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  • Les réseaux secrets du Front National

    http://www.lefigaro.fr/politique/2013/11/08/01002-20131108ARTFIG00341-les-reseaux-secrets-du-front-national.php

  • Gábor Vona (Jobbik) : "L’islam est le dernier espoir de l’humanité dans les ténèbres du globalisme et du libéralisme"

     

     

     
      

    Lors de sa visite au sein d’universités turques, le président du Jobbik (Hongrie) Gábor Vona a déclaré qu’il n’est pas venu en Turquie afin de construire des relations diplomatiques et économiques, mais afin de rencontrer ses frères et sœurs turcs.

    Il a ajouté que le Jobbik est sous attaque d’Occidentaux car il supporte la Turquie et les peuples touraniens, y compris l’Azerbaijan, dans des conflits internationaux. Selon Gábor Vona, le Jobbik ne coopérera jamais avec aucune organisation nationaliste radicale occidentale qui considère que les Turcs et l’Islam sont les ennemis. Gábor Vona déclare également que ces gens peuvent apprendre des Turcs ce qu’est l’amour de la famille, le respect de la tradition et le patriotisme. Il considère que les relations entre les Hongrois et les peuples touraniens relèvent de la fraternité et pas simplement de l’amitié.

    Gábor Vona a répété ce qu’il a déjà souligné à plusieurs reprises : l’islam est le dernier espoir de l’humanité dans les ténèbres du globalisme et du libéralisme. Gábor Vona a révélé que sa vie personnelle a été influencée par l’islam, qu’il a de nombreux amis et collègues musulmans et qu’un de ses témoins de mariage était un Palestinien.

     

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    Gábor Vona en Turquie
    E&R
  • Les collabos donnent de la voix

     

    chassealhommeL’extrême gauche manifestait hier en fin d’après-midi à Champigny (Val-de-Marne) aux abords de la salle où  un Jean-Marie Le Pen en grande forme était  venu soutenir le lancement de la campagne de la liste municipale menée par Jean-Marie Rougier. Le PC, le Parti de Gauche, le NPA, la CGT,  Solidaires et Snuipp avaient raclé les fonds de tiroir pour réunir péniblement environ 200 de leurs salariés, permanents et cadres  pour  beugler des slogans haineux, dénier aux Français le droit de voter pour l’opposition nationale. Le sénateur et président communiste du conseil général,  Christian Favier, élu dans la ville de Champigny, a pris la parole pour se féliciter  à cette occasion de la  poursuite de l’immigration à haut débit  et exiger   «la régularisation de tous les sans-papiers (clandestins) ». Au moins les choses sont claires…

    Une extrême gauche qui tente de se refaire une santé électorale en tentant de capitaliser sur la campagne anti FN menée actuellement par le gouvernement et l’UMPS.  Avec le soutien  des médias qui se saisissent  de quelques faits divers  et de propos bien  évidemment condamnables pour manier l’amalgame,  culpabiliser les Français en assénant que la volonté de défendre son identité et le refus de la submersion migratoire participent d’un insupportable racismeRien de nouveau sous le soleil, « ils » nous font le coup  régulièrement depuis trente ans,  à chaque fois le Front National  est porté par une dynamique importante. 

    Un racisme nous l’avons  dit, dont les  premières victimes dans notre pays, dans l’indifférence quasi  générale de nos élites négationnistes, sont bien  pourtant,   et dans leur écrasante majorité,  les Français de souche européenne. Ces derniers sont pourtant invités à faire profil bas.

    Invité hier soir de l’émission C dans l’air sur France 5  consacrée au débat du moment - »la France est-elle raciste?- »le très contesté et contestable Patrick  Lozés, ancien président du CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires) avant d’en être écarté -voir notre article en date du 30 novembre 2011-  en a fait l’aveu implicite. Il a ainsi suggéré d’en finir avec ce qu »‘il appelle la »catho-laïcité » , à savoir dans son esprit la prééminence culturelle qui est (encore) accordée au catholicisme dans la société française. Au nom de la lutte contre les discriminations bien sûr…

    Soucieux de se rappeler au bon souvenir (?) des Français, l’ex ministre centriste de la Défense,  Hervé Morin , qui a rallié avec  sa coquille vide Nouveau Centre,    l ‘UDI  de Jean-Louis Borloo,  a tenu à apporter sa contribution  au lynchage médiatique des Français qui se tournent vers le Front National.

    Jusqu’alors le très opportuniste  M. Morin ne s’était guère signalé que par ses appels à voter en faveur de la gauche contre les candidats nationaux lors des derniers scrutins. Son seul  autre titre de gloire,  constate Bruno Gollnisch,  fut d’avoir prestement obéi  aux ordres du lobby atlantiste qui,  en 2009,  demanda et obtint  la tête du   géopoliticien Aymeric Chauprade, enseignant au Collège Interarmées de Défense (CID) , car  coupable d’avoir énoncé un certain nombre de vérités sur « l’allié américain », ses objectifs et ses méthodes…

     Hier,  Hervé Morin  a donc fait un petit coup marketing en expliquant sur RFI que la « proposition politique » du Front National est   »folle » et « nationale-socialiste. C’est-à-dire plus collectiviste que Mélenchon et d’un patriotisme mortel ». Comme on soulignait qu’il évoquait  clairement le parti nazi, Morin, a insisté : « oui, c’est un parti national-socialiste ».

