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Sans commentaires!
(merci à Bruno)
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Le directeur de l’IUT de Saint-Denis de nouveau agressé et menacé de mort
10 octobre 2015 par Pierrot - Contre-info.comSamuel Mayol, le directeur de l’IUT de Saint-Denis, est la cible depuis plusieurs années de menaces émanant des mafias allogènes de son établissement (voir ici).
Il avait déjà reçu des menaces de mort. Il avait aussi déjà été agressé en mai 2014. Le directeur de l’IUT de l’université Paris 13, Samuel Mayol, a été victime d’une nouvelle agression, vendredi 9 octobre au soir, alors qu’il promenait son chien près de son domicile dans le 20e arrondissement de Paris. Selon Le Parisien, Samuel Mayol souffre de contusions au front et à l’arcade et s’est vu prescrire une semaine d’arrêt de travail.
« On va te buter »
« J’étais au téléphone avec lui quand j’ai entendu son chien aboyer violemment, puis un cri. La communication a ensuite été coupée », a raconté Florent Tétard, qui enseigne lui aussi à l’IUT. « Quand j’ai réussi à le recontacter, il m’a dit qu’il avait été agressé par derrière par un homme qui lui a dit : ‘On va te buter.' »
La direction de l’université Paris 13 a rappelé dans un communiqué qu’une enquête était en cours depuis 18 mois et que « de nouveaux faits sont signalés régulièrement aux autorités ». La ministre de l’Éducation nationale et le secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur ont apporté leur soutien au directeur de l’IUT, dans un communiqué commun. Najat Vallaud-Belkacem et Thierry Mando « souhaitent que le coupable de cette agression puisse être identifié dans les plus brefs délais afin que cessent ces agissements répétés ».
« Les investigations n’ont donné aucun résultat »
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Humour, quoique...
(merci à Dirk)
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Pourquoi les Blancs sont-ils racistes vis à vis d’eux-mêmes ?
Ecrit le 8 oct 2015 à 9:00 par Le Scribe dans Poing de vue
Pourquoi les blancs ne s’aiment-ils pas en tant que blancs ? Pourquoi les blancs ne veulent-ils pas se voir comme blancs ?
Lorsqu’on tape « homme de race blanche » sur Google traduction on obtient « white male » ; derrière la froide description biologique, presque policière, on sent peser sur un tel individu le soupçon d’un péché quasi-consubstantiel de sexisme aggravé, voire de « suprémacisme ». Lorsqu’on tape « homme de race noire » on obtient « black man », locution dont se dégage tout de suite une image sympathique et valorisante, issue à la fois de la dignité naturelle que revêt le qualificatif d’homme et de l’imaginaire positif véhiculé par la culture noire américaine.
A quoi cette inégalité de traitement ordinaire entre les couleurs de peaux est-elle due ? Pourquoi, pour Google, c’est à dire pour le monde occidental dominant, un Noir est-il un homme et un Blanc est-il un mâle ? (D’espèce indéterminée)
La raison de cette autoflagellation est la suivante : la seule façon de faire accepter la civilisation occidentale à la Terre entière, c’est de lui faire croire qu’elle n’est pas la civilisation des Blancs (car ce serait du colonialisme, et l’universalisme de bon aloi de nos gouvernements/élites/médias s’effondrerait immédiatement), mais qu’elle est LA civilisation tout court, la civilisation au delà des civilisations; c’est à dire, dans une perspective historique, la civilisation au delà des races.
Or dans les faits, c’est bien la civilisation occidentale née en Europe qui s’impose partout, ce n’est pas la civilisation indoue, chinoise, inuit, sioux, ou dogon qui s’impose, c’est la civilisation des philosophes d’Athènes, des légions de Rome, des moines du Moyen-âge, des artistes et savants de la renaissance, celle de Périclès, de Saint-Benoit, de Goethe, de Descartes et de Kant. Au delà de leurs différences, force est de constater que tous ces hommes sont, au regard de l’ensemble des hommes vivant sur Terre, tout de même plutôt… blancs. La prétention universelle de la civilisation occidentale est ce qui légitime son expansion à la Terre entière, or, si son concept clef de Raison peut se targuer d’être universel, sa couleur de peau ne l’est pas.
