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  • Front National, réaction radicale…: une ligne de crête

     

    sondage bis

    Singulier mélange de mauvaise foi, d’approximations, de  nervosité, de  méthode Coué et de mensonges, c’est peu dire que  la médiocre prestation  hier soir de Manuel Valls invité « vedette »  de l’émission Des paroles et des actes, sur France 2, n’aura pas convaincu les Français. Notamment lors  de son face à face avec Florian Philippot, ou le ministre de l’Intérieur n’a pas brillé, à l’instar d’un Pierre Moscovici également  sur France 2  le 3 février, dans Mots croisés, qui fut sévèrement étrillé par une Marine Le Pen pugnace et en grande forme.  Selon le baromètre de février TNS Sofres/Sopra group/Le Figaro Magazine publié  hier, l’exécutif socialiste poursuit sa descente aux enfers.  Le président de la République  perd encore  trois points de confiance  pour s’établir à 19% et  n’est même plus majoritaire parmi les sympathisants socialistes (49 % lui font confiance, 48 % non). Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault ne fait guère mieux avec 20 % de confiance (- 1 point), tandis que Manuel Valls dévisse lui aussi sévèrement, l’ « obsédé des années trente » perd sept points de cote d’avenir, chutant au niveau de Nicolas Sarkozy (- 1). Marine Le Pen regagne trois points (28 %).

     Ce sondage qui confirme l’évolution de l’opinion enregistrée depuis la victoire de M. Hollande, n’est jamais que la traduction d’une situation économique, sociale, identitaire qui ne cesse de se dégrader. Indicateurs parmi d’autres,  l’INSEE rapporte une baisse  de 2% en 2013 par rapport à 2012,  du nombre de  créations d’entreprises, sans  lesquelles le nombre des chômeurs ne peut que croître puisque ce sont celles-ci qui sont les premières pourvoyeuses d’emplois. Parallèlement,  les investissements étrangers ont chuté de  77% en 2012… tout en progressant fortement chez nos voisins européens  (+25,4%) et plus encore dans les pays membres de l’Union Européenne (+38,1%).

     Une France  paupérisée, ouverte  à  une immigration de  futurs chômeurs et d’assistés  grevant nos comptes sociaux, tandis que dans un mouvement migratoire inverse nos jeunes diplômés, formés dans nos universités et nos écoles financées par nos impôts,  quittent la France dans des proportions jamais atteintes.  Une étude souligne qu’un diplômé sur quatre  de 2013 aspire à aller travailler à l’étranger, ils n’étaient que  13% en 2012.

     Dans ces conditions, et le FN représentant clairement une alternative aux politiques délétères menées depuis des décennies, nous doutons fortement que les  baisses enregistrées par certains sondages des intentions de vote en  faveur  du FN et/ou de la cote de confiance de Marine, se matérialisent dans les urnes. 

     Certes, le Front National marche sur une ligne de crête. Il lui faut continuer à  incarner une certaine radicalité (ce n’est pas un gros mot) qui a fait du Mouvement national depuis trente  ans  le réceptacle du  ras-le-bol populaire,  celui de la France qui gronde, qui tempête, qui proteste, qui aspire à renverser la table de ce Système inique.

      Cette minorité de Français, en expansion constante,  dans laquelle de retrouve aussi la frange la plus politisée de l’électorat national,  est au fait des vraies menées et de la réalité  de l’Etat profond. Ce sont ces Français là, dans toutes leurs diversités et sensibilités,   que l’on a vu dans la rue lors du Jour de colère, manif qui ne saurait être caricaturée, affirme Bruno Gollnisch,  comme elle l’a été bien malhonnêtement dans les médias et par les dirigeants  du PS et de l’UMP.

     Mais la vocation du  FN n’étant pas la protestation mais l’arrivée au pouvoir des idées qu’il défend, il  lui faut   aussi être capable de parler au plus grand nombre. Il doit  attirer à lui, comme il a su le faire dans le passé, comme cela s’est traduit de manière accrue  lors de la présidentielle de 2012 et dans les récentes élections partielles,  un nouvel électorat venant des partis de droite et de gauche. Electeurs néofrontistes,  marinistes  définis comme plus  « modérés »  par certains observateurs de la vie politique.

     Sur le site délits d’opinion, Marion Desreumaux  commente  longuement et intelligemment certaines enquêtes enregistrant un recul du FN et/ou de Marine dans l’opinion. Elle s’interroge sur l’analyse selon laquelle «(n’étant)  plus suffisamment  diabolisé  et ne représentant plus le vote contestataire par excellence, le Front National susciterait moins l’intérêt de ses soutiens, voire pousserait moins d’électeurs à se rendre dans les urnes. L’identité du parti se diluerait sous une forme de respectabilité ne convenant pas nécessairement à son électorat caractérisé avant tout par sa colère  (…) ».

