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  • Poutine reconnaît officiellement l'indépendance de la Crimée

    http://www.leparisien.fr/international/ukraine-poutine-reconnait-officiellement-l-independance-de-la-crimee-17-03-2014-3681613.php

    + CARTES

  • Crimée-Serbie : le fait nationaliste

    Crimée-Serbie : le fait nationaliste - La démocratie mondialiste butte sur l’histoire des peuples

    La démocratie mondialiste butte sur l’histoire des peuples



    Jean Bonnevey
    le 17/03/2014
    Poutine est un nationaliste russe qui refuse la normalisation mondialiste. Il défend tous les Russes et indirectement ceux qui se sentent aujourd’hui plus Russe que Bruxellois.

    Le référendum de Crimée illustre en fait la résistance nationaliste des patries de chair et de sang face au mondialisme du fric et au nivellement politique et sociétal. Nombreux sont ceux, dans le monde, qui pensent que la défense de l’héritage d’une culture enracinée et du sang de l’histoire mérite d’être pour le moins aussi respectée que la défense des pulsions sexuelles érigées en valeurs démocratiques supérieures ou la défense des lois du marché.

    « Le nationalisme, c’est la guerre », disait François Mitterrand, certes, mais la démocratie aussi (guerre contre la Serbie – l’Irak – la Libye- guerres idéologique face au refus de la normalisation politique). La Crimée est la réponse légitime au péché originel du Kosovo où les frontières nationales ont été jugées moins importantes que les revendications communautaires. Les Kosovars redevenus albanais et musulmans, ce serait formidable et les Criméens voulant redevenir russe et orthodoxes, épouvantables. … On a  tout compris. 

    Les peuples ont le droit de disposer d’eux-mêmes et les Etats de défendre les frontières acquises par l’histoire. Le mondialisme est une utopie dévastatrice qui débouche sur des désordres mondiaux notamment depuis la fin  de l’Urss. Les soviétiques croyaient avoir détruit le sentiment national. Dans tous les pays de l’est, il est de retour, en Russie plus qu’ailleurs. Il est même de retour dans la Serbie voulant malgré tout se rapprocher de Bruxelles pour des raisons économiques. Mais Bruxelles est un totalitarisme qui  refuse les volontés politiques divergentes de son carcan bureaucratique qui lui sert de patriotisme.

     
    Aleksandar Vučić, nouveau patron élu de la Serbie, est un ancien ultranationaliste reconverti à l’Europe, défenseur à ses heures du chef de guerre Ratko Mladic, mais qui a policé son image, et qui promet désormais de mener des réformes pour lutter contre la corruption et le chômage. Le Premier ministre socialiste Ivica Dacic est présenté comme le grand perdant. On lui prédit trois fois moins de voix que son rival, du jamais vu depuis la chute de Slobodan Milosevic. Les médias s’inquiètent des scores annoncés pour Aleksandar Vucic qui, lorsqu’il était ministre de l’Information sous Milosevic, musela la presse hostile.  Mais c’est aussi un homme à poigne, une qualité appréciée des Serbes, inquiets pour leur avenir économique.

    Deux leçons électorales, Crimée et Serbie, montrent que la carotte économique est forte certes, mais que la motivation nationaliste ne peut être ignorée. C’est en respectant l’identité historique des peuples qui la composent que l’Europe a un avenir de l’Atlantique à l’Oural, certainement pas en  se présentant comme l’exécutrice des basses œuvres du modèle américain à  prétention uniforme et mondiale.

    La Kosovo a permis la Crimée. Le vote serbe vient, dans son pragmatisme sans reniement,  nous le rappeler.

     

    METAMAG
     
  • L'Europe et les Etats-Unis dégainent leurs sanctions contre Moscou

     

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    http://www.leparisien.fr/international/ukraine-les-sanctions-pleuvent-contre-moscou-17-03-2014-3681209.php

  • Mâcon: une vieille dame de 77 ans violée dans un cimetière

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            le 17/03/2014 à 05:00 | Adrien Wagnon Vu 4199 fois        

     

    Jeudi dernier, une dame âgée de 77 ans a été violée par un individu dans le cimetière de Sennecé-lès-Mâcon. Une enquête criminelle est en cours.