    M.  Morin  ne se grandit  pas  en  diffamant  effrontément le FN,  ses électeurs  et en mettant ses pas  dans ceux des agités du bocal  les plus extrémistes du combat contre l’opposition nationale. Sur son blog,  Ivan Rioufol,  note avec raison que ce dernier « chausse de vieux sabots » et   »surtout laisse voir son désarroi« . « Si le FN est un parti nazi comme il le suggère, alors il faut l’interdire. » Et il le serait depuis belle lurette si tel était le cas!

    L’éditorialiste du Figaro relève plus largement que « la campagne antiraciste menée par le gouvernement  suggère une généralisation (du racisme, NDLR) or cet amalgame ne peut être perçu que comme une insulte par le nouvel (et ancien! NDLR)  électorat frontiste »;  » rien ne permet de dire a priori qu’il est plus raciste qu’un autre ». « Les grandes âmes sont les meilleures alliées de Marine Le Pen qui par leur négation des évidences laissent apparaître (Marine) comme celle qui dit des vérités interdites »,   » comme une victime du sectarisme ». « Il n’est pas sain conclut-il,  de laisser le FN sans concurrents répondre au désarroi des gens ». Il n’est surtout pas sain de banaliser un totalitarisme mort et enterré depuis longtemps pour maintenir à  flot les gamellards du Système,  les collabos du  totalitarisme mondialiste, vaste machine  à tuer les peuples. 

     

    BRUNO GOLLNISCH

  • Mort d'Arafat: Paris connaît la vérité, mais la cache (enquêteurs palestiniens)

     

    Yasser Arafat (archive)

    18:36 08/11/2013
     
    GAZA, 8 novembre - RIA Novosti
     

    Sur le même sujet

     

     
     
     

    Le chef de la commission d'enquête palestinienne Tawfiq Tiraoui a affirmé vendredi que la France connaissait toute la vérité sur les causes de la mort de l'ancien chef de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) Yasser Arafat, mais cachait cette information. 

    "La France connaît toute la vérité et les détails sur le martyre de Yasser Arafat", a déclaré M.Tiraoui devant les journalistes à Ramallah, en Cisjordanie. 

    Le ministre palestinien de la Justice Ali Mhanna a réclamé vendredi à la France de transmettre son rapport sur les échantillons biologiques de Yasser Arafat à la commission d'enquête officielle sur sa mort et à la Justice palestinienne. 

    "Depuis le début, les Français nous ont informés qu'ils ne pouvaient nous transmettre ces résultats que dans le cadre d'une coopération judiciaire franco-palestinienne", a indiqué M.Mhanna lors de cette même conférence de presse. 

    Le chef de la commission palestinienne a désigné Israël comme le "principal et unique suspect de l'assassinat" du dirigeant historique palestinien Abou Ammar (surnom de Yasser Arafat, ndlr). Les enquêteurs palestiniens estiment que le décès de Yasser Arafat ne peut être imputé qu'à Israël.  

    Yasser Arafat, lauréat du prix Nobel de la paix pour sa participation aux négociations avec Israël, est décédé le 11 novembre 2004 dans un hôpital militaire en région parisienne. L'enquête officielle sur les causes de sa mort a commencé à l'été 2012 quand la chaîne qatarie Al Jazeera a annoncé la découverte, sur les effets personnels d'Arafat et dans son organisme, de polonium-210 radioactif. Les circonstances de sa mort n'ont pas été élucidées, et nombre de Palestiniens soupçonnent l'Etat juif d'avoir assassiné leur raïs, mais Israël a toujours nié de l'avoir empoisonné. 

    Mercredi 6 novembre, la veuve de M.Arafat, Souha, a annoncé à l'agence Reuters que son époux avait été empoisonné au polonium, basant cette assertion sur les résultats de l'exhumation de la dépouille de M.Arafat réalisée par des experts suisses.

  • Marine Le Pen gagne son procès contre les écrits de Bernard-Henry Lévy

     

    Front National flamme

    Communiqué du Front National

    Bernard-Henry Lévy avait osé écrire que Marine Le Pen « faisait huer systématiquement, dans ses meetings, des noms à consonance juive ».

    Il s’agissait d’une accusation mensongère et insupportable. Haïm Musicant, directeur de la publication du site Internet du Conseil représentatif des institutions juives, a ainsi été condamné pour diffamation envers Marine Le Pen pour avoir publié ces écrits.

    Bernard-Henry Lévy, l’auteur, a été mis hors de cause par le tribunal (il a courageusement laissé M. Musicant, être condamné seul…) mais le principe est consacré : les écrits de Bernard-Henry Levy ont été sanctionnés comme calomnieux.

  • Hollande englué dans l'impopularité

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    Le chef de l'État atteint un niveau record de désamour, 18 mois seulement après son élection.

     
     

    Cela peut paraître étonnant, mais en ces temps d'impopularité record pour le chef de l'État et son premier ministre, il se trouve encore des Français pour soutenir leur politique. Certains ministres assurent même en avoir rencontré lors de leurs déplacements sur le terrain, à l'instar de Najat Vallaud-Belkacem. «Les gens ne sont pas du tout aussi agressifs qu'on le laisse entendre. Il y en a même qui nous encouragent à persévérer», confie la ministre du Droit des femmes. Le dernier carré des fidèles électeurs irréductibles?

