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  • 20 août 1955 : massacre d’El Halia. Un voisin à ses futures victimes : « Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande »

     

    Il n’y a même pas 60 ans.
    Le FLN – organisation séparatiste et terroriste soutenue entre autres par la gauche française (dont le traître Jacques Vergès récemment décédé) et toujours au pouvoir en Algérie - avait décidé, devant l’essoufflement de sa propagande, de passer à une stratégie sanguinaire pour faire « monter la pression » en Algérie française.

    Ainsi, dans le petit village minier d’El Halia, 71 Européens furent massacrés de la façon la plus ignoble que l’on puisse imaginer.
    Outre les égorgements des hommes (après ablation du sexe et vision du viol de leurs femmes et de leurs filles) et l’éventration des femmes – méthode habituelle -, on note pour la première fois des personnes dépecées, vraisemblablement tant qu’elles étaient vivantes. Ainsi que des empalements.

    Description puis témoignage :
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    Contre-info.com

  • Les obsèques mondaines et religieuses de Jacques Vergès

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/08/20/01016-20130820ARTFIG00382-les-obseques-de-jacques-verges-ont-ete-celebrees-a-paris.php

  • L'infirmier agressé à Marseille à l'hôpital de la Conception témoigne: "c'est le quotidien de beaucoup de gens ici"

    Il était environ 5h30, dimanche matin, quand Gérald a entendu une de ses collègues, agent administratif, "hurler". L'infirmier faisait une  "pause" dans sa journée de travail aux urgences de l'hôpital de la Conception, à Marseille. Lundi, encore "choqué", il a accepté de livrer son témoignage de l'agression qui a suivi, par trois jeunes gens qui venaient de poignarder un ado de 18 ans.Ce dernier est mort des suites de ses blessures.

    "Quand je suis arrivé, indique-t-il le visage dans l'ombre, ma collègue m'a dit: 'il y a des gens complètement fous derrière la porte, qui tapent et qui hurlent'. J'ai ouvert et se sont présentés trois jeunes , très agités. Ils avaient des plaies, entre autres à la main et au niveau du bas ventre. Ils voulaient savoir si c'était grave."

    "Un coup de pied dans la porte"

    Les trois jeunes gens quittaient une rixe, survenue devant une boîte de nuit dans le centre-ville de Marseille, près du Vieux-Port. Ils venaient de porter un coup de couteau dans le thorax d'un garçon de 18 ans, décédé lundi après-midi de ses blessures. Mais cela, Gérald ne le savait pas.
     
    "J'ai essayé de les rassurer, mais j'ai dit à celui qui avait une plaie au bas-ventre qu'il devait voir un médecin, poursuit-il. Là, ils m'ont dit, très énervés: 'Tu nous as dit que ce n'était pas grave', et ils sont partis."

    Gérald les a suivis "pour tenter de les raisonner", afin que le blessé soit examiné. Les trois jeunes gens sont alors revenus vers lui avec violence. Par prudence, l'infirmier a "fermé la porte de la salle d'attente". Mais ses agresseurs "ont donné un coup de pied dans la porte et j'ai reçu un coup sur le bras avec quelque chose de coupant."

    "Des coups de couteau pour trois fois rien"

    C'est après coup que Gérald a "pris conscience de la gravité de ce qui aurait pu se produire". Quand il a appris qu'un "petit jeune" avait également été poignardé. Mais pour lui, cette violence, c'est "le quotidien de beaucoup de Marseillais".

    "On a peur de travailler aux urgences, confie-t-il. Je ne me sens pas en sécurité, je ne sens pas mes collègues en sécurité. Mais la violence, ce n'est pas seulement aux urgences. On voit des personnes âgées arriver aux urgences rouées de coups alors qu'elles marchaient dans la rue, ou des gens qui se sont pris des coups de couteau pour trois fois rien."

     

    BFMTV

     

    NdB: Il s'agirait de jeunes originaires des Comores

  • La farandole macabre des règlements de comptes

    Un homme criblé de balles dans sa voiture

     
    Marseille / Publié le lundi 19 août 2013 à 22H46
     

    Les secours ont retrouvé un homme mort, criblé de balles au volant d'une voiture, vers 22h.

     Le véhicule était stationné près d'un restaurant, dans le quartier Estaque plage (16e arrondisssement), à Marseille.

