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  • Découvrez les nouveaux visages milanais

    Campagne de sensibilisation pour la construction de la future Grande Mosquée de Milan

  • Roger Heurtebise a contribué à la victoire de Guéret: pas d'abattoir halal

    http://ripostelaique.com/roger-heurtebise-a-contribue-a-la-victoire-de-gueret-pas-dabattoir-halal.html

  • Quand l'extrême-droite patrouille dans le métro lillois

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    Quand l'extrême-droite patrouille dans le métro lillois

    Par LEXPRESS.fr, publié le 18/03/2014 à 14:35

    Des membres du groupe Génération identitaire Flandre, branche jeunesse du Bloc identitaire, font des "tournée de sécurisation" dans les transports en communs pour "chasser la racaille". 

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    Quand l'extrême-droite patrouille dans le métro lillois

    Une trentaine de membres du groupe Génération identitaire Flandre a réalisé vendredi dernier une patrouille dans le métro lillois.

     

    Twitter / Verhassel Aurélien

    Une "tournée de sécurisation" des transports en commun. Une trentaine de membres du groupe Génération identitaire Flandre a réalisé vendredi dernier une patrouille dans le métro lillois. Vêtus de blousons jaunes ou de sweats noirs flockés "Génération anti-racailles", ces militants d'extrême-droite affichent comme objectif de "chasser la racaille" en occupant le terrain.  

    Créée en octobre 2012, cette branche jeunesse du mouvement d'ultra-droite Bloc identitaire (lui-même issu du groupe Unité radicale interdit en 2002), regroupe quelque 300 militants actifs dans la région, rapporte MetroNews.  

    Sans prétendre être "là pour se substituer à la police", le groupuscule assure vouloir rétablir un climat de confiance. "Les vols avec violence ont augmenté de 65 % dans les transports en commun lillois, entre janvier et août 2013. La mairie de Lille et les pouvoirs publics doivent prendre conscience que la sécurité est le premier des droits", estime un adhérent dans MetroNews. D'après La Voix du Nord, les vols avec violence ont en fait augmenté de 65% dans les transports lillois entre janvier et novembre 2012 et janvier et août 2013. 

    "C'est une véritable milice dangereuse qui a investi le métro", dénonce Ali, militant lillois du groupe Action Antifasciste, dans le quotidien. (...) L'objectif est simple et fait froid dans le dos: faire le lien entre immigration et délinquance et chasser les racailles. Une honte", dénonce Mathieu Bayart, porte-parole lillois de l'Union des étudiants communistes.  

    "Jouer avec les peurs"

    D'autres opérations similaires devraient avoir lieu dans les prochains jours dans le métro et le bus lillois. Un cours d'autodéfense devrait également être mis en place. Quant à leur page Facebook - "Lille: pas de porcs dans nos transports" - elle a déjà récolté plus de 1000 likes.  

    Eric Picquet, l'élu en charge des transports à la communauté urbaine de Lille, a demandé aux autorités d'empêcher à l'avenir ces rondes, selon Europe 1. "On n'a pas besoin d'une bande de guignols pour sécuriser le réseau de transport public. (...) Jouer avec les peurs, jouer avec les fantasmes, c'est le métier de l'extrême droite. Donc, l'insécurité c'est eux, avant tout", a-t-il dit au micro de la radio.  


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/quand-l-extreme-droite-patrouille-dans-le-metro-lillois_1501027.html#pUqTLX0jRFmJcDhA.99

    Quand l'extrême-droite patrouille dans le métro lillois

    Par LEXPRESS.fr, publié le 18/03/2014 à 14:35

    Des membres du groupe Génération identitaire Flandre, branche jeunesse du Bloc identitaire, font des "tournée de sécurisation" dans les transports en communs pour "chasser la racaille". 

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    Quand l'extrême-droite patrouille dans le métro lillois

    Une trentaine de membres du groupe Génération identitaire Flandre a réalisé vendredi dernier une patrouille dans le métro lillois.

