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  • L’échec des manifestations contre l’extrême-drôôôaate !

     

    Une vingtaine de manifestations en France. Toutes nées grâce aux réseaux sociaux et organisées par les syndicats lycéens et étudiants qui prévoyaient environ 25 000 personnes pour une grande mobilisation nationale contre la victoire du FN aux européennes. Une marche qui veut opposer l’amour des autres, l’ouverture d’esprit et les valeurs les plus humanistes face à l’intolérance, au racisme et au replis sur soi.

    Une journée sans aucun doute réussie puisque question mobilisation on atteint à peine les 10 000 personnes selon l’Express (seulement 15 000 personnes de moins que prévu, on ne va pas chipoter !). Quant aux grandes valeurs défendues, elles ont pu s’exprimer à travers des slogans cohérents: « F comme fasciste, N comme nazi » et surtout réfléchis tels que « A bas le Front National », « Le Pen tu nous casses les urnes » ou encore « La jeunesse emmerde le Front National » .

    Au lendemain du « choc » du 21 avril 2002, c’est 500 00 personnes qui étaient venues manifester leur opposition à la montée du FN : une sacrée chute de motivation en 12 ans ! De quoi faire hurler les syndicats de gauche qui appellent déjà à une mobilisation contre ce parti « anti-républicain » pendant les trois ans à venir, jusqu’à la prochaine élection présidentielle en 2017.

    Finalement, à gauche, la démocratie, parfois on s’en passerait bien !

    Marie de Remoncourt

    Contre-info.com

  • Cinq bébés tigres blancs font leur première apparition publique

    Le Vif

    Source: New York Post
    mercredi 28 mai 2014 à 15h09

    Ce lundi, cinq tigreaux du Bengale blancs ont fait leur première apparition publique au Weiße Zoo de Kernhof en Autriche.

    © Reuters

    Nés en avril, les petits tigres, quatre femelles et un mâle, ont été baptisés Lali, Lela, Lila, Lulu et … Obama. Selon le directeur du zoo, Herbert Eder, il s’agit d’une naissance exceptionnelle, car outre le fait que les tigres blancs sont rares, il n’arrive pas souvent qu’une tigresse accouche de cinq petits vivants.

  • Les attouchements dans le cadre familial ne justifieront plus la prison…

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    Le 28 mai 2014
    En famille ou entre amis, tout devient permis.
             

    C’est dimanche. La famille est réunie pour fêter la naissance du petit dernier. Tonton est là, et pour fêter l’événement dans les règles, il a un peu forcé sur l’apéro et le reste. Il fait sauter son adorable petite nièce sur ses genoux et, il faut le comprendre, il ne sait plus très bien ce qu’il fait. Ses mains, à force de chatouiller le petit corps tout frais tout beau, deviennent malencontreusement baladeuses. Bah, tout le monde étant peu ou prou dans le même état que lui, personne ne le remarquera et puis la petite, hein, elle n’ira pas raconter ce que lui a fait le gentil tonton.

    Eh bien, même si la petite allait rapporter la scène à ses parents, même si ces derniers portaient plainte pour attouchements sur mineur de moins de 15 ans, bientôt, grâce à la loi Taubira, tonton – coup dans le pif ou non – ne risquera plus rien… C’est ce qu’on apprend dans Le Figaro. Selon les cas d’application de la nouvelle contrainte pénale , « les attouchements dans le cadre familial ne justifieraient plus la prison » parce qu’« il y a des infractions sexuelles qui ne signalent pas un ancrage dans une délinquance particulière », a expliqué le rapporteur de la loi, le député PS Dominique Raimbourg. Des femmes sexuellement agressées la nuit, c’est grave, dit-il. Mais violer l’intimité d’une petite fille ou d’un petit garçon de sa famille, c’est… un non-événement ?

    D’ailleurs, alors que ne devaient être au départ concernées par cette réforme pénale que les peines inférieures ou égales à cinq ans de prison – ce qui était déjà très inquiétant –, un amendement déposé par deux femmes députés PS – Élisabeth Pochon et Colette Capdevielle – doit l’étendre à l’ensemble des délits comme celui, donné en exemple par Dominique Raimbourg, du « petit trafiquant » qui fume du cannabis dans une soirée entre amis (et risque actuellement dix ans de prison). En somme, en famille ou entre amis, tout devient permis. C’est un bon début.

