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  • La Saint-Valentin

     

    « A Rome, sur la voie flandrienne, le jour de naissance céleste du saint prêtre et martyr Valentin qui, après de nombreuses guérisons miraculeuses et beaucoup de preuves de sa sagesse, fut battu de verges et décapité sous l’empereur Claude. »

    Ainsi s’exprime le martyrologe, et c’est tout ce que l’on sait de saint Valentin. Pourtant son culte se développa. Le bienheureux cardinal Schuster explique :

    « La fête de ce martyr de la persécution de Claude II, tout différent du Valentin de Terni, se trouve déjà dans le Gélasien. Sa basilique cimitérale sur la voie Flaminienne, érigée par le pape Jules (337-352) et restaurée par Honorius Ier, était la première que rencontraient les pèlerins, quand, avides de visiter les sépulcres des anciens héros de la Foi, ils approchaient de la Ville éternelle. Le culte de saint Valentin prit un développement intense, spécialement dans la Sabine et dans le Latium, où lui furent dédiées un très grand nombre d’églises. A Rome on en comptait quatre ; mais dès le temps de Paschal Ier, son corps fut transporté à Sainte-Praxède, pour que, hors de l’enceinte de la Ville, il ne risquât pas d’être profané par les Sarrasins. »

    Quant à la « Saint-Valentin » profane, on l’a fait remonter aux Lupercales (ainsi christianisées par l’Eglise), mais en réalité on n’a aucune mention d’une fête des amoureux le 14 février avant le XIVe siècle en Angleterre. C’est un thème poétique, qui passe en France avec Charles d’Orléans, pour s’éteindre aussitôt. La tradition demeure néanmoins en Angleterre, puisque Shakespeare, dans Hamlet, fait chanter à Ophélie (qui est folle, comme chacun sait) :

    Bonjour ! c'est la Saint-Valentin.
    Tous sont levés de grand matin.
    Me voici, vierge, à votre fenêtre,
    Pour être votre Valentine.
    Alors, il se leva et mit ses habits,
    Et ouvrit la porte de sa chambre ;
    Et vierge elle y entra,
    et puis jamais vierge elle n'en sortit.

    (Traduction de François-Victor Hugo).

    Au XIXe siècle sont apparues les cartes de la Saint-Valentin, surtout dans les pays anglo-saxons, semble-t-il. Des cartes, on est passé aux cadeaux. Et la société de consommation en a fait un grand événement commercial dans le monde entier (de façon fort récente en beaucoup d’endroits).

    Le blog d'Yves Daoudal - 14 02 14

  • TV Libertés journal du 13 février

  • Le tireur "fou" d'Istres sera bel et bien jugé

     

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    Un collège d'experts psychiatres vient de déclarer Karl Rose, 20 ans, accessible à la sanction pénale

    Du fond de sa cellule du quartier d'isolement de la maison d'arrêt des Baumettes, où il est incarcéré depuis près de dix mois, un jeune homme de 20 ans attendait des réponses. Manifestement, il ne comprenait pas comment il en était arrivé là.

    Si, devant la juge d'instruction, il était parvenu à reconstituer minutieusement le scénario de cette effroyable journée du 25 avril dernier, à raconter comment il avait froidement abattu trois personnes dans un paisible quartier d'Istres, il ne savait toujours pas pourquoi il s'était, soudain, transformé, en assassin. "Comme s'il se regardait dans un miroir et qu'il ne se reconnaissait pas, rapporte une source proche du dossier. Il était, en quelque sorte, spectateur de lui-même."Alors, Karl Rose est-il fou ? "Non", vient de trancher un collège d'experts, composé de deux psychiatres, un Parisien et un Lyonnais. 

    La personnalité de Karl Rose au centre des débats 

    S'ils relèvent "une personnalité pathologique, de nature schizoïde", probablement renforcée par "une consommation excessive de résine de cannabis", les psychiatres n'ont pas décelé chez Karl Rose de "maladie psychiatrique chronique ou décompensée". De fait, "capable de comprendre le sens de la procédure dont il est l'objet, il est accessible à une sanction pénale". Karl Rose, qui encourt la réclusion criminelle à perpétuité, sera donc jugé par une cour d'assises et les victimes, s'il est condamné, auront droit à une indemnisation.