     

    Twitter / Verhassel Aurélien

    Une "tournée de sécurisation" des transports en commun. Une trentaine de membres du groupe Génération identitaire Flandre a réalisé vendredi dernier une patrouille dans le métro lillois. Vêtus de blousons jaunes ou de sweats noirs flockés "Génération anti-racailles", ces militants d'extrême-droite affichent comme objectif de "chasser la racaille" en occupant le terrain.  

    Créée en octobre 2012, cette branche jeunesse du mouvement d'ultra-droite Bloc identitaire (lui-même issu du groupe Unité radicale interdit en 2002), regroupe quelque 300 militants actifs dans la région, rapporte MetroNews.  

    Sans prétendre être "là pour se substituer à la police", le groupuscule assure vouloir rétablir un climat de confiance. "Les vols avec violence ont augmenté de 65 % dans les transports en commun lillois, entre janvier et août 2013. La mairie de Lille et les pouvoirs publics doivent prendre conscience que la sécurité est le premier des droits", estime un adhérent dans MetroNews. D'après La Voix du Nord, les vols avec violence ont en fait augmenté de 65% dans les transports lillois entre janvier et novembre 2012 et janvier et août 2013. 

    "C'est une véritable milice dangereuse qui a investi le métro", dénonce Ali, militant lillois du groupe Action Antifasciste, dans le quotidien. (...) L'objectif est simple et fait froid dans le dos: faire le lien entre immigration et délinquance et chasser les racailles. Une honte", dénonce Mathieu Bayart, porte-parole lillois de l'Union des étudiants communistes.  

    "Jouer avec les peurs"

    D'autres opérations similaires devraient avoir lieu dans les prochains jours dans le métro et le bus lillois. Un cours d'autodéfense devrait également être mis en place. Quant à leur page Facebook - "Lille: pas de porcs dans nos transports" - elle a déjà récolté plus de 1000 likes.  

    Eric Picquet, l'élu en charge des transports à la communauté urbaine de Lille, a demandé aux autorités d'empêcher à l'avenir ces rondes, selon Europe 1. "On n'a pas besoin d'une bande de guignols pour sécuriser le réseau de transport public. (...) Jouer avec les peurs, jouer avec les fantasmes, c'est le métier de l'extrême droite. Donc, l'insécurité c'est eux, avant tout", a-t-il dit au micro de la radio.  


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/quand-l-extreme-droite-patrouille-dans-le-metro-lillois_1501027.html#pUqTLX0jRFmJcDhA.99

    Des membres du groupe Génération identitaire Flandre, branche jeunesse du Bloc identitaire, font des "tournée de sécurisation" dans les transports en communs pour "chasser la racaille".

    Une "tournée de sécurisation" des transports en commun. Une trentaine de membres du groupe Génération identitaire Flandre a réalisé vendredi dernier une patrouille dans le métro lillois. Vêtus de blousons jaunes ou de sweats noirs flockés "Génération anti-racailles", ces militants d'extrême-droite affichent comme objectif de "chasser la racaille" en occupant le terrain.

    Créée en octobre 2012, cette branche jeunesse du mouvement d'ultra-droite Bloc identitaire (lui-même issu du groupe Unité radicale interdit en 2002), regroupe quelque 300 militants actifs dans la région, rapporte MetroNews.

    Sans prétendre être "là pour se substituer à la police", le groupuscule assure vouloir rétablir un climat de confiance. "Les vols avec violence ont augmenté de 65 % dans les transports en commun lillois, entre janvier et août 2013. La mairie de Lille et les pouvoirs publics doivent prendre conscience que la sécurité est le premier des droits", estime un adhérent dans MetroNews. D'après La Voix du Nord, les vols avec violence ont en fait augmenté de 65% dans les transports lillois entre janvier et novembre 2012 et janvier et août 2013.

    "C'est une véritable milice dangereuse qui a investi le métro", dénonce Ali, militant lillois du groupe Action Antifasciste, dans le quotidien. (...) L'objectif est simple et fait froid dans le dos: faire le lien entre immigration et délinquance et chasser les racailles. Une honte", dénonce Mathieu Bayart, porte-parole lillois de l'Union des étudiants communistes.

