout rattraper les victimes. C’est un fiasco sécuritaire qui s’annonce ». Tout est dit.

    Pour le Syndicat des Commissaires de la Police Nationale, le propos est également sans appel « ce qui dissuade la récidive, c’est la certitude d’être pris, jugé et que la peine soit appliquée ».

    En attendant, dans notre paisible pays où l’insécurité ne serait qu’un sentiment, durant ce mois de février il a continué de se perpétrer chaque jour des agressions, des rackets, des meurtres, des vols, des viols, des braquages, des trafics en tout genre, des fraudes, des caillassages, des tabassages, des enlèvements, des incendies d’épouses désobéissantes et autres sympathiques méfaits (http://faitdiversfrance.wordpress.com/2013/02/16/faits-divers-fevrier-2013/).

    Les ventes de cahiers de vacances vont exploser, moi je vous le dis !

    Caroline Alamachère

    (1) http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://www.lexpress.fr/informations/deputes-et-patrons_657680.html&title=L’Express

  • De Findus à JP Morgan

     

    par Romain

    Dans un article de l’AGEFI datant de septembre 2012, on apprend que « l’avenir de Findus, que Lion Capital avait repris en LBO en 2008, semble s’éclaircir. Après neuf mois d’incertitudes, la chaîne de surgelés, conseillée par Rothschild & Cie, a bouclé une restructuration qui conduit le fonds d’investissement à en perdre le contrôle [1]. »

    En juillet 2012, Lion Capital, endetté, cède donc des parts Findus à deux banques créancières : JP Morgan (19,6 %) et Highbridge (21,5 %)

    Dans un article de The Independant, du 9 février 2013 cette fois, on apprend que selon un document divulgué, les lasagnes contiendraient de la viande de cheval depuis environ 6 mois [2]. Soit, si on fait un petit calcul, exactement depuis que les deux banques ont investi dans la compagnie...

    Nestlé, dont les principaux actionnaires sont le groupe anglais Chase Nominee (10,10 %) – qui lui même appartient à la banque J P Morgan et Chase – et Citibank (7,00 %), a admis mardi avoir aussi des lots contenant de la viande de cheval.

    Pour revenir à la France, et à notre cher gouvernement, il est intéressant de noter que cette opération a été faite sur le conseil de la banque Rothschild dont un des ex-membres est présent parmi les conseillers d’Arnaud Montebourg [3].

    Quand à Cyril Lignac, chef cuisinier et conseiller culinaire de Findus depuis 2007, et qui déclarait à ce propos : « Findus est une entreprise réputée et sérieuse et ils m’ont convaincu », il vient de comprendre ce que c’est que de se faire glisser une quenelle par l’industrie agroalimentaire, salissant par la même occasion sa profession [4].

    Notes

    [1] http://www.agefi.fr/articles/lion-capital-boucle-la-restructuration-de-la-chaine-de-surgeles-findus-1241084.html

    http://www.agefi.fr/articles/findus-repris-par-ses-creanciers-junior-1231096.html

    [2] http://www.independent.co.uk/news/uk/home-news/horsemeat-scandal-findus-leak-reveals-horse-in-beef-for-six-months-8486602.html (lien en anglais)

    [3] http://www.youtube.com/watch?v=W3Y9VNJwJMM

    [4] http://www.papillesetpupilles.fr/2007/04/cyril-lignac-sassocie-avec-findus.html/

    E&R

     

  • Le Front National accuse un élu socialiste de persécuter Dieudonné

     

    Le Front national de la Loire a accusé mardi le maire socialiste de Saint-Étienne, Maurice Vincent, de « persécuter » Dieudonné, pour avoir demandé l’annulation d’un spectacle de l’humoriste controversé prévu le 16 mars dans sa ville.

    « Quoi que l’on pense des opinions de Dieudonné, il est extrêmement grave qu’en France aujourd’hui, un citoyen soit censuré de cette manière pour avoir discuté, tourné à la dérision un fait historique », affirme la secrétaire départementale du FN, Sophie Robert.

    Lire la suite de l’article sur europe1.fr

  • Propos d'un membre du Parlement du parti l'Aube Dorée contre la Journée internationale de la Shoah

     
    Publié le 20 Février 2013

     

    Un membre du Parlement appartenant au parti d'extrême-droite "l'Aube Dorée", Yanis Lagos (Γιάννης Λαγός), a présenté au ministre de l'Éducation et au ministre de l'Intérieur une requête parlementaire dans laquelle il critique le fait que des événements aient lieu en Grèce pour marquer la Journée internationale de la Shoah.