Il lui faut donc se départir de cette couleur trop visible, de ce blanc qui fait tâche, pour faire plus « citoyen du monde », et gagner ainsi véritablement cette universalité qu’elle revendique haut et fort. Plus il y aura d’Africains vivant à Paris ou à New York, plus il y aura d’indiens à Stanford et de Chinois à Polytechnique, plus il y aura d’assimilés de toutes couleurs, plus la civilisation occidentale sera légitime pour vampiriser l’Afrique, et vider le reste du monde de sa substance culturelle.
L’argument de l’anti-racisme est en réalité l’argument ultime de légitimation du colonialisme occidental. « Vous voyez, ce ne sont pas des Blancs qui vous disent ce qu’il faut faire, c’est l’homme post-racial, l’homme métissé et émancipé des contraintes liées à l’appartenance à une race spécifique. Le post-racial n’est possible que dans l’extinction des races par leur mélange. D’ailleurs ce mélange est la preuve qu’il n’y a pas de race spécifique, il n’y a qu’une race humaine, les différences s’il en y a, sont le signe, la preuve même, d’un retard dans votre développement. » L’homme du futur ne peut être que métissé, symbole, dans sa chair, de l’universalité victorieuse des identités multiples. Celui qui s’oppose à cet horizon est fatalement un fasciste.
Le problème c’est que cette logique, ce système de pensée, comme toute pensée systémique, aboutit à une contradiction : le post-racial a besoin pour se légitimer de supposer préalablement l’existence des races ; s’il n’y avait pas de races, alors l’anti-racisme ne serait ni une nécessité ni un progrès. Or, en allant aujourd’hui jusqu’à poser l’inexistence des races, le politiquement correct sape les fondements mêmes de son existence. « Vous dites que les races n’existent pas, qu’il n’y a qu’une race humaine, mais alors dans ce cas pourquoi vouloir un monde post-racial ? Pourquoi vouloir la disparition de quelque chose qui n’existe pas? Vous dites que les Blancs ça n’existe pas, mais qu’il faudrait moins de Blancs à la télé? » « Ah oui mais non… » Oui mais non, tu parles. Elle est où l’arnaque ?
L’arnaque c’est que combattre le racisme n’est pas combattre l’existence des races, de même que combattre l’alcoolisme n’est pas combattre l’existence de l’alcool, de même que combattre le sexisme n’est pas combattre l’existence des sexes, de même que combattre le scientisme n’est pas combattre l’existence de la science, de même que combattre la pensée malveillante, stupide ou butée, n’est pas combattre l’existence de la pensée.
La vérité est que le post-racial est un projet de Blancs, tout comme le post-sexuel, et demain le post-humain. La vérité c’est que ce ne sont que des Blancs qui imposent à la Terre entière leur vision du monde, leur mode de vie, et finalement leurs produits, leur coca-cola et leur désespoir.
Enfin pas tous les Blancs, seulement ceux qui n’osent pas dire qu’ils le sont.
NDF
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Ci-gît Charles de Gaulle, mort en octobre 2015
Plus personne, en France, n’aura le droit de revendiquer dorénavant son héritage, surtout pas "Les Républicains" et surtout pas Florian Philippot et ses gerbes commémoratives.Ecrivain1.2kSHARESSi Charles de Gaulle a été enterré en novembre 1970, il est, en vérité, mort définitivement en ce début d’octobre 2015.
Plus personne, en France, n’aura le droit de revendiquer dorénavant son héritage, surtout pas « Les Républicains » et surtout pas Florian Philippot et ses gerbes commémoratives.