     

    La Provence

  • Un troisième genre officiellement reconnu en Allemagne

     

    En permettant aux parents d’inscrire un sexe « indéterminé » sur l’acte de naissance d’un nourrisson, l’Allemagne deviendra, le 1er novembre prochain, le premier pays européen à reconnaître officiellement un troisième genre. Une initiative encouragée par la Cour constitutionnelle.

    Si l’on en croit une information du quotidien britannique The Guardian, relayée par Le Monde, l’Allemagne sera, le 1er novembre prochain, le premier pays européen à reconnaître officiellement un troisième genre. En effet, à compter de cette date, le pays permettra d’inscrire un sexe « indéterminé » sur le certificat de naissance des nourrissons. Une initiative fortement encouragée par la Cour constitutionnelle selon laquelle le genre ressenti et vécu est un droit humain fondamental.

    Cette reconnaissance s’adresse aux « bébés intersexuels, c’est-à-dire ceux qui présentent une ambiguïté sexuelle constitutive provenant d’une anomalie dans le déterminisme des gonades (ovaires et testicules) ou dans la différenciation des organes génitaux », détaille Le Monde. Les personnes enregistrées sous un sexe « indéterminé » à leur naissance pourront toutefois, et à tout moment de leur vie, modifier cette identité sexuelle sur leur acte de naissance.

    En France, environ 200 nouveau-nés présentent une ambiguïté sexuelle à la naissance. Généralement, les médecins recommandent une intervention chirurgicale rapide après la naissance de l’enfant afin qu’il puisse rapidement se situer comme étant fille ou garçon, mais aux États-Unis, des associations militent pour que ces opérations soient pratiquées à un âge ou le patient sera capable de choisir lui-même son sexe.

     

    E&R

  • Hénin-Beaumont: Gérard Dalongeville fait appel de sa condamnation à quatre ans de prison

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    Créé le 19/08/2013 à 14h09 -- Mis à jour le 19/08/2013 à 17h48

     

    Premier jour du procès de Gérard Dalongeville à Béthune (62). M.LIBERT/20 MINUTES

    JUSTICE - Dont trois ans ferme et 50.000 euros d'amende...

    L'ex-maire socialiste d'Hénin-Beaumont Gérard Dalongeville a été condamné à quatre ans de prison, dont trois ferme. Il a aussi été condamné à 50.000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité. En juin dernier, il avait comparu aux côtés de vingt autres prévenus pour 18 détournements de fonds publics, 11 délits de favoritisme, 6 usages de faux et une corruption passive, entre 2006 et 2009 lorsqu'il était maire de la ville.

    Fausses factures

    Le tribunal correctionnel de Béthune s'est montré plus ferme que le ministère public, qui avait requis quatre ans de prison, dont deux ferme et  50.000 euros d'amende. L'avocat de l'ex-socialiste, qui a effectué près de neuf mois de détention provisoire, a annoncé ce lundi qu'il fait appel de ce jugement, qui est suspensif. «C'est un jugement délirant, a déclaré Me Francis Terquem. On veut ainsi forcer Gérard Dalongeville à cesser de mettre en cause le parquet de Béthune à travers ses relations avec le Parti socialiste.» L'avocat précisait d'ailleurs en mai dernier que le procès n’était pas dissociable des enquêtes en cours sur le financement du Parti socialiste dans le Pas-de-Calais.

    La justice soupçonnait Gérard Dalongeville d'avoir mis en place -avec son ancien premier adjoint chargé des finances de 2001 à 2008, Claude Chopin, et un homme d'affaires, Guy Mollet, également renvoyés- un système de fausses factures entre 2006 et avril 2009, au bénéfice de sociétés qui n'ont jamais honoré les prestations correspondantes.

    M.P. avec Olivier Aballain à Lille.
     
    20minutes.fr  
  • L'énigmatique boule aux rats de la cathédrale de Carpentras

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    Carpentras / Publié le dimanche 18 août 2013 à 11H39
     

    Du 15 juillet au 18 août, LaProvence.com vous propose de découvrir la région autrement : à travers des lieux insolites et anecdotiques que vous fait visiter le guide-conférencier Jean-Pierre Cassely

    Photo Jean-Pierre Cassely
    La curieuse boule parcourue par une douzaine de rats.

    Sculptée au-dessus de la porte juive de la cathédrale Saint-Siffrein de Carpentras, une curieuse boule est parcourue par une douzaine de rats.

