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  • Un Alsacien condamné pour avoir accroché un drapeau nazi chez lui

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    Photo : EPA

    Par La Voix de la Russie | Un jeune Alsacien a été condamné à 80 heures de travaux d'intérêt général pour avoir exposé dans son salon, bien visible de la voie publique, un drapeau nazi, a-t-on appris mercredi auprès du parquet de Saverne.

    Cet employé communal âgé de 20 ans avait accroché le drapeau frappé d'une croix gammée au rez-de-chaussée d'une habitation à Saint-Blaise-la-Roche (Bas-Rhin), sur un mur faisant face à une fenêtre donnant sur la rue.

    « C'est ce qui explique la qualification retenue, à savoir « exhibition en public d'un insigne » nazi », a expliqué à l'AFP la procureur de Saverne, Caroline Nisand.

    Le jeune homme était fiché par la Direction centrale du renseignement intérieur comme appartenant à l'extrême droite radicale, a-t-on précisé de source judiciaire.

    Il a été condamné par le tribunal de police de Molsheim à 80 heures de travaux d'intérêt général, et le drapeau a été confisqué.

  • 4 mois avec sursis pour avoir blessé un chat à la soude caustique

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    NdB: Il s'agit du propriétaire de la Pizzéria du Château

    Merci de signer la pétition contre ce tortionnaire: CONTRE LE PATRON DE LA PIZZERIA DU CHÂTEAU

     

     

     R.T | Publié le 04.02.2014, 16h38 | Mise à jour : 17h31

       

     
     
     
     

       

    Un restaurateur du Maine-et-Loire a été condamné à quatre mois de prison avec suris pour avoir jeté de la soude caustique sur un chat. 

    Un restaurateur du Maine-et-Loire a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour avoir jeté de la soude caustique sur un chat. 

                    

     Décidément la criminalité anti-chat explose en ce début d'année. Après le drame d' Oscar à Marseille, un restaurateur de Brissac-Quincé (Maine-et-Loire) a été condamné, ce mardi,  à 4 mois de prison avec sursis par le tribunal d'Angers pour avoir gravement blessé un félin avec de la soude caustique (utilisée pour déboucher les canalisations).  

     
    En raison de ses souffrances atroces, le chat a dû être euthanasié par le médecin de la SPA.                                       

    Le  restaurateur de 51 ans était poursuivi après une plainte de la SPA autonome du Maine-et-Loire. Il s'est fait représenter à l'audience. L'association a obtenu 273 € de dommages et intérêts.

    Selon le journal Ouest France, la décision du tribunal a provoqué une vague de protestations chez «les amis des chats», venus en nombre pour entendre la décision. «La loi prévoit deux ans de prison et 30 000 € d'amende et on ne l'applique pas», s'est ainsi émue Élisabeth Tostain, présente dans l'assistance. La décision suscite de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux où l'on appelle toujours au boycott de l'établissement du condamné.

     
    Lors de l'audience du 14 janvier dernier, l' du restaurateur avait rappelé  que, depuis les faits et la mobilisation sur les réseaux sociaux des «amis» des animaux, son client avait perdu ses deux employés, ses clients, était obligé de vendre son commerce et allait devoir déménager.

    LeParisien.fr

    NdB: J'ai signé la pétition.

     

  • Affaire Dieudonné: le rapport au Sacré en République

    par Gustave Sombreval

    Publié le mardi 4 fév. 2014, 09:20:15

    Comment notre société peut-elle à la fois s'enorgueillir d'avoir « conquis » le droit au blasphème tout en abaissant toujours plus son seuil de tolérance dans le domaine de l'humour ? C'est que si l'influence des religions peut disparaître, celle de la sacralité demeure toujours...

     

    En mettant en avant le « risque sérieux que soient de nouveau portées de graves atteintes au respect des valeurs et principes, notamment de dignité de la personne humaine, consacré par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen et par la tradition républicaine » [1], le Conseil d'État a rendu une « décision historique » (Aurélie Filippetti). Il convient tout d'abord de rappeler, en préambule, que la plus haute juridiction de notre pays opère ici, sans doute en conscience (?), un grave contre-sens qui est le cœur de notre sujet.

    Car que dit en réalité la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 (la distinction des dates est ici primordiale) ?

    - Article 1 : Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.

    - Article 2 : Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.

    Notons que toute notion « d'atteinte à la Dignité humaine » est, ici,inexistante.

    La question se pose donc de savoir où est-ce qu'elle apparaît dans les textes qui font sens aujourd'hui pour que le Conseil d'État s'emploie à l'invoquer afin de légitimer la censure de Dieudonné «M'Bala M'Bala». La réponse est, contrairement à ce que présume le communiqué, à trouver du côté de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 :

    - Article 1 : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

    - Article 2 : Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation [2].

    En d'autres termes, le Conseil d'État insère dans la Déclaration de 1789 la Dignité présente dans la Déclaration de 1948, prétextant qu'il s'agit là de s'inscrire dans la « tradition républicaine » - ce qui est, nous l'avons vu, faux -, tout en se refusant d'évoquer la Liberté, pourtant premièrement citée dans les deux ! Il est pourtant évident que la Déclaration de 1789, héritée des idées libérales du monde anglo-saxon, ne pouvait faire présider au-dessus de la Liberté un concept aussi difficile à cerner que l'atteinte à la dignité humaine.

    Dignité : le nouveau paradigme de l'Occident ?

    Par cette confusion, voulue ou non, le Conseil d'État a le mérite de stopper, enfin, l'hypocrisie sur ce mensonge qui consiste à poser la Liberté comme socle de nos valeurs. En effet, l'« affaire Dieudonné » vient clairement confirmer le remplacement, par la Dignité, de la Liberté comme notre nouveau paradigme philosophique. Ce glissement, enclenché au sortir de la Seconde Guerre mondiale, s'inscrit d'ailleurs dans ce que le sociologue Norbert Élias a nommé le « processus de civilisation »(3), c'est-à-dire la féminisation progressive de nos rapports, et le dégoût toujours plus prononcé de la société civile à l'égard de la violence, qu'elle soit physique ou verbale.