Celui qui a prononcé, en plus de la phrase désormais célèbre citée par Nadine Morano sur « la race blanche » :
*Au général Kœnig, gouverneur de Paris : « Lorsque la monarchie ou l’empire réunissait à la France l’Alsace, la Franche-Comté, le Roussillon, la Savoie, le pays de Gex ou le Comté de Nice, on restait entre Blancs, entre Européens, entre chrétiens ! »
*Au député UNR Raymond Dronne : « Voulez-vous être bougnoulisé ? Voyons, Dronne, donneriez-vous votre fille à marier à un bougnoule ? »
*À son ministre Joxe, lors des accords d’Évian : « Alors, Joxe, vous en avez fini avec vos bicots ? »
*Au député UNR Léon Delbecque : « Et puis, Delbecque, vous vous voyez mélangé à des musulmans ? Ce sont des gens différents de nous ! »
*À Alain Peyrefitte : « Des Français, ces gens-là ! Avec leurs burnous et leurs djellabas ? »
*Enfin, à son fils Philippe : « Si une communauté n’est pas acceptée c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous imposer ses mœurs ! »
Oui, celui qui a prononcé toutes ces phrases serait, sans hésitation aucune, condamné pour racisme par les Hollande, Valls, Taubira et bon nombre de ses ex-partisans.
Ce serait, bien évidemment, le cas également de Jules Ferry, le père de l’école publique et laïque, qui déclarait à l’Assemblée le 28 juillet 1885 : « Les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. »
Quant à Aimé Césaire, il ne pourrait plus affirmer qu’il était « de la race de ceux qu’on opprime ».
Enfin, je conseille vivement au CIO de changer les couleurs de ses cinq anneaux, représentants les cinq continents, donc le continent noir (Afrique), le continent jaune (Asie) et le continent blanc (Europe).
Nadine Morano a fait une erreur sémantique, elle aurait dû utiliser le terme « ethnie » et non celui de « race » : « Ethnie : groupement humain qui possède une structure familiale, économique et sociale homogène et dont l’unité repose sur une communauté de langue, de culture et de conscience de groupe. »
Le « racé » Philippe de Villiers a tendu la main à Nadine, et le non moins « racé » Dupont-Aignan devrait proposer à Morano de se présenter en Lorraine sous sa devise « Debout la France ».
Quant à Nicolas Sarkozy, ce petit homme n’est certainement pas de la « race des chefs ». Un chef n’abandonne pas un combattant blessé au combat !
aujourd'hui sur -
Hollande et Merkel au Parlement européen: la réplique de Bruno Gollnisch
(merci à Dirk)
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Charlie Hebdo, au plus haut degré de l’abjection raciste : PÉTITION pour sa dissolution !
NdB: Je viens de signer la pétition
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Allemagne : Près d’un million de nouveaux migrants d’ici à la fin 2015
J-2Jusqu’alors, l’Allemagne s’attendait à accueillir entre 800.000 à un million de migrants en 2015, ce qui constituait déjà un record pour le pays et pour l’Europe. Mais, selon un document confidentiel, les autorités allemandes estiment que le pays pourrait accueillir dans les trois prochains mois jusqu’à 920.000 nouveaux migrants, ce qui porterait les prévisions à jusqu’à 1,5 million de personnes pour toute l’année 2015.Selon les dernières données du gouvernement quelque 450.000 migrants étaient arrivés dans le pays fin août et Berlin s’attend à une intensification de l’afflux dans les derniers mois de l’année. La pression migratoire va encore grandir. Pour le quatrième trimestre, nous tablons entre 7.000 et 10.000 entrée illégales par jour, selon des extraits de ce document.
Ce chiffre important de demandeurs d’asile risque de devenir une charge extrême pour les régions et les communes allemandes, selon le document, qui évoque encore un risque d’effondrement du système d’accueil. Chaque migrant qui se voit attribuer le statut de réfugié et donc octroyer l’asile en Allemagne a le droit d’y faire venir sa famille. Selon le document cité, chaque réfugié pourrait ainsi en moyenne faire venir de quatre à huit proches en Allemagne.
Ainsi, d’octobre à décembre, et sur la base du chiffre prévisionnel de jusqu’à 920.000 migrants, quelque 7,36 millions de personnes pourraient se voir reconnaître le droit d’asile en Allemagne via ce regroupement familial, avance le document.