    Succédant à deux édifices antérieurs (VIIe et XIIe siècles), l’actuelle cathédrale Saint-Siffrein de Carpentras a vu poser sa première pierre en 1405 sous le pape avignonnais Benoit XIII - Pedro de Luna. Les travaux dureront jusqu’à 1519 et elle sera consacrée en 1531. D’architecture de type gothique méridional, la cathédrale possède une porte principale qui s’ouvre sur la façade classique rajoutée au XVIIe siècle. Au midi, la porte dite “Juive” est de style gothique flamboyant. C’est par cette porte proche du gettho que devaient entrer les juifs qui désiraient se convertir à la religion catholique. Rappelons que c’est parce que Carpentras était terre papale que les juifs chassés de France au XIIIe siècle ont pu s’y réfugier et y construire l’une des plus vieilles et probablement l’une des plus belles synagogues de France.

    Celle-ci fut construite en 1367, époque à laquelle on comptait à Carpentras 45 familles juives. En 1779, les juifs de Carpentras reçurent l’autorisation de l’agrandir mais l'évêque leur reprocha de vouloir la bâtir plus haute que sa cathédrale. La synagogue actuelle date de 1784 alors qu’environ 750 familles juives vivaient à Carpentras. Classée monument historique, la synagogue possède un bain rituel (mikvé) alimenté par une source naturelle, avec des bassins situés dans différentes chambres, une boulangerie avec des fours et des pétrins en pierre pour le pain quotidien, celui du Shabbat et le pain azyme.

    Placée au-dessus de la porte juive, la boule aux rats a suscité d’innombrables interprétations, des plus fantaisistes aux plus probables. Ainsi, l’étymologie ou la toponymie de Carpentras y est parfois évoquée : Carpere = brouter, ras = rat.... Que veulent signifier ces rats autour du globe terrestre ? Il s’agirait peut-être de la symbolique de la peste qui fit tant de victimes en Comtat (Venaissin) malgré le mur de la peste : les épidémies de typhus et de peste (la peste noire dont le nom vient de la couleur des victimes) firent 150 000 morts dans la région au XIVe siècle. La “boulo di gari” (boule aux rats en provençal) aurait été placée pour rappeler que la fréquentation assidue de l’église était le meilleur vaccin contre la maladie…

    Il existe d’autres boules aux rats en France : à Saint-Germain l’Auxerrois à Paris, à la cathédrale du Mans et dans l’église Saint-Jacques de Meulan dans les Yvelines.

    Saint-Siffrein, le saint patron de Carpentras qui a donné son nom à la cathédrale, fut évêque de la ville au VIIe siècle. Il fut formé à Lerins et sa vie est illustrée de retentissants miracles. Son culte est toujours célébré avec une grande solennité. Quant au Saint-Mors de Constantin qui figurait avant 1793 sur le blason au-dessus de la boule aux rats, il est mentionné par un sermon de Saint-Cyrille de Jérusalem (en 350), les œuvres de Sozomène et Théodoret de Saint-Cyr.
    Saint-Siffrein est arrivé à Carpentras à la suite des croisades vers 1220. Il est "conservé" dans un magnifique reliquaire d’Armand Caillat (1872). L’origine de son nom est mystérieuse : viendrait-elle selon des hypothèses, du frein des éperroniers romains en tant que Saint-Frein ?


    Les articles de cette série sont extraits des guides "Provence insolite et secrète", "Marseille insolite et secrète" et "Aix insolite et secrète" aux éditions Jonglez, www.editionsjonglez.com
    Retrouvez Jean-Pierre Cassely, guide-conférencier, au cours de ses visites guidées à Aix, Marseille et en Provence : www.provence-insolite.org

     

     

    Jean-Pierre Cassely

  • Meurtre de Jérémie: une nouvelle piste sérieuse - Le marginal déséquilibré serait mis hors de cause

    http://provence-alpes.france3.fr/2013/08/19/meurtre-de-jeremie-marseille-une-nouvelle-piste-serieuse-304287.html

  • Marseille : l'homme agressé au couteau est décédé

     

     
    Marseille / Publié le lundi 19 août 2013 à 05H23 - mis à jour à 18H09
     

    Trois individus ont blessé mortellement un jeune homme hier avant d'agresser un soignant, l'un des suspects a été interpellé ce matin

    Faits Divers - Justice - Actualités - Marseille : l'homme agressé au couteau est décédé
    Photo La Provence
                    

    Le garçon de 18 ans, gravement blessé au couteau dimanche matin, à proximité du Vieux-Port à Marseille, a succombé à ses blessures, à la mi-journée, à l'hôpital Nord, où il était placé dans le service de réanimation. Des informations rassurantes avaient circulé hier quant à son état de santé. Mais ce matin, les responsables de l'AP-HM (Assistance publique des hôpitaux de Marseille) s'étaient montrés plus perplexes. Le pronostic vital était en fait toujours engagé et les médecins demeuraient pessimistes quant à une évolution favorable.

