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  • Messieurs les élus, le 11 novembre, cessez le feu !

     12 novembre 2013   NP Info Provence-Alpes-Côte d'Azur                                                  

    Marion Marechal Le Pen

    Communiqué de Marion Maréchal-Le Pen, députée Front National de la troisième circonscription du Vaucluse

    Au lendemain des cérémonies commémoratives du 11 Novembre, moments dans lesquels l’esprit d’apaisement, de réconciliation et de cohésion nationale devrait prévaloir sur toute autre considération, Marion Maréchal-Le Pen tient à faire part de son écœurement vis-à-vis des bassesses pratiquées par certains élus locaux.

    Bien qu’élue députée du Vaucluse, certaines mairies ne l’ont pas conviée à assister aux cérémonies au mépris des règles protocolaires. D’autres l’ont empêchée de se faire représenter lors des dépôts de gerbe, usage pourtant répandu et admis dans toute la France. Des présidents d’associations patriotiques et d’anciens combattants ont également subi des pressions lorsqu’ils faisaient preuve de courtoisie et de politesse à l’égard de leur représentante à l’Assemblée nationale ou de son suppléant.

    Cette attitude, de la part d’élus qui se disent « républicains et démocrates », est en totale contradiction avec leurs prétendues valeurs. Elle est à la fois insultante pour les élus du Front National et pire, pour le peuple. Enfin, elle est symptomatique d’une peur non dissimulée de fin de règne imminente.

  • Florian Philippot sur les heurts du 11 Novembre - LCI

  • Soutien de Marine Le Pen aux policiers qui manifestent ce jour

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Marine Le Pen apporte son plein soutien aux policiers, nombreux à manifester aujourd’hui pour dénoncer des conditions de travail indignes.

    La police, comme la gendarmerie, est victime depuis des années, sous l’UMP comme le PS, d’une politique de démotivation, de précarisation et de réduction des effectifs inacceptable.

    Derrière les discours fermes des ministres de l’Intérieur successifs, jusqu’au piteux Manuel Valls, se cache systématiquement une politique d’aggravation des conditions de vie et de travail de nos forces de l’ordre. Une politique qui les appauvrit. Une politique qui va jusqu’à les mettre en danger dans l’exercice de leur fonction.

    Marine Le Pen demande à ce que la sécurité soit enfin considérée comme une politique publique prioritaire, et que les moyens nécessaires à l’exercice de leur mission soient accordés aux forces de l’ordre. En cinq ans, il conviendra de rétablir les effectifs à leur niveau de 2005, Nicolas Sarkozy ayant supprimé plus de 12 000 postes dans la police et la gendarmerie.

    Elle demande aussi la mise en place de la présomption de légitime défense pour les forces de l’ordre : l’Etat doit beaucoup aux victimes et aux forces de l’ordre, pas aux délinquants et criminels.
    Enfin, l’indemnité de sujétions spéciales de police (ISPP) doit évidemment rester en l’état.

  • Le dernier fabricant français de pianos va fermer

         13 novembre 2013

    C’est une annonce symptomatique de cette époque de mondialisme et de nullité politique.

    Et c’est la fin d’une épopée artisanale et artistique étalée sur deux siècles.
    La manufacture de pianos Pleyel, dernière à fabriquer des pianos en France, devrait en effet fermer ses portes à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) «d’ici à la fin de l’année».
    «Dans une indifférence quasi générale, les prestigieux Ateliers Pleyel ont annoncé l’arrêt de l’activité du site de Saint-Denis», a annoncé la Confédération française des métiers d’art (CFMA) dans un communiqué.

     

    Contre-info.com

  • La Serbie contre le Nouvel ordre mondial – par Laurent Glauzy

     

    Quatorze années se sont écoulées depuis la déclaration de guerre de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) à la Serbie. Dans la nuit du 24 au 25 mars 1999, l’OTAN déclenchait contre la Yougoslavie des frappes aériennes, qui ont duré soixante-dix-huit jours. Plusieurs milliers d’infrastructures, d’hôpitaux, d’écoles, de logements furent bombardés. Il fut dénombré 3 500 morts et 12 500 blessés.

