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En plus des investissements privés que cet argent va attirer, le programme promet de grandes avancées, découvertes et premières mondiales… Lire la suite en anglais.
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En plus des investissements privés que cet argent va attirer, le programme promet de grandes avancées, découvertes et premières mondiales… Lire la suite en anglais.
Sélection de la rédaction à lire sur leparisien.fr
Posté le 6 février 2014 à 21h46
Communiqué de l'Agrif :
" Pour des raisons absolument pas crédibles, la préfecture de police de Paris est revenue sur l’attribution de l’esplanade des Invalides pour notre manifestation. Elle nous a fait d’autres propositions totalement inacceptables pour des raisons évidentes. Elle nous a finalement accordé la place Vauban avec promesse d’un élargissement d’horaires permettant à partir de 18h une dispersion qu’elle s’engage à pouvoir se faire sans difficulté. L’Agrif appelle donc tous les manifestants à se rassembler devant sa tribune dès 14h 45 ce samedi 8 février, place Vauban."
Ce sera une manifestation statique ponctuée de discours.
Concernant la demande de retrait du timbre FEMEN, vous pouvez rejoindre la page Facebook dédiée.
Le Salon Beige
Sous le soleil de l'Ile Maurice, c'est là que Valérie Trierweiler, l'ex-première dame, a choisi de passer quelques jours de vacances pour effacer ses bleus à l'âme, selon le dernier numéro de Closer, dans les kiosques ce vendredi 7 février. <btn_noimpr>
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Selon nos informations, Valérie Trierweiler se détend à la plage avec Valérie de Senneville, journaliste et épouse de Michel Sapin, le ministre du Travail et de l'Emploi, et Saïda Jawad, actrice et compagne de Gérard Jugnot.
Les trois femmes ont loué «un bungalow privatif dans un hôtel de luxe de l'île Maurice», décrit Elodie Mandel, journaliste à Closer, dans un extrait publié sur le site internet du magazine people.
L'ex-compagne de François Hollande est décrite dans les colonnes du magazine «déambulant sur la plage en maillot de bain deux pièces à l’imprimé fleuri».
De quoi atténuer sans doute les blessures ouvertes lorsqu'a éclaté «l'affaire Gayet - Hollande». Vendredi 10 janvier, Closer publiait des photos et un article sans équivoque qui révélaient au grand jour la liaison du président de la République avec l'actrice Julie Gayet.
Samedi 25 janvier, François Hollande officialisait par une déclaration par téléphone à l'Agence France Presse (AFP) sa rupture avec Valérie Trierweiler. «Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler», a-t-il annoncé, en s'exprimant à titre personnel.
Depuis, tous les attributs symboliques de la «première dame» — une simple appellation qui ne recouvre aucun statut officiel en France —, ont disparu : compte Twitter officiel et rubrique sur le site internet de l'Elysée. Et, selon Closer, le dernier d'entre eux s'est envolé cette semaine : il n'y a plus de voiture blanche banalisée de la police garée en bas de l'appartement de Valérie Trierweiler, rue Cauchy, dans le XVe arrondissement parisien…
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Publié le 6 février 2014 à 16h48Mis à jour le 6 février 2014 à 17h03
SONDAGE - Seulement un Français sur cinq fait confiance au chef de l’État pour "résoudre" les problèmes du pays. C'est une première.
L’INFO. L’annonce de son "pacte de responsabilité" n’a apparemment pas convaincu les Français. Selon le baromètre TNS SofresSOPRA Group pour Le Figaro Magazine publié jeudi, seulement 19% d’entre eux font en effet confiance à François Hollande pour "résoudre" les problèmes du pays. Une perte de trois points par rapport au mois dernier qui entraîne le président à son plus bas niveau dans ce baromètre.
"Difficulté du couple exécutif à convaincre les Français". Plus inquiétant pour François Hollande, la perte de confiance est particulièrement nette chez les sympathisants socialistes, qui sont désormais moins de la moitié (49%) à lui faire confiance, en recul de sept points. "Il s'agit du niveau le plus bas enregistré par le président depuis son élection", écrit l'institut. "Dans l'histoire de notre baromètre, seul Jacques Chirac a atteint des niveaux plus bas" avec 16% en juillet 2006, après 11 années au pouvoir, précise-t-il. Et comme Jean-Marc Ayrault n’a que 20% de cote de confiance, l’institut estime que "ces faibles niveaux continuent (...) de témoigner de la difficulté du couple exécutif à convaincre les Français - et même les sympathisants de gauche -, de l'efficacité de leur action, à quelques mois d'échéances municipales qui pourraient s'avérer délicates pour le Parti socialiste".
