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Malika Sorel: "Le pouvoir bascule dans la préférence étrangère"
http://www.polemia.com/malika-sorel-le-pouvoir-bascule-dans-la-preference-etrangere/
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Marine Le Pen en déplacement à Bordeaux - 01 02 14
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Avec la feuille de route sur l’intégration, les Français devront désormais s’assimiler aux immigrés
Communiqué de Marion Maréchal-Le Pen, députée Front National élue dans le Vaucluse
La presse a dévoilé la nouvelle feuille de route de l’intégration établie par le gouvernement, qui s’imposera progressivement aux politiques publiques.
Apprentissage extensif de l’arabe, quotas de personnes issues de l’immigration dans la fonction publique, réécriture de l’histoire de France pour survaloriser l’apport des étrangers, etc. Ce catalogue de mesures n’est que la conséquence logique de l’action et de la réflexion menées par la gauche et l’extrême gauche depuis 2012.
Dépénalisation du séjour irrégulier, rapport Tuot, rapport sur l’intégration, promotion des langues minoritaires : tout converge vers un saut qualitatif majeur qui aboutira demain au droit de vote des étrangers, promis par François Hollande.Pour y parvenir, les dirigeants socialistes s’emploient à développer dans l’opinion un sentiment de culpabilité vis-à-vis des inégalités de développement : les pays du Maghreb ou d’Afrique sont pauvres à cause des Français, nous leur devons réparation !
Ils assimilent toute inégalité des conditions matérielles ou de réussite sociale à une discrimination à caractère racial, dont la France serait responsable et qu’elle devrait corriger coûte que coûte, quel que soit l’effort financier et l’état de nos finances publiques.
Pour finir, ils criminalisent toute opposition à ce mouvement, par des amalgames permanents et des références aussi récurrentes qu’abusives à l’extrémisme, à la haine, aux idées nauséabondes, aux années 30, etc.
Je dénonce avec la plus totale fermeté l’ensemble des propositions formulées dans cette feuille de route, qui généralise la discrimination positive et la déconstruction de l’identité nationale au profit d’une République communautarisée et porteuse des germes de la division la plus grave.
NPI
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Un travesti intervient devant une classe de CM1
11 février 2014
Lundi 3 février 2014, à l’Ecole élémentaire Marcel Lafitan, à Versailles, en classe de CM1, était « invité » à s’exprimer devant les élèves, David Dumortier.
David Dumortier est, pour le grand public, un parfait inconnu. Voici comment France Inter le présente :
"David Dumortier s'est tourné assez tôt vers le monde arabe et a longtemps travaillé dans le milieu psychiatrique. Il intervient aujourd'hui régulièrement en milieu scolaire. Un de ses livres a été publié avec le concours du Centre national du livre, où il a aborde les thèmes de l'homosexualité, du travestissement, ainsi que de l'indétermination sexuelle chez l'enfant et du transgenre."
Voici comment France Culture le présente, à propos de son « livre » intitulé « Travesti » :
«Personne ne choisit un beau matin d'être poète pas plus que travesti.» (4e de couverture)
« Ce qui sembler gêner, chez les travestis, c’est la partie du mot qui dit ''trans''. En latin, ce qui traverse, qui va de l’autre côté. En l’occurrence, de l’autre côté du genre sexuel. Et le sexuel est ce qui panique le plus dans les sociétés occidentales. Il n’y a qu’à voir, en cet automne 2012, comment le projet de loi sur le mariage gay crée la terreur et la haine des représentants ... »
Voici comment Marie-Claire le présente, à propos de son « livre » intitulé « Travesti » :
« Ce livre, courageusement autobiographique, raconte la vie d’un homme mal aimé dans son enfance campagnarde et rude, devenu poète et écrivain le jour, travesti la nuit. Quand le soleil se couche, David devient Sophia, armée d’un string, de lèvres trop rouges et d’une poitrine en mousse. De mots crus en images hard, du cynisme le plus abrupt aux vacheries les plus cinglantes, le narrateur ne recule devant aucune vérité, aucune dureté, aucune noirceur. Mais ne dévie jamais de son extraordinaire talent, mélange détonnant de rigueur, de poésie et d’une certaine forme de mysticisme. »
Les parents d’élèves de l’école élémentaire Lafitan sont très en colère, pour, au moins, deux raisons majeures :
- Les parents n’ont pas été informés de la venue de David Dumortier, ni d’ailleurs du sujet de son intervention en classe de CM1, qu’ils estiment, à bon droit et a minima, tout à fait déplacé
- Apparemment, la directrice et l’institutrice ont été mises devant le fait accompli et obligées, par leur hiérarchie, de recevoir David Dumortier. D’où la question : qui a pris la décision d’inviter David Dumortier en classe de CM1 ?