     « Ne pourrait-on pas penser qu’aujourd’hui poursuit-elle, un certain nombre de sympathisants UMP attirés un temps par le FN retourneraient vers leur parti d’origine ou se réfugieraient dans l’abstention, déçus par une Marine Le Pen perçue comme trop proche des autres responsables politiques ? (…). Relevons qu’en octobre dernier, un quart des Français déclarait considérer le FN comme un parti de droite classique, cette opinion étant même particulièrement défendue par les ouvriers (38%) et les plus modestes (37%). Si expliquer le moindre soutien à Marine Le Pen par un sentiment croissant de banalisation du FN est également séduisant, soulignons toutefois que pour l’instant, les sympathisants frontistes demeurent parmi les plus mobilisés pour les futures élections municipales. »

     Soulignons aussi  que la radicalisation, la réaction-droitisation des Français est patente  comme l’a noté Valeurs  actuelles dans son numéro  4026, il y a quinze jours, en faisant état  des résultats de l’enquête annuelle Opinionway et du Centre de Recherche Politique de Sciences Po,  qui n’ont pas été publiés in extenso   dans Le Monde.

     Comme cela a été relayé,  36% des sondés placent Sarkozy en tête des bonnes opinions, Marine Le Pen le talonne avec  34%, loin devant les autres politiciens;   67% pensent qu’il y  trop d’immigrés en France, 50% sont pour le rétablissement de la peine de mort ( 35% en 2011).

     Mais les réponses aux autres questions posées sont aussi instructives du désaveu qui frappe le système ripoublicain :  12% souhaitent que l’armée dirige le pays (!) ; 50% ne croient plus à la démocratie et veulent  « un homme fort qui n’a pas à se préoccuper du parlement ni des élections » pour diriger la France ; 61% sont prêts à manifester ( 30% en 2010) ;  71% ne font pas confiance aux syndicats ; 75% des Français ne font plus confiance à l‘Etat, ni à la république ; 87% jugent que Hollande n’a pas la stature  d’un président ; 88% rejettent catégoriquement  les partis politiques. Le changement radical, ce n’est peut être pas pour maintenant, mais si nous y travaillons en bonne intelligence,  rétablir la démocratie confisquée au peuple français,  cela pourrait être  pour demain.

    Blog de Bruno GOLLNISCH

  • « Journée de retrait de l’école » : Farida Belghoul défie Vincent Peillon et les francs-maçons…

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     PROTEGEONS LA PUDEUR ET L’INTEGRITE DE NOS ENFANTS

    Altermedia

     

    NdB: Pourquoi ces croissants et cette couleur vert islam? L'école de la République est LAÏQUE ! Il ne faudrait pas déraper dans le communautarisme religieux sous prétexte d'enseignement de la "théorie du genre"...

  • Popularité: Valls dévisse de 12 points

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    Jeudi dernier, sur France 2, Manuel Valls assurait «regarder les sondages avec intérêt» mais pas «en permanence», évoquant le mythe de Narcisse pour illustrer sa volonté de ne pas finir noyé dans sa propre image. <btn_noimpr> Grand bien lui en prend : le ministre de l'Intérieur vient de voir sa cote de satisfaction dévisser de 12 points en février dans le baromètre Clai-Metronews-LCI, réalisé par l'institut OpinionWay. Un sondage réalisé avant l'émission «Des paroles et des actes» et publié ce dimanche. La popularité du ministre s'éroderait notamment chez les sympathisants de droite.

    Une popularité en baisse depuis janvier

    Le ministre de l'Intérieur, habitué à la première du podium gouvernemental, s'y retrouve à la cinquième place, sa cote étant passée de 57 points en janvier à 45 en février. Il est devancé par Najat Vallaud-Belkacem, (Porte-parolat, Femmes) en avec 49% de satisfaction (-1), Laurent Fabius (Affaires étrangères), inchangé à 48%, Jean-Yves Le Drian (Défense), qui abandonne 6 points à 45%, et Aurélie Filippetti (Culture, 45%, -2).

    Dans le même baromètre, François Hollande a perdu un point de satisfaction en un mois à 23% et Jean-Marc Ayrault en a gagné un à 26%

    Populaire depuis sa prise de fonction place Beauvau au vu des enquêtes d'opinion, Manuel Valls a enregistré début 2014 une chute mesurée par plusieurs instituts de sondages : -9 points à 48% d'opinions positives chez Harris Interactive, -6 points à 49% dans le baromètre mensuel BVA, -7 pts à 31% pour l'institut YouGov. Il avait aussi cédé la tête du tableau de bord mensuel des personnalités (-7 pts, 61%) Ifop pour Paris-Match, publié le 14 janvier.