    "Jouer avec les peurs"

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    Yahoo!Actu 18 03 14

     

  • Nouvel assaut de migrants sur l'enclave espagnole de Melilla

    2014-03-18T155507Z_1007200001_LYNXMPEA2H02E_RTROPTP_3_OFRWR-MAROC-ESPAGNE-MIGRANTS.jpg

    RABAT (Reuters) - Plusieurs centaines de migrants ont lancé mardi deux assauts contre la clôture grillagée séparant le Maroc de l'enclave espagnole de Melilla, a déclaré le gouvernement marocain.

    Près de 300 migrants ont été arrêtés et au moins 28 d'entre eux ont été blessés lors de ces deux tentatives, a précisé le ministère de l'Intérieur marocain.

    "A 07h00 (06h00 GMT), 600 migrants clandestins ont tenté de forcer la clôture de l'enclave espagnole de Melilla", a souligné le ministère dans un communiqué.

    Les migrants ont lancé des pierres sur les policiers, faisant cinq blessés dans les rangs des forces de l'ordre. Près de 120 migrants ont été arrêtés et 28 d'entres eux ont été blessés et hospitalisés à Nador, a ajouté le ministère.

    Plus tôt dans la nuit, un autre groupe de migrants avait tenté de forcer la triple frontière grillagée et 150 migrants ont été arrêtés, peut-on lire dans le communiqué.

    Une source proche du ministère de l'Intérieur a refusé de préciser combien de migrants avaient réussi à entrer dans l'enclave espagnole.

    Chaque année, des milliers d'Africains tentent de gagner l'Europe via les enclaves espagnoles de Ceuta et de Melilla.

    La dernière intrusion d'envergure à Melilla a eu lieu en février.

    (Aziz El Yaakoubi; Clémence Apetogbor pour le service français)

    Yahoo!Actu  18 03 14

  • C’était un 18 mars…

     

    1904 : en Suisse, Lénine et Mussolini figurent parmi les orateurs de la traditionnelle commémoration de la Commune de Paris, organisée à Plainpalais, sous la présidence du Dr Wyss, président du parti socialiste genevoix.

    1910 :  au cabaret montmartrois du Lapin agile, Roland Dorgelès et André Warnod attachent un pinceau à la queue d’un âne et lui font barbouiller une toile posée sur un chevalet.
    Cette production, signée Boronali (anagramme d’Aliboron), sera présentée au salon des indépendants sous le titre : « Et le soleil se coucha sur l’Adriatique ».
    Elle déclencha l’enthousiasme des critiques à la mode et fut achetée par un marchand autrichien. Dorgelès révéla peu après la supercherie.

     

    1928 : Pierre Benoit est élu président de la Société des gens de lettres.

    1978 : mort, à Caudebec-en-Caux, du chef de file nationaliste-révolutionnaire et révisionniste François Duprat, à l’âge de 37 ans. Professeur d’histoire et numéro 2 du Front national, il fut victime d’un attentat sophistiqué à la voiture piégée, jamais élucidé.
    Les principales pistes restent les services secrets français et ceux d’Israël.

    Source

    Contre-info.com

  • Nick Griffin dénonce le génocide des Européens au Parlement européen

    18 mars 2014

    Nick Griffin est le président du British National Party

    Contre-info.com

  • 2004-2014 : un anniversaire christianophobe oublié…

     
     

     

     

    Un communiqué de Solidarité-Kosovo pour nous rafraîchir la mémoire et pour nous interroger aussi : ce qui fut encouragé par la “communauté internationale” au Kosovo, est condamné par elle en Crimée. Allez comprendre…

    C’est dans la douleur que la Serbie commémore aujourd’hui le dixième anniversaire des pogroms antichrétiens au Kosovo-Métochie, au cours desquels 19 personnes ont été tuées, 34 églises détruites, 5 000 Serbes et non Albanais expulsés de leurs maisons et 900 personnes blessées. 10 ans après, le Kosovo-Métochie saigne encore. Aucun des 50 000 participants aux attaques terroristes contre les Serbes du Kosovo n’a jamais été inquiété ni arrêté.  10 ans après, les pogroms antichrétiens du Kosovo-Métochie restent impunis.