    Devons-nous être surpris quand les standards européens de l’éducation sexuelle prônent la masturbation dès le berceau ? Devons-nous être surpris quand le Guide d’intervention dans les collèges et lycées écrit que « les élèves devront avoir pris conscience que la sexualité commence dès la naissance, évolue à chaque phase de la vie et ne se résume pas au seul acte sexuel » ? C’est tonton qui va être content. Coup dans le nez ou pas, avec Taubira, il va avoir le droit.

    Les temps changent, la société évolue, dit-on. Des faiseuses d’anges ont été exécutées. Maintenant des Audrey Pulvar demandent «  À partir de quand une femme aurait-elle trop avorté ? ». Bernard Hanse, professeur injustement accusé de pédophilie, s’est suicidé. Aujourd’hui, les oncles ou grands-pères pédophiles ont le champ libre.

    On commence par la pédophilie en famille et le cannabis entre amis. Le cannabis et la pédophilie en famille et entre amis, c’est pour demain ?

    Caroline Artus

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Le chevalier dans l’imaginaire européen

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    Source : theatrum-belli.org - Malgré l’envahissement des sociétés modernes et, en conséquence, de l’existence quotidienne par les sciences et les techniques, le chevalier demeure un personnage exemplaire car nimbé d’un prestige qui joint les contingences de l’humain aux orbes de la métaphysique. Prestige qui, dans toute l’Europe et bien au-delà, devait survivre à la disparition de l’ancien régime royal et féodal ou, selon les nations, à sa transformation en monarchie constitutionnelle. C’est pourquoi, par exemple, la République française a le pouvoir de conférer, entre autres, le titre de « chevalier de la Légion d’Honneur ». De plus, à travers notre « vieux continent », comme disent les natifs d’outre Atlantique (qui, eux aussi, associent médailles et chevalerie), des ordres célèbres issus du Moyen Âge – de la Toison d’Or à la Jarretière en passant par Calatrava – existent toujours. Tout cela semble dire que l’image du chevalier manifeste quelque chose de fondamental et, de la sorte, d’indissociable de l’identité européenne.


    Dans l’imagination populaire, où se télescopent reliquats de l’Histoire, séquences de cinéma, séries télé et album de B.D. (pardon, de « romans graphiques », selon la dénomination désormais académique), le chevalier est un personnage possédant un ensemble de qualités qui font de lui un être hors du commun, différencié du troupeau de l’humanité ordinaire. À l’exemple de Bayard, « sans peur et sans reproches », on l’imagine prêt à défendre « la veuve et l’orphelin » ; il est le « chic type » qui, semblablement à Martin de Tours, saint patron de notre nation, se montre immédiatement secourable au malheureux quémandant secours. Jadis, il y a trente ans, tout personnage sympathique et courageux qui, de façon fictionnelle ou tangible, captivait le public, participait un peu – sinon beaucoup – de la figure du chevalier. Ainsi, sur le petit écran, Tanguy et Laverdure étaient-ils Les Chevaliers du ciel, tandis que le refrain du générique de Starsky et Hutch qualifiait ces policiers de « chevaliers qui n’ont jamais peur de rien ! ». Certes, la comparaison est outrée mais néanmoins fort significative. De façon émouvante, Georges Rémi, alias Hergé, en rédigeant une lettre à son fils Tintin, écrit que la carrière qui attendait ce dernier devait être journalistique mais qu’en réalité elle fut au service de la chevalerie. Et même dans l’univers futur que déploie la plus célèbre saga du Septième Art – Star Wars, rassemblant des fans par millions sur toute la planète – l’harmonie et la pax profunda galactique dépendent de l’ordre de chevalerie Jédi.