    Un ministre moins populaire à droite

    «Pour comprendre cette chute brutale, il faut rappeler que la vague de janvier avait été réalisée juste avant les décisions judiciaires d'interdiction du spectacle de Dieudonné», commente Opinionway. Depuis, ont été «annoncés les résultats de l'observatoire de la délinquance et Manuel Valls est intervenu plusieurs fois sur des thématiques hors de son périmètre ministériel, dénonçant notamment l'émergence d'un tea party à la française. Visiblement, le ministre, qui bénéficiait jusque là d'une forte popularité à droite, a mécontenté cet électorat», selon l'institut.

    «Manuel Valls accuse un effondrement de sa popularité» n'a néanmoins pas manqué de noter Jean-François Copé dimanche soir dans le «Grand jury» RTL/LCI/«Le Figaro». «Ce sont d'abord ces résultats très mauvais qui viennent sanctionner l'action du ministre de l'Intérieur», a commenté le patron de l'UMP, soulignant un «échec terrible de sa politique en matière d'immigration clandestine et de sécurité».

    L'étude a été réalisée du 4 au 6 février par téléphone auprès d'un échantillon de 1.010 personnes, représentatif de la population française de 18 ans et plus (méthode des quotas).

    LeParisien.fr

  • Entretien avec Oskar Freysinger

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    Le dogme islamique est difficilement compatible avec l’État de droit

    Le 9 février 2014

    Dimanche 9 février, les Suisses devront se prononcer « contre l’immigration de masse ». Votre parti, l’UDC, demande que la Suisse limite l’immigration en revenant au système des contingents et renégocie la libre circulation des personnes avec l’Union européenne. Le scrutin s’annonce serré… Pourquoi cette volonté de limiter l’immigration ?

    Parce que le déplacement en masse de nomades du travail met en concurrence les plus faibles d’un pays contre plus faible qu’eux. Les classe moyennes fondent, les prix explosent et le pouvoir d’achat diminue. Un pays souverain doit pouvoir disposer d’un moyen de régulation des flux migratoires.

    Une plainte a été déposée contre l’affiche que vous avez réalisée en vue des votations. « Bientôt 1 million de musulmans ? Par conséquent : stop à l’immigration de masse », peut-on y lire. Le texte est illustré par une courbe en hausse exponentielle et une silhouette en burqa. Pour Matthias Bertschinger (Vert), « cette affiche dépasse non seulement les limites du bon goût, mais constitue aussi une discrimination raciale. On suggère dans cette affiche que les musulmans sont un danger pour la Suisse. Ceux-ci sont donc stigmatisés et blessés dans leur dignité », a-t-il estimé.

    Le dogme islamique est difficilement compatible avec l’État de droit en bien des points. Il faut donc éviter le communautarisme et l’établissement de sociétés parallèles. En régulant l’immigration, on peut augmenter la qualité de l’intégration. C’est une question de survie pour notre culture occidentale.

    En France, à Bobigny, l’Union des démocrates musulmans français va présenter une liste aux prochaines municipales. Quand on leur reproche leur approche « communautaire », ils rétorquent : « En France, il existe un Parti chrétien-démocrate et cela ne choque personne. » Qu’en pensez-vous ?

    Observez bien la situation mondiale : les seules vraies démocraties se situent dans des territoires traditionnellement chrétiens. Parce qu’il « faut rendre à César ce qui est à César » et parce que le « royaume du Christ n’est pas de cette terre ». Bien appliqué, les évangiles aboutissent à des États de droit (où la morale précède le droit et ne découle pas de l’application aveugle d’articles de loi). En gros, on assiste à un affrontement entre une loi d’amour et la loi du talion.

    Vous êtes également attaqué sur la question de votre « double salaire ». Pourquoi ne souhaitez-vous pas reverser, comme la pratique le veut – c’est en tout cas ce qui se fait dans les autres cantons –, vos revenus fédéraux aux caisses cantonales?

    La pratique est très différente d’un canton à l’autre. La loi suisse le veut ainsi. Je n’ai pas à communiquer ce que je fais, à bien plaire, ça ne regarde que moi.

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

     

     

  • Dissolution des Femen: des milliers à Paris! 09 02 14

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    Voici le texte de l’allocution prononcée cet après-midi par Daniel Hamiche, rédacteur en chef de L’Observatoire de la Christianophobie, lors de la manifestation organisée par L’AGRIF place Vauban à Paris, pour la dissolution du groupuscule antichrétien Femen France.

    Il vous a été dit : « Rendez à César ce qui est à César » et « Rendez à Dieu ce qui est à Dieu ».

    Et moi je vous dis : « Rendez l’Ukrainienne à l’Ukraine ! »

    En effet, s’il est juste et raisonnable de se rassembler si nombreux aujourd’hui à Paris pour exiger la dissolution du groupuscule atrocement antichrétien des Femen, fondé par l’Ukrainienne Inna Shevchenko, n’est-il pas tout aussi juste et raisonnable que l’Ukrainienne Inna Shevchenko soit déchue de son statut de “réfugiée politique” et sitôt expulsée du territoire national ?