    Cette attaque, conforme aux plans du Nouvel ordre mondial, constitue la seconde étape de la guerre de Yougoslavie qui a causé deux cent mille morts et 3 millions de personnes déplacées, de 1991 à 2001.

    C’est la première fois, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, qu’un conflit armé réapparaît au cœur de l’Europe. À cette occasion, la Serbie fut agressée par une armée de coalition. Naturellement, les raisons de cette attaque ne rendent pas du tout compte des intentions réelles des États-Unis et de l’Europe. Après avoir aidé les forces séparatistes de Krajina (entité serbe autoproclamée de Croatie) et de Bosnie, l’Occident justifia son intervention sous prétexte d’éviter une « catastrophe humanitaire » au Kosovo.
    Lire la suite

     

    Contre-info.com

  • Que s'est-il vraiment passé sur les Champs Elysées lors du défilé di 11 Novembre ? (Bonnets rouges)

    Publiée le 11 nov. 2013

    Selon les médias de masse des manifestants "d'extrême-droite" auraient provoqué et agressé les forces de l'ordre. Notre équipe était sur place, et la réalité est bien loin de ce qui vous a été présenté...

    Pour information, l'un des jeunes arrêté, Antoine D. paraîtra demain 12 novembre en comparution immédiate au Palais de Justice de Paris, pour le coup de pied porté à un CRS...

    (merci à Dirk)

  • Pathétique

     

    Première Guerre mondiale : les commémorations commencent mal pour l’Élysée

     
     
      
     
    Extrait du journal hebdomadaire de "La Voix de la Russie" du 11 novembre 2013 

    E&R

    (merci à anonyme)

  • Brest: la permanence du Front National vandalisée par l'extrême gauche sous les yeux de la police

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    12/11/2013 – 09H00 Brest (Breizh-info.com) – Samedi, la permanence du Front National de Brest a été attaquée par une soixantaine de militants identifiés comme appartenant à l’extrême gauche. L’ouverture, début septembre, rue Anatole-France, dans le centre de la ville, de ce local n’avait pas manqué de provoquer une montée d’adrénaline parmi l’extrême gauche locale.
    Depuis deux mois, de nombreux tags ornaient la façade du local, mais les choses se sont accélérées samedi dernier, puisque la porte a été fracturée et un bloc de béton projeté à travers les vitres. Le tout en marge d’une manifestation organisée par un « collectif antifasciste » qui appelait à manifester pour « montrer au Front National qu’il n’est pas le bienvenu à Brest La Rouge » (sic).
    Visages masqués par des cagoules, les « antifas » de « Brest la Rouge », armés pour certains de chaînes et de bâtons, ont pu agir en toute impunité. Les policiers présents sur place les ont en effet laissé se positionner devant l’entrée du local pour en interdire l’accès aux sympathisants et adhérents frontistes. Une conseillère municipale Europe-Ecologie les Verts, Julie Le Goïc, s’est vantée sur Twitter d’avoir participé à cette « descente ». Aucune interpellation n’a bien entendu été effectuée.
    Le secrétaire départemental du Finistère du FN, Éric Dechamps, a annoncé le dépôt d’une plainte, la quatrième en un mois.

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    En juin dernier, 200 manifestants appartenant à la mouvante d’extrême gauche brestoise (CNT, SCALP, autonomes, anarchistes, redskinheads etc.) avaient pu défiler tranquillement dans les rues de Brest, armes blanches à la main – bâtons, tessons de bouteille, ceintures cloutées…) pour rendre un dernier hommage à Clément Méric, ce militant « antifa » brestois décédé après avoir reçu un mauvais coup alors qu’il « chassait » des militants d’extrême droite.
    Toujours à Brest, en 2011 ces mêmes « antifas » avaient bien failli tuer un jeune couple« , simplement parce qu’ils étaient soupçonnés, à tort, d’appartenir à « l’extrême droite ». Sans suites judiciaires.

