Collège Victor-Hugo à Narbonne
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Collège Victor-Hugo à Narbonne
Le « rapport du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes relatif à l’accès à l’avortement volontaire dans les territoires » a été remis le 7 novembre 2013 au ministre des Droits des femmes.
Ses rédacteurs ont été largement invités dans les gros médias pour déverser leur propagande pro-mort. Un de leurs leitmotiv était qu’il fallait faire de l’IVG « un acte médical comme un autre ».
C’est bien sûr absurde et surtout, il ne s’agit pas d’un acte médical tout court ! Dans une inversion toute satanique des mots, les modernes veulent oublier que la médecine est là pour guérir.
Donner la mort, mettre un terme à la vie – qui n’est pas une maladie -, n’a rien de médical.
Au sujet de ce rapport, voici ce que nous communique l’AGRIF :
« Celui-ci commence par un état des lieux qui est d’emblée une manipulation puisqu’il affirme que l’avortement est un « événement assez courant de la vie sexuelle et reproductive d’une femme puisque 1 femme sur 3 y aura recours dans sa vie ». De fait 2 femmes sur 3 n’y aura donc pas recours ce qui ne fait pas de cet événement un acte si courant que cela puisque les 2 tiers des femmes ne le connaitront pas. Mais tout est permis pour faire accepter l’inacceptable, ce qui est évident lorsqu’on analyse les 3 recommandations du rapport qui doivent faire de l’avortement un droit à part entière et qui est en fait un véritable retour à la barbarie.
Lire la suite
Contre-info.com
Nora Fraisse : "Aujourd'hui, les bons élèves... par Europe1fr
Témoignage de la mère de Marion
Victime de harcèlement dans son collège, l'adolescente s'est suicidée. Ses parents dénoncent les dysfonctionnements au sein du collège.
«Une démarche pour les autres enfants et pour faire face au silence de l'Éducation nationale», explique la maman de Marion. Les parents de cette adolescente de l'Essonne qui s'est suicidée à 13 ans en février après avoir été victime de harcèlement dans son collège, ont déposé jeudi une nouvelle plainte auprès du tribunal de grande instance de Paris.
La famille de Marion se constitue partie civile pour violences, menaces de mort, provocation au suicide, homicide involontaire, non-assistance à personne en danger. «Nous demandons la nomination d'un juge d'instruction pour faire toute la lumière sur ce qui s'est passé», a précisé Nora Fraisse, la mère de Marion, sur Europe 1. Et d'ajouter: «Nous avons, du fait de notre enquête personnelle, trouvé des preuves accablantes contre le collège, démontrant un grave dysfonctionnement. Nous portons également plainte contre les élèves qui sont nommés dans la lettre d'adieux de Marion». Leur plainte vise aussi l'Education nationale.
Dans sa lettre, Marion, scolarisée au collège Jean-Monnet à Briis-sous-Forges, décrit les insultes et les menaces dont elle a fait l'objet. La veille de sa mort, la jeune fille avait téléphoné des toilettes de l'école. Elle déclarait à ses parents se sentir mal et devoir rentrer. «Elle était attendue le lendemain au collège par les harceleurs. Pour lui faire la peau», affirme Nora Fraisse. Marion avait déjà subi, les années précédentes, des pressions mais les responsables de l'établissement avaient réagi. Cependant, l'année dernière, le principal et le principal adjoint ont changé. La composition des classes est aussi en cause: la classe de 4e de Marion était impossible à gérer pour les enseignants. D'après Nora Fraisse, «débordés, ils ont refusé les conseils de discipline» et n'auraient pas réagi quand sa fille a été insultée en cours. Des demandes de changement de classe n'ont pas non plus abouti.
Les tensions n'ont pas pris fin avec la disparition de Marion. D'autres élèves ont également été la cible de brimades. Sur Europe 1, sa mère dit avoir recueilli des témoignages de ces collégiens eux aussi très brillants. Elle mentionne ainsi le cas d'«une jeune fille, qui a été prise à partie à plusieurs reprises, qui a été bloquée dans les vestiaires également, avec un briquet et un déodorant en lui disant: ‘on va faire de toi un chalumeau'». «On espère que Marion ne sera pas morte pour rien et que son cas permettra à d'autres parents et aux institutions de prendre conscience qu'il se passe des choses très graves au sein de nos établissements scolaires», espère la mère de Marion. Pour elle, «aujourd'hui, les bons élèves sont stigmatisés» par leurs pairs.