                        

    Dimanche après-midi, les habitants de Sennecé-lès-Mâcon, commune déléguée de la ville préfecture, étaient réunis au stade pour assister au match de football de l’équipe locale. À quelques dizaines de mètres, le cimetière du village est vide, tout comme le parking jouxtant cet espace dédié au recueillement.

    Sa famille prévient les forces de l’ordre

    Jeudi dernier, vers 16 heures, une vieille dame âgée de 77 ans a été agressée par un individu alors qu’elle allait fleurir la tombe de son mari décédé. Cet homme l’a ensuite violée à l’intérieur même du cimetière. Après ce sordide fait divers, cette dame est rentrée chez elle, à pied, avant de prévenir sa famille qui s’est chargée d’alerter dans la foulée les forces de l’ordre.

    D’importants moyens déployés

    Cette personne âgée, qui se rendait au cimetière très régulièrement, a ensuite été conduite au centre hospitalier de Mâcon pour effectuer des examens médicaux.

    Très rapidement, les policiers ont déployé des moyens importants pour retrouver l’auteur de ces faits. Une enquête criminelle a été ouverte, ce qu’a confirmé le Parquet de Mâcon au Journal de Saône-et-Loire. Aucune autre information n’a filtré sur les événements de la part des autorités.

    Depuis, les policiers multiplient les rondes dans la commune de Sennecé-lès-Mâcon. Le lendemain du viol, les habitants du lotissement situé à proximité du cimetière, ont été entendus par les policiers, à la recherche de témoignages qui pourraient les guider dans leur enquête.

    Des consignes ont également été données à l’ensemble des unités de police et de gendarmerie du département afin de multiplier les axes de recherches. Le but étant de retrouver au plus vite l’auteur de ces faits.

    Journal de Saône et Loire

  • 1945-2014, de Yalta… à Yalta, par Aymeric Chauprade

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    Yalta

     

     

    16/03/2014 – SÉBASTOPOL (NOVOpress) - Le géopoliticien Aymeric Chauprade, par ailleurs tête de liste Front National aux élections européennes pour l’Île-de-France et les Français de l’étranger, est actuellement en mission d’observation en Crimée. Il s’y déroule ce jour un référendum afin d’acter – ou non – le rattachement à la Fédération de Russie de cette région historiquement russe, “offerte” en 1954 par Nikita Khrouchtchev à la République socialiste soviétique d’Ukraine (RSSU). Il a publié ce jour un texte que nous reproduisons ci-dessous. Source : Realpolitik.tv


    Ces dernières semaines, les États-Unis et les gouvernements européens alignés ont commis le pas de trop au service de leur fantasme unipolaire.

    En renversant, dans l’illégalité et la brutalité, un gouvernement élu démocratiquement à Kiev, avec pour buts stratégiques réels non seulement l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN (et l’éviction donc de l’accès russe aux mers chaudes grâce à la Crimée) mais aussi, à terme, le remplacement de la fourniture russe de gaz aux Européens par du gaz de schiste ukrainien, polonais et américain (il suffira de faire le lobbying nécessaire au Parlement européen pour que le projet de fracturation hydraulique soit entériné), l’Empire est allé trop loin. Car il ne s’agit pas seulement d’un crime maquillé (voir la conversation Ashton/Ministre des affaires étrangères estonien) qui aura vu des snipers pro-Maïdan assassiner leurs propres partisans pour faire porter le chapeau à Ianoukovitch et fournir ainsi une “couverture” humaniste à la position de l’Union européenne ; il s’agit d’une immense faute géopolitique que la Russie ne pouvait pas laisser passer. L’hybris américaine (cette démesure impériale qui frappa les Romains avant eux) dont Victoria Nuland nous fournissait récemment encore un exemple (“Fuck the European Union!“) vient de se heurter violemment à la géopolitique russe.