    Au regard de la chute vertigineuse de François Hollande dans les sondages, les instituts s'interrogent. Y a-t-il un niveau au-dessous duquel le chef de l'État ne pourrait mécaniquement plus descendre? «Il y a probablement un plancher, un socle minimum d'électeurs socialistes très accrochés au PS. Mais à combien se situe-t-il? Nous n'en savons rien», reconnaît Bruno Jeanbart, directeur des études politiques d'OpinionWay. Voilà pour la vision optimiste. Du côté pessimiste, le directeur général adjoint de BVA, Gaël Sliman, prévient: «Il n'y a pas de raison pour qu'il y ait un plancher.»

    Avec François Hollande et Jean-Marc Ayrault, les instituts de sondage s'aventurent donc sur la terra incognita de l'impopularité record. «Sous la Ve République, jamais un président n'avait atteint une telle impopularité. Même pas Nicolas Sarkozy qui, à l'époque, paraissait déjà bien bas», note Gaël Sliman qui souligne en outre que le baromètre d'opinion de son institut «n'est pas bien méchant puisque nous testons l'opinion à l'égard de l'homme et pas de son action». Or tout indique que la baisse n'est pas terminée. «Les courbes que nous observons dessinent un nouveau palier. On risque d'assister à une stabilisation sur le palier inférieur plus qu'à une remontée», indique Bruno Jeanbart.

    Ce qui est nouveau avec l'impopularité de François Hollande, ce n'est pas tant son niveau très faible que la vitesse à laquelle il l'a atteinte. En leur temps, François Mitterrand, Jacques Chirac ou Nicolas Sarkozy avaient eux aussi connu les affres des enquêtes d'opinion cataclysmiques. Mais pas aussi vite. «Il n'est jamais arrivé qu'au bout de seulement dix-huit mois d'un premier mandat, un président de la République soit aussi bas», observe Bruno Jeanbart.

    Le moral des troupes plombé

    Dès lors, une autre question surgit: François Hollande peut-il remonter? «J'ai une théorie qui est celle de l'élastique, expliquait récemment Bruno Le Roux, patron des députés socialistes et proche du chef de l'État. Dès lors que les résultats seront là, la remontée sera aussi rapide que la chute a été brutale.» Si, depuis le quinquennat de Nicolas Sarkozy, les sondeurs s'accordent pour reconnaître une accélération des phénomènes d'impopularité, ils se montrent en revanche plus prudents sur les remontées et encore plus sur l'hypothèse d'un retour en grâce rapide du président.

    Car dans cette chute sondagière entamée à la rentrée de septembre 2012, ce sont plusieurs traits d'image primordiaux de François Hollande qui ont été atteints. D'abord sa capacité à prendre des décisions tranchées, ensuite sa propension à faire preuve d'autorité. Or ces deux caractéristiques sont naturellement attachées à la fonction de président de la République. «Il n'y a pas d'inéluctabilité à l'impopularité, assure Gaël Sliman. Mais les ressorts de celle de François Hollande portent un risque. Les Français ont le sentiment qu'il manque de courage, d'autorité, de dynamisme, qu'il n'est pas assez volontaire, courageux. Si ces marqueurs devaient s'imprimer durablement dans les esprits, cela aurait pour lui un effet aussi dévastateur que le Fouquet's pour Nicolas Sarkozy.»

    Cette impopularité, François Hollande était pourtant prêt à l'assumer, persuadé que la réussite de sa politique lui permettrait ensuite de remonter. Il l'avait même théorisée en divisant son quinquennat en deux parties: d'abord le redressement, ensuite la redistribution. Les mesures difficiles, puis les cadeaux. Soit l'inverse de ce qu'avaient fait en leur temps François Mitterrand à l'Élysée et Lionel Jospin à Matignon. Tous deux avaient entamé leurs mandats respectifs par des mesures populaires et avaient terminé laminés par l'impopularité. François Hollande voulait faire l'inverse. Mais aujourd'hui «le risque est que même si la situation s'améliore, les Français ne lui en accordent pas le crédit», met en garde Gaël Sliman. Pour l'heure, l'impopularité record du chef de l'État plombe le moral des troupes, réduit les marges de manœuvre du gouvernement ainsi que sa capacité d'action. «C'est une période difficile, reconnaît un ministre qui nuance, presque désabusé: Mais a-t-on jamais eu une période facile depuis dix-huit mois?»

    LE FIGARO 08/11/13

  • Explosion lors d'une répétition d'une comédie musicale à Paris, au moins cinq blessés graves

     

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    Hier, 22:29                                     

          

     

    Par La Voix de la Russie | L'explosion s'est déroulée lors d'une répétition pour la comédie musicale 1789, les amants de la Bastille ...

     Cinq personnes ont été très grièvement blessées ce vendredi par l'explosion accidentelle d'un engin pyrotechnique lors des répétitions du spectacle 1789 Les Amants de la Bastille vendredi à Paris, a-t-on appris de sources policières. 

     

     L'explosion a eu lieu vers 18H00 au Palais des Sports, dans le sud-ouest de Paris (15e arrondissement). Elle a également fait quinze blessés légers, selon une de ces sources.



    http://french.ruvr.ru/news/2013_11_08/Paris-Explosion-lors-dune-repetition-dune-comedie-musicale-au-moins-quatre-blesses-graves-5985/

  • Centenaire de 14 : halte aux voleurs de mémoire !