Le Salon Beige
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Des traces de pas vieilles de 800.000 ans découvertes en Angleterre
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TVL Journal 10 février
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Bernard-Henri Lévy à Kiev
- Publié le : dimanche 9 février 2014
- Source : realpolitik.tv
L’histrion vedette et idole des médias français est à Kiev. La présence dans la capitale ukrainienne de celui que Jean-Pierre Chevènement avait qualifié avec justesse de « petit télégraphiste de l’empire » confirme, s’il le fallait encore, la détermination des États-Unis à s’appuyer sur les milices néo-nazies en Ukraine et à faire valider cette opération par la presse française.
Il ne faut pas s’y tromper, les États-Unis ne veulent pas d’élections en Ukraine. Le risque de les perdre est bien trop important avec l’alliance improbable d’un fasciste (Tiagnibok), d’un idiot (Klitschko) et d’un arriviste sans envergure (Iatseniouk).
À l’heure actuelle, Ianoukovitch est finalement le meilleur atout de Victoria Nuland. Préoccupé uniquement de sauver le magot de son fils, le Président ukrainien a abandonné la rue à quelques centaines de miliciens.
Le pire scénario pour le département d’État serait un nouveau leader pour le parti des régions et la libération de Youlia Timochenko. Cette dernière déteste Klitschko et disputerait à Iatsenouk le leadership de leur parti « Batkivchtchina ».
C’est parce que la véritable influence américaine en Ukraine repose sur les milices néo-nazies que sa diplomatie doit s’appuyer sur la très soumise presse française, pour tenter de faire pression sur le gouvernement français. Les semaines qui viennent nous diront si la France s’est une nouvelle fois laissée piéger.
Xavier Moreau
E&R
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L'Ukraine, nouvelle étape dans la stratégie de domination américaine. Par Aymeric Chauprade
L'Ukraine, nouvelle étape dans la stratégie de... par realpolitiktv30/01/2014 – VIDÉO REALPOLITIK.TV - Au moment où l’Ukraine est traversée par des troubles importants, il convient de se poser la question de leur origine. Sont-ils le fait de l’absence de démocratie ? N’y a-t-il pas d’autres raisons bien plus géopolitiques ?
NOVOPress
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Suisse: le retour de la frontière
Tribune libre de Jean-David Cattin, responsable identitaire, un des promoteurs de l’initiative anti-minarets en Suisse romande.
Après l’interdiction des minarets et l’expulsion des criminels étrangers, une troisième “initiative identitaire” a passé la rampe ce dimanche en Suisse. Cela est d’autant plus remarquable qu’elle avait contre elle les milieux économiques, la presse, tous les partis politiques sauf l’UDC et tous les syndicats. Plusieurs raisons expliquent ce succès retentissant.
Les fondements du Oui
Depuis 1980, le nombre de Suisses de naissance est stable. La croissance démographique des 30 dernières années est due exclusivement à l’immigration. Un habitant sur quatre est un étranger. Si l’immigration se poursuit au même rythme, la Suisse aura franchi en 2035 le seuil des 10 millions d’habitants.
Entre 1995 et 2009, 1,1 m2 de terre cultivable a été perdu chaque seconde. Compte tenu de la surface utilisable, les loyers augmentent massivement dans les zones à forte densité démographique malgré une intense activité de construction. Les autochtones sont contraints pour des raisons financières de déménager vers des régions moins chères, voire à l’étranger pour certains.
