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  • Marne : un tétraplégique torturé à son domicile pour lui soutirer de l’argent

     

    16h48

    A Thieblemont-Faremont (51), un bourg de 530 habitants, un quadragénaire tétraplégique a été torturé par trois individus qui voulaient lui soutirer de l’argent. Ces derniers sont repartis avec 500 euros. Les trois agresseurs n’ont toujours pas été retrouvés.

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    Son calvaire a duré près d’une heure. Dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, un habitant de Thiéblemont-Farémont, âgé de 42 ans, a vécu l’horreur. Tétraplégique depuis une quinzaine d’années, à la suite d’un accident de la route, Christophe a été séquestré, attaché à son fauteuil roulant et bâillonné par trois personnes gantées et cagoulées. Les faits se sont déroulés entre 2 et 3 heures du matin, tandis que leur proie était encore éveillée.

    Après avoir brisé le carreau d’une fenêtre, les individus se sont glissés à l’intérieur de son domicile et « ont littéralement scotché la victime à son fauteuil », indiquent les forces de l’ordre. C’est là qu’ils lui ont fait subir les premiers sévices. Objectif : lui soutirer de l’argent, piller son coffre-fort et obtenir son code de carte bancaire.

    À l’aide de pinces coupantes, deux individus – le troisième étant resté à l’extérieur de la maison pour faire le guet – menacent la victime, puis tentent de lui couper les doigts de la main droite. Agressé, entaillé, torturé, ce dernier subit, impuissant, la barbarie de ses bourreaux. Et pour cause, il n’a rien à leur donner…

    Ses tortionnaires décident alors de verser un liquide, vraisemblablement de l’acide, sur les plaies de sa main blessée. Au final, après une heure de violences effarantes, les trois individus repartent bredouilles. Ou presque : «Cinq cents euros lui ont été volés», confirme le parquet.

    La victime, elle, parvient à se libérer quelques instants après le départ de ses agresseurs. Elle avertit les gendarmes. Sérieusement blessé, Christophe est transporté à l’hôpital de Vitry-le-François où il passera la nuit. Dès le lendemain, il en ressortira et sera entendu par les forces de l’ordre. […]

    Quant à Christophe, victime de plusieurs fractures à la main, il est encore «très choqué par les événements», selon un de ses proches. Il aurait même, pour l’instant, refusé de retourner vivre chez lui, à Thiéblemont.

    L’Union (Merci à Manu1379)

    FDESOUCHE

  • Les États-Unis renonceraient à une opération d'évacuation des Yazidis

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    Des Yazidis passent la frontière syrio-irakienne.

    Une vingtaine de militaires américains ont effectué une mission de reconnaissance sur les monts Sinjar. Ils jugent que le nombre de personnes déplacées est moins important qu'estimé.

     

    La perspective d'une évacuation américaine des Yazidis réfugiés sur les monts Sinjar pour échapper aux combattants islamiques s'éloigne. Une vingtaine de militaires américains ont effectué mercredi une mission de reconnaissance sur les monts irakiens et ont découvert une situation moins critique que ce qu'ils redoutaient. D'après le New York Times, les militaires américains ont compté moins de réfugiés Yazidis qu'annoncés, soit plusieurs milliers mais pas des dizaines de milliers, alors que leur nombre était jusqu'à présent évalué par l'ONU à entre 20 et 30.000. Leur état de santé serait «relativement bon».

    «Les frappes américaines, l'action des combattants kurdes, les largages d'aide humanitaire ont permis à des milliers de réfugiés de quitter chaque nuit la montagne, ces derniers jours», a déclaré un porte-parole du Pentagone qui estimerait, selon le journal, que le siège du Sinjar est levé. En outre, plusieurs Yazidis auraient expliqué aux Américains qu'ils consideraient la montagne comme leur maison et ne voulaient pas en partir. Une opération d'évacuation est donc devenue «beaucoup moins probable».

    Les militaires américains envoyés en reconnaissance appartiennent aux Bérets verts, une force spécialisée dans la formation et le conseil des armées locales. Ils sont retournés à Erbil, la capitale du Kurdistan irakien, où se trouve une centaine de conseillers militaires. Ces derniers étudient toutes les options possibles qui impliquent étroitement les forces kurdes présentes sur le terrain. Barack Obama a répété ne pas vouloir engager de soldats américains en Irak. Parmi les scénarios d'évacuations évoqués figuraient l'établissement d'un corridor humanitaire terrestre garanti par les forces kurdes, l'envoi d'avions américains Ospreys ou une action des Kurdes appuyés par des hommes des forces spéciales américaines.

