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  • Filip Dewinter: "Il faut rompre avec les partis traditionnels ! "

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    http://www.ndf.fr/les-grands-entretiens/10-08-2013/filip-dewinter-il-faut-rompre-avec-les-partis-traditionnels

  • Nîmes : ils squattent la piscine d'un couple de retraités

     

    F. CONDOTTA
    10/08/2013, 09 h 11 | Mis à jour le 10/08/2013, 09 h 50

     

     

      

    Une piscine privée a été investie par des jeunes.
     

    Dans un lotissement près des tours de Valdegour, une bande de jeunes de 12 à 25 ans sévit chez un couple de personnes âgées. Le comité de quartier de l'Alouette est monté au créneau pour faire arrêter ces agissements.

    "On ne vole pas. On vient juste se baigner". Prétextant que leur religion leur interdit de fréquenter les piscines publiques en période de ramadan, une bande de cinq à six jeunes, de 12 à 25 ans, s'invite régulièrement dans la piscine d'un couple de retraités qui habite le lotissement surplombé par les tours de Valdegour, à Nîmes.

    Plusieurs tentatives de dialogue vaines

    Avant de porter plainte et dans un souci d'apaisement, les propriétaires ont fait plusieurs tentatives de dialogue, totalement inopérantes. En réponse, ils ont reçu des pierres. Les intrusions ou tentatives d'intrusion étant quotidiennes, le couple se ruine pour faire renforcer les clôtures. En pure perte ! En désespoir de cause, les retraités ont fini par déposer une plainte. Dimanche 28 juillet, la police a appréhendé trois des squatters de piscine qui ont été conduits au commissariat. Le 29 juillet, un passage d'un mètre a été, à nouveau, découpé dans le grillage. "Comme ces jeunes arrivent en bande, ils intimident ce couple de personnes âgées" indique Madeleine Salles, présidente du comité de quartier de l'Alouette, qui prône une cohabitation respectueuse et sereine.

    Courrier adressé à la procureure de la République

    Elle a adressé un courrier au directeur de la sécurité civile, au sénateur-maire, à la procureure de la République, au président de la mosquée Piété et Lumière. "Nous souhaitons qu'une action concertée soit menée, visant à faire un rappel à la loi et au respect à ces jeunes gens ainsi qu'un rappel aux parents qui sont responsables des agissements de leurs enfants"

    Une maman a demandé à son fils de présenter des excuses

    Une maman a entendu ce message. Elle a accompagné son fils chez ce couple, afin qu'il présente des excuses, en précisant que "pendant le ramadan la conduite de tous devait être irréprochable". Touchés par sa dignité, les retraités et la présidente de quartier ont espoir d'être entendus pour en finir avec "de tels comportements, facteurs de haine et de rejet ce qui n'est souhaitable pour personne."

     

    Midi Libre

  • 10 août 1792 : naissance de la République dans un massacre

     

    Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
    La tension est vive et, excités par Danton, une foule de sans-culottes se massent aux abords du palais.

    La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
    Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationales crient : «Vive le roi !». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté : «Vive la Nation !». Situation confuse.
    Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
    Lire la suite

    Contre-info.com

  • Marseille: un jeune étudiant poignardé à la gorge en plein centre-ville - Son état est grave, mais stationnaire selon les médecins

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    Jérémie, 22 ans, photographié au Palais Longchamp à Marseille

    Boulevard d'Athènes où a eu lieu l'agression

     

    Jérémie, le jeune étudiant de l'école de management d'Euromed, avait causé beaucoup d'inquiétude aux médecins de l'hôpital nord qui l'ont accueilli en urgence hier soir après son agression. La lame est passée près de la carotide qui par miracle n'a pas été tranchée.
    Vendredi soir, après avoir passé la soirée chez des proches dans le centre-ville, le jeune homme avait décidé d'aller chercher une amie à la gare. C'est sur le chemin, au boulevard d'Athènes, qu'il a été agressé à l'arme blanche. Son téléphone n'a pas été retrouvé à ses côtés. Il a pu se traîner jusqu'à un bar qui a donné l'alerte, puis il s'est effondré dans une mare de sang.
    "Toutes les hypothèses sont ouvertes, le vol étant l'une des pistes sérieuses", a affirmé Jean-Jacques Fagni, le procureur-adjoint du parquet de Marseille. "L'enquête n'en est qu'aux prémisses", peu d'éléments étant disponibles sur le déroulement précis des fais.
    Les caméras de vidéo-surveillance, présentes à cet endroit, n'ont pas enregistré la rixe, mais la fuite de l'agresseur présumé du jeune étudiant est visible. "On en est au début de l'exploitation des images sur les lieux mais aussi en périphérie de la zone de l'agression", a confirmé M. Fagni.