La Suisse connait un des taux d’étrangers les plus hauts d’Europe et une des immigrations les plus fortes en proportion de la population. Même si la provenance très majoritairement européenne de cette immigration est à souligner, un bouleversement identitaire dû à une forte immigration africaine et orientale est en cours et inquiète de nombreux Suisses en s’ajoutant à leurs soucis sur les questions économiques, sociales et environnementales.
La campagne contre la ville, le périurbain populaire contre l’hypercentre boboïsé
Comme c’est souvent le cas pour les “initiatives identitaires”, le clivage spatial entre ville et campagne est doublé d’un clivage social entre les quartiers bobos préservés de l’immigration et les quartiers populaires où se concentre l’essentielle de celle-ci. A titre d’exemple, à Genève, les Avanchets et Châtelaine certainement les deux quartiers les plus populaires et les plus cosmopolites du canton ont voté oui, alors que dans les bureaux de vote des quartiers les plus aisés, on atteint parfois les 70% de refus. À Lausanne, le quartier populaire de Renens, emblématique pour sa forte population immigrée, a voté 10% de plus que le centre de la ville en faveur de l’initiative.
Contenu de l’initiative
L’initiative stipule que la Suisse gèrera de manière autonome l’immigration des étrangers mais également que nul traité international allant à l’encontre de ce principe ne pourra être conclu par la Suisse. C’est donc l’essence de la frontière qui est (re)constitutionalisé. Il s’agit là d’une révolution philosophique dans une Suisse qui s’abandonnait de plus en plus à l’ultralibéralisme de l’UE en matière d’immigration.
Concrètement, le nombre des autorisations délivrées pour le séjour des étrangers en Suisse sera limité par des plafonds et des contingents annuels. Les plafonds vaudront pour toutes les autorisations délivrées en vertu du droit des étrangers, domaine de l’asile inclus. Le droit au séjour durable, au regroupement familial et aux prestations sociales pourra être limité.
Les plafonds et les contingents annuels pour les étrangers exerçant une activité lucrative devront être fixés en fonction des intérêts économiques globaux de la Suisse et dans le respect du principe de la préférence nationale; ils devront inclure les frontaliers. Les critères déterminants pour l’octroi d’autorisations de séjour sont en particulier la demande d’un employeur, la capacité d’intégration et une source de revenus suffisante et autonome.
Impact réel de l’initiative
Il s’agit selon le porte-parole de la Commission Européenne au journal de la télévision suisse-romande d’un rejet de la libre-circulation qui est pourtant selon lui un droit absolu qui s’applique pour tous ou personne. Selon une première déclaration officielle, la Commission examinera les implications de cette initiative sur l’ensemble des relations entre l’UE et la Suisse. Ce qui laisse entrevoir la fin de libre-circulation entre la Suisse et l’UE mais aussi de certains accords économiques.
L’immigration ne sera pas pour autant arrêtée mais limitée. Le président de l’UDC, Tony Brunner, parlait de contingents de près de 40.000 personnes ce qui diminuerait de moitié l’immigration que connait actuellement la Suisse.
Cette initiative sera par contre sans effet sur l’immigration clandestine qui par définition n’est pas concernée par la loi, mais plutôt par les moyens qu’on met en œuvre pour la faire respecter.
Vers encore plus de restrictions
Les restrictions concernant l’immigration vont peut-être encore se durcir ces prochains temps, puisque dans les mois ou années qui viennent, les Suisses seront appelés à voter sur l’initiative Ecopop qui préconise que « La part de l’accroissement de la population résidant de manière permanente en Suisse qui est attribuable au solde migratoire ne peut excéder 0,2 % par an sur une moyenne de trois ans. »
Ce qui impliquerait que seules 16.000 personnes par an pourraient immigrer en Suisse, alors qu’en 2013 ils ont été 73.000.
Tempête dans un verre d’eau ou tsunami continental ?
Cette initiative ne réglera pas tous les problèmes liés à l’immigration, mais dans une Europe qui a dérégulé tous les flux, qu’ils soient de capitaux, de marchandises ou d’humains, cette initiative a le mérite d’imposer la mesure et la retenue. Elle souligne utilement que l’intérêt des milieux patronaux seuls ne saurait constituer l’intérêt de la population toute entière et aussi que la frontière n’est pas un principe dépassé mais au contraire une nécessité très actuelle. Enfin, elle rappelle que même lorsque l’on a tout le monde contre soi, sauf le peuple, la victoire est possible.