    Lire la suite : theatrum-belli.org

    via NOVOPRESS

  • VIDEO - Un chat ressemblant à Hitler torturé et laissé pour mort

    http://www.aujourdhui-en-france.fr/faits-divers/video-un-chat-torture-et-laisse-pour-mort-a-cause-de-sa-ressemblance-avec-hitler-24-05-2014-3867519.php

  • Par Jupiter ! Par Bruno Gollnisch

     

    UMP

    « Une réunion d’une violence inouïe ». Un commentaire de Nadine Morano  que de nombreux médias ont repris à leur compte ces dernières heures pour qualifier les retrouvailles hier, à huis-clos dans la salle du groupe UMP à l’Assemblée nationale, des pontes de l’UMP. Ils entendaient réagir aux derniers développements du scandale Copé-Sarkozy-Bygmalion. Sous la pression de ses adversaires en interne et même d’« une haine » qu’il n’oubliera pas a-t-il dit, M. Copé a donc été acculé à la démission. Fillon, NKM, Lemaire, Pécresse, Bertrand ont mené l’hallali sur fond de vieux procès sur son illégitimité à la tête de l’UMP depuis sa victoire très contestée aux primaires. Mais aussi de contestation sur la droitisation de la ligne de l’UMP que Copé et ses proches avaient tenté pour endiguer la montée du FN.

    Copé pouvait-il  s’accrocher à son poste? Son directeur de cabinet Jérôme Lavrilleux, tête de liste UMP face à Marine dans le Nord Ouest à ces élections européennes, a certes attendu le déroulement du scrutin pour vendre la mèche. Mais ce dernier a fini par avouer dès le lendemain de la claque infligée à son parti par les Français la pratique de fausses factures. En l’espèce, la facturation de conventions imaginaires pour masquer les dépassements de la dernière campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. Une nouvelle casserole pour ce dernier qui, rapporte Le Parisien, serait «tombé de l’armoire » (sic) devant ses révélations lundi, «tout juste rentré d’Israël, d’où il a suivi le séisme des européennes entre deux chansons du concert de Carla »…

     C’est pas moi, je n’étais au courant de rien, telle est la justification de l’ex chef de l’Etat reprise en boucle par ses «amis » de l’UMP. La ligne de défense de Jean-François Copé est encore plus surréaliste quand il réaffirme, comme il  l’a fait hier sur TF1, qu’il n’a pris connaissance des magouilles reprochées à ses amis proches de Bygmalion uniquement à la lecture de l’article publié dans Libération il y a une douzaine de jours…

    La question centrale qui se pose est  bien celle désormais de la probabilité d’un retour dans le jeu de Nicolas Sarkozy. « Mezzo voce, certains n’y croient plus guère.  Les gens commencent à parler. C’est le grand déballage. C’est fini pour Sarkozy , veut croire un responsable UMP» interrogé par Le Parisien. «Un cadre du parti s’énerve carrément :  C’est pour lui qu’on est allé chercher onze millions d’euros ! Les militants vont se dire qu’on leur a fait les poches ! Le plus grand danger pour la droite, ce serait le retour de Sarkozy, parce qu’il nous fera perdre pour se sentir exister . En privé, le député UMP Pierre Lellouche, lui-même mis en cause dans l’affaire, est beaucoup moins catégorique.  Il n’est pas encore cuit, mais le Sarkothon et les 11 M€ vont lui revenir à la figure comme un boomerang ».

     Pour barrer la route à Sarkozy ( ?), trois de ses adversaires ont été placés à la tête de l’UMP,  jusqu’à un congrès extraordinaire à l’automne, pour succéder à M. Copé, les anciens Premiers ministres Jean-Pierre Raffarin, Alain Juppé et François Fillon composent ce triumvirat. Un Retour vers le futur en quelque sorte avec ces trois   incarnations caricaturales  d’une politique qui a fait dramatiquement  la preuve de ses échecs.  

     Lors de la  conférence de presse qu’elle a tenu hier au siège du FN  à Nanterre pour analyser les résultats des élections européennes , Marine Le Pen, interrogée sur l’affaire Bygmalion a affirmé ne « (pas voir) comment le candidat Nicolas Sarkozy peut échapper à sa responsabilité morale et à la disqualification qui en est la conséquence ». Mais aussi qu’avec «Raffarin, Fillon, Juppé, on est dans l’eurobéatitude totale. Ca permettra peut-être encore de clarifier la situation et les différences de fond qui existent entre le FN et l’UMP et la proximité qui va exister entre l’UMP et le PS !».