  • La Celle-Saint-Cloud : une jeune femme de 24 ans violée sur le capot d’une voiture

       

    Elisabeth Gardet | Publié le 14.08.2014, 15h54

     

                    

                                                  

    Mercredi soir, vers 23 h 45, un jeune homme, qui fêtera ses 18 ans le 16 août, a été interpellé à proximité du bois du pavillon du Butard, à La Celle-Saint-Cloud (Yvelines). Quelques minutes plus tôt, des riverains l’avaient surpris le long de l’avenue des Gressets, alors qu’il violait une jeune femme de 24 ans.

    Vers 23 h 30, il aurait suivi la jeune femme jusqu’à chez elle, depuis la gare de La Celle-Saint-Cloud, avant de la plaquer contre le capot d’une voiture pour la contraindre à une pénétration digitale.

     
     

    Alertés par les de la victime, des riverains ont appelé la police et se sont lancés à la poursuite de l’agresseur, qui tentait de se réfugier dans les bois.

     

    Défavorablement connu de la police et de la , le jeune homme faisait l’objet d’une fiche de recherche : il avait fugué d’un foyer de placement pour mineurs, situé à Montigny-le-Bretonneux. Ce jeudi après-midi, il était toujours en garde à vue au commissariat de La Celle-Saint-Cloud, chargé de l’enquête.

     

       

    LeParisien.fr

  • L’intervention en Irak, une fausse bonne idée ?

     

     14 août 2014 par Marie de Remoncourt

    Afghanistan Mine AwarenessEn Irak la situation empire, les djihadistes de l’EIIL avancent inexorablement dans un cortège de pillages, d’exécutions sommaires et de massacres. Chabaks, Yézédis, mais surtout les Chrétiens d’Irak sont victimes de ses purges. Pour le moment les États-Unis -qui ont provoqué ses problèmes par leur intervention de 2003- mènent des campagnes de frappes aériennes pour tenter d’enrayer la progression des colonnes de l’EIIL, s’inspirant ainsi de l’opération Harmattan (Libye) ou encore des débuts de l’opération Serval au Mali. Stratégie américaine qui n’obtient que des résultats mitigés et qui est contestée par beaucoup d’Américains.

    Devant le peu de succès de ces idées, des appels venant notamment du Vatican incitent à intervenir militairement en Irak. Appels relayés par beaucoup de nationaux et nationalistes français qui sont d’habitude les premiers à pousser des cris d’orfraie et à grimper au rideau à la première évocation d’une « ingérence militaire » de l’armée française au service de la « Ripoublique juive et maçonnique » (sic).

    Mais une intervention en Irak est-elle vraiment une bonne idée ? Ou n’est-ce qu’un pis-aller pour se donner bonne conscience devant notre impuissance, pis-aller qui ne ferait que repousser le problème ?

    L’intervention française en Irak… Une idée qui se répand comme une traînée de poudre et qui est fort peu réaliste. D’abord il faut des moyens pour intervenir militairement dans un pays en guerre, et ces moyens nous ne les avons pas. Le peu de régiments qu’il nous reste sont éparpillés entre les différents intérêts africains (Tchad, Mali, RCA) qui sont d’avantages intéressants pour le pays. De plus, avec les prochaines dissolutions, il paraît impossible d’envoyer des hommes dans un autre pays.

    Oui mais me direz-vous, on a bien réussi à intervenir au Mali et en RCA et seul qui plus est ! Certes mais ce n’est pas la même chose, le Mali n’est pas l’Irak et Bangui n’est pas Bagdad. Nos troupes connaissent l’Afrique depuis des années et même des siècles si l’on pense à l’œuvre coloniale, mais l’Irak ? A part une brève intervention en 1991 nous ne connaissons pas. Rajoutons à ceci cela : la distance entre Paris et Bagdad s’élève à plus de 4000 kilomètres et il faut des avions de transports pour emmener tout ce joli monde pour aller sauver l’Irak. Or avec le déficit des avions de transports français et leur vétusté, la tâche devient compliquée. On peut toujours louer des Antonov à l’Ukraine comme au début de notre engagement afghan mais acceptera-t-elle en ce moment ? Et puis au prix de 30 millions par an, ça fait cher le déplacement (Blog Secret Défense article du 25/08/2009) ! On peut demander des avions à d’autres pays mais à quel prix ?

    Bon mettons qu’on a réussi à passer tout cela, nous voilà avec des troupes en Irak. Mais que pourrais-t-on faire ? Les Américains avec beaucoup plus de troupes sur le sol irakien que ce que nous pourrons envoyer n’ont pas réussi à se dépêtrer d’un bourbier immonde ou fractures religieuses, ethniques et politiques brouillaient les cartes. Avec une superficie de 437 072 km² il faut un certain nombre de soldats pour quadriller le terrain et détruire les rebelles et autres djihadistes. Eh oui car ce n’est pas tout d’arrêter l’avancée ennemie, il faut ensuite le débusquer et l’anéantir définitivement pour ne pas voir le problème recommencer dès notre départ. C’est ce qui est arrivé à l’armée américaine. Pour éviter cela il faudrait une intervention internationale mais qui accepterait de nous suivre ? Les Américains ? Ces derniers renâclent, il faut dire qu’avec 4 489 morts et plus de 32 000 blessés on peut les comprendre. Les Anglais ? N’y comptons pas leur 179 morts les ont calmés, pas plus que les Allemands.