    L'un des suspects, interpellé ce matin vers 10h, à son domicile de Carnoux, était toujours en garde à vue. Considéré comme étant le conducteur de la Toyota Yaris qui se trouvait sur le lieux de l'agression survenue cours Jean-Ballard à Marseille (1er), il aurait également participé aux violences qui ont suivi à l'hôpital de la Conception (5e).

    Au départ de cette nouvelle affaire aux frontières de l'imaginable, il y a d'abord une bagarre, vers 5h30. Une rixe comme il peut s'en produire au sortir de boîtes de nuit, lorsque l'alcool aiguise les sens les plus vils. Un groupe de trois hommes s'en prend à un quatrième. Originaire des Comores et âgé de 18 ans, il reçoit un coup d'arme blanche dans le thorax et perd aussitôt beaucoup de sang.

    Les marins pompiers le transportent en urgence absolue à l'hôpital Nord, où il est mort ce midi, tandis que les agresseurs prennent le large. Direction l'hôpital de la Conception pour soigner l'un d'eux, blessé à la main. Une entaille profonde. Sur place, le ton monte en quelques minutes. Les hommes au comportement toujours aussi animal ne comprennent pas qu'ils vont devoir attendre, que d'autres cas sont plus urgents. Alors ils s'en prennent au personnel soignant. Un jeune infirmier qui tente de calmer les esprits reçoit en échange un coup de couteau à l'avant-bras. Fort heureusement, les coups s'arrêtent et le petit groupe s'enfuit à nouveau.

    Si l'enquête démarre, de nombreux éléments, dont le signalement des suspects, l'immatriculation de leur véhicule - une Toyota Yaris - ont été immortalisés par plusieurs caméras qui ont également enregistré la rixe sur le cours Jean-Ballard. Ces caméras ont permis d'identifier le propriétaire du véhicule, la mère du suspect, domiciliée dans le 11ème arrondissement de Marseille et qui laissait son fils utiliser son véhicule.

    La police et le parquet se montraient optimistes dès hier soir quant à une arrestation imminente. "Nous avons des éléments intéressants à exploiter, des témoins ont été entendus, confirmait hier soir Jean-Jacques Fagni, le procureur adjoint. J'ai bon espoir que nous progressions rapidement.

    La victime comme l'homme interpellé sortaient depuis peu de prison. Le conducteur de la Yaris était connu des services de police pour des affaires de vol, d'escroquerie et de recel.

    L'enquête se poursuit pour appréhender les deux autres personnes mises en cause, qui sont toujours en fuite. Le mobile de la rixe demeure incertain, puisque la victime n'a pu être entendue.

     

    La Provence

  • Un CRS marseillais frappé hors service à coups de couteau

    http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2493211/un-crs-marseillais-agresse-a-coups-de-couteau.html

  • Il y a eu sur le globe...

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    « Il y a eu sur le globe un petit coin de terre qui s’appelait la Grèce, où, sous le plus beau ciel, chez des habitants doués d’une organisation intellectuelle unique, les lettres et les beaux-arts ont répandu sur les choses de la nature comme une seconde lumière, pour tous les peuples et pour toutes les générations à venir. Homère a le premier débrouillé par la poésie les beautés naturelles, comme Dieu a organisé la vie en la démêlant du chaos. Il a pour jamais instruit le genre humain, il a mis le beau en préceptes et en exemples immortels. Tous les grands hommes de la Grèce, poètes, tragiques, historiens,  artistes de tous genres, peintres, sculpteurs, architectes, tous sont nés de lui ; et tant que la civilisation grecque a duré, tant que Rome, après elle, a régné sur le monde, on a continué à mettre en pratique les mêmes principes une fois trouvés. Plus tard, aux grandes époques modernes, les hommes de génie ont refait ce qu’on avait fait avant eux. Homère et Phidias, Raphaël et Poussin, Gluck et Mozart, ont dit en réalité les mêmes choses !