    Notre société a fait le choix de l'apaisement, et donc de son corollaire : la limite ; sans comprendre qu'une société apaisée n'est pas une société où les problèmes ont disparu. Ils sont seulement étouffés, mis sous couvercle par un lourd arsenal judiciaire. Puisqu'il ne peut être acceptable de « rire de l'Autre », cet Autre issu des « minorités », d'atteindre sa dignité, alors faisons en sorte qu'il soit, au moins dans un premier temps, juridiquement inatteignable. Et la morale suivra, bien naturellement, un jour... La judiciarisation de la pensée demeure donc logiquement l'arme suprême de la société apaisée.

    L'interdiction a priori du spectacle de Dieudonné constitue son dernier exploit. Il faudra dorénavant surveiller tout œuvre qui va comporter une dimension « pamphlétairisante » trop forte. C'est-à-dire celle où la visée est clairement établie, où les coups portés sont efficaces dans le sens où ceux qui les reçoivent, « souffrent » [4]. À ce titre, l'analyse faite par le philosophe François L'Yvonnet, qui distingue humoriste et amuseur de Cour, est implacable [5]. Notre époque était confortablement installée dans la dérision où trônent en parfaits maîtres des lieux les Stéphane Guillon et autres Nicolas Bedos. Comme l'explique L'Yvonnet, ces comiques sont le pouvoir et sont le système ; jamais virés, tout juste déplacés à l'intérieur de celui-ci, ils concentrent certainement en leur personne quelques inimitiés ; inimitiés oui, mais précisément, « de Cour ». Soit l'art de se faire gronder par le roi, mais à sa table.

    Ce pourquoi ils échappent à l'embastillement, ne serait-ce que moral, réside dans cet usage immodéré de la dérision. Enlever tout ce qu'il y a de véritablement politique, gênant, et ne s'attaquer qu'à l'accessoire (Nicolas Sarkozy, petit nerveux ; DSK, queutard ; Martine Aubry, bulldog ; George W. Bush, véritable idiot...). Un type d'humour consacré par les Guignols de l'info, absolument inoffensif, au point que les politiques s'efforcent de faire au mieux pour disposer, enfin, d'une marionnette à leur effigie... Pas sûr que les mêmes se seraient battus pour se retrouver dans un sketch de Desproges. La dérision apparaît donc confortable à la fois pour le comique, qui ne prend pas de risque, et pour le politique qui lui fait face, apparaissant « sympa » car assez humble pour rire de lui. Gagnant, gagnant...

    Déjà des premières victimes ?

    « Le Mur » est venu chambouler les repères de notre société où la sacralisation de l'Autre, forcément intouchable, « digne », a été bafouée [6]. Que la shoah ait été une horreur, nul n'est en mesure de le réfuter, mais pourquoi la sacraliser ? Car c'est bien ce qui est reproché au comique franco-camerounais : d'avoir fait rire avec le juridiquement inacceptable. La shoah avait été séparée dans la sphère du sacré, et Dieudonné l'a restituée à l'usage commun. Se pose alors la question du devenir de ce genre d'humour profane où l'Autre est dépouillé de son caractère intouchable (divin ?).

    Le film Case Départ, qui tourne en dérision ce qu'a été l'esclavage, porte-t-il atteinte à la dignité humaine ? Sans aucun doute. Le sketch, absolument déroutant, du Comte de Bouderbala sur les roumains aux États-Unis - « sans bras, sans jambes et parfaitement bilingues » - ne porte-il pas atteinte à la dignité humaine ? Sans aucun doute. D'ailleurs, Nicolas Bedos est aussi en train de faire les frais d'un laisser-aller verbal que la vigie, tant médiatique qu'intellectuelle, ne laisse plus passer, ce qui, comme toute situation où l'arroseur devient arrosé, prête à sourire. En utilisant l'expression « autochtones oisifs »pour décrire certains Guadeloupéens dans une de ses chroniques pour l'hebdomadaire Marianne, Bedos fils s'est attiré les foudres du Collectif des Antillais, Guyanais, Réunionnais et Mahorais, qui y a vu « une grave atteinte à l' honneur des Antillais ». Il est aujourd'hui mis en examen pour « injures à caractère racial ».

    Nous croyions les comiques conformistes à l'abri de l'arsenal judiciaire, même pas ! Mais le plus intéressant réside dans la défense choisie par Nicolas Bedos : il s'explique. Il met en avant le second degré - pourtant évident - de son sketch, rappelle qu'il n'est pas raciste et qu'au contraire sa chronique, bien conforme au credo, combattait le racisme. Bref, il s'acharne à démontrer qu'il n'a rien profané ! Autre exemple : Olivier De Benoist, dans la nouvelle émission de Laurent Ruquier a ce petit mot : « Moi, président de la République, je suis pour l'IVG. L'interruption de Valérie pour Gayet. En plus, prendre un scooter pour tirer, je n'ai rien inventé, Mohamed Merah le faisait déjà ». Ni une, ni deux, Patrick Cohen a pris la plume pour ajouter le nom de De Benoist sur sa liste de « cerveaux malades » [7], lequel a immédiatement regretté son propos sur Twitter. Il y a aussi ce sketch du Grand débarquement, sur Canal +, qui est venu tourner en dérision le génocide tutsi au Rwanda ; la chaîne présente ses excuses avant de retirer le sketch de son site.