    Alors certes,  l’UMP sera peut être  obligée de changer de nom pour se refaire une virginité, mais la conjonction d’intérêts boutiquiers en assurant l’armature devrait empêcher formellement  son implosion.

     Pour autant, il est intéressant de constater avec Bruno Gollnisch que le triumvirat qui vient d’en prendre la tête, appelle déjà à «dédroitiser» l’UMP,  actant l’échec de la stratégie copéiste visant  à contenir la poussée du FN mais au risque d’accélérer son hémorragie au profit de l’opposition nationale.  Sur son blog, François Fillon s’épanche: «Nous n’avons pas tout essayé pour rassembler la droite et le centre malgré la montée des extrémistes que chacun pouvait pressentir ».

     Alain Juppé sur la même ligne que le  très antifrontiste Jean-Pierre Raffarin, a montré les crocs mardi: « Notre refus est clair: nous ne voulons pas de la France rétrograde barricadée dans ses frontières que propose le Front National » (sic).  La veille il en a appelé à revenir  à « l’esprit originel » de l’UMP en 2002 symbolisé, il s’agit de s’en souvenir, par la catastrophique politique du radical socialiste Jacques Chirac…ça fait rêver…

     Comme à chaque fois quand il s’agit de cracher son venin contre l’opposition nationale et les défenseurs de l’Europe des patries libres,  les pontes  européistes de l’UMP reçoivent le soutien du parti de l’étranger. Ainsi le ministre allemand des finances, Wolfgang Schäuble, défenseur acharné d’une monnaie unique qui profite si bien à l’Allemagne, habitué du Forum économique de Davos,  intervenait hier à Berlin pour fêter les dix ans de la   Hertie School of Governance.

     En présence de Jeroen Dijsselbloem, président de l’Eurogroupe, de Mario Monti  et de l’ancien premier ministre grec Georges Papandréou, Herr Schäuble a qualifié le FN de « parti fasciste et extrémiste  (…). Nous devons nous demander, pas seulement pour nos collègues français, quelle erreur nous avons fait pour qu’un quart de l’électorat français vote FN.».

     Ils sont bien pathétiques, ils n’ont décidément rien compris ! Et ce degré d’aveuglement relève quasiment de la pathologie. Mais ne dit-on pas que Jupiter rend fou ceux qu’il veut perdre ?…

  • VIDEO Elections européennes: la réaction de Viviane Reding, vice-présidente de la Comission européenne

    http://www.rts.ch/video/info/journal-19h30/5884579-elections-europeennes-la-reaction-de-viviane-reding-vice-presidente-commission-europeenne.html

    27 05 14

  • Pologne : funérailles surprenantes du dernier dictateur communiste

     

     

     

    Pologne : funérailles surprenantes du dernier dictateur communiste

    Le général Jaruzelski, auteur de l’état de guerre en Pologne en décembre 1981, est mort le 25 mai à l’âge de 91 ans.

    Le dernier dictateur communiste en Pologne, qui n’a rendu le pouvoir en 1990 aux instances démocratiquement élues que contraint et forcé, aura le droit aux funérailles nationales avec les honneurs dus à un ancien Président de la République.

    Cette décision, très contestable, du Président Komorowski, divise profondément l’opinion publique en Pologne.

    Le général Jaruzelski a eu un passé peu glorieux. Dans la deuxième moitié des années 40, il a participé à la lutte sans merci contre la résistance anticommuniste. À partir de 1946 et pendant 10 ans, il fut agent des Renseignements Militaires, réputés pour leurs méthodes particulièrement brutales dans leur lutte sans merci contre toute opposition à l’égard du nouveau régime communiste.

    Devenu Chef d’État-Major et ensuite ministre de la Défense, il a organisé une purge antisémite au sein de l’Armée en 1967. L’année suivante, il a participé, avec un zèle particulier, à l’invasion de la Tchécoslovaquie (opération « Printemps 68 »).

    Co-responsable de la répression sanglante contre les grévistes des chantiers navals en 1970, il est arrivé au sommet du pouvoir en 1981, devenant le Premier secrétaire du parti, dans une Pologne en pleine rébellion contre la dictature communiste.

    Le 13 décembre 1981, Jaruzelski a mis en place l’état de guerre pour écraser le syndicat indépendant « Solidarité », et étouffer les aspirations à la liberté de la nation polonaise. Une chape de plomb s’est abattue une nouvelle fois sur la Pologne.

