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  • Le nombre de demandes d’asile pour homosexualité explose en Belgique

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    Selon une enquête révélée par le quotidien wallon Le Soir, les candidats refugiés qui invoquent des persécutions liés à leurs préférences sexuelles sont presque trois fois plus nombreux qu’en 2009. Les associations suspectent l’existence des réseaux de « faux homosexuels » dans les pays d’Afrique.

     A en croire les chiffres officiels, la Belgique serait un eldorado pour les demandeurs d’asile homosexuels. Selon le Commissariat général des réfugiés et apatrides (CGRA), en 2009, 376 demandes pour ce motif ont été enregistrées, alors qu’en 2012, le nombre de dossiers a dépassé 1000. Et cela sur le fond de la baisse générale du nombre de demandes d’asile en Belgique : 21 463 en 2012, soit 16 % de moins que l’année précédente, constatait la semaine dernière le quotidien francophone belge Le Soir.

     Les persécutions liées aux préférences sexuelles sont l’un des critères permettant d’obtenir le statut de réfugié, fixé par la Convention de Genève. Mais pour cela le candidat qui demande l’asile, doit prouver que sa vie est en danger dans son pays d’origine à cause de son homosexualité. Lors de l’examen du dossier de demande, les autorités belges acceptent des documents, comme des mandats d’arrêt, où des certificats médicaux qui prouvent que la personne est persécutée parce qu’elle est homosexuelle. Si le demandeur d’asile ne peut pas fournir ce type de documents, il passe en audition auprès du CGRA, qui lui pose des questions sur la vie dans son pays natal et son orientation sexuelle. A l’issue de cette audition, une décision définitive concernant l’octroi du statut de réfugié est prise.

     Une procédure jugée « arbitraire » par les associations

     Interrogée par le quotidien wallon, Valentine Audate, coordinatrice au CGRA pour les questions du genre, explique que le commissariat n’interroge pas le candidat sur sa vie privée, lui demandant plutôt de raconter s’il était victime d’agressions. La plausibilité de son récit est ensuite vérifiée par les experts.

     Cependant les associations belges se sont déjà insurgées contre le caractère « arbitraire » de cette procédure, reprochant à certains juges de forcer les candidats à parler de leur vie sexuelle et des relations avec leur partenaire.

     Des réseaux « de faux homosexuels » qui remontent jusqu’en Afrique

     Selon Fabien Gillard, chargé de la défense des droits des homosexuels à l’association sans but lucratif « Tels quels », certains candidats n’hésitent pas à utiliser l’homosexualité comme l’ultime argument pour leurs dossiers de demande d’asile. Le groupe de soutien pour les refugiés homosexuels qu’il animait il n’y a pas longtemps comptait au départ quatre ou cinq membres. Mais dès que l’association a commencé à leur délivrer un certificat de fréquentation, le nombre des membres du groupe a augmenté jusqu’à plusieurs centaines.

     « Pour être certain que nous avions affaire à des personnes qui sollicitaient notre aide pour de bonnes raisons, nous avons arrêté de délivrer ces certificats. Et le groupe a littéralement fondu. Au final, ils n’étaient plus que trente ! », explique Fabien Gillard.

     Le coordinateur s’est vite aperçu que certains refugiés se présentaient à l’association avant de déposer leur dossier au CGRA. Un certain nombre d’entre eux savaient donc qu’ils avaient plus de chances d’obtenir l’asile en venant au groupe. En outre, certains candidats donnaient des versions différentes de leur histoire quand on leur demandait de la raconter plusieurs fois de suite, ce qui a suscité la suspicion auprès des membres de l’association. « Pour nous, il est clair que des réseaux de faux homos existent », conclut Fabien Gillard.

     Au Commissariat général des réfugiés et apatrides, on nie le fait de prendre une décision en fonction de l’implication des candidats dans les associations.

     L’homosexualité est considérée comme illégale dans 76 pays, et condamnée par une peine de mort dans 5 d’entre eux. Selon un membre du CGRA, le commissariat reçoit le plus de demandes d’asile pour homosexualité de la part des ressortissants de la Mauritanie et du Sénégal.

     
    Eugène Zagrebnov, Rédaction en ligne 

     
  • Qui est Frédéric Haziza ?

     13 août 2013

    Le « journaliste » de la chaîne parlementaire LCP est d’une agressivité et d’une incorrection rare avec ses invités (comme on peut le voir par exemple ici, en train « d’interviewer » Jacques Cheminade).
    Provocateur et fervent militant antinational et anti-famille (le voir provoquer et insulter des manifestants ici), il s’est plaint d’être la cible de propos antisémites sur twitter, suscitant une vague de soutien de toute l’oligarchie visible, jusqu’au Premier ministre.


    Haziza accuse à tort Serge Ayoub d’être l’initiateur de la pétition demandant son renvoi : « Pour son incompétence, son tribalisme, sa partialité, sa totale agressivité et ses multiples provocations contre ceux qui ne sont pas d’accord avec lui sur le plateau de son émission sur LCP ainsi que sur Twitter. »

    Qui est cet odieux individu ?
    Ci-dessous ce qu’en dit la publication d’Emmanuel Ratier, Faits & Documents.