    A cela s’ajouteraient d’autres problèmes, tels que la reconstruction d’un État irakien qui part à la dérive avec des administrations et services publiques incompétents, corrompus et inefficaces. Il faut refaire cette armée irakienne dont on a vu son peu de réussite face aux offensives de l’EIIL. Mais une armée ça ne se reconstruit pas comme ça et quand on voit que la dizaine d’année que les Américains y ont consacrés n’a pas été suffisante, on peut craindre une intervention longue si on veut vraiment faire un travail correct et entier. Pas sûr que nos concitoyens comprennent car cela signifie aussi des morts, des blessés et comme l’opinion occidentale n’est pas prête à accepter le sacrifice des ses enfants, il y a fort à parier que une hypothétique opération ne soit qu’un simulacre de démonstration de force finissant la queue entre les jambes… Comme quoi déjà ? Ah oui comme l’Afghanistan.

    D’autres solutions ont été proposées, tout d’abord certains ont parlé d’envoyer l’armée libanaise… Certes mais si on a des troupes françaises au Liban pour maintenir l’ordre et reconstruire cette armée , cela signifie qu’elle n’est pas prête à intervenir. Et il est peu probable que le Liban avec les problèmes qui le secouent acceptent d’envoyer ses hommes en Irak. Le Liban est un peu le sismographe de la région, dès qu’il y a un souci dans la région il se répercute dans le pays manquant à chaque fois de raviver les conflits qui menacent le pays des Cèdres. Surtout que le Liban a déjà des problèmes avec les Islamistes de l’EIIL qui attaquent sa frontière, ils seraient environs 7 000 bien armés et entraînés.D’autres proposent d’armer le Hezbollah pour lutter contre l’EIIL comptant sur la rivalité Chiites Sunnites. Mais bien sûr armons et collaborons avec ceux qui ont tués 58 soldats français le 23 octobres 1983 au poste Drakkar sans compter (et on les oublie trop souvent!) les 241 soldats américains morts le même jour dans un attentat similaire commis aussi par nos « supers amis » du Hezbollah. On peut aussi oublier l’aide de l’armée de Bachar-Al-Assad, il me semble qu’elle a d’autres problèmes à régler en ce moment, oui car une guerre civile ce n’est pas une mince affaire.

    On nous parle d’armer les Kurdes, cette minorité répartit dans plusieurs pays du moyen-Orient avec une grosse partie en Irak. De les armer et de les encadrer avec des Forces Spéciales occidentales comme les OMLT en Afghanistan. Solution intelligente mais malheureusement incomplète. Les Kurdes seuls ne changeront rien, ils manquent d’armes, d’expérience, d’effectifs. Si on les arme et qu’on les encadre par de petits effectifs rien ne changera : rappelons nous l’intervention américaine au Viet-Nam. en 1964 il y avait seulement des livraisons d’armes et des militaires chargés d’encadrer l’armée sud-vietnamienne mais en 1967 les effectifs américains stationnés au Sud atteignirent 510 000 hommes, auxquels s’ajoutaient 40 000 hommes de l’USAF basés en Thaïlande et 30 000 autres aux formations de la 7e Flotte américaine. D’autant plus que les armer signifie surtout reconnaître et légitimer de facto leur existence en tant que pays et ainsi répondre positivement à leur revendication de création d’un état kurde unifié… Autre source d’ennui en perspective, et il n’est pas sûr que la Turquie suive derrière! Ce qui peut aussi être un bon moyen de respecter le principe de Bismarck de toujours conserver un casus belli sous le coude.

    Pourquoi ? Car l’encadrement des troupes ne suffit pas pour compenser leur inexpérience et leur sous-effectif et par un effet d’aspiration on finit par envoyer des troupes au sol. Il faut se méfier des sirènes du tout-aérien et des frappes chirurgicales pour faire cesser un conflit. La Libye est un exemple frappant, après nos bombardements soi-disant couronnés de succès, les désordres n’ont jamais été plus grands ! C’est pareil pour le mythe forces-spéciales, ces dernières très compétentes pour mener des petites opérations précises ne peuvent mener une campagne entière et mailler un territoire, l’infanterie reste ici Reine des batailles. Il suffit de regarder les campagnes d’Afghanistan et d’Irak, si juste des avions et des forces-spéciales eurent été suffisantes on n'aurai pas ces problèmes. Pensez-vous vraiment que les Américains et les pays de la coalition n’ont pas essayé ?