    Mais le général a sous-estimé la détermination de ses concitoyens. Peu à peu, une résistance clandestine s’organise, de dizaines de journaux interdits circulent sous le manteau, des manifestations et des actes de résistance de toutes sortes se multiplient. Le pouvoir communiste perd progressivement le contrôle du pays et se trouve contraint de négocier avec l’opposition, dans l’espoir de trouver une solution pour se maintenir au pouvoir. De nouveau débordés par les résultats des premières élections législatives semi-libres, les communistes n’ont d’autres choix que de passer la main. Le 28 octobre 1989, la comédienne polonaise Joanna Sczepkowska déclare au cours du journal télévisé la fin du communisme en Pologne, avec un sourire radieux et un éclat de rire.

    Accusé d’avoir dirigé « une organisation criminelle armée », Jaruzelski a adopté une ligne de défense basée sur la théorie du « moindre mal », prétendant que l’état de guerre avait permis à la Pologne d’éviter une intervention militaire soviétique.

    Mais cette théorie ne tient pas la route. Les Russes eux-mêmes ont publié des documents indiquant qu’ils n’avaient pas l’intention d’intervenir militairement en Pologne en 1981 et qu’ils l’avaient fait savoir à leurs camarades polonais. L’Union Soviétique, empêtrée dans le bourbier afghan, n’avait aucune envie d’ouvrir un deuxième front en Pologne.

    De surcroît, les documents russes indiquent que c’était le général Jaruzelski lui-même qui sollicitait leur aide, sans succès.

    Finalement, Jaruzelski et les autres responsables communistes n’ont jamais été condamnés pour leurs crimes. Après avoir fait traîner la procédure pendant des années, la justice polonaise a annulé les poursuites contre le général Jaruzelski pour « raisons de santé ». La Pologne libre n’a jamais achevé le processus de décommunisation et n’a pas demandé les comptes à ceux qui dirigeaient le pays pendant les années sombres du communisme.

    Jaruzelski sera inhumé, avec les honneurs dus à un ancien chef d’État, vendredi prochain. Mais, chose étonnante, le triste général a demandé in extremis à recevoir le Sacrement des malades et ses funérailles officielles débuteront par une messe.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • 29 mai 1453 : chute de Constantinople, tueries, viols et sacrilèges. La fin d’un monde

    28 mai 2014

     

    Le 29 mai 1453, l’Empire romain d’Orient (« empire byzantin ») s’effondrait avec la chute de Constantinople.
    Celle-ci fut accompagnée de massacres des civils, tueries, viols et sacrilèges commis par les sectateurs de Mahomet.
    Ce n’était que le début d’une longue nuit d’esclavage et de destruction culturelle.

    « Durant toute cette journée, les Turcs firent, par toute la cité, un grand carnage de chrétiens. Le sang coulait sur la terre comme s’il en pleuvait et formait de vrais ruisseaux. … Georges Phrantzes dit aussi que, ‘en certains endroits, le sol disparaissait sous les cadavres et que l’on ne pouvait passer par les rues’.

    ‘… Ils volent, dérobent, tuent,… font captifs femmes, enfants, vieillards, jeunes gens, moines, hommes de tous âges, de toutes conditions’.

    … Ils prenaient les trésors et les vases sacrés, dépeçaient les reliques et les jetaient au vent; ils exhibaient dans les rues puis dans leurs camps, le soir, des crucifix montrant le Christ coiffé de l’un de leurs bonnets rouges. De Sainte-Sophie, ils firent d’abord une écurie. Un nombre incalculable de manuscrits précieux, ouvrages des auteurs grecs ou latins de l’Antiquité, furent brûlés ou déchirés.

    Les religieuses, violées par les équipages des galères, étaient vendues aux enchères. … ‘Cette cohue de toutes les nations, ces brutes effrénées, se ruaient dans les maisons, arrachaient les femmes, les traînaient, les déchiraient ou les forçaient, les déshonoraient, les violentaient de cent façons aux yeux de tous dans les carrefours’.