Jean-David Cattin
@jdcattinNOVOPRESS - Publié le 10 février 2014 - Modifié le 10 février 2014 -
Une banderole "Hollande-Démission" déployée devant la Maison Blanche !
Tweet de Fabrice Robert vu sur NOVOPRESS
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PRORUSSIA TV : CEREMONIE D'OUVERTURE DES 22e JEUX OLYMPIQUES d'HIVER A SOTCHI
Durée : 2h 32min 44sec | Postée : Après le direct | Chaîne :… parce que les commentaires affligeants de bêtise et de russophobie des journalistes de France2 ont gâché le plaisir de centaines de milliers de téléspectateurs français…PRORUSSIA TV -
BHL se met en scène à Kiev
10/02/2014 – KIEV (Lionel Baland)
Bernard-Henri Lévy a mis en scène à de multiples reprises ses déplacements en Libye ou en ex-Yougoslavie. Il a récidivé ce 8 février 2014 à Kiev en Ukraine sur la place Maïdan. Alors que depuis plusieurs jours il n’y a plus aucune violence constatée entre les forces de police et les occupants de la place, Bernard-Henri Lévy a été surpris en pleine séance photo, posant crânement sur une barricade. La photo a été mise en ligne sur le site de Paris Match.NOVOPRESS
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Le Mémorial de la Shoah de Berlin investi par des prostituées et des gays
- Publié le : mercredi 5 février 2014
- Source : slate.fr
En marge de la grande fête organisée pour la Saint-Sylvestre devant la Porte de Brandebourg, à Berlin, le Mémorial aux juifs assassinés d’Europe, situé à quelques dizaines de mètres du monument, a été profané.
C’est ce que révèle cette semaine [6-12 janvier 2014] le quotidien israélien Haaretz, qui met en ligne une vidéo YouTube où l’on peut voir un groupe de jeunes hommes passablement éméchés en train de sauter et d’uriner sur quelques-unes des 2 711 stèles de béton qui composent le mémorial, de faire des graffitis et de lancer pétards et feux d’artifices. [...]
La nuit, il n’est pas rare que le lieu soit fréquenté par des couples aventureux ou des prostituées et leurs clients.
Le lieu est également devenu le décor d’une pratique étrange, dont parlait Vice l’an dernier : les utilisateurs de l’app de rencontres destinée aux gays Grindr sont de plus en plus nombreux à se faire photographier entre les stèles de béton et à utiliser ces clichés pour leur photo de profil. Une curiosité à laquelle rend hommage le blog anglais Grindr Remembers, qui compile des dizaines de ces portraits. Les deux auteurs du blog, Ariel Efraim Ashbel et Romm Lewkowicz, deux amis israéliens vivant à Berlin et à Londres, ne sont pas du tout choqués par cette drôle de mode, qu’ils trouvent plutôt amusante.
[...] Après les événements survenus la nuit du Réveillon, la Fondation qui gère les lieux réfléchit désormais à la pose d’une clôture temporaire lors des événements à risque.
Lire la suite de l’article sur slate.fr
E&R
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Rennes : les 4 miliciens antifas ont été relâchés
Les quatre personnes interpellées samedi soir à Rennes lors de la manifestation violente contre une réunion du Front national ont été relâchées.
Des policiers avaient été atteints par des jets de pavés, avant de faire usage de gaz lacrymogènes et d'un canon à eau.
Dans un communiqué, le maire PS de Rennes, Daniel Delaveau, a condamné ces violences, tout en portant la responsabilité sur le FN (sic), qui aurait choisi la provocation en organisant la réunion dans un lieu symbolique des luttes sociales à Rennes...
"Le Front national, qui n'est pas un parti comme les autres, a choisi de tenir un meeting salle de la Cité, avec le sens de la provocation dont il est coutumier. Ses mensonges et son esprit polémique ne sauraient duper personne".