    Frédéric Haziza, un journaliste communautaire

    Frédéric Haziza est né le 6 décembre 1960 à Marnia (Algérie française, aujourd’hui Maghnia), où son père, Isaac Haziza, était instituteur. En décembre 2012, la visite de François Hollande en Algérie sera pour Frédéric Haziza l’occasion d’un pèlerinage.
    Lire la suite

     

    Contre-info.com

  • Meurtre des enfants serbes à Goraždevac : 10 ans après, un double crime toujours impuni

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    13 août 2003

     

    Le 13 août 2003, à Goraždevac, près de Peć dans l’ouest du Kosovo-Métochie, 90 coups de feu en provenance du village albanais de Zahac ont été tirés sur des enfants serbes qui se baignaient dans la rivière Bistrica. La rafale de l’arme automatique a fauché la vie de deux jeunes Serbes, Pantelija Dakić et Ivan Jovović, alors âgés respectivement  de 12 et 19 ans. Dix ans après ce double crime, l’enquête a été fermée, aucun suspect n’a été inquiété.

    C’est dans la douleur que la Serbie commémore aujourd’hui le dixième anniversaire du meurtre des enfants de Goraždevac. A l’ignominie de ce double crime s’ajoute l’impunité de leurs bourreaux dont le bras meurtrier ne sera jamais arrêté.

    Les représentants de l’Eulex - la mission civile européenne au Kosovo- en charge des investigations ont annoncé il y a quelque mois la clôture de l’enquête pour manque de preuves.
    Les investigations ont ainsi été arrêtées au point mort, sans qu’aucune circonstance des meurtres n’ait été éclaircie. Sans suspect ni coupable. Sans vérité. Sans que le deuil des familles des victimes ne puisse se faire dans la paix, la dignité. Sans que justice n’ait été rendue aux enfants tués.

    Personne ne répondra pour ce double crime non plus. Une impunité de plus qui s’ajoute à une longue liste de crimes «non-élucidés » commis depuis plus d’une décennie à l’encontre de la communauté serbe du Kosovo-Métochie.

    Solidarité-Kosovo s'associe à la cruelle et profonde douleur des familles des jeunes victimes et de la communauté serbe touchée en plein cœur, bouleversée  que cet acte ignoble et barbare soit, dix ans après, impuni. Rien n'est plus intolérable que le meurtre d'enfants innocents.  
     
    L'équipe de Solidarité Kosovo
  • Se rassembler, agir pour leur faire savoir que nous n'accepterons plus de subir !

    http://www.stephaneravier.fr/archive/2013/08/12/titre-de-la-note-5139869.html

  • Le berger allemand de la ministre Michèle Delaunay a mordu un enfant

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    Dixie serait-elle une récidiviste ? Déjà fortement suspectée, en février, d’avoir mordu un policier municipal, c’est cette fois à un enfant que s’en est pris la chienne de Michèle Delaunay, la ministre en charge des personnes âgées.

     

     

    Selon nos informations, l’ex-députée de la Gironde se promenait ce dimanche avec son berger allemand sur la plage de la Gravière, à Hossegor (Landes), aux alentours de 13 h 30, lorsque la laisse de l’animal aurait rompu. Dixie s’est alors précipitée sur un enfant de 9 ans, originaire de la région parisienne, en vacances avec sa famille. Le petit garçon a été mordu légèrement à la lèvre et en a été quitte pour une grosse frayeur.

    Dans l’entourage de la ministre, on reconnait l’incident, tout en le minimisant. «Fort heureusement, il s’agit d’une griffure, et non d’une morsure, indique-t-on. Celle-ci est en train de cicatriser. Pour ne pas que l’enfant soit traumatisé, lui et sa maman reverront ces jours-ci la ministre et son chien.» La famille n’a d’ailleurs pas souhaité déposer plainte. Si les CRS en poste sur la plage sont intervenus, aucun PV n’aurait été dressé. Selon nos informations, et d’après le site www.plages-landes.info, cette plage de la Gravière, réputée comme spot de surf, est interdite aux animaux. «La ministre circulait sur une portion de la plage où ils sont autorisés, nuance-t-on dans son entourage. D’ailleurs, si cela n’avait pas été le cas, elle aurait écopé d’une amende.»

    Michèle Delaunay nie la morsure du policier en février


    Décrite comme jeune et «un peu fofolle», Dixie avait déjà fait parler d’elle il y a six mois. Le quotidien Sud-Ouest avait alors raconté qu’elle s’en était pris à un policier municipal, «mordu au bras à deux reprises», mais protégé grâce à l’épaisseur de ses vêtements. Une morsure alors niée par Michèle Delaunay. Si elle reconnaissait que la chienne avait «aboyé et sauté en direction» du policier, la ministre avait évoqué plus largement une histoire montée en épingle et un complot politique à l’approche des municipales. L’affaire avait fait les gorges chaudes de ses opposants . «Vu le caractère affirmé de Mme Delaunay, c’est heureux que ce ne soit pas le Ministre mais son chien qui ait mordu un policier municipal !», avait osé l’ancien ministre UMP .