Europe 1
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L’avenir se complique pour François Pérol. Le président de BPCE, groupe bancaire issu de la fusion des Caisses d’Epargne et des Banques Populaires, a finalement été mis en examen jeudi pour prise illégale d’intérêts, à l’issue de son audition jeudi par un juge d’instruction. En dépit de cette mise en examen, rien ne contraint, a priori, François Pérol à démissionner.
Le président a dû s’expliquer sur les conditions de sa nomination à la tête du groupe bancaire. Il devait également détailler son rôle dans le rapprochement des deux banques, alors qu’il était secrétaire général adjoint de l’Elysée, sous Nicolas Sarkozy. Les syndicats CGT et Sud, dont la plainte a déclenché l’affaire, estiment que le fait pour le dirigeant d’avoir pris en 2009 la direction de la future BPCE constitue une prise illégale d’intérêts. Par ailleurs, la loi interdit aux fonctionnaires d’être embauchés par des entreprises sur lesquelles ils exercent une autorité directe.
Le parquet de Paris avait dans un premier temps classé les plaintes sans suite, estimant que le rôle de François Pérol avait été d’informer le président de la République et que le secrétaire général de l’Elysée « n’était pas une autorité publique compétente pour intervenir dans le dossier ».
Mais les syndicats s’étaient alors portés parties civiles et après une nouvelle bataille judiciaire, portée devant la Cour de cassation, l’enquête avait été de nouveau confiée au juge du pôle financier Roger Le Loire. La prise illégale d’intérêts est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 500.000 euros d’amende.
A lire aussi :
Vu sur le site du mouvement :
« Dans la
nuit de mardi à mercredi, les militantes parisiennes du Renouveau Français ont joué l’acte III de l’opposition « Françaises VS Femen ». Ce troisième acte dévoile, comme il se doit, le nœud de l’intrigue.
Après une enquête assidue, nos militantes ont découvert des éléments pertinents dissimulés par les médias, dont le rôle joué par Julien Boucher, maire PS du XVIIème arrondissement, dans l’hébergement des Femen.
C’est un véritable scandale qui éclate : celui-ci leur offre gracieusement un gîte, dans un « squat » que les activistes voudraient tenir secret !
Nous avons donc, sans trop de peine, su exploiter cette piste pour en apprendre davantage. En effet, Julien Boucher est déjà connu des tribunaux pour un jeu trouble de sous-locations illégales et de demandes de subventions suspectes. Il n’en est donc pas à son coup d’essai en hébergeant ces jeunes femmes sous la bienveillance de la mairie de Paris, et l’œil sans doute approbateur de son collègue et ami Bertrand Delanoë.
Faudrait-il donc que la corruption généralisée soit passée sous silence ?
Le Renouveau Français dit NON. Nous avons donc trouvé sans peine au 4 rue du port, à Clichy, le nouveau pied-à-terre des hystériques. Nous nous sommes empressés de leur faire l’honneur d’une visite.
Nous avons eu la courtoisie de les aider à rendre plus visible ce nouveau local au moyen d’une banderole « FEMEN MILICE, PS COMPLICE ». Nous avons également agrémenté la devanture du « squat des effrontés », 35 rue Maurice Ripoche dans le XIVème, lieu de réunion LGBT régulièrement fréquenté et sollicité par les Femen, de quelques messages laissés à leur intention sur le bitume : « FEMEN, PAYE TON LOYER », « FEMMES MAIS PAS FEM’HAINE » et un ironique « LA REVOLUTION OUI, MAIS SUBVENTIONEE ».
Donner un local aux FEMEN, aux frais du contribuable, c’est se rendre complice des profanations qu’elles opèrent et qu’elles ne manqueront pas de réitérer.