Jacques Bompard pose 2 questions écrites au ministre de l'Intérieur et du désordre :
"M. Jacques Bompard attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur les violences perpétrées par des groupuscules d'extrême gauche à Rennes le samedi 8 février 2014. Ces groupes violents d'extrême gauche dénommés anti-fas ont pris prétexte de l'organisation d'une réunion publique du Front National dans le cadre de la campagne pour l'élection municipale de Rennes pour ravager le centre-ville de Rennes. Il semble que la violence soit autorisée et légitime aux yeux de Monsieur le ministre de l'intérieur lorsqu'elle est le fait de groupes d'extrême gauche, alors même qu'il organise de véritables rafles de manifestants pacifiques lorsqu'il s'agit d'opposants à la politique gouvernementale, que ce soit lors des nombreuses Manif Pour Tous ou lors du Jour de Colère du 26 janvier 2014. A Rennes, des voitures ont été brûlées, des vitrines saccagées, des pavés et des bouteilles ont été jetées sur les forces de l'ordre, dont cinq membres ont été blessés. M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l'intérieur de condamner enfin les groupuscules d'extrême gauche et de mettre fin à l'impunité dont ils jouissent actuellement, et lui demande combien de personnes ont été placées en garde à vue lors de ces incidents de Rennes."
"M. Jacques Bompard attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur l'attaque subie par la librairie Facta dans le neuvième arrondissement de Paris, vandalisée pour la deuxième fois en moins de trois mois. Cette librairie a été vandalisée en marge d'une manifestation d'extrême gauche autorisée par la préfecture de police. Cette manifestation entendait protester contre la montée de la droite. Monsieur le ministre de l'intérieur a condamné de prétendues violences lors de la dispersion de la manifestation du 26 janvier 2014 organisée par le collectif Jour de Colère " alors même qu'il n'y a eu à déplorer, lors de cette manifestation, ni voiture brûlée, ni vitrine brisée. Le saccage d'une librairie n'est pas un acte anodin. Il s'agit d'une atteinte à la culture qui rappelle les heures les plus sombres de notre histoire. Jacques Bompard est surpris que Monsieur le ministre de l'intérieur, si prompt à dénoncer des violences imaginaires lors de la manifestation Jour de colère du 26 janvier dernier et qui avait alors décidé d'arrêter sans motif 250 manifestants pacifiques, n'ait toujours pas condamné les violences en marge de la manifestation d'extrême gauche du 9 février et que les forces de l'ordre n'aient procédé à aucune interpellation malgré cette attaque d'une librairie. M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l'intérieur d'agir contre les milices d'extrême gauche qui font régner la terreur et vandalisent régulièrement les centre-ville de Paris ou d'autres grandes villes, au lieu de s'acharner contre les manifestations pacifiques de La Manif pour Tous ou de Jour de Colère qui, en seize mois, n'ont donné lieu à aucune violence réelle puisqu'on ne dénombre ni vitrine brisée, ni voiture brûlée, ni commerce saccagé, leur seul tort étant de s'opposer à la politique du gouvernement socialiste."
Le Salon Beige
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Référendum suisse : le peuple a parlé…il parlera en France
10 février 2014
Ils ont laissé le peuple directement s’exprimer! Un scandale aux yeux des garde-chiourmes de l’Europe bruxelloise libre-échangiste, cosmopolite, sans frontières, ouverte à tous les vents… Les Suisses, qui vivent eux dans une véritable démocratie, consultés dans le cadre d’une votation (référendum d’initiative populaire) présentée par l’Union Démocratique du Centre (UDC) d’Oscar Freysinger, ont donc approuvé ce dimanche la remise en cause des accords de libre circulation conclus par la Confédération helvétique avec l’Union européenne et l’Association européenne de libre-échange (AELE). Concrètement, l’automaticité du libre accès au marché du travail suisse pour les travailleurs frontaliers, pour les citoyens des Etats membres de l’UE, est remise en cause et devrait être renégociée selon le texte approuvé par les participants à ce référendum. Les réfugiés et autres demandeurs d’asile sont aussi concernés par cette mesure alors que la Suisse subit elle aussi très fortement une délinquance d’origine Rom , des mafias des pays de l’Est.