    À l’image de Rennes, où les agressions émanant de groupuscules clairement identifiés à l’extrême gauche se multiplient, il semblerait que des milices particulièrement violentes puissent agir en toute impunité sur Brest. « Ils ont pignon sur rue, ils fréquentent, les bars de la place Guérin », confie un sympathisant FN. « En juin, ils organisaient plusieurs fois dans la semaine des patrouilles à la recherche de personnes à agresser. À Saint-Renan, ils louent même une salle plusieurs fois dans l’année pour y organiser des concerts. » Certains policiers et gendarmes travaillant dans l’agglomération brestoise avouent « en avoir par-dessus là tête » des agissements de cette mouvance.

    À quelques mois des élections municipales, la municipalité socialiste brestoise ne semble pas vouloir prendre la mesure de ces troubles répétés à l’ordre public et à la sécurité des habitants. De quoi donner du grain à moudre aux opposants à François Cuillandre … en plus de tous les autres dossiers déjà très chauds.

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2013, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

  • Une dernière demeure secrète, en Italie, pour le nazi Erich Priebke

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    Le scoop est signé Ezio Mauro, directeur du quotidien La Repubblica, et son récit s'étale sur trois pages dans l'édition du 7 novembre.

    Le criminel nazi Erich Priebke, responsable du massacre des fosses Ardéatines, à Rome, en mars 1944, mort à 100 ans le 11 octobre, a finalement trouvé une sépulture sur le sol italien.

    Cette dépouille dont personne ne voulait a finalement été ensevelie discrètement dans un cimetière pénitentiaire dont le nom n'a pas encore été révélé.

    Depuis le 11 octobre, la question des obsèques et de la sépulture d'Erich Priebke, responsable du massacre de 335 civils en représailles à un attentat, embarrassait l'Italie.

     UN CADAVRE ENCOMBRANT

    Ni l'Allemagne où il était né, ni l'Argentine où il avait vécu sous une fausse identité, ni la ville de Rome où il avait perpétré ses crimes, ni l'Eglise qui lui a refusé une cérémonie religieuse, ni les cimetières militaires allemands parce qu'il n'était pas mort au combat, ne voulaient de l'encombrant cadavre de ce capitaine nazi, condamné à la prison à vie en 1998 et assigné à résidence en raison de son âge et de son état de santé.

    Orchestré par son avocat, Paolo Giachini, proche de l'extrême droite, ce feuilleton à rebondissements a atteint son apogée le 15 octobre, à Albano Laziale, petite commune proche de Rome, lorsque des prêtres, d'une communauté intégriste, tentèrent d'organiser des obsèques, déclenchant des heurts entre des militants d'extrême droite et la population locale.

    LA DÉPOUILLE DANS UN AÉROPORT MILITAIRE

    Depuis, la dépouille était enfermée à double tour dans un hangar de l'aéroport militaire de Pratica del Mare, à une trentaine de kilomètres de la capitale.

    "Il y avait deux hommes à bord de la voiture qui s'est présentée à 3 h 45 du matin à l'aéroport, écrit Ezio Mauro. Quand elle est entrée, elle a été enregistrée comme un simple break, quand elle est ressortie, c'était un corbillard." A bord, dans la nuit du 26 au 27 octobre, sous une couverture, le cercueil d'Erich Priebke effectue son dernier voyage.

    Après deux heures de route, une escorte se joint au convoi funèbre. Le voyage est encore long. Arrivé au cimetière de la prison, deux hommes s'emparent de pelles et de pioches et creusent une tombe, loin des regards. Deux heures plus tard, tout est terminé.