Les parents de Marion vont aussi déposer jeudi au ministère de l'Éducation nationale une cinquième lettre à l'attention de Vincent Peillon. Dans ce courrier, ils listent une série de «dysfonctionnements» du collège et demandent au ministre une inspection approfondie de l'établissement. Pour leur avocat, Me Père, l'administration a commis une double faute dans cette affaire: «la première, d'ordre pénal, tient aux manquements de l'Education nationale à ses obligations de surveillance dans le collège. La seconde faute est morale car l'Éducation nationale nous oppose depuis le drame un silence dédaigneux». Les parents de Marion expliquent n'avoir reçu aucune marque de sympathie des enseignants de l'établissement. Ils voudraient aussi obtenir le rapport de l'enquête administrative. Au ministère, on explique sous couvert d'anonymat attendre les conclusions de l'enquête de la gendarmerie sur l'affaire.
«La vie ne continue pas mais le combat ne fait que démarrer», a promis la famille de Marion. Depuis le suicide de leur fille, les parents ont multiplié les démarches. Outre la plainte annoncée jeudi, ils avaient auparavant déposé deux plaintes à la gendarmerie puis auprès du parquet d'Evry. Fondamentalement ce que la famille de Marion réclame, ce sont de vraies sanctions pour les harceleurs. «Ceux de Marion sont connus du collège et agissent en toute impunité», rappelle-t-elle.
LE FIGARO - 14/11/13
Le livret A, qui est le produit d'épargne préféré des Français, pourrait voir sa rémunération à nouveau diminuer, lors de la prochaine révision de son taux, le 1er février prochain, selon des informations du quotidien Les Échos.
Si l'inflation se maintient à ses niveaux actuels, le livret A devrait voir son taux baisser de 1,25 % à 1 % voire même 0,75 % à partir du selon l'application stricte de la formule de calcul de sa rémunération. Le produit d'épargne populaire devrait ainsi enregistrer sa troisième baisse consécutive en un an.
LE FIGARO 15/11/13
« Rien ne fait mieux écrire que d’écrire sur ce que l’on aime » disait l’écrivain Paul Léautaud. Et c’est peut-être la clé de voûte du premier livre de Nikola Mirković, Le martyre du Kosovo. De sa plume accrocheuse procède un amour aux racines multiples pour le Kosovo-Métochie.
Le martyre du Kosovo propose un éclairage nouveau sur l’histoire turbulente de la province balkanique. La grille de lecture originale de l’auteur se nourrit de sources hétéroclites mêlant analyses et témoignages de toutes parties et de tous pays. Un regard ouvert qui dissipe page après page la brume des préjugés pour laisser apparaitre une réalité plus contrastée, moins convenue. En revisitant les événements tournants du Kosovo-Métochie depuis la construction de l’Empire serbe au Moyen-âge jusqu’au péril de son état moderne, l’histoire du Kosovo martyr se prépare.
D’origine franco-serbe, Nikola Mirković signe un récit marquant également inspiré de son vécu. Depuis 1999, l’engagement personnel de l’auteur pour la défense des Serbes du Kosovo et la réhabilitation de leur histoire s’inscrit dans le prolongement du souvenir de la fraternité des peuples français et serbe dans lequel il a grandi. Rien d’étonnant alors que le chemin de celui qui fut d’abord « bouclier humain » en 1999 sur les ponts de Belgrade contre les bombes de l’OTAN croise la route, quelques années plus tard, de l’association Solidarité Kosovo.
Depuis lors, le dévouement efficace et fidèle de Nikola Mirković a contribué à conduire Solidarité Kosovo dans les défis d’une décennie d’engagement humanitaire au secours des Serbes du Kosovo. Du bénévole opiniâtre à l’écrivain humaniste, une constante guide l’itinéraire de Nikola Mirković : faire connaitre le sort d’un peuple martyr, celui des Serbes du Kosovo.
Introduit par Jean-Louis Tremblais, grand reporter au Figaro Magazine, Le martyre du Kosovo est disponible sur commande auprès des librairies, sur Internet et directement auprès des Éditions Jean Picollec, 47 Rue Auguste Lançon 75013 Paris, France (Tél. : 01 45 89 73 04) au prix de 20€ TTC frais de port compris.