L’UDC qui a fait campagne en utilisant un slogan simple mais efficace : «La démesure nuit à la Suisse, Stopper l’immigration massive», avance au nombre de arguments en faveur de cet arrêt le fait que depuis sept ans, le solde des immigrants dépasse largement (+80 000) celui des émigrants. «Chaque année, cet accroissement de la population requiert une surface d’habitat et d’infrastructures de la taille de 4 448 terrains de football », constate l’UDC, qui pointe les effets pervers de cette immigration mal maîtrisée : hausse du prix des terrains, augmentation du chômage (toute relative comparée à celle que nous subissons) et de la criminalité (bien réelle) , pression à la baisse sur les salaires, « perte d’identité culturelle dans la conduite des entreprises »…
Basé sur le principe de la préférence nationale et précise Polemia dans son étude de cette votation, sur le «l’attribution des autorisations d’immigration (qui) doit répondre aux intérêts économiques globaux de la Suisse », le texte insiste aussi sur le fait que «les salariés demeureront à l’avenir la principale catégorie d’immigrants recevant une offre d’emploi en Suisse».
«Le critère déterminant de la capacité d’intégration est celui des qualités personnelles du demandeur. On n’admet que des immigrants dont on peut penser qu’ils vont s’intégrer dans la société suisse et s’adapter à ses us et coutumes (…). L’indépendance financière prévisible de l’immigrant joue également un rôle déterminant. Il s’agit d’éviter que les immigrants tombent à la charge des institutions sociales suisses ».
Tant de bons sens patriotique ne pouvait que heurter «Bruxelles». Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, avait multiplié ces dernières semaines les mises en garde aux Suisses leur intimant de ne pas voter Oui à ce référendum.
« Les résultats de la votation suisse sur l’immigration et l’instauration d’une préférence nationale ont surpris les milieux européens qui estimaient encore, à la veille du scrutin, que le oui ne l’emporterait pas» rapporte Le Monde qui fait état du communiqué de la Commission évoquant son « regret »…comme Angela Merkel l’a fait le soir même à la télévision allemande. Pour la Commission, la votation « va à l’encontre du principe de libre-circulation des personnes entre l’UE et la Suisse ».
La colère de M. Barroso, dissimulée par ce communiqué laconique, est bien réelle. A la hauteur de l’idéologie qui anime ce personnage, lequel symbolise jusqu’à la caricature l’Europe mondialiste bruxelloise. Président de la Commission qui fut aussi le maître d’œuvre dernièrement de «ce Grand marché transatlantique qui n’a aucune urgence ni nécessité absolue, sauf peut-être les espoirs de récompense puisqu’il lorgne, dit-on, sur le secrétariat général de l’OTAN ou de l’ONU » relevait Bruno Gollnisch.
M. Barroso est un adversaire intransigeant de l’Europe des patries souveraines, et il s’en prenait encore en juin dernier à la France en intimant l’ordre à Arnaud Montebourg de faire taire ses critiques: « Quand il s’agit de mondialisation, de réformes économiques, de l’Europe et ses institutions, certains souverainistes de gauche et d’extrême droite ont exactement le même discours. Il faudrait que certains responsables politiques français abandonnent l’ambiguïté vis-à-vis de l’Europe et la défendent davantage vis-à-vis du nationalisme, du populisme, voir du chauvinisme» (sic).
Viviane Reding, commissaire à la justice et aux droits fondamentaux, a elle aussi vivement critiqué ce référendum suisse. Ce qui n’est pas pour nous surprendre quand on se souvient que cette dernière avait dressé, en 2010, un parallèle particulièrement délirant entre le renvoi annoncé par le gouvernement Fillon de quelques Roms et la déportation des Tziganes par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale…
En France MM Ayrault et Valls ont fustigé le «repli» des Suisses. Au Parlement européen, l’Autrichien Hannes Swoboda, président du groupe socialiste, a évoqué lui aussi un «recul inquiétant (…). La Suisse tourne le dos à l’un des éléments les plus importants de sa relation avec l’UE (…). L’immigration n’est pas une menace mais un atout appréciable pour le développement économique et social de tout Etat moderne»(sic).