    UNE TOMBE ANONYME

    Au téléphone, le directeur du quotidien de centre gauche raconte : "Je suis parti d'une évidence. On ne pouvait pas garder un corps aussi longtemps dans un hangar. J'ai donc travaillé sur cette conviction. J'ai cherché, interrogé, et puis j'ai vu des documents attestant du transfert du corps de Priebke. Mardi matin j'ai su où il était enterré, j'y suis allé l'après-midi même et j'ai écrit mon papier dans la nuit. Je ne révélerai pas le lieu de son inhumation pour éviter qu'il devienne un but de pèlerinage des néonazis ou qu'il soit profané. Mais il était important que les Italiens sachent que cette histoire était arrivée à sa conclusion."

    C'est donc en prisonnier, ce qu'il était au regard de la loi italienne, qu'Erich Priebke repose. Seuls quelques chiffres gravés sur la croix d'une tombe anonyme attestent de l'identité du défunt. Ce numéro est tenu secret dans une enveloppe scellée conservée par le fonctionnaire qui a mené et conclu l'opération. Il a été communiqué aux deux fils d'Erick Priebke, au cas où ils viendraient s'y recueillir.

     

    LE MONDE - 07/11/13

  • L'agresseur du maire UMP de Châteaurenard ne serait pas un "déséquilibré"...

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    Bernard Reynès

     

    L'agresseur du maire de Châteaurenard a été examiné mardi par un médecin psychiatrique qui a conclu à l'absence d'altération de son discernement.

    L'homme, dont la garde à vue a été prolongée de 24 heures mardi matin, a été vu par un médecin psychiatre de l'hôpital de Montfavet, qui a conclu qu'il avait la "parfaite responsabilité" de ses actes.

    Aucune altération de son discernement

    Selon l'expert, il n'y a "aucune altération, aucune abolition de son discernement", a indiqué le substitut du procureur de Tarascon Alexandre Rossi. 

    L'homme de 33 ans va donc "vraisemblablement être déféré demain (mercredi) devant le parquet d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) pour tentative d'homicide sur personne chargée de mission de service publique" pour ce qui concerne le maire (UMP) Bernard Reynès, et pour "violences avec armes" pour les deux autres membres du conseil municipal agressés. 

    Ces trois élus ont été agressés à l'arme blanche en pleine cérémonie du 11 novembre par cet homme, interpellé immédiatement après et placé en garde à vue. 

    "Des courriers à caractères conspirationniste"

    Selon les premiers éléments, il avait "abreuvé de nombreux services de l'Etat de courriers" à caractère "conspirationniste", visant notamment le précédent chef de l'Etat, et dans la même logique, aurait décidé de s'en prendre à un élu du même bord politique, a expliqué M. Rossi.

    Il aurait profité du rassemblement politique proche de son domicile, à l'occasion des cérémonies du 11 novembre pour perpétrer cette agression. 

    Mardi matin, M. Reynès avait jugé que cette agression était le symbole d'un "République qu'on ne respecte plus" et qu'il ressentait "un climat qui est très lourd, un climat d'agressivité, une souffrance générale". 

    Les élus "en bonne forme"

    L'élu a reçu trois coups de couteaux dans le dos, mais aucun organe n'a été perforé. Selon la mairie, les trois élus sont "en bonne forme".

    Un rassemblement de soutien est prévu devant l'Hôtel de ville mercredi à 17h.

     

    Ouest-France - 12/11/13

     NdB: C'est une première! Les auteurs de ce type d'agression à l'arme blanche sont presque toujours présentés par les médias comme des "déséquilibrés", des "irresponsables"...  

     

     

     

     

     

     

  • Marine Le Pen sur i>TELE (2)

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  • Marine Le Pen sur i>TELE

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  • Commission européenne : la Bulgarie et la Roumanie n’entreront pas dans la zone Schengen en 2014

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    Aujourd'hui, 19:55

         

     

    Par La Voix de la Russie | La Bulgarie et la Roumanie ne vont pas pouvoir adhérer à l'espace Schengen en 2014, car l'Union européenne « n'est pas prête à s’élargir », a indiqué le porte-parole de la Commission européenne, Frédéric Vincent.