« A mon avis, qui est tout à fait personnel, nous allons enregistrer cette année au total entre 1,2 et 1,5 million de réfugiés« , a aussi indiqué dans un entretien à l’édition dominicale de Die Welt, Lorenz Caffier, ministre-président du Land (État-Région) de Mecklembourg-Poméranie antérieure (nord). Plusieurs Länder sont à la limite de leur capacité d’accueil, a encore prévenu M. Caffier, dont la région n’est toutefois pas en pointe dans l’accueil des migrants, contrairement à la Bavière (sud), par où arrivent la plupart des migrants qui rentrent en Allemagne.[...]
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« Les enfants d’origine africaine, nombreux dans nos classes, méritent de connaître les aspects les plus brillants du passé de leurs ancêtres »
18h02Enseignement de l’Afrique à l’école, un oubli coupable
Par Jean-Pierre Chrétien, Historien et Pierre Boilley , Professeur d’histoire de l’Afrique contemporaine à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne, Centre d’études des mondes africains.L’apprentissage des civilisations de l’Afrique en classe de 5e a été discrètement retirée des programmes. Oubli ou nouveau repli vers le «roman national»?
En 2010, une question consacrée aux anciennes civilisations de l’Afrique du VIIIe au XVIe siècle avait été introduite dans les programmes de la classe de 5e. Elle reflétait un souci d’ouverture de l’enseignement de l’histoire à l’ensemble du monde. Les enseignants et les chercheurs concernés s’étaient mobilisés pour intégrer et éclairer cette question sur le plan pédagogique. Et nous apprenons qu’aujourd’hui, dans les projets de programme élaborés en avril, puis en septembre 2015, que cette question a été éliminée en catimini. [...]
Ce ne sont pas seulement les enfants d’origine africaine, nombreux dans nos classes, qui méritent de connaître les aspects les plus brillants du passé de leurs ancêtres, mais tous les élèves si on veut leur éviter l’étroitesse de vues, les préjugés et les retombées d’un racisme hélas toujours vivace.
Ce sont donc les valeurs si souvent avancées de «la République» qui sont en cause. Mais surtout c’est le respect de la discipline historique faite d’héritages et de ruptures, mais aussi, à chaque époque, de connexions, proches ou lointaines, qui est en jeu.
Le retrait de la question d’histoire africaine en classe de 5e résonne comme un signal de repliement, d’ignorance et de mépris. Les responsables de la rédaction de ces programmes doivent reprendre leurs esprits, ne pas se laisser intimider par des préjugés d’un autre âge et rectifier cet étrange «oubli».
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Syrie: l'armée russe dit avoir bombardé 55 cibles de l'EI ces dernières 24 heures
L'armée russe a affirmé samedi avoir frappé 55 cibles du groupe État islamique (EI) lors de raids aériens au cours des dernières 24 heures en Syrie, poursuivant l'intensification de ses bombardements entamé la veille.
"Lors de 64 sorties au cours des dernières 24 heures, l'aviation russe a touché 55 cibles de l'EI en Syrie", a affirmé le ministère russe de la Défense dans un communiqué. Selon le ministère, l'aviation russe a frappé dans les provinces de Damas, d'Alep, de Hama, de Raqqa et d'Idleb et détruit 29 camps d'entrainement, 23 positions fortifiées, deux postes de commandement et un dépôt de munitions. "Lors de la phase initiale de notre opération, nos avions ont détruit les principaux et plus grands centres logistiques du groupe terroriste EI", poursuit le communiqué. "Cela a permis une diminution importante du potentiel militaire des groupes armés, et un affaiblissement de leur mobilité et de leur capacité à lancer des offensives", ajoute-t-il. La Russie affirme que les combattants tombent peu à peu à court d'armes, de munitions et de carburant, ce qui les démoralise et les pousse à quitter leurs positions pour se rendre vers l'est et le nord-est de la Syrie. Depuis le début le 30 septembre de son intervention militaire en Syrie, la Russie, fidèle alliée du régime de Damas, a effectué des bombardements depuis des avions de combat et des croiseurs en mer Caspienne mais n'a pas engagé de troupes au sol. Le porte-parole du ministère de la Défense Igor Konachenkov a affirmé samedi que la Russie mènerait des discussions avec le Pentagone pour éviter les incidents entre avions russes et ceux de la coalition constituée par les Etats-Unis dans le ciel syrien
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Mayotte : Mamoudzou, record de France des naissances
L'hôpital de Mayotte se passerait bien du... par france242h39La maternité de Mamoudzou, chef-lieu du département de Mayotte, détient le record de France du nombre annuel de naissances : plus de 7.300 enfants y ont vu le jour en 2014. Chambres saturées de patientes, équipes qui travaillent en flux tendu: c’est la qualité même de l’accueil et des soins qui est menacée malgré la modernité des installations.