    Les conflits de décolonisation sont un exemple typique, prenons l’Algérie : les forces françaises s’élevèrent à plus de 460 000 hommes. Le but étant d’avoir le plus fort et resserré maillage du territoire possible. Pourquoi ? Nous vous invitons à lire les livres de Trinquier (La guerre moderne) ou de Galula (Contre-Insurrection théories et pratiques). Une fois l’offensive rebelles stoppée, il faut ensuite nettoyer tout le territoire pour empêcher les graines de la discorde de reprendre. Pour cela il faut pouvoir détruire dans son intégralité l’appareil militaro-administratif des rebelles, c’est à dire détruire ses forces militaires mais aussi ses forces politiques qui contrôlent une grande partie du pays. Il faut pouvoir proposer autre chose, pouvoir construire une alternative. Pendant la guerre d’Algérie paras et légionnaires étaient les troupes d’intervention mais elles ne suffisaient pas, il fallait des troupes de quadrillages pour tenir les villages, les postes, les routes, pour quadriller le territoire et gagner les cœurs et les esprits. Ce rôle était tenu par les petits biffins, les appelés ; par une création très intelligente : les SAS ou Section Administrative Spécialisée. Tous les conflits de décolonisation et de contre-insurrection actuels obéissent à cette règle ! Pourquoi lors des guerres récentes en Irak ou ailleurs a-t-on sans cesse voulu augmenter les effectifs ? Eh bien pour contrôler le territoire, répondre aux demandes de la population et pour se donner les moyens de traquer l’adversaire partout où il se cache et ce jusque dans les zones où il se croit en sécurité. Regardez la Libye, le conflit a-t-il cessé ? Non ! Et au Mali, les forces ennemies ont-elles tout arrêté après les bombardements français ? Non, non et encore non ! D’ailleurs et malgré la présence de nos troupes au sol on constate un regain d’intensité du conflit et un retour des Djihadistes. Déployer des troupes au sol c’est ce qui risque d’arriver si on intervient de nouveau en Irak, et c’est la seule solution possible.

    En conclusion si nous ne pouvons éviter d’envoyer des troupes au sol, il faudra le faire dans un contexte international. Il faut être prêt si l’on veut sauver les Chrétiens d’Irak à envoyer des hommes, beaucoup d’hommes, au sol et par contre-partie à payer le prix de la mort, du sang et des larmes. Surtout prenons garde à ne pas céder aux sirènes du tout technologie et de la guerre à distance, les Américains s’y sont égarés et les Français aussi, cela ne fait que stopper et repousser le problème momentanément. D’ailleurs malgré les frappes aériennes américaines l’avancée des islamistes se poursuit même si elle connaît un ralentissement qui est d’ailleurs dû à plusieurs choses et non uniquement à l’intervention américaine.

    Pour éradiquer une rébellion il faut anéantir tout son appareil que se soit politique ou militaire mais surtout être capable de le remplacer par autre chose et dans le cas irakien cela risque de prendre plusieurs dizaines d’année car tout est à reconstruire et un État au sens noble du terme ne s’improvise pas en 10 ans. La France s’est forgée sur des siècles. Il faut aussi et là est le véritable souci être prêt à risquer la vie de nos soldats, ce que l’opinion n’est plus prête à encaisser et refuse désormais, rappelons que les familles des soldats tués à Uzbeen en 2008 ont attaqué l’État et l’armée, du jamais vu encore ! En Algérie nous avons déployés 460 000 hommes et eu 28 500 morts, en Afghanistan nous avons déployé 3800 hommes et eu 89 morts. Les chiffres sont significatifs.

    Enfin il manque à la France une volonté de réussir et surtout une stratégie claire et cohérente, et sans cela, on arrive à rien.

    Contre-info.com

  • Kiev envoie son propre convoi d'aide humanitaire dans l'Est

    Le Vif

    Source: Belga
    jeudi 14 août 2014 à 10h58

    Les autorités ukrainiennes ont annoncé jeudi avoir envoyé leur propre convoi humanitaire à destination des populations des bastions rebelles de Donetsk et Lougansk, alors qu'un convoi russe est en route vers la frontière ukrainienne sous le même prétexte.

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    © Image Globe

    "Le jeudi 14 août à 11H00 sera envoyé des trois villes ukrainiennes de Kiev, Dnipropetrovsk et Kharkiv, un convoi de camions d'aide pour les habitants de Lougansk et de Donetsk", a indiqué le service de presse de la présidence dans un communiqué. "La Croix-Rouge distribuera cette aide à la population civile" de ces deux bastions des insurgés prorusses, ajoute le communiqué.

    Le convoi ukrainien, composé de 15 camions transportant 240 tonnes de produits de première nécessité, s'arrêtera dans la ville de Starobilsk, localité sous contrôle du gouvernement à 97 km au nord de Lougansk, où il sera pris en charge par le Comité international de la Croix-Rouge.