    Reste, enfin, Sébastien Thoen, qui a eu ces quelques mots pour Élie Semoun, encore sur Canal + : «Tu n'as jamais plongé dans le communautarisme... Certains l'ont fait... Tu aurais pu toi aussi t'afficher dans la rue en vendant des jeans et des diamants à l'arrière d'une Smart en disant « Israël a raison, nique la Palestine wouala... » Mais tu ne l'as pas fait...  Comme quoi, on peut être de confession juive et pas complètement dégueulasse, n'en déplaise à certains». Se voyant étiqueté antisémite potentiel par le CRIF, Thoen a eu le zèle d'ajouter une tournée - « mes excuses ? » - d'abord chez RCJ puis directement aux locaux d'Europe-Israël qui avait lancé une pétition demandant son licenciement, afin, là encore, d'affirmer son respect du nouveau credo.

    Dans tous ces exemples, les hérétiques ne s'excusent pas de leur performance, mais de leurs conséquences ; pas de leur bon mot, mais de la blessure qu'il a infligée. À la manière d'un Galilée qui ne regrette pas sa trouvaille, mais la réception par les clercs de sa trouvaille !

    La nouvelle hérésie

    C'est donc le rythme de la nouvelle République : une provocation, une excuse. Existe-t-il pourtant plus hypocrite qu'un soldat qui après avoir visé la tête fait le signe de croix ?

    Ainsi, les couvertures islamophobes de Charlie Hebdo se voient défendues au nom de la liberté d'expression, comme le sont ces diverses pièces de théâtre sur-subventionnées à coup d'argent public où un portrait du Christ reçoit des gadins. Nous pourrions évoquer les actions violentes des Femen, qui mettent du temps à être condamnées, et encore, d'une voix feutrée...

    Il y a dans ces cas de figure un blasphème autorisé, pour lequel est absolument rejetée la possibilité d'être « atteint dans sa dignité ». Ce sont d'ailleurs souvent les mêmes - Fourest, Klugman, Cohen, Barbier, etc... - qui, bien dans leurs bottes, vous expliquent les yeux dans les yeux que les affaires ne sont pas sur le même plan sans se rendre compte de la précision de cet argument. Ils ne le pensent certainement pas ainsi mais, l'inconscience trahissant, il y a effectivement une valeur de plan - terrestre / astral ? - qui entre en jeu dans leur faculté d'indignation. Ce sont les curés de la morale laïque, au secours de l'Autre minoritaire, qui de prêche en prêche intiment l'opinion publique à ne pas rire de tout. Sans doute le malaise est plus profond : il nous semble qu'entre Français, rire de tout est possible, et même salvateur. Mais entre communautés ?

    Notre ministre de l'Éducation, Vincent Peillon, figure parmi les plus honnêtes dans l'entreprise forcée de laïcisation des esprits qui est en cours. Ses livres, comme ses différentes interviews, font état d'une franche volonté de remplacer le christianisme, du moins son influence, par une foi laïque présentée comme la« religion de la République ». « D'où l'importance de l'école au cœur du régime républicain. C'est à elle qu'il revient [...] d'être la matrice qui engendre en permanence des républicains pour faire la République, République préservée, république pure, république hors du temps au sein de la République réelle, l'école doit opérer ce miracle de l'engendrement par lequel l'enfant, dépouillé de toutes ses attaches pré-républicaines (ndla : un baptême ?), va s'élever jusqu'à devenir le citoyen, sujet autonome. C'est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l'école et par l'école, cette nouvelle Eglise, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi », écrit-il.

    La République, dans sa recherche du Sacré, a reçu le premier article de sa Révélation : de l'Autre minoritaire, tu ne pourras pas rire.

     

    [1] Lire le communiqué dans son intégralité :

    www.conseil-etat.fr/fr/communiques-de-presse/spectacle_de_dieudonne.html

    [2] Lire à ce sujet :

    KRETZMER David, KLEIN Eckart, «The concept of human dignity in human rights discourse», La Hague, Kluwer law international, 2002.

    [3] ELIAS Norbert, «La civilisation des moeurs».

    [4] L'interdiction par un tribunal, et à la demande de la LICRA, de la mise au pilori et du caviardage de livres publiés chez Kontre Kulture jugés antisémite (malgré que figure parmi eux Le Salut par les Juifs de Léon Bloy), la maison d'éditions d'Alain Soral, est à ce propos édifiante...

    [5] L'YVONNET François, «Homo comicus ou l'intégrisme de la rigolade».

    [6] d'après nous, un spectacle comme «Mahmoud» aurait bien pu faire l'objet de cette même interdiction. Reste à savoir : pourquoi aujourd'hui ? Un article politique pourrait sans doute mieux nous éclairer...

    [7] Un Mohammed Merah décrit comme un «tueur d'enfants». Il nous semblait pourtant que Merah avait fait d'autres victimes...

    [8] Voir : http://www.dailymotion.com/video/xrthu7_vincent-peillon-la-franc-maconnerie_news?start=57

     

    Politique Magazine

  • Savoir mentir avec sang-froid, par Laurent Fabius

     

    Le 4 février 2014, le ministre des Affaires étrangères était interrogé sur le dernier rapport du Massachusetts Institute of Technology (MIT), publié le 16 janvier dernier et qui permet d’affirmer clairement que l’attaque chimique du 21 août 2013 dans la banlieue de Damas n’était pas imputable aux forces de l’armée syrienne, mais bien aux « rebelles » soutenus par la France et ses alliés dans la région (Israël, Arabie Saoudite...).

      

    Sur le rapport du MIT évoqué dans la vidéo : « Syrie : l’attaque à l’arme chimique du 21 août 2013 ne provenait pas de Bachar al-Assad »

    E&R

  • Les prix des carburants devrait augmenter fortement d'ici 2016

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    En raison d'un alourdissement de la fiscalité, le gazole devrait se renchérir de 8,5 centimes le litre, et l'essence de 7,7 centimes, malgré la stabilité attendue des cours du baril de pétrole brut, «sauf événement géopolitique majeur».