    Et voici pourquoi.

    Le vendredi 17 août 2012, alors qu’un tribunal moscovite venait de condamner trois chanteuses “punk” du groupe Pussy Riot à deux ans de prison pour « incitation à la haine religieuse » lors d’une exhibition odieuse, le 21 février précédent, devant l’iconostase dans la cathédrale orthodoxe du Christ-Sauveur de Moscou, Inna Shevchenko, assistée de plusieurs complices, sciait avec une tronçonneuse, en manière de “représailles”, un Crucifix de 4 m de haut surplombant la ville de Kiev. Ce Crucifix avait été érigée en 2004 par des catholiques en mémoire des millions de victimes ukrainiennes du communisme soviétique, torturées, assassinées, mortes de famine organisée – l’horrible Holodomor. La scène honteuse fut filmée et photographiée. La police de Kiev se rendit sur les lieux, ouvrit une enquête conformément au Code pénal ukrainien, mais ne procéda pas à l’interpellation d’Inna Shevchenko ce qui lui permis de fuir en France ce même mois d’août, munie d’un visa touristique de court séjour de 3 mois. Inna Shevchenko avait donc été prévoyante et le gouvernement français en accordant un visa à une criminelle de droit commun s’est rendu complice de son forfait.

    Peu après son arrivée à Paris, où elle est hébergée provisoirement chez Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Inna Shevchenko peut établir dès le mois de septembre le quartier général et le camp d’entraînement des Femen au deuxième étage de l’immeuble occupé par la salle de concert Le Lavoir Moderne Parisien, subventionné par la Ville de Paris et le ministère de la Culture. C’est dans ce local qu’est concertée, sans doute sous la houlette de Caroline Fourest, la première agression anticatholique et violente des Femen, menées par Inna Shevchenko, contre la manifestation de Civitas à Paris le dimanche 18 novembre 2012. Notons, en passant, qu’à cette date le visa touristique d’Inna Shevchenko avait expiré… Elle était donc en situation irrégulière, mais les protections influentes qui ne lui ont jamais manqué, ont fait que les pouvoirs publics, une fois de plus, ont fermé les yeux sur le statut d’une personne qui, de toute évidence, n’était pas entrée en France pour y faire du tourisme !

    Ce n’est que le 19 février 2013, c’est-à-dire 7 jours après son exhibition scandaleuse avec sept autres Femen dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, qu’Inna Shevchenko, bien conseillée, dépose une demande de bénéfice d’asile politique auprès de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) alors qu’elle est, je le répète, en situation irrégulière en France, qu’elle aurait donc dû être expulsée, et qu’elle n’a pas à être protégée ne risquant dans son pays que d’être traduite devant un tribunal pour un délit de droit commun.

    L’OFPRA, scandaleusement, lui accordera ce statut de “réfugiée politique” le 9 avril 2013, ce qui la met à l’abri de toute possibilité d’extradition vers l’Ukraine pour y répondre de son délit. Signalons qu’il faudra attendre trois mois pour apprendre l’octroi de ce statut…

    Inna Shevchenko est donc, désormais, « placée sous la protection juridique et administrative » de la France et en devient même une icône puisque le 14 juillet  2013, le Président Hollande hilare dévoile, si je puis dire, depuis le Palais de l’Élysée, le nouveau timbre à l’effigie de Marianne dont le visage est inspiré de celui d’Inna Shevchenko. On croit rêver !

    Mais ce n’est pas tout… Comme bénéficiaire du statut de “réfugiée politique”, Inna Shevchenko se voit attribuer le 4 décembre 2004 un « Document de voyage pour réfugié » valant passeport, accordé pour deux ans et qui permet à un réfugié en France de voyager dans certains pays étrangers. Inna Shevchenko inaugurera ce Document quelques jours plus tard, puisqu’il lui permet de se rendre le 19 décembre en Italie puis sur le territoire de l’État du Vatican pour se dépoitrailler place Saint-Pierre et y « avorter publiquement l’embryon de Jésus » comme le dit de manière répugnante un tweet de Femen France de ce jour-là !

    J’arrête ici car j’ai déjà été trop long, pardon !

    Mais voilà pourquoi, et j’y insiste, il faut « rendre l’Ukrainienne à l’Ukraine » !

    Dissolution des Femen ? Oui, mille fois oui ! Mais nous devons aussi obtenir l’abrogation du statut de “réfugiée politique” d’Inna Shevchenko, le non renouvellement de son « Document de voyage pour étranger » et son expulsion immédiate du territoire national en lui souhaitant, par avance, un bon retour en Ukraine !