     

    Au Kosovo-Métochie, il y a 10 ans, lors des pogroms antichrétiens : un Albanais arrache la croix du clocher d’une église en feu.

    Source : Solidarité-Kosovo

    - See more at: http://www.christianophobie.fr/breves/2004-2014-un-anniversaire-christianophobe-oublie#sthash.lbtwQPNt.dpuf

  • Statue de Lénine et drapeau rouge en Crimée

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    Rattachement à la Russie ou à l'URSS ?

    (photo Globe- 16 mars 2014)

     

     

     

  • Une victoire de la résistance: pas d'abattoir halal à Guéret

    18 mars 2014

     

    Depuis deux ans un groupement de bouchers halal avait le projet d’ouvrir un abattoir halal à Guéret, avec le soutien du maire Michel Vergnier. Mais un collectif s’est constitué pour combattre le projet : Non à l’abattoir rituel de Guéret (NARG). Finalement les bouchers halal jettent l’éponge, non sans traiter le NARG de groupuscule d’extrême droite et raciste. Lequel NARG va porter plainte…

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Sophia Antipolis : des cours d’arabe gratuits dispensés aux enfants d’une école primaire

     

     

    17/03/2014 – VALBONNE (NOVOpress) - À Sophia Antipolis (PACA), des parents d’élèves de l’école élémentaire Sartoux sont en colère. La raison ? Des cours d’arabe gratuits sont proposés à leurs enfants.

    Une circulaire sous en-tête de la Direction Générale de l’Enseignement Scolaire a ainsi été distribuée aux parents d’élève. L’on y apprend que l’enseignement de l’arabe dans les écoles françaises fait partie d’un programme national du ministère de l’éducation nationale. Ces cours, proposés gratuitement (contrairement aux langues vivantes traditionnelles), seraient dispensés par des enseignants soit Algériens, soit Tunisiens soit Marocains (les parents peuvent choisir selon leurs affinités, sans doute culturelles ?) sur la base d’un accord avec les pays du Maghreb. Nulle information n’est toutefois disponible sur le contenu de ces cours.

    À l’heure où la submersion migratoire et culturelle en provenance d’Afrique et du Maghreb dérange de plus en plus de Français, et à quelques semaines des échéances électorales pour les élections municipales et européennes, nul doute que les initiatives de l’éducation nationale risquent fort de faire pencher la balance en faveur du vote “identitaire” dans une région traditionnellement favorable au Front National.

    Crédit photo : © novopress

  • Le parti du peuple danois fait jeu égal avec les autres

    17 mars 2014

     

    Deux sondages sur les intentions de vote, au Danemark, pour les élections européennes, montrent une percée significative du parti du peuple danois, parti « d’extrême droite », anti-UE, anti-immigration, etc.

    Selon un sondage Gallup, il serait carrément en tête, avec 15% des voix, devant les deux partis institutionnels (libéraux et sociaux-démocrates) qui seraient à 13-14%.

    Selon un sondage Epinion qui, contrairement au précédent, retire les 31% de citoyens qui se tâtent, les libéraux seraient à 25%, devant les sociaux-démocrates (au pouvoir) et le parti du peuple danois à égalité à 22%...

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Marseille : des touristes corses agressés au cutter pour un sac à main

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    Marseille / Publié le Mardi 18/03/2014 à 10H23
     

    La police arrête les auteurs d'un vol très violent devant la gare Saint-Charles

     
    Il y a quelques mois, le GVP centre avait déjà interpellé plusieurs suspects, grâce à l'utilisation des caméras de vidéoprotection, très présentes autour de la gare Saint-Charles.