     

         Le 7 novembre 2013     

     
     
     
    Jean-Yves
    Le Gallou
    Ancien député européen, essayiste.
    Président de Polémia.

    Sacré Hollande ! 1.350.000 Français de souche tués dans la Première Guerre mondiale, mais pas un mot pour eux dans son discours sur la commémoration du centenaire de 14. Les 350.000 poitrines bretonnes frappées à mort ? Connais pas ! Pas plus que les Corses, les Champenois, les Lorrains ou les Auvergnats qui ont fourni les plus lourds tributs à la grande ordalie.

    Citer Dreyfus, c’est bien joli, mais son rôle en 1914-1918 a été parfaitement nul alors que le sacrifice héroïque de Driant et de ses chasseurs au bois des Caures a stoppé l’avance allemande sur Verdun.

    Mais voilà, avec Hollande, pour avoir droit à une mention particulière, il faut appartenir à une minorité. Ainsi des troupes coloniales : 5 % seulement des tués mais une occasion de rappeler tout ce que nous devons à la « diversité », n’est-ce pas ! Cela « leur a donné des droits sur nous », dit Hollande. Et les Français de souche dont les patronymes sont sur les monuments aux morts, on n’a pas de devoirs envers eux, par hasard ? Celui de continuer l’aventure de la France, par exemple…

    Quant au ministre des Armées et à celui des Anciens combattants, ils n’ont reçu qu’une seule consigne présidentielle : s’occuper des fusillés. Un tué sur 2.000, l’urgence vraiment.

    Chez Hollande, il y a aussi des mots qu’on n’entend pas : « Poilu », par exemple. Un mot, il est vrai, qui fait tache aujourd’hui car il évoque de manière crue « ceux qui en ont ». En tout cas qui ont fait preuve de courage et de résistance sous le froid, la pluie, la boue, les obus et les balles. Ce n’est pas très tendance…

    Hollande, qu’on aurait pu croire bonhomme, est en fait un politicien sectaire et clientéliste : rien pour la France profonde qu’il déteste, tout pour les minorités et les « épilés », ses cibles électorales et médiatiques.

    Voilà pourquoi il tente de transformer une opération mémorielle en mémoricide. Aux Français de s’y opposer.

    À nous de continuer de nous recueillir sur les monuments aux morts de nos villages, de nos villes, de nos églises, de nos cimetières. À nous de nous imprégner des noms de nos ancêtres sacrifiés. « Ils ont des droits sur nous », disait Clemenceau en parlant de ces Français jetés dans la bataille. À nous de respecter nos devoirs à l’égard de la génération de 1914 : devoir de dénoncer le grand travestissement des faits ; devoir de combattre le grand effacement de la mémoire française ; devoir de refuser le grand remplacement de la population. À nous de subvertir la commémoration tronquée qu’on nous prépare.

     

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

    NdB: C'est très bien.. mais pas un mot sur Philippe Pétain! Et pourquoi? Excès de prudence?

  • 21 gendarmes pour surveiller la résidence secondaire de Jean-Marc Ayrault

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    La résidence secondaire du Premier ministre, à Sarzeau, dans la presqu’île de Rhuys, est gardée 24h/24 par 21 gendarmes. Un hélicoptère complète le dispositif lors de ses séjours.

     

    Bâtie en 2000 à Sarzeau, un village bucolique tout en granit du Morbihan, la maison de vacances de l’ancien maire de Nantes est de taille raisonnable, avec petit jardin et une belle vue sur une vallée.

    Cependant, impossible d’en approcher : deux voitures de la Gendarmerie barrent l’entrée de la rue. Selon le décompte du voisinage, 21 gendarmes se relaient jour et nuit pour surveiller la résidence de Jean-Marc Ayrault.

    “Il y en a vingt et un en tout ! Ils se relaient par groupe de trois toutes les trois heures. Les autres patientent dans un hôtel-restaurant du Tour-du-Parc, une commune voisine.”

    "Les gendarmes sont là sept jours sur sept et vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Ça doit nous coûter de l’argent, tout ça”, indique l’un des habitants du coin.

    Et lorsque l’ancien maire de Nantes est de retour, toute la presqu’île est au courant :

    “Un hélicoptère est là en permanence. Soit il tourne au-dessus, soit il attend avec pilote et copilote dans le champ en bas de la maison. Ça va encore : à son arrivée à Matignon, l’hélicoptère tournait pratiquement toute la journée au-dessus de la presqu’île.”

    Logés dans un hôtel-restaurant 3 étoiles, La Croix du Sud, les gendarmes se reposent dans un cadre confortable, régalés aux frais de la République mais sans excès :

    “Ils sont logés dans une partie de l’hôtel réservée aux séminaires et prennent le menu du jour”, précise le personnel.

    Lors des relèves, ce ne sont pas moins de 42 gendarmes, soit deux équipes, qui sont à table et en ces temps de disette, une telle débauche de moyens pour une maison pratiquement vide tout au long de l’année peut surprendre.

    “Tout est légal et habituel. Vous savez, du temps de Fillon et de ses prédécesseurs, c’était la même chose…”, assure-t-on du côté de la Gendarmerie.

    Sources : lyoncapitale.fr / Le JDS

     

    Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre,
    Est sujet à ses lois ;
    Et la garde qui veille aux barrières du Louvre
    N'en défend point nos rois.