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Migrants : la Bavière défie le gouvernement Merkel
21h29La rupture était dans l’air. Elle est désormais consommée entre Munich et Berlin mais aussi au sein de la droite allemande. Le ministre-président conservateur de Bavière, Horst Seehofer a menacé ce vendredi de saisir la Cour constitutionnelle allemande si le gouvernement fédéral «ne prenait pas rapidement des mesures efficaces afin de limiter l’afflux de demandeurs d’asile», selon le site du «Spiegel».
Certes c’est en Bavière, et notamment à Munich, sa capitale, que la majeure partie des Syriens ou des Irakiens sont arrivés sur le sol allemand. Ce qui s’explique par sa situation géographique au sud pays, à la frontière avec l’Autriche. Mais le refus de la politique d’ouverture de la chancelière s’est fait rapidement sentir. Le Parlement de Bavière avait ainsi invité le Premier ministre hongrois Viktor Orban qui a dénoncé «l’impérialisme moral» d’Angela Merkel.
Jeudi déjà Horst Seehofer membre de la CSU, la version bavaroise de la CDU, a demandé le renvoi vers l’Autriche de tout migrant qui en vient ou l’acheminement les demandeurs d’asile directement dans les autres Länder (Etats-régions).
Des mesures «d’auto-défense», a-t-il insisté. Un terme qui rappelle «la rhétorique brune» des heures hitlériennes, selon un éditorial du «Spiegel».
Alors que la popularité d’Angela Merkel chute, que le mouvement d’extrême-droite rassemble à nouveau du monde les lundis à Dresde à l’est du pays, le Bavarois est allé plus loin ce vendredi, en menaçant d’aller devant la Cour constitutionnelle fédérale de Karlsruhe pour «mise en danger de la capacité d’action propre» d’un Land.
Mercredi soir, la dirigeante allemande, tout en reconnaissant que «personne ne pouvait prédire» combien de migrants arriveraient encore à l’avenir, a de nouveau exclu toute fermeture des frontières dans une émission sur la chaîne ARD. C’est «la tâche la plus difficile» du pays «depuis la Réunification», a-t-elle estimé refusant de participer au «concours» entre Etats européens pour les dissuader de venir. Elle a réaffirmé : «Wir schaffen das ! » («Nous y arriverons !»).
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Eric Zemmour: "La violence est partout"
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Trois tweets de Stéphane Ravier
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Marion Le Pen en campagne pour les Régionales
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La Macédoine doit faire face à un énorme afflux de clandestins
09/10/10/2015 – MONDE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Alors que le 11 septembre dernier, la Macédoine enregistrait un pic de 7 600 clandestins, ce sont hier jeudi quelque 10 000 clandestins qui sont arrivés sur son sol. Cet afflux massif provient principalement de Grèce, après avoir traversé la mer Égée depuis la Turquie. La masse de ces « réfugiés » (guillemets de rigueur) vise ensuite la Serbie, puis la Hongrie, laquelle est rattachée à l’espace Schengen.