     

    Dans la requête parlementaire, il a souligné que lors de la Journée internationale de la Shoah, des événements marquant la journée étaient organisés en Grèce par des juifs et même par des institutions officielles, et que des élèves d'écoles lisaient des textes «faisant l'éloge de juifs» et les qualifiants de «héros», alors que les élèves grecs ne connaissaient rien de l'histoire grecque et des «réels Shoahs». Cela, alors qu'on leur enseigne la Shoah des juifs jusque dans les moindres détails. «Il est inconcevable que les juifs morts de la Seconde Guerre mondiale reçoivent les hommages des éléments institutionnels alors qu'on ignore de grandes personnalités de l'époque hellénistique », a-t-il déclaré.

    Crif

  • Pétitions: le maire du Chesnay écrit au président du CESE

    Lire la lettre: http://fr.altermedia.info/communique/le-maire-du-chesnay-ecrit-au-president-du-cese_46224.html

    20/02/13

  • Profanation de deux cimetières en Provence

    sans-titre.png cimetière vandalisé.png

    20/02/2013 – 18h00
    VALREAS (NOVOPress via le Bulletin de réinformation) –
    Les cimetières de Valréas et de Courthézon, dans le Vaucluse, ont tous deux été profanés dans la nuit de dimanche à lundi. A Valréas, une cinquantaine de plaques funéraires ont été vandalisées. Des plaques funéraires ont été arrachées de leur socle et des vases cassés. A Courthézon, les inscriptions en laiton ont été volées sur une douzaine de tombes.

     

    Seule à réagir, le député du Vaucluse Marion Maréchal‑Le Pen a indiqué : « Le Front national condamne [...] le mutisme complaisant de la caste politique en place qui aurait sans doute été beaucoup plus prolixe s’il s’était agi de sépultures autres que chrétiennes. »

    Depuis lundi, on attend en effet les condamnations du ministre de l’Intérieur, du Premier ministre, du président de la République ou de Jean‑François Copé. Selon toute probabilité, il ne devait donc s’agir ni de tombes israélites, ni de tombes musulmanes.

    Crédit photo : DR

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Cambridge: "respect à contre-coeur" pour le talent oratoire de Marine Le Pen

    sans-titre.png Marine à Cambridge.png

    20/02/2013 – 16h00
    CAMBRIDGE (NOVOpress) –
    Malgré des problèmes avec la traduction simultanée, qui l’a parfois rendue inaudible, Marine Le Pen a impressionné hier après-midi (photo) ses auditeurs à la Cambridge Union Society, la plus prestigieuse association étudiante. D’après The Cambridge Student, un des deux journaux étudiants, « elle a répondu avec assurance aux questions du public. Même si elle a finalement gagné peu de personnes à ses idées, elle est partie en laissant au moins un respect à contrecœur pour ses talents d’orateur ».

     

    L’autre journal étudiant, The Tab, souligne également que le dialogue avec le public a été la partie la plus intéressante. Des questions essentielles ont été abordées. Francesca Hill, une ancienne présidente de l’Union, a ainsi demandé à Marine Le Pen : « Combien faut-il de générations d’ancêtres pour pouvoir être chez soi dans un pays ? » Marine Le Pen a répondu : « Vous faites erreur, Mademoiselle. Beaucoup de générations se sont assimilées à la culture française. Ce qui se passe à présent, c’est que les individus ne sont pas assimilés individuellement ; nous sommes censés avoir une obligation d’assimilation collective. Nous avons besoin d’assimilation, ce qui exige beaucoup d’efforts au niveau individuel. Si les gens n’ont pas de travail ou pas de logement, ça rend la tâche difficile. Nous avons besoin d’aimer notre pays et de cesser de haïr la France. »

    « Un des moments les plus polémiques du discours de Le Pen a consisté à comparer “les deux totalitarismes du XXe siècle, le fascisme et le communisme” à ce qu’elle a désigné comme “les deux totalitarismes du XXIe siècle : l’Islam et la mondialisation… Si nous ne nous battons pas pour la liberté contre les totalitarismes du XXIe siècle, nous disparaîtrons de la face de la terre, non seulement la France mais aussi la Grande-Bretagne” ».

    Environ 200 manifestants s’étaient rassemblés devant le bâtiment de la Cambridge Union pour protester contre la venue de Marine Le Pen, mais la plupart n’étaient pas des étudiants de Cambridge. Outre une délégation de l’université voisine, et beaucoup moins prestigieuse, d’East Anglia à Norwich, la majorité étaient des militants de l’organisation Unite against Fascism venus spécialement depuis Londres. Une dame âgée qui a parlé dans un mégaphone et s’est présentée comme « une survivante de l’Holocauste », a qualifié Marine Le Pen de « nouveau symbole du fascisme » en Europe.