    Photo valérie vrel

     

    Ils sont peut-être une quinzaine, dans le centre-ville, à se comporter comme des prédateurs, capables de tout. Adolescents, personnes âgées : personne n'échappe à leur cupidité et à leur lâcheté, tant ils s'attaquent surtout à des personnes vulnérables.

    La semaine dernière, deux de ces agresseurs sans foi ni loi ont sévi à proximité de la gare Saint-Charles (1er). Leur terrain de chasse favori, tant ils peuvent s'attaquer à des touristes, peu méfiants et parfois fortunés. Mais cette fois, ils n'ont pu échapper à la police.

    Le Groupe de voie publique (GVP) du secteur centre les a interpellés, entre Noailles et le secteur du Racati (1er). Les fonctionnaires attendaient cette arrestation avec d'autant plus d'impatience que leurs auteurs présumés s'étaient comportés comme de véritables sauvages.

    Tout avait commencé par une agression presque traditionnelle. Un vol à la portière, comme il s'en est déjà produit des dizaines, voire des centaines, depuis que le secteur est assidûment fréquenté par les touristes. Mais très vite, tout avait dérapé.

    Une scène d'une rare violence

    Les victimes ? Un couple venu de Corse, un homme et une femme de 70 et 69 ans. La voiture à peine arrêtée au feu rouge, les deux voleurs étaient passés à l'action. Le passager avait brusquement ouvert la portière pour tirer la passagère par les cheveux et l'extirper de l'habitacle. La retraitée, fermement accrochée à son sac à main, n'a pas facilement lâché l'affaire.

    Alors le jeune homme s'est acharné. Il a commencé par lui taper la tête contre le bitume. Puis, voyant sa victime toujours agrippée à son bien, l'a attaquée avec un cutter, lui entaillant profondément la main. Le mari est intervenu à son tour. Il a réussi à faire fuir les deux agresseurs, dans un ultime élan protecteur.

    La scène, d'une rare violence, avait été filmée par les caméras du Centre de supervision urbain (CSU). Le lendemain, le scooter des suspects était localisé par les fonctionnaires du CSU qui livraient l'info à la police nationale. Les deux jeunes hommes, âgés de 16 et 18 ans, bien connus pour des agressions similaires, étaient interpellés dans la foulée par le GVP centre.

    Après 48 heures de garde à vue, les deux ont été écroués aux Baumettes et à l'établissement pénitentiaire pour mineurs de la Valentine.

  • Poutine a signé un accord sur le rattachement de la Crimée à la Russie

     

    Le Vif

    Source: Belga
    mardi 18 mars 2014 à 13h49

    Le président russe Vladimir Poutine a signé mardi avec les nouveaux dirigeants pro-russes de Crimée un accord sur le rattachement de cette péninsule du sud de l'Ukraine à la Russie.

    Vladimir Poutine. © Image Globe

    Plus tôt dans la journée, le président russe avait demandé au Parlement russe d'adopter une loi rattachant la Crimée à la Russie, lors d'un discours au Kremlin. "Je propose à l'Assemblée fédérale (les deux chambres du Parlement russe, ndlr) d'adopter une loi pour inclure dans la Fédération de Russie deux nouveaux sujets, la Crimée et la ville de Sébastopol", avait-il déclaré.

    Le président russe a assuré que la Russie ne souhaitait pas la scission de l'Ukraine. "Ne croyez pas ceux qui vous font peur au sujet de la Russie, qui vous disent qu'après la Crimée, vont suivre d'autres régions", a déclaré M. Poutine à l'adresse des Ukrainiens. "Nous ne voulons pas la scission de l'Ukraine, nous n'en avons pas besoin", a-t-il ajouté.

    La Crimée était et reste dans le coeur des Russes "une partie intégrante de la Russie", a encore dit Vladimir Poutine. La Crimée avait été offerte en 1954 à l'Ukraine par le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev, une décision prise selon M. Poutine "en violation des normes constitutionnelles" de l'époque.