    Néanmoins, les experts psychiatres attirent l'attention du magistrat sur "son incapacité, au moment des faits, à distinguer clairement le virtuel du réel" et estiment que Karl Rose était atteint "d'un trouble psychique ayant altéré son discernement". Un élément important dont devront tenir compte les jurés au moment du verdict. "Ces conclusions étaient très attendues. On se satisfait de ce rapport d'expertise, note Me Morain, avocat d'une partie civile. L'altération du discernement n'empêche pas la tenue d'un procès." De son côté, la défense se réserve la possibilité de solliciter, dans le délai qui lui est imparti, "un complément ou une contre-expertise".

    Si les faits ne souffrent d'aucune contestation, c'est la personnalité de Karl Rose, "noeud du dossier", qui sera au centre des débats. Très vite, la thèse "terroriste" avait été écartée. "Il ne se revendique d'aucune idéologie et n'a aucune conviction religieuse ou politique", avait indiqué le procureur après sa mise en examen pour "assassinats"

    Défouloirs sur le Net 

    Pourtant, depuis plusieurs mois, l'envie de tuer semblait l'obséder. "Il me disait qu'il voulait tuer des gens. Mais pour moi, c'était un délire", avait assuré Nicolas, un Parisien de 24 ans, interpellé après ce carnage aveugle puis mis hors de cause. Le "seul ami" de Karl Rose... Recroquevillé sur sa solitude et son enfance cabossée à étouffer, Karl Rose menaçait d'exploser à chaque instant.

    Jusqu'à présent, ses défouloirs, il les trouvait sur le Net, à travers des jeux vidéo ultra-violents, assouvissant cette soif maladive d'éliminer l'autre. Puis, le monde virtuel n'a plus suffi. Les armes, il les touchait en vrai grâce à internet. À force de passer ses journées, reclus dans son HLM d'Istres, à remettre en état de fonctionnement une arme de poing d'abord, un fusil d'assaut ensuite, il s'était mis à fantasmer. Ses séances d'entraînement dans un club de tir, dont il avait obtenu la licence en toute légalité, avaient apaisé, un temps, ses pulsions.

    Mais l'assassin prenait forme dans l'ombre, sans que personne ne le prenne au sérieux. Pas même la justice qui s'apprêtait à lui poser un bracelet électronique après sa condamnation à 5 mois de prison ferme, en août 2012, pour avoir transporté dans sa voiture un revolver qu'il avait lui-même bricolé. Entre-temps, la police avait découvert d'autres armes à son domicile... Mis en examen, Karl Rose avait été placé sous contrôle judiciaire.

    La veille de la tuerie, il avait même sagement pointé au commissariat. Cela ne l'avait pas empêché, quelques heures plus tard, de déambuler dans ce quartier d'Istres, kalach' à l'épaule, et de prendre pour cible, au hasard, trois hommes, comme dans un jeu vidéo. "Incapacité, au moment des faits à distinguer clairement le virtuel du réel..." Cette partie du rapport psychiatrique promet d'être longuement débattue.

    La Provence  14 02 14

     

     

  • Mamadou et Juliette: l'amour métissé au collège et la réécriture des classiques

    Ce matin, sur France Info, un reportage en immersion dans un lycée de banlieue parisienne occupée explicite ce que certains patriotes refusent de voir.

     

    Conduit par un gauchiste blanc haineux de son peuple, professeur de son état, une réécriture de la pièce Roméo et Juliette de W. Shakespeare est en cours.

     

    Le nouveau titre, plus conforme à la France d’après voulue par nos élites : Mamadou et Juliette.

     

     
    Cet exercice est donc un hymne au métissage et à la réécriture de notre culture, face au défi posé par le journaliste : un collège plein de communautés diverses et variées (on notera l’absence des Français dans son énumération) et qui ont l’outrecuidance de ne pas se mélanger.

     

    Enfin, il est important de souligner la fin du reportage, sur les mœurs de ces allogènes qui contaminent toute une jeunesse française forcée de vivre avec.

     

    En effet, ne nous est décrit rien de moins que la disparition de la galanterie, des subtilités de la cour faite aux femmes par les hommes européens, qui a donné tout un genre littéraire à notre civilisation : le roman courtois.

     

    En France occupée, on bouscule, frappe « gentiment » les jeunes filles, avant de leur demander leur « 06″ ou « 07″, dans un but rapide d’union charnelle quasi animale.
     