    Le journal local n’a trouvé à interviewer qu’une étudiante en histoire à Queen Mary, un des collèges les moins réputés de l’Université de Londres. Selon ce brillant sujet, « il est important de montrer que les fascistes ne sont pas les bienvenus ici. Nous avons une histoire de résistance aux fascistes au Royaume-Uni ». Le senior proctor (sorte de préfet des études) de l’université de Cambridge, le physicien Owen Saxton, a déclaré pour sa part : « La Cambridge Union est indépendante de l’Université, mais nous soutenons leur décision d’inviter Marine Le Pen car tout le monde a droit à la liberté de parole ».

    Dans la soirée, quelques heures après le départ de Marine Le Pen, un incendie s’est déclaré sur le parking à côté de la Cambridge Union. Deux voitures de police et deux camions de pompiers sont rapidement arrivés sur les lieux. La fumée a déclenché les alarmes à l’incendie dans tout le voisinage. Des restaurants ont également subi des dommages. L’origine du sinistre n’est pas encore établie. Des témoins ont cependant déclaré au Cambridge Student que des voitures avaient été incendiées, « peut-être à la suite de la manifestation » contre Marine Le Pen. Les « antifascistes » encore présents soutiennent de leur côté qu’ils étaient au pub et qu’ils ne se sont pas même aperçus de l’incendie jusqu’à l’arrivée de la police.

    En Une : photo tweetée par Louis Aliot depuis la conférence. Crédit photo :DR.

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    NdB: Je crois que la situation est encore plus désespérée en Angleterre qu'en France !

  • Suède: un enfant asexué, selon le voeu de ses parents... Aux fous!

     

    (Photo d'illustration ?)

    En Suède, un couple élève son enfant en refusant de révéler son sexe. Aujourd’hui, l’enfant a six ans. Au quotidien Svenska Dagbladet, les parents ont expliqué leur point de vue : «Nous voulons que Pop grandisse librement, et non dans un moule d’un genre spécifique. C’est cruel de mettre au monde un enfant avec un timbre bleu ou rose sur le front. Aussi longtemps que le genre de Pop restera neutre, il ne sera pas influencé par la façon dont les gens traitent les garçons ou les filles.»

    L’enfant choisit lui-même sa coiffure et ses habits : parfois une robe, parfois un pantalon : «Pour moi, Pop n’est ni une fille ni un garçon, c’est seulement Pop», explique sa mère.

    Ahurissant ! Nous suggérons aux parents de saisir les plus ultimes implications de leur discours. Ils ne veulent pas que la nature détermine le genre de leur enfant afin de ne pas entraver le légitime exercice de la liberté individuelle : mais peut-être l’enfant veut il choisir également, et librement, son espèce ? Peut-être n’a-t-il pas envie non plus d’être un être humain après tout. C’est mignon aussi les petits chiens, hum ? Jusqu’où l’aberration peut-elle pousser l’indifférenciation de l’enfant ?

    Si en revanche les parents reconnaissent que l’homme, qui ne s’est pas donné l’existence à lui-même, est tributaire de sa nature, autrement dit qu’il est de nature humaine, il faudrait également que quelqu’un se dévoue pour apprendre à ces apprentis sorciers de pacotille que la nature humaine est elle-même sexuée : qu’elle se réalise dans la masculinité et la féminité, mais qu’elle n’existe pas en dehors. L’humanité n’est pas une abstraction.

    Contre-info.com

  • Espagne : Une mère désespérée s’immole dans une banque

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    En Espagne, une mère de 3 enfants âgée de 47 ans s’est immolée ce lundi dans son agence Caixa Almassora dans la ville d’Almassora, un village de la province de Castellon.

    Cette mère s’est aspergée de liquide inflammable, puis mis le feu, pour ensuite se diriger vers un employé de la banque en hurlant « Bande de salauds, vous m’avez tout pris ! » selon les premiers éléments de la télé espagnole.

    La banque l’avait saisie suite à un crédit avec des échéances non remboursées.

    Grièvement brûlée sur 48% de son corps elle a été hélitroyée vers un hôpital de Valence.

    Sources : La Vanguardia / El Mundo / Euronews / Le Journal du Siècle

  • France, fille aînée de l'Eglise, et bientôt terre d'Islam...

    Lire: http://www.contre-info.com/france-fille-ainee-de-leglise-et-bientot-terre-dislam

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  • Marine Le Pen huée par des manifestants mais écoutée par les étudiants de Cambridge

    Ca n'est pas vraiment ce qu'on peut appeler un accueil chaleureux. Venue donner une conférence devant les étudiants de l'université de Cambridge, ce mardi, Marine Le Pen s'est fait chahuter à son arrivée par une centaine d'étudiants membres de l'association Unite Against Fascism ("Unissez-vous contre le fascisme"). Ils étaient munis de pancartes sur lesquelles on pouvait lire "Pas de plate-forme pour le fascisme" ou "F comme Fascisme, N comme Nazi, à bas le Front national".