    Malherbe  (Stances à M. Du Périer)

     

     

  • Réaction de Marine Le Pen à la dégradation de la note de la France

     

    Marine Le Pen

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    La dégradation de la note de la France par Standard & Poor’s à AA, après une première dégradation sous Nicolas Sarkozy en janvier 2012, démontre que notre pays ne fait que perdre à poursuivre année après année une politique d’eurostérité sous pression de la grande finance. Non seulement l’eurostérité dégrade le pouvoir d’achat, non seulement elle n’améliore pas la croissance, l’emploi et la dette, mais de surcroît elle n’est jamais suffisante pour la finance !

    Cet événement tue ainsi le mythe commun à l’UMP et au PS selon lequel l’austérité permettrait de se dégager de l’emprise des marchés financiers et de retrouver notre liberté d’action. Bien au contraire, plus nous allons dans la voie de l’eurostérité, plus nous plongeons et plus nous sommes soumis à la dictature de la finance et des taux d’intérêt qu’elle facture à notre pays.

    Les Français doivent en effet réaliser que tous les sacrifices qui leur sont demandés depuis plusieurs années, aussi bien la hausse de la fiscalité que la réduction des services publics et de santé, sont annulés dès que les taux d’intérêt appliqués au remboursement de notre dette publique augmentent.


    Plusieurs pays de la zone euro ont connu ce cercle vicieux avant nous, à commencer par la Grèce et l’Espagne : la décision prise par S&P nous confirme que nous sommes embarqués dans la même logique.

    La nouvelle dégradation de la note de la France doit donc nous inciter à nous libérer de la pression de la finance pour retrouver des marges de manœuvre. Ce ne sera possible que si notre pays retrouve une monnaie nationale, à l’instar de 95 % des pays du monde, ainsi que la possibilité d’emprunter directement à la Banque de France plutôt que d’être contraint de le faire auprès des grandes institutions financières, comme le Traité de Maastricht l’y oblige.

  • Marion Maréchal – Le Pen poursuit L’Express en justice pour atteinte à la vie privée

    8 novembre 2013   Karine Legentil                                                

    marion maréchal le pen

    Communiqué de Wallerand de Saint-Just, avocat de Marion Maréchal – Le Pen

    Marion Maréchal – Le Pen a demandé à son avocat d’engager sans délai une procédure contre le journal L’Express qui a publié le 7 novembre 2013, sous la signature de Tugdual Denis, un article atteignant gravement son droit à l’intimité de sa vie privée.

     

    NPI

  • Comment la France s’est ruinée en Algérie : hommage à Daniel Lefeuvre

     

     
    La mort de Daniel Lefeuvre est une perte immense pour la minuscule phalange des africanistes libres, eux qui, dans les Thermopyles de la pensée, ont décidé de combattre jusqu’au bout les masses du bas clergé universitaire porteuses du politiquement correct.
    Né le 11 août 1951 et mort le 4 novembre 2013, le brillant universitaire qu’était Daniel Lefeuvre avait suivi  la voie ouverte par Jacques Marseille qui fut son directeur de thèse. Après que ce dernier eut magistralement prouvé que, loin de les avoir pillées, la France s’était appauvrie dans ses colonies[1], Daniel Lefeuvre, alors professeur à l’université de Paris VIII, démontra dans un livre fondateur[2] que l’Algérie fut un insupportable fardeau pour la France et que, loin de l’avoir pillée, la France s’y ruina.
    Une telle remise en cause de la doxa marxisto-tiers-mondiste venant d’un ancien communiste[3] provoqua un véritable déchaînement de haine chez les « bien-pensants ».
     
    La thèse de Daniel Lefeuvre renversait les dogmes et les idées-recues. Que l’on en juge :  en 1959, toutes dépenses confondues, la « Chère Algérie » engloutissait à elle seule 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !  
    En soulageant les misères des populations algériennes et en faisant reculer la mortalité infantile la France avait créé les conditions d’une catastrophe qu’elle s’était elle-même condamnée à gérer. Résultat du dévouement et de l’efficacité du corps médical français, à partir de 1945, chaque année 250 000 naissances nouvelles étaient comptabilisées en Algérie, soit un accroissement de 2,5 à 3% de la population d’où un doublement tous les 25 ans. Or, depuis les années 1930 les ressources locales stagnaient et depuis 1935 le territoire n’était plus en mesure de nourrir sa population. La France devait donc, et toujours aux frais du contribuable métropolitain, y importer grains, pommes de terre, viande, laitages etc., Même l’huile produite localement ne suffisait plus à la consommation.
    L’image d’Epinal de l’Algérie « grenier » de la France s’envolait ainsi sous le froid scalpel de l’historien économiste.
     
    Daniel Lefeuvre montrait ainsi que l’Algérie s’enfonçait inexorablement dans le néant, les gouvernements français successifs se contentant d’accompagner financièrement une crise allant en s’aggravant année après année, tout en nourrissant les bouches nouvelles, en bâtissant des hôpitaux, des écoles, des routes, des ponts et en tentant de créer artificiellement des  milliers d’emplois.     
    A l’exception de Vichy qui tenta une audacieuse politique d’industrialisation qui ne fut pas poursuivie après la Libération, aucun gouvernement n’osa lancer les indispensables grandes réformes structurelles. Aucun n’osa poser la question du nécessaire désengagement, l’appartenance de l’Algérie à l’ensemble français étant alors  une évidence pour tous les partis politiques, de droite comme de gauche, parti communiste compris. Mais l’aveuglement avait un coût que les économistes et les milieux patronaux métropolitains évaluèrent. Lucides et inquiets ils tirèrent la sonnette d’alarme. En vain.  
     