Hannes Swoboda est bien évidemment un grand démocrate: très en pointe dans le combat contre les formations patriotiques, voulant priver les groupes de la minorité des droits que se reconnaissent les groupes de la majorité, il plaide parallèlement pour une relance du processus d’adhésion de la Turquie dans l’UE. Et ce, tout en expliquant (dans le journal Profil en novembre 2012) que « l’adhésion turque à l’UE fait de la Turquie un cheval de Troie des États-Unis.»…
Les Français regardent avec envie leurs voisins suisses qui sont en encore en capacité d’agir sur leur destin, droit dont ils ont été privés en France, notamment dans le domaine essentiel des flux migratoires non européens.
Ainsi, après sa première mouture de décembre dernier, le gouvernement a présenté mercredi 44 propositions pour lutter contre les discriminations, s’inspirant du calamiteux principe américain de la « discrimination positive.»
Selon le dernier sondage BVA pour i>télé et Le Parisien-Aujourd’hui en France, 67 % des personnes interrogées y sont pourtant opposées (dont 83 % de sympathisants de droite), alors qu’une majorité de nos compatriotes y était encore favorable il y a neuf ans… 77 % des Français sondés estiment que c’est aux personnes d’origine étrangère elles-mêmes de s’intégrer, plutôt qu’à la société de faciliter leur intégration ( 95 %des sympathisants de droite, 56% des sympathisants de gauche).
La semaine dernière dans Le Figaro, Malika Sorel-Sutter (ancien membre du collège du Haut Conseil à l’Intégration et de sa mission Laïcité) , réagissait à ces 44 propositions, constatant que «la philosophie» de cet arsenal anti-discriminations « est la même» que celle des rapports présentés en décembre et qui ont soulevé un tollé ( le rapport de Thierry Tuot notamment) . « Elle consiste à attribuer la responsabilité de l’échec de l’intégration aux Français qui entraveraient la réussite des immigrés et de leurs descendants et c’est à ce titre qu’il convient de lutter contre les discriminations ».
«Des Français de souche européenne seront mis de côté uniquement parce qu’ils ne sont pas de la bonne ascendance biologique. C’est du racisme anti-Français» indique-t-elle. Oui, le pouvoir bascule vers la préférence étrangère. »
« L’axe du rapport est énoncé dans la feuille de route: il ne doit plus y avoir de confusion entre intégration et immigration. Or, ces deux sujets sont inséparables si l’on souhaite véritablement conduire une politique d’intégration! (…) . C’est la consécration de la déresponsabilisation totale des immigrés et de leurs descendants. Clairement, le modèle français d’intégration, qui prend en compte l’existence d’une identité culturelle française, disparaît (…). Le projet est clairement affiché. Il s’agit de rééduquer les Français en leur inculquant ce que la bien-pensance identifie comme la pensée juste.»
Rapport dans lequel constate encore Malika Sorel-Sutter, « il n’y a eu aucune volonté de réduire de manière drastique les flux migratoires. Or ils constituent l’un des vecteurs principaux du ré-enracinement des enfants de l’immigration dans la culture de leurs pays d’origine. La feuille de route n’aborde absolument pas ce point crucial sur lequel il est urgent d’agir (…).»
Avec pour le coup une très grande dose de naïveté et/ou d’aveuglement ( ?), Mme Sorel-Sutter espère que «La droite qui a longtemps gouverné durant ces trente dernières années (fasse) son examen de conscience et (renoue) avec la défense des intérêts de la France et de son peuple. Notre modèle d’intégration garantissait la concorde civile. Son abandon engage officiellement la France sur la voie de la libanisation ».
Faute de référendum (le FN le mettra en place quand il sera au pouvoir), les Français peuvent déjà manifester dans les urnes en mars et juin prochains leurs refus de cette évolution mortifère. Ils doivent voter affirme Bruno Gollnisch, pour la formation politique qui avait vu juste et qui a crié dans le désert pendant des décennies… avant que la réalité ne rejoigne nos prédictions les plus sombres.
Blog de Bruno Gollnisch
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Florian Philippot sur RFI
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Marine Le Pen invitée de Thomas Sotto sur Europe 1
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Les "antifas" attaquent la librairie Facta pour la seconde fois
Seconde attaque de la librairie Facta d... par ERTVLors de leur manifestation de dimanche à Paris, pourtant encadrée solidement par les policiers, les « antifas » ont attaqué la librairie Facta, brisant ses vitrines.