    Alexandre
    Contre-info.com
  • La France est entrée dans la « liste noire » de la Russie pour les adoptions

     En vertu d'un décret du premier ministre, Dmitri Medvedev, il est désormais interdit pour un Français célibataire d'adopter un enfant russe.

    On passe du "mariage pour tous" à l'adoption pour personne; Merci au lobby LGBT.

    Michel Janva

    Le Salon Beige 

  • Florian Philippot invité sur BFM TV - 12 02 14

    Florian Philippot, Vice-président du Front National, était l’invité de BFM-TV. Il débattait face à Yann Galut, Député P.S. du Cher.

  • Florian Philippot invité de la Radio Télévision Suisse

    http://www.frontnational.com/videos/florian-philippot-invite-de-la-radio-television-suisse/

     

  • VIDEO Alain Finkielkraut : "Le peuple français de France ne doit pas être le seul peuple innommable de France"

  • Scandale Femen: le monde à l'envers !

     

    Alors que la justice voudrait que les Femen, qui ont scandaleusement profané la cathédrale Notre-Dame de Paris, soient sévèrement condamnées pour cette provocation, on vient d’apprendre que ce sont les vigiles qui avaient expulsé ces agitatrices professionnelles qui sont poursuivis… Une de ces gourgandines aurait été tirée par les cheveux… Vous imaginez un peu… Le monde à l’envers ! Voyez cet article écrit avec les pieds. Et continuez, je vous prie, à signer la pétition pour la dissolution de ces harpies !

    Trois agents du service d’ordre de Notre-Dame de Paris, qui avaient expulsé des activistes des Femen menant une action [profanation !] dans la cathédrale il y a un an, sont poursuivis devant le tribunal pour violences, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Le 12 février 2013, neuf militantes [dont Inna Shevchenko] avaient fait irruption dans la cathédrale. Seins nus, elles avaient fait tinter les cloches, alors disposées provisoirement dans la nef, avec des morceaux de bois et scandé des slogans pour saluer à leur manière la démission du pape Benoît XVI [un Pape ne démissionne pas : il abdique] et dénoncer l’homophobie. Accusées de dégradations sur l’une des cloches, les jeunes femmes devaient être jugées le 13 septembre 2013 devant le tribunal correctionnel de Paris, mais le procès avait été envoyé attendant l’issue de l’enquête portant sur les conditions de leur expulsion houleuse de l’édifice. Au terme de ces investigations, le parquet a décidé de faire citer devant le tribunal trois vigiles, poursuivis pour des violences passibles d’une contravention de 750 euros pour l’un, 1 500 euros pour les deux autres. L’une des jeunes femmes avait été tirée par les cheveux et avait eu une dent cassée.

    Source :  BFMTV.com

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    L'Observatoire de la Christianophobie

  • Italie : Elle va voir sa grand-mère… et retrouve un Tunisien armé dans son lit

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    13/02/2014 – PEROUSE (NOVOpress)
    C’est la version immigrationniste du Petit Chaperon rouge. Elle s’est passée rue de l’Aqueduc (photo en Une), dans le ravissant centre historique de Pérouse, la capitale de l’Ombrie. Une jeune fille était allée rendre visite à sa grand-mère, qui habite un appartement dans le même immeuble qu’elle.

    Italie : Elle va voir sa grand-mère… et retrouve un Tunisien armé dans son lit

    Alors que la jeune fille s’apprêtait à rentrer dans son appartement personnel, elle a entendu du bruit et a appelé la police, pensant à un cambriolage. À l’intérieur, dans le lit de la jeune fille, les policiers ont découvert un Tunisien de 27 ans, armé d’une barre de fer et d’un coutelas de grande taille. Il s’était introduit dans l’appartement en fracturant une lucarne et s’était couché – pour dormir ou pour attendre le retour de la propriétaire ? Il a été arrêté et inculpé pour invasion de domicile, dégradation de biens et port d’armes prohibé. Le coutelas et la barre de fer ont été saisis comme pièces à conviction. Reste à savoir ce qu’en fera la justice italienne…

    Crédit photo en Une : Annabel Symington, via Wikipédia, (cc). Crédit image dans le texte : illustration du Petit Chaperon rouge par Walter Crane (1845–1915), domaine public.

  • Manuel Valls a secrètement rendez-vous avec le leader de l’extrême droite israélienne

     

    Qu’en pensent les médias français ?