    Réponse de la bergère au berger sur son blog : «Présentement, le chien est allongé sur le parquet en soufflant dans l’attente de promenade, racontait la ministre. Dixie est un chien libre et joyeux, qui fait son métier de berger quand on s’approche, mal intentionné, de ses maîtres ou de sa maison, comme elle le ferait des brebis confiées à sa garde, mais qui perçoit l’amitié et l’absence de peur comme un radar et se répand alors en démonstrations d’affection immesurées.»

     

    LeParisien.fr

  • Colombes: le "prédateur" était en semi-liberté !

    Un homme de 26 ans a été placé en garde après avoir attaqué deux femmes mercredi dernier. Le suspect était en régime de semi-liberté au moment des faits.

    En l'espace de quelques minutes, l'homme de 26 ans a commis deux agressions. Le 7 août dernier, le prisonnier en régime de semi-liberté a profité d'une de ses journées libres pour attaquer deux femmes, à Colombes (Hauts-de-Seine).

    Les enquêteurs ont décrit un profil "inquiétant". L'homme s'en est pris à une une première femme, à la sortie de la gare de Colombes. Celle-ci téléphonait à son petit ami. Le suspect a arraché son sac puis s'est mis à la frapper de toutes ses forces. Coups de poing, coups de pied, systématiquement au visage... Sa proie est depuis dans le coma et les médecins sont encore réservés sur ses chances de survie.
    Une demi-heure plus tard, il s'en est pris à une nouvelle victime, qu'il a violée sous la menace d'un couteau avant de s'enfuir... puis de regagner sa cellule de prison.

    Qu'est-ce que la semi-liberté ?

    Au moment des faits, le "prédateur" était en semi-liberté, autrement dit totalement libre de ses mouvements le jour, incarcéré la nuit. Le soir des agressions, il avait rejoint la prison de la Santé avec près de trois heures de retard, visiblement sans que cela ne créé la moindre inquiétude. En prison depuis août 2012, il était en semi-liberté depuis mai 2013.

    La semi-liberté, comme le placement sous surveillance électronique et le placement à l’extérieur, est un aménagement de peine sous écrou qui permet à une personne condamnée de bénéficier d’un régime particulier de détention l’autorisant à quitter l’établissement pénitentiaire la journée, explique le Ministère de la Justice.

    A quoi sert-elle ?

    Cette autorisation de liberté permet au détenu "d'exercer une activité professionnelle, de suivre un enseignement, une formation professionnelle, ou un emploi temporaire, de rechercher un emploi, de participer de manière essentielle à sa vie de famille, de suivre un traitement médical ou de s’investir dans tout autre projet d’insertion ou de réinsertion de nature à prévenir les risques de récidive".

    Pourquoi l'autoriser ?

    L'idée qui sous-tend la semi-liberté est d'accompagner le détenu avant sa vraie liberté, afin de lui faire reprendre contact avec l'extérieur.

    La mesure est accordée au cas par cas et réservée à un profil bien précis : les personnes condamnées à moins de 2 ans de prison ou les détenus qui n'ont plus que 2 ans à purger. Elle est décrite comme une transition permettant d'éviter la récidive, en ce sens qu'elle prépare les prisonniers à la fin de leur détention.

    En quoi cette mesure est-elle une question délicate ?

    Selon Olivier Caquineau du syndicat SNEPAP-FSU au micro de RTL, la semi-liberté doit être accordée sous des conditions bien strictes :

    "C'est une peine qui s'exécute ou qui se poursuit, pas un cadeau du magistrat. On ne lâche pas quelqu'un dans la nature, il y a toujours un contrôle par un service, un suivi par un magistrat. Il faut des conditions, soit l'exercice d'une activité professionnelle, soit une recherche d'emploi assez encadrée. Tout cela est vérifié en amont par le service pénitentiaire d'insertion et de probation".

    Ce régime ne concerne qu'une minorité de peines (moins de 3% des personnes écrouées). Elle figure aujourd'hui dans les mesures préconisées par Christiane Taubira pour lutter contre la récidive !

    La mère d'une des victimes a, pour sa part, déploré qu'"on ait laissé un homme au casier judiciaire extrêmement chargé et qui a prouvé sa dangerosité par le passé en liberté". "Je suis outrée que la justice de mon pays fonctionne ainsi", a-t-elle ajouté.

     

    RTL - 13/08/13

  • Valls condamne avec sévérité l'agression (présumée) d'une adolescente voilée à Trappes - 13/08/13

    Une adolescente voilée âgée de 16 ans a été agressée lundi à Trappes, dans les Yvelines, et a porté plainte mardi. Un fait divers qui a immédiatement fait réagir le ministre de l'Intérieur. Manuel Valls a exprimé "son indignation", et "condamné avec sévérité cette nouvelle manifestation de haine et d’intolérance anti-musulmane".