    "Les Occidentaux ont franchi la ligne rouge et se sont comportés de manière irresponsable" dans la crise ukrainienne, a aussi affirmé le président russe en se livrant à une dénonciation en règle des Occidentaux, accusé de faire preuve de "cynisme", d'agir selon "le droit du plus fort" et "d'ignorer le droit international".

  • La Vierge lumineuse de Sart-Jalhay

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    Voici le témoignage de Jean-Pierre Snyers, enfoui dans un vieux coin de commentaires de mon blog, et qui mérite d’être mis au grand jour…

    A quoi attribuer l'illumination le soir venu de la désormais célèbre statue de la Vierge à Sart-Jalhay ? Pour expliquer rationnellement ce mystère, on aura tout entendu : radioactivité, ondes, panneaux photovoltaïques... Bref, il ne manque plus que l'influence de la lune, le passage des grues et le sifflement du TGV pour satisfaire les esprits les plus opposés au surnaturel.

    Figurez-vous que je suis allé deux fois « voir sur place ». La première : en pleine journée. J'ai pu regarder tant et plus et prendre en mains cette statue de plâtre qui fait couler tellement d'encre. Une trentaine de centimètre, brunâtre, un peu abîmée par le temps. Rien de très spécial. La deuxième : le 16 mars, le soir. Environ 1500 personnes. Deux heures de file d'attente. Avec une trentaine d'autres visiteurs, me voici enfin à nouveau face à cette représentation de la Vierge (telle que je l'avais vue). Puis voici que quelqu'un éteint. Tout est plongé dans l'obscurité totale... sauf que deux secondes plus tard, la statue est, de la tête aux pieds, remplie d'une lumière blanche, extraordinaire. Comme tant d'autres, je vous avoue que je suis bouleversé. Une personne la retourne pour nous faire constater que le dos n'est pas éclairé, et la remet ensuite face à nous, toute illuminée. Quelqu'un rallume. Tout redevient normal. A deux reprises, nous avons assisté à ce test.

    Qu'en conclure ? Une chose est sûre : à voir nos visages et nos gestes de piété après avoir vu, une telle expérience n'est pas prête d'être oubliée. Alors quoi ? Surnaturel ? L'avenir nous dira peut-être si ce phénomène qui a débuté le 17 janvier (date anniversaire de l'apparition de la Vierge à Pontmain - France), est d'ordre divin ou non. Autre question : pourquoi les caméras et les appareils photos ne parviennent-ils pas à capter l'image de cette statue lorsqu'elle est illuminée ? Serait-ce parce que cette lumière n'est pas de ce monde ? En attendant, souvenons-nous de ces mots du philosophe Jean Guitton : « Le surprenant, c'est la négation préalable des esprits qui se disent scientifiques . » Jean-Pierre Snyers (Adresse blog : jpsnyers.blogspot.com)

    Le blog d'Yves Daoudal  17 03 14

  • Crimée : un défi à la démocratie encadrée

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    Le 17 mars 2014
    Aucun observateur de bonne foi ne peut contester la sincérité du scrutin et la liesse de la population à l’annonce des résultats.
             

    La démocratie directe n’est pas seulement la forme primitive mais la forme la plus pure de la démocratie. Le peuple souverain y exerce lui-même le pouvoir dont il est la seule source. La démocratie représentative ou parlementaire n’est, dans son principe, qu’une commodité qu’impose le réalisme. Faute de pouvoir trouver une salle assez grande pour réunir le peuple tout entier, et parce que celui-ci ne peut se mobiliser en permanence, il délègue pour un temps donné son pouvoir à des représentants. Dans la pratique, ceux-ci sont d’autant plus enclins – on ne le sait que trop – à prendre des libertés avec leur mandat que celui-ci n’est pas impératif et qu’il n’existe pas de procédure de révocation des élus infidèles. Au moins des consultations périodiques les contraignent-elles à remettre en jeu la délégation qui leur a été consentie et le recours au référendum est censé donner au peuple la parole sur les questions qui engagent les grandes orientations et l’avenir de la collectivité.