     Un certain nombre d'experts considèrent que la principale raison de ce refus d’intégrer les deux Etats l’année prochaine est lié à la levée des restrictions en matière de l'arrivée des travailleurs-migrants dans les pays occidentaux de l’UE depuis les « nouveaux pays européens ». A cela s’ajoute une campagne de propagande dans les médias allemands et britanniques qui décrit les conséquences négatives de cette étape de cette mesure dans le contexte de la dépression économique et la hausse de chômage.
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2013_11_12/Commission-europeenne-la-Bulgarie-et-la-Roumanie-n-entreront-pas-dans-la-zone-Schengen-en-2014-9040/

  • Hollande hué sur les Champs-Elysées, 70 personnes arrêtées

     

     
     
     

     

    PARIS (Reuters) – Soixante-dix personnes ont été interpellées lundi en marge des commémorations de l’armistice de la Première Guerre mondiale sur les Champs-Elysées où le cortège de François Hollande a été hué, a annoncé le ministre de l’Intérieur Manuel Valls.

    Des heurts ont éclaté entre les forces de l’ordre et des manifestants dont certains ont scandé « Hollande démission » « Dictature socialiste », ou « Hollande, ta loi on n’en veut pas », un slogan entendu lors des manifestations des opposants au mariage homosexuel.

    « Aujourd’hui sur les Champs-Elysées, quelques dizaines d’individus liés à l’extrême-droite, au Printemps français, au Renouveau français n’ont pas voulu respecter ce moment de recueillement et de rassemblement », a dit à la presse Manuel Valls, faisant état de la présence de personnalités du Front national sur les Champs-Elysées.

    « Ces événements sont inacceptables, insupportables, on ne peut pas ainsi mettre en cause la mémoire de ceux qui sont morts pour la France, on ne peut pas utiliser un rassemblement de ce type pour s’attaquer aux valeurs de la République et de notre pays », a-t-il ajouté.

    Pointé du doigt par le gouvernement, le FN a riposté en dénonçant des arrestations « préventives et arbitraires d’adhérents venus assister pacifiquement aux cérémonies » et a exigé leur libération immédiate.

    « Je désapprouve (les manifestations) et le FN n’y est strictement pour rien », a déclaré la présidente du Front nationale Marine Le Pen sur BFM TV. Le FN « a même été victime d’arrestations qu’il faudra éclaircir, ce sont des méthodes réservées aux pays à tendance totalitaire. »

    RAS-LE-BOL

    Certains des manifestants présents sur les Champs-Elysées portaient des bonnets rouges tandis que d’autres brandissaient des drapeaux français.

    « Je trouve absolument honteux qu’on n’ait pas le droit de parler sans être interpellé, dire ‘Hollande démission’ n’est pas injurieux », a déclaré une manifestante coiffée d’un bonnet rouge sur BFM TV. « Il n’y avait pas de huée pendant la cérémonie militaire (…) les gens ont commencé après, c’est le chef de l’Etat qu’ils voulaient huer. »

    François Hollande « n’entend pas le ras-le-bol des gens, il continue sur sa lancée sans écouter », a-t-elle ajouté. « Les mesures fiscales, loin de frapper seulement les classes supérieures, frappent tout le monde. »

    Un porte-parole du mouvement des « Bonnets rouges » qui manifestent depuis plusieurs semaines contre l’écotaxe, Christian Troadec, a condamné la manifestation parisienne et a assuré que ces personnes n’avaient rien à voir avec son mouvement.

    Dans la classe politique française, plusieurs voix se sont également élevées pour dénoncer un mouvement de protestation hors de propos.