    Les faits se sont déroulés lundi dans l'après-midi. Alors qu’elle sortait du domicile d’une amie, la jeune fille a été abordée par deux individus, "de type européen, dont l'un avait le crâne rasé", selon une source policière.

    Les jeunes hommes ont proféré des insultes à caractère raciste, avant d'arracher le voile islamique de l'adolescente. Ils ont ensuite fait chuter leur victime au sol et l'ont frappé. L'intervention d'un troisième jeune homme a permis de secourir la jeune fille. Les deux agresseurs présumés sont en fuite, selon la place Beauvau.

     

    Une ville sous tension

    Joints par BFMTV.com, les services de police ont confirmé les faits, sans communiquer plus d'information. Le parquet a chargé la sûreté départementale des Yvelines de l'enquête, et le ministre assure que "les services de police sont pleinement mobilisés pour que les auteurs de cette agression inadmissible soient identifiés, retrouvés, interpellés et mis à disposition de la justice."

    Cette nouvelle affaire survient dans un contexte délicat. Trappes, située à 35 km à l'ouest de Paris, a été le théâtre de violences urbaines et de vives tensions à la mi-juillet survenues après le contrôle policier d'une femme entièrement voilée, ce que la loi interdit.
        
    En mai et juin, deux femmes voilées avaient été agressées à Argenteuil, dans le Val-d'Oise, provoquant une vive émotion dans la communauté musulmane de la ville. Une information judiciaire avait été ouverte par le parquet de Pontoise à la fin juin et les investigations se poursuivent.

     

    BFMTV

  • Jean-Marie Le Pen évoque une Promenade des Anglais rebaptisée « Romenade »

     

    Jean-Marie Le Pen, qui avait suscité un tollé en juillet pour ses sorties sur les Roms, a récidivé mardi à Nice en se demandant si la célèbre Promenade des Anglais serait un jour rebaptisée « Romenade ».

    Au cours d’un point de presse, M. Le Pen a fustigé mardi une récente décision de justice de verser 75 euros d’indemnité par jour à des Roms déplacés de leur campement et sans proposition de logement. « Cette annonce en Roumanie a provoqué un enthousiasme fanatique pour le départ, départ jusqu’ici limité. Des dizaines de milliers, des centaines de milliers, de ces Roms vont partir pour revenir chez nous pour y trouver le pactole. En effet 75 euros par jour et par tête c’est le miracle pour eux », a commenté Jean-Marie Le Pen.

    (…) Le Point

     

    FDesouche

  • Ils sèment la terreur dans un TGV Paris-Montpellier, le train dérouté sur Lyon - 13/08/13

     Quatre jeunes originaires de Levallois-Perret, dans les Hauts-de-Seine, voyageant sans billet à bord d'un TGV à destination de Montpellier, ont semé le désordre samedi dans le train qui a dû être détourné vers Lyon.

     

     

    C'est le quotidien Le Progrès qui rapporte l'information. Quatre jeunes originaires de Levallois-Perret, dans les Hauts-de-Seine, voyageant sans billet à bord d'un TGV à destination de Montpellier, ont semé le désordre samedi dans le train qui a dû être détourné vers Lyon.
     
    Partis de la gare de Lyon, à Paris, les quatre compères avaient décidé d'aller au bord de la Méditerranée. En état d'ébriété, les jeunes Franciliens ont également fumé du cannabis, soulevant les protestations d'autres voyageurs. Ce qui ne leur a pas plu : s'en sont suivies insultes et violences à l'encontre des passagers du train : baladeur arraché des oreilles d'un passager, termes orduriers adressés à une femme et même une gifle envoyée à une jeune fille, précise le quotidien régional.
     
    Face à une situation critique, les contrôleurs du train, également menacés, ont décidé de dérouter la rame vers Lyon où les quatre jeunes ont été arrêtés par la police. Jugés en comparution immédiate lundi, des peines allant de 1 à 3 mois ont été prononcées.

     

    TF1

  • Un "déséquilibré" allemand s'introduit chez Carla Bruni au cap Nègre

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/08/12/01016-20130812ARTFIG00437-un-desequilibre-s-introduit-chez-carla-bruni.php

     

     

     

     

  • Rihan Cypel contre Gollnisch : le plus ouvert n’est pas celui qu’on croit !

     

    cypel

     

     

    Le 11 août 2013

    Joris
    Karl
    Journaliste.

    La semaine passée a été l’occasion d’un échange musclé – par médias interposés – entre le porte-parole du PS, Eduardo Rihan Cypel, et Bruno Gollnisch, vice-président du FN. Ainsi, ce dernier, lors d’une vidéo diffusée sur son blog, a qualifié le socialiste de « Français de fraîche date », ce qui, étant donné la récente naturalisation du Libano-Polono-Brésilien (en 1998, à l’âge de 23 ans), n’est qu’information factuelle. Pour Gollnisch, Rihan Cypel, chantre obsessionnel de « l’ouverture aux autres », fait donc « penser à ces gens que vous invitez chez vous et qui, une fois qu’ils y ont pris pied, veulent y faire venir un petit peu tout le monde ».