    En 1953 les politiques durent se rendre enfin à l’évidence car les recettes locales ne permettaient plus de faire face aux dépenses de fonctionnement. L’Algérie était bel et bien en faillite.
    En 1952, anticipant en quelque sorte la situation, le gouvernement de l’époque avait demandé au parlement le vote de 200 milliards d’impôts nouveaux, tout en étant contraint de faire des choix budgétaires douloureux. Pour aider encore davantage l’Algérie il fallut donc faire patienter la Corrèze et le Cantal. Le sacrifice des Français de France fut alors double puisque leurs impôts augmentaient tandis que les engagements de l’Etat dans les domaines routiers, hospitaliers, énergétiques, etc., étaient amputés ou retardés.
     
    « Tutrice généreuse », la France couvrait « avec constance les découverts de sa pupille », et l’implication du budget national dans les déséquilibres algériens allait sans cesse en augmentant. C’est ainsi que, de 1949 à 1953 le volume des investissements sur fonds publics en francs courants atteignit 305 milliards dont les 4/5° assurés par l’Etat français. De 1952 à 1956 les ressources d’origine métropolitaine affectées au financement du 2° plan d’équipement passèrent de 50% à plus de 90%. Le pic de l’aberration fut même atteint avec le « Plan de Constantine » annoncé par le général De Gaulle le 3 octobre 1958 et qui, lui aussi, prétendait apporter une réponse économique à des problèmes sociaux, démographiques, culturels et politiques.
      
    L’addition des sommes versées par l’Etat français,  donc par nos parents ou nos grands-parents, donne le vertige :
    - Durant les seuls 9 premiers mois de 1959 les crédits d’investissement en Algérie  atteignirent 103,7 milliards dont 71,5 milliards directement financés par le Trésor français.
    -De 1950 à 1956, la seule industrie algérienne reçut, hors secteur minier, en moyenne 2 395 millions d’anciens francs annuellement.
    - En 1959 et en 1960 cette somme  atteignit en moyenne 5 390 millions.
     
    Entre 1959 et 1961, pour le seul « plan de Constantine », les industries métropolitaines investirent 27,40 milliards d’anciens francs hors secteur des hydrocarbures. Les industriels français étaient-ils soudainement devenus philanthropes, eux qui s’étaient jusque là prudemment tenus à l’écart de la « chère Algérie » ? Daniel Lefeuvre donne l’explication cette soudaine « générosité » : « le prix des créations d’usines en Algérie  (a) été payé par les contribuables métropolitains grâce à un cadeau de 90 millions d’anciens francs fait par l’Etat à chaque industriel » !
     
    Quels intérêts la France avait-elle donc à défendre en Algérie pour s’y ruiner  avec une telle obstination, avec un tel aveuglement ? La réponse est claire : économiquement aucun ! Et pourtant : « Que d’articles, de déclarations, de discours pour rappeler que l’Algérie est le premier client de la France ! Que de sottises ainsi proférées sur le nombre d’ouvriers français qui travaillaient grâce aux commandes passées par l’Empire ! » écrit Daniel Lefeuvre.
    Qu’il s’agisse des minerais, du liège, de l’alpha, des vins, des agrumes etc., toutes les productions  algériennes avaient en effet des coûts supérieurs à ceux du marché. En 1930 le prix du quintal de blé était de 93 francs en métropole alors que celui proposé par l’Algérie  variait entre 120 et 140 f, soit 30 à 50% de plus.
       
    C’est parce que la France payait sans discuter que l’Algérie pouvait pratiquer ces prix sans rapport avec les cours mondiaux ce qui, en 1934, fit tout de même dire au rapporteur général de la Commission des finances des Assemblées financières algériennes : « Il n’y a pas d’exemple assurément que par sa législation protectrice, par son économie dirigée, l’Etat ait fait subir à la loi naturelle de l’offre et de la demande une aussi profonde mutilation ».
    Résultat d’une telle politique, l’Algérie qui avait vu se fermer tous ses débouchés internationaux en raison de ses prix n’eut bientôt plus qu’un seul client et un seul fournisseur, la France, qui continuait d’acheter à des cours largement supérieurs au marché des productions qu’elle avait déjà largement payées puisqu’elle n’avait cessé de les subventionner !
    Le plus insolite est que l’Algérie ne fit aucun effort tarifaire dans sa direction, dévorant sans gène une rente de situation assurée par les impôts des Français. Ainsi, entre 1930 et 1933, alors que le vin comptait pour près de 54% de toutes ses exportations agricoles, le prix de l’hectolitre qu’elle vendait à la France était supérieur de 58% à celui produit en Espagne, ce qui n’empêchait pas la  métropole de se fermer au vin espagnol pour s’ouvrir encore davantage au sien…
     