Emmanuel Ratier en parle.Contre-info.com 10 02 14
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Le nouveau rêve socialiste
Devenir ''narco''
Michel Lhomme
le 09/02/2014
La sénatrice écologiste Esther Benbassa a présenté sa proposition de loi pour autoriser un "usage contrôlé" du cannabis, déposée au Sénat. A ce jour on ne sait si cette proposition sera mise à l'ordre du jour.
Au cours d'une conférence de presse dans une salle de la Haute assemblée, la sénatrice du Val-de-Marne a rappelé que « plus de 60% des jeunes de moins de seize ans ont déjà consommé du cannabis (...) Il y a un danger, et c'est pour cela qu'il faut lever le tabou de la prohibition pour pouvoir le prévenir. Il n'y a pas de bon moment pour aborder les questions de société. On peut en débattre à tout moment ».Il vaut certes mieux pour le système avoir des jeunes « stones » plutôt que des jeunes qui réfléchissent mais surtout la guêpe socialiste n'est pas sans arrière-pensées : la proposition de loi, préconise que "le monopole de la vente au détail du cannabis soit confié à l'administration par l'intermédiaire de débitants désignés comme préposés". Sur le modèle du tabac, l'Etat contrôlerait la distribution de cannabis tout en en interdisant la publicité et la vente aux mineurs. Le texte ne précise pas le montant des taxes qui serait inéluctablement attribué à l'herbe mais stipule une "interdiction de la distribution ou de l'offre à titre gratuit de plantes et produits de cannabis". Comme chez Monsanto, on veut contrôler les semences. L'usage dans les lieux publics, les lieux affectés à un usage collectif et les moyens de transports serait restreint.
La sénatrice se serait faite aidée, pour rédiger sa loi, par des ''experts et des associations''. Elle explique que, se basant sur le modèle américain (le bon modèle forcément !), la vente pourrait atteindre 23g par jour et par personne. A 10 euros le gramme de cannabis et vu le nombre de fumeurs en France, cela pourrait en effet faire rentrer beaucoup d'argent dans les caisses de l'Etat mais le marché parallèle continuerait, n'en doutons pas un seul instant, d'être florissant ! Y aurait-il alors une nouvelle guerre des gangs entre narcos étatiques et narcos groupusculaires ? La sénatrice s’empressa de chiffrer le nombre d'emplois créés : 35 000 emplois nouveaux mais elle oublie délibérément bien sûr la prise en charge médicale des effets secondaires qui ne manqueraient pas alors d'être attribués à l'Etat.En fait, légaliser la possession et la vente du cannabis rapporterait de un à deux milliards d’euros de taxe par an, a estimé Pierre Kopp, professeur d’économie à l’université Panthéon-Sorbonne – Paris I. Mais l'intervention de la sénatrice est aussi intéressante à plus d'un titre parce qu'elle montre clairement qu'en définitive, le but de la légalisation est envisagé sérieusement comme superbe cadeau électoral de fin de mandat afin de remplir les caisses de l’État. De fait, la mentalité répressive continuerait. A l’évidence, si on libéralisait ou on légalisait le cannabis, il ne devrait pas être vendu aux mineurs (pourtant gros consommateurs), ne devrait pas faire l’objet de publicité ni de consommation publique.Le seul intérêt de la légalisation, c'est de taxer le cannabis et sans doute même de le taxer fortement de telle sorte que le cannabis soit suffisamment cher pour qu'il n'y ait pas un boom de la consommation. Mais le dilemme serait alors total car comment en même temps rendre attractif le produit étatique, le maintenir suffisamment bon marché pour ne pas stimuler le marché noir.Comme on le sait, l'effet premier du cannabis sur les fonctions cognitives du cerveau est de se couper de la réalité. N'est-ce pas le rêve de tout pouvoir, de voir sa population non seulement ignorante mais coupée de toute réalité ? La légalisation est donc bien déjà dans les cartons non seulement comme survie financière du système mais aussi comme support idéologique comportemental du régime.METAMAG