     

    Les prix à la pompe devraient sensiblement augmenter au cours des trois prochaines années, a prévenu mercredi l'Union française des produits pétroliers (Ufip), à l'occasion de la présentation de son bilan annuel. Cette majoration s'explique au premier chef par la hausse de la fiscalité sur les produits pétroliers, a indiqué Jean-Louis Schilansky, le président de l'Ufip.

    De manière chiffrée, le gazole devrait ainsi s'apprécier de 8,5 centimes d'euro d'ici 2016. De son côté, le super sans plomb 95 devrait gagner environ 7,7 centimes. À l'arrivée, le montant de ces taxes pourrait s'élever à quelque 4 milliards d'euros. Pour le montant, l'agencement des taxes en question (TVA, taxe carbone, contribution énergie-climat…) n'est pas encore fixé dans ses moindres détails mais des ordres de grandeur sont déjà connus. Par exemple, la hausse de la taxe carbone devrait se concrétiser par une majoration de 4 centimes pour le litre de gazole à l'horizon de 2016.

    Bonne tenue du réseau traditionnel de stations-service

    Ces scénarios interviennent alors que l'année 2013 a été relativement calme sur le front des prix à la pompe. Le baril de brent à Londres est en effet resté stable tout au long de l'année, aux alentours de 110 dollars le baril. Pour cette année, l'Ufip a déjà prévenu qu'elle s'attendait à un nouvel exercice assez calme pour les prix de l'or noir, «sauf événement géopolitique majeur».

    Parmi les éléments nouveaux de l'année écoulée, l'Ufip insiste sur la bonne tenue du réseau traditionnel de stations-service. Celui-ci, pour la première fois depuis de nombreuses années, a grignoté 1% de part de marché au détriment des points de vente de la grande distribution. Ce très léger retournement de tendance s'explique par le fait que les enseignes traditionnelles ont développé un réseau de points stations-service «low cost» capables de rivaliser efficacement avec les grande surface sur le front des prix.

    LE FIGARO - 05 02 14

  • La LDJ appelle ouvertement à la violence : qu’en pense Manuel Valls ?

     

    Gageons qu’il ne réagit pas, même si ces extrémistes violents de la Ligue de Défense Juive proclament « on est des juifs fiers nobles et cruels, on est entraînés, on est équipés »

    Contre-info.com

  • Monsieur le président de la République, supprimez ce timbre à l'effigie d'une Femen !

     

     

    LETTRE OUVERTE - Julie Graziani, porte parole du collectif «Ensemble pour le bien commun» demande à François Hollande de ne plus tolérer le scandale que représente l'existence d'un timbre à l'effigie d'Inna Shevchenko, la fondatrice des Femen. A lire aussi: «Je suis la cocue de François Hollande»


     

    Monsieur le Président,

    Près de 125 000 personnes ont signé en quelques jours la supplique au Pape que nous avions mise en ligne à l'occasion de votre visite du 24 janvier 2014 au Vatican. Cette supplique avait pour objet de faire part au Pape François du profond malaise et de l'inquiétude grandissante de beaucoup de catholiques de France face à la promotion par votre gouvernement de ce qu'ils jugent être des atteintes majeures à la dignité humaine, et face aux attaques dont ils sont l'objet.

    Le grand succès rencontré par cette supplique, qui n'était soutenue par aucun parti politique, aucune organisation, aucun leader, mais qui émanait simplement de quelques amis chrétiens inquiets de la situation en France, est la preuve que ce malaise est réel et partagé.

    Nous y dénoncions en particulier les actes de profanations perpétrés par les Femen dans la cathédrale Notre-Dame de Paris le 12 février 2013 et dans l'église de la Madeleine le 20 décembre 2013, où l'une d'entre elles a été jusqu'à mimer, seins nus, l'avortement du Christ avec un foie de veau. Le 20 décembre 2013, les Femen publiaient sur leur compte Twitter: «NOËL EST ANNULÉ du Vatican à Paris! Sur l'autel de l'église de la Madeleine la Sainte Mère Éloïse a avorté de Jésus.»

    Ces profanations ont profondément heurté des millions de Français dans leur conscience religieuse mais aussi dans leur simple attachement à la France, à ses valeurs et à son patrimoine. À l'issue de votre audience avec le Pape, vous avez assuré que «la France défend partout la liberté religieuse» et précisé que la France «est la patrie de la liberté de conscience, de conviction. Elle défend cette liberté par rapport à tous les actes antireligieux qui peuvent être commis. Ça vaut pour toutes les religions, nous avons la même détermination contre tous les actes, sans distinction».

    « Ces profanations ont profondément heurté des millions de Français dans leur conscience religieuse mais aussi dans leur simple attachement à la France, à ses valeurs et à son patrimoine. »

    Lors de votre conférence de presse du 14 janvier 2014, vous aviez dénoncé, sans les citer, les actions des Femen en indiquant: «Il y a des actes antichrétiens avec des personnes qui pensent qu'on peut s'exhiber dans une église et faire des gestes qui touchent profondément les consciences des croyants. Aucun de ces actes ne peut être accepté.»

    Nous espérons que vos déclarations seront vérifiées dans les actes et que de réelles poursuites seront engagées par votre gouvernement contre toute nouvelle agression contre le christianisme et les lieux de culte.

    Afin d'apporter aux millions de Français qui ont été choqués par ces profanations la preuve de la sincérité de votre engagement, nous vous demandons solennellement de faire retirer le timbre dit «Marianne de la Jeunesse», que vous avez personnellement choisi puis dévoilé à l'Élysée le jour de la fête nationale et qui, de l'aveu même de l'un de ses auteurs, Olivier Ciappa, a pour modèle Inna Shevchenko, la fondatrice des Femen.