Rejoignez-nous derrière notre banderole samedi, lors de la manifestation pour la dissolution de ce groupuscule, organisée par l’Agrif. Montrons à nos gouvernants que nous ne sommes pas dupes. Ils vont maintenant devoir répondre de ce soutien inconditionnel offert à une milice enragée d’anti-chrétiennes primaires.
(Vidéo à suivre) »
Contre-info.com
Dans Notre Avant-Guerre, Robert Brasillach avait écrit :
"Pour nous, nous n'avons pas à renier le 6 février. Chaque année nous allons porter des violettes place de la Concorde, devant cette fontaine devenue cénotaphe, en souvenir des vingt-deux morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seuls les révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais si le 6 fut un mauvais complot, ce fut une nuit de sacrifices, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d'une Révolution nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays. Qu'importe si, plus tard, tout a été exploité, par la droite et par la gauche, de ce feu brûlant, de ces morts qui ont été purs. On n'empêchera pas ce qui a été d'avoir été."
Un peu plus tard, le 5 février 1945 au soir précisément, il écrivait le dernier des Poèmes de Fresnes : "Aux morts de février" :
"Les derniers coups de feu continuent de briller
Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres.
Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ?
Je pense à vous ce soir, ô morts de février".
Dans la nuit du 30 au 31 janvier 1945, le "Wilhem Gustloff" est torpillé en
mer Baltique par un sous‑marin soviétique. A son bord, plus de 10.000
personnes – dont 4.000 enfants et adolescents – essentiellement des réfugiés
de Prusse orientale fuyant l’Armée rouge. On ne dénombrera que 1.000
survivants. Il s’agit de la plus grande catastrophe maritime de tous les
temps.
En hommage à tous les animaux victimes de la méchanceté humaine
Merci à tania pour cette vidéo
LE BATEAU IVRE
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
(1871)
Chers amis, merci infiniment pour votre soutien qui m’a permis de trouver la force nécessaire pour tenir ce jeûne pendant 8 jours. Je vous en suis infiniment reconnaissante.
Je tiens aussi à remercier tout particulièrement Josiane, ma “co-jeûneuse” avec qui j’ai partagé les bons et les mauvais moments.
Ce jeûne avait avant tout une valeur spirituelle. Je voulais montrer en particulier à nos jeunes qu’on peut leur proposer autre chose que ce que nous impose cette société ultra consumériste et nihiliste.
Je voulais montrer qu’un sacrifice personnel, au service de la France, est possible, chacun à son niveau et avec ses capacités et talents. Aucun sacrifice n’est meilleur qu’un autre. Le mien est simplement plus visible mais rien de plus.
Je voulais, d’abord et avant tout, affirmer ma foi publiquement et avec fierté . Le jeûne et la prière sont les armes les plus puissantes qui soient. Et pourtant ce sont des armes d’une absolue non violence.
Ce jeûne avait également un objectif politique : celui d’obtenir qu’une proposition de loi organique soit déposée à l’Assemblée Nationale, afin que soit rendue possible la saisine de l’article 68 de la Constitution concernant la destitution du Président de la République. Cela a été fait hier et c’est la raison pour laquelle j’ai pu rompre mon jeûne.
Je n’ai aucune illusion depuis le départ et sais bien que les parlementaires ne destitueront pas leur président. La place est trop bonne. En revanche, il sera intéressant d’observer quels sont les députés qui cosigneront cette proposition de loi, en particulier ceux de l’opposition. Nous verrons ainsi ceux qui préfèrent attendre 2017, quitte à laisser notre pays continuer à s’enfoncer dans le chaos, et ceux qui sont prêts à prendre le risque d’élections présidentielles anticipées.
Je suis persuadée que des élections présidentielles anticipées permettraient l’émergence d’une personnalité nouvelle qui aurait pour souci premier le Bien Commun et le redressement de la France, sur tous les plans.
C’est pourquoi je vous engage à saisir votre député et à faire pression sur lui jusqu’à ce qu’il soit cosignataire de la proposition de loi. Pour ce faire vous trouverez une lettre à envoyer par mail à votre député sur le site www.destitution.fr
Bien amicalement à vous tous et encore merci. À très bientôt pour continuer ce magnifique combat pour notre France bien aimée !
Béatrice Bourges
ALTERMEDIA
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