    Erreur donc, erreur que de croire qu’il n’y a de santé pour l’art que dans l’indépendance absolue ; que les dispositions naturelles courent le risque d’être étouffées par la discipline des anciens ; que les doctrines classiques gênent ou arrêtent l’essor de l’intelligence. Elles en favorisent au contraire le développement, elles en rassurent les forces et en fécondent les aspirations ; elles sont une aide et non une entrave. D’ailleurs, il n’y a pas deux arts, il n’y en a qu’un : c’est celui qui est fondé sur l’imitation de la nature, de la beauté immuable, infaillible, éternelle. »

    Ingres

     

     

  • Abominable ! Roubaix: les jeunes s'amusent à faire exploser les chatons à coups de pétards

    18/08

     

    Gaëlle, une habitante de Roubaix, témoigne sur le site http://blog.yummypets.com.

    Cette dernière aide autant qu’elle le peut les chats de son quartier qui sont pris pour cible par des jeunes.

    « Depuis que je suis ici, j’ai vu des chats écrasés volontairement par des jeunes, qui veulent prouver qu’ils sont des durs. » a indiqué Gaëlle.

    « S’ils ne les écrasent pas, les petits caïds attrapent les chats les plus dociles, et les fourrent de pétards, les caillassent etc… J’en ai vu, des chatons explosés par des pétards…. » a-t-elle rajouté.

     
     
    FAITS DIVERS
     
  • Athènes ne veut toujours pas de mosquée !

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    Le 18 août 2013     

    José
    Meidinger
    Journaliste.
    Ancien grand reporter à France 3 Alsace, il passe son temps entre l’Alsace et la Grèce.

    Le feuilleton dure depuis une dizaine d’années, et ce n’est pas fini : la capitale grecque refuse obstinément de construire une mosquée !

    Malgré le feu vert du gouvernement Samarás qui n’est pas à une gabegie près, aucune entreprise n’a répondu à l’appel d’offres – à hauteur de 940.000 euros – pour la construction de la mosquée. C’est le troisième appel d’offres gouvernemental qui vient de finir en eau de boudin – si Allah m’y autorise – et le quatrième, prévu pour début septembre, risque bien de connaître le même sort. En fait, le prix des travaux est estimé à 1,1 million d’euros, une somme jugée excessive par les opposants nationalistes et religieux chrétiens orthodoxes, surtout en ces temps de crise que traverse le pays.

    L’Église veille au grain : le métropolite Séraphin du Pirée a déclaré que « la Grèce a souffert de cinq siècles de tyrannie musulmane sous le pouvoir turc. Construire une mosquée serait une insulte pour les martyrs qui nous ont libérés. » Un message qui passe davantage que celui des politiques, car le clergé orthodoxe – qui aujourd’hui se charge de nourrir les plus démunis – a été de tout temps proche du peuple, l’aidant à reconquérir sa liberté et à secouer quatre siècles de joug ottoman.

    Le voisin ottoman n’est d’ailleurs pas à une provocation près : le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdoğan, a eu le toupet de proposer, en février dernier, de financer la construction de la future mosquée d’Athènes. Un peu héroïquement, le trop fier Antónis Samarás a refusé l’offre, rappelant poliment à son homologue des rives du Bosphore que la Turquie ne respectait guère les minorités religieuses dans son pays. Hormis l’islam, pas de salut ! La Turquie s’oppose, entre autres, à la réouverture de l’école théologique (orthodoxe) de Halki, qu’elle a fermée en 1971. Elle refuse surtout de reconnaître un statut légal au patriarche œcuménique de l’Église orthodoxe – « pape » des orthodoxes grecs à travers le monde – qui, malgré toutes les vexations, siège courageusement à Constantinople depuis le Ve siècle. Même si « Sainte-Sophie la putain », comme l’appellent les Grecs, est devenue une mosquée, puis un musée.