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  • Manuel Valls doit cesser de protéger les voyous « antifas » qui sont les milices du pouvoir

     

    Front National flammeCommuniqué du Front National

    La violence inouïe des voyous « antifas » qui s’est déchaînée hier soir dans les rues de Rennes contre passants, commerçants et forces de l’ordre au motif que le Front National tenait meeting démontre le caractère extrêmement dangereux et antirépublicain de ces groupuscules extrémistes.

    Manuel Valls est largement responsable de ces violences en lançant systématiquement des messages de compréhension ou de soutien à ces voyous, qu’il utilise comme de véritables milices du pouvoir.

    Son refus tout aussi obstiné qu’irresponsable de dissoudre ces groupuscules violents est perçu par les voyous antifas comme un permis de taper, un permis de casser.

    La dissolution des groupuscules violents dits « antifas » n’est pourtant plus maintenant une nécessité, mais une urgence pour la tranquillité publique, la démocratie et la République.

     

  • Rennes : une émeute organisée par la gauche et l’extrême-gauche [tribune libre]

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    Une réunion publique à caractère électoral, organisée par le Front National, se tenait hier soir à la salle de la Cité dans le centre de Rennes. Cette réunion avait lieu dans le cadre des élections municipales auxquelles le FN participera en présentant une liste menée par Gérard de Mellon. Cette réunion était animée par ce dernier, Gilles Pennelle, secrétaire départemental, et Nicolas Bay, secrétaire général adjoint du Front National.

    Une rumeur disait depuis plusieurs semaines que cette réunion parfaitement légale et légitime serait empêchée par ces grands défenseurs de la liberté que sont les nervis ‘’antifas’’. Chose promise, chose due ; hier soir les ‘’antifas’’ étaient de sortie mais ils n’étaient pas seuls : des membres du parti trotskyste NPA, du Parti de Gauche, d’EELV (écologistes) et du parti socialiste étaient à leur côté. Selon la préfecture, la contre manifestation aurait rassemblé au maximum six cents personnes mais d’autres sources parlent de deux cents personnes, ce qui semble plus proche de la vérité.

    Cette contre manifestation, qui aurait pu rester pacifique et respectueuse des opinions des uns et des autres, a tourné à l’émeute : affrontement avec les forces de l’ordre, jets de pavés et de projectiles divers, bris de nombreuses vitrines et incendie d’une voiture. La police a été contrainte d’agir très vigoureusement pour interdire l’accès des émeutiers à la salle de la Cité. La réunion a pu se tenir mais de très nombreux sympathisants et membres du FN n’ont pu accéder à la salle du fait de l’émeute.

     Cette émeute illustre une bien triste réalité : l’intolérance profonde de l’extrême-gauche et d’une partie importante de la gauche qui ne supportent pas la contestation de leurs idées. Depuis 1968, nous subissons à Rennes comme dans de nombreuses autres villes ce qu’il faut bien appeler une forme de terreur qui peut prendre la forme d’agressions physiques ciblées comme celle qui a eu lieu la semaine dernière à la faculté Rennes 2 et au cours de laquelle plusieurs personnes ont été aspergées d’ammoniaque par un commando d’extrême-gauche. Cette situation est d’autant plus insupportable que de nombreuses municipalités de gauche ferment les yeux sur l’existence des bandes d’’’antifas’’ qui sont à l’origine de cette terreur.

     Nous avons connu dans les années qui ont suivi 1968, à Rennes comme dans de nombreuses autres villes, une situation de tension créée par les forces de gauche ; cette tension s’était atténuée mais depuis que leur déclin idéologique se fait sentir de manière très palpable (sur tous les sujets importants tels que l’immigration, le protectionnisme, le mariage des homosexuels, l’Union Européenne, l’euro, …..) la population est en opposition avec celle des forces de gauche dans des proportions allant de 55 à 80% selon les sujets), il semble bien que les forces de gauche se radicalisent parce qu’elles perdent pied (toutes tendances confondues, elles ne bénéficient plus que de 35% des intentions de vote). Leurs promesses ne font plus rêver grand monde ; les gauches ont perdu l’électorat ouvrier, elles sont en train de perdre l’électorat catholique et peut-être même l’électorat musulman. Quant aux classes moyennes qui constatent la baisse de leur niveau de vie consécutive à la mondialisation et à la politique monétaire européenne, elles ont commencé à migrer vers le Front National.

    La contestation des poncifs et des lubies d’une gauche qui est de plus en plus clairement l’idiot utile des multinationales n’est plus une contestation portant sur l’économie comme cela fut le cas depuis la guerre mais une contestation de l’ensemble de l’idéologie de la gauche dont les ingrédients essentiels sont l’individualisme, le mondialisme, la négation de toutes les différences et l’idée d’un monde totalement uniforme et sans frontières (c’est très exactement ce dont rêvent les milliardaires et les multinationales).