    Pendant trois jours, ce fut aussi une terrible chasse et un immense marché aux esclaves. … Aucune bataille, aucune conquête n’avait jamais donné en si peu de temps autant de captifs. Ils furent vendus et revendus par la soldatesque puis par les mercantis de toutes sortes, séparés les uns des autres, promis aux travaux misérables jusqu’aux plus lointaines provinces du monde musulman.
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    Contre-info.com

  • Sécurité alimentaire: de la viande avariée dans les produits "premier prix"

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    «Viandes gris verdâtre impropres à la humaine dans des charcuteries, moisissures, souris vivantes ou mortes, excréments de souris dans des étuves à chorizo, fromage ramassé à la raclette sur le sol pour en faire du fromage fondu» : c'est ce qu'ont découvert les enquêteurs de Cour des comptes en passant au crible les produits «premiers prix», selon le dernier volet de son rapport annuel, consacré à la sécurité alimentaire et relayé par Le Télégramme ce jeudi.

     

     

     

    Les enquêteurs de la Brigade nationale d'enquêtes vétérinaires et phytosanitaires (BNEVP), rattachée au ministère de l', ministère de l'Agriculture, constatant des « manquements graves aux conditions d'hygiène » et des « failles de traçabilité », tirent la sonnette d'alarme : «L'offre des produits "premier prix" peut paraître attractive, mais leur consommation systématique, par une population croissante, pourrait avoir, à terme, des répercussions sur la publique», rapporte le quotidien breton.

    Les Français «très exposés» aux pesticides


    Malgré «les lourds moyens engagés », la France est restée en 2012 le troisième utilisateur mondial (1er en Europe) de pesticides à usage agricole en 2012, constate aussi le rapport. « La population vivant en métropole est fortement exposée aux pesticides », note-t-elle, citant également une étude de l'Institut national de veille sanitaire (INVS) de 2012 révélant que « les Français avaient un niveau d'imprégnation parmi les plus élevés par rapport à celui relevé dans des pays comparables», continue Le Télégramme.

    Pour y remédier, la Cour des comptes propose «une communication forte autour de ces résultats qui permettrait sûrement d'orienter la demande vers une agriculture plus raisonnée».

    Manque de personnel, de contrôles, enquêtes confidentielles et fraudes à grande échelle

    Au-delà du cas des produits "premier prix", l'un des problèmes essentiels rencontrés par l'administration dans le combat pour la sécurité alimentaire est le manque de personnel et, de fait, la rareté des contrôles, «en chute libre», assure Le Télégramme. «Un établissement de remise directe (boucherie, restaurant, centre commercial...) sera en moyenne contrôlé trois fois au cours d'un siècle! On ne compte que 43 agents pour contrôler plus de 110 000 établissements de restauration collective (hôpitaux, cantines scolaires...)», poursuit le quotidien de Morlaix (Finistère).

    De plus, la Cour déplore la confidentialité de nombreuses enquêtes et «un faible taux de poursuite qui décourage les agents». A cette situation, des raisons multiples : «réticence des agents» à réprimer, «défaillance de la hiérarchie à tous les niveaux», un «échelon local, fortement soumis à la pression sur l'emploi», ou encore les procureurs, «qui hésitent souvent à engager des procédures pénales». Si, de l'avis de tous, la sécurité alimentaire reste assurée en France, le problème aujourd'hui, conclut Le Télégramme, «ce sont les fraudes (...) avec des affaires qui s'internationalisent (...) C'est au niveau international qu'il y a de réels progrès à faire».

    La solution, radicale, pour assurer une meilleure sécurité ? « Une grande publicité » aux enquêtes, aux cas de non-conformités et aux suites données. Une « arme qui exposerait les professionnels ne respectant pas les règles aux sanctions directes des consommateurs » et « aiderait également les services à résister davantage aux pressions locales », conclut le journal.

    Le Parisien

  • Embrouille fiscale à Marseille, un grand bijoutier écroué

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    Photo Guillaume Ruoppolo      

     

     
    Marseille / Publié le Jeudi 29/05/2014 à 12H15
     

    Un avocat a également été placé sous contrôle judiciaire et cinq autres mis en examen

     
    Des flux financiers bizarres et un montage destiné à faire échapper le gérant de la bijouterie Bornand, rue Paradis (1er), à un redressement fiscal, sont au coeur de l'enquête.