    Les autorités ukrainiennes ont décidé mercredi d'allouer 10 millions de hryvnias (570.000 euros) pour les besoins humanitaires des populations de l'est du pays, victimes de quatre mois de combats entre les insurgés prorusses et les forces loyalistes.

    L'Ukraine et la Russie se livrent un bras de fer depuis plusieurs jours concernant les modalités de la distribution d'une aide humanitaire russe aux bastions rebelles de Donetsk et Lougansk, assiégés par l'armée ukrainiennes et confrontés à une situation humanitaire "critique". L'Ukraine, comme de nombreux pays occidentaux, soupçonne que ce convoi parti mardi matin d'une base militaire des environs de Moscou et qui est à l'arrêt dans le sud de la Russie ne serve de couverture à une éventuelle intervention russe en Ukraine. Un scénario qualifié "d'absurde" par le ministère russe des Affaires étrangères.

    Kiev a finalement proposé mercredi que l'aide soit acheminée puis distribuée à Lougansk par la Croix-Rouge, après avoir été inspectée à un poste-frontière proche de cette ville.

  • Auprès de ma Blonde (1704)

    Composée en 1704, sous Louis XIV et attribuée, selon une tradition locale à André Joubert du Collet, cette chanson est probablement l'une des plus représentatives des chants populaires français. Cette marche militaire, dont le titre original : le prisonnier de Hollande, cadre avec les différents conflits du XVIIe siècle, fut rapidement très populaire à l'époque parmi les troupes. Ainsi, l'histoire rapporte que les soldats de duc de Villars, maréchal de France du XVIIe siècle (1653 - 1734) la chantaient en entrant au Quesnoy en 1712. Ce chant de marche , populaire encore au 19e siècle et jusque dans les tranchées de la grande guerre, passa ensuite dans le grand public puis comme beaucoup d'autres, fut classé parmi les chansons enfantines.

  • KONK

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    E&R

  • Le néga-sionisme d'Elisabeth Lévy

    croah.fr: Lundi 4 août, Elisabeth Levy était ainsi conviée par l’émission On refait le monde de RTL. Face à l’animatrice Florence Cohen, la directrice du mensuel Causeur a bataillé avec les journalistes Joseph Macé-Scaron (Marianne) et Jean-Christophe Buisson (Le Figaro Magazine).

    Thèmes abordés : l’échec du cessez-le-feu à Gaza, les ravages causés dans la population palestinienne et la réalité des crimes de guerre commis par l’armée israélienne.
    Panamza vous propose de découvrir la prestation édifiante d’une éditorialiste devenue porte-parole – de facto – du gouvernement Netanyahou et davantage intéressée, comme le rappelait un récent portrait, pourtant complaisant, du Monde Magazine, par les joutes verbales que par les faits et l’investigation.

     

  • Chauprade fait allégeance à Israël et dénonce "l’immigration zéro"

     

    "La gloire n’est plus qu’une denrée coloniale."
    Jules Renard

     

    Aymeric Chauprade, dans un article récent, a voulu définir la ligne géopolitique qui est la sienne. Ce député européen du Front National, passant jadis pour un opposant au lobby pro-israélien et néo-conservateur, entend induire dans ce qui est un véritable ralliement récent à l’entité sioniste nombre de nationalistes européens. Une analyse critique s’impose.

     

    Le christianisme factice d’Aymeric Chauprade

    Nous soulignons d’emblée qu’Aymeric Chauprade, en tant que député FN, est devenu à ce titre l’obligé de la main qui le nourrit. Bien sûr l’intéressé, comme quiconque, peut défendre toutes les positions qui lui semblent bon d’adopter. L’objet de cet article n’est pas tant de condamner Aymeric Chauprade que d’éclairer les esprits qui ont pu être et sont encore intéressés par les analyses de ce dernier et qui pourraient, sans y prêter attention, se voir entraînés dans l’évident ralliement pro-sioniste de ce géopolitologue.

    Lire la suite de l’article sur breizatao.com

    NdB: Il faut absolument lire la suite: vous ne serez pas déçu !

      

    E&R

  • Mathématiques françaises : une excellence à préserver

     

    Le Monde.fr | 13.08.2014 à 10h17 | Par Christine Clerici ( Présidente de l'université Paris Diderot) et Alain Fuchs ( Président du CNRS)

                       

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    Mathématiques, une excellence française | CC BY-SA 3.0

    Le congrès international des mathématiciens (ICM) qui se tient à Séoul est l'occasion de décerner les médailles Fields, équivalent du prix Nobel, à des mathématiciens âgés de moins de 40 ans. Parmi les lauréats 2014, Artur Avila, chercheur franco-brésilien, directeur de recherche du CNRS à l'université Paris Diderot, est récompensé pour ses travaux sur les opérateurs de Schrödinger quasi-périodiques. Une récompense qui confirme l'excellence de l'école française de mathématiques et son rayonnement international.