Mais la Hongrie a rendu ses frontières quasiment hermétiques…
À l’heure actuelle, entre 3 000 et 5 000 clandestins en moyenne pénètrent quotidiennement en Macédoine. Selon Mitko Chavkov, le ministre de l’Intérieur macédonien, les futures vagues pourraient atteindre 10 000 par jour. Face à ces dizaines de milliers de « migrants », les scènes de chaos se multiplient, et la Macédoine est désemparée. Dans une vidéo tournée par une chaîne allemande, on peut voir les forces de l’ordre macédoniennes diriger les clandestins vers la Serbie, sans la moindre vérification.Crédit photo : Capture d’écran d’un reportage de la RTBF en Macédoine
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Allemagne : police et associations accusent les autorités de taire l’augmentation des violences et des viols commis par les clandestins
9 octobre 2015 par Pierrot - Contre-info.com
Il aura fallu peu de temps avant que les vagues migratoires massives de ces dernières semaines se transforment en sources de violence inouïe dans les pays d’accueil. Depuis plusieurs jours, l’Allemagne, pays en pointe dans l’accueil irraisonné des « migrants », est le théâtre de violences toujours plus inquiétantes entre différents groupes ethniques, mais également à l’encontre des femmes et des chrétiens. Désormais, police et associations accusent les autorités de taire l’augmentation des violences et des viols commis par les clandestins.
La police allemande a récemment averti que la violence qui s’exprime à l’intérieur comme à l’extérieur des centres d’asile est désormais hors de contrôle : des dizaines de personnes ont déjà été blessées dans des affrontements communautaires ou ethniques.
Multiplication des violences à proximité des centres d’accueil de clandestins en Allemagne
Plusieurs réfugiés chrétiens ont par ailleurs témoigné de violences à leur égard dans les camps de réfugiés. Certains ont même décidé de rentrer dans leur pays d’origine ou de fuir les centres d’accueil après avoir reçu des menaces de mort. De nombreuses autorités, notamment policières, ont préconisé la séparation entre chrétiens et musulmans, ce que le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière, a jugé « inacceptable », faisant fi de toute réalité.Le constat est le même dans de nombreuses villes allemandes : les rixes se multiplient et les centres d’accueil sont toujours plus remplis. La spirale infernale ne peut s’arrêter.
A titre d’exemple, en Rhénanie du Nord-Westphalie, la police a été appelée près de 1.000 fois en août. Le responsable du second plus gros syndicat allemand de police décrit cette situation comme « le plus grand défi dans l’histoire d’après-guerre ».
En réaction, les manifestations anti-immigration se multiplient dans le pays, drainant toujours plus de monde.
Les autorités accusées de taire les viols et agressions sexuelles en constante augmentation
Thomas de Maizière a appelé les Allemands à ne pas écouter les folles « rumeurs » qui courent sur la toile à propos de ces clandestins. En cause, un nombre croissant d’accusations de viols et d’agressions sexuelles dans les centres de réfugiés ou aux alentours.Plusieurs syndicats de police ainsi que quelques associations de défense des femmes sont pourtant montés au créneau, accusant les autorités allemandes de taire ces crimes par intérêt politique et par peur de provoquer un plus grand rejet de ces vagues migratoires incessantes.
Pour continuer à mener sa politique destructrice du pays, c’est la vérité que le gouvernement allemand a choisi de sacrifier.
« Certaines choses méritent d’être critiquées », a vaguement reconnu Thomas de Maizière sans autre précision, « mais il n’y a aucune raison de faire peser une suspicion générale sur l’ensemble des réfugiés », s’est-il empressé d’ajouter.
La police et des associations accusent ; les autorités laissent les frontières grandes ouvertes
« Le ministre de l’Intérieur serait bien avisé de jeter un coup d’œil sur ses propres rapports afin de savoir ce qui se passe exactement le soir dans nos rues et dans les centres d’accueil », a répondu Rainer Wendt, responsable d’un syndicat de police.Un constat partagé par un certain nombre d’associations : « Nous avons reçu plusieurs rapports dignes de confiance à propos d’agressions sexuelles et de viols de la part de victimes, comme de groupes consultatifs ou d’ONG », a expliqué Barbara Helfrich, membre de l’association caritative Paritaetischer Bund. Plusieurs associations ont rédigé une lettre ouverte pour sensibiliser au nombre croissant de viols, d’agressions sexuelles et de réseaux de prostitution organisés dans les centres d’accueil de clandestins. Là encore, plusieurs personnes ont réclamé la séparation des hommes et des femmes dans les centres… Les autorités restent sourdes et muettes sur le sujet.