    Daniel Lefeuvre a également démontré que, contrairement aux idées reçues,  la main d’œuvre industrielle en Algérie était  plus chère que celle de la métropole. Un  rapport de Saint-Gobain daté de 1949 en évalue même le surcoût : « pour le personnel au mois, la moyenne des (rémunérations versées) ressort à 27000 f pour la métropole contre 36000 f en Algérie (…) Par comparaison avec une usine métropolitaine située en province, l’ensemble des dépenses, salaires et accessoires est de 37% plus élevée ».
    L’industrialisation de l’Algérie était donc impossible, sauf à rembourser ce surcoût aux industriels. C’est d’ailleurs ce que fit la France comme le montre l’exemple de la verrerie particulièrement bien étudié par Lefeuvre. En 1945 une bouteille fabriquée en Algérie coûtant 78% de plus que la même bouteille produite en métropole, il valait mieux importer que de fabriquer sur place. Un accord fut alors conclu entre les Verreries d’Afrique du Nord (VAN), la Caisse des marchés de l’Etat et le Crédit national : les VAN s’engageaient  à produire en Algérie même des bouteilles et des dérivés puis à les mettre sur le marché à un prix agréé par le Gouvernement général de l’Algérie ; en contrepartie l’Etat prenait à son compte les pertes. Quant aux investissements nécessaires à la relance de la fabrication et qui étaient  de 150 millions de f de 1946 ils étaient assurés pour 50 millions par l’Etat et les 100 millions restants par emprunt du Crédit national avec garantie étatique. De plus, pour faire face aux dépenses de fabrication, les VAN disposeraient de crédits d’aval de 70 millions consentis par la Caisse des marchés.  
    Pour survivre, l’industrie algérienne devait non seulement disposer d’un marché local protégé mais encore être subventionnée par l’Etat français…
     
    La découverte des hydrocarbures en 1956 ne changea pas la donne et l’Etat français fut contraint d’imposer quasiment à des compagnies réticentes une mise en production qui débuta timidement entre 1957 et 1959 pour démarrer véritablement en 1961. Ce pétrole  était en effet trop léger pour la transformation en fuel dont avait alors besoin l’industrie française. De plus, à cette époque, le marché mondial était saturé et le pétrole algérien entrait directement en concurrence avec le pétrole libyen plus facile à exploiter et à écouler. Enfin, le brut algérien était cher : 2,08 $ le baril contre 1,80 $ au cours mondial. Une fois encore la France vola donc au secours de l’Algérie en surpayant un pétrole dont elle avait pourtant financé les recherches et la mise en exploitation !
     
    Concernant l’immigration algérienne en France, et contrairement à tous les poncifs, Daniel Lefeuvre  a  définitivement démontré qu’avec le statut du 20 septembre 1947 conférant la citoyenneté française aux musulmans d’Algérie, ce fut la préférence nationale, en l’occurrence la préférence algérienne, que choisirent les gouvernements de la IV° République. Contrairement à une autre idée-recue, les choix des patrons métropolitains étaient au contraire à la main d’oeuvre italienne, espagnole et portugaise mieux formée donc moins chère et facilement assimilable. Comme l’écrit encore Daniel Lefeuvre, « contrairement à une légende tenace, l’afflux d’Algériens en métropole, dans les années 1950, ne répond pas aux besoins en main d’œuvre de l’économie française au cours des années de reconstruction ou des Trente Glorieuses » ce qui détruit « l’imagerie de rabatteurs, parcourant le bled, pour fournir à un patronat avide, la main d’œuvre abondante et bon marché dont il serait friand ».
    A lire ces lignes, on comprend que les Coquery-Vidrovitch, les Liauzu et les Stora aient eu des brûlures d’estomac…
     
    Bernard Lugan
     08/11/2013
     

    (merci à Nelly) 

     

     

  • Arafat : la mort n’était pas naturelle (Palestiniens)

    Aujourd'hui, 15:15                                    

         

    Arafat : la mort n’était pas naturelle (Palestiniens)
     
  • Les États-Unis ont perdu leur droit de vote à l'UNESCO

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    Aujourd'hui, 16:53                                      

          

     

    Par La Voix de la Russie | Les États-Unis ont perdu leur droit de vote à l'UNESCO vendredi. Le pays devra débourser des centaines de millions de dollars s'il veut retrouver ce privilège.

     Les États-Unis ont cessé de verser de l'argent à l'agence onusienne basée à Paris depuis que cette dernière a décidé d'accorder le statut de membre à la Palestine en 2011. La loi américaine interrompt automatiquement le financement des organisations qui acceptent la Palestine dans leurs rangs.
    http://french.ruvr.ru/2013_11_08/Etats-Unis-ont-perdu-leur-droit-de-vote-a-lUNESCO-1813/

  • Obsédé par ses délires idéologiques, l'Elysée confond les deux conflits mondiaux

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    http://fr.novopress.info/144269/obsedes-par-ses-delires-ideologiques-lelysee-confond-les-deux-conflits-mondiaux/#more-144269

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  • Elle trouve la montre d'un Poilu en arrachant ses pommes de terre

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    « J’étais en train d’arracher mes pommes de terre lorsque j’ai aperçu un étui en cuir rouge. Il y avait une veille montre à l’intérieur. » Micheline Aubry n’a pas été toute retournée de retrouver au cœur du mois d’août dernier, dans son jardin, un objet relatif à la Grande Guerre. « On en trouve régulièrement à Souilly. Des boutons, des sous, des fourchettes, des cuillères, des pelles, des pioches, des crochets de tente. Mais là, j’ai vite remarqué qu’il s’agissait d’une montre à gousset personnelle sur lequel le nom d’un soldat était inscrit. On pouvait lire Paul Vallart. J’ai alors pensé à sa famille et j’ai contacté Noël Boltz, le président local de la Fédération André-Maginot. »