    Depuis 1936, date de la création du Congrès, la France avec 12 médailles occupe le 2ème rang mondial après les États-Unis. Sur les seules dix dernières années, avec huit lauréats, elle est leader mondial de la discipline. Elle est devenue une terre d'accueil privilégiée pour les mathématiciens du monde entier. Plusieurs médaillés français possèdent la double nationalité : franco-russe pour Maxime Kontsevitch (2006), franco-vietnamienne pour Ngô Bao Chaû (2010) et franco-brésilienne pour Artur Avila (2014). Témoins de la vitalité des mathématiques françaises, ces résultats sont d'autant plus remarquables qu'ils s'inscrivent dans un contexte international de plus en plus concurrentiel. Ils résultent d'un travail de très longue haleine de structuration de la communauté mathématique française.

    Au-delà de la médaille française, ce congrès 2014 est historique puisqu'il récompense pour la première fois une femme, Maryam Mirzakhani, mathématicienne iranienne, professeure à Stanford. Cela vient confirmer la tendance observée dans les précédentes éditions d'une plus grande présence des femmes parmi les conférenciers invités. Du côté français, la montée en puissance de nos mathématiciennes est déjà notable. En 2012, le prix international Henri Poincaré, créé en 1997 et qui récompense tous les trois ans des scientifiques éminents pour l'ensemble de leurs travaux en physique mathématique, a été décerné à deux françaises : Nalini Anantharaman et Sylvia Serfaty. Jamais aucune femme n'en avait été récipiendaire. Si on peut se réjouir de ces récompenses, il est cependant inquiétant de constater qu'en France le nombre de femmes recrutées en mathématiques fondamentales a diminué au cours des dernières années et que les filles sont peu présentes dans les filières scientifiques notamment au sein des grandes écoles.

    La recherche mathématique doit aussi être appréciée comme un formidable potentiel d'innovation pour notre pays. Les applications des mathématiques n'ont jamais autant bouleversé le monde que ces dernières années : réseaux informatiques, big data, systèmes embarqués, web... les maths sont partout, et les innovations de rupture issues de travaux fondamentaux continueront à modifier nos usages de façon souvent inattendue. En 2006, l'ICM a créé le prix Carl Friedrich Gauss pour récompenser les contributions remarquables débouchant sur des applications significatives en dehors du champ des mathématiques.

    En 2010, ce prix a été remis à Yves Meyer, professeur émérite à l'Ecole normale supérieure de Cachan et membre de l'Académie des Sciences pour ses travaux sur les ondelettes, qui ont révolutionné le traitement du signal utilisé notamment dans le traitement de l'image et de la vidéo. Pour ce mathématicien « l'avenir des mathématiques réside dans une sorte de respiration avec toutes les sciences et toutes les technologies » et il donne l'exemple de l'apport des mathématiques dans le domaine des neurosciences où pour lui « la compréhension du cerveau progresse et progressera grâce à la modélisation mathématique, seule à même d'envisager et de structurer des mécanismes dont la description détaillée est strictement impossible »

    Ces prix et médailles sont autant de témoignages de cette excellence mathématique française. Mais il nous faut rester collectivement vigilants car cette situation favorable est loin d'être assurée pour le futur. Pour continuer d'attirer des étudiants de très haut niveau, il faut que nous puissions leur assurer une carrière professionnelle à un moment où le financement public de la recherche en France reste très en deçà de celui de nos partenaires européens, des Etats-Unis et de certains pays émergents. Les mathématiques doivent également faire valoir leur potentiel d'innovation au profit de l'industrie et de l'entreprise et attirer ainsi des étudiants et des chercheurs de haut potentiel tentés par les mathématiques plus appliquées.

    Développer l'attractivité française de la discipline, susciter des vocations auprès des plus jeunes, mettre cette excellence au service de l'innovation, renforcer la place des femmes, sont autant de défis qu'il faudra relever pour continuer à faire de la France, une des championnes mondiales des mathématiques.

     
    • Christine Clerici ( Présidente de l'université Paris Diderot)
    • Alain Fuchs ( Président du CNRS)
  • Feria de Béziers: Ménard organise une messe dans les arènes

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    FERIAS - Béziers s’apprête à lancer la première feria sous le mandat de Robert Ménard, élu avec le soutien du FN. Cinq jours de festivité que la mairie a préparés en mettant en place un dispositif de sécurité dédié.  