     

    Après tout, dès l’effondrement de l’URSS, Moscou aurait pu consulter ses populations russes restées prisonnières des frontières soviétiques. Le Kremlin s’est abstenu. Il a assisté assez passivement à l’extension de l’OTAN jusqu’à ses frontières (pays baltes), aux premières tentatives de révolutions colorées des années 2000 (Ukraine, Géorgie), à la tentative de digestion de la Géorgie en 2008, à la volonté de détruire les régimes syrien et iranien jugés trop proches de Moscou et à tant d’autres ingérences, projections et provocations américaines toujours couvertes du prétexte enfantin des Droits de l’homme et de la démocratie. Aujourd’hui la coupe est pleine ! Poutine est peut-être même le plus modéré des Russes sur l’affaire de Crimée. Il tente de calmer l’indignation de son peuple face à tant de mauvaise foi occidentale.

    Le coup d’État de Maïdan, qui a porté au pouvoir plusieurs ministres appartenant à une mouvance ouvertement néo-nazie avec le soutien de Washington et de Bruxelles, au moment même où les gouvernements de l’Union européenne tentent de faire croire à leur population que des partis souverainistes et identitaires seraient un danger pour la démocratie, est la goutte d’eau qui fait déborder le vase.

    Ce référendum en Crimée que j’ai voulu observer parce qu’il est un tournant de l’histoire mondiale, porte incontestablement le signe d’un nouveau monde : un monde multipolaire avec une vraie indépendance européenne, et non cette Union euro-atlantique qui détruit, année après année, nos identités et nos économies.

    La boucle est bouclée. Le vieux monde né de Yalta en février 1945, de l’entente de deux mondialismes, atlantiste et communiste, prend fin… à Yalta en mars 2014 soit presque 70 ans après !

    Après la réunification allemande, la réunification russe ouvre le chemin à l’axe Paris-Berlin-Moscou. Bien sûr, il faudra du temps. Mais la fenêtre vers le ciel bleu de la liberté vient de s’ouvrir.

    J’irai ce soir, dimanche 16 mars 2014, boire un thé à Yalta, au coucher du soleil, avec l’espoir retrouvé que nos enfants verront la grande Europe des nations libres.

    C’est ce nouveau Yalta mondial que les Européens de l’Ouest et du Centre doivent embrasser : il peut nous permettre de faire définitivement la paix avec la Russie et d’édifier avec elle une grande unité européenne, fondée d’abord sur la souveraineté et la liberté de chacune des nations de notre belle civilisation.

    Soit nos dirigeants sont visionnaires et comprennent cela, et alors la livraison par la France, dans quelques semaines, du BPC au nom prémonitoire de Sébastopol (!) prendra justement tout son sens ; soit ils ne comprennent rien, ni à Paris, ni à Berlin, et alors la Russie se tournera vers la Chine pour édifier un ensemble eurasiatique. Ce serait alors une nouvelle bipolarité, donc le péril d’une nouvelle déflagration mondiale.

    J’aurais vécu 45 ans dans ce monde de Yalta I né en 45. J’entre avec espoir et optimisme, aux côtés de tous ceux qui veulent refonder la France et l’Europe, et malgré les risques de tension que je ne minore pas, dans le monde de Yalta II.

    Aymeric Chauprade
    Simferopol, 16 mars 2014

    Crédit photo : argenberg via Flickr (cc)

  • Marseille: des affrontements sur la Canebière devant le commissariat Noailles

    http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2793070/video-des-affrontement-sur-la-canebiere-devant-le-commissariat-noailles.html

    regarder la vidéo en mode plein écran

  • Immigrationnistes: Marine Le Pen les clashe tous en Direct !