    Réactions de la famille politique

    Le maire (UMP) de Marseille Jean-Claude Gaudin, a réagi dans un communiqué : "cet acte de violence (...) démontre la nécessité absolue pour l'Etat d'augmenter les effectifs et la présence policière dans les rues de la deuxième ville de France. Le centre-ville, comme les quartiers placés en Zone de Sécurité Prioritaire, doit faire l'objet de toutes les attentions de la police nationale, notamment en cette période estivale".
    Pour Eugène Caselli, président socialiste de Marseille Provence Métropole (MPM), "cet événement tragique est une preuve supplémentaire que la délinquance meurtrière n'a pas de limite géographique à Marseille".
    "Marseille vit une situation exceptionnelle en matière de sécurité. La solution à ce problème ne peut être trouvée que dans la mise en place de mesures exceptionnelles", a-t-il affirmé dans un communiqué.
    Un autre candidat aux primaires socialistes à Marseille, le député-maire (PS) du secteur, Patrick Mennucci, qui s'est rendu sur place en début d'après-midi, a quant à lui déploré la "polémique policière lancé par la droite".
    "Où sont les équipes de prévention qui dépendent de la municipalité", a-t-il interrogé, ajoutant: "la sécurité, ce n'est pas que des policiers supplémentaires - je vous rappelle que le commissariat central n'est qu'à 50 mètres -, c'est également le rétablissement d'une autorité générale et plus de développement pour la ville".
    La conseillère régionale (UDI) et adjointe au maire de Marseille Arlette Fructus a quant à elle de nouveau demandé la mise en zone de sécurité prioritaire
    (ZSP) l'ensemble de la ville, comme le maire UMP Jean-Claude Gaudin il y a un an et M. Caselli plus récemment.
    L'enquête a été confiée par le parquet à la brigade criminelle de la Sûreté départementale des Bouches-du-Rhône.

     

    Source France 3 Provence Alpes - 10/08/13

     

     

  • PASO DOBLE TE QUIERO

  • La Cour d'appel de Lyon invente la nationalité "arabe" - 09/08/13

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    Extrait de l'ordonnance du 6 août de la Cour d'Appel de Lyon.
    | Capture écran / Pole-Juridique.fr Zoom

     

     

     

    Il serait bon de rappeler à la Cour d'appel de (Rhône) la différence élémentaire entre langue et nationalité. Dans une ordonnance, l'organe juridique a attribué la nationalité «arabe» à un citoyen marocain en situation irrégulière, révèle LeMonde.fr.
     
     
    Mohammed S., 34 ans, avait fait appel de sa mise en rétention prolongée, prononcée le 3 août. Sa demande a été rejetée par le Cour d'Appel, qui est à l'origine de ce lapsus.

    Racisme larvé ou bourde d'inattention ? En tout cas pour LeMonde.fr, «il ne s'agit pas d'une faute de frappe». Dans l'ordonnance rendue le 6 août, que s'est procuré le blog d' Pole-juridique.fr, Mohammed S. se voit en effet affubler à deux reprises la nationalité «arabe». Et l'auteur du billet publié sur ce blog, l'avocat Norbert Clément, d'ironiser : «Certains protesteront qu’Algériens, Marocains ou Tunisiens, ils se ressemblent tous. Il arrive même que des hommes les confondent avec des Auvergnats», en référence à une frasque de l'ancien ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux.

    Mohammed S., Marocain de 34 ans en situation irrégulière avait été placé en centre de rétention le 29 juillet. Il devait être rapatrié vers Rabat, capitale du Maroc. Lors de l'audience où il fait appel de la prolongation de sa mise rétention, prononcée le 3 août par le juge des libertés, son avocate n'a pourtant noté aucune xénophobie flagrante de la part des magistrats. «Il n'y a pas eu de propos racistes ou déplacés», révèle Me Tatiana Béchaux, qui s'interroge tout de même : «Il s'agit peut-être d'une confusion entre la langue de l'interprète et la nationalité du retenu ?».

    Si elle ne peut plus rien faire pour annuler l'expulsion, l'avocate a annoncé qu'elle allait tout de même formuler une requête pour rectifier l'erreur, afin de permettre à Mohamed S. de retrouver –sur le papier– sa «vraie» nationalité.