    « La colère des Français est immense (…) mais le moment ne s’y prête pas, c’est un moment de solennité, de recueil, de souvenir », a dit l’ancien ministre de la Défense et président du Nouveau Centre Hervé Morin sur i>TELE. « Ce moment qui est un devoir de mémoire c’est un message d’unité, c’est un vivre ensemble, un passé commun, c’est une volonté de partager ce qui a constitué l’unité du pays. »

    « Même si François Hollande n’est pas à la hauteur de la situation en tant que président de la République, il représente l’unité nationale et ce n’est pas le moment de le faire », a-t-il ajouté.

    Sur son compte Twitter, le président du groupe EELV au Sénat Jean-Vincent Placé s’en prend lui aux « nervis de l’extrême-droite qui conspuent le chef de l’État en ce jour de mémoire et de recueillement pour nos morts et pour la paix ».

    Dans les rangs de l’UMP, Dominique Paillé juge « regrettable » les huées visant le chef de l’Etat, Valérie Pécresse dénonçant, elle, des critiques « franchement déplacées ».

    Marine Pennetier, édité par Pascal Liétout

     

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Aide médicale aux étrangers: la facture explose

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    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/07/01016-20131107ARTFIG00633-l-inquietante-derive-des-frais-de-sante-des-etrangers.php

  • Hollande de nouveau hué à Oyonnax

     

     Le Salon Beige  11/11/13

  • La Marine italienne au secours d'un bateau de pêche avec 176 migrants syriens et 16 passeurs à bord

     

    Des migrants dans un bateau de la marine italienne, après une opération de sauvetage en mer, le 30 octobre dernier.
    Des migrants dans un bateau de la marine italienne, après une opération de sauvetage en mer, le 30 octobre dernier.
    REUTERS/Marina Militare
    Par RFI

    Grâce à une intervention rapide et parfaitement coordonnée, la marine militaire italienne a sauvé 176 migrants syriens en mer. Seize passeurs, mêlés aux migrants, ont également été interpelés. L'opération a été vivement saluée par le ministre de la Défense et le président du Conseil, Enrico Letta.

     

     

    Avec notre correspondante à Rome, Anne Le Nir

    Selon le ministre italien de la Défense, Mario Mauro, sans l’intervention très rapide de la Marine militaire, le bateau de pêche à bord duquel étaient massés 176 Syriens, dont 11 femmes et 19 enfants, aurait fait naufrage. « L’embarcation était instable et la mer était très agitée », a-t-il précisé. Avant de partir dimanche soir pour Malte, il a, via Twitter, félicité les marins italiens « pour avoir sauvé des centaines de vies ces derniers jours ».

    Un submersible et deux navires impliqués

    L’opération de sauvetage s’est déroulée à 500 kilomètres du port de Capo Passero, situé dans la province de Syracuse, en Sicile. Elle a été effectuée à l’aide d’un petit submersible et de deux navires. Tous les migrants ont été transbordés sur le bâtiment le « San Marco », où ils ont été examinés par des médecins et où une équipe de la police a pris des photos signalétiques.

    La marine militaire a indiqué que seize passeurs étaient mêlés aux migrants syriens, sans fournir d’autres détails.

    «Mare Nostrum»

    Depuis le début de la mission « Mare Nostrum », le 15 octobre - opération destinée à sauver le plus grand nombre de vie en mer - près de 4000 personnes ont été secourues. Depuis le 1er janvier, on obtient le chiffre de 30 000 personnes secourues.

    → A (RE)LIRE : Rome lance l’opération « Mare Nostrum » pour mieux contrôler l’immigration clandestine

    Cette opération, consécutive à deux naufrages les 3 et 11 octobre au cours desquels au moins 372 personnes ont péri, s’avère extrêmement utile.

    Rome a donc décidé de renforcer la surveillance de la Méditerranée, en mettant à disposition un navire amphibie, deux patrouilleurs, deux frégates, des hélicoptères ainsi qu'un drone.

    Depuis ces derniers mois, les débarquements sont presque quotidiens à Lampedusa où ailleurs, sur les côtes siciliennes et calabraises.