    Dans cette vidéo on peut voir que toute la classe politique est en faveur de l’immigration-invasion. À un moment on peut même voir la métèque scandinave expliquer dans son français assez approximatif, qu’il faudrait, par solidarité, accueillir les réfugiés syriens. Elle n’a pas tout à fait tort. Ce sont, pour une fois, de vrais réfugiés et les pays voisins sont submergés. Mais la première des solidarités ne consisterait-elle pas à ne plus financer le terrorisme dit islamique pour que les Syriens puissent redevenir maître chez eux et reconstruire leur pays?

    L’immigration les Français n’en veulent plus. Nous voulons redevenir maîtres chez nous. Pour ça il va falloir virer cette caste de politiciens véreux.

    ALTERMEDIA

  • Crimée: le rattachement à la Russie largement vainqueur

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    93% des habitants se sont prononcés pour le rattachement à la Russie. Alors que le premier ministre séparatiste salue une décision «historique», les États-Unis rejettent ce résultat.

     

    Les Criméens votent massivement en faveur du rattachement à la Russie

    Quelque 93% des électeurs de la république autonome ukrainienne de Crimée se sont exprimés en faveur de l'union à la Russie lors d'un référendum controversé organisé dimanche, selon un sondage sortie des urnes cité par l'agence de presse russe RIA. Les bureaux de vote en Crimée ont fermé à 20 heures (19h à Paris). Selon une autre agence de presse russe, Interfax, le taux de participation au référendum a été supérieur à 80%. 1,5 million d'électeurs de cette république autonome étaient invités à choisir entre l'intégration à la Russie et une autonomie élargie au sein de l'Ukraine. Le résultat du référendum ne laissait guère de doute. À Simféropol, l'annonce lumineuse «Nous sommes en Russie» était déjà projetée sur un bâtiment officiel. Washington «rejette» le référendum qui a eu lieu en Crimée.

    Le blocage des casernes levé jusqu'à vendredi

    Les commandants des forces russes et ceux des forces ukrainiennes dans la péninsule de Crimée se sont mis d'accord pour que les bases ukrainiennes ne soient plus bloquées jusqu'au vendredi 21 mars. Ces bases qui ont jusqu'à présent été bloquées par des forces russes ou pro-russes, et dont l'approvisionnement était devenu difficile, pourront pendant ce temps reconstituer leurs réserves, a ajouté le ministre ukrainien de la Défense par intérim, Igor Tenioukh. C'est le 21 mars que la Douma, la chambre basse du parlement russe, doit voter un projet de loi portant sur le rattachement de la Crimée à la Russie, objet du référendum dimanche dans la péninsule ukrainienne. Le même jour l'Ukraine espère signer avec l'Union européenne le volet politique de leur accord d'association.

    L'UE ne reconnaîtra pas l'issue du scrutin

    L'Union européenne a officiellement condamné dimanche le référendum, le jugeant «illégal et illégitime». À la lumière des derniers développements, les ministres des Affaires étrangères vont «examiner la situation demain à Bruxelles et se prononceront sur des mesures additionnelles conformément à la déclaration des chefs d'État et de gouvernement le 6 mars», indique le communiqué. Les dirigeants européens s'étaient entendus ce jour-là pour appliquer des sanctions ciblées, sous forme de gels d'avoirs et restrictions de visas, si la Russie n'engageait pas rapidement une «désescalade» de la tension. Les ambassadeurs des 28 auprès de l'UE devaient se réunir dimanche en fin d'après-midi pour établir une liste de responsables russes et ukrainiens pro-russes visés par ces sanctions, a-t-on indiqué de source diplomatique.