SOLIDARITE KOSOVO
La croissance économique a encore chuté au troisième trimestre (-0,1%), 17.000 emplois industriels ont été liquidés dans notre secteur marchand selon des données provisoires publiées hier par l’Insee. L’industrie et la construction sont les secteurs les plus frappés. Sur un an, ce sont plus de 107 000 emplois qui ont été détruits au total par la politique euromondialiste du gouvernement Ayrault, parfaite décalque de celle des gouvernements Juppé, Jospin, Raffarin, Fillon… Selon un sondage YouGov pour le Huffington Post et iTélé, publié également jeudi, la popularité de François Hollande a encore chuté de 6 points, s’établissant à 15 % des personnes interrogées qui portent un jugement favorable sur son action, de même que celle de Jean-Marc Ayrault. Nous comprenons mieux à cette aune, la divine surprise que constitue pour la gauche l’affaire Taubira-Minute, et plus largement la diversion bien venue de la lutte contre le racisme.
Un petit répit, car cet écran de fumée se dissipera rapidement et n’empêchera pas la fronde à venir des artisans-commerçants. Eux aussi se cabrent et se révoltent de manière bien légitime contre le matraquage fiscal confiscatoire, notamment l’augmentation à venir de la TVA qui les prive toujours plus avant du fruit de leur labeur.
Alors certes, SOS racisme, la Licra, le Mrap ont porté plainte contre Minute, les officines et autres politiciens positionnés sur le juteux créneau de l’antiracisme subventionné, donnent de la voix, s’égosillent, en font des tonnes, pour masquer la panique d’un Système bien incapable de répondre aux attentes et aux vœux des Français.
Une caste qui a abandonné la politique au sens noble du terme depuis longtemps –elle a confié le destin de la France à l’entité euromondialiste bruxelloise- pour se vautrer dans le «sociétal », les leçons de bon goût, une bien-pensance qui n’est que le cache-sexe de son impuissance.
Comme toujours, comme souvent, le sens de la mesure n’est pas le fort des gardiens du dogme dont la balourdise sentencieuse hérisse au final le poil des Français et produit des effets inverses à ceux qui sont recherchés.
Les cris d’indignations des Copé, Royal, Juppé (ce dernier n’avait rien trouvé à redire à la sortie de Chirac sur « le bruit et l’odeur » d’une famille nombreuse immigrée), des communistes, des centristes, de l’UMPS, du CRAN etc, comme l’avait prédit avec sagacité Christiane Taubira, ont surtout profité à Minute. Selon un reportage diffusé avant-hier sur RTL, les numéros de l’hebdomadaire se sont arrachés et ont été épuisés en très peu de temps chez les kiosquiers;
Selon son directeur de publication, Jean-Marie Molitor, «cette Une est de mauvais goût mais c’est de la satire, et ce n’est pas un délit en France. » «Cette hystérie collective me dépasse, mais c’est une jolie publicité ». « Il n’y avait rien de méchant dans l’article contre Mme Taubira, qui, intelligente, a compris que cela ne méritait pas (de faire un procès) ».Un journaliste de Minute rapporte encore l’Afp, ajoute que « c’est une couverture composée d’éléments de langage courant. On se doutait que SOS racisme porterait plainte, mais nous avons prévu le coup du point de vue judiciaire. Nous sommes difficilement condamnables. »
Quant à la lecture des commentaires sur les réseaux sociaux, sur les sites des journaux ayant pignon sur rue faisant état de cette Une de Minute, elle est elle aussi assez instructive.
Les internautes s’apitoient moins sur le sort de Mme Taubira qu’ils ne pointent son sectarisme hautain, son autisme militant lors de la mobilisation des Français contre le mariage et l’adoption pour les couples homos, le laxisme gauchisant de sa catastrophique réforme pénale, son passé de militante indépendantiste. Et plus largement encore les outrances haineuses d’une certaine gauche qui crie aujourd’hui au retour de la Bête immonde pour tenter de sauver ses privilèges en 2014…
L’Agrif de Bernard Antony n’a pas manqué de réagir à cet «hourvari médiatique» : « Pareille indignation ne s’est pas exprimée lorsque par exemple un Jean-Marie Le Pen était caricaturé sous la forme d’un étron dans le journal Libération ou, dans Charlie-Hebdo, mis en scène dans d’abominables compositions».
Comme l’ont rappelé Marine et Bruno Gollnisch comme le disait déjà Jean-Marie Le Pen, la France qui accueille sur son sol des millions d’immigrés, originaires notamment du continent africain, est certainement « le pays le moins raciste du monde ».
Cela n’empêche pas les médias de tancer nos compatriotes qui seraient de parfaits salauds xénophobes. L’ex élu socialiste de Bretagne, le binational franco-togolais Kofi Yamgnane, ancien secrétaire d’État des gouvernements d’Edith Cresson et de Pierre Bérégovoy, marié avec une bretonne et s’étant défini comme « un breton d’après la marée noire », a même apporté mercredi sur France Info sa petite contribution au procès des Français de souche.