    Sans doute poussé par l’envie de se faire un nom dans le combat « antifasciste », le socialiste a immédiatement crié au scandale, déclarant vouloir porter plainte contre ces paroles jugées « insupportables » par son mouvement. « C’est la première attaque publique aussi forte et ignoble que j’ai subie, mais ça fait des mois, c’est vrai, que je reçois quelques messages à caractère raciste, sans doute parce que je suis exposé dans les médias et en première ligne de défense républicaine contre l’extrême droite », assure-t-il. Pauvre petit bouchon, et modeste avec ça. À quand une statue au maquis des Glières pour le héros intrépide de la lutte « antifasciste » sans « fascistes » ?

    François Hollande disait, non sans une certaine pertinence, que Juppé représentait physiquement l’impôt. Rihan Cypel, lui, représente physiquement la suffisance, de plus empesée d’approximations, dans chaque débat télévisé.

    On l’a vu tour à tour face à Marion Maréchal, Gilbert Collard ou Florian Philippot : en vérité, Rihan Cypel est avant tout un donneur de leçons professionnel qui aurait ingurgité, au petit déjeuner, doxa socialiste en même temps que langue française.

    On relèvera aussi la trajectoire, comment dire, fulgurante de ce représentant de la « diversité »: diplômé de Sciences Po, entré au PS en 2004, il devient conseiller municipal quatre ans plus tard à Torcy avant d’être élu conseiller régional d’Île-de-France en 2010. En juin 2012, il poursuit son parcours éclair en remportant la législative dans la huitième circonscription de Seine-et-Marne. Clone fascinant du politiquement correct, dès qu’un micro se tend, le moulin à prières se met en route : « République », « métissage », « extrême droite » jusqu’à plus soif. Quant à son honnêteté intellectuelle, ou sa myopie manifestement doublée d’une forte presbytie, on repassera, surtout lorsque affirmant sur Radio Classique qu’il y a « des drapeaux à croix gammées » dans les défilés du Front national…

    Après la violente réaction de l’autoproclamé défenseur de la République, Gollnisch a répondu… en un excellent portugais. Ça aurait pu être en japonais, étant donné la nationalité d’origine de son épouse, ou encore en d’autres langues, mandarin ou malais, qu’il parle couramment. Bref, il n’y a qu’à demander !

    Eduardo Rihan Cypel est certes un Français de fraîche date ; mais avant tout politicien ayant déjà atteint la date de péremption. Pis, peut-être même un brin franchouillard, une fois comparé au patriotisme vigoureux de Bruno Gollnisch, patriotisme se trouvant de plus mâtiné d’un cosmopolitisme des plus élégants.

    Bref, le “repli frileux sur soi” n’est pas toujours là où l’on croit l’attendre.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Le criminel nazi présumé Lazslo Csatary est mort à Budapest un mois avant son procès

    http://fr.euronews.com/2013/08/12/le-criminel-nazi-presume-laszlo-csatary-est-mort/

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  • Julia Abraham : «Je ne me sens ni de la droite actuelle ni de la gauche actuelle mais je me reconnais dans un certain conservatisme»

    Ecrit le 12 août 2013 à 16:00 par Eric Martin dans Les grands entretiens

     
     Julia AbrahamDepuis quelques années, le FN alsacien dispose d’une nouvelle figure qui a quelque peu rajeuni l’image du parti dans cette région : Julia Abraham, qui vient tout juste de fêter ses 21 ans. Brusquement surgie de l’ombre à 18 ans avec un très bon score en mars 2011 aux cantonales de Guebwiller (éliminant le maire de Guebwiller au premier tour et recueillant près de 40% des suffrages au second tour), elle a depuis inlassablement été de tous les combats électoraux (législative, cantonale partielle) et se prépare désormais – en parallèle à son master d’allemand à l’Université de Strasbourg – à se lancer dans la bataille des élections municipales, où elle figurera en 2e position sur la liste soutenue par le FN conduite par l’avocat strasbourgeois André Kornmann.

    Le FN n’a jamais atteint des sommets dans la capitale alsacienne, qui lui est sociologiquement peu favorable : ses meilleurs résultats aux élections municipales datent de 1989 (14,5% au premier tour, 12% au second). Il a par la suite souffert de la concurrence d’Alsace d’abord, et n’est plus présent au conseil municipal de Strasbourg depuis 2001. Le FN peut toutefois raisonnablement espérer y faire son retour en 2014. En effet, la dynamique montante de Marine Le Pen, l’absence probable de liste représentant une concurrence directe, et les dissensions internes de l’UMP pour désigner la tête de liste, devraient permettre de franchir la barre des 10% nécessaire pour accéder au second tour, voire mieux encore.