              

     
     

    Patrick Sitbon, le gérant de la bijouterie Bornand, sise rue Paradis, un des hauts lieux de la joaillerie marseillaise, a été mis en examen hier soir par le juge Duchaine pour corruption active et escroquerie en bande organisée et écroué aux Baumettes. L'avocat pénaliste marseillais Antoine Béraud a été mis en examen lui aussi pour les mêmes qualifications, mais laissé libre sous contrôle judiciaire avec obligation de verser une caution de 50 000 euros, interdiction d'exercer sa profession, de se rendre à son cabinet et de rencontrer les protagonistes du dossier.

    Trois autres personnes - un inspecteur des impôts, un gérant de société et un expert-comptable - ont été mises en examen mais également laissées sous contrôle judiciaire. L'affaire porte sur le rôle qu'aurait joué l'avocat pour tenter de faire échapper le bijoutier à un important redressement fiscal de sa société et l'immixtion dans la procédure de deux inspecteurs des impôts pour parvenir à ses fins.

    Les débats contradictoires se sont achevés cette nuit peu avant 2h30 du matin. Les défenseurs de l'avocat, Mes Michel Pezet et Fabien Perez, sont parvenus à convaincre le juge des libertés et de la détention que l'incarcération de leur client avocat ne s'imposait pas. L'enquête doit désormais établir si les soupçons de blanchiment sont étayés ou non. Le gérant de la bijouterie avait déjà été entendu en 2010 dans une procédure relative à la vente de montres de prix en espèces et pour des montants importants.

    Une inspectrice des impôts et l'épouse du bijoutier avaient pour leur part été présentées au juge mardi soir et laissées libre sous contrôle judiciaire. Le parquet de Marseille avait réclamé dans ce dossier le placement sous mandat de dépôt du chef d'entreprise, de l'avocat et de l'un des deux inspecteurs des impôts. Une information judiciaire avait été ouverte le 8 novembre 2013 pour "association de malfaiteurs et blanchiment en bande organisée" à la suite de la transmission d'une note Tracfin, la cellule anti-blanchiment du ministère des Finances. 

     

    La Provence 

     

  • L'Ascension

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    Giotto di Bondone  (1266-1337)

  • Dominique, 66 ans, victime française du tueur de Bruxelles


    A la Une. «Dominique, 66 ans, victime française... par leparisien

    Une retraitée française figure parmi les quatre victimes de l'attaque du musée juif de Belgique, en plein Bruxelles, samedi après-midi. Dominique Sabrier, ancienne éditrice, était installée depuis deux mois en Belgique, et travaillait bénévolement au musée depuis quelques semaines. Ses amis décrivent une femme discrète, droite, qui avait quitté Paris pour fuir les pesanteurs d'un climat hostile aux juifs. A Bruxelles, elle avait trouvé un "havre de paix"… 

    Le Parisien  

  • Robert Ménard va offrir une blouse à tous les écoliers de Béziers

     

    Ce mardi soir lors du conseil municipal, le nouveau maire de Béziers, Robert Ménard, a proposé d’offrir une blouse avec l’écusson de la ville aux enfants de maternelle et de primaire.

    La municipalité prendra en charge le coût de fabrication et la proposera à toutes les familles qui le souhaitent.

    Le port de la blouse ne sera pas obligatoire.


    E&R

  • Entretien avec Renaud Camus: la préoccupation numéro un des français, c’est le Grand Remplacement

                          

    Le 28 mai 2014

    Votre liste a obtenu 0,05 % aux élections européennes. Quel bilan en tirez-vous ?

    Ah ah ! Le bilan que je suis nul, un homme politique de vingt-cinquième ordre et que je ferais mieux de m’en tenir à mes chères études… Ce n’est pourtant pas faute d’avoir été prévenu…

    D’un autre côté, à défaite politique indubitable, victoire idéologique incontestable : le Grand Remplacement, le « concept », gagne tous les jours du terrain, presque aussi vite que la chose elle-même, l’horrible chose. L’expression est maintenant dans toutes les bouches, y compris celle de Jean-Marie Le Pen, c’est-à-dire dans le sanctuaire du Front national, le grand vainqueur. Et tous les sondages sont d’accord pour dire que la préoccupation numéro un des Français, et leur principal motif pour apporter leur suffrage à Marine Le Pen, c’est l’immigration, autrement dit la sécurité, l’économie, l’emploi, mais d’abord et avant tout l’identité, la substitution ethnique et culturelle, le changement de peuple et de civilisation : bref, le Grand Remplacement.