    Deux poids, deux mesures. À la tête du combat politico-médiatique contre « l’extrémiste » Dieudonné, Manuel Valls s’apprête à rencontrer – loin des caméras – Avigdor Lierberman, ministre israélien des Affaires étrangères et dirigeant d’un parti d’extrême droite.

    Faisons un pari : David Pujadas et ses confrères de la presse écrite et audiovisuelle ne demanderont pas au ministre, comme à l’accoutumée, des éclaircissements sur ce sujet. L’objet de l’omerta ? Une rencontre – en catimini – entre Manuel Valls et Avigdor Lieberman doit se tenir dans les 48 heures. Ce mercredi 12 février, le ministre israélien des Affaires étrangères est arrivé à Paris pour une série d’entretiens évoqués, dans les grandes lignes, sur le site de son ministère. Selon le communiqué officiel, son homologue Laurent Fabius, des députés et des sénateurs, des dirigeants de la communauté juive et les représentants d’organisations anonymes « travaillant à renforcer les liens entre Israël et la France » seront les interlocuteurs d’Avigdor Lieberman. But essentiel du voyage : discuter des points de convergence et de désaccord au sujet de l’Iran et des sanctions internationales, partiellement levées par la France et les États-Unis.

    Surprise, surprise. Parmi les personnalités rencontrées en figure une qui n’est pas censée, a priori, être présente durant la visite officielle d’un ministre des Affaires étrangères : Manuel Valls.

    Lire la suite de l’article sur panamza.com

    E&R

  • Marine Le Pen : « Le FN va arriver au pouvoir ! »

     

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    La présidente du Front national Marine Le Pen n’a jamais été aussi populaire. Tout comme le FN. Elle salue le vote suisse « contre l’immigration de masse » comme un camouflet infligé à la dictature européiste.

    La France n’est plus sourde aux sirènes du FN. Selon un sondage publié aujourd’hui par plusieurs médias hexagonaux, le niveau d’adhésion aux idées du Front national n’a jamais été aussi fort et l’image de Marine Le Pen aussi bonne. Un tiers des Français (34 %) affirme adhérer « aux idées du Front national ». Ce chiffre est en constante hausse depuis trente ans. Les résultats de ce sondage viennent encore conforter le constat de progression des mouvements populistes en Europe comme l’illustre le vote suisse de dimanche. L’initiative UDC « contre l’immigration de masse » a été acceptée par 50,3 % de voix. Interview de Marine Le Pen, présidente du FN.

    Plus d’un tiers des Français (34 %) affirme adhérer « aux idées du Front national ». L’image de votre parti ne cesse de s’améliorer ?

    Oui et je ne suis pas surprise. C’est la conséquence d’un travail de fond. Le Front national est aujourd’hui le seul parti en phase avec la vraie vie, qui comprend les vraies préoccupations et répond aux attentes des Français. Ce résultat est dû à l’inéluctable force du bon sens. Et il présage du fait que le FN va arriver au pouvoir. Avec 34 %, record historique pour notre mouvement, nous atteignons le seuil qui fait de nous un parti capable de gagner une présidentielle.

    Lire la suite de l’interview sur le site de La Tribune de Genève

  • TV Libertés 12 février au soir

  • 30 ans de la mort du général Raoul Salan

     

    Cette année sera commémorée la mort, il y a 30 ans, du général Raoul Salan.

    Ce militaire de prestige fit surtout parler de lui lors du « putsch des généraux », face à la trahison de De Gaulle en 1961, avant de prendre la tête de l’OAS.

    En cliquant ici, on peut écouter pendant quelques jours une émission de Radio Courtoisie consacrée à cet homme, avec Dominique Salan (sa fille) et Pierre Pellissier, qui vient de faire paître une biographie à son sujet : Salan : à la recherche du soldat perdu (achetable ici).
    Il y a aussi la biographie écrite par Alain Gandy en 1990 (achetable ici).

    Contre-info.com

  • La destruction de Dresde : le pire massacre de l’homme

     

    Par Richard Odorfer

    Il existe des milliers de films, de livres et de mémoriaux consacrés aux victimes de l’Allemagne nazie, mais, pour ce qui concerne la quantité énorme de crimes de guerre commis pendant et après la Deuxième Guerre mondiale par les vainqueurs contre des Allemands innocents, les grands médias en font des sujets officieusement tabous. Ma petite lettre ne fait qu’effleurer une partie de la vérité.