    Béziers s’apprête à lancer sa feria mercredi. Cinq jours de festivités qui, à Bayonne, ont été entachés cette année par deux plaintes pour viols et 53 interpellations. Pour sécuriser cet événement annuel, la nouvelle mairie de la cité heraultaise soutenue par l’extrême droite et dirigée par Robert Ménard, s’est préparée. Dominique Garcia, adjoint au maire en charge de la Sécurité de la ville et des grands événements, fait le point pour 20 Minutes, à deux jours du lancement des fêtes.

    Avez-vous prévu un dispositif de sécurité particulier pour les cinq jours de feria?

    Nous avons misé sur la prévention des risques de l’alcool. Dans les casetas, des installations publiques provisoires, nous avons donné des recommandations sanitaires, et mis des alcootests à disposition sur les axes principaux. Des médiateurs seront aussi présents sur le parking, desservi par des navettes gratuites pour rejoindre le centre-ville. Ils disposeront d’alcootests et seront chargés de dissuader les personnes alcoolisées de prendre le volant. En cas de besoin, ils pourront demander l’intervention des forces de police.

    Nous avons imposé plusieurs règles relatives à la vente d’alcools. Dans le périmètre de la feria, les commerçants ne vendent que des alcools de catégorie 1 et 2. Nous avons aussi invité les stations-service à ne pas vendre d’alcool après 19 heures. Il est ainsi strictement interdit de faire entrer de l’alcool de l’extérieur dans le périmètre restreint, et les policiers sont autorisés à fouiller les participants pour confisquer les produits interdits.

    Durant les cinq jours de fête, deux compagnies de CRS ont été appelées en renfort. En plus de la police municipale comptant 40 hommes, 250 policiers et gendarmes seront présents sur le site et aux alentours. Nous avons aussi ajouté trois caméras de vidéosurveillance supplémentaire à notre centre de protection qui en compte déjà 37. Le PC sécurité de la ville sera aussi doublé par un centre provisoire installé au Palais des Congrès et permettant de visionner quatre caméras en même temps.

    Avant Béziers, la feria de Bayonne a été entachée par 272 dépôts de plainte, dont deux pour viols, et 34 gardes à vue. Ce bilan vous inquiète-t-il?

    Nous savons que des bandes viennent à la feria pour d’autres raisons que faire la fête. Nous avons déjà eu des vols dans les véhicules où à l’arraché dans les rues. Mais notre service de vidéo joue son rôle, la ville est bien quadrillée, et notre dispositif de sécurité bien rodé. Excepté en 2012, nous n’avons pas eu à déplorer de faits particulièrement graves.

    A Bayonne, la configuration des lieux est particulière et la mentalité des participants peut-être différente de ceux de Béziers. Notre feria n’est pas dans une tradition de violence. Et quand il y a des infractions, nous savons où elles ont lieu. Alors nous avons fait appel à des médiateurs qui connaissent la ville et repèrent les individus qui ne sont pas intéressés par la féria. Toutes les chances sont de notre côté pour que la féria soit une fête réussie.

    Cette feria sera la première sous le mandat de Robert Ménard. Le maire a-t-il prévu des changements dans les festivités?

    Le maire a voulu mettre sa patte pour cette féria 2014, et l’ambiance a été quelque peu modifiée. Robert Ménard veut que ce soit une fête traditionnelle et familiale, et non une grande beuverie. Les arènes seront donc ouvertes par une messe et la feria sera officiellement lancée après un défilé bon enfant. Cette année, nous avons imposé des horaires pour la diffusion de musique, avec des créneaux pour les différents styles musicaux. Cela doit éviter la cacophonie sonore présente jusqu’à aujourd’hui.

    La feria doit être un rassemblement de personnes qui aiment la tradition taurine et religieuse. Cette année, nous attendons des Barcelonais qui viendront dans nos arènes, maintenant qu’il n’y a plus de corrida chez eux. Les premiers retours sur cette édition 2014 sont bons. Les gens ont hâte que la feria commence.

    Propos recueillis par Floriane Dumazert
     
    20 Minutes
  • Extrême-droite: des stages commando en pleine forêt de Fontainebleau

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    Sur le site «Egalité et réconciliation» d'Alain Soral, un proche de décrit par le Canard Enchaîné sorti ce mercredi comme un «national- assumé», on découvre la vidéo d'un d'entraînement organisé par une mystérieuse association «Prenons le maquis», en forêt de Fontainebleau.

     

     



    On y voit des «citoyens responsables» au crâne rasé qui ont payé 200 euros pour faire des feux de bois, s'entraîner au close combat et se former aux rudiments des premiers soins. Soudain, une image montre un homme, attaqué par un comparse, sortir une arme et faire feu à bout portant - à blanc - sur son agresseur. Ce stage commando , qui s'étale sur un week-end, avec campement sur place, propose notamment de protéger son intégrité physique et mentale».