    Dans une tribune intitulée «Pourquoi j'ai choisi une Femen pour Marianne» publiée le 15 juillet dernier sur le Huffington Post, Olivier Ciappa indiquait: «Le dessin que j'ai fait met en scène une Marianne arborant les traits de la leader des Femen, Inna Shevchenko. (…) J'ai choisi Inna Shevchenko comme modèle, après des jours et des jours d'essais et de recherches. Elle incarne le mieux les valeurs de la République, liberté, égalité, fraternité. (…) Et la Marianne, au temps de la Révolution, était seins nus, alors pourquoi pas rendre hommage à cette fabuleuse Femen?».

    « Il est impensable que la leader de ce mouvement violent, extrémiste, antireligieux, qui appelle maintenant au terrorisme, incarne plus longtemps d'une manière ou d'une autre la République française et ses valeurs. »

    Dans le même temps, les Femen publiaient sur leur compte Twitter: «FEMEN est fière d'être devenu un symbole officiel de la France! LIBERTÉ ÉGALITÉ FEMEN #14Juillet.» Dès lors, il est impensable que la leader de ce mouvement violent, extrémiste, antireligieux, qui appelle maintenant au terrorisme, incarne plus longtemps d'une manière ou d'une autre la République française et ses valeurs.

    Doit-on vous rappeler qu'Inna Shevchenko a elle-même participé à plusieurs profanations et provocations contre les religions? Sur son compte Twitter personnel, Inna Shevchenko indiquait le 15 juillet 2013, cinquième jour du ramadan: «What can be more stupid then (sic) Ramadan? What can be more uglier (sic) then (sic) this religion?#Ramadan.» Inna Shevchenko a ensuite supprimé ce tweet scandaleusement islamophobe. Les Femen indiquent cependant sur leur compte que «ce tweet a été supprimé par erreur, Inna l'a déjà dit! FEMEN assume ce tweet, évidemment. FEMEN ne regrette jamais.»

    Elle est aussi l'une des profanatrices de la cathédrale Notre-Dame durant laquelle des dégradations ont été faites sur les nouvelles cloches qui étaient exposées et au cours desquelles elle hurlait seins nus «Pope no more!». Cette affaire revient le 19 février 2014 devant le tribunal correctionnel de Paris, où Inna Shevchenko sera jugée avec d'autres Femen.

    Le 20 décembre dernier, sur le parvis de la basilique Saint-Pierre de Rome, Inna Shevchenko a crié seins nus «Noël est annulé» pour signifier que le Christ venait d'être avorté en l'église de la Madeleine.

    Le 1er janvier 2014, les Femen publiaient sur leur compte Twitter: «Terrorism will start soon… Le terrorisme version FEMEN va bientôt commencer… Tic, tac, tic, tac…»

    Faisant référence une action conduite à Kiev durant laquelle elle avait tronçonné en plein centre-ville, place de l'Indépendance, une croix hautement symbolique, Inna Shevchenko déclare dans une vidéo récemment sur Internet: «Si à un moment, je dois échanger ma tronçonneuse pour un pistolet, je le ferai».

    Au regard de la gravité des faits, et en votre qualité de chef de l'Etat, vous ne pouvez cautionner plus longtemps cette situation qui heurte une grande partie de la population française.

    Nous vous demandons donc de prendre les mesures qui s'imposent en faisant retirer les timbres à l'effigie d'Inna Shevchenko émis par la Poste et de manière générale supprimer la représentation de celle-ci de tout document officiel.

    LE FIGARO

  • Théorie du genre à l’école : encore une preuve

     

    « L’ABCD de l’égalité » est une « expérimentation pour lutter contre les stéréotypes filles-garçons à l’école ». Ce dispositif, élaboré par le ministère de l’Éducation nationale et le ministère des Droits des femmes, est « expérimenté de la grande section de maternelle au CM2 depuis la Toussaint dans 600 classes de 275 écoles dans 10 académies ».
    Alors que le gouvernement ment en disant que la théorie du genre ne débarque pas à l’école, écoutons ce qu’en dit une psychologue impliquée dans ce projet. Attention, c’est du pur charabia de psychologue moderniste et désaxé.

    Contre-info.com

  • Chaque mois, Arno Klarsfeld reçoit 7 000 € du Conseil d’État… mais y « met rarement les pieds » !

     

    Arno Klarsfeld est accusé par le mensuel Capital de février de « (mettre) rarement les pieds » au Conseil d’État (où il a été recasé par Nicolas Sarkozy fin 2010) « tout en percevant quelque 7 000 euros par mois ».

    On a bien là une figure emblématique de la caste politico-médiatique qui occupe la France, et la ruine.

    Source NDF

    Contre-info.com

  • 5 février 1917 : mort d’Edouard Drumont,

     

    journaliste, écrivain et homme politique.

    Presque aveugle, Edouard Drumont décède peu avant 20h dans sa résidence de Moret-sur-Loing, près de Fontainebleau, à l’âge de 72 ans.

    Outre de nombreux ouvrages consacrés à Paris, ce brillant pamphlétaire est l’auteur d’une description de la société française au XIXe siècle : le « best-seller » La France juive, « livre magique » pour Georges Bernanos qui lui consacrera un ouvrage fameux, La Grande Peur des bien-pensants (disponible ici).
    Drumont fonda en 1892 et dirigea le journal La libre parole et fut un leader du camp nationaliste et antidreyfusard.


    Après avoir connu succès et notoriété, Drumont finira ses jours seul et démuni, alors que la France est toute tournée vers la ligne de front avec l’Allemagne.