    Vous remarquerez d’ailleurs que pour la caste médiatique unanime, c’est là, précisément, ce dont il ne doit être question à aucun prix. Même le soir des élections, si notre cher Zemmour n’avait pas mis son grain de sel in fine, immigration et identité – les principales raisons du vote Front national – auraient été passées sous silence. Dans le Sud-Ouest, les grands journaux et les chaînes de télévision locales n’ont pas pipé mot de notre liste, la seule qui posât ouvertement la question du changement de peuple et de la conquête coloniale en cours. Les médias sont tellement abîmés dans les vieux dogmes antiracistes, qui pourtant n’ont plus aucune prise sur le réel, que pour eux tout souci de l’indépendance et de l’identité nationales sont une monstruosité à laquelle, d’accord avec le pouvoir, ils accolent aussitôt l’étiquette ravageuse et prohibitive d’extrême droite, même si personne au sein de notre liste n’a jamais eu la moindre accointance avec ces milieux-là et si notre culture est aussi éloignée que possible de la leur.

    Silence total de la presse, dissuasive étiquette d’extrême droite, cinq ou six mille euros de budget, presque pas d’affiches, presque pas de bulletins de vote : c’est merveille, dans ces conditions, que nous ayons frisé les quinze cents voix. Nous en aurions eu cent, je n’aurais pas été autrement surpris. Et pourtant notre ligne générale — refus de l’immigration de masse, hostilité égale pour les politiques menées en France et en Europe mais attachement égal à la France et à l’Europe —, cette ligne-là est majoritaire dans le pays, au moins relativement. C’est là qu’on revient à ma nullité. Nous aurions dû avoir trois millions de voix…

    Parlez-vous à propos de la victoire du FN, comme beaucoup de commentateurs politiques, d’un « séisme » pour la France ?

    Oui, mais d’un bon séisme. Disons : un choc salutaire. Le paradoxe c’est que mes amis et moi, qui sommes cinq cents fois moins forts que le FN, sommes aussi plus ambitieux : nous voudrions que les mouvements antiremplacistes arrivent au pouvoir en France, certes, mais aussi en Europe, et changent radicalement les politiques de l’Union comme celles de la nation.

    Que devrait faire François Hollande, selon vous, qui parle de « continuer » dans la même direction ?

    Vous souvenez-vous de l’amiral d’Ascoyne, dans Noblesse oblige, saluant au garde-à-vous à la proue de son navire qui sombre parce qu’il a refusé de changer des ordres manifestement imbéciles ? Mais il était plus chic que notre Président.

    Que pensez-vous de la tribune de BHL publiée dans Le Monde, qui explique que « la France est en péril. Un quart de nos compatriotes ont voté pour le pire. Ils ont choisi le parti, non seulement de l’anti-Europe, mais de l’anti-France » et qui propose la mise en place d’un gouvernement d’union nationale ?

    Que c’est un bon exemple de discours mort, de vieille mécanique rouillée, sans prise sur ce qui survient, et qui ne touche plus du tout à la réalité des choses.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Yannick Noah se sent "insulté" par la victoire du FN aux élections européennes

    28/05/2014 – PARIS (NOVOpress) - Dans une vidéo mise en ligne sur le site BFMTV, Yannick Noah a fait part de sa tristesse et de sa honte au vu du résultat des élections européennes. Auteur d’une récente chanson anti-FN, Ma colère, il a déclaré “Je me suis réveillé le lendemain, ça n’allait pas fort. Oh la tristesse! Quelle tristesse! Je me sens insulté, je me sens déchiré, j’ai un peu honte quand mes amis m’appellent d’autres pays en me disant: ‘qu’est ce qui se passe chez vous?’ J’ai un peu honte”. “Qu’est-ce que je peux faire de plus ?” Suggestion de la rédaction : une nouvelle chanson ?

    Faire ses valises ?