    En 1945 Dresde était une ville splendide de 650 000 habitants. Le 13 février de cette année-là, la ville était envahie par près de 750 000 réfugiés qui avaient fui devant l’invasion de l’armée soviétique et campaient dans les parcs, sur les trottoirs, dans les rues. Chacun se sentait en sécurité puisque Dresde n’était pas une cible militaire, c’était une ville hôpital qui pouvait se vanter de posséder 25 grandes installations médicales. La ville ne fabriquait pas de matériel de guerre, et par conséquent était laissée sans défense.

    À 22h15, 800 bombardiers britanniques, avions d’escorte et de diversion convergeaient sur Dresde et larguaient des bombes incendiaires qui mettaient le feu à la ville d’une extrémité à l’autre. Une fois le ciel dégagé des avions ennemis, ceux qui avaient survécu dans des abris ressortaient dans les rues pour aider les blessés et enlever les morts. Des unités de service de secours de la région environnante se précipitaient dans la ville détruite pour apporter leur aide.

    Les Anglais faisaient alors croire aux Allemands que le raid était terminé pour la nuit, mais ils envoyèrent une deuxième vague de bombardiers pour « faire coup double » en revenant piéger les secouristes dans les rues en feu.

    Ce deuxième raid allait tuer des milliers de personnes qui se trouvaient en plein air, et eut aussi pour effet de produire la tempête de feu planifiée par les Anglais, provoquant dans la vieille ville des températures atteignant le niveau incroyable de 3 000 degrés Fahrenheit [1 600°C].

    Ce crime contre l’humanité était tel que les victimes étaient aspirées dans un mur de flammes par un vent si puissant qu’il en avait renversé des wagons. Les sauveteurs découvriront dans les caves, à plusieurs pieds de profondeur, de la chair humaine fondue et des os.

    En tous les cas, de toutes les horreurs que peut produire une tempête de feu dans une ville surpeuplée, la plus déchirante est quand des milliers d’enfants ont perdu leurs parents dans la panique et, essayant de fuir les incendies, se sont retrouvés les pieds englués dans le goudron et l’asphalte en fusion. « Ils empoignaient leurs membres torturés puisque leurs toutes petites jambes brûlées ne les tenaient plus debout ... puis ils s’effondraient jusqu’à ce que la mort vienne les libérer de leur misère physique. »

    Le massacre continuait le lendemain matin, avec une troisième attaque de 400 avions américains qui larguaient des bombes sur la ville déjà détruite, et des avions de combat, volant à basse altitude, mitraillaient le personnel médical et leurs patients étendus sur des couvertures le long de l’Elbe.

    Mais ce n’était pas tout. Dresde était bombardée encore trois fois, par un total de 1 172 avions : le 15 février, le 3 mars et le 17 avril 1945.

    Le nombre des tués de Dresde oscille entre 250 000 et 400 000. Ce fut le pire massacre de l’homme.

    Le sinistre 13 février devrait être retenu comme un jour de deuil et de souvenir.

    Richard Odorfer, 13 février 2011

    E&R

  • Allemagne, février 1945 : l’enfer sur Dresde

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    Par la rédaction d’E&R

    Février 1945 : le régime nazi n’a plus que quelques mois à vivre.

    Malgré l’offensive des Ardennes, ultime baroud d’honneur du IIIème Reich sur le front de l’Ouest, il est évident que la capitulation allemande n’est qu’une question de semaines. Pris en étau entre les armées alliées, ce qui reste de la puissante Wehrmacht ne pourra pas contenir les futures offensives soviétiques et anglo-américaines.

    Comme lors de la progression des Alliés en Italie puis en France, l’US Air Force et la Royal Air Force déploient jour et nuit leurs nombreuses escadrilles de bombardiers, censés écraser tout ce qui participe au puissant instrument de guerre allemand, partout où il se trouve, et tant pis si des civils ont le malheur de se trouver dessous.

    Sur le territoire du Reich, il ne fait pas bon habiter près des zones industrielles, des ponts, des nœuds routiers ou ferroviaires ; d’autant que l’aviation alliée ne fait pas dans la dentelle et a pour habitude de répandre généreusement des tonnes de bombes pour s’assurer de la destruction du moindre objectif.