    Des banderoles ont également été déployées avec des messages comme "Le Pen, never again" ou "Les syndicats (étudiants), vous aimez les violeurs et les fascistes" pour dénoncer l'invitation de Marine Le Pen par la Cambridge Union Society. L'association estudiantine avait déjà suscité la controverse en invitant dans le passé Jean-Marie Le Pen, et il y a près d'un an Dominique Strauss-Kahn.

    Selon l'association Unite Against Fascism, donner une place au FN "exacerbe la discrimination raciale". La présidente du syndicat des étudiants de Cambridge a, elle aussi, répété son opposition à la venue de Marine Le Pen et ouvertement critiqué le fait que la Cambridge Union l’ait invitée : "L’invitation de Marine Le Pen par la Cambridge Union n'est pas simplement un manque de tact : cela aura un effet direct sur la sécurité de beaucoup de nos étudiants. Ils ne prennent pas en compte le fascisme et le contexte qui règne actuellement à l’université".

    Le numéro deux du FN, Florian Philippot, n'a guère apprécié ce comité d'accueil : "Chaque université a ses 20 neuneus formatés pour faire du bruit, Cambridge aussi ! Pour le reste, le discours de Marine est très attendu en GB", a-t-il déclaré sur Twitter.

    La conférence s'est quant à elle déroulée sans encombre. Dans un discours d'une trentaine de minutes, la présidente du FN a présenté en français "les grandes lignes de (s)a pensée politique sur la France, l'Europe et le monde" devant quelque 300 jeunes membres de la Cambridge Union Society. "Je milite fermement pour que l'Europe sorte de Schengen, arrête l'immigration et prépare le retour aux monnaies nationales", a-t-elle résumé en vantant la nécessité d'un "Etat fort" dans une France affaiblie, selon elle, par l'Union européenne.

    Elle a affirmé vouloir "instaurer un New Deal concernant l'immigration" et a estimé que "l'union soviétique européenne (était) en train de naître lentement mais sûrement". Marine Le Pen a également souhaité "la fin de la Françafrique" et souhaité "que la France arrête de prendre en charge la misère du monde parce qu'elle n'en a pas les moyens". Elle a enfin dénoncé "les deux totalitarismes du XXIe siècle" qui menacent, selon elle l'existence même de la France et du Royaume-Uni : "l'islamisme et le mondialisme" après "le communisme et le nazisme au XXe siècle".


    Atlantico

  • Marine Le Pen à Cambridge: un succès malgré les gauchistes !

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    A Cambridge le 19 février 2013

     

     

    Communiqué de Presse de Ludovic de Danne, Conseiller aux affaires européennes de Marine LE PEN

    Fidèle à ses mauvaises habitudes, la presse s’est de nouveau abaissée à déformer la réalité en tentant de focaliser l’opinion publique au sujet de la manifestation dérisoire d’une centaine d’extrémistes, dont la plupart ne sont pas issus de cette université d’élite qui compte plus de 16.500 étudiants.

    Au contraire, au lieu de défiler en vociférant des menaces de mort, les vrais étudiants de Cambridge sont venus faire salle comble afin d’écouter Marine Le Pen. L’applaudissant tant à son arrivée qu’à son départ, ils ont été très attentifs avant de pouvoir poser des questions parfois directes certes, mais toujours courtoises.

    Si le déplacement de Marine Le Pen au Royaume-Uni est un succès, c’est avant tout parce que la « Cambridge Union Society », dont il faut souligner le professionnalisme remarquable, n’invite que des personnalités de pouvoir ou ayant une influence majeure.

    Ensuite, loin des articles approximatifs, diffamatoires et parfois haineux de la presse britannique de gauche, citée en exemple par les médias français, la plupart des réactions et commentaires ayant eu lieu avant, pendant ou après cet événement reflétaient une opinion britannique traditionnellement neutre et ayant surtout à cœur la défense de la liberté d’expression.

    Il est en réalité devenu insupportable au système politico-médiatique de voir Marine Le Pen acquérir une stature internationale en plus de la popularité grandissante dont elle bénéficie en France. C’est pour cela qu’ils n’ont de cesse de la traquer et de caricaturer chacun de ses déplacements à l’étranger.

    Ce jeu ridicule ne l’empêchera évidemment pas de continuer à progresser sur une scène internationale de plus en plus attentive à son action et à son discours.