    Julia Abraham, vous venez de fêter votre 21e anniversaire, et pourtant vous faîtes déjà figure de « vieille routière » de la politique. Pouvez-vous nous présenter votre parcours personnel ainsi que les motivations ayant conduit à votre engagement en politique au sein du Front national ?

    D’un point de vue personnel, j’ai été après mon bac scientifique élève en Hypokhâgne, puis obtenu une licence d’allemand à l’Université de Strasbourg, et prépare actuellement les concours de l’enseignement. J’attache une très grande importance à mes études et à ma vie professionnelle, car je souhaite pouvoir en toutes circonstances conserver ma liberté de femme et ne pas me retrouver en situation de dépendance car je ne considère pas la politique comme une finalité professionnelle.

    Dès l’adolescence, j’ai ressenti le besoin de m’engager pour défendre mes compatriotes que j’estimais victimes des gouvernements de droite et de gauche qui se sont succédé à la tête du pays. Très jeune, j’ai vu en Jean-Marie Le Pen le seul homme politique à tenir un discours de vérité, avec à cœur de défendre en priorité ses concitoyens… Lorsqu’à 15 ans j’ai commencé à vouloir militer pour ne pas rester spectatrice de la situation, je me suis naturellement tournée vers le Front national et ai commencé à imprimer les tracts de la présidentielle de 2007 pour les distribuer dans la cour du collège !

    Puis, à 18 ans, j’ai adhéré, et dans la foulée, me suis présentée aux cantonales de Guebwiller où je fus la plus jeune candidate de France à accéder au second tour de ce scrutin. L’an dernier, à 20 ans, j’ai réalisé un score de près de 20% des suffrages en tant que candidate à la députation dans la deuxième circonscription du Haut-Rhin, et 14% à la cantonale partielle de Munster qui suivit.

    Le FN s’est affirmé tantôt de « droite nationale » (récemment encore, Marion Maréchal-Le Pen se définissait comme étant une femme de droite), tantôt « ni gauche ni droite ». Sans nécessairement mettre en opposition ces deux affirmations, comment vous situeriez-vous ?

    Je ne me sens ni de la droite actuelle ni de la gauche actuelle, dirons-nous… Il y a effectivement dans le terme « droite » la notion de défense des valeurs, du patrimoine, un certain conservatisme dans lequel je me reconnais, tout comme Marion Le Pen… mais qui n’a rien à voir avec la droite actuelle, à l’image de l’UMP, qui a non seulement mené la France dans le mur lorsqu’elle fut au pouvoir, mais qui, de surcroît, s’est essuyé les pieds sur tout ce qui pouvait être caractéristique de la droite dans l’esprit des gens. Rappelons qu’il y a eu plus d’immigrés clandestins régularisés sous Sarkozy que sous Jospin par exemple…

    Cette droite ne vaut pas mieux que la gauche à mon sens, car toutes deux sont soumises à l’Union Européenne et à la logique ultra-libérale. En dehors de réformes sociétales introduites par la gauche (sur lesquelles la droite RPR/UMP n’est jamais revenue), leur bilan socio-économique est des plus semblables.

    « Le gouvernement qui maltraite son peuple de manière implicite par sa façon de gérer – ou non – le pays a montré ce jour-là qu’il était aussi capable de passer à l’étape suivante et n’hésiterait pas à enclencher la violence physique. »

    Législatives 2012 : le concurrent écologiste de Julia Abraham pris en flagrant délit de sourire !

    Législatives 2012 : le concurrent écologiste de Julia Abraham pris en flagrant délit de sourire !

    Depuis la campagne présidentielle de 2012, vous faîtes partie de la direction nationale du Front national de la Jeunesse. Par le passé, le FNJ a tantôt été dynamique, tantôt moribond, et semble avoir récemment trouvé un nouveau souffle. Pouvez-vous nous dire comment le FNJ envisage sa stratégie de développement à l’avenir et quels sont ses projets pour les prochains mois ?

    Le FNJ est en effet des plus dynamiques ! Il faut dire que le Front national est le premier parti des « jeunes » de France : 25% des 18-30 ans ont voté Marine Le Pen aux dernières présidentielles. Pour nous, il est impératif de faire du FNJ une véritable force politique qui agisse autant sur les lieux de travail, au sein des entreprises que dans les universités, partout où la bien-pensance et les syndicats ont longtemps fait régner leur diktat. La jeunesse a cela d’intéressant qu’elle n’a pas de tabous et qu’elle se fiche de recevoir des leçons de la part de vieux théoriciens qui ont tous lamentablement échoué : notre force, au Front national, est que les faits nous donnent raison!

    Le FNJ s’implante donc, depuis quelques temps, de plus en plus dans les universités et nous continuerons sur cette voie pour l’année à venir, mais notre but est aussi d’avoir un maximum d’élus de moins de trente ans lors des prochaines échéances électorales, en particulier pour les élections municipales à venir. Aux dernières législatives, un candidat sur trois était issu du FNJ, et cela s’est avéré un véritable succès : voyez comme Marion Maréchal-Le Pen remplit ses fonctions de député avec brio ! Aux âmes bien nées, la valeur n’attend pas le nombre des années.