     

     

    LeParisien.fr

  • Les pleurs des mères de Sevran contre la violence: marche blanche pour Tayeb

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    http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-saint-denis-93/les-pleurs-des-meres-de-sevran-contre-la-violence-04-07-2013-2952273.php

  • C’était un 9 août : Nagasaki ou la guerre selon les démocrates

     

    Le 9 août 1945, les Etats-Unis, champions de la Démocratie, lâchaient sur la ville japonaise de Nagasaki une bombe atomique.

    Il s’agissait bien d’une politique de terreur destinée à faire plier plus vite l’Etat nippon (dont la défaite était en cours) en massacrant ses civils.
    Notons que les Etats-Unis attaquent, depuis, un peu partout sur la planète au motif de la défense des civils, et qu’ils s’indignent que d’autres qu’eux puissent avoir l’arme atomique, alors qu’ils sont les seuls à l’avoir utilisée (par deux fois), sans même qu’il s’agisse de se défendre.

    La première bombe A avait été lâchée sur Hiroshima trois jours plus tôt (entre 100 000 et 200 000 morts).

    Nagasaki a été entièrement soufflée (au moins 60 000 morts).
    Rappelons que cette ville était celle qui comptait le plus de catholiques japonais. Un hasard ?

     

    Contre-info.com

  • Cocasse : la sénatrice socialiste Laurence Rossignol victime de l’insécurité à Compiègne

     

    « Féministe psycho-rigide, immigrationniste enragée, adversaire résolue de toute sorte de répression, Laurence Rossignol, apparatchik socialiste au-delà de la caricature, s’est fait agresser à Compiègne le 14 juillet alors qu’elle retirait de l’argent à un distributeur.

    Scandalisée parce que personne ne l’a aidée à poursuivre son agresseur, Mme Rossignol épanche ses états d’âmes dans la presse locale. Pourtant, nul doute qu’elle aurait été la première à éructer si pareille mésaventure était arrivée à quelqu’un d’autre et que des badauds aient intercepté et mis hors d’état de nuire le délinquant, invoquant « un lynchage fasciste » ou une autre ineptie de vieille gauchiste fanatisée dont elle a le secret.

    « Le premier problème de l’insécurité, c’est la lâcheté collective. » Voici ce qu’ose déclarer sans rire la sénatrice outragée que l’on n’imaginait pas favorable à l’auto-défense et à la justice populaire immédiate. On ne sait pas si son agresseur avait le profil auvergnat mais on dirait que Mme Rossignol n’est pas encore prête à ouvrir les yeux sur les causes directes de l’explosion de l’insécurité, que ce soit dans la Cité impériale ou bien dans toute la France envahie par des millions d’étrangers inassimilables et criminogènes. »

    Source T. Joly

     

    Contre-info.com

     
     
       
  • "La saga de la résistance a vécu sur de nombreux mensonges et la réalité est bien autre"

     

    Entretien avec François Le Goarant de Tromelin

    Dans les archives dorment nombre de secrets que les historiens n’avaient jusque là pas pris la peine de fouiller. Ce travail titanesque a été enfin engagé et il en ressort une vérité nouvelle sur la période compliquée de l’Occupation qui a permis à certains de troubler les frontières entre les miliciens, les truands et les résistants. A l’occasion de la parution de Liaisons dangereuses, miliciens, truands, résistants, Paris 1944, rencontre avec l’historien François Le Goarant de Tromelin dont le travail devrait remettre en cause l’historiographie traditionnelle de cette période, dont la vérité était jusque là légende !

    Votre livre va à contre-courant de la pensée commune sur la Résistance. Pourquoi tant d’années de lieux communs sans chercher vraiment comme vous l’avez fait dans les archives ?

    Nous n’allons pas à contre-courant mais nous mettons simplement les choses au clair. La saga de la résistance a vécu sur de nombreux mensonges et la réalité est bien autre. Il ne faut pas oublier que les archives étaient fermées et qu’il était impossible de consulter les dossiers des cours de justice. Ainsi que les dossiers du BCRA des RG de la DST de la DGSE et j’en passe. Encore maintenant il nous est pratiquement impossible de consulter les dossiers de la DGSE qui pourtant seraient pour nous d’une aide précieuse.