    Cependant, dans Dresde, cité historique, capitale de la Saxe, l’enjeu industriel et militaire est quasi nul. Des milliers de réfugiés qui fuient l’avancée de l’armée Rouge et de soldats blessés, qui sont soignés dans 25 hôpitaux, s’y entassent. La ville est passée de 630 000 habitants à plus d’un million.

    La Flak (DCA allemande) n’est que peu présente. La proie est sans défense, le crime n’en sera que plus odieux.

    Au cours de la nuit du 13 février, les bombardiers anglais Lancaster sont sur la ville : une première vague de 244 d’entre eux larguent 460 000 bombes à fragmentation. Une seconde vague de 529 bombardiers larguent en vingt minutes plus de 180 000 bombes incendiaires au phosphore... C’est une véritable tempête de feu qui souffle la ville, comme le décrit le journaliste et écrivain britannique Phillip Knightley :

    « [...]une tornade artificielle dans laquelle l’air est aspiré vers le centre à une vitesse de plus en plus rapide. À Dresde, des vents approchant la vitesse de 160 km à l’heure emportèrent débris et individus dans un bûcher dont la température excédait 1 000 degrés centigrades. Les flammes dévorèrent tout ce qui était organique, tout ce qui pouvait brûler. Les habitants moururent par milliers, grillés, incinérés ou asphyxiés [1]. »

    Les avions de la RAF ont lâché sur la ville 1 478 tonnes de bombes explosives et 1 182 tonnes de bombes incendiaires.

    Le 14 février, à 10 h du matin, 311 « forteresses volantes » B-17 états-uniennes lâchent 771 tonnes de bombes sur une ville déjà en ruine. Elles sont escortées par 200 chasseurs Mustang mitraillant au sol les colonnes de civils qui tentent de fuir et les secours qui affluent.

    La « Florence allemande » est anéantie sous un total de plus de 750 000 bombes. Brûlant pendant 7 jours, le brasier pourra être aperçu à 160 kilomètres. Les Alliés n’ont perdu que 8 appareils...

     

    Il sera difficile de chiffrer le nombre exact de victimes, car la plupart d’entre elles ont été vaporisés par les bombes incendiaires, et en hâte, afin d’éviter les épidémies, les secours ont entassés et mis le feu aux cadavres trouvés dans les décombres.

    De 250 000 morts pour l’estimation la plus haute à l’indécent 35 000 morts donné par une étude récente, le lecteur se fera une idée par lui-même par un simple ratio : nombres de bombes par nombre d’habitants.

    De Dresde aux bombardements atomiques d’Hiroshima et Nagasaki, puis des largages massifs sur le Nord-Vietnam (7 millions de tonnes, soit deux fois l’ensemble des bombardements alliés sur tous les fronts de la Seconde Guerre mondiale), jusqu’à la mise en place de la doctrine Shock and Awe, « choc et stupeur » pour mettre à mort l’Irak de Saddam Hussein en 2003, les militaires anglo-saxons, non contents d’utiliser leur immense potentiel industriel de mort, auront aussi pour eux l’ultime privilège d’écrire l’Histoire.

  • Le bombardement de Dresde - Documentaire de la 2nde Guerre Mondiale

    Pour ne jamais oublier les victimes innocentes des criminels de guerre anglo-saxons

  • Dresde, 13 février 1945 : démonstration d’éthique démocratique, crime contre l'humanité jamais jugé

     

    Le 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (excepté le Japon).
    7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur la ville de Dresde, joyau architectural, où s’étaient réfugiés de très nombreux civils.

    Des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants (entre 135 000 et 250 000 victimes) meurent, souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances indescriptibles.

    La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.

    Civils habitant ou réfugiés à Dresde.

    Dresde, avec Hiroshima et Nagasaki, sont les exemples les plus connus de la barbarie anglo-américaine, mais on ne doit pas oublier les civils volontairement assassinés par de lâches bombardements un peu partout, dont des dizaines de milliers en France (voir Quand les Alliés bombardaient la France).

    Tandis que les USA, toujours flanqués de la Grande-Bretagne, se permettent de donner continuellement des leçons de morale au monde entier et n’hésitent toujours pas à pratiquer le terrorisme (comme en Serbie il y a peu), la résistance nationale d’outre-Rhin rend chaque année hommage aux morts de Dresde, au cours d’un défilé généralement perturbé par la police.

    Contre-info.com