    Déjà, à la veille des Jeux olympiques de 2004, l’Arabie saoudite avait joué les « souteneurs », en proposant de construire un centre culturel islamique et une mosquée à proximité de l’aéroport. On imagine l’impression que cela aurait donnée aux visiteurs arrivant à Athènes. Bienvenue chez Allah ! Malgré le feu vert du gouvernement socialiste de l’époque, les autorités locales du parti conservateur et les habitants s’opposèrent au projet. Ils érigèrent une croix de trois mètres de haut à l’endroit proposé pour la construction, ce qui exorcisa à tout jamais les velléités de Riyad. Le projet de rouvrir une ancienne mosquée au pied de l’Acropole en 2006 se heurta à la même opposition des habitants, malgré l’avis favorable de la municipalité d’Athènes. C’est aujourd’hui un musée pour les arts populaires. La culture n’a pas perdu au change…

    Même si un lieu de prière officiel peut paraître nécessaire, plutôt que quarante lieux de culte insalubres recensés par la police, Athènes restera sans doute, pour un moment encore, la seule capitale européenne à ne pas vouloir de mosquée. Si les entrepreneurs du bâtiment tiennent bon, les minarets ne viendront pas ternir les cariatides du Parthénon… Pourtant, les orthodoxes grecs savent coexister avec l’islam : en Thrace, dans le nord de la Grèce, la minorité nationale pomak d’origine bulgare dispose de quelque 300 mosquées, de presque autant d’imams et de quelques muftis. Des minorités islamiques qui se sont parfaitement intégrées à la vie grecque, ce qui – hélas Hellas ! – n’est pas le cas des musulmans d’Athènes – environ 300.000 – la plupart sans papiers, d’origine pakistanaise ou albanaise et que la crise a souvent jetés dans la délinquance.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • La Corée du Nord toujours plus ubuesque

    17 août 2013

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    La presse coréenne (du sud) et chinoise fait état de modifications apportées aux « 10 principes pour l’instauration du système d’idéologie unique » qui régissent tout en Corée du Nord. Ces 10 principes du « parti des travailleurs » ne sont guère que dix variations sur l’obéissance absolue que tout Coréen doit au grand chef Kim Il-sung. Mais ils se déclinent en 65 clauses qui définissent concrètement cette obéissance.

    Les 10 principes avaient été modifiés lors de l’accession au pouvoir de Kim Jong-il, en 1994 : on avait ajouté son nom à celui du grand chef Kim Il-sung, devenu président éternel.

    Il fallait donc aussi que le nouveau chef, Kim Jong-un, modifie le texte à son tour. Il n’ajoute pas son nom à celui de son père et de son grand-père : il instaure officiellement un pouvoir héréditaire : la deuxième clause de l’article 10 dit désormais que le parti et la révolution seront « éternellement » portés par « la lignée de Paektu ». Paektu (ou Baekdu) est le nom de la plus haute montagne de Corée, où est né le peuple coréen, « en 2333 » avant Jésus-Christ. C’est au sommet de cette montagne que Kim Il-sung a élaboré son idéologie. C’est au sommet de cette montagne qu’est né Kim Jong-il, « envoyé par le ciel », et même « né du ciel », et donc appelé « Etoile brillante du Mont Paektu ». A la mort de Kim Jong-il (en 2011), a rapporté la presse de Corée du Nord, la glace du lac Chon, sur le Mont Paektu, s’est brisée dans un bruit assourdissant, déclenchant une terrible tempête de neige. Puis la tempête s’est arrêtée brusquement, laissant le soleil levant illuminer le sommet enneigé. Alors « la signature de Kim Jong-il est apparue sur la montagne, indiquant “Mont Paektu, montagne sacrée de la révolution” ». Kim Jong-un est lui aussi un « envoyé du ciel », et il est né au pied du Mont Paektu. La lignée de Paektu est donc la famille Kim.

    D’autre part, toute référence au socialisme et au communisme a été supprimée, comme cela avait déjà été fait dans la Constitution en 2009. Car la seule référence idéologique doit être coréenne : c’est la pensée du président éternel Kim Il-sung, autrement dit l’idéologie Juche (Djoutché), qui n’est rien d’autre que le marxisme-léninisme auquel s’ajoutent l’autarcie, un militarisme exacerbé, et le culte de la famille Kim.

    Les 65 clauses des 10 Principes ont été réduites à 60. Il y en a toutefois une nouvelle : la « force nucléaire » est « la colonne vertébrale du pouvoir militaire et de la solidarité économique de la nation ».

    Ce qui n’est pas rassurant, surtout après les rodomontades du printemps dernier sur ce chapitre.