Il ne s’est pas contenté d’exiger de « fermer Minute qui n’est pas un journal républicain » (sic). Il a aussi expliqué complaisamment, lui qui a été élu et réélu pendant près de vingt ans par des électeurs quasi exclusivement blancs et catholiques, que « la France a toujours été raciste». Il faut se pincer pour le croire !
Invitée mercredi soir du journal de France 2, Christiane Taubira s’est pour sa part livrée plus précisément à une attaque en règle contre les Français qui font confiance à Marine Le Pen et au Front National.
Le ministre de la Justice a estimé que la condamnation par Marine et Florian Philippot de la Une de Minute relevait de « l’hypocrisie» et de la « lâcheté ». Bref, les électeurs frontistes sont des débiles qui ne rendent pas compte de la tortueuse duplicité de la direction du FN.
« Tant que le FN ne va pas renier tout son héritage, tout ce qui fait son identité profonde… Je pense que ce sont des accommodements, des positions opportunistes », a-t-elle expliqué.
Le fils de « montagnard kabyle harki » et «nationaliste » français Kader Hamiche, a publié jeudi sur son blog une excellente tribune sur cette affaire Taubira-Minute.
« Comme toujours, écrit-il il faut, pour voir de quoi la sauce est faite, en écarter l’écume. De quoi s’agit-il exactement ? A l’évidence, on est en plein combat de l’anti-France contre la tentation des Français de voir dans le Front National et Marine Le Pen la solution aux maux de notre pays (…) Il est vrai que l’enjeu est de taille. Le procès en racisme fait aux électeurs du FN est d’abord destiné à susciter des scrupules de dernière minute chez les électeurs de gauche tentés par la bascule. »
Kader Hamiche souligne aussi que « le ministre de la Justice dit clairement qu’on peut condamner les gens non seulement pour ce qu’ils font ou disent mais également pour ce qu’on pense qu’ils pensent. C’est l’éternel procès en sorcellerie fait au FN, premier parti de France à avoir fait élire des Arabes ! ».
« Mieux, si l’on peut dire, ces gens veulent nous imposer une certaine définition de la République, la leur, en nous interdisant, ce qui est normal pour des internationalistes, d’envisager telle politique contraire à leur idéologie. On interdit déjà aux Français de penser que la France a une identité qui lui est propre ou de préférer la civilisation occidentale romaine-chrétienne à d’autres ; vous verrez que, avant longtemps, on nous refusera le droit d’être contre l’Europe. Le mouvement est d’ailleurs déjà en marche dans certains pays, comme la Grèce, où il existe un projet de criminalisation des opinions anti-européennes. »
Notons encore que sur la plateau de France 2, Mme Taubira a dit vrai quand elle a dressé le constat de la guerre livrée part le Système UMPS à l’opposition, nationale et patriotique : «Il y a un affrontement de valeurs profond, cet affrontement est tout à fait normal. Nous allons livrer bataille parce que nous avons des batailles sémantiques et culturelles à livrer, nous avons des conquêtes politiques à refaire et nous sommes bien déterminés à le faire », a-t-elle conclu.
Dont acte Mme Taubira, nous aussi ! Les Français trancheront.
BRUNO GOLLNISCH
Posté le 15 novembre 2013 à 15h58 | Lien permanent
Tout simplement extraordinaire :
"Un monastère vieux de dix siècles a été découvert sur le chantier d'un projet immobilier à Aurillac, dans le Cantal, rapporte jeudi le quotidien La Montagne. Pour les archéologues, l'état de conservation retrouvé est meilleur que les vestiges de l'abbaye de Cluny.
Des bâtiments du XXIe siècle auraient dû être construits sur ce site. Le quotidien La Montagne révèle jeudi que des fouilles préalables à ce projet situé sur l'îlot Saint-Géraud, dans le Cantal, ont mis au jour le monastère de l'abbaye bénédictine d'Aurillac, fondée par le comte Géraud au IXe siècle.
Ou plutôt celui qui a été construit sur ses vestiges en bois, à la fin du XIe siècle, explique le journal. "Cette découverte, qualifiée d'exceptionnelle, a exhumé les bâtiments conventuels des moines, c'est-à-dire leurs lieux de vie comme le dortoir, le scriptorium, le réfectoire... construits autour d'un cloître que les archéologues devinent sur un côté du chantier de terrassement."
Le Salon Beige
Je viens de signer cette pétition, même si elle ne sert à rien...