    Drumont élu député

    Charles Maurras, dans son Dictionnaire politique et critique, dit que « la formule nationaliste est ainsi née presque tout entière de lui ; et Daudet, Barrès, nous tous, avons commencé notre ouvrage dans sa lumière. » Plus loin, Maurras ajoute : « Chroniqueur merveilleux, historien voyant et prophète, cet esprit original et libre s’échappait aussi à lui-même. Il ne vit point tout son succès. »
    Léon Daudet (dont le père Alphonse était un ami de Drumont) rendra un puissant hommage à l’écrivain dans son livret Edouard Drumont ou le sens de la race.

    Ecrits de Drumont et autour de lui ici.

    Contre-info.com

  • Taubira limoge le procureur général de Paris, François Falletti

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    Limogeage politique. Le procureur général près la Cour d’appel de Paris sera remercié par Christiane Taubira.

    La rumeur courait avec insistance ce mardi, place Vendôme selon laquelle François Falletti, procureur général près la Cour d’appel de Paris, nommé sous la présidence de Nicolas Sarkozy, serait contraint de quitter son poste. Christiane Taubira n’en est pas à son premier coup d’essai. La ministre qui figure parmi les plus sectaires du gouvernement vient de faire une nouvelle victime : François Falletti.

    Considéré par ses pairs comme un magistrat de grande qualité, François Falletti a gravi tous les échelons de la magistrature. Il a occupé notamment entre 1993 et 1996 les fonctions hautement sensibles de « directeur des affaires criminelles et des grâces ». Ensuite il a été nommé procureur général près la Cour d’appel de Lyon avant d’être promu patron d’Eurojust.

    Quelques mois après l’élection de François Hollande, la Chancellerie avait demandé avec insistance à François Falletti de renoncer à son poste. Ce qu’il a toujours refusé. Si les informations sur le départ de Falletti se confirmaient, ce dernier aurait de grandes chances de rejoindre la Cour de Cassation comme avocat général. Reste une question : peut-il s’opposer à la décision de Christiane Taubira ? C’est vraisemblable, un précédent a déjà eu lieu lorsque Rachida Dati avait mis fin aux fonctions du procureur général près la Cour d’appel de Riom, Marc Robert. Ce dernier avait été finalement réintégré dans son poste.

    VALEURS ACTUELLES  04 02 14

  • La fantastique puissance de l'océan

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    La résidence "Le signal" à Soulac, à la pointe du Médoc, menacée par l'érosion de la plage © Photo Theillet Laurent

    http://www.sudouest.fr/2014/01/23/soulac-33-evacuation-imminente-des-habitants-de-l-immeuble-le-signal-menace-par-l-ocean-1438820-3193.php

    http://www.sudouest.fr/2014/01/10/le-signal-a-soulac-33-en-1967-la-residence-etait-a-200-m-du-front-de-mer-1425296-2964.php

  • Famille : débâcle du pouvoir

     

    Famille : débâcle du pouvoir. - Mais pourquoi donc un tel recul ?

    Mais pourquoi donc un tel recul ?



    Raoul Fougax
    le 04/02/2014
    Noël Mamère pour une fois a raison. L’abandon dans l’immédiat de la loi sur la famille est une « trahison » pour certains des électeurs de gauche. Mélenchon reste lui le maître de la formule qui tue. «  La gauche a été trompée et répudiée. » Joli petit clin d’œil à l’ex-première concubine du monarque normal.

    Plus que jamais pour une partie de la gauche, l’apostrophe «  famille je vous hais » est d’actualité. Il s’agit bien sûr dans l’esprit de Gide, de la famille traditionnelle et hétérosexuelle. Cette famille bien vivante a fait reculer le pouvoir socialiste, c’est une évidence, mais qui mérite une explication.

    A première vue, c’est assez incompréhensible. La manifestation a été diabolisée par Manuel Valls qui a menacé et fait l’amalgame avec le «  jour de colère ». Le gouvernement était «  droit dans ses bottes ». En fait la manifestation pour la famille s’est déroulée dans le calme sans incidents.

    Une vague de fond et un succès sur la forme.

    Cela a coupé au ministre de l’intérieur l’herbe sous le pied. Ces manifestants n’avaient presque rien à voir avec la foule du jour de colère plus « black blanc beur », anti sioniste et parfois anti-sémite, dans la lignée des admirateurs de la quenelle de Dieudonné. Mais l’important dans cette approche, c’est le presque. Car dans cette double contestation ethnique et éthique, il y a un point commun. Le refus du changement de civilisation aussi bien  pour les fachos que pour les musulmans, les catholiques et même certains juifs. 

     
    Où l'homosexuel est-il mal vu à l’égal parfois du juif ? Dans les quartiers immigrés bien sûr. Sur le plan électoral, cela devient très dangereux au-delà des risques de dérapages dans la rue. On rejoint parfaitement une précédente analyse sur le risque de «  quenelle municipale ». En effet le pouvoir recule par peur de la sanction dans les urnes  des dérives sociétales. Une sanction qui s’ajouterait au vote FN, celui des catholiques puis celui des immigrés musulmans et même de juifs traditionnels. Il y a en France un nouveau «  front du refus ». Et si Valls est prêt à casser du facho, il est bien sûr tétanisé devant l’homophobie des banlieues où résidait, croyait la gauche, son électorat de substitution.

    La famille traditionnelle française soutenue et provisoirement sauvée par le poids du vote immigrés, c’est un facteur à prendre en compte et cette singulière convergence explique la haine du système à l’égard du discours atypique d’un Alain Soral qui veut, comme Dieudonné, fédérer les marginalisés du système. L’Ump n’a rien compris  à ce qui se passait et rate le train bourré d’électeurs. A dire vraie, il en est de même pour Marine Le Pen et l’appareil du Fn contrairement à Marion maréchal Le Pen.