    La gauche et l’extrême-gauche essaient désespérément d’empêcher la contestation de s’étendre ; elles ont tort et, de plus, elles perdront la partie. Les Bretons, pas plus que le peuple français dans son ensemble, ne se laisseront museler par des idéologues fanatiques.

     B. Guillard

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2014, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

  • La Suisse rejette "l'immigration de masse"

    http://fr.novopress.info/155846/les-suisses-rejettent-limmigration-masse/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

    + VIDEO  et Tweets

  • Cérémonie d'ouverture des JO de Sotchi - 07 02 14

    http://pluzz.francetv.fr/videos/jeux_olympiques_sotchi_2014_f2

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    (pas de code embed avec cette vidéo)

     Merci à hibiscusez-moi

    Regardez cette merveilleuse cérémonie d'ouverture! Elle est vraiment très belle et très émouvante, célébrant la Russie éternelle! Les ballets sont splendides et nous font pénétrer avec la musique dans le rêve de l'Empire russe...

     

  • Jean-Marie Le Pen sur i>TELE - 07 02 14

     
    (cette vidéo ne cessant de s'ouvrir inopinément, sans intervention, j'ai été obligée de la poster en lien  et j'en ai profité pour la réactualiser)

  • Les Suisses ont voté "contre l'immigration de masse" : le référendum a obtenu la double majorité requise 50,3%

    http://www.leparisien.fr/international/suisse-les-citoyens-votent-ce-dimanche-sur-l-immigration-09-02-2014-3573779.php

  • Sotchi : médaille d’or de l’hypocrisie pour nos journalistes

     

    Sotchi : médaille d’or de l’hypocrisie pour nos journalistes - La première médaille est incontestablement française- cocorico

     

    La première médaille est incontestablement française- cocorico



    Jean Ansar
    le 08/02/2014
    Dommage que nos journalistes d’aujourd’hui n’aient pas couverts les JO de 36. Ils auraient tendu le bras devant le führer en expliquant qu’ils étaient déjà de grands résistants. Heureusement qu’ils se rattrapent à Sotchi. Ils n’arrêtent pas de dénoncer et de critiquer tout en participant et admirant. Salut les équilibristes.

    Pour justifier leur présence à des jeux qu’ils boycottent moralement bien sûr, ils multiplient les commentaires sur les homosexuels et la démocratie. Cela semble largement suffisant pour leur donner bonne conscience. Pour les valeurs de tolérance, ils souffrent mille maux. Ils subissent l’enfer d’un goulag. Ils se sont lamentés sur leurs conditions d’hébergement. On a sacrifié un peu le logement des journalistes (quelques milliers) à celui des athlètes.

    Décidément, ce Poutine n’a rien compris. 

    Ce qui compte aujourd’hui dans le sport, ce n’est pas le sportif mais le commentateur, le commentateur sportif qui ne s’est jamais guéri de son complexe devant le commentateur politique et qui se rattrape dés qu’il peut. Comment pourrait-il d’ailleurs comprendre un spectacle d’ouverture magnifique qui célèbre la Russie éternelle, son histoire dans sa totalité. Comment nos journalistes pourraient-ils comprendre un peuple qui rêve de tsar et de grandeur soviétique tout à la fois  et qui célèbre Pierre le Grand et Staline sans nier les crimes de l’un et les horreurs indépassables de l’autre. Nos manichéens incultes aux petits pieds et à la plume débile ne le peuvent pas. Tant pis pour eux !

    Ce qu’il fallait, pendant la cérémonie, c’était couper le son ou aller sur une chaîne non française.
    Alors là, oui on pouvait s’envoler en survolant l’histoire. On touchait de l’âme des valeurs aujourd’hui disparues chez nous ou diabolisées au nom des valeurs  de la république qui n’en demandait pas tant  à ses plumitifs et inquisiteurs permanents. C’est beau, un grand pays qui rêve encore de grandeur en pensant à son passé. Bien sûr, cela coûte cher de construire, de bâtir, d’organiser. Mais sans Pierre Le Grand, pas d’utopie ruineuse devenue Saint-Petersbourg.

    En France on aurait eu droit à un spectacle de type art contemporain basané et le plus possible dégénéré (ce mot est il encore permis ?), pour bien  montrer où l’on veut aller. Les danseurs de « Guerre et paix » c’est plus cher que des barbus dénudés se trémoussant en tutus de ballerines. C’est un choix.

    Le bon choix est russe pour le pays, le sport et son avenir. Les journalistes étaient désapprobateurs, forcément désapprobateurs mais médusés et admiratifs malgré eux. Vivement  un  incident, un Jess Owen, même inventé Caucase ou des poings levés style black power aux Usa. Vous avez tout oublié, confrères, en attendant comme à Atlanta un attentat !