    Des tas de gens se sont infiltrés dans la “résistance“ beaucoup n’étaient même pas français. Je ne critique absolument pas l’action de ces gens vivant en France mais pourtant souvent ils agissaient sur l’ordre de l’étranger (parti communiste aux ordres de Moscou par exemple). Un cas extrême étant le commandant Pagès en réalité de Staal. Cette personne n’était même pas française et pourtant à la libération elle a intégré le BSM 407 (bureau de sécurité militaire) et a ordonné l’arrestation de nombreux français, les a fait torturer dans des conditions incroyables (il faut se rapporter au livre de Jean-Marc Berlière Ainsi finissent les salauds) Cet homme est un voleur de grand chemin et de plus on en est pratiquement certain un espion soviétique ! La vérité est dure car elle bouscule les idées reçues.

    Lire la suite de l’article sur salon-litteraire.com

     

    E&R

  • Polémique sur le voile à l'université alors que 78% des Français sont contre - 09/08/13


    Le port du voile à l'université suscite la... par BFMTV

  • Mineurs étrangers en France : l’alerte de Jean Arthuis

                                            

    Mineurs étrangers en France : l’alerte de Jean Arthuis
     

                                                                                 

     

    09/08/2013 – 09h30
    LAVAL (NOVOpress) –
    Jean Arthuis (ci-dessus), le président du conseil général de Mayenne (UDI) veut mettre fin à tout nouvel accueil de mineurs isolés étrangers dans le département. Un arrêté du 24 juillet signé par le sénateur et ancien ministre met fin « à tout nouvel accueil de jeunes étrangers isolés par le service de l’aide sociale à l’enfance » dans la Mayenne. Pour Jean Arthuis, cet arrêté est « une alerte adressée au gouvernement car nous sommes arrivés à saturation » en matière d’accueil d’étrangers.

     

    « Le problème rencontré ici est la saturation des lieux d’hébergement. Il y a 5 ans, j’en recevais cinq par an, aujourd’hui 57 », a déclaré Jean Arthuis à l’Express. Le président du conseil général de Mayenne précise les coûts aux frais du contribuable : « La prise en charge coûte entre 130 et 150 euros par jour. Pendant les 5 premiers jours, l’État rembourse à hauteur de 250 euros ». Selon lui, face à ce déferlement de déracinés « l’État refuse de s’attaquer au problème par le bon bout. Il s’évertue à s’attaquer à la répartition entre les départements, alors que selon moi, le problème, c’est plutôt le contrôle de l’immigration ».

    Les ministres de la Justice, Christiane Taubira et de l’Intérieur, Manuel Valls, ont « déploré » mardi la décision « illégale » de Jean Arthuis. « L’Etat ne saurait accepter de distinguer les mineurs accueillis en fonction de leur nationalité », affirment les ministres. Une prise de position de nouveau en faveur de l’invasion migratoire alors que les Français, au nom du respect de leur identité, de leur sécurité et d’une grave crise économique, ne peuvent accueillir toute la détresse du monde.

    Crédit photo : ffsa.fr via Flickr (cc)

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Disparues de Perpignan : les mauvais souvenirs ressurgissent

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    L'affaire des "disparues de Perpignan" font ressurgir de mauvais souvenirs : ceux des "disparues de la gare de Perpignan".

    Tatiana Andujar a disparu le 24 septembre 1995. Ce soir là, elle rentre d’un week-end à Toulouse. Elle téléphone à son père, pour qu’il vienne la chercher à la gare de Perpignan.

    Mais ce dernier ne peut pas. Elle tentera de se rendre chez lui par ses propres moyens. À ce jour, elle est encore portée disparue.

    Mokhtaria Chaïb a disparu le 21 décembre 1997. Cette nuit là, après avoir passé la soirée avec des amis, elle regagne son domicile à pied en passant par la gare de Perpignan. Son cadavre mutilé sera découvert le lendemain au milieu d’un terre-plein.

    A l'époque Andres Palomino Barrios, un chirurgien péruvien qui exerce illégalement la médecine fait figure de suspect. Un de ses cheveux a été retrouvé près d’une scène de crime. Sauf qu'au cours de sa détention provisoire, une autre femme disparaît : Marie-Héléne Gonzales .

    Le 16 juin 1998, Marie-Héléne Gonzales arrive à la gare dans la soirée et cherche à rentrer en stop. Elle est retrouvée, également mutilée, décapitée et sans mains, dans un vignoble avoisinant. Sa tête est découverte en fin d’année dans un sac-poubelle.

    Fatima Idrahou a disparu le 9 février 2001 à la gare de Perpignan. Son amant, le patron d’un bar de Perpignan, avoue les faits. Il est condamné à trente ans de prison. Il n'y a aucun lien avec les trois premières dispartions. 
       

     
     
     
    FAITS DIVERS - 07/08/13