    La France a connu un sursaut inattendu à l’occasion des manifestations contre le mariage et l’adoption d’enfants pour les couples homosexuels. Vous avez participé à la plupart de ces rassemblements, pourriez-vous nous donner votre ressenti sur ces manifestations ?

    J’ai participé entre autres à la Manif pour tous du 24 mars dernier, et je dois avouer avoir été sidérée par les directives de Manuel Valls à l’égard des manifestants. Le fait que la France bien élevée descende dans la rue et crie sa colère a sans doute surpris le gouvernement, mais il ne semble pas s’être remis en question une seule fois, ni même avoir tenu compte du cri de son peuple ! Et, puisqu’il faut bien y revenir, l’usage des gaz lacrymogène sur des mères de famille, des personnes âgées et des enfants en bas âge, dont j’ai moi-même été victime, est digne des techniques de répression soviétique. Le gouvernement qui maltraite son peuple de manière implicite par sa façon de gérer – ou non – le pays a montré ce jour-là qu’il était aussi capable de passer à l’étape suivante et n’hésiterait pas à enclencher la violence physique. Puisse le peuple français s’en souvenir aux prochaines élections…

    Les « Manif pour Tous » ont mobilisé peu de monde en provenance du nord et de l’est de la France, qui sont des régions fortes pour le Front national. En revanche, l’ouest de la France, qui est sociologiquement une région plus faible pour le Front national, plus orientée à gauche ou vers un vote souverainiste (de type MPF), s’est fortement mobilisé. Le Front national a eu une position jugée ambivalente par certains lors de ces manifestations, puisque sa présidente Marine Le Pen n’a pas participé aux manifestations, tout en étant l’un des rares responsables politiques à affirmer qu’en cas d’accession au pouvoir elle procèderait à l’abrogation pure et simple de la loi (sans effet rétroactif).

    L’un des enjeux pour le FN pourrait être d’amener à lui ces masses de manifestants, qui pourraient être tentés par le vote UMP ou par les tentatives d’engagement électoral entreprises par certains leaders des Manif pour Tous. Qu’auriez-vous envie de dire à cette France qui a, comme vous, battu le pavé ces derniers mois, mais qui ne votera peut-être pas pour les listes de votre formation politique aux prochaines échéances électorales ?

    De se tourner vers la seule force politique qui tiendra sa parole non seulement sur le sujet, mais qui aura également le courage de changer les choses au niveau économique et social ! Marine Le Pen n’a pas souhaité manifester pour montrer que pour elle, le principal problème restait le chômage, l’insécurité, la dette, les gabegies de l’argent public… Et je pense qu’elle a raison. Il n’en demeure pas moins que sa position sur le mariage homosexuel a toujours été très claire.

    Et je rappelle à tous ceux qui auraient encore envie de voter UMP malgré le bilan lamentable de Sarkozy que nous lui devons, entre autres, l’insertion des « théories du genre » dans les manuels et programmes scolaires !

     

    Mars 2011 : première campagne cantonale pour Julia Abraham

    Mars 2011 : première campagne cantonale pour Julia Abraham

    Revenons en Alsace. Alors qu’elle a longtemps été une région de quasi plein-emploi, l’Alsace a désormais quasiment  « rattrapé son retard » par rapport au reste de la France et connait un taux de chômage similaire à celui du pays. Comment expliquez-vous cette chute brutale ?

    Ce n’est pas une chute brutale, en réalité : nos barons locaux ont toujours cru que l’Alsace était préservée ad vitam eternam de la situation nationale, ce qui est ridicule. Le déclin de la situation économique alsacienne ne date pas d’hier et s’est poursuivi, là encore, sous les gouvernements de droite comme de gauche.

    Ce déclin s’est amplifié du fait de la désastreuse désindustrialisation qui fait ravage dans notre pays. L’Alsace est (était) une région fortement industrialisée. La situation économique de l’Alsace aujourd’hui était donc largement prévisible car elle dépend complètement de la situation économique à l’échelle nationale, où nous sommes écrasés par les concurrences déloyales de pays ayant des coûts de production incomparables aux nôtres (sans que nous y retrouvions pour autant des différences significatives lors de l’achat de ces produits en magasin !).

    À Munster, Sainte-Marie-aux-Mines, Guebwiller, les usines ont fermé les unes après les autres, en faisant ainsi des vallées « mortes », au profit de l’une ou l’autre multinationale qui crée l’un ou l’autre emploi aujourd’hui pour le supprimer d’un claquement de doigts demain… Quant aux élus locaux, ils n’ont rien vu venir et n’ont rien entrepris pour le maintien de notre tissu productif.

    « En tant que patriote, je suis opposée à l’UE qui bâillonne les peuples et pille les états, mais je suis favorable à une Europe des nations libres et des peuples souverains. »

    Vous serez candidate avec Me Kornmann aux élections municipales de mars 2014. Quels seront les principaux axes de votre campagne ? Quels résultats espérez-vous obtenir à Strasbourg ?