    Cela étant dit, le suffrage universel étant la règle générale, les élus – à défaut de satisfaire leur rêve secret, qui est de s’y dérober – s’ingénient et excellent à inventer des subterfuges pour ruser avec le peuple dont ils sont supposés être les serviteurs et dont ils aspirent à devenir les maîtres. C’est à cette finalité qu’appartient ce dévoiement, en voie de généralisation et d’aggravation, que l’on pourrait qualifier de démocratie encadrée.

    L’encadrement de la démocratie a pour raison d’être, lorsque le peuple n’a pas voté comme il aurait dû le faire, de contourner, d’ignorer, de bafouer ou de rejeter ses choix qui sont qualifiés par ceux qui savent mieux que lui ce qui est bon pour lui d’erronés, d’irréfléchis, d’inacceptables, voire, comme hier après le référendum de Crimée, d’illégaux et illégitimes.

    La méthode la plus douce consiste, après avoir constaté l’erreur commise par un peuple, à le faire voter de nouveau sur le même sujet jusqu’à ce qu’il soit revenu à la raison. Ainsi fut-il fait lorsque, en 1992, le Danemark se permit de refuser le traité de Maastricht. De nouveau convoqués en 1993, les Danois vinrent à résipiscence. De même les Irlandais, qui avaient osé dire « non » au traité de Lisbonne en 2008, convinrent-ils de leur faute en 2009.

    Les Français, en 2005, eurent droit à un traitement plus sévère. Une nette majorité avait repoussé le traité constitutionnel européen. Plutôt que d’affronter de nouveau un électorat dont l’hostilité à la construction européenne ne cesse de croître, la caste politique qui gouverne la France n’a pas hésité à abolir, en fait, le référendum et à faire voter par un Parlement docile, sous une autre dénomination, les dispositions mêmes qui avaient été rejetées par le peuple.

    Pour avoir restreint, il y a un mois, la libre installation de travailleurs étrangers sur le sol national, les Suisses n’ont pas seulement eu droit à la réprobation générale de tout ce qui compte en Europe. N’ayant pas les moyens de les faire revenir en arrière, l’oligarchie européenne les a avertis qu’ils seraient l’objet de mesures de rétorsion qui leur feraient regretter amèrement leur votation.

    Si précipité et brutal qu’ait été le processus que la Russie a imposé en Crimée, aucun observateur de bonne foi ne peut contester la sincérité du scrutin et la liesse de la population à l’annonce des résultats. Alors, franchissant un pas de plus dans l’encadrement de la démocratie, les États-Unis et leurs satellites européens ont aussitôt annoncé un premier train de sanctions qui devrait être suivi d’un deuxième train de rétorsion et d’un troisième convoi de représailles contre les initiateurs et les organisateurs du référendum de dimanche dernier.

    C’est, nous dit-on, que ce vote est illégal. La remise en cause des frontières intangibles d’un État souverain constitue une violation flagrante du droit international. Accessoirement, il n’a pas été tenu compte des aspirations de la minorité tatare. On n’a pas souvenir que l’OTAN ait été aussi scrupuleuse lorsqu’elle a détaché le Kosovo de la Serbie au mépris de l’histoire, des traités et des droits de la minorité serbe. Quels étaient les fondements légaux du rattachement de la Crimée, russe de fait, de droit et de cœur depuis 1783, à l’Ukraine ? Une décision prise par Nikita Khrouchtchev, il y a soixante ans, lorsque l’Ukraine et la Crimée étaient également incluses dans l’Union soviétique, et l’indépendance concédée à cet ensemble hétérogène, en 1991, par un Boris Eltsine qui ne maîtrisait pas plus sa politique étrangère que sa consommation interne. C’est sur une base fragile, pour ne pas dire arbitraire, que reposait un État, création aussi artificielle que nombre d’entités consécutives au traité de Versailles ou à la décolonisation, qui apparaît clairement comme un puzzle dont vingt ans n’ont pas réussi à faire une nation.