La situation est plus explosive que jamais, et les frontières toujours béantes.
Béatrice Romée pour Reinformation.tv
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Crimes contre l'Humanité : faut-il changer la loi Gayssot ?
REPLAY - La loi Gayssot, qui réprime l'apologie des crimes contre l'Humanité, pourrait être censurée par le Conseil Constitutionnel. C'est un négationniste qui a obtenu son examen par les Sages.
par Rémi Sulmont , Loïc Farge publié le 08/10/2015 à 11:08
La loi Gayssot est-elle conforme à notre Constitution ? C'est un négationniste, particulièrement persévérant, qui a réussi à faire remonter la question jusqu'au Conseil constitutionnel. Vincent Reynouard, 46 ans, prof de maths radié de l'Education nationale il y a vingt ans, est un néo-nazi revendiqué. Il a déjà passé neuf mois derrière les barreaux en 2011 pour contestation de crime contre l'Humanité. Il collectionne les condamnations "comme des décorations", dit-il souvent à ses juges.
L'année dernière, pour une vidéo lors des commémorations du 70ème anniversaire du Débarquement, il a de nouveau été condamné à un an de prison ferme. Mais il est allé jusqu'à la Cour de cassation qui vient de lui donner raison. Cette instance dit que la question que pose le négationniste est "sérieuse" et qu'elle "doit être tranchée par le Conseil constitutionnel".Intégrer d'autres génocides ?
Vincent Reynouard s'appuie sur cette fameuse loi Gayssot, votée en 1990 et qui réprime l'apologie des crimes contre l'Humanité commis pendant la Seconde Guerre mondiale. "Il n'est pas normal que la loi soit limitée au seul génocide des Juifs. Le texte doit donc être cassé", dit le révisionniste. Pourquoi les victimes des autres génocides ne sont pas concernées ? "Cette question est légitime", a répondu la Cour de cassation car cela est "susceptible de créer une inégalité devant la loi".
La question qui se pose au fond, c'est de savoir s'il faut actualiser la loi Gayssot. C'est le débat. Qu'on ne s'y trompe pas : Vincent Reynouard cherche l'annulation pure et simple de la législation existante. Mais d'autres, qui ne sont ni négationnistes ni antisémites, disent qu'il est temps de modifier la loi pour intégrer les deux autres génocides reconnus en France : le génocide arménien de 1915, et le génocide des Tutsis au Rwanda en 1994.Concurrence mémorielle
"Les Tutsis doivent également être protégées par la loi française de toute tentative négationniste", nous a dit maître Richard Gisagara, qui défend des rescapés du génocide et qui demande d'étendre la loi Gayssot. Qu'en pense Jean-Claude Gayssot, le père de la loi, devenu ensuite ministre des Transports de Lionel Jospin ? "La loi qui porte mon nom est celle dont je suis le plus fier. Je ne suis pas pour qu'on y touche. J'ai tellement peur que si on commence à bricoler dessus pour intégrer d'autres crimes contre l'Humanité, que je ne nie pas, que les adversaires de la loi ne l'emporte", concède-t-il.
Qu'on autorise un négationniste à provoquer un tel débat dans le contexte que l'on connait est "lamentable et dangereux", se désole Roger Cukierman. Le président du Crif ne s'opposerait pas, en revanche, à "une autre loi pour les autres génocides", soucieux de ne pas tomber dans le piège de la concurrence mémorielle.RTL
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Georges Malbrunot: Les USA en guerre psycholique contre la Russie
http://fr.sputniknews.com/international/20151009/1018733953/malbrunot-usa-russie-syrie-ue.html