    Manifestations pro-russes dans l'est de l'Ukraine

    Dans l'est du pays, des manifestations pro-russes ont rassemblé dimanche des milliers de partisans d'un rapprochement avec Moscou à Donetsk, Kharkov et Lougansk. À Kharkov, bravant une interdiction de la justice, quelque deux mille manifestants pro-russes ont déployé un immense drapeau russe. Ils ont aussi accroché sur la statue de Lénine une banderole déclarant «Notre patrie = URSS». Un rassemblement similaire de quelques milliers de personnes scandant «Donetsk-Crimée-Russie» se tenait à la mi-journée à Donetsk. Des manifestants ont pris d'assaut les sièges du parquet et des services spéciaux pratiquement sans rencontrer de résistance de la part des forces de l'ordre. Ils réclament la libération de leur leader, le «gouverneur auto-proclamé Pavlo Goubarev.

    LE FIGARO

  • Ukraine: 3000 manifestants à Kharkov exigent un référendum sur la féderalisation - 16 03 14

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    Près de 3.000 personnes sont descendues dimanche dans la rue à Kharkov (est), exigeant la tenue d'un référendum sur la fédéralisation de l'Ukraine, rapporte l'agence Kryminfo. 

    "Si nous donnons une réponse positive à la question sur la fédéralisation, ceci règlera les conflits interethniques existant en Ukraine", a annoncé Alla Aleksandrovskaïa, une responsable du PC d'Ukraine citée par l'agence. 

    D'après elle, les participants au référendum devront en outre s'exprimer sur le statut du russe et sur le refus de l'Ukraine d'adhérer à l'Otan. 

    Brandissant des drapeaux russes, soviétiques, ukrainiens et du PC d'Ukraine, les manifestants  tiennent des pancartes sur lesquelles est écrit: "Nous sommes contre l'Otan", "Le Sud-Est est pour le référendum", "Notre patrie est l'URSS". 

    Un changement de pouvoir s'est opéré le 22 février à Kiev. La Rada suprême (parlement ukrainien) a démis le président Viktor Ianoukovitch de ses fonctions et réformé la Constitution. Se proclamant toujours président légitime, M.Ianoukovitch a qualifié ces événements de "coup d'Etat". Moscou a aussi mis en doute la légitimité des récentes décisions de la Rada suprême ukrainienne. 

    Plusieurs régions de l'Est et du Sud de l'Ukraine et la république autonome ukrainienne de Crimée ne reconnaissent pas les nouvelles autorités de Kiev. La Crimée a décidé de tenir le 16 mars un référendum sur son futur statut politique. Le parlement de la république autonome s'est prononcé pour le rattachement à la Russie.

    RIA Novosti

  • Japon: arrestation d'un homme soupçonné d'avoir déchiré le Journal d'Anne Frank

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    "Le suspect est un chômeur de 36 ans qui habite à Tokyo", a expliqué la police de la capitale dans un communiqué.

    "Le suspect est prétendument allé dans des bibliothèques de l'arrondissement de Suginami le 5 février et a arraché des pages de livres d'Anne Frank", a-t-elle ajouté.

    Un porte-parole de la police a précisé que le suspect avait reconnu les faits, ajoutant qu'un interrogatoire était en cours pour connaître ses motivations et savoir s'il a abîmé d'autres livres.

    Plus de 300 copies du Journal d'Anne Frank, le journal intime de cette jeune juive tuée pendant l'Holocauste, ont été vandalisés en février dans des bibliothèques de Tokyo.

    Cet incident avait provoqué une vive émotion dans le pays, certains pointant une atmosphère de raidissement nationaliste. La police a lancé de vastes recherches pour retrouver le ou les responsables.

    L'arrondissement de Suginami a lui seul avait comptabilisé 121 exemplaires du livre endommagés, dans 11 de ses 13 bibliothèques publiques.

    L'ambassade d'Israël à Tokyo avait donné 300 exemplaires de l'ouvrage aux bibliothèques de la capitale pour qu'elles remplacent les livres abimés.