    Quoi que l’on pense de Vladimir Poutine et de son indifférence aux objections juridiques comme aux menaces financières de l’Occident, le référendum du 16 mars a remis l’église au centre du village et la légitimité à son seul détenteur : le peuple.

    Dominique Jamet

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • L'Ukraine mobilise ses réservistes

    Le Parlement ukrainien a voté la mobilisation partielle de ses réservistes. Il s’agit selon de Kiev de faire face à “l’ingérence de la Russie dans ses affaires intérieures”. La demande avait été faite par le président par intérim, Olexandre Tourtchinov qui a qualifié le référendum en Crimée de grande farce. Le secrétaire à la sécurité nationale a confirmé l’approbation de cette mobilisation, qui devrait concerner quelques 40 000 hommes.
    275 députés ont voté pour, 33 n’ont pas pris part au vote, et aucun n’a voté contre.

    “Aucun pays au monde ne reconnaît ce référendum”, a déclaré le ministre ukrainien de la Défense Igor Tenioukh, “sa légitimité est nulle. La terre de Crimée était et reste ukrainienne. Les militaires qui y sont déployés resteront là-bas. Nous ne les abandonnons pas. Nous sommes en communication direct avec eux. Ils savent comment agir”.

    En outre, les députés ont approuvé l’octroi d’une enveloppe de 530 millions d’euros pour assurer l’aptitude au combat des forces armées.

    euronews 17 03 14

  • Venise vote pour son indépendance

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    L’exemple de la Crimée donne espoir à d’autres indépendantistes européens. Un mouvement vénitien séparatiste a justement lancé ce dimanche un référendum pour l’indépendance de Venise.

    Sans valeur légale officielle, ce référendum se tient sur le web jusqu’à vendredi. Les habitants de la région de Venise doivent répondre à la question : « souhaitez-vous que la Vénétie [la région de Venise – NDLR] devienne une république fédérale souveraine ? »

    Sur son site web, Indipendenza Veneta se revendique comme un groupe « moderne » et non violent. Il défend l’idée d’une Vénétie « responsable, indépendante, économiquement fort et libre, une Vénétie juste, sûre, tolérante et ouverte sur l’Europe ». Ils promeuvent l’idée d’une République des citoyens et de la démocratie directe. Non violent, il défend l’indépendance de Venise par les voies démocratiques uniquement.

    Les médias italiens n’ont quasiment pas évoqué ce référendum. Les organisateurs attendent pourtant près de deux millions de votants. Ils annoncent déjà 565 000 votants à 11h ce 17 mars. Selon certains sondages, 60% des quelque 3,8 millions de personnes en âge de voter dans la région seraient favorables à l’indépendance.

    Ce vote précède celui qui se tiendra en septembre en Ecosse sur le même sujet de l’indépendance de la nation.

    Historiquement, la République de Venise, qui a existé pendant plus de 1 000 ans, a perdu son indépendance en 1797.

    Euronews 17 03 14

  • En direct de la Crimée : témoignage d’Aymeric Chauprade (audio)


    En direct de la Crimée : témoignage d'Aymeric... par realpolitiktv

    En direct de la Crimée : témoignage d’Aymeric Chauprade (audio)

     

    17/03/2014 – SIMFEROPOL (NOVOpress via Realpolitik.tv)
    Le géopolitologue Aymeric Chauprade est actuellement en mission d’observation en Crimée, où s’est déroulé hier, 16 mars 2014, un référendum portant sur un rattachement de la Crimée à la Russie. Il témoigne au micro de la radio francophone “La Voix de la Russie“.

    Pendant le référendum, Aymeric Chauprade était avec d’autres observateurs de différents pays d’Europe de l’Ouest et d’Europe Centrale. Les Criméens leur ont laissé le choix des endroits et bureaux de vote où ils voulaient aller, y compris dans les zones où se trouve la minorité tatare en principe hostile au rattachement.

    NOVOPRESS