    Devant le succès de la «formation» dispensée les 28 et 29 juin, le site d'Alain Soral, qui plaide pour la «réconciliation nationale», indique qu'une nouvelle session est prévue les 30 et 31 août. Pas sûr cependant qu'elle ait lieu. Dès la parution de l'article du Canard enchaîné, intitulé «Les rouges-bruns se mettent au vert», le parti socialiste a réagi.

    Apprenant avec «inquiétude» que «Alain Soral organise via son site "Egalité et réconciliation" des stages dont la nature belliqueuse ne fait aucun doute», le PS «s'émeut de voir ce mouvement idéologiquement violent et politiquement d'extrême droite organiser des stages d'entrainement dans la forêt de Fontainebleau sous prétexte de retour à la nature». Le PS appelle donc «les pouvoirs publics à la plus grande vigilance».

    Le Parisien 06 08 14

  • La momification en Egypte 1500 ans plus ancienne qu'estimé

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    Momie d'un enfant - Musée du Caire

    http://www.leparisien.fr/flash-actualite-culture/la-momification-artificielle-en-egypte-1-500-ans-plus-ancienne-qu-estime-13-08-2014-4063091.php

  • Des T-shirts à l'effigie de Poutine

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    Des T-shirts à l'effigie du Président Vladimir Poutine sont en vente dans un magasin du centre de Moscou (Reuters)

  • Fin de monde

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    Le 10 août 2014

    La France des profondeurs du pays, celle qui vivait autrefois de l’agriculture et des petits métiers, s’enfonce aujourd’hui dans le néant.

     

    Les caméras des télés – c’est-à-dire du parisianisme – sont toujours braquées sur les grandes métropoles. On parle constamment des banlieues : de Paris, de Lyon, de Marseille, de Lille… On cible les populations d’importation, davantage fauteuses de troubles, coupables d’inassimiliation. Alors, forcément, on regarde avec des yeux ronds l’institutrice qui, dans un petit village de 1.500 âmes au cœur du Berry, vous dit froidement : « Avant, je travaillais en ZEP dans la région parisienne. Aujourd’hui, je regrette de ne plus y être. »

    Ce qu’elle dit, ce qu’elle nous dit à tous, c’est que la France enclavée, celle des campagnes qui ne sont pas irriguées par le tourisme et les nouveaux« rurbains », a totalement dévissé. Décrochage social, culturel, décrochage aussi sur le plan de la famille et de la santé, la France des profondeurs du pays, celle qui vivait autrefois de l’agriculture et des petits métiers, s’enfonce aujourd’hui dans le néant.

    Les trente élèves de maternelle de cette maîtresse désabusée ont, comme tous les enfants, de jolies frimousses. Pas « d’extra-européens » parmi eux, pas d’ombre planante d’une immigration qui serait si commodément désignée mère de tous les maux. Pourtant, un seul enfant porte un prénom à consonance française : il s’appelle Raphaël. Tous les autres, sans exception, portent des prénoms de séries télé américaines : Sayan, Shaïyann, Kyle, Kyliane, Kyllian ou Kylian, Kellie, Kelya et même Junior… Même chose 20 kilomètres plus loin. Là, sur les 97 familles qui fréquentent l’école maternelle, on compte seulement un couple marié, et 7 enfants sont déjà placés en famille d’accueil.

    Dans ces terres du Centre et néanmoins du bout du monde, on demande « ce que font » les parents. Question idiote : là-bas, il n’y a plus rien à faire. De fait, ils sont une infime minorité à avoir un travail, nous répond la dame. Le bricolage, alors, le jardinage ? Non. Les écolos des villes l’ignorent peut-être : ils n’ont pas d’alter ego dans les campagnes. Cultiver son potager, c’est bon sur les toits de Paris. Là-bas, c’est soda, frites-mayonnaise et Super U.

    Dans ces populations qui vivent pour la très grande majorité des minima sociaux, l’obésité fait des ravages. Les mères sont souvent seules, promenant avec peine leur quintal entre des gamins que leur ont laissés des compagnons de passage. Des gosses parfois attrapés en sortie de boîte sur un capot de voiture et qu’on traîne toute sa vie comme des boulets. La contraception ? C’est quoi, ça ?

    L’institutrice évoque ses ministres de tutelle, prononce en riant jaune la phrase magique : « égalité des chances ». Passe alors une femme, avec ses deux enfants qui se chamaillent. Le grand (3 ou 4 ans) asticote le bébé sumo qui se trémousse dans la poussette. « Arrête de faire chier, Truman ! » hurle la mère.

    Ce pourrait être le titre d’un livre sur le déclin de la France…

    Marie Delarue

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

     

     

  • Huit ans et demi dans un camp pénitentière russe: dans le quotidien d'une prisonnière

    http://www.atlantico.fr/decryptage/huit-ans-et-demi-dans-goulag-russe-routine-et-norme-prisonniere-zara-mourtazalieva-moutons-noirs-1700990.html