    Noël Boltz a récupéré la montre et l’a transmise à Daniel Fricault, le président du comité de Souilly du Souvenir français. Tous deux ont effectué des recherches sur le site internet Mémoire des hommes. « Nous avons appris qu’il était né à La Neuville-en-Tourne-à-Fuy, dans les Ardennes le 30 avril 1887. Des documents militaires indiquaient qu’il était disparu, mais en poursuivant nos recherches, nous avons remarqué que son nom était inscrit sur le monument Aux Morts d’Ivry-sur-Seine. Finalement, on a découvert qu’il était décédé le 6 octobre 1915, au point 1257, sur la butte de Souin dans la Marne. Il est enterré à la nécropole nationale de La Crouée, près de Souin. »

    Que faisait le sergent Paul-Alfred Vallart à Souilly, dans le jardin de Micheline Aubry ? : « Souilly, c’était un lieu de repos, une base arrière pour les poilus. Elle était constituée de casernements, d’un hôpital », dit Micheline. « C’est là que les hommes se remettaient en condition, se lavaient. Avant de repartir au combat. On ne sait pas quand ni comment il a perdu cette montre. Peut-être qu’il était blessé, qu’on lui a retiré ses vêtements et que la montre est tombée. »

    Recherche à La Neuville- en-Tourne-à-Fuy

    Pour retrouver des traces de sa famille, Daniel Fricault s’est rendu à La Neuville-en-Tourne-à-Fuy : « J’ai rencontré le maire de cette commune, Mme Mireille Leguay qui m’a permis d’accéder au registre de l’état civil et j’ai découvert qu’il s’était marié à Paris Ve , en 1913, à Juliette Heuret. Il a alors reconnu et légitimé Joseph-Marie Heuret que sa femme avait eu en 1909 à Antony (92). Joseph-Marie Heuret (1909-1974) a été adopté par la Nation en 1919, sous le nom de Joseph-Marie Vallart. Ce dernier s’est marié en 1931 à Yerres (91) avec Léonie Laramé. C’est dans cette cité qu’est née en 1935 Rolande Carmen Vallart. Laquelle a épousé Lucien Vetter, en 1956. Ce couple habite aujourd’hui à Yerres. Je vais donc prochainement remettre cette montre à Rolande Vetter. »

    Mais la nouvelle de la montre retrouvée du poilu ardennais, mort dans la Marne, a circulé très vite du côté de Châlons-en-Champagne : « Les organisateurs de l’exposition ‘’Sur les traces de Maurice Genevoix et des soldats de la Grande Guerre’’ m’ont demandé de venir la présenter au public. Ce que je vais faire. Avant de la rendre à la petite-fille de Paul-Alfred Vallart. »

    Pascal ISCH.

     

    Le Républicain Lorrain - 07/11/13

  • Français de souche, ne vous laissez pas voler la mémoire de 1914

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    L'ossuaire de Douaumont

    http://www.polemia.com/francais-de-souche-ne-vous-laissez-pas-voler-la-memoire-de-1914/

     

    Il n’y a pas un Français de souche dont le patronyme ne figure pas sur le monument au mort d’un village.

  • J’ai, au fond du coeur …

     

    « L’une des légendes les plus répandues en Bretagne est celle d’une prétendue ville d’Is, qui, à une époque inconnue, aurait été engloutie par la mer. On montre, à divers endroits de la côte, l’emplacement de cette cité fabuleuse, et les pêcheurs vous en font d’étranges récits. Les jours de tempête, assurent-ils, on voit, dans le creux des vagues, le sommet des flèches de ses églises ; les jours de calme on entend monter de l’abîme le son de ses cloches, modulant l’hymne du jour. Il me semble souvent que j’ai au fond du cœur une ville d’Is qui sonne encore des cloches obstinées à convoquer aux offices sacrés des fidèles qui n’entendent plus. Parfois je m’arrête pour prêter l’oreille à ces tremblantes vibrations qui me paraissent venir de profondeurs infinies, comme des voix d’un autre monde. Aux approches de la vieillesse surtout, j’ai pris plaisir pendant le repos de l’été, à recueillir ces bruits lointains d’une Atlantide disparue. »

    Ernest Renan. Souvenirs d’enfance et de jeunesse. Presses Pocket.

    Le chemin sous les buis - 05/11/13

  • Entrainements militaires israéliens simulant la réoccupation de Gaza 07/11/2013

      

    Entrainements militaires israéliens simulant la réoccupation de Gaza


    Selon le quotidien " Yediot Aharonot " l'armée israélienne se prépare à procéder à des larges entraînements dans la ville d'Ashkelon, avant la fin de ce mois-ci, pour simuler la réoccupation de la bande de Gaza, soulignant qu'elle participera aux exercices intensifs et sans précédent des milliers de soldats et d'un grand nombre de véhicules de transport de personnel et de véhicules blindés.

    Le journal cite à partir des sources dans le plan de Gaza que l'armée a choisi Ashkelon spécifiquement pour la mise en œuvre du scénario de formation car il y a une similitude avec la bande de Gaza puisque les deux villes se situent sur la côte, et ils contiennent certains des quartiers les plus anciens.

    Comme il a rajouté que «la division Gaza » mène des préparatifs pour la formation militaire de grande envergure, en soulignant que cette bande qui appartient à la commande d’armée au sud qui a été formée dans le but de contrôler Gaza après le déclenchement de la première Intifada en 1987.
     
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