    Vivement qu’on puisse revenir à l’essentiel : l’idéologie médiatique. Manquerait plus que le sport l’emporte et que Poutine en sorte grandi.
     
    METAMAG
     
     
  • Le lobby gay boycotte les JO d'hiver de Sotchi

    http://www.lefigaro.fr/international/2014/02/07/01003-20140207ARTFIG00159-sotchi-les-pays-mettent-en-scene-leur-desapprobation.php

    Plusieurs chefs d'États n'assisteront pas à la cérémonie d'ouverture. Un moyen de critiquer, à leur façon, la législation russe en matière de «propagande» homosexuelle.

    NdB: Il m'a été impossible de trouver en vidéo la Cérémonie d'ouverture des JO de Sotchi

  • Après la Yougoslavie, l’Ukraine ? Par Thierry Meyssan

     

             Source : voltairenet.org

     

     

     
     

     

    C’est à tort que les opinions publiques ouest-européennes observent la crise ukrainienne comme une rivalité entre Occidentaux et Russes. En réalité, Washington ne cherche pas à faire basculer le pays vers l’Union européenne, mais à priver la Russie d’un de ses partenaires historiques. Pour ce faire, les États-Unis sont prêts à déclencher une nouvelle guerre civile sur le continent.

    Après avoir démembré la Yougoslavie au cours d’une guerre civile de dix ans (1990-1999), les États-Unis ont-ils décidé de détruire identiquement l’Ukraine ? C’est ce que laisse penser les manœuvres que l’opposition se prépare à conduire durant les jeux Olympiques de Sotchi.

    L’Ukraine est historiquement divisée entre à l’Ouest, une population tournée vers l’Union européenne et, à l’Est, une population tournée vers la Russie, auxquelles s’ajoute une petite minorité musulmane en Crimée. Depuis l’indépendance, l’État s’est progressivement effondré. Profitant de la confusion, les États-Unis ont organisé la « révolution orange » (2004) [1], qui porta au pouvoir un clan mafieux toujours pro-atlantiste. Moscou répondit en annulant ses subventions sur le prix du gaz, mais le gouvernement orange ne put pas compter sur ses alliés occidentaux pour l’aider à payer le prix du marché. En définitive, il perdit l’élection présidentielle de 2010 au profit de Viktor Ianoukovytch, un politicien corrompu parfois pro-russe.

    Le 21 novembre 2013, le gouvernement renonce à l’accord d’association négocié avec l’Union européenne. L’opposition répond par des manifestations, à Kiev et dans la partie occidentale du pays, qui prennent bientôt un aspect insurrectionnel. Elle réclame des élections législatives et présidentielle anticipées et refuse de constituer un gouvernement lorsque le président Ianoukovytch lui propose et que le Premier ministre démissionne. Les événements sont baptisés par Radio Free Europe (la radio du département d’État US) Euromeïdan, puis Eurorévolution.

    Le service d’ordre de l’opposition est assuré par Azatlyk, un groupe de jeunes Tatars de Crimée qui rentre pour l’occasion du jihad en Syrie [2].

    La presse atlantiste prend fait et cause pour l’« opposition démocratique » et dénonce l’influence russe. De hautes personnalités atlantistes viennent apporter leur soutien aux manifestants, dont Victoria Nuland (secrétaire d’État adjointe et ancienne ambassadrice à l’Otan) et John McCain (président de la branche républicaine de la NED). Au contraire, la presse russe dénonce des manifestants qui veulent renverser dans la rue des institutions élues démocratiquement.

    Au départ, le mouvement apparaît comme une tentative de réédition de la « révolution orange ». Mais le pouvoir change de main dans la rue, le 1er janvier 2014. Le parti nazi « Liberté » organise une marche au flambeau qui réunit 15 000 personnes en mémoire de Stepan Bandera (1909-1959), le leader nationaliste qui s’allia aux nazis contre les Soviétiques. Depuis cette marche, la capitale se couvre de graffitis antisémites et des personnes sont attaquées dans la rue parce que juives.

    L’opposition pro-européenne est composée de trois partis politiques :
    - L’Union panukrainienne « Patrie » (Batkivshchyna), de l’oligarque et ancien Premier ministre Ioulia Tymochenko (actuellement incarcérée suite à ses condamnations pénales pour détournements de fonds publics), aujourd’hui dirigé par l’avocat et ancien président du Parlement Arseni Iatseniouk. Elle défend la propriété privée et le modèle libéral occidental. Elle a obtenu 25,57 % des voix aux élections législatives de 2012.
    - L’Alliance démocratique ukrainienne pour la réforme (UDAR), de l’ancien champion du monde de boxe Vitali Klitschko. Elle se réclame de la démocratie chrétienne et a obtenu 13,98 % aux élections de 2012.
    - L’Union panukrainienne Liberté (Svoboda), du chirurgien Oleh Tyahnybok. Cette formation est issue du Parti national-socialiste d’Ukraine. Elle est favorable à la dénaturalisation des Ukrainiens juifs. Elle a emporté 10,45 % des voix aux élections législatives de 2012.