    Selon les statistiques fournies par le ministère de l’Intérieur italien, les candidats à l'immigration en Italie via la Méditerranée sont avant tout d’origine syrienne, puis suivent les Erythréens, les Somaliens, et les Egyptiens, Maliens et Afghans.

     

    RFI- 10/11/13

  • Au nom de nos petits cœurs qui battent, stop à l’immigration !

    boulevard-voltaire-droit-d-asile    

     Le 10 novembre 2013 
     
     
     
    Edouard
    de Praron
    Etudiant.

    Au nom de nos petits cœurs qui battent, la France doit stopper l’immigration pour une durée indéterminée. Pour la sauvegarde de son identité, la France doit se laisser du temps pour assimiler les dernières vagues migratoires. Or, l’assimilation n’est plus possible, en raison du nombre trop important d’immigrés entrant chaque année en France, et aussi de cette dernière, qui doute d’elle-même.

    Au nom de nos petits cœurs qui battent, arrêtons de faire venir des milliers d’immigrés pour leur proposer comme seul horizon le béton des HLM. Il est indigne de créer, par la démission de l’école et de nos politiques, des jeunes apatrides et déracinés. Notre société, en exacerbant les différences et les droits individuels, en faisant de l’école non un lieu d’instruction mais d’éducation, n’offre plus un cadre permettant l’épanouissement de ses nouveaux citoyens.

    Au nom de nos petits cœurs qui battent, cessons de voir dans l’immigré une main-d’œuvre à bas coût ou une force de travail pour les emplois peu qualifiés. Il est plus aisé d’être une terre d’accueil que de s’attaquer au problème de l’assistanat. Il est plus aisé de donner le bac à 80 % d’une génération que d’en orienter une partie vers les métiers en manque de main-d’œuvre. La main sur le cœur, nous laissons aux immigrés les petits boulots que nous ne voulons pas faire.

    Au nom de nos petits cœurs qui battent, sauvons la diversité que l’immigration massive tue en participant à l’émergence d’un Homme métissé à l’inculture globalisée. Le multiculturalisme et la mondialisation tuent la diversité des cultures.

    Au nom de nos petits cœurs qui battent, sauvons en stoppant l’immigration la qualité de vie que les immigrés viennent chercher en France. Cessons de nier l’être humain : il est naturel chez l’Homme de se réunir avec ses semblables, comme il est naturel que la juxtaposition de communautés trop différentes puisse créer des tensions. Ne laissons pas certains descendants d’immigrés recréer inconsciemment en France ce que leurs parents ou grands-parents ont fui dans leur pays d’origine. Le slogan « Nos ancêtres, les Gaulois » a encore un sens : un sens spirituel. Nous sommes tous les gardiens d’un passé, d’une histoire. Nous devons former une nation, un peuple qui construit un avenir commun à partir d’un passé commun.

    Tout le monde a un petit cœur qui bat. Personne n’a le monopole du cœur. Les gens ouverts ou repliés sur soi sont aussi nombreux chez les opposants que chez les partisans de l’immigration. Ne cédons pas aux injonctions sentimentalistes et manichéennes. Si les hommes politiques parlent beaucoup de ce sujet pour des raisons électorales, la dictature de l’émotion et leur lâcheté les empêchent d’agir. Dans cinquante ans, les querelles, les éditos auront peu d’importance. Seules les grandes politiques restent. Seul restera l’état de la France : soit une France multiculturelle et communautariste, copie conforme des autres pays européens, soit une France, avec ses défauts, mais avec son identité multiséculaire qui en fait un si grand pays et qui a attiré tant d’immigrés. Soit, à l’avenir, les Français formeront une foule, soit ils formeront un peuple.

     BOULEVARD VOLTAIRE

     

    NdB: Il ne s'agit pas seulement de stopper l'immigration, mais aussi de l'inverser  !