    Anne Frank, une jeune fille de confession juive née à Francfort (Allemagne) en 1929, a vécu cachée à partir de 1942 et pendant deux ans avec sa famille à Amsterdam occupée par les nazis, avant d'être découverte. Déportée au camp de Bergen Belsen, elle y est morte en 1945.

    jeanmarcmorandini.com

    Le blog de Jean-Marc Morandini

     

  • Bobards d'Or 2014 : la vidéo complète

    Contre-info.com

  • Quand le chef de l'Etat tutoie Ruth Elkrief la journaliste vedette de BFMTV

    http://www.alterinfo.net/Quand-le-chef-de-l-Etat-tutoie-la-journaliste-vedette-de-BFM-TV_a100593.html

    VIDEO

  • La reconnaissance de la judéité de l’Etat est une erreur (John Kerry) 14/03/2014

      

    La reconnaissance de la judéité de l’Etat est une erreur (John Kerry)



     Le secrétaire d’Etat américain John Kerry a qualifié jeudi d’”erreur” l’insistance du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à faire de la reconnaissance d’Israël comme “Etat juif” par les Palestiniens une condition sine qua non d’un accord de paix.

    “Je pense que c’est une erreur de la part de certaines personnes de soulever ce sujet encore et encore comme le critère essentiel de leur attitude envers la possibilité d’un Etat (palestinien, NDLR) et de la paix, et nous l’avons évidemment exprimé”, a déclaré M. Kerry, sans nommer M. Netanyahu, devant la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants.

    La question de "l’Etat juif" a été réglée en 1947 dans la résolution 181 (de l’ONU sur le partage de la Palestine, NDLR) qui contient 40 ou 30 mentions de l’"Etat juif”, a souligné M. Kerry, évoquant également des déclarations en ce sens du défunt président palestinien Yasser Arafat, de 1988 à 2004.

    Je ne présenterai pas (aux Israéliens) un accord qui ne prévoirait pas l’abolition du droit au retour et une reconnaissance par les Palestiniens de l’Etat du peuple juif”, a prévenu mardi M. Netanyahu.

    Dans un communiqué publié à l’issue d’une réunion autour du président Mahmoud Abbas mercredi, le Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a dénoncé “les tentatives d’arracher une reconnaissance de la judéité de l’Etat d’Israël afin d’effacer d’une phrase l’Histoire et les droits des Palestiniens”.

    M. Netanyahu a fait de cette revendication un élément cardinal d’un accord de paix, assurant que la “racine du conflit” entre les deux peuples est le rejet arabe d’un Etat juif, et non l’occupation des Territoires palestiniens depuis 1967.

    Les dirigeants palestiniens se refusent à ce qu’ils considèrent comme une capitulation sur ce qu’ils ont de plus sacré, le souvenir de la “Nakba” (catastrophe) des 760.000 Palestiniens forcés à l’exil en 1948 lors de la création d’Israël, et leur “droit au retour”.

    Ils rappellent également qu’ils reconnaissent déjà l’Etat d’Israël depuis 1993 et que cette exigence n’a été présentée ni à l’Egypte ni à la Jordanie, les deux pays arabes signataires d’un traité de paix avec Israël.

    http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/la-reconnaissance-de-la-judeite-de-letat-est-une-erreur-john-kerry/id-menu-957.html
     
    ALTER INFO  
     

     

       

  • Gaza : arrêt de l'unique centrale électrique faute de fuel d'Israël 15/03/2014

     

           Gaza : arrêt de l'unique centrale électrique faute de fuel d'Israël



        L'unique centrale de la bande de Gaza a cessé de fonctionner samedi faute d'approvisionnement en fuel en provenance d'Israël, a indiqué le directeur adjoint de l'autorité de l'Energie de Gaza.

    "La centrale a complètement cessé de fonctionner en raison du manque de fuel provoqué par la fermeture du point de passage de Kerem Shalom", a déclaré à l'AFP Fathi al-Sheikh Khalil.


    http://www.lorientlejour.com/article/858943/gaza-arret-de-lunique-centrale-electrique-faute-de-fuel-disrael.html
     
    ALTER INFO
     
    Qui s'en soucie dans le monde ? Que Dieu vienne à l'aide des Palestiniens!