    Manuel Valls, lui, en a trop fait. Il a voulu, par ambition personnelle, occuper le terrain et aussi incarner le président, le premier ministre et le gouvernement à lui tout seul. Il est donc le perdant de cette reculade. On ne parle même plus de Taubira qui s’en sort bien. Il est aussi jugé comme dangereux maintenant et comme « dégonflé » par une partie de ses amis. Sa tentative de regagner les électeurs de gauche le trouvant maintenant trop sécuritaire  vis a vis des immigrés a échoué.

    Car celui qui expulse parait-il les Roms et qui recule devant les catholiques aura du mal, avec ses mauvais chiffres sur la sécurité et les expulsions, à se positionner comme le défenseur intransigeant des valeurs de toutes les gauches de la république. Les homosexuels et autres lesbiennes trépignent de rage et agitent leurs lobbys. Les écologistes s’enfoncent dans une ère de plus en plus glaciaire vis à vis du Ps, la gauche du parti grogne et la gauche de la gauche appelle à la sanction contre la trahison.

    Il y a du divorce pour tous dans l’air.
     
    METAMAG
  • Le 8 février, manifestation nationale pour la dissolution du groupuscule FEMEN

     

    manifestation-8-fevrier

    Bernard Antony, président de l’AGRIF, appelle à manifester samedi à 15h aux Invalides pour demander la dissolution des Femen. Il dénonce les méthodes de Manuel Valls :

    « Il faut bien comprendre la cynique et odieuse manipulation dialectique de M Valls et de la gauche. Le gouvernement est aux abois. Sa politique économique et sociale est un échec. La menace catastrophique se précise. Pressentant qu’ils ne resteraient sans doute pas longtemps au pouvoir, les ministres les plus idéologues de la déconstruction nihiliste de la personne humaine et de la société s’empressent d’imposer au pays des lois et mesures qu’ils espèrent irréversibles.

    Sous le vieux prétexte révolutionnaire d’émancipation de l’individu, tout doit être mis en œuvre pour le déraciner et le rendre en toutes choses dépendant de la collectivité, donc de l‘État. Et d’abord par la planification du « laisser naître » et donc des avortements, du « laisser mourir » et donc des euthanasies.

    À la pointe de la poursuite ultime de l’utopie socialiste dans la plénitude génocidaire de la famille, de la société, de la patrie, de l’humain, à la pointe de cette utopie égalitariste et broyeuse de toutes les réalités dans l’égalité de la mort sont les ministres Christiane Taubira, Najat Vallaud-Belkacem et Vincent Peillon, tandis que le ténébreux Manuel Valls se veut l’éradicateur de toutes les résistances du Vrai, du Beau, du bien, de l’homme réel, de la vérité et de la liberté.

    Il s’agit, comme dans les totalitarismes du nazisme, du communisme, comme dans toutes les vieilles utopies socialistes de tout soumettre à l’État dévoreur et d’abord le sort et l’éducation des enfants. Pour cela, il faut briser la famille, il faut selon l’expression des grands ancêtres rousseauistes, jacobins et marxistes, nazis, faire de l’école « une machine à régénérer l’espèce humaine ». Il faut que l’homme et non le Dieu créateur décide de la vie… et surtout de la mort.

    Pour briser les résistances, tout est bon et notamment les plus vieilles et grossières ficelles de l’amalgame, des provocations suscitées, des manipulations dialectiques.

    La manœuvre stratégique tient en quelques mots aussi brefs qu’une répudiation prononcée par François Hollande : marteler que sont d’extrême-droite, que sont fascistes, racistes, antisémites (etc, etc…) les réactions de santé sociale et de liberté, des personnes, des familles, du pays réel, du pays libre.

    Pour cela bien sûr, le ministère de l’Intérieur et les officines de propagande médiatique disposent toujours de quelques groupuscules d’extrémistes, d’imbéciles antisémites, de crétins racistes, bien utiles pour la manipulation dialectique. Mais surtout, au besoin, et autant qu’il le faut, on en sécrète, on en forme, on en invente.

    L’AGRIF lutte contre le racisme anti-français (que les Français soient blancs, jaunes, ou noirs, arabes ou juifs). Elle lutte particulièrement contre le racisme qui n’a cessé de croître, encouragé par les idéologues et les médias de la gauche : le racisme de haine anti-chrétienne. Mais aujourd’hui elle se bat contre le déni d’humanité, le déni véritable de la dignité humaine que diffusent les idéologues et leurs propagandistes. Elle lutte contre le racisme anti-humain du nihilisme socialiste. Les Femen en sont une sorte de section d’assaut, jusqu’ici encouragée, financée, protégée.

    Et cela demeure. Même si au gouvernement on est bien obligé de désavouer leurs excès de forcenées, ce que Manuel Valls a appelé en des mots révélateurs « des provocations inutiles » (sic !). Mais on se garde bien de procéder à leur dissolution. Car elles sont comme la quintessence activiste et idéologique de la stratégie de haine anti-chrétienne du pouvoir, et des relais médiatiques de toute la gauche socialo-communiste et pseudo-écologique avec Caroline Fourest et Fiammetta Venner pour locomotives.

    Sans doute, la plupart, hallucinées, conditionnées, manipulées, sont-elles à plaindre. L’AGRIF les combat avec force mais sans haine. La dissolution de leur groupuscule les libèrera peut-être. C’est une exigence de paix civile et de respect pour les chrétiens et tous les Français attachés au respect de leurs compatriotes et des monuments du culte catholique.