    Nombreux sont les points critiquables dans la gestion socialiste de notre belle ville ! Pour n’en citer que quelques uns, au quotidien, le prix des transports de la CTS est, par exemple, absolument exagéré. Il faut absolument s’atteler à un gel des prix à un niveau raisonnable, entre autres pour le tramway, qui pèse souvent lourd dans le budget des étudiants. Avec André Kornmann, nous tenons également à redynamiser le commerce de centre-ville, asphyxié par un accès très difficile et par une politique exagérément répressive à l’endroit des automobilistes (que Roland Ries entend encore aggraver).

    Il faut également faire mention de l’insécurité, qui est toujours gravissime, en particulier dans certains quartiers tristement célèbres pour le nombre de véhicules brûlés le jour de l’an (mais aussi tout au long de l’année).

    La barre des 15% (encore jamais atteinte par le FN à Strasbourg), au vu de l’espoir que représente Marine Le Pen notamment pour les classes moyennes et les jeunes, ne me semble pas inatteignable, et doit constituer notre objectif.

    En tant que strasbourgeoise, il est difficile d’éluder avec vous la question européenne. Le FN est un adversaire résolu de l’appartenance de la France à l’Union européenne, tandis qu’en Europe émergent de plus en plus de mouvements puissants opposés à l’Union européenne, qu’ils soient souverainistes, populistes, nationalistes ou ultra-radicaux. Quel type d’alternative voyez-vous à l’Union européenne actuelle ? Par le biais du FNJ, disposez-vous déjà de mouvements de jeunesse partenaires en Europe ?

    Que les choses soient claires : en tant que patriote, je suis opposée à l’UE qui bâillonne les peuples et pille les états, mais je suis favorable à une Europe des nations libres et des peuples souverains, qui me semble être la seule alternative. Il faut que chaque pays puisse évoluer selon ses besoins, tout en restant en étroite coopération avec ses partenaires européens (contrairement à ceux qui affirment de façon mensongère que nous voudrions nous mettre en situation d’autarcie).

    Par le biais du FNJ, nous disposons d’ores et déjà de mouvements de jeunesse partenaires en Europe : les jeunes du FPÖ autrichien par exemple, les patriotes flamands, italiens… Nous avons conscience que l’avenir des peuples européens – et donc le nôtre – passera par un combat fraternel contre l’UE et les lobbys qui nous imposent leur carcan.

    Un mot de conclusion pour les lecteurs de Nouvelles de France ?

    Ne lâchons rien ! Notre combat est juste, nous nous battons en honneur aux générations précédentes mais également pour celles à venir. Petit à petit, les faits nous donnant raison et Le Pen ayant  toujours dit la vérité (quel qu’en fut le prix), les gens sont de plus en plus nombreux à nous faire confiance et notre mouvement trouve un écho considérable même parmi des électorats qui ne nous étaient, a priori, pas acquis. Mobilisons-nous lors des prochaines municipales, pour redonner l’espoir au peuple français !

     

    Nouvelles de France

  • Sans surprise : le coup du militaire d’extrême-droite qui voulait attaquer une mosquée

     

    « Oh ! Regardez ! L’extrême-drouate ! « 

    Presque chaque semaine depuis quelques mois, le Système présente une affaire (plus ou moins bidon) liée à « l’extrême-droite » : Méric, agression (?) d’une femme bâchée, Vikernes, etc.

    Le gouvernement a trouvé sa principale mission : la lutte contre l’extrême-droite et la défense des valeurs républicaines !
    Ca permet de faire oublier les échecs rencontrés dans tous les domaines…

    Cette fois, c’est l’histoire fumeuse d’ « un militaire militaire a été arrêté près de Lyon pour un projet d’attaque contre une mosquée, selon le ministère de l’Intérieur.  L’homme de 23 ans est  « proche des idées de l’extrême droite radicale ». Dans un communiqué, le ministère précise que le jeune homme, qui a été interpellé sur la base aérienne de Lyon Mont Verdun, « avait projeté [des preuves?] de tirer à l’arme à feu contre une mosquée de la région lyonnaise ».
    Selon la même source, le soldat, au terme de quatre jours de garde à vue dans les locaux de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), a été déféré dimanche devant la section anti-terroriste du parquet de Paris. Le communiqué précise que le ministre de l’Intérieur Manuel Valls « félicite les agents de la DCRI pour leur enquête ayant permis de mettre préventivement à la disposition de la justice et hors d’état de nuire » ce suspect.

    Comment ne pas se dire que cette histoire probablement très surfaite, est mise en avant par les médias pour contrer l’affaire, bien réelle cette fois, d’un énième jeune Français poignardé dans la rue par une « chance pour la France » ?
    Et qu’elle permet de contrebalancer une nouvelle affaire où la racaille a attaqué les militaires (voir l’info ici, avec 55 000 «j’aime») ?

     

    Contre-info.com