    En outre, l’une des clauses dénonce désormais « les bourgeois qui trafiquent en devises étrangères », ainsi que « le factionnalisme, le régionalisme et le familisme » (étant donné que selon l’idéologie officielle la Corée du Nord est « une seule famille »).

    Ci-après les "10 Principes".


    1. Nous devons tout donner dans la lutte pour unifier la société entière avec l’idéologie révolutionnaire du Grand Chef Kim Il-Sung.

    2. Nous devons honorer le grand camarade Kim Il-Sung avec toute notre loyauté.

    3. Nous devons rendre l’autorité du grand camarade Kim Il-Sung absolue.

    4. Nous devons faire de l’idéologie révolutionnaire du grand camarade Kim Il-Sung notre foi et faire de ses instructions notre credo.

    5. Nous devons respecter strictement le principe d’obéissance inconditionnelle, en réalisant les instructions du grand camarade Kim Il-Sung.

    6. Nous devons renforcer l’ensemble de l’idéologie, la volonté et l’unité révolutionnaire du Parti, en se concentrant sur le grand camarade Kim Il-Sung.

    7. Nous devons apprendre des leçons du grand camarade Kim Il-Sung et adopter le style communiste, les méthodes de travail révolutionnaires ainsi que une méthode de travail centrée sur le peuple.

    8. Nous devons valoriser la société que Kim Il-Sung nous a donnée, et récompenser loyalement sa grande confiance et sa prévenance à travers une prise de conscience et des compétences politiques accrues.

    9. Nous devons établir des règles organisationnelles fortes afin que l’ensemble du Parti, la Nation et le mouvement militaire soient un sous la seule direction du grand camarade Kim Il-Sung.

    10. Nous devons transmettre aux générations à venir la grande réussite de la Révolution de la part du grand camarade Kim Il Sung, l’intégrer puis l’accomplir jusqu’à son terme.

    *

    Les Coréens du Nord doivent connaître par cœur les 10 principes et les (désormais) 60 clauses.

    L’une de ces clauses est une terrible illustration du marxisme-léninisme extrémiste de l’idéologie dite Juche. Elle édicte que les citoyens doivent faire en permanence leur examen de conscience pour vérifier s’ils sont bien dans la ligne, et doivent participer activement aux réunions d’évaluation, tous les deux jours, et tous les quinze jours, dans lesquelles les instructions du grand chef et les politiques du parti sont utilisées comme critères pour établir des normes politiques et idéologiques élevées pour l’évaluation de leur travail et de leur vie, réaliser les luttes idéologiques par la critique, forger les idéaux révolutionnaires et se perfectionner continuellement par la lutte idéologique…

     

     

     

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Marseille: ils poignardent un jeune homme puis un infirmier

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     Marseille / Publié le dimanche 18 août 2013 à 11H48
     

    Plusieurs individus, quatre selon les premiers éléments de l'enquête, sont activement recherchés depuis ce matin après une double agression à l'arme blanche. Les premiers faits se sont produits sur le cours Jean-Ballard (1er) vers 5h30. Là, le groupe s'est battu avec un garçon de 18 ans, qui a reçu un coup de couteau au thorax. Il était en fin de matinée sur une table d'opération de l'hôpital Nord, où son pronostic vital était engagé.

    Les agresseurs se sont ensuite rendus à l'hôpital de la Conception, pour se faire eux-mêmes soigner. Refusant d'attendre aux urgences, ils ont alors agressé un infirmier de garde, qui a reçu un coup de couteau au bras droit. Les services de police disposent de nombreux éléments permettant d'identifier les suspects et plusieurs patrouilles sont actuellement à leurs trousses.

    Cette agression à l'arme blanche intervient une semaine presque jour pour jour après celle qui a coûté la vie à Jérémie Labrousse, l'étudiant vosgien. 

      

    La Provence

      

    NdB: Jérémie Labrousse avait dit après avoir été poignardé à la gorge: " Ils m'ont agressé, ils m'ont agressé". Il parlait donc d'au moins deux individus si ce n'est davantage.

  • Père Henri Boulad: "La situation est horrible en Egypte"


    Père Henri Boulad : "La situation est horrible... par BlogCopte

     

    Blog Copte a mis en ligne ce samedi matin un entretien avec le Père Henri Boulad, directeur du Centre culturel jésuite d’Alexandrie et vice-président de Caritas Égypte, consacré aux événements des derniers jours.

     

    NOUVELLES DE FRANCE - 17/08/13