    Après des dizaines de milliers de signatures des pétitions qui l’exigent seule une immense manifestation l’imposera. On y démontera le mécanisme de la corruption de la République en « république femhaine ». Paisiblement mais vigoureusement et joyeusement. »

    ALTERMEDIA

  • Amendement introduisant la théorie du genre à l'école élémentaire

    « Cet amendement a pour objet l’intégration dans la formation dispensée dans les écoles élémentaires d’une éducation à l’égalité entre les femmes et les hommes et à la déconstruction des stéréotypes sexués. Il s’agit de substituer à des catégories telles que le « sexe » ou la « différence sexuelle », qui renvoient à la biologie, le concept de « genre », qui montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et socialement reproduites ».

    Source: Le Salon Beige

    ALTERMEDIA

     

  • Famille: la reculade du gouvernement


    Manuel Valls : "Le gouvernement s'opposera à... par rtl-fr

    Par Isabelle Ficek | 03/02 | 17:03 | mis à jour le 04/02 à 08:49  

       

    L’exécutif a exclu lundi tout amendement parlementaire introduisant la PMA. Il a ensuite annoncé que le projet de loi ne serait pas examiné cette année. « Nous ne repoussons aucunement le projet de loi à l’aune de la manifestation », mais parce qu’il n’était « pas prêt », a assuré Najat Vallaud-Belkacem mardi matin.

     

    « Que les choses soient claires: nous ne repoussons aucunement le projet de loi à l’aune de la manifestation. Nous repoussons l’examen de ce projet de loi parce que de fait, il n’est pas prêt », a dit mardi matin mardi la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem.

    « L’hystérisation autour de ce projet de loi, notamment du fait de la Manif pour tous qui s’est appuyée sur des fantasmes, des peurs imaginaires pour hystériser le débat, est préoccupante et problématique et nous ne voulons pas que ce projet de loi prospère dans ce type de conditions. Nous voulons au contraire qu’il soit discuté dans la sérénité, dans la concertation », a-t-elle poursuivi, sur France 2.

    « Ce projet de loi famille sera bien examiné, il sera examiné sur les sujets dont nous avons toujours dit qu’ils en seraient la composante essentielle », a-t-elle ajouté, en citant « l’adoption », les « tiers et en particulier les beaux-parents », « la protection de l’enfance », des thèmes qui « méritent quand même autre chose que la série de fantasmes à laquelle nous avons eu droit ce dimanche », selon Mme Vallaud-Belkacem.

    Cela ressemble pourtant à un enterrement de première classe. Même si, au sein de l’exécutif, on s’efforce d’en banaliser l’annonce officielle. Et on tente, non sans quelques circonvolutions, de ne pas lier ces funérailles à la mobilisation obtenue dimanche par la Manif pour tous contre ce qu’elle a appelé la « familiphobie » du gouvernement.

    En fin d’après-midi lundi, Matignon a fini par annoncer que le projet de loi sur la famille , qui devait être présenté en Conseil des ministres en avril, ne serait finalement pas examiné en 2014. Officiellement en raison des « travaux préparatoires qui doivent se poursuivre » et d’un « calendrier parlementaire déjà dense ».

    Sans aucun doute, aussi, pour repousser aux calendes grecques – et en tout cas après les municipales, les européennes et les sénatoriales – des débats qui non seulement divisent les Français mais également la majorité.

    Lundi matin déjà, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, avait assuré sur RTL que le gouvernement s’opposerait à des amendements parlementaires à la loi famille sur la GPA (gestation pour autrui). Une légalisation à laquelle François Hollande avait déjà fermé la porte mais qui demeure une crainte pour la Manif pour tous.

    Il avait aussi affirmé que le gouvernement refuserait tout amendement sur la PMA (procréation médicalement assistée). Un refus qui n’avait jamais été énoncé aussi clairement, même si, relève un ministre, « François Hollande n’a jamais été très fan de ces sujets et a même eu le sentiment pendant la campagne d’avoir été piégé par une partie du PS ».

    « La PMA était déjà morte »

    Si Jean-Marc Ayrault avait écrit sur Twitter en janvier 2013, que « la PMA mérite un débat en tant que tel, c’est pourquoi elle figurera dans le projet de loi famille », François Hollande s’en était ensuite remis à l’avis du Comité consultatif national d’éthique, sans cesse reporté. « La PMA était déjà morte, la différence, c’est qu’on le dit », abonde un député PS.

    Ce refus de tout amendement introduisant la PMA a provoqué le mécontentement du président du groupe PS à l’Assemblée Bruno Le Roux, très engagé sur ce dossier. « Il en avait même fait un élément de son autorité sur le groupe », observe un député socialiste. Bruno Le Roux misait, comme une partie des parlementaires PS, sur le projet de loi famille pour porter la PMA.

    « Je ne renonce à aucune ouverture de nouveaux droits aujourd’hui dans notre pays », a-t-il lâché lundi matin sur Radio Classique. Avant de voir Matignon confirmer les propos de Manuel Valls et remiser le projet de loi famille tout en assurant « poursuivre les travaux ».

    Un report qui crée de nouvelles tensions à gauche et dans une majorité qui a déjà dû avaler le pacte de responsabilité. « Le vrai débat de fond sur la PMA, il faudra bien un jour que nous l’ayons dans la majorité », estime un député PS. « Ce renoncement est consternant », a tonné la secrétaire nationale des Verts, Emmanuelle Cosse. Quant au leader du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon, il a appelé à des « élections punition », déplorant une « gauche trompée » par ce report.

    La présidente de la Manif pour tous, Ludivine de la Rochère, s’est en revanche empressée d’y voir « une victoire ». Et la droite, embarrassée par le mouvement, a retrouvé lundi de l’oxygène. « Le gouvernement est passé du cafouillage à la panique ! » s’est réjoui le patron des députés UMP à l’Assemblée Christian Jacob.

    VIDEO - Manuel Valls sur RTL : « Le gouvernement s'opposera à d'éventuels amendements visant à légaliser PMA et GPA »

    Les Echos.fr