    Ces partis parlementaires sont soutenus par :
    - Le Congrès des nationalistes ukrainiens, un groupuscule nazi issu des anciens réseaux stay-behind de l’Otan dans le Bloc de l’Est [3]. Sioniste, il préconise la dénaturalisation et l’expulsion des Ukrainiens juifs vers Israël. Il a obtenu 1,11 % des voix en 2012.
    - L’Autodéfense ukrainienne, un groupuscule nationaliste qui a envoyé ses membres se battre contre les Russes en Tchétchénie, puis en Ossétie durant le conflit géorgien. Il a obtenu 0,08 % des voix en 2012.

    En outre, l’opposition a reçu le soutien de l’Église orthodoxe d’Ukraine, en révolte contre le Patriarcat de Moscou.

    Depuis la prise de la rue par le parti nazi, les manifestants, souvent casqués et habillés de tenues para-militaires, dressent des barricades et attaquent les bâtiments officiels. Certains éléments des forces de police font également preuve de beaucoup de brutalité, allant jusqu’à torturer des détenus. Une dizaine de manifestants seraient morts et près de 2 000 auraient été blessés. Les troubles se propagent dans les provinces occidentales.

    Selon nos informations, l’opposition ukrainienne cherche à transporter sur place du matériel de guerre, acquis sur des marchés parallèles. Il n’est évidemment pas possible d’acheter des armes en Europe de l’Ouest et de les acheminer sans le consentement de l’Otan.

    La stratégie de Washington semble mêler en Ukraine des recettes éprouvées lors des « révolutions colorées » et d’autres récemment mises au point lors des « printemps arabes » [4]. Les États-Unis ne se cachent d’ailleurs pas : ils ont envoyé sur place deux hauts fonctionnaires, Victoria Nuland (adjointe de John Kerry) et John McCain (qui n’est pas seulement sénateur républicain, mais aussi président de l’IRI, la branche républicaine de la NED [5]) pour soutenir les manifestants. À la différence de la Libye et de la Syrie, Washington ne peut pas compter sur place sur des jihadistes pour semer le chaos (hormis les extrémistes Tatars, mais ils ne sont qu’en Crimée). Il a donc été décidé de s’appuyer sur des nazis avec lesquels le département d’État a travaillé contre les Soviétiques et qu’il a organisés en partis politiques depuis l’indépendance.

    Le lecteur néophyte peut être choqué d’observer cette alliance entre l’administration Obama et des nazis. Cependant, il doit se souvenir que des nazis ukrainiens ont été publiquement honorés à la Maison Blanche par le président Reagan, dont Yaroslav Stetsko, Premier ministre ukrainien sous le IIIe Reich, qui devint le chef du Bloc des Nations anti-bolchéviques et l’un des membres de la Ligue anticommuniste mondiale [6]. L’un de ses adjoints, Lev Dobriansky, devint ambassadeur des États-Unis aux Bahamas, tandis que sa fille Paula Dobriansky fut sous-secrétaire d’État pour la démocratie (sic) de l’administration George W. Bush. C’est Madame Dobriansky qui finança durant dix ans des études historiques visant à faire oublier que l’Holodomor, la grande famine qui toucha l’Ukraine en 1932-33, dévasta également la Russie et le Kazakhstan, et à faire croire qu’elle était décidée par Staline pour éliminer le peuple ukrainien [7].

    En réalité, Washington, qui avait soutenu le parti nazi allemand jusqu’en 1939 et avait continué à faire des affaires avec l’Allemagne nazie jusqu’à la fin 1941, n’a jamais eu de problèmes moraux avec le nazisme, pas plus qu’il n’en a à soutenir militairement aujourd’hui le jihadisme en Syrie.

    Les élites d’Europe occidentale, qui prennent le nazisme pour un prétexte permettant de persécuter des troubles-fêtes — comme on le voit avec la polémique sur la quenelle de Dieudonné M’Bala M’Bala [8] —, ont oublié ce qu’il est en réalité. En 2005, ils fermaient les yeux sur la réhabilitation du nazisme par la présidente de Lettonie, Vaira Vike-Freiberga, comme si cela était sans importance [9]. Sur la simple foi de déclarations en faveur de l’Union européenne et dans leur atlantisme béat, ils soutiennent maintenant leur pire ennemi. La guerre civile pourrait débuter en Ukraine durant les Jeux Olympiques de Sotchi.

    Thierry Meyssan

     

    Voir aussi, sur E&R : « Ukraine : une conversation embarrassante pour les États-Unis rendue publique »

    E&R