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-fondateur-du-site-Hollande-demission-fr-arrete-21332.html
+ VIDEO
INTERVIEW EXCLUSIVE - À la veille d'accueillir François Hollande pour sa première visite d'État en Israël, de dimanche à mardi, le premier ministre d'Israël a accordé un entretien au Figaro. Il salue la position «cohérente et déterminée» de Paris sur le dossier nucléaire.
LE FIGARO - En observant la façon dont se sont déroulées les négociations sur le nucléaire iranien, le week-end dernier à Genève, diriez-vous que la France est devenue pour Israël un allié plus fiable que les États-Unis?
Benyamin NÉTANYAHOU- Les États-Unis demeurent pour nous un allié important, et même le plus important. Mais notre relation avec la France est également très spéciale. Sur le dossier iranien, nos deux pays défendent des positions communes depuis de nombreuses années, quelle que soit la majorité au pouvoir, et nous poursuivons ce partenariat essentiel avec le président Hollande. De même qu'il a montré une réelle détermination et beaucoup de courage dans le combat qu'il a engagé contre l'islamisme radical au Mali, nous saluons sa position cohérente et déterminée sur le dossier iranien. Nous espérons que la France ne fléchira pas.
De quelle sorte d'accord seriez-vous prêt à vous satisfaire?
La communauté internationale a dit de manière très claire ce qu'elle attend de l'Iran. Si vous voulez de l'énergie nucléaire civile, très bien. Si vous voulez des armes atomiques, c'est non. Cette position s'est exprimée dans diverses résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU, qui appellent l'Iran à démanteler les infrastructures permettant de fabriquer des armes nucléaires. En clair, ce pays ne peut disposer ni de centrifugeuses, ni de réacteur à eau lourde. Pourtant, les Iraniens ont bravé ces résolutions. Ils avaient 170 centrifugeuses en 2005, ils en ont aujourd'hui 18.000. Ma conviction est qu'on ne doit pas baisser la garde face à un régime qui aide Bachar el-Assad à tuer des dizaines de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants innocents en Syrie, qui répand le terrorisme à travers le monde, qui arme le Hezbollah, le Hamas et le Djihad islamique avec des milliers de roquettes destinées à frapper les villes israéliennes et qui appelle, enfin, à la destruction d'Israël ainsi qu'à la subversion dans de nombreux pays.
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans Le Figaro de demain et dès 22 heures dans la version digitale.
LeParisien.fr - 15/11/13
Pourquoi les policiers ne tirent-ils pas au moins en l'air ? Et les "gazeuses", elles ne sont que pour les honnêtes gens ?
Un homme de 42 ans a été poignardé, lundi soir à Mulhouse (Haut-Rhin), en bas de son immeuble par un groupe de jeunes à qui il demandait de faire moins de bruit. Vers 21 h 20, les policiers sont informés par l'hôpital qu'un homme vient d'être admis aux urgences. Il a reçu un grave coup de couteau au sternum.
Selon les premiers éléments de l'enquête, il regagnait son domicile, rue Franklin, vers 17 h 30, lorsqu'il a vu cinq inconnus qui discutaient bruyamment sous ses fenêtres.
Le quadragénaire leur aurait demandé de quitter les lieux avant d'être gravement blessé.
Son pronostic vital reste encore réservé. Le commissariat mène l’enquête.
Le Parisien - 15/11/13
Quand ce ne sont pas les synagogues, ce sont les mosquées !
La police avait ouvert une enquête après la découverte de tags injurieux réalisés à la peinture verte fin octobre sur la mosquée de Pau, avenue de Buros.
Aucune piste n’avait abouti. Mercredi, l’auteur est venu spontanément se dénoncer au commissariat (peut-être pris de remords ?) : il s’agit de l’imam lui-même. Salarié de l’association cultuelle, cet homme âgé d’une cinquantaine d’années aurait agi ainsi dans le cadre d’un règlement de comptes interne.
Contre-info.com
Nicolas Sivan | Publié le 15.11.2013, 14h49 | Mise à jour : 15h15
Une image postée par une élue municipale UMP de Combs-la-Ville (Seine-et-Marne) sur sa page Facebook fait bondir ce vendredi le Parti socialiste. Au mois de septembre dernier, Claudine Declerck a partagé une caricature de Christiane Taubira, où la garde des Sceaux apparaît sous les traits du personnage emblématique de la marque Banania. Sous le dessin, on peut lire le slogan «Y’a pas bon Taubira».
http://www.bvoltaire.fr/dominiquejamet/jusquou-tombera-monsieur-21,41079
http://lejournaldusiecle.com/2013/11/14/francois-hollande-chute-